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Le Manoir

Dante.tommaso
Un instant, Dante se perdit dans le regard de la Tatouée… Il savait qu’il venait de l’étonner par l’annonce qu’il venait de lui faire, lui le petit commerçant vénitien dont beaucoup se moquait parce qu’il parlait avec un accent différent de ceux d’ici ou parce qu’il avait des manières d’ailleurs… Ailleurs c’était Venise, sa terre natale qui portait en elle le raffinement que le Royaume de France n’avait pas encore acquis… Mais Dante avait dépassé ces moqueries et ces tromperies, il était ce qu’il était, avec un esprit retors qu’il dissimulait la plupart du temps.

Mais après tout cela lui plaisait que la plupart de la populasse continue à la voir comme un étranger sur ses terres, il ne demandait que ça. Ainsi il pouvait faire et défaire ce qu'il désirait. Et seules quelques personnes connaissaient son visage, son véritable visage, Rodrielle en faisait d'ailleurs partie. Cette confiance qu’il avait mise en elle était inexpliquée et inexplicable. Sans doute une question d’affinités mais cela allait bien plus loin que ça. Et contrairement à toutes celles qu’il avait croisé sur sa route, La Corleone était une rare qu’il n’avait pas mise dans son lit, par respect et par amitié… Cette amitié qui lui était chère au cœur…

Les doigts du Vénitien resserrèrent leur prise, incitant la tatouée à se rapprocher de lui alors qu’il avait la langue levée pour lui répondre. Une ombre vint se planter devant eux et Dante l’observa un court instant avant de répliquer.


- Corleone par affinités…

Que pouvait-il dire d’autres. Pas un membre direct de la famille, encore moins rattaché par les liens du mariage, il était lui, un être à part entière qui avait choisi d’œuvrer avec les italiens et surtout ceux qui faisaient le mal… Ses lèvres s’étirèrent en un sourire en coin alors que la Rousse partait déjà prévenir le Maitre des lieux.


- C’est ça va le prévenir… il sait qui je suis de toute manière, j’ai encore en mémoire notre première rencontre…

Puis Dante se perdit sur les traits tirés de Rodrielle, perdant d’un coup son sourire. L’inquiétude se lit alors un bref instant dans son regard mais il la chassa bien vite afin de donner le change.


- Ce n’est point mon amie signora… tout juste une pauvre fille qui crève la dalle dans les rues du quartier mais peut être a-t-elle de l’ambition pour envisager que l'avenir pourte le nom des Basilisk...

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L.valentine
Il est de ces moments ou le monde tourne au ralentit. La vie semble soudainement prendre fin d’un coup. C’est exactement dans ses moments là que les fidèles restent et que les faibles quittent sans un mot. En cette journée le compte à rebours c’est enclenché, sans aucune raison précise, il n’y aura pas de retour en arrière. Les événements à venir sont certains de se produire et la vie reprendra son cours. Entre activité et inactivité le clan prend ses aises. Chacun fait ce qui lui plaît. Une semaine c’est écoulée depuis les derniers affrontements. Que pouvons nous dire outre que le massacre était majeur. Les cadavres traînaient, ça et là et rajoutaient une touche de dramatisation à cette cours des miracles. Je suis ici pour remplir un rôle bien précis, et je sais que je ne pourrai que décevoir les bonnes âmes de Paris. Ma vie est voué à la violence et au meurtre, celle de mes recrues soit dit en passant aussi. Nous sommes l’élite, nous sommes la main du diable déchirant les chairs de nos nombreux ennemis. Ma vie et celles de mes confrères est dédié au mal absolue. Craignez moi, car je ne vous craints pas.


Je marche depuis quelques instants déjà, en rond dans ma salle de planification. Je suis tel un lion en cage dont on a oublié de nourrir ses entrailles depuis quelques jours déjà. Il est probable qu’à cet instant, si on m’en donnait l’occasion, je transpercerais de ma dague le premier individu qui pousserait cette porte tellement mon envie de tuer était inébranlable. Mes yeux se posèrent sur la fenêtre, ma dague posséder par une main violente, se planta dans le bois sculpté de son cadre. Aucune âme qui vive n’osaient plus marcher dans la rue qui était nôtre et cela me rendait de bonne humeur je devais me l’avouer. Une idée m’arrache de mes pensées et me pousse a me diriger vers mon bureau. Je fouille quelques secondes laissant quelques plans tomber sur le sol avant de trouver ce que je cherchais. Le dernier espion ayant fait son rapport, mentionnait deux problèmes qui pourraient devenir gênant. Le retour de l’ordre des encapuchonnés et le guet qui se promenaient librement dans la cours des miracles. Il fallait aller les avertir qu’ils n’étaient pas les bienvenue ici.

