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[RP]Cathédrale de Périgueux - Vonafred & Leyah - mariage

Douchka
Citation:
On y va?


Elle avait glissé sa main dans la sienne, après avoir arrangé ses jupons puis avait pris le bras de son ami Anakin.

On y va !

C'est ainsi entourée qu'elle pénétra dans le lieu réservé à la cérémonie. Elle était fière d'être là si bien accompagnée.

Un regard ici et là, que de monde, que de visages inconnus.

Son regard s'arrêta sur le couple magnifique qui allait s'unir, un moment de joie à partager, elle aimait ça.

Elle serra plus fort la main de Bahia qu'elle n'avait pas quitté puis se tournant vers eux deux, chuchota :

Vous avez pensé à prendre des mouchoirs?

Elle tortilla du nez en voyant leur mine et se dit qu'il vaudrait mieux s'abstenir de pleurer d'émotion.
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Zoyah
Les premières lueurs du jours chassaient la nuit, laissant s'infiltrer dans la chambre d'auberge les rayons mordorés de l'aube qui venaient malicieusement caresser le visage opalin de Zoyah. Lentement, sa face s'anima et les yeux s'entrouvrirent.
Cela s'activait dans la pièce d'à côté...

La présence discrète et rassurante de sa « cochinta » de service qui s'affairait à lui faire couler un bain tiède parfumé aux notes fleuries du jasmin, piquantes du gingembre et vivifiantes de l'orange... de quoi vous donner du tonus pour la journée. La brune songeait déjà à repartir dans les bras de Morphée qu'une domestique de l'auberge toquait déjà à sa porte. Si la jeune femme avait songé l'ombre d'un instant pouvoir s'attarder un peu dans son lit, son entourage quant à lui semblait plutôt s'être ligué contre elle. Sa voix encore un peu rauque s'éleva et quelqu'un instants plus tard un copieux encas atterrit sur ses genoux.
Dans un coin de la pièce, sa toilette lui faisait de l'œil...

La robe était vraiment magnifique, mais la baronne regrettait un peu la teinte qu'elle avait elle-même choisie. Elle aurait dû la prendre en bleu pâle... Ma foi, elle avait tapé dans le côté « bling-bling » de sa garde-robe cette fois-ci et fait péter les broderies cousues de fil d'or sur de la soie d'Inde violet. La dame fut apprêtée rapidement... une fois n'est pas coutume. Pomponnée comme il se doit, une goutte de parfum entêtant derrière chaque lobe, elle put sortir de sa chambre afin d'assister à une union qu'on disait haute en couleurs.

A peine eut-elle quittée l'auberge où elle séjournait le temps des festivités, que la brune fut enlevée par la foule. Entraînée par le mouvement, elle se laissa guider bien malgré elle, le nez en l'air ne regardant pas vraiment où elle allait. Les rues étaient décorées et fleuries, l'air embaumait les parfums capiteux des nobles dames et les saveurs alléchantes de mets sucrés. Sans même s'en rendre compte, Zoyah se retrouva devant la cathédrale.

Rassemblant ses jupons, elle escalada le parvis et se fraya un chemin tant bien que mal jusqu'à l'intérieur de l'édifice. Cou tendu, museau aux aguets... en mode, on cherche Alfred. Avisant enfin son ami parmi la foule de têtes inconnues, elle le héla de la main...

Alf !!

Derrière les futurs mariés faisaient leur entrée.
Et la brune de se caser dans un coin afin de les regarder passer.

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Hagos
Il sourit de la rime entre roture et cure ...

Bon dans ce cas, je n'aborderais plus le sujet héhé.


Puis elle parla de son rôle :

Demoiselle d'honneur ...même si je vais vous surprendre, je dois avouer que je ne l'ai jamais été ! je ne peut donc pas vous aider de divers conseils sur la manière d'agir.

Il lui sourit à son tour. Heureux d'être auprès d'une aussi belle "demoiselle d'honneur".
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Xenophon
Al noble su sangre avisa...siempre.

