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[RP]Cathédrale de Périgueux - Vonafred & Leyah - mariage

Bahia7
Bahia qui, sous le regard très explicite de sa filleul, avait été invité à rejoindre les bancs de la famille en compagnie de sa douce, profitait de cette cérémonie qui était, il faut bien l'avouer, réussie, jusqu'à...

...jusqu'à cette esclandre, que cet individu, sorti des plus mauvaises séries Bretonnes, dans un scénario du plus mauvais goût, déboula tel une truite dans la mer, à croire qu'il s'était trompé d'endroit.

Gwen' s'éloignant vers le fond de l'église...

Regard interrogateur vers la Rousse, comme pour y trouver des réponses alors que le comte quittait la place qui était la sienne.

Rassemblement de ses neurones. Il faut bien avouer que Leyah avait le don de se trouver dans ses situations exceptionnelles. Mais c'est bien connu, "mariage houleux, mariage heureux".

Il était certes surpris, mais pas inquiet.
Enfin si, peut-être pour la personne qui siégeait au fond de la bâtisse, et qui lui rappelait fortement Lyly, qu'il n'avait pas revu depuis fort longtemps...

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Stannislas
Fallait avouer qu'au moins, les périgourdins avaient eu le bon choix, dans ce guide. Aussi vif que prompt, voilà qu'il était déjà sur le molosse, une lame qui appuyait aussitôt là où on voyait le sang battre. Ça, il l'avait bien cherché, ce moment, le vieux soudard. Il se doutait bien que faire un esclandre de la sorte était certainement une façon d'en finir avec la vie. Mais il n'avait, au long de sa vie rude, refuser de servir, quelque fut la sentence ! Et s'il devait crever là, devant le Très Haut, et les putains bretonnes, alors il en serait ainsi.

Il inspira donc, le temps que le Coms donne son verdict et de voir les officiers revenir autour. Histoire pour eux de ne pas perdre la face. Ils avaient fait une brillante démonstration de leur talent à protéger un Coms... Heureusement que ce dernier était capable de tuer sans aide ! Le vieux soudard leva ensuite le menton, pour que sa gorge soit totalement offerte, et il ne bougea pas d'un cil. Il se contenta de regarder le grand général, ignorant celui qui était arrivé se donnant une excuse pour son inaction – indigne de sa charge de capitaine – puis fit entendre sa réponse, toujours rocailleuse.


Je serai donc aussi bref que le souffle me tiendra, mon Prince. Par trois fois Monseigneur vous a sollicité. Par trois fois, vous vous êtes engagé sur l'honneur... et comme un disciple honteux, au chant du coq, vous avez renié votre parole ! Je suis donc là pour obtenir, sur le champ, ce que vous aviez promis pour le mois dernier...déjà !

La phrase se termina sur la fin de l'expiration. Message délivré, et mission accomplie... Menton toujours haut, le vieux molosse était près, une dernière fois, à assumer son service.
Keyfeya
Key se retourna machinalement...le méchant bougre qui gâchait la fête venait de reprendre la parole.....on allait pas en finir, elle était à la limite d'aller secouer le bon Père Astorius de faire vite...ouais bon elle supportait pas la foule, c'était pas son truc et en entendant le...Judas? Elle lança de sa voix forte et de sa place non loin de la dame grosse donc...


Cocorrrrrrriiiiccccooooooooooo !



Y a des trucs comme ça ça sort tout seul....un coq....une foule....et une cinglée...l'affaire est réglée, dégainez vos armes, elle était la parleuse la plus rapide de l'Ouest.


Preuve?


Reniez mon Comte ! Reniez ! Parce qu'on lui a aussi dit " Tu es Pierre et sur cette pierre, je bâtirai mon Eglise " C'est tout beneeeefffffffffffff
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Vonafred
Fureur n'est point cécité.
De l'envie de sang sa conscience le délivra sur l'instant, on ne tue point messagers par aversion de la nouvelle, un serment est un serment...
On relache la pression...