Je pose le parchemin sur le bois du majestueux meuble et reste debout là un instant. Je m'invente une multitude de plans plus cruel les uns que les autres dans le but d’éliminer les possibles menace envers le clan.

De nouvelles cibles...

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Ziou
- Maître...

Délicate apparition dans l'encadrement de porte, rousse évidence qui fixe de ses billes vertes l'homme qui se dresse près du bureau.
Elle a comme l'impression que ça fait une éternité déjà qu'elle n'a pas vu ses traits, touché sa peau, senti son odeur, entendu sa voix & ri devant la multitude d'écus sonnants & trébuchants qu'il dévoilait devant ses yeux émerveillés.
Alors l'enfant, comme la fille prodigue s'en revenant d'exil, laisse sa hache au bon soin d'un meuble pour venir se saisir de la senestre royale.

Et Folie, insouciante, se permet de poser cette main si désirée sur sa joue pouponne, y pressant quelques doigts tendres & soumis.
Nul ne sait, en vérité, ce qui a véritablement poussé la Ziou à rejoindre les Basilisks, & à se soumettre entièrement aux désir du Valentine. Car il est certain que si la beauté des pièces brillantes l'attire irrémédiablement, il est tout autant assuré qu'elle aurait pu trouvé ailleurs, & plus aisément, plutôt que de se perdre dans l'obscurité du fin fond de la Cour des Miracles.
Pourtant, malgré les offres alléchantes, malgré le sang versé & les absences répétées, la tornade rousse n'a jamais failli aux ordres de son Roy. Et si l'on peut encore douter de sa crédibilité & de sa dévotion, on ne peut décemment assurer que la tendre folle n'est pas de confiance.
La traîtrise est en vérité un concept qu'elle ne comprend pas, & qu'elle se contente d'anéantir d'un simple coup de hache.


- Invités...

Poupée au sourire à croquer, la belle plante son regard vif dans celui du Valentine, attendant sans doute un mot, un ordre, un geste pour s'empresser de montrer une nouvelle fois son adoration, & surtout pour se faire pardonner d'être revenue sans présent.
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L.valentine
Un mot, si doux à mes oreilles probablement le seul qui pouvait m’empêcher de lui enfoncer ma dague dans les chairs. Elle sait à tous coup comment me faire plaisir et cela lui permet de rester en vie. Je lui adresse un regard et d’une mais je sors une bourse remplie d’or. Je sais que j’en aurai sans nul doute besoin afin de soutiré des informations ou encore pour faire diversion. Je la vois, intriguée envieuse de cet or si brillant. La plus part des hommes aiment l’or, moi je fais ce que je fais par plaisir uniquement. Une soif de puissance et de réputation très certainement. D’une main sure j’attrape une pièce avant de refermer la bourse et d’un mouvement de pouce habile projette la pièce dans les mains de la petite rousse.

Nous allons chasser cette nuit.

Invités.

Je me demandais qui pouvait être ces invités dont Ziou parlait ? De nouvelles recrues peut-être ? Je lui adresse un sourire mesquin en coin avant de m’avancer vers cette dernière fixant la bouse à ma ceinture. Je pose ma main sur sa hanche et elle une main sur ma joue. Ose t-elle ? J’attrape son bras et le bloque dans son dos de sorte à ce qu’elle soit prisonnière de mon emprise et est du mal a s’en défaire, très mal. Je me pose bien encré contre son dos et contre ses fesses oubliant la séparation de son bras entre nos deux corps. Mon visage vient se pencher par dessus son épaule et je la regarde petite, soumise dans cette sombre pièce glauque. Ma main gauche est posée contre sa gorge et je dois dire que j’y prend plaisir. Mon souffle chaud se percute contre sa peau tiède. Je sert un peu plus ma poigne et lui sourit la rapprochant un peu plus de mon corps. Sache qu’on ne me touche pas sans que j’en ai donné l’ordre. J’approche mes lèvres de son coup et d’un grognement je m’éloigne d’une quelconque représailles. Je l’invite à me suivre hors de la pièce.

Allons voir qui sont ses invités.