C'est tard qu'il arriva à la noce du Conde Vonafred, il venait de loin.
Une grande foule se mouvait aux porte de la Eglise.
Il le vit entrer avec sa fiancée et se réjouit de revoir son freres des combats.
Jolie senorita et fier caballero bien entouré.La providence avait fait de lui un grand, il le suivrait maintenant et se mettra a son service pour la gloire de leurs armes et la vengeance.
Le Xenophon, joli nom herité des champs de la bataille suivit la foule et entra dans la cathédrale de la ville de Perigueux.

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Gwenchlan
Gwen ne répondit pas tout du moins par la parole. Il se contentât de donner un petit coup de coude quand Amarante parla de "Grand père" ce mot il ne voulait pas en entendre parler c'était sacrilège. Lyly était sa fille adoptive cela expliquait pourquoi il devenait déjà grand-père mais n'empêche, il avait déjà reçu un premier choc en revoyant sa fille qui n'était plus sa petite fille alors il allait falloir attendre pour qu'il accepte que lui était devenu grand père, d'ailleurs le môme aurait intérêt à surveiller son langage s'il veut pas se faire cramer tout de suite.

Le bleizh ne répondit pas plus à sa deuxième intervention, bien entendu qu'il la reconnaitrait toujours et en tout lieu pour tout dire, il l'avait déjà vu sur le parvis mais il n'avait pas la force d'aller lui parler car il ne la comprenait pas en ce moment, il avait l'impression d'avoir commis des erreurs que personne ne semblait vouloir l'aider à corriger. Il avait fait des efforts après sa fuite pour tenter de renouer le dialogue mais rien n'y avait fait, même s'il ne faut pas compter sur un bleizh pour faire des efforts surhumain, faut pas rêver non plus. Mais c'était ainsi, peut-être qu'au final le voyage de retour n'était peut-être qu'une tentative désespérée et inconsciente de se faire remarquer au vu de la grande chance d'y passer enfin surtout de ne pas passer...

Et enfin pour sa dernière phrase, Gwenc'hlañ ouvrit enfin la bouche, il allait quand même pas la laisser sans une réponse de sa part surtout que cette fois elle posait une question, même si elle en connaissait la réponse.


Oui c'est un peu ton rôle, mais bon aussi pour que tu viennes à ce mariage dont tu es invité personnellement. Leyah aurait été triste que tu ne viennes pas. Et moi j'avais besoin de quelqu'un pour me soutenir j'aurais jamais pu monter ses marches tout seul, on se demande à quoi les architectes ont bien pu pensé en...

Gwen ne finit jamais sa phrase. Il l'avait sentit et quelques secondes après elle passait devant lui. Gwen était incapable de dire si elle l'avait vu ou non. Il s'étonna de voir son fils, après tout la dernière fois qu'il l'avait vu il était dans un état bien pire que son père et après plus de nouvelles on lui avait même dit que son fils n'était plus au Périgord dernièrement. Il fit un petit signe de la main et un sourire un peu figé à ses enfants se rappelant que Amarante lui avait demandé de lui montrer sa femme, alors il se tourna vers elle pour lui signifier d'un geste que c'était elle...
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Emardeche
Ema sourit au Comte, il était tres beau dans son accoutrment de marié, elle tait a côtés de Lily, de la Fleur , d aleen et bien d autres.
Elle était a l affut du moindre problème et cela discretement.
Elle souhaitait que tout se passe pour le mieux a cette ceremonie.

Ema avait salué tous le monde d un signe de tête, fait une bise a toute les filles, en attendant que le coretège avance, elle fit un demi tour et alla voir le capitaine Tadek
.

Bon, ça va allez, je ne suis pas loin si t as besoin de moi.

Elle le regarda tous sourire.

Je vais allez en amont voir qui se trouve dans la cathedrale.