-Tu diras à ton maistre que je tiendrai promesse...Le délai m'appartient, s'il veut conserver mon amitié qu'il se plie à ma volonté. J'ai dit et ne me prononce qu'une fois.retire toi et délivre mon verbe ou par Dieu cette fois tu trépassera .

Regard expressif vers son Capitaine et de s'en retourner appaisé à sa promise.

-Mon Père, mariez nous à présent, que nostre volonté s'accomplisse.
N'en déplaise à certain...Je jure fidélité et amour à ma Dame, pour le meilleur et pour le pire...Que le tout Puissant et les hommes m'en soient témoin, je la veux et la prend pour épouse, que la mort seule me délie de mon engagement.Quiconque s'en prend à elle, s'en prend à moi et par Dieu je lui promet enfer et damnation sur cette terre.


C'est genou en terre qu'il fixa sa belle.
-Leyah...
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Riwan
J'étais arrivé en retard. Ma ponctualité n'était pas en cause, non. J'étais prêt à l'heure. J'avais volontairement attendu d'être en retard pour entrer dans la cathédrale.
Le but était évident: m'assurer que tout les regards convergeraient devant moi lorsque je traversais la salle. Je pouvais ainsi économiser des fortunes en vêtement tout en étant certain du résultat.

Fier de cette judicieuse découverte, j'ai donc traversé la cathédrale lentement, alors que l'office avait débuté. Je saluais d'un signe de tête les personnes que je connaissais. Je faisais de même avec certaines que je ne demandais qu'à connaître.

Arrivés au premier rang mon auguste altesse prend ma place. J'accorde un sourire à ma tante. Oui la mariée c'est ma tante. Le marié allait donc devenir mon oncle. Enfin plus ou moins. Mais peu importe, ils étaient sous ma protection.

A peine assis, le prêtre- un simple prêtre ? c'est quoi cette histoire ? Il faudra que je demande à tantine pourquoi elle a pas fait déplacer un cardinal, c'est un minimum- le prêtre donc commence le credo.

Les évènements s'enchainent et je me rends compte que je ne suis pas le seul à avoir eu l'idée d'arriver un retard. Un rustre à copié ma stratégie ! Heureusement futur tonton me venge on lui mettant sa lame sous sa gorge. Qu'est ce qu'il fait avec une lame dans l'Eglise, voilà un autre point qu'il me faudra éclaircir.

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Son Altesse Riwan Nathan De Brocéliande
Douchka
Elle l'avait suivi, discrètement jusqu'au banc qui lui était réservé se rapprochant de sa filleule.
C'est vrai qu'on voyait mieux d'ici.

Du tumulte animait le fond de l'église et elle regardait les allées venues sans trop bien comprendre.

Quand son Altesse apparut, nul ne pouvait le louper... Pas même son petit peton sur lequel son Altesse dans sa magnificence avait posé ses princières bottes.

Outch etouffé pour rester aimable, un sourire proche du rictus elle pressa la main de Bahia dans la sienne comme un jour d'accouchement.
Quelle merveilleuse façon de faire connaissance...

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Alix_du_vivier
Voilà Louis qui semblait vouloir régler le problème a sa manière.
D'ou elle était Alix, ne voyait pas toute la scène, mais juste ses deux amis de dos.
Elle connaissait suffisamment Von, pour savoir qu'il ne laisserai personne
Faire la loi, le jour de son mariage et ne craignait nullement la déroute
de celui-ci.

Le comte retourna près de sa douce pour enfin la marier devant le très haut et
Toute l'assemblée de la Cathédrale.
La maréchale se serait bien éclipsée de nouveau.....

Regard en coin, Tadek était dans les parages pour sur il va la rattraper
Devant cette éventualité, chassa l'idée, décida d'attendre sagement finalement

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Leyah
Une respiration profonde, attendre que l'orage passe
Et pour qu'il passe sans trop d'encombres quoi de mieux que d'entrer dans sa bulle ...

