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[RP]Cathédrale de Périgueux - Vonafred & Leyah - mariage

Aleen
Dis Aleen... mais que se passe t il ?

Oh ma petite Sandre, ce mariage ne plait pas à tout le monde du sais ! Il y a toujours des personnes qui se mêlent de ce qui ne les regardent pas et se croient investis par Aristote lui même... pauvres fous !

Le calme étant revenu, l'on pouvait entendre l'échange des voeux, Aleen vit une larme perler au coin de l'oeil de son amie, elle lui tendit un mouchoir en souriant. Puis se tourna vers Lily

Tu as le paquet ? on en fait quoi ? Quand ? de quelle manière ?
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Gwenchlan
Amarante l'avait rattrapé avant qu'il arrive auprès de sa fille et preuve que son cerveau ne fonctionnait pas très bien, il avait fallu que Amy parle d'accouchement pour qu'il réagisse vraiment sur ce qui se jouait là. Voilà il était pas dans la mouise, il avait l'impression de ne faire que ça dernièrement des accouchements, à croire qu'elle s'était donné le mot pourtant en réalité le dernier remontait à plusieurs mois en arrière.

Ce qui était clair c'était l'impossibilité de jouer son rôle et encore plus de faire accoucher Lyly ici aux yeux de tous, qui ne se gênerait pas pour regarder, fatalement ça voulait dire après une obligation pour le patriarche Bleizhmorgan de faire un massacre à la sortie de la cathédrale, pas très aristotélicien comme pensée.
Alors Gwen reprit les bonnes vieilles habitudes, il donna ses ordres avec le plus de discrétion possible.

Le premier fut de faire changer rapidement sa fille d'endroit, l'idéal aurait été de la faire sortir mais Gwen craignait que le travail soit trop avancé pour que ça soit possible. Alors il attrapa le monde autour pour faire déplacer sa fille uniquement vers les travées latérales de la cathédrale et le plus au fond, ainsi elle était non seulement caché par les piliers mais aussi par l'ombre qui régnait dans la cathédrale.

Il faisait suivre tout le monde notamment Babette et Amarante. Bouger devenait de plus en plus usant, il s'appuyait d'ailleurs fortement sur la deuxième pour suivre tout le petit monde. Une fois sa fille installée aussi confortablement que possible, sur un lit de capes et de manteaux fait à l'improviste sur le sol de la cathédrale, il se tourna vers Amy.


Il va falloir que tu m'aides je n'ai pas suffisamment d'équilibre, mais faut que je fasse les premières constatations avant de donner les consignes ensuite.

Le patriarche s'accroupissait, se servant d'Amarante pour pas tomber et retroussant les jupons de sa fille pour se rendre compte. Il fut assez surpris, sa crainte était en fait loin de la réalité. Il pouvait quasiment prendre la tête de l'enfant dans sa main. C'est qu'elle ne trainait pas sa fille pour mettre au monde un nouveau Bleizhmorgan, à croire qu'elle était pressé de retourner s'asseoir pour suivre le mariage de sa tante.
Il fit un sourire à sa fille des plus rassurants, alors qu'il demandait aux personnes autour de l'aider à se relever.

Il allait se mettre à coté de sa fille pour lui prendre la main tout en regardant sa tenue pour la suite des évènements. Voyant le père du futur bébé à naitre, Gwen ne put s'empêcher de le mettre à contribution tout en le charriant.


Rahan, tu veux bien délasser la robe de Lyly pour qu'elle puisse mieux respirer et pousser le moment venu ? Cela devrait être dans tes cordes le marin d'eau douce vu l'état dans lequel tu as mis ma fille...

Aucune animosité sur son visage après tout ce qui était fait était fait pas la peine de revenir dessus, il aurait aimé garder près de lui sa petit fille mais elle avait bien grandi, elle était devenu une belle et jolie jeune femme à présent et bientôt une mère... Par conte l'idée de se faire insulter de Grand-Père lui fit vite ravaler son sourire pour se concentrer sur les consignes à donner.

