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[RP] La bibliothèque de Dijon

Ezioauditore..
Ezio leva la tête et vit une ravissante damoiselle

Bien le bonjour Dame Aryanha! Nous sommes ravie de vous accueillir dans cet enceinte! Vous êtes ici chez vous! Je ne suis pas le "fondateur" mais François à restauré cet endroit pour le rendre magnifique et pouvoir accueillir de nombreux ouvrage! Je vous en prie, entrez donc!

Ezio souriait à la Dame
Oscar_w.

François arriva en courant, couvert de la poussière du grenier où il avait déniché quelque manuscrit qu'il tenait précautionneusement...


Bonjour Dame Aryanha de Monteporte d'Alforsse ... c'est bien ça rassurez moi ?
Enfin peu importe je suis François et François c'est moi !
Et je vous souhaite la bienvenue dans notre encore modeste bibliothèque !!

Mais peut-être pourrez-vous l'embellir de quelques manuscrits ?

_________________
Oscar, Sulfureuse créature...
Mary.
La rousse gouvernante connaissait ses lettres, le patron avait tenu à ce qu'elle les apprenne, mais elle n'était pas très habile pour écrire, ni même pour lire. Ce qui ne l'empêchait pas d'apprécier la poésie, surtout quand des ménestrels venaient la chanter en taverne.
Quand elle entendit parler de cette bibliothèque, elle accourut.


Messire François, messire François, si je vous chante une poésie, d'un autre François, vous pourrez l'écrire pour moi dans vos parchemins ?


Et sans attendre de réponse, elle se mit à fredonner :




Ballade des dames du temps jadis


Dites-moi où, n'en quel pays,
Est Flora la belle Romaine,
Archipiades, ni Thaïs,
Qui fut sa cousine germaine,
Écho parlant quand bruit on mène
Dessus rivière ou sus étang,
Qui beauté eut trop plus qu'humaine.
Mais où sont les neiges d'antan ?

Où est la très sage Héloïs,
Pour qui châtré fut et puis moine
Pierre Esbaillart à Saint Denis ?
Pour son amour eut cette essoyne.
Semblablement où est la reine
Qui commanda que Buridan
Fut jeté en un sac en Seine ?
Mais où sont les neiges d'antan ?

La reine Blanche comme lys
Qui chantait à voix de sirène,
Berthe au grand pied, Bietris, Alis,
Haremburgis qui tint le Maine,
Et Jeanne la bonne Lorraine
Qu'Anglais brûlèrent à Rouen ;
Où sont-ils, où, Vierge souv'raine ?
Mais où sont les neiges d'antan ?

Prince, n'enquerrez de semaine
Où elles sont, ni de cet an,
Qu'à ce refrain ne vous ramène :
Mais où sont les neiges d'antan ?

_________________
Gabrylla
Gaby se promena quand elle entendit du bruit à l'intérieur...Elle avait entendu parler de la bibliothèque en taverne, mais très peu, c'était encore tous nouveaux à Dijon !! Mais, certainement un lieu qui sera souvent visiter...!

Elle s'avança et poussa discrètement la porte...L'odeur des livres se fit sentir, et rendit Gaby souriante...Ceci lui rappelait sa mère, qui était toujours plonger dans des livres et parchemins avec des tonnes poèmes...Ses poèmes qu'elle aimait tant...Elle vit alors quelque Dame ainsi que Ezio et François, elle sourit, puis visita un peu l'endroit en faisant le tour des étagère...

_________________
Lesmoutonsbleus
Citation:
Cela donne envie de le connaître ne trouves tu pas ?
Enfin... si cette joie nous est permise...


Oui bien sûr cette joie est permise, et te connaître sera un plaisir.

LMB était en plein déchirement sentimental mais elle pensait que cet homme avait au moins un point en commun avec elle...

Citation:
Ne voudrais tu point m'aider en cet ouvrage de recensement des belles oeuvres de ce siècle ?
Ce me serait fort précieux ! Acceptes, je t'en prie !


Si ce sera un ravissement de partager le recensement des belles oeuvres de ce siècle, alors oui j'accepte avec joie Fvillon.