* En ce jour de liesse, Donnez nous Ô Illustres Ancêtres, votre protection. Et avec votre protection la force. Et avec la force la compréhension... Et avec la compréhension la Science ... Et la Science de ce qui est juste... Et avec la science de ce qui est juste le pouvoir d’aimer... Et en l’Aimant, l’amour de toutes choses vivantes... Et en toutes choses vivantes... L'Amour de Vous*
Requête intérieure ...A cet instant, lui manquait son archidruiduchesse dont la sagesse charismatique l'aurait bien aidée..

Toutes à ses réflexions internes, elle n'avait pas spécialement prêté attention à ce qui s'était dit entre son Comte et le messager, et ce même si son cerveau avait imprimé le message, le connaissant à l'avance.
Elle s'était perdue dans une douce torpeur, quand Louis revint vers elle, elle l'entendit d'abord a peine avant qu'il ne s'adresse à Astorius et la fit légèrement sursauter.
Voyant ses traits plus ... sereins .. elle sourit de ce sourire que seul lui recevait .
La rouquine n'était pas pour les grandes démonstrations de sentiments, en général elle les cachait même fort bien, mais à l'écoute des mots de sa moitié, non seulement son palpitant failli lui sortir par la bouche, mais en prime, elle oscilla légèrement , émotion quand tu nous tiens ...
Ce mariage avait vu tellement d'entraves aussi ... qu'elle avait quelque peine a réaliser que cette fois ils y étaient, encore que .. Ayé ? C'était fini ? Encore un ou une imbécile pour venir faire du crique ? Regard interrogateur qui parcourt les invités, puis qui revient sur le curé, un sourire, large, avant cette fois de planter les yeux dans ceux de son comte, lui genou au sol, elle ne pouvant plus se permettre la moindre génuflexion sous peine d'avoir besoin de trois personnes pour l'aider à se relever.. .
Nouveau sourire, décidément .. elle avait l'air malin a sourire comme une andouille .. mais qu'a cela ne tienne !.


N'en déplaise à certains ..
Sourire se faisant plus large, élargissant la bulle qui l'entourait précédemment pour inclure son cher et tendre et le curé, et n'y laissant plus y entrer qui que ce soit.
Aimer avec déraison un turbulent Périgourdin, pour une Bretonne, n'est point crime.. mais fait sans doute partie de ces choses qui ne peuvent s'expliquer .. juste se vivre avec délectation chaque jour se faisant... Cet amour, aujourd'hui, je le jure devant...
Un temps d'arrêt .. la rouquine inclina légèrement la tête, se fendant d'un sourire avant de froncer le nez, et de reprendre son état presque naturel , cette fois, toisant le comte, mirettes bien fixes..
Devant Dieu et les hommes, je te jure que mon amour, ma confiance et ma fidélité te sont acquis. Puisse le très Haut me donner la force de veiller sur toi, autant que tu me protèges .. Ce jour .. je te prends pour époux, pour le meilleur du pire, ou le pire du meilleur ..va-t'en savoir .. et ce .. jusqu'à ce que l'Ankou m'emporte à jamais . Pour toujours et à jamais je deviens tienne , mon cœur désormais t'appartient et ma vie se retrouve en tes mains ..
Si sa voix était presque posée, un léger tremblement se faisait pourtant sentir dans son timbre.
Le regard sincère ne décrocha pas de celui du comte malgré son petit monologue terminé, tandis que machinalement , sa main se tendait vers lui .. l'air de dire " J'vais me peter la gueule ! attrape moi ! "

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Renlie
Pour sur, si certains craignent de s'endormir à un mariage, c'est qu'ils n'avaient pas été invités à un pareil à celui-ci.

La tension et le degré de testostérone ambiants le rendaient pour le moins unique, nul doute que ce cher Alfred en auraient de quoi rédiger une édition spéciale de son cher canard. Il faudrait donc surveiller la prochaine parution avec grand attention.

Renlie avait donc pris place où les témoins se devaient d'être, assistant aux diverses pérégrinations qui venaient ponctuer la cérémonie. Celle-ci abordant enfin le moment crucial, les voeux s'échangeaient, touchants de sincérité, bien à l'image de leurs auteurs.