Il se tourna vers les 3 femmes présentes en dehors de Lyly, pour leur dire quand elle devait faire pousser Aelyia, comment placer leur main sur sa fille et sur le bébé et surtout, les consignes pour après sur les risques d’hémorragies et autres. Il espérait ne rien avoir oublié dans ses consignes. Mais de toutes façons, il pouvait pas faire grand chose de plus, alors il serra la main de sa petite blonde la regardant dans les yeux avant de la rassurer...


Tout va bien se passer Pimousse, tu vas voir on va tous bien s'occuper de toi...
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Blanche_
Blanche en retard.
Rien d'anormal.
Blanche accompagnée d'Astaroth...
Notez la différence. Madame panachée, dans son mantel drapée, suçait du haut de son frison le bonheur de sa réussite, à cheval sur son orgueil, et son hongre basané. On ne pouvait pas vraiment dire qu'elle était belle, mais on ne pouvait pas non plus en dire le contraire de cet atour de fête, sorti pour Leyah, sa suzeraine. L'or palpitait sur sa gorge, et les bleu roy, les ocres, et les dorures glissaient sur ses membres comme le sang en ses veines. Il suffisait à un mouvement du cheval, que son assise stable la fasse suivre l'impulsion, et elle se mouvait joyeuse comme lui, unique créature, aux pupilles ébène, et au ramage de joyaux.
Elle était tendue plus qu'à n'importe quel jour. Cela faisait une éternité qu'ils n'étaient pas rentrés en Espagne, et ils avaient tellement enchaîné les réceptions de mariage qu'elle ne trouvait goût à aucune ; celle-ci était trop bretonne pour qu'elle y aille calme et docile. Aussi le pas du cheval était saccadé ; comme à son coeur ; comme à son ventre.


Sire, nous y sommes... fit-elle à son époux en dressant une main gantée, et altière, en direction de l'édifice saint.
Ils y entrèrent. Elle laissa les mains hispaniques border sa taille et s'emparer d'elle ; fussent-ils seuls, que bien sûr...
Ils entrèrent, firent du bruit en s'installant, ce qui fit tourner quelques têtes, mais ma foi... Il n'était pas intelligent de froncer les sourcils à Astaroth, qui gardait l'un des siens sous son tabernacle de cuir...
Voire pas intelligent du tout.

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Aricie
Elle n'avait pas vu son époux durant trois mois, et pourtant elle reconnaissait bien là ses méfaits. De son premier rang, elle se leva précipitamment en abandonnant le cousin qu'elle était heureuse de voir quelques minutes auparavant.

Il va me falloir vous laisser seul quelques instants mon Cousin.

Etant l'incarnation même de la discrétion, elle se mit en marche vers la travée la plus proche, tête haute et regard rivé devant elle. Ces bouffées de chaleur étaient certes pénibles, mais pas autant que l'évènement qu'elles osaient encore annoncer. Par le plus pur des hasards, un pavé lui fit baisser le regard non loin de la sortie de l'édifice. Il se baissa si heureusement qu'il croisa celui d'un être cher à son coeur.

Elle allait se jeter vers elle mais le souvenir de son état la retint. Elle se trouva soudain bien bête. Blanche était superbe au bras de son époux, assurément l'un des hommes les plus convoités de leur époque. Même les tissus verts de la Brocéliande se trouvaient effacés devant ceux qui paraient les formes de la nouvelle Espagnole. Aricie avait passé beaucoup de temps et d'énergie à choisir la plus éblouissante des robes dans l'espoir de se cacher elle-même. Mais Blanche était raffinée, intelligente et perspicace. Elle devinerait son état en un clin d'oeil. La réussite de son amie ne pouvait que lui faire ressentir plus cruellement encore la honte qui s'était abattue sur elle et qui s'attachait déjà à la ronger jusqu'aux os. Face à tous ces sentiments contradictoires, elle ne put que déclarer, d'une voix forte et claire.

Blanca...