Elle savait que le capitaine était comme elle a l affut, ils étaient devoués tous deux au Comte.
--Korzybski
[de l'autre coté du parvis]
La taverne était quasi vide, vu l'évènement qui se déroulait en face, dans la cathédrale. Caché derrière une immense choppe, le visage dissimulé par une sombre capuche, le Franc Mestrier ne perdait pas une miette des allées et venues. Très instructif! se dit-il.
Astorius
Les travées se remplissaient peu à peu dans un joyeux brouhaha. Le barbu observait d'un oeil amusé la foule envahir pacifiquement la cathédrale…
Il surveillait du coin de l'oeil, l'organiste qui venait d'arriver ainsi que les enfants de choeur qui s'impatientaient en attendant le début de la cérémonie…

Tout à coup une bousculade sembla naitre à l'entrée du lieu saint… un silence s'abattit soudain dans les travées…
et tous les regards convergèrent soudain vers le couple qui d'un pas mesuré remontait l'allée centrale…
Un petit signe à l'organiste et soudain la cathédrale toute entière se mit à trembler quand les tuyaux de l'orgue mugirent…
La mélodie si puissante rajoutait à la solennité de l'instant… et c'est le moment que choisi le pieux barbu pour se laisser submerger par un vent de panique… que lui avait il pris, lui le petit curé de campagne, d'accepter de célébrer ce mariage, devant tant de gens réunis… quelle genre de vanité l'avait ainsi envahi pour croire qu'il serait à la hauteur de l'évènement… jamais il ne pourrait mener à bien ce mariage, il allait être la risée de tous…

Leyah au bras de son promis de comte le gratifia d'un sourire en parvenant au pied de l'autel…

et comme par enchantement, tous ses doutes s'évanouirent… elle lui avait fait confiance… alors qu'elle ne le connaissait pas… et il se devait de ne pas la décevoir… La Créature Sans Nom venait de tenter de le déstabiliser mais elle n'y parviendrait pas… ce mariage là n'était finalement pas plus important qu'un autre… aux yeux de ceux qui se marient… tout se passerait bien… si… si…

Une grande inspiration pour se donner du courage et il s'avança de quelques pas … les orgues se turent soudain et le silence qui en découla alors en paru encore plus profond… juste troublé par quelques raclements de gorges, quelques toussotements et autres bruits de chaises…
Un long regard pour embrasser toute la foule présente, un sourire aux futurs mariés et , dans le style quand faut y aller…, il prit enfin la parole…


Eh bien Mes Amis… vous me permettez de vous appeler comme ça, n'est ce pas… même si je ne connais icelieu que bien peu de monde… mais nous sommes tous réunis ici dans l'esprit de l'Amitié aristotélicienne…
eh bien disais je… si on m'avais dit qu'il y aurait autant de monde… j'aurais peut être hésité un peu avant de dire oui à Leyah…


petits rires dans l'assistance…

euh… effectivement, je suis désolé Comte… mais j'ai déjà dit oui à votre promise… mais rassurez vous , il ne s'agissait que d'une demande de mariage et non pas d'une demande en mariage…
En tout cas je vous remercie tous du fond du coeurde votre présence en ces lieux…
Merci d'être là pour accompagner Dame Leyah Bleizmorgan et le Comte Vonafred de Varennes Salmo Salar dans ce qui deviendra le plus beau jour de leur existence ici bas…
L'amour est un présent d'Aristote et aujourd'hui nous sommes ensemble pour célébrer cette union.

Mais avant d'aller plus loin dans la cérémonie, nous allons purifier notre âme, en confiant au Seigneur nos pêchés.

Je confesse à Dieu tout-puissant,
je reconnais devant mes frères
que j'ai péché en pensée, en parole,
par action et par omission;
oui, j'ai vraiment péché.
C'est pourquoi je supplie Aristote et Christos,
les archanges et tous les Saints,
et vous aussi mes frères,
de prier pour moi le Créateur

Que le Tout Puissant nous fasse miséricorde,
qu'il nous pardonne nos péchés
et nous conduise à la vie éternelle
dans le paradis solaire.
Amen.