J'ai un ami à escorter mais je reviendrai vite.
_________________
--Levieuxgeorges



Hé, hé, bonjour l'Françoué !
T'es donc ici toué maintenant !!

Pis ben l'bonjour la rouquine, t'sais que t'es ben accorte toué !
dis donc la cht'iote j'ai entendu ton poème l'est ben beau sacrebleu !

Alors j'ai eu dans l'idée de m' dire que j'allions l'mettre en musique !
L'as pas l'air comme ça mais l'vieux Georges a plus d'une corde à son luth !


Aussitôt dit, aussitôt fait, Georges sorti son instrument de son étui, le réaccorda et commença à chanter :

http://www.youtube.com/watch?v=87g34eZoAuQ
Aryanha
Et bien ça se bousculait dans la bibliothèque...
Un accueil des plus chaleureux, elle gratifia Ezio d'un sourire.

C'est fort aimable...

Et le fameux François, bien que poussiéreux...Aryanha se mit à tousser, arrivait.

Hum...vous avez là un vilain accent sieur François...Monteforte, di Monteforte, c'est vénitien, dans le Soave, une province de Vérone.

Interrompue par une inconnue, Aryanha continua en dépliant une feuille de parchemin.

En parlant d'Italie...Connaissez-vous Francesco Petrarca ? ou plutôt Petrarque ?
J'imagine que oui.


Elle lui fit lecture du vélin.



Benedetto sia 'l giorno

Benedetto sia 'l giorno, e 'l mese, e l'anno,
e la stagione, e 'l tempo, e l'ora, e 'l punto,
e 'l bel paese, e 'l loco ov' io fui giunto
da' duo begli occhi, che legato m'hanno;

e benedetto il primo dolce affanno
ch'i' ebbi ad esser con Amor congiunto,
e l'arco, e le saette ond'i' fui punto,
e le piaghe che 'n fin al cor mi vanno.

Benedetto le voci tante ch'io
chiamando il nome de mia donna ho sparte,
e i sospiri, e le lagrime, e l' desio;

e benedetto sian tutte le carte
ov'io fama l'acquisto, e l' pensier mio,
ch'è sol di lei, si ch' altra non v' ha parte.

Francesco Petrarca (1304-1374)


Je vous ai rajouté la traduction :




Béni soit le jour..

Béni soit le jour, bénis le mois, l'année
Et la saison, et le moment et l'heure, et la minute
Béni soit le pays, et la place où j'ai fait rencontre
De ces deux yeux si beaux qu'ils m'ont ensorcelé.

Et béni soit le premier doux tourment
Que je sentis pour être captif d'Amour
Et bénis soient l'arc, le trait dont il me transperça
Et bénie soit la plaie que je porte en mon coeur

Bénies soient toutes les paroles semées
A proclamer le nom de celle qui est ma Dame
Bénis soient les soupirs, les pleurs et le désir.

Et bénis soient les poèmes
De quoi je sculpte sa gloire, et ma pensée
Tendue vers elle seule, étrangère à nulle autre


J'espère que ce poème plaira.
Mais dites-moi, que conseillez-vous à une visiteuse qui aime la lecture et la belle prose ?

_________________
Oscar_w.

Magnifique texte en effet... dont je vous remercie de m'avoir apporté la traduction car je n'entends point l'italien !

Alors un peu de prose pour changer me dites -vous ?
Vous avez de la chance !

Je viens de dénicher une belle édition du roman de Renart avec une superbe enluminure dans le grenier.
D'où mon état quelque peu poussiéreux je vous prie de m'en excuser : le jeu en valait la chandelle !
En voici le prologue et admirez moi donc ce chef d'oeuvre...