Peut-être était ce trop fort. Elle baissa d'un ton pour se débarrasser des regards qui s'étaient tournés vers elle.

Quelle joie...

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Blanche_
Trop fort, ou pas assez.
Blanca, Blanche, ou Gwenn, c'est selon, a tourné un regard radieux et ravi vers Aricie de Brocéliande, épouse Brocéliande, Princesse Brocéliande, qui rappelons-le, est venue à elle en toute simplicité.
On a beau dire, l'éloquence verte est imparable ; inexcusable ; inévitable. Ainsi, amusée, la jeune épousée de Gondomar tourne un chef imperceptiblement plus audacieux que de coutume, et lorgne de toute sa hauteur la comtesse aux petits champignons.


La joie m'emporte, vous resplendissez !
Et, sentant la gêne, s'asbtint de la serrer dans ses bras ; un inconfort quelconque, qu'il fut physique ou psychique, ordonnait à Aricie de ne pas s'étaler en retrouvailles ; et donc, Blanche, pour lui être égale, fit comme si de rien n'était.
Ma chère, votre apparat est de vert inégalé. Même Riwan -est-il ici à propos, le chenapan ?- n'en porte jamais autant !
Il faudra me donner la source d'une audace pareille.


Une petite gêne fit se serrer le ventre de la jeune femme, et en son sein quelque chose lui fit brutalement mal. La rosée, peut être, qui l'avait cueillie à trotter vers ces noces, et l'avait enveloppée de son manteau d'aulnes, ou bien autre chose... C'était peut être autre chose. Elle se sentit chaude.
Et, toute de pâle parée, elle en vint aux présentations.

Mon Seigneur, Marquis de Gondomar, et seigneurs de bien d'autres terres, permettez que je vous présente son Altesse Aricie de Brocéliande, Princesse de Bretagne et Comtesse d'Or...
Mais j'y pense !
changea-t'elle brutalement de sujet. Si vous êtes ici, d'autres Brocéliande le sont, et Coomme j'aimerais à ce que mon doux sire ne les rencontre ! Allons. Et elle se mit à chuchoter. Il faudra organiser un certain repas. Nous laisserons les hommes à la politique et aux alliances de terre, et nous parlerons chiffons.
Posant la main sur la manche lourdement parée d'Aricie, elle s'essaya à une caresse sans effort d'oppression ; l'instinct lui était venu, comme une ride brusque à son front. Si elle avait des questions, ainsi qu'elle l'avait insinué, c'eût plus été pour connaître le temps, et non l'issue ; la durée, plutôt que le supplice.

As-tu mal ? demanda t'elle en ouvrant à peine les lèvres, car souffrant, déjà, en elle-même, d'un fardeau qui, quel qu'il soit, n'autorisait pas au partage. Souffrant, oui... Mais ni trop fort, ni pas assez.
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Cerise
Cerise était plongée dans ses dossiers, il faut dire qu'avec cette Guerre, les Frontières Fermées, la Loy Martiale, toutes ses demandes de Laisser Passer, et ceux qui se permettaient de fouler le sol du Périgord Angoumois, sans rien. Cela donnait bien du travail au Prévôt.

Pourtant la Comtesse avait bien reçu l'invitation pour le Mariage, par deux fois même, une par la future épouse, Leyah, et l'autre par le futur époux, Vonafred. Mais il était fort connu Griotte n'était jamais à l'heure pour les unions. Même à celui de la Reyne Nébissa, elle était arrivée en retard, et avait du s'excuser auprès de son ami Cerberos.

Le fameux jour J était là... Et Cerise bin.... Elle travaillait dur à son bureau quand cela lui revint en mémoire... le Mariage... Elle se leva d'un coup en employant des jolis mots contre elle même. Elle s'en voulait, elle allait encore arriver la dernière elle aurait même pu le parier.

Bref ! Plus de temps à perdre, elle devait vite se rendre chez elle à Lanquais, pour trouver une tenue plus adéquate pour cette Cérémonie.