Le Confiteor déclamé, il observa une petite pause afin que tous puissent se mettre en rêgle avec le Très Haut, puis il reprit la parole…

réaffirmons tous ensemble notre amour du Très Haut et notre foy aristotélicienne en récitant tous ensemble le Credo

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Éternelle.

AMEN

_________________
curé de Périgueux
et picétou
Dame_margot
[DANS LES BUREAUX DE LA MAIRIE DE PERIGUEUX]

Margot était en plein travail dans son bureau de Tribun, quand elle entendit les cloches de la cathédrale sonner, elle se rappela soudain, qu'elle avait complétement oubliée le Mariage du comte, elle se leva d'un bon de sa chaise.

Par Aristote, je suis complétement en retard,

Elle pris son manteau et ses gants et se diriga vers son manoir en quatriéme vitesse.

[AU MANOIR]

Quand elle fût arriver sur le péron de la grande demeure elle vit son majordome Théodor l'attendre, avec sa robe prévue pour la cérémonie à son bras, elle gravit les marche de l'entrée deux par deux, pui celle de l'escalier intérieur 3 par 3, elle se rendit ensuite dans ses appartements pour revêtir la sublime tenue de soirée conféctionnée par la fée tisserande et se coiffer.

Margot se regarda une derniére fois dans le miroir puis souleva sa crinoline pour pouvoir courrir à petite foulée.

[EN VILLE]

Elle sortit et se diriga vers la cathédrale de Périgueux en courant. Quand elle s'arreta net au milieu de la place royale, se souvenant que Alex voulait y aller aussi, elle se rendit vite fait au 56 place Keyfeya, heureusement c'etait juste prés de la cathédrale, elle toqua à la porte et attendit quelque seconde qu'il réponde
--Stanislas


Ils étaient bien tous les mêmes, ces grands en dentelles ! Un émissaire était donc nié avec autant de talent ? Les consignes étaient claires, et le molosse, dans ce qui allait se produire, ne fit qu'obéir aux instructions de son Excellence. IL toisa donc le gosse qui était planté sur le parvis, alors que tout le comté était déjà entré ! Même d'autres soudards avaient eu le droit de passer..; et il allait, lui, rester là, et sourire comme une pucelle médocaine ? Car, il en restait encore, des pucelles, la bas ! Si, si !
Une fois la toise terminée, selon les codes du vieux soudard, il prit soin de le faire se déplacer, en ricanant, et se confronta à la garde comtale. Un reniflement digne des pires raclures des champs de bataille et quelques secondes plus tard, le glaviot fila droit entre les arpions ferrés du premier lampiste. et le molosse donna de sa voix rocailleuse.

Écarte toi, frère d'armes, si tu ne désire pas subir le châtiment du Très Haut !

Le regard du vieux soldat suffisait , en général, pour qu'on ne méprise pas sa voix. Sa main, fermement posée sur son épée, donnait comme un point d'orgue.

Le message que je dois délivrer ne saurait souffrir qu'un peigne cul comme toi s'y oppose ! Sinon, mon gars, tu devras subir deux colères : celle d'un évêque qui est plutôt chatouilleux sur l'étiquette, et celle d'un Coms qui n'aime pas que son "éminence" soit pris pour un anglais !

Mais le regard de l'abruti ne donnerait rien de plus volontaire qu'un hochement de tête, et l'intendant finit par forcer l'entrée et se diriger sans honte vers le grand Varenne. Au moins, lui, comprendrait ! Cling, cling, cling... Les deux plates de cuisses du molosse de Bordeaux cognaient à mesure qu'il avançait sur le devant.

Missionnaire... Un rôle nouvel, pour le vétéran ! Mais après tout, il en avait appris tant, avec Monseigneur qu'il savait, à voir ces chiens d'hérétiques un peu partout qu'il ne craignait rien ici ! et le sourire de dogue était parlant !

Alex41
Alex qui venait d'entendre les cloches sonner, sortis de son atelier en courant pour voir ce qu'il se passait à la cathédrale. A ce moment là il se souvint que le Comte et sa Dame devait se marier aujourd'hui. Il se nettoya les mains et la figure puis entendit des claquement dans la porte.