Le buffet pointait son nez à l'horizon...

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Tadek
Le vieillard finit par prendre la parole et pour quoi ???

Des revendications à la noix, le jour du maraige du Comte ??!!

Ce vieillard et son maître n'avient donc aucuns respects,
Tadek l'aurait bien emmené dehors manu militari, mais le Comte
lança un regard à son Capitaine qui voulait dire de le laisser partir,
c'est le regard noir sur le puant qu'il le regarda partir ...

Tadek regagna discrètement, oui, c'est idiot vue le bordel, mais
c'est comme ca, s aplace au côté d'Alix qui, absorbait par la cérémonie
ne se rendit pas compte que Tad' était de retour, il posa donc une main
délicate sur sa hanche afin de lui faire comprendre de refaire une place
pour le Capitaine et de lui murmurait:


Mais j'y pense, vous m'avez broyé ma main ensanglanté quand le vieux
a hurlé dans l'église, je n'ai même pas réagit sur le coup tellement que
j'étais en colère, mais là, je m'en rend compte à présent car ca ressaigne.

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Astorius
Le messager sybillin avait fini par délivrer son message… le Comte avait su contenir sa colère et le sang n'avait pas été versé… et après tout c'est bien ce qui importait au Barbu…

Retour donc sur les première marches de l'autel afin d'écouter les futurs époux prononcer les voeux
Bien que ces paroles soient destinés à être entendus de tous, il était aux premières loges pour lire dans les regards toute la sincérité (ou pas) des paroles prononcées… avec toujours ce sentiment d'être à cet instant invité dans une sphère ou d'ordinaire, il n'y a de la place que pour deux…
Là sans hésitation, pas de place pour le faux semblant, tout ce qui avait été proclamé par le comte et sa promise l'avait été avec une conviction qui forçait le sceptique le plus convaincu…

Après avoir entendu les voeux de Vonafred, puis ceux de Leyah, il se pencha vers le Comte avant de lui demander…


Comte, Le Très Haut vous a confié la destinée de Leyah afin qu'elle devienne votre épouse. Acceptez vous de la garder comme telle, saine ou malade, riche ou pauvre et de conserver votre foi selon les commandements de l'Eglise. Acceptez vous d'honorer sa couche jusqu'à ce que la mort vous sépare ? L'acceptez vous ainsi ?

puis se tournant vers Leyah…

Dame Leyah, acceptez vous librement de prendre pour époux le Comte Vonafred, ici présent ? Acceptez vous de l'honorer et de le chérir, dans le respect d'Aristote ? Acceptez vous de porter sa descendance et de leur apporter connaissance et foi en l'Eglise aristotélicienne ?


dans l'attente de leur réponse respective, il lança à la cantonade, ne sachant trop à qui s'adresser…

euh… j'espère que vous n'avez pas oubliez les anneaux… il faudrait que je puisses les bénir avant l'échange…

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curé de Périgueux
et picétou
Alix_du_vivier
Main sur sa hanche...Alix se poussa a peine, ce contact de proximité n'était pas pour déplaire a la brune qui sourit en entendant les paroles de Tadek..
Ses yeux plongés dans les siens... complètement étanche a ce qui se passait autour d'elle.


Broyé, broyé, comme vous y allez un peu fort mon ami.

Finalement elle prit sa main pour constater l'étendu de sa maladresse. a plaie semblait saigner a nouveau.
finalement se demandant si un peu de calva n'allait pas être nécessaire pour désinfecter avant de refaire un bandage propre.


La cérémonie semble prendre fin, capitaine . Des que c'est terminé, je vais vous refaire votre pansement, je désinfecterai la plaie avant.

Tout en lui parlant Tadek avait laissé sa main sur la la hanche de la maréchale, qui finalement s"appuya sur son bras afin de voir les mariés...
Ils étaient là pour ça!!! Un peu quand même....