Une fois à son Domaine elle put sourire en trouvant tout prêt sur le lit, sa délicieuse servante, Sara, elle n'avait point oublié elle, que ferait Cerise sans elle. Griotte ne s'attarda pas et se glissa dans sa tenue, fit mander Sara pour l'aider à relever ses cheveux en chignon pour lui dégager sa frimousse.

Un dernier regard sur son apparence et.. Tout semblait parfait, enfin non il lui manquait une personne à son bras pour l'accompagner, elle n'avait point pu prévenir son ami, son ti brun de la rejoindre directement au Mariage. Comment faire... Pas le temps de passer le prendre, elle était bien trop en retard. Elle lui ferait parvenir un vélin par son garde pour le faire venir. Elle ne savait point s'il viendrait, il lui avait dit oui l'autre soir. Mais Cerise avait du presque batailler, usant de son charme, car elle savait qu'entre lui et Vonafred, cela n'était point ça. Mais bon, au fond elle, elle espérait le voir, et s'il ne venait pas elle lui en voudrait point..

Elle fit dire à son garde d'aller à vive allure, le temps était compté pour arriver avant la fin de la Cérémonie.

Après quelques minutes de voyage, la Comtesse était devant la Cathédrale de Périgueux, elle put voir un peu de monde encore dehors, les portes ouvertes, était ce déjà fini ? Elle espérait que non. Elle donna un bout de parchemin à son Garde pour le faire livrer à son ti Brun, puis elle releva un peu sa robe pour gravir les marches en courant.

Une fois en haut, elle posa sa main sur le haut de sa poitrine, et essaya de reprendre son souffle.... Une chance, la Cathédrale était encore remplie, et elle vit les deux futurs époux devant l'autel près du Père Astorius.

Griotte se remit un peu de ses émotions, la peur d'avoir loupé ce Mariage, ca aurait été l'bouquet. Elle remit en place sa robe et ses mèches qui lui tombaient devant ses yeux. Pas le temps de chercher une connaissance pour se joindre près d'elle, mais elle chercha tout de même le Capitaine Tadek, pour savoir si tout se passait bien niveau sécurité. Mais impossible de le voir, surement par la tite taille de la Comtesse, elle se mit donc dans un des derniers rangs près du couloir central pour avoir un oeil sur l'assemblée.

Le Prévôt sourit en voyant qu'elle n'avait pas loupé le moment plus important du Mariage, elle allait donc pouvoir assister à la fin. Elle tourna la tête vers les portes de la Cathédrale pour regarder si.... S'il viendrait la rejoindre....

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Le silence est le plus grand des mépris - Tout à une FIN.
Vonafred
Concentré à l'extrème le Comte, surtout ne point prester attention à autre chose que le présent moment, dans un instant il sera unis à sa belle.
Le cervelet s'échauffe, mille pensées resurgissent, mariage, engagement, pour l'éternité...Fuir en courant...demeurer et l'aimer.


Citation:
Comte, Le Très Haut vous a confié la destinée de Leyah...L'acceptez vous ainsi ?


Il avait longuement murit sa réponse, prose expressive, philosophiques et céleste.C'est un...
-Oui...Tonitruant qui scella sa déstinée.

Un regard vers l'élue avant de solliciter ses témoins.
Point de frangin en vue ni de cousine à l'horizon...La famille n'est point valeur sure, il saurait s'en souvenir.Ce sera donc le choix du coeur...


A voix basse au Pater...
-Mes témoins sont...Dame Edleweiss Mitara et Messire Tadek de Castille...
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Kahhlan
Enfin un semblant de calme ...
Toujours auprès de Ptit à essayer de comprendre le pourquoi du comment un tel désordre ... y renoncer ..
Keyfeya .. peut être plus tard, elle auraient l'occasion d'échanger .. car plus de doute, elle avait suffisamment observée la dame pour reconnaître cette jeune femme sortie du passé ...
Faire un signe discret à son amie pour lui signifier qu'elle filait pour un peu ...