Je prend les devant et me dirige vers les grandes marches menant au premier étage. La petite Ziou devait apprendre que je n’étais pas homme que l’on pouvait abusé de la sorte. Le respect du maître devait être le mot d’ordre. Le soleil m’éblouit un instant alors que je marche sur le porche et emprunte le chemin en L menant aux marches menant jusque devant la grille du manoir. La dernière fois que je l’avais passée, une énergumène s’y tenait, se prenant pour le nombril du monde. Cela était très amusant à voir, nous nous en étions débarrassé comme il se doit. À grand coup de pied dans le cul. Je vis non loin du portique Rodrielle, Lady.s, une jeune femme et Dante.tommaso… lui ici ? À mon souvenir il était marchand. Il devait s’être trouver un baril non pas de bière , mais de courage pour se promener seul ici. Quoi que peut-être était-il saoul aussi c’était une option a envisager. Mes yeux sombres voir abysalles se posent sur les nouveaux venus. Un air violent me prend soudainement avant que je ne tende la main aux nouveau venus afin qu’ils la serrent en signe de respect.

Que venez vous faire ici ?

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Dante.tommaso
Fermant les yeux quelques instants, le Vénitien essaya de reprendre ses marques et surtout ne pas oublier pourquoi il était là. Mais la découverte d’une Rodrielle plus ombre qu’elle ne l’était d’ordinaire l’avait touché plus qu’il n’aurait voulu se l’avouer. Oh il savait bien que la Tatouée n’était pas une sainte mais de là à se détruire… Mais bien vite des pas, du mouvement se firent entendre non loin de lui. Dante souleva ses paupières tandis que ses azurs scrutaient déjà les alentours à la recherche du ou des visiteurs qui approchaient, sur le qui-vive, près à sortir le stiletto qu’il avait dans la manche.

Mais la silhouette fut vite identifiée et lorsque la main tendue de Valentine s’avança dans sa direction, il fit de même. Question de respect sans aucun doute, par contre, le Vénitien ne quittait pas le regard de son interlocuteur, question de confiance de son côté. Baisser les yeux ou détourner le regard équivalait à un affront et Dante aurait pris la poudre d’escampette sans demander son reste. Toutefois, il était bien ici, il se retrouvait un peu. La folie qu’il arrivait à maitriser la plupart du temps, ses sautes d’humeur, son changement d’attitudes étaient de véritables défis au quotidien mais il arrivait à donner le change la plupart du temps mais imperceptiblement, il se détendit comme si, il était arrivé chez lui. Oh non pas en terrain conquis mais dans un port d’attache trop longtemps cherché. Et la voix de Valentine le ramena au rivage.


- Vous avez émis une invitation, j’y réponds… Mais peut être ai-je mal compris ce fameux soir en taverne où l’on s’est croisé… Et pour éclaircir la situation autant vous dire que je n’ai rien à vendre mais j’offre bien plus que du commerce si nous savons parler vous et moi !

Les choses étaient dites à demi-mots certes mais en Maitre du clan Basilisk, en parfait assassin, Dante savait que l’homme en face de lui comprendrait. Soit il l’acceptait soit il le renvoyait d’où il venait, pas de demi-mesure, la Cour des Miracles n’était pas un endroit pour jouer. Ici, on y vivait, ici on y mourait. Et la mort savait répandre ses effluves, Dante pouvait les sentir venir lui faire frémir les ailes du nez. Réclamerait-elle son dû encore aujourd’hui ? Possible mais il n’était pas celui qui danserait une dernière fois avec elle. Il avait d’autres démons en lui qui le tiraillaient, de ces démons qui le conduisaient invariablement vers des chemins de traverses dont personne ne pouvait soupçonner l’existence, pas même les plus proches de lui.

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Rodrielle
Depuis le premier échange, l'italienne avait était anormalement silencieuse. Elle regardait Dante, souriante tout de même, un peu ailleurs surtout. Mais ce fut l'avancée de Ziou qui l'avait réveillée. Rodrielle n'avait fait que hocher la tête lorsqu'elle lui demanda s'il était un ami, ou un Corleone (les 2 ici se regroupant à la perfection) puis lui avait sourit au geste tendre avant que la Folie ne parte prévenir Valentine. Elle l'aimait bien, cette petite nièce... Dante et elle se regardèrent de nouveau et le Ceresa lui répondit pour la jeune femme derrière lui. Plissement de nez.

Soit. Laissons là alors, si elle veut quelque chose, elle n'a qu'à causer.

Lui parler directement ? Certainement pas. Malheureusement, chez les Basilisk, les "crèves la dalle" n'étaient pas des alliés mais bel et bien des victimes. Surement que si elle restait là sans prendre l'initiative d'expliquer le pourquoi elle avait suivit Dante, c'allait être sa tête que Ziou et Lady ramèneraient en offrande au Maestro.

