RPartage - [RP]Cathédrale de Périgueux - Vonafred & Leyah

[RP]Cathédrale de Périgueux - Vonafred & Leyah - mariage

Keyfeya

Bon la chose était déjà bien avancée il semblait, tout était prêt, le frangin de la rousse était allé voir, elle pensait qu'elle réchapperait à accoucher une autre femme mais ......ah ben non v'là qu'il changeait de place, elle en avait du monde la donzelle autour d'elle mais personne entre les jambes....enfin si visiblement y en avait un qui demandait à sortir.

C'était qui la chef barbière du PA....et flûte...c'était elle, Key s'installa donc entre les jambes de la Dame et lui fit un sourire bienveillant.

Elle releva légèrement ses jupons et introduisit doucement sa main, on sentait déjà la tête, elle avança doucement ses doigts pour vérifier que le cordon n'entourait pas le cou...tout allait bien.

Elle regarda la future mère.

Je suis Keyfeya, vous n'avez pas d’inquiétude à vous faire, tout va bien se passer quand vous sentirez la prochaine contraction, vous allez pousser, je vous y aiderais.

Elle regarda ensuite Amarante.

J'aurais besoin d'eau chaude et de linge propre, peux tu envoyer quelqu'un chercher tout ça, je pense que la maison la plus proche de la Cathédrale sera le plus rapide!

Puis elle se tourna vers Gwen, l'avait pas l'air en grande forme le Bleizhmorgan.

J'aurais besoin de vos lacets ou un cordon si vous avez ! Et m'tombez pas dans les pommes hein !

Elle avait l'habitude hein des hommes qui s'croient fort et qui s'la ramène et qui pour finir ben supporte pas la chose qui sort.

Elle s'avança encore et posa une main sous la tête de l'enfant et une main sur le ventre de la jeune femme.

N'oubliez pas....respirez bien et poussez fort quand la contraction viendra!

Key tout à son art....ça valait le coup d’œil, profitez c'est rare de la voir si sérieuse.
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Aelyia

L’art de ne plus rien contrôler du tout

Elle avait appelé son père à l’aide , un cri d’enfant angoissé mais si logique.
Elle avait passé la première partie de sa vie à le voir conseiller, panser, soigner et mettre au monde une partie des bretons.
On l’emmena et se fut un soulagement de se trouver à l’écart, protégé par l’obscurité du lieu, entourée de ceux en qui elle avait toute confiance.

Rendue qu'à demi consciente par la douleur qu’elle était obligé de gérer en ne s’autorisant pas à crier , des brides de phrases rassurantes essayaient cependant de se faire un chemin jusqu’à son esprit.

Tout va bien se passer
Respirer doucement
ça va aller
Respirer
Louis et Leyah se sont dit oui
Respirer…. Tiens …. Oui au fait elle était à leur mariage … à ces deux là… les souvenirs reviennent.
Respirer
pas trop tôt… ils ont dit oui… enfin … tout va bien se passer…ça elle l’espère grandement… il a une sacré chance ce Louis d’épouser une femme telle que sa tante et une bretonne en plus… espérons qu’il s’en rende compte
Respirer doucement
Faudra qu’elle le lui dise en félicitant le nouveau couple à la sortie de la cathédrale
Mhhh
Pas certaine d'être en état de les féliciter.
Comme une terrible pesanteur dans le bas ventre .

Elle ferma les yeux et les ouvrit de nouveau en entendant une voix inconnue

Keyfeya

Ohhhhh miracle, cette dame semblait gérer, donnait des ordres clairs et précis ce qui la rassura davantage encore.

Respirer… non elle n’allait pas oublier

Une contraction arriva ….comme une vague énorme qui durait … durait… et lui ravageait le dos et le ventre .
Elle sentait la pression de la tête de l’enfant

Ne pas crier… ne pas hurler

Pousser … elle devait pousser…. Détendre ses muscles pour aller dans le mouvement de l’enfant et pousser

Elle griffa au sang la main de son père dans la sienne
Chercha les yeux d’un pirate

Et ne pensa plus qu’à suivre son instinct dans le plus beau des rôle dévolu à la femme…. Donner la vie !