Vi , elle ne s'était certes pas déplacée pour ne voir rien de la cérémonie, et là le cap devenu statue de pierre, mué ou troublé par l'émotion surement ... moui autant dire ça comme ça .... mon oeil voui !
Purée les Salmo et Salar !! leur foutus caractères !!! de quoi la faire tourner bourrique ... et bien cette fois , outre le fait que toute sentimentale qu'elle soit, les mariages .. oh elle n'en avait pas assisté à beaucoup en fait ... mais bref les mariages , c'était du sérieux pour elle , alors pas question de faire banquette !!
Elle jouait donc discrètement des coudes pour pouvoir enfin se placer de façon à assister à ce précieux échange ...
Vàlà ! elle n'avait presque rien manqué ..
Soupir ému à l' énonciation du "Oui " sans appel.

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Elio
Citation:
Croyez vous que ça ira ?


Elio la regarda sortir de la chambre dans laquelle elle avait passé un nombre indécent de minutes, peut être même d’heures.
Et quand elle lui demanda si sa tenue lui allait sa caboche n’fit qu’un tour, avec tout ce temps cramé à se pomponner évidement que ça allait et puis bien sur qu’ça irait, tout irait même un sac en toile de jute.

Alors que sa jolie bien aimée venait à se poser juste devant lui, ses yeux dessinaient son contour éclairés d’une légère étincelle lubrique il murmura entre ses lèvres :

Dommage que nous soyons déjà en retard…

Et puis voilà, tout ira encore mieux lorsqu’il l’ôtera cette robe même si elle lui faisait une silhouette de rêve les froufrous c’était un peu chiant pour s’en dépêtrer mais ça c’était pour plus tard.

Il prit son cadeau sous le bras en souriant, un beau paquet ficelé la veille en soirée comprenant une corde de dix mètres coupée en deux livrées avec une notice explicative pour le nouage des nœuds coulants. Il ne s’était pas cassé la tête le brun ça faisait trop mal et il n’était nullement adepte de la torture.

La cathédrale de Périgueux approchait, la foule était présente, il y avait énormément de personnes qu’il ne connaissait pas, Margaux était à son bras, il resserra son étreinte en montant les marches et il l’entraina à s’assoir assez rapidement tout près du bénitier de l’entrée.
Il se disait qu’au cas où l’ennui viendrait il inventera bien un jeu avec le présentoir de flotte sur pied.

Pour le moment, d’autres invités mettaient l’ambiance, lui restait dubitatif à entendre les gueulards, il posa son regard en direction de son jouet improvisé puis sur Margaux...
Alix_du_vivier
[ Vivre sans amis, c’est mourir sans témoin. ]
de George Herbert

Oh!! surprise extrême a l'annonce des Témoins...Tadek était appelé.
Alix lâcha donc le bras, la main, tout le capitaine en somme afin qu'il se rende prêt de Louis.
Finalement elle ne regrettait pas qu'il l'ai forcé a rester dans la cathédrale.

Sourire entendu et petit clin d'oeil a Tadek.


--Allez y mon ami, on vous attend je pense.

Discrètement elle lui fit une légère pression sur le dos, pour qu'il se presse un peu d'aller rejoindre Von et sa Belle...
On ne fait pas attendre un si beau couple ...

Qui sait un jour elle aussi on la conduira a l'Autel et le très haut en serait témoin, elle aussi n'aimerai pas attendre......
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Leyah
Dame Leyah, acceptez vous librement de prendre pour époux le Comte Vonafred, ici présent ? Acceptez vous de l'honorer et de le chérir, dans le respect d'Aristote ? Acceptez vous de porter sa descendance et de leur apporter connaissance et foi en l'Eglise aristotélicienne ?