En tout cas, j'suis ravie de te voir ici, bello...

Et en parlant de Maestro... Valentine arriva, toujours fidèle à lui même. Mais ce n'est pas pour autant que Rodrielle quitta les bras de Dante. Elle se tourna tout de même vers Valentine, prenant un léger appui sur l'épaule du Ceresa. Elle laissa les deux hommes discuter, gardant toujours son inhabituel silence. Mais elle regardait Valentine comme pour lui dire qu'il n'avait d'autre choix que de prendre l'italien dans ses rangs. Camée mais toujours si exigeante.

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Ziou
Et tandis que les doigts hyalins s'amusent de la rondeur de la pièce, leurs jumeaux, eux, se pressent plus fermement sur la joue désirée. Elle joue, l'enfant rousse, avec une insouciance propre à sa folie, avec un désir propre à ses envies.
Impossible de savoir si réellement, la belle le veut, lui, son Roy. Il n'empêche que le corps frémit au contact imposé, brûlant d'une innocence toute relative.
Si elle sait ce qui lui arrive ? Folle n'est pas idiote.
Si elle se débat à l'emprise fiévreuse ? Folle n'est pas dénuée d'appétit.
Si elle a peur de son bourreau ? Folle n'a que trop peu d'instinct de survie.

Il n'aurait fallu qu'une seconde de plus pour que d'un coup de hanche habile & d'un mouvement fluide de son corps assuré elle ne se défasse de son emprise, pour mieux revenir, rapide, bestiale, affamée.
Mais le Maître s'enfuit, & des lèvres sucrées s'échappe un soupir aussi déçu que soulagé.
Un sourire écharpe la lippe mutine, la senestre s'empare de la hache délaissée, & Valentine disparaît sous les émeraudes brillantes de l'éthérée. Un rire franchit sa gorge blanche & trop peu couverte, & l'enfant suit, comme un animal dressé, celui qui tente de réveiller ce qu'il ne pourra plus retenir.

Car avant d'être folle, Ziou est femme, trop femme.
Succube à la lippe volage & aux jupons légers, l'enfant n'en est pas vraiment une si la porte est ouverte. Elle est violente, sanglante & chasseresse, & l'homme n'est pour elle qu'un animal qui mérite qu'on lui coupe la tête ou autre.. après en avoir patiemment & démesurément abusé.
Et malgré la Folie innocente qui guette s'imposer, c'est d'une émeraude brillante & assoiffée qu'elle apprécie la démarche assurée du Valentine, la main tendue, la voix posée, le coup d'oeil méfiant.

Et comme un garde du corps prévenant, la Corleone s'approche de l'italien, glissant discrètement derrière lui, la hache à la main, les émeraudes posées sur le Maître, surveillant discrètement la rousse muette, n'attendant qu'un mot pour donner la tête du Ceresa en offrande à la Mort.
Et qu'importe si ami il est, & qu'importe si à sa famille il appartient.
On ne gagne pas une partie d'échec en protégeant ses pièces.

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L.valentine
Mes yeux se posent sur l’homme qui ne semble plus avoir grand chose à perdre. Il me semble presque aussi timbré que le reste de mes troupes. Après tout, la folie fait partie de chacun de nous et nous pousse à commettre les actes les plus sombres. Je le jauge du regard comme je l’ai fait la première fois que nous nous sommes rencontrés. Cette nuit là en taverne, je recrutais les tueurs du coin lorsque je tomba sur cet homme. Il me semblait calme, bien calme lorsque je lui fit la proposition de rejoindre le clan. Cet instant fut le moment ou je fus certain de mon choix et d’ailleurs il était là, comme prévu. Je lui adresse un sourire tiède à lui et à Rodrielle dans ses bras avant de lui répondre.

Vous faites dorénavant partie du clan.
J’imagine que nous avons su parler.


Ne me décevez pas.


Mon attention est attiré par la jeune femme légèrement en retrait. Elle na pas dit un traitre mot depuis le début. Qu’était-elle venu chercher ici bas ? L’enfer n’était alloué qu’aux meurtrier, à mes yeux elle n’en avait rien a faire ici. Cependant, les apparences pouvaient bien être trompeuses. Qui pouvait savoir ce qui habitait cette pauvre femme. La tristesse, la colère , un sentiment de vengeance ou simplement une gamelle à remplir ? Toute les raisons étaient bonne pour pratiquer le meurtre.