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Emardeche

Ema s était rassise a sa place, le Comte vonafred gerais toujours autant rapidement ses soucis.
Elle était fier de lui et de Leyah, c etait des amis fidèles.
Elle entendit un oui assez fort, il venait d echanger leur conssentement.
Ils formaient un beau couple, Leyah avait beaucoup de caractère , elle était assez franche et ça ne plaisait pas a tous le monde.
Ema sourit en les voyant , ils étaient si heureux ensemble, le couple parfait.

Elle songea au sien, son mariage qui n avait pas evolué comme elle le voulait, son ex mari était quelqu un de serieeux, peu être trop.

Il lui avait donné le plus beau des cadeaux , leur fils Mathias qu 'elle adorait.
Mes parfois la vie ne prend pas la direction que l on souhaiterais.

Ema s investissait pour son Comté, mais elle avait besoin d une part de rêve, et de moment de fou rire.
Etre toujours serieux l ennyait a vrai dire, avec schumi, ils avaient partager de bon moment, mais elle avait besoin d autre chose.
Il lui avait apporté la stabilitée mais cela ne suffisait pas a Ema.

Gwenchlan

Heureusement qu’Amarante l’aidait dans ses mouvements, mais aussi qu’il n’était pas seul pour gérer un nouvel accouchement, il n’était franchement pas en mesure d’accoucher sa fille pourtant il aurait préféré nulle confiance à part dans la famille.
Assis à coté de sa fille, il n’était pas le seul à l’aider et à la rassurer. Gwen regrettait de ne pas avoir pris sa besace, pour une fois qu’il pensait ne pas en avoir besoin. Jusque là tout semblait bien se passer, les femmes prenaient le relai après qu’il est donné ses consignes même si l’une d’entre elle semblait apparemment faire les choses. Mais par contre en diplomatie, elle semblait aussi douée que les Bleizhmorgan.

J'aurais besoin de vos lacets ou un cordon si vous avez ! Et m'tombez pas dans les pommes hein !

Fatalement, Gwen n’allait pas laisser passer la phrase tout en commençant déjà à enlever les lacets de ses chausses. Ça allait être pratique pour rentrer d’ailleurs sans les lacets de cuir. Il allait devoir tenir à la main pour ne pas se retrouver nu sur le parvis de la cathédrale. Mais faire la chose avec une seule main, l’autre restant dans la main de sa fille, n’était vraiment pas simple.

Dites donc on n’a pas gardé les vaches casqués du père Kurios ensemble. Je suis ici surement la personne qui en connait le plus sur la médecine, mais malheureusement pour ma fille, je ne suis pas physiquement en mesure de la faire accoucher à cause de couillons de poitevins. Au passage c’est loin d’être mon premier accouchement, j’ai déjà fait celui de ma sœur, de ma femme et d’autres femmes, je ne suis pas une mauviette de Montfort.

Elle avait franchement réussi à l’énerver. Elle n’avait pas intérêt à se rater avec sa fille, sinon elle n’aurait pas le temps de comprendre ce qui allait lui arrivait. Mais à présent, il se concentrait sur sa fille qui semblait souffrir, comme toute femme qui accouchait. Il sentait les ongles de sa fille s’enfoncer dans la peau de sa main, faisant perler le sang, mais Gwen n’était plus à une blessure près il faudrait qu’il soigne ça en plus de son coté quand il serait rentré chez lui. Il passait sa main dans les cheveux de sa Pimouse tout en continuant à la rassurer, surveillant chaque geste de l’autre femme prêt à la déchiqueter à la moindre erreur. Bien sur, il utilisait ce surnom dans chacune de ses phrases rassurantes, recréant ce lien particulier qui s’était fait quand elle était une petite fille.
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Enora...

[quelque part dans l'église]

Décidément quelle drôle de cérémonie.
Tout en cherchant sa cousine Léna pour aller faire les 400 coups avec, elle se rendit compte qu'il y avait un monde fou dans cette église.
Heureusement qu'elle était petite elle pouvait se faufiler partout.

Tout d'abord un monsieur cria et dit non. Les grands semblaient fâchés, et le capitaine avait même attrapé le monsieur. Louis avait mis une mini épée sur son coup. Une jolie comme celle qui lui avait donné pour son anniversaire. Une fois l'histoire finie, elle se demanda ce qu'elle allait faire.

Une fois son choix fait, elle se dirigea vers le fond de l'église et se rendit compte qu'il y avait un attroupement. Sa cousine Lyly était par terre et semblait avoir mal. Amy et tonton Gwen étaient à côté. Elle chercha donc Lena des yeux mais ne l'a vit pas.