Seigneurs, oï avez maint conte
Que maint conteres vos aconte,
Conment Paris ravi Helayne,
Les maux qu'il en ot et la paine,
De Tristram qui La Chievre fist,
Qui assez belement en dist
Et fables et chançons de geste,
Romanz de lui et de sa geste,
Maint autre conte par la terre.
Mes onques n'oïstes la guerre
Qui mout fu dure de grant fin,
Entre Renart et Ysengrin,
Qui mout dura et mout fu dure.
Des deus barons ce est la pure,
Onques ne s'entramerent jor.
Mainte mellee et maint estor
Ot entr'eus deus, ce est la voire.
Des or conmenceré l'estoire
Et de la noise et del content.
Or orrez le conmencement
Par qoi et par quel mesetance
Fu entre eus deus la desfiance.
Or oez, si ne vos anuit,
Je vos conteré par deduit
Conment il vindrent en avant,
Si con je l'ai trové lisant,
Qui fu Renart et Ysengrin.
Je trovai ja en un escrin
Un livre, Aucupre avoit non.
La trovai je mainte reson
Et de Renart et d'autre chose
Dont l'en doit bien parler et ose.
A une grant letre vremeille,
La trovai je mainte mervoille;
Se je ne la trovasse el livre,
Je tenisse celui por yvre
Qui dite eüst tele aventure;
Mes l'en doit croire l'escripture.
A desenor muert a bon droit
Qui n'ainme livre ne ne croit.


Traduction en français moderne :




Messieurs, vous avez entendu de nombreux contes
que beaucoup de conteurs vous ont racontés,
comment Pâris ravit Hélène,
les maux et la peine qu'il en eut,
l'histoire de Tristan que la Chèvre a écrite
qui est fort bellement racontée,
et des fables et des chansons de geste,
des romans sur lui et sa lignée,
et beaucoup d'autres contes par nos contrées.
Mais vous n'avez jamais entendu parler de la guerre
qui fut extrêmement dure
entre Renart et Ysengrin,
qui dura tant et fut si acharnée.
Ces deux seigneurs, c'est la pure vérité,
ne s'aimèrent jamais,
il y a eu maintes querelles et maintes batailles
entre eux, c'est la vérité.
Je vais maintenant commencer l'histoire
de leur tapage et de leur dispute.
Vous allez entendre à présent le début,
le pourquoi et par quelle embrouille
il y a eu entre eux deux un manque de confiance.
Écoutez donc si cela ne vous ennuie pas,
je vais vous raconter pour le plaisir,
comment ils apparurent,
ainsi que je l'ai appris en lisant,
qui furent Renart et Ysengrin.
J'ai trouvé jadis dans un reliquaire
un livre, qui avait pour nom Aucupre.
Je trouvais là de nombreux récits
sur Renart, et d'autres choses
dont on doit bien parler, et j'ose.
A coté d'une grande lettre vermillon
je trouvais là maintes merveilles.
Si je ne l'avais pas trouvé dans le livre,
j'aurais tenu pour ivre
quiconque aurait dit une telle aventure;
mais on doit croire les écritures.
C'est à bon droit qu'il meurt de honte,
celui qui n'aime pas les livres ni ne les croit.




Puis François, rougissant un peu de son audace, décocha son plus beau sourire à LMB pour laquelle il sentait déjà battre son coeur...
Une femme aimant comme lui les belles lettres...ce serait merveilleux...

La gouaille du vieux Georges le tira de son petit nuage et ils s'empressa de lui donner l'accolade -quoiqu'il pua la mauvaise vinasse comme toujours...- puis alla chaleureusement embrasser Mary dont il gardait fort bon souvenir !

Grand merci à vous deux !
A toi Mary pour ce poème qui est le premier que le prêtre qui m'a trouvé sur les marches de son église m'enseigna et que j'aime particulièrement !

Et à toi mon vieux Georges pour l'interprétation musicale de la "Ballade des dames du temps jadis" !
Tu as du du talent vieille crapule !
Mais le vin ou tout autre forme de liquide est prohibé ici...il ne s'agirait pas de noyer les parchemins !

_________________
Oscar, Sulfureuse créature...
Oscar_w.

Chers amis, je m'absente quelques jours : j'ai une amie à escorter et reviens vite ...!


Un heureux sourire paru à ses lèvres...

je compte sur vous pour agrémenter la bibliothèque de beaux textes... et vous offre un poème de Noèl fort approprié à la saison, mais voici la suite tout d'abord du Roman de Renart dont je conterais l'histoire complète au fil du temps...








