Rehaël
Qu'Aristote vous ait en sa Sainte garde également, Comtesse Ewaele. Sincèrement...
*Il n'avait rien manqué du regard qui lui avait été destiné. Mais rien de plus normal. Un "gamin" qui n'avait pas fait grand chose se permettait de critiquer la Comtesse sur son trône lors de la cérémonie d'allégeance. Mieux, lui faire la morale... Il ferait avec... peut-être un jour auraient-ils l'occasion de discuter... sait-on jamais.
Qu'Aristote les aide, tous autant qu'ils sont, à reconnaitre leurs erreurs. Si ce n'est publiquement, au moins pour eux même... Que ces gens cessent de s'aveugler, qu'ils puissent enfin ouvrir les yeux, comprendre que ce qu'ils ont fait, ce n'est pas juste appuyer sur un bouton pour jouer aux chaises musicales, mais qu'ils ont pris le risque de déstabiliser profondément cette région, plus qu'elle ne l'était déjà... Si un jour, il leur est donné de comprendre cela, leurs âmes ne pourraient que mieux s'en porter.
Soit, plus le temps de discuter, de toute façon. Ce qui était fait ne pouvait être défait, et c'était bien dans une envie d'apaisement propre - hautement égoïste s'il en est, il fallait bien le reconnaitre - qu'il s'était exprimé. Il avait fait le deuil de ce qu'il s'était passé, et l'on ne l'entendrait plus se prononcer là dessus, certainement.
Signe de tête à sa tante, puis un autre à la volée adressé à son cousin, lorsqu'il se retourne. Quelques pas, trouve le regard d'Arnaut. Ce dernier n'attend pas et vient à sa rencontre. Ne tardent pas à quitter la salle... il était prêt à s'enfiler un bassine d'eau d'un trait, tant il se trouvait la gorge sèche.*
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*Il n'avait rien manqué du regard qui lui avait été destiné. Mais rien de plus normal. Un "gamin" qui n'avait pas fait grand chose se permettait de critiquer la Comtesse sur son trône lors de la cérémonie d'allégeance. Mieux, lui faire la morale... Il ferait avec... peut-être un jour auraient-ils l'occasion de discuter... sait-on jamais.
Qu'Aristote les aide, tous autant qu'ils sont, à reconnaitre leurs erreurs. Si ce n'est publiquement, au moins pour eux même... Que ces gens cessent de s'aveugler, qu'ils puissent enfin ouvrir les yeux, comprendre que ce qu'ils ont fait, ce n'est pas juste appuyer sur un bouton pour jouer aux chaises musicales, mais qu'ils ont pris le risque de déstabiliser profondément cette région, plus qu'elle ne l'était déjà... Si un jour, il leur est donné de comprendre cela, leurs âmes ne pourraient que mieux s'en porter.
Soit, plus le temps de discuter, de toute façon. Ce qui était fait ne pouvait être défait, et c'était bien dans une envie d'apaisement propre - hautement égoïste s'il en est, il fallait bien le reconnaitre - qu'il s'était exprimé. Il avait fait le deuil de ce qu'il s'était passé, et l'on ne l'entendrait plus se prononcer là dessus, certainement.
Signe de tête à sa tante, puis un autre à la volée adressé à son cousin, lorsqu'il se retourne. Quelques pas, trouve le regard d'Arnaut. Ce dernier n'attend pas et vient à sa rencontre. Ne tardent pas à quitter la salle... il était prêt à s'enfiler un bassine d'eau d'un trait, tant il se trouvait la gorge sèche.*
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