Erikdejosseliniere
Le filet n'est qu'une voix... Les oreilles se font alerte, succedant à des tonnerres qui surgissent en tous sens... Les bruits sont trop forts pour l'ouir vraiment, bien que ventre affamé n'a point oreille... Pour combien de temps encore ?
Erik ?
Cessant immédiatement de jouer les tambour-majors, Erik se tourne de nouveau - Dieu que ce corps est devenu un puits de souffrances -, fixant Armoria à la maniere d'un Dupont et dupond sur le point de découvrir la pierre philosophale. Il ne s'attend plus à rien, le Duc. Il sait qu'elle vit. Elle a parlé, même si tout n'était que délire et douleur... cela fait un bon temps déjà qu'il ne se permt plus aucune pensée profonde, du moins, plus aucune pensée construite. Sa vie présente pourrait se résumer à : Prendre Fitz dans mes bras, lui demander d'être mienne. Sauver la Princesse. Porter ces fameux courriers. Tuer Maleus d'abord. Massacrer le géant ensuite. Demander grace à Aristote. Me reposer de tout cela, enfin. Chercher l'oubli d'être... Chercher l'oubli et le trouver... Ne plus être qu'oubli...
Erik...
Cette fois, il n'a pas rêvé, le Pair en est certain. Tambourinant une ultime fois, il cesse là tout ramdam pour se précipiter au chevet de la presque mourrante :
Altesse...? Erik, oui... Votre vieil ami... Vous n'êtes plus seule...
Que dire d'autre ? Que faire, sinon que de porter à cette bouche à nouveau seche un peu de cette eau vitale ? Que lui importe les pas qui se font plus proches...? Une amitié si forte ne tolère rien d'autre que l'amour, peut etre. Encore que parfois ce sont là deux sentiments qui ne se comprennent pas lorsque Déesse Jalousie se fait chaire. Alors... Les tribulations d'un mastodonte, que peut lui importer, qu'il s'en moque, même si une clé fouraille une serrure...
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Duc de Corbigny
Erik ?
Cessant immédiatement de jouer les tambour-majors, Erik se tourne de nouveau - Dieu que ce corps est devenu un puits de souffrances -, fixant Armoria à la maniere d'un Dupont et dupond sur le point de découvrir la pierre philosophale. Il ne s'attend plus à rien, le Duc. Il sait qu'elle vit. Elle a parlé, même si tout n'était que délire et douleur... cela fait un bon temps déjà qu'il ne se permt plus aucune pensée profonde, du moins, plus aucune pensée construite. Sa vie présente pourrait se résumer à : Prendre Fitz dans mes bras, lui demander d'être mienne. Sauver la Princesse. Porter ces fameux courriers. Tuer Maleus d'abord. Massacrer le géant ensuite. Demander grace à Aristote. Me reposer de tout cela, enfin. Chercher l'oubli d'être... Chercher l'oubli et le trouver... Ne plus être qu'oubli...
Erik...
Cette fois, il n'a pas rêvé, le Pair en est certain. Tambourinant une ultime fois, il cesse là tout ramdam pour se précipiter au chevet de la presque mourrante :
Altesse...? Erik, oui... Votre vieil ami... Vous n'êtes plus seule...
Que dire d'autre ? Que faire, sinon que de porter à cette bouche à nouveau seche un peu de cette eau vitale ? Que lui importe les pas qui se font plus proches...? Une amitié si forte ne tolère rien d'autre que l'amour, peut etre. Encore que parfois ce sont là deux sentiments qui ne se comprennent pas lorsque Déesse Jalousie se fait chaire. Alors... Les tribulations d'un mastodonte, que peut lui importer, qu'il s'en moque, même si une clé fouraille une serrure...
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Duc de Corbigny