Au loin, j’entend des pas. Je me retourne, sur mes gardes, mais rien à l’horizon. C’était à n’y rien comprendre, je pose mes yeux sur le toit et finit par repéré la source des bruits. Ils étaient là, haut perchés regardant la scène vu du ciel. Deux êtres accroupis facilement identifiables. Un sourire étira mes traits, je dois dire que leurs présences étaient fortement espérées.


Rejoignez nous !
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--Maskarade
Le début d'un début.



Ma scène est le monde,
Je m’applique afin d’être le plus immonde.
Un personnage comme il ne s’en fait pas deux.
Vous pourrez le voir, vous avez des yeux.
Dis-je d’un ton théâtrale.
N’ayez crainte je me sais magistrale.
Sous mes pieds la foule est ameutée.
Ils sont la pour m’acclamer.


C’est sous le coup du rappel que je descend rejoindre mon public.
Akioa est à mes côtés, l’admiratrice que je n’ai jamais eu.
Une fois au sol, nous nous dirigeons vers le maître, notre maître à tous.

Toc Toc Toc Toc Toc Toc toc.

Nos pas cessent de résonner sur les galets de la cour.
À cet instant précis, je pose mon regard autour de moi et admire le rassemblement.
Cela sent la performance artistique et la tombé du rideau pour le guet royal qui se meut dans les rues de la cour sans encombre.
Un sourire illumine mon visage sous ce masque d’épouvante qu’est le mien.
J’espérais au plus profond de mon être que les autres membres du clan se joindraient au mouvement.
Car étions nous prêt ?

À votre service mon maître.

Dis-je en m’inclinant légèrement.
Je lui devais le respect qu’il méritait.
C’est lui qui avait créé ce clan et qui m’avait permis de mettre en avant scène mon talent indéniable.
Jamais je ne le trahirai, jamais je ne le laisserai tomber et dans la mort je le servirai.

Que faisons nous si ce n’est que patienter en vue d’accomplir votre bon vouloir ?
Car je crois lire en vous et en me tenant informer de ce qui se passe à la cour des miracles.
Que notre prochaine cible, sera le guet royal, est-ce exact ?
Je dois m’avouer une impatience en vue de mettre fin aux jours de ses explorateurs impétueux.


Mes paroles laissèrent planer un instant un silence.
Source de réconfort, car mon public était toujours aussi abasourdit lorsque je terminais ma dernière réplique.
Rien de nouveau en soit.
--Lady.s


[Trop de monde,Ô oui,trop de monde]

Trop de monde,le Lévrier,déterminée à éliminer,un peu de cette peuplasse,ne pu le faire,la Corleone la devança.Une fois,l'homme recruter,elle alla près de la blonde tatouée,lui murmura alors dans l'oreille :

"- Ma chère,tu m'a privée,de gibier,comment,puis-je maintenant,me rassasiée? "

Tien,le lévrier,faisait des rimes maintenant? Nouvelle étrangetés de sa part.Sa hache,autant que son arc,étaient à leurs places,ses dagues aussi,ses yeux étaient dans les folie,deux perles turquoise,deux perles brillante,deux turquoise vives et terrifiante.Si le masque,débarqua,parla,théâtralement.Le lévrier,pencha la tête,comme l'animal,qu'elle était.Peut-être que deux membres Basiliks,atteinte de Folie,cela n'était pas assez,peut-être que le masque était là,pour combler se manque? Si lui avait un masque,la blonde,elle avait cette cape,noire,simple.Si la capuche tomber,le masque tomber.

Akioa
Akioa marchait aux côtés de Maskarade, ses longs cheveux noir fouettaient le vent tel un fouet à plusieurs lanières. La belle leva les yeux au ciel, le temps était gris, maussade même. Il allait pleuvoir pour sûr, un sourire se dessina sur ses lèvres d’un rouge vivifiant. Elle adorait la pluie, c’était ainsi depuis sa plus tendre enfance. Son regard descendit des cieux tranquillement et une fois arrivée à destination, elle posa un regard lourd de sens à chacune des personnes présentes avant de courber le dos en guise de salutation à son maître.

Maître.

Ces mots furent encore dure à dire. Celle qui n'avait jamais eu de maître devait maintenant obéir, mais tel était son choix. Elle combattrait là ou Valentine l'enverrais et se jusqu’à son dernier souffle.

Akioa écouta les douces paroles de son homme masqué ,une nouvelle cible, le guet royal. L'envie de combattre lui mit l'eau a la bouche. Il y avait un moment qu’elle ne c’était pas servit de son fléau. À son avis, il était grand temps. Elle regarda son maître le regard plein d’espoir, espérant qu'il lui dise que ces rumeurs qui courraient dans la cours étaient bien vrai.
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