Elle réfléchit deux secondes, à savoir si elle allait aller les rejoindre ou pas.
Puis se dit qu'il y avait déjà assez de monde.

Elle continua à avancer et arriva presqu'au niveau des mariés. Elle entendit Louis dire oui puis sa mère dire oui. Apparemment ça avait l'air d'être bien. Quand on a que 8 ans, c'est compliqué de comprendre un mariage.

Soudain, elle entendit sa mère dire :
Ton Altesse ... ?

Elle se demanda ce qu'elle voulait et s'approcha.

Qu'est ce que tu veux maman ? Nora a fait une bêtise ?
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Hagos

Aprés avoir veillé à l'évacuation de l'importun, il retourna se placer auprès d'Edelweiss, lorsqu'il s'aperçut que les mariés, l'étaient désormais...

Souriant il prit la main de sa cavalière.

Émouvant non ?

Il sourit en coin, légèrement ironique.

[Cheffe modo Aldraien
Retrait du HRP, cf Règles d'Or. Bon jeu.]
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Aricie

Les Brocéliande voulaient, les Brocéliande avaient.
La ruse du luxe fonctionnait à merveille. Tout ce vert réuni sur une seule petite personne empêchait l’œil de quiconque de percevoir l’imperceptible.
La conversation se lança, on aborda le sujet de Riwan, on évoqua une rencontre, on passa aux présentations pour finalement se perdre dans une gêne mal dissimulée.
Blanche avait compris et posait à présent une question. Aricie s'attachait à soustraire rapidement son bras de la main réconfortante.
Il fallait rester de marbre, ne pas pleurer, ne pas se lamenter. Penser à son époux tant aimé qu'elle ne reverrait pas, penser à ses enfants et à son exil au coeur d'un mariage. En somme, il lui fallait ne pas défaillir et se tenir à la hauteur de son nom.

A l'autre bout de la cathédrale, les mariés étaient en train de concrétiser leur affaire. Le silence devenait pesant.

Livide, elle planta ses yeux dans ceux de son amie. Ses lèvres se mirent à s'agiter doucement.

Il faut que tu me vienne en aide. Le Très Haut m'a promis une éternité de souffrance et de solitude. Il s'est attaché tout entier à maudire tout mon être. Je ne peux vivre dans ce monde. Je ne peux les laisser me voir ainsi.

Les Brocéliande ne voulaient pas. Mais les Brocéliande avaient.
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Amarante.

Les choses se mettaient en place rapidement et elle était quand même soulagée de ne pas avoir à mettre au monde cet enfant. Elle avait mis au monde celui de sa belle-soeur, mais c'était un coup de chance que tout ce soit bien passé surtout avec son inexpérience ... Le seul accouchement où elle avait été présente, la mère était morte, peu de temps après et de voir ça l'avait quand même traumatisé ...

J'aurais besoin d'eau chaude et de linge propre, peux tu envoyer quelqu'un chercher tout ça, je pense que la maison la plus proche de la Cathédrale sera le plus rapide !

Ses paroles s'adressaient à elle. Elle hocha la tête, mais au lieu d'envoyer quelqu'un, elle se leva. Là c'était dans ses compétences d'aide soignante de l'Hotel Dieu ...

Je vais y aller moi-même, ce sera certainement plus rapide ...

Elle regarda ensuite Gwen qui tenait la main de Lyly ...

Je reviens vite, surtout tu ne bouges pas avant mon retour ...

Bon dans un sens, il ne craignait pas de bouger, Lyly était en train de lui broyer la main. Elle tourna alors les talons et sortit de la Cathédrale presque en courant. Une fois dehors, elle se dirigea vers la première chaumière qu'elle vit et frappa fortement à la porte pour qu'on lui ouvre. Une fois fait, elle expliqua sommairement ce qu'il se passait et on lui donna ce qu'elle demandait ...

Elle remercia le couple et revint les bras charger d'un seau rempli d'eau chaude et d'un panier rempli de linge propre ... Essayant de se faire discrète quand elle revint dans la Cathédrale pour ne pas déranger la fin de la cérémonie, elle posa le tout près de Key ...

Voilà ! De l'eau chaude et du linge ...