Qui est là? quoi que vous veniez faire chez moi je dois partir j'ai l'air d'etre déja bien en retard
Dame_margot
Margot eu un léger sourit à ces mots, pusi entra en trombe dans la maison!!

Et bien et bien!! tu est en retard aussi apparement dépêche toi, je suis venue exprés te chercher.

margot lui sourit et attendis qu'il finisse de se prérarer
William.
arrivé dans la cathédrale au bras de sa douce ils s'asseoient et la cérémonie commence avec une petite confession comme d'habitude

Je confesse à Dieu tout-puissant,
je reconnais devant mes frères
que j'ai péché en pensée, en parole,
par action et par omission;
oui, j'ai vraiment péché.
C'est pourquoi je supplie Aristote et Christos,
les archanges et tous les Saints,
et vous aussi mes frères,
de prier pour moi le Créateur

Que le Tout Puissant nous fasse miséricorde,
qu'il nous pardonne nos péchés
et nous conduise à la vie éternelle
dans le paradis solaire.
Amen.

hop et on affirme notre croyance en le tout puissant

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Éternelle.

AMEN
Hagos
A peine rentré avec la fleur, que tout commença, Astorius fit un joli discours, fort sympathique qui fit sourire le premier lieutenant.

Mais alors qu'Hagos venait de répéter en même temps que l'assemblée la confession et tout et tout; du bruit parvint de l'entrée dont il n'était pas loin.

Une seconde dame, je revient.


Il se leva, et arriva alors qu'un homme à l'allure de soldat forçait le passage.
Prenant d'une main le manche de son épée, et s'avançant à sa rencontre, il se mit sur son chemin, les gardes restant derrière lui, la mine rougie par la colère et la main sur leurs armes.

Etant sur le perron il se permit de parler assez fort.

Halte bordel ! Que voulez vous ? Qui êtes vous ?

Répondez moi gentiment et tout s'arrangera surement sans effusion de sang...


Il se demanda soudain si il n'avait pas déjà vu ce visage lors d'une des deux croisades. "On verra bien en fonction de ses réponses" pensa-t'il.
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Celenia
Célénia avait fait une entrée discrète dans la cathédrale. C'était son premier mariage. Elle trouvait cela si... si... tellement... un grand moment d'émotion.
Pour se parer au mieux, elle avait ouvert une vieille malle dans sa maison de Périgueux. Elle en avait retiré moults affaires de feue sa mère et avait fini par trouver ce qu'elle cherchait.
Dans une toile de bure, méthodiquement enveloppée par les soins de Dame Gertrudéis, la grande robe bleue d’apparat de sa mère. Elle l'avait dépliée doucement, avec soin. Elle l'avait suspendue au baldaquin de son lit et l'avait longuement regardée. Un sentiment étrange l'avait habitée. Sa mère aurait surement aimé voir ce mariage, et c'était elle qui allait s'y rendre. Elle avait caressé le tissu, touché du bout des doigts l'étoffe précieuse. La robe de l'inauguration de la Tour de Losse. Sa mère n'en avait pas de plus belle et Célénia, moins par coquetterie, que par peur de ne pas être à la hauteur de l'évènement tenait à porter cette robe là.
Aidée de Dame Gertrudéis, elle l'avait enfilée. Elle lui allait parfaitement. Elle avait alors noué ses cheveux, prit le temps de dompter sa mèche rebelle qui jamais ne voulait aller avec les autres et qui finissait toujours par se trouver devant ses yeux azur.
Puis ils étaient partis au mariage, elle et son cher fiancé.
La cathédrale lui semblait si parfaite. Le moment si intense. Elle regardait Sieur Vonafred et Dame Leyah s'avancer vers l'autel. L'émerveillement se lisait dans ses yeux. Un moment important se jouait. De sa place elle avait une vue parfaite sur la cérémonie. Elle pria le Très Haut pour que tout se déroule sans accroc, ayant quand même prévu quelquechose au cas où...
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