L.valentine
Quartier Général
Après la purge, certaines habitations étaient restées vides, autant des cabanes délabrés que des somptueuses maisons de bourgeois. Les habitants de la Cours des Miracles avaient fuient lendroit, le considérant trop dangereux pour y mener une vie paisible. Entre toutes ces maisons, taudis et cases, il y avait néanmoins un manoir. Il était gardé par une grille en fer forgée qui avait du prendre bien du temps au forgeron qui avait obtenu le contrat. Elle était la seule entrée possible. Cette grille criait sur ses gongs, un bruit à faire froid dans le dos, lorsque quiconque osait la pousser. Cétait le manoir le plus fastueux du quartier, et ça, personne ne le savait parce quil sélevait derrière dénormes murs de pierre. Derrière ces murs, les vignes et autres plantes grimpantes sétaient propagées. Cette végétation détonnait avec lambiance de la Cours des Miracles, même si elle créait des jeux dombres qui éveillaient limagination des visiteurs, et contribuaient à les repousser. À droite des grilles, un coup entré dans la cours, il y avait de longues dalles qui formaient un escalier en L qui menait au perron. Ce dernier surplombait la petite cours, lui aussi en L. Pour entrer dans le manoir, il fallait franchir deux portes antiques, qui donnaient le ton à ce quelles introduisaient, un hall délabré et des escaliers imposants. Au rez-de-chaussée, outre le hall, il y avait la cuisine, la salle de réception et la salle à manger. Toutes ces pièces avaient été magnifiques à lépoque, mais maintenant, elles nétaient plus que lombre de leur passé. Il restait encore la table longue et les douze chaises pour manger à son aise, il y avait les trois canapés qui accueillaient les visiteurs, et la cuisine, malgré la nourriture moisie, était toujours fonctionnelle. Les fenêtres étaient toujours habillées de sombres draperies rouge vin, déchirées pour certaines, décrochées pour dautres. Les tables dappoints étaient toutes en place et les tapisseries brodées à la main étaient presque toutes intactes. Un escalier partant de la cuisine menait à une cave à vin qui avait souffert de labsence des propriétaires. Elle était désormais couverte de moisissure par endroit et quelques rats y avaient fait leur nid, mais fort heureusement, lendroit était bien construit, il était plutôt sec. À létage, il y avait les chambres; 4 en tout, toutes magnifiques, mais couverte de poussière, certaines ravagées et certaines avec le lit défoncé. Et finalement, le bureau, qui regroupait un bon nombre de manuscrits, dencyclopédies et de cartes du monde. Ce bureau devint le bureau du Maître. Lorsque Valentine trouva ce manoir, il décida dès lors den faire son quartier générale. Ici lieu, ce déroulerait les réunions secrètes des Basilisks sous lil ardent du sans nom.
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Après la purge, certaines habitations étaient restées vides, autant des cabanes délabrés que des somptueuses maisons de bourgeois. Les habitants de la Cours des Miracles avaient fuient lendroit, le considérant trop dangereux pour y mener une vie paisible. Entre toutes ces maisons, taudis et cases, il y avait néanmoins un manoir. Il était gardé par une grille en fer forgée qui avait du prendre bien du temps au forgeron qui avait obtenu le contrat. Elle était la seule entrée possible. Cette grille criait sur ses gongs, un bruit à faire froid dans le dos, lorsque quiconque osait la pousser. Cétait le manoir le plus fastueux du quartier, et ça, personne ne le savait parce quil sélevait derrière dénormes murs de pierre. Derrière ces murs, les vignes et autres plantes grimpantes sétaient propagées. Cette végétation détonnait avec lambiance de la Cours des Miracles, même si elle créait des jeux dombres qui éveillaient limagination des visiteurs, et contribuaient à les repousser. À droite des grilles, un coup entré dans la cours, il y avait de longues dalles qui formaient un escalier en L qui menait au perron. Ce dernier surplombait la petite cours, lui aussi en L. Pour entrer dans le manoir, il fallait franchir deux portes antiques, qui donnaient le ton à ce quelles introduisaient, un hall délabré et des escaliers imposants. Au rez-de-chaussée, outre le hall, il y avait la cuisine, la salle de réception et la salle à manger. Toutes ces pièces avaient été magnifiques à lépoque, mais maintenant, elles nétaient plus que lombre de leur passé. Il restait encore la table longue et les douze chaises pour manger à son aise, il y avait les trois canapés qui accueillaient les visiteurs, et la cuisine, malgré la nourriture moisie, était toujours fonctionnelle. Les fenêtres étaient toujours habillées de sombres draperies rouge vin, déchirées pour certaines, décrochées pour dautres. Les tables dappoints étaient toutes en place et les tapisseries brodées à la main étaient presque toutes intactes. Un escalier partant de la cuisine menait à une cave à vin qui avait souffert de labsence des propriétaires. Elle était désormais couverte de moisissure par endroit et quelques rats y avaient fait leur nid, mais fort heureusement, lendroit était bien construit, il était plutôt sec. À létage, il y avait les chambres; 4 en tout, toutes magnifiques, mais couverte de poussière, certaines ravagées et certaines avec le lit défoncé. Et finalement, le bureau, qui regroupait un bon nombre de manuscrits, dencyclopédies et de cartes du monde. Ce bureau devint le bureau du Maître. Lorsque Valentine trouva ce manoir, il décida dès lors den faire son quartier générale. Ici lieu, ce déroulerait les réunions secrètes des Basilisks sous lil ardent du sans nom.
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