Un regard à Gwen qui avait une mine renfrogné ... Avait-elle raté quelque chose ?
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Keyfeya

Elle avait l'eau, les linges, le lacet et le ronchon...elle sourit en coin quand il prononça le nom de Montfort, ça la faisait rire intérieurement et elle s'y attendait un peu la garce...mais elle n'avait pas le temps de lui répondre que la contraction venait et elle aida la jeune femme en faisant pression sur son ventre et au bout de quelques contractions, elle dégagea les épaules.

C'est très bien, vous êtes très courageuse, c'est presque fini, juste une dernier petit effort....

Elle attrapa un linge et l'humidifia dans la bassine et le passa sur le corps déjà sorti de l'enfant, nettoyant le nez pour dégager les voies respiratoires et à la dernière contraction elle tira vers elle l'enfant délicatement, elle l'examina rapidement en le nettoyant, sa peau était rosée et sans le moindre soucis, un puissant cri sortit de sa bouche, puis elle enveloppa le petit dans plusieurs linges propres et secs et caressa la cuisse de la jeune femme et lui sourit.

Félicitations Ma Dame, vous avez un fils en pleine santé!

C'était son premier accouchement facile....elle tenait l'enfant d'un bras et tendit sa main vers le lacet, qu'elle laça deux fois autour du cordon ombilical. Puis elle sourit au frangin de Leyah.

Vous auriez pas un couteau propre et désinfecté à l'alcool par hasard, je sens que vous êtes un homme plein de ressources....
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Ingeburge

Et dans un coin, à n'observer personne, à ne rien écouter, se tenait la duchesse d'Auxerre. Les mariages, ce n'était pas son truc à celle-ci – il fallait voir comment le sien avait explosé en plein vol pour le comprendre aisément – se consolant par la perspective que deux nobles aristotéliciens allaient s'unir afin de pondre tout un tas de nobles aristotéliciens miniatures censés perpétuer l'espèce et défendre la Vraie Foi. Et il y avait trois raisons, en dehors de la nécessité pour les aristocrates de se reproduire dans le but de la conservation de leurs privilèges, à cette noire apparition de la froide Prinzessin. Tout d'abord, le comte du Périgord-Angoumois était son parrain pour entrer dans l'assemblée des pé-Pairs, elle lui devait au moins d'être présente pour son union et si elle aurait pu se tourner vers d'autres grands feudataires pour ce faire, elle l'avait voulu, lui car il était aussi, seconde raison, Teutonique et que cette appartenance à l'ordre militaro-religieux était, malgré les vicissitudes, quelque chose d'éternel et d'incorruptible. Enfin, Vonafred était un Salmo Salar, tout comme son Imperator et elle aurait entendu parler du pays si elle avait dédaigné l'événement familial.

D'ailleurs, où se trouvait-il ce Carmin du diable?
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Gwenchlan

Heureusement pour la femme, tout semblait bien se passer, aucun problème pour sa fille et elle avait eu la bonne idée aussi de ne pas répliquer. Il était d'assez mauvaise humeur pour que personne ne vienne lui marcher sur les pieds sauf à vouloir se prendre une mandale en retour...
Mais voilà que maintenant il avait le droit au sourire de la dame, mais cela n'avait que peu d'importance, sa fille avait un fils en bonne santé, même si Gwen regrettait de ne pas avoir pu l'accoucher lui même. Et alors qu'il vagabondait dans ses pensées, la dame lui reparla à nouveau, d'abord de façon normal puis avec une pointe d'ironie qui il faut le dire lui déplaisait assez.

Vous auriez pas un couteau propre et désinfecté à l'alcool par hasard, je sens que vous êtes un homme plein de ressources....

Bien sur...

Le patriarche sortit sa dague, toujours propre, on pouvait toujours en avoir besoin pour des choses multiples. Et il la tendit vers la femme pour qu'elle en fasse bonne usage bien que l'idée d'un meurtre lui traversait presque l'esprit face à la moquerie...

Nettoyée à l'alcool soir et matin, on ne sait jamais ce qu'on peut croiser sur la route, et par respect pour l'être humain même le plus idiot d'entre eux je m'en voudrais d'égorger un poitevin alors qu'il y a encore du sang de périgourdins sur la lame...
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Valmer

Valmer avait suivi sa promise Celenia au mariage de Sa Grandeur Vonafred. Il était très impressionné par les dames de haut parage et les nobles messieurs qui se pressaient aux noces comtales. Il restait près d'elle par crainte de mal faire et tint sa langue de crainte de mal dire. Il regardait avec émerveillement la cérémonie se dérouler et se dit qu'il aurait aimé en offrir autant à celle qu'il aimait. Il n'était point riche ni noble mais il aimait intensement sa future femme. Voilà bien la seule qualité qu'il partageait certainement avec le comte.