Prologue : la naissance d'Ysengrin


Aucupre dist en cele letre

(Bien ait de Dieu qui l'i fist metre !)
Come Diex ot de paradis
Et Adam et Evain fors mis
Por ce qu'il orent trespassé
Ce qu'il lor avoit conmandé.
Pitiez l'en prist, si lor dona
Une verge, si lor mostra
Quant il de riens mestier auvroient,
De cele verge en mer ferroient.
Adam tint la verge en sa main,
En mer feri devant Evain.
Sitost con en la mer feri,
Une brebiz fors en sailli.
Lors dist Adam, dame, prenez
Ceste brebiz, si la gardez;
Tant vos donra let et fronmage.
Assez i avrons compenage.
Evain en son cuer porpensoit
Que s'ele encor une en avoit,
Plus bele estroit la compaignie.
Ele a la verge tost saisie,
En la mer feri roidement :
Un leus en saut, la brebiz prent,
Grant aleüre et grant galos
S'en va li leus fuiant au bos.
Qant Eve vit qu'ele a perdue
Sa brebiz, s'ele n'a aüe,
Bret et crie forment, ha ! ha !
Adam la verge reprise a,
En la mer fiert par mautalent,
Un chien en saut hastivement.
Qu'il voit le leu, si lesse corre
Por la brebiz qu'il velt rescorre.
Il li resquest : moult a enviz
La laisse li leus la brebiz;
Si feroit il encor demain
S'il la tenoit a bois n'a plain.
Por ce que mesfet ot li leus,
Au bois s'en foui tot honteus.


Les enfances Renart


Traduction en français moderne :




Aucupre dit dans son récit
(qu'il soit béni de Dieu celui qui lui a fait mettre !)
comment Dieu chasse hors du paradis
Adam et Ève
parce qu'ils ont transgressé
ce qu'il leur a ordonné.
Il les prend alors en pitié, et leurs donne
une verge. Puis il leurs explique
que lorsqu'ils auront besoin de quelque chose,
ils devront frapper dans la mer avec la verge.
Adam tient la verge dans sa main,
et frappe dans la mer devant Ève.
Aussitôt après avoir frapper dans la mer,
une brebis en jaillit.
Adam dit alors : « Madame, prenez
cette brebis, puis gardez la;
elle vous donnera beaucoup de lait et de fromage.
Nous en tirerons de la nourriture à suffisance. »
Ève pense au fond du cœur
que si elle en avait encore une,
plus belle serait la compagnie.
Elle saisit aussitôt la verge,
et frappe violemment dans la mer :
un loup en jaillit qui prend la brebis,
et s'en va en fuyant à grand train
et grand galop dans le bois.
Quand Ève voit qu'elle a perdu
sa brebis et qu'elle ne peut être secourue,
elle se lamente et crie très fort : « Ha ! Ha ! »
Adam reprend la verge,
il frappe de colère dans la mer :
un chien en jaillit hâtivement.
Quand il voit le loup, il court à bride abattue
vers la brebis qu'il veut délivrer.
Il la réclame : avec beaucoup de mauvaise grâce
le loup lui laisse là la brebis;
mais il ferait bien de même demain
s'il la tenait en un bois ou une plaine.
Puisque le loup a perdu,
il s'enfuit dans le bois tout honteux.

Les exploits de jeunesse de Renart


Et voici le poème promis, de François Briand :





Noël

Tous les regrets qu'oncques furent au monde
Émoi, souci, ôtez-nous et tristesse,
Voici le jour où toute joie abonde,
Voici soulas*, voici toute liesse.

Ô pastoureaux, chantez en voix profonde,
Harpes et luths, le haut roi de noblesse
Vous saluez, par qui est sorti l'onde
Qui a lavé de péché la rudesse.

Ô Baltazar, ô ta langue féconde
Or présenta, démontrant la richesse ;
Mais maintenant la bonté t'en redonde
Tu étais vieil, tu reviens en jeunesse.

Et toi, Gaspard, ô ton mir qui est monde
Bien démontras qu'il soufferait oppresse.
Homme il était, pourquoi raison se fonde
Qu'il est mortel, nonobstant sa hautesse.

Il est décent que chacun don réponde
Selon celui à qui le don s'adresse.
Donc Melchior, qui est roi de Sabonde
Offrit encens, comme roi de sagesse.

Prince des cieux, de volonté profonde,
De coeur contrit, en petite simplesse,
Te supplions que ta bonté confonde
De l'ennemi, l'astuce et la finesse.