Pote pote, un petit cochon pendu au plafond ..
Sourire fin à certains mots prononcés , réponse du comte, qui fait un brin sursauter .. l'aurait il pas oublié que ca résonne dans une Cathédrale ?
Tirez lui la queue il pondra des oeufs .. - Le cochon ein ! suivez un peu dédiou ! -
Regard prononcé au Comte, sourire s'élargissant, et aux quenottes de s'entrouvrir pour tenter d'émettre un son ..
Combien en voulez vous sans réfléchir et sans mentir ? - les oeufs pas les quenottes! -
Raaahhhh .. restons sur le .. " sans réfléchir et sans mentir " la, réflexion ayant eu lieu bien avant .. et de laisser enfin le son accompagner l'image par un simple

V'Oui !
Bon .. ça ... c'est fait !
Regard à sa moitié et suivant ses paroles, elle se tourna vers Astorius , voix basse aussi

Le mien est le Duc de Graçay ..
Elle se voyait mal demander a Lyly de rappliquer alors qu'elle l'avait vue un peu plus tot dans ce qu'il semblait etre un gros gros gros malaise ..
Vint la demande des anneaux , un regard vers le côté, un sourire a nouveau mais cette fois vers une toute jeune damoiselle, princesse de son Etat et de tendre la main vers elle pour qu'elle approche

Ton Altesse ... ?
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Margaux..
Le regard qu'Elio avait posé sur elle et sur sa robe en disait long sur ses pensées. La pendule jouait en faveur de la sagesse.

Arrivée à la Cathédrale à son bras, Margaux n'avait jamais ressenti une telle fierté. Elle se sentait belle et reconnue, elle existait tout simplement. Elle n'en restait pas moins impressionnée, Elio le savait et l'encouragea en resserrant son étreinte. Des hochements de tête en guise de bonjour, des sourires polis, des visages inconnus, et des toilettes à faire pâlir le plus altier des paons. Elio choisit une place près de l'entrée. Ce fut pour la petite paysanne comme un immense soulagement, comme si Elio lui avait trouvé une cachette, un trou de souris dans lequel elle s'engouffra. Elle essaya de s'intéresser à ce qui se passait beaucoup plus haut dans le saint édifice, mais les regards qu'Elio balayait entre elle et derrière elle, finirent par l'interpeller. Elle se retourna discrétement, cherchant des yeux l'objet de sa curiosité. Aucune présence de jeune damoiselle qui aurait pu justifier un tel intérêt. Margaux connaissait Elio et le savait capable de facéties imprévisibles et l'ironie qu'elle voyait dans ses yeux ne la trompait pas. Elle le regarda, lui sourit et se pencha pour lui murmurer
:

Qu'avez vous vu que je n'ai point vu , qu'est-ce qu'il y a ? allez dites moi ...

Margaux s'attendait à tout et riait déja doucement.
Lily59
Dit moi la vérité na mwa, n'a sert à rien de m'y mentir, parce que s'y t'y m'y ment ne le serait et ne sera encore pire. N'être po bête. Tu n'être nain fidèle ? Tu veux plus être ma namoureuse... Ta cru que n'étais mort et t'a refait ta vie pour notre fils... T'ya eu raison.......

Le petit sur ses genoux la dévisageait totalement. Elle sentait la pression qu'exercait la main de Flax sur son épaule alors qu'il regardait attentivement le petit. A quoi elle s'attendait la blonde franchement? A ce que le gamin comprenne? Bah il allait falloir... Une inspiration avant de lui sourire le plus tendrement du monde. Elle savait pertinemment qu'il allait mal le prendre. C'était un Bleizh. Et dans le genre caractériel, bah... y'avait pas vraiment pire. Même si elle, elle s'était habituée avec une étrange facilité à ces caractères bien trempés. Coïncidence? Peut être pas... Le ptit coté breton devait sûrement y être pour quelque chose.
Le coeur qui s'accélère alors qu'elle doit tout simplement dire la vérité à Gael. Pour beaucoup, ça pouvait faire rire. Un tel attachement entre un enfant et une jeune femme... Elle aimait Gael, à sa façon à elle, pas comme lui le voudrait, même si pour le sauver, elle donnerait sa vie...
Les yeux bleus de la blonde se furent tendres alors qu'il attendait sa répose sagement... pour un Bleizh...