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Aricie
Bien qu'étant tout aussi en retard que son cousin, elle n'avait aucune excuse. Elle était arrivée de Poitiers la veille et n'avait cherché à voir personne. Cloîtrée dans l'appartement qu'elle avait acquis il y a de ça plusieurs années, elle avait passé la majeure partie de son temps à rédiger de longues lettres à son époux.

C'est dans un ennui à peine dissimulé qu'elle profita de l'agitation pour s'avancer jusqu'à sa place, cette cathédrale ne lui avait jamais parue aussi grande. Elle n'avait regardé personne. Le monde était fait pour parfois être ignoré. Elle s'assit à un petit mètre de Riwan et se pencha légèrement vers lui pour lui glisser quelques mots.

Je suis heureuse de vous voir mon Cousin. Le Comte ne se joindra pas à nous.

Elle ne lui avait pas encore trouvé d'excuse pour cette absence, c'est pourquoi elle préféra ne pas en dire plus à ce sujet.

Le froid s'est abattu sur nous si soudainement. Ne trouvez-vous pas?

Son visage était la seule partie de son corps à ne pas être dissimulé sous les couches des riches tissus qui l'habillaient. Dans un faible sourire, elle maudissait silencieusement le destin qui la forcerait bientôt à l'exil donamartiritar.

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Sandreen
Cérémonie houleuse, interrompue par l'arrivée d'un phenomène et comme toute l'assemblée réunie, le regard de la brunette de Sarlat suivit le comte arme en main vers l'indélicat jusqu'à ne plus voir ce qui se passait au fond de la cathédrale.

Une main sur l'épaule d'Aleen pour se hisser afin d'observer la scene, la tete se penchant d'un coté ou de l'autre, elle maugréait toute seule de sa taille ridicule et souffla à sa voisine


Dis Aleen... mais que se passe t il ?

Petits pas chassés vers la nef pour admirer les tenues de dos et soupirs de la mairesse en regagnant sa place, bien qu'elle assistait là à son premier mariage, elle se doutait qu'il n'etait pas coutume de perturber une noce de la sorte.

Au bout d'un petit moment, le marié revient près de sa dulcinée et ils s'échangèrent des voeux si émouvants que Sandreen regretta pour le coup l'oubli d'un carré de tissu brodé. Ah non hein ! pas de larme !
On attendait plus que les oui respectifs et les alliances, des reniflements seraient du plus mauvais gout.
Erwann
Erwann sursauta quand sa cousine donna un coup dans le pied. C'était de l'amour vache Bleizhmorganesque. Il la fusilla du regard mais ne pipa mot. C'était son mariage ! Autant rester digne. Le Comte remit enfin en place le machin qui avait perturbé la cérémonie et elle pu poursuivre. Manquait plus que la bénédiction et l'échange d'alliance et les acceptations bisounourisques. Evidemment, comme toujours dans ce genre de cérémonies y a toujours un imprévu.

ATCHAAAAAAAAAA !

Et v'là ti pas qu'Erwann éternue. Son rhume s'était subitement réveillé. Son corps vengeait le coup de taloche de la rouquine. Vu que l'éternuement était puissant, il ne manquait plus qu'une chose. Il décida donc de se moucher avec toute la discrétion dont il était capable :

Poueeeeeeeeeeeet ! Snooooooooorlf ! Sniiiiiiif !

Evidemment, des regards indignés se portèrent sur lui, mais un Bleizh a l'habitude d’être dévisagé. La beauté naturelle et le charisme étaient inhérents chez eux. Il fallait plus pour décontenancé un Bleizh !
Il s'excusa tout de même gracieusement

S'cusez moi hein ! Un rhume ça ne se commande pas ! Faites comme si j'étais pas là ! Ah oui et cousine, jolies paroles ! Très émouvant ! Ca change de ton discours donatien. Bref... dis oui qu'on puisse aller ripailler avec vous !

C'était ça un Bleizhmorgan. Délicatesse, bonne éducation et le sérieux. Toujours
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