(*) joie

[/i]

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Oscar, Sulfureuse créature...
Gabrylla
Gaby était assise sur une chaise dans la bibliothèque et elle écoutait tous ses écrit qu'ils lisaient...Elle sourit, elle trouvait sa beau et..raffiné, même si elle n'y connaissait rien, elle vit Ezio, lui sourit, et s’avança vers lui

Bonjour !! Tu va bien ??
Tu travail ici,avec François ou tu viens juste faire un coucou ??
Je comprend mieux pourquoi tu avais parier sur lui, vous avez l'air..proche !


Gaby sourit et continua :

Et bien...la bibliothèque n'est pas ouverte depuis longtemps, et il y à déjà du monde..! Sa promet !!

Elle regarda les personnes présenté, lire, écrire..écouté...
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Ezioauditore..
Ezio sourit à Gaby

Bonjour belle Damoiselle! sourire Non je ne travail pas ici, je viens y déposais des poèmes, on peut pas dire que c'est du travail^^. Mais j'aime bien venir ici, c'est calme, et l'inspiration me vient souvent dans cet endroit.

Je suis content que tu sois passé! c'est vrai qu'elle attire beaucoup de monde!
Mais c'est parce que de belle femme comme toi y sont

Ezio affichait un sourire angélique
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Gabrylla
Citation:
Bonjour belle Damoiselle! Non je ne travail pas ici, je viens y déposais des poèmes, on peut pas dire que c'est du travail^^. Mais j'aime bien venir ici, c'est calme, et l'inspiration me vient souvent dans cet endroit.

Je suis content que tu sois passé! c'est vrai qu'elle attire beaucoup de monde!
Mais c'est parce que de belle femme comme toi y sont


Gaby l'écouta, lui sourit et dit :


Ah, d'accord, je pensais que...tu supervisais avec François !! Oui, j'ai vu tes écrits, c'est très jolie, hum...Moi, je suis complétement nulle pour sa !! Dit donc...Avoue, tu écrits pour plaire au femme !!

La jeune femme rit doucement et le poussa délicatement

Allez avoue..!
_________________
Ezioauditore..
Ezio lui souriait

Peut être bien qui sait! Je viens d'en écrire un si tu veut le lire!

Ezio posa le poème sur le pupitre





Dans le servage de l'attente.


Ses cheveux blond dans le vent
Elle file comme le temps.
Dans son doux regard océan
Elle s’enflamme comme un volcan.

c'esttoiquejeveut,toiseul,encoretoi

Dans la vie on né et on meure.
Mais dans une vie d'aigreur
Rien ne vaut la joie du bonheur
D'un regard sans rancœur.

Toiettoiseulquicomprendra

Dans un monde ou tout s’accélère
Toi tu es le seul qui ère
Dans ta solitude tu espères
Qu'elle vienne te sortir de ta misère.

Toiettonregardsiparfait

Ezio Auditore


Ezio récita son poème à haute voix
_________________
Gabrylla
Gaby, lui fit oui de la tête et Ezio, sortit un parchemin avec écrit dessus un poème qu'il se mit à lire à voix haute :



Citation:
Dans le servage de l'attente.


Ses cheveux blond dans le vent
Elle file comme le temps.
Dans son doux regard océan
Elle s’enflamme comme un volcan.

c'est toi que je veut,toi seul,encore toi

Dans la vie on né et on meure.
Mais dans une vie d'aigreur
Rien ne vaut la joie du bonheur
D'un regard sans rancœur.

Toi et toi seul qui comprendra

Dans un monde ou tout s’accélère
Toi tu es le seul qui ère
Dans ta solitude tu espères
Qu'elle vienne te sortir de ta misère.

Toi et ton regard si parfait

Ezio Auditore


Gaby lui sourit et dit doucement :

Et bien...c'est vraiment magnifique, la femme à qui est adresser ce poème, profite j'espère de tes poèmes...et de toi bien entendue !!
_________________
Ezioauditore..
Ezio lui sourit

Je ne sais pas Gaby! L'avenir me le dira. Je dépose les poèmes, après j'attends..

Ezio souriait, même si son sourire cachait beaucoup de chose
_________________
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