Gael... mon beau... petite caresse sur sa joue Tu sais que je t'aime hein. Mais comme tu le vois, j'aime aussi Flax et il m'aime aussi.

Petite pause de circonstance pour que le mini Bleizh commence à digérer la nouvelle avant d'enchainer.

Chaque amour est différent tu sais et...

Une main se pose sur son épaule. Aleen, qui se tenait tout à coté.

Elle releva la tête, tout juste pour entendre les voeux des époux. Un regard à son bien aimé et de lui sourire. Un jour, eux aussi seraient là devant l'autel à se dire oui. Enfin y'aurait pas autant de monde. Juste les amis proches, les plus importants... Entre le "Voui" de Leyah et le "OUI" du Comte, Lily fut émue mais rapidement sortie de ses pensées...

Tu as le paquet ? on en fait quoi ? Quand ? de quelle manière ?

Un regard vers la brune avant de désigner le paquet qu'elle a soigneusement déposé sur le banc. Elle avait pris grand soin de l'emballer avec gout. Un joli noeud l'ornait, de façon à ce qu'un courrier y soit bien maintenu. Pour la personne à qui s'était destiné, il n'y aurait pas grand chose à lire... Juste deux signatures de mains féminines, du nom de ArsèneLupine et LaRenarde.

Bah c'est que j'ai pas encore trouvé comment... mais oui je l'ai...! Suffit juste de le remettre à Leyah

Son attention est désormais portée sur Aleen et c'est à peine si elle sent Gael descendre doucement de ses genoux...
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Edlweisss
-Oui...

Hiii j'ai envie de bondir de mon banc pour l'embrassouiller tellement je suis contente d'avoir entendu ça.
Je retiens mon souffle et :


V'Oui !

Oh bordel!!! ça y esssssssttt!!! on va enfin y arriverrr!!!! depuis le temps qu'ils me font tourner en bourrique avec ce mariage.
Bon je me retiens pour ne pas leur sauter au cou et devant la princesse toute solennelle , je me calme un peu. Mais je bouille en dedans de moi même tout seule en attendant la suite et fin de la cérémonie

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Les Fées Tisserandes
Amarante.
Toujours à côté de Gwen, elle le soutenait du mieux qu'elle pouvait. C'était qu'il pesait son poids de viande cru quand même le patriarche, mine de rien ... Réalisant certainement ses mots, il fit bouger Lyly de place et ils suivirent le mouvement dans une travée latérale où ils seraient plus tranquille pour cet enfant vienne au monde.

Leyah prononçait ses voeux et la cérémonie serait bientôt terminée, libérant tous les invités pour aller au banquet ... Il fallait donc se mettre au travail et au plus vite ... Lyly était maintenant installé sur des capes et mantels et elle tourna son visage pâle quand Gwen lui parla ...


Il va falloir que tu m'aides je n'ai pas suffisamment d'équilibre, mais faut que je fasse les premières constatations avant de donner les consignes ensuite.

Elle hocha la tête et se décala un peu pour qu'il puisse passer. Elle mit une de ses mains sous son bras et l'autre dans son dos, l'aidant ainsi à se baisser pour qu'il se place devant Lyly. Il commença alors à regarder où en était l'avancée du travail et elle le laissa faire sans le gêner dans ses mouvements ...

Il donna ensuite ses consignes et elle l'aida à s'asseoir tout près de fille et ce n'était pas du gâteau pour faire en sorte qu'il n'ait pas trop mal. Elle se baissa elle aussi près de Lyly et lui caressa doucement les cheveux ...


Ca va aller Lyly t'en fait pas ! Regarde on est tous avec toi et Leyah a enfin dit oui à Louis ... Respire ma belle, respire doucement ...

Babette se tenait derrière la future mère pour qu'elle soit à l'aise et elle regarda Key qui s'installa aussi. Toute en place, Lyly pouvait y aller ...
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