--Rahan88

Depuis le moment où Lyly lui avait glisser dans l'oreille que le moment fatidique était arrivé et que son fils pointait le bout de son nez, comme une accélération du temps pour Rahan, il ne comprenais plus tous le monde à accouru pour emmener Lyly sans qu'il puisse faire le moindre mouvement.

Il n'arrivait même plus à s'approcher de sa compagne pour la soutenir .

Il eu juste le temps de lui dire

Je crois que tu es entre les meilleurs mains du monde...........

sur ce Rahan sortit discrètement de se lieu qui le rendait encore plus mal à l'aise que la situation .

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Aelyia

C'est très bien, vous êtes très courageuse, c'est presque fini, juste un dernier petit effort....

Presque fini….. Elle se mit à sourire…. Oubliant la douleur… avec la volonté de profiter de cette minute unique où elle allait mettre au monde un petit qui allait donner un sens supplémentaire à sa vie.
En poussant une dernière fois, elle était submergée par l’émotion du moment.

Félicitations Ma Dame, vous avez un fils en pleine santé!

Dieu….Merci… il vivra… la force de ses cris en témoigne…il est vigoureux et désireux de se faire entendre.
Son bébé… tant attendu, tant désiré… le fruit de nuits d’amour merveilleuses… et l’espoir d’un futur tendre et caressant où elle le verra peu à peu grandir.
Des années à le bercer, l’éduquer, sourire de ses rires, de ses mots d’enfant.
Des années à le mener jusqu’à l’age d’homme pour en faire quelqu’un dont elle sera fière… un être libre choisissant sa vie sans la subir.

Une larme de joie perla doucement au coin d’un œil.
Elle s’était interdit de montrer sa souffrance… elle s’autorisa à exploser de bonheur.
La larme glissa doucement sur sa joue, elle était radieuse malgré la fatigue ;

Un fils ! Un fils …

Elle eut la force de murmurer quelques mots après avoir repris un peu son souffle.

Merci Dame Keyfeya… Merci pour votre aide.

Elle chercha des yeux ceux qui étaient présents.
Repris conscience des dialogues autour d’elle, et eut un petit rire en entendant son père et sa légendaire diplomatie.

Rahan semblait absent … mais elle se souvient de ses mots

Je crois que tu es entre les meilleures mains du monde....

L’accouchement restait une affaire de femme
Et si elle avait appelé son père à l’aide… elle préférait son pirate un peu à l’écart… Elle était devenue mère mais n’en restait pas moins femme, avec encore intact le désir de le séduire, de lui montrer le meilleure d’elle-même et de se faire désirer.

Dame… je veux voir mon fils… je veux le prendre contre moi.
Amy dit moi comme il est beau …
Tu es fière de ton petit fils papa ?

Babette … allez prévenir votre maître qu’il est père d’un garçon en pleine forme !
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Leyah

[ Devant l'Autel ou pas loin du moins ]

Qu'est ce que tu veux maman ? Nora a fait une bêtise ?
Un sourire à la damoiselle, tsss tout de suite une bêtise et de la regarder amusée.
Aucune bêtise princesse, juste .. heu .. les anneaux ? Dans ta petite pochette la
La main restant tendue vers la princesse, la rouquine attendait qu'elle la rejoigne et vienne se mettre juste à côté.
Après tout c'était là sa place ein ..
Un regard vers Astorius, un petit hochement de tete, l'air de dire, " voui voui on les a " et d'attendre patiemment la suite, occultant carrément tout ce qui se passait alentours , après .. oué oué, après elle allait sortir de sa bulle .. ou pas.
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Cathédrale de Périgueux - Vonafred & Leyah - mariage

Alix_du_vivier

Main sur sa hanche...Alix se poussa a peine, ce contact de proximité n'était pas pour déplaire a la brune qui sourit en entendant les paroles de Tadek..
Ses yeux plongés dans les siens... complètement étanche a ce qui se passait autour d'elle.

Broyé, broyé, comme vous y allez un peu fort mon ami.

Finalement elle prit sa main pour constater l'étendu de sa maladresse. a plaie semblait saigner a nouveau.
finalement se demandant si un peu de calva n'allait pas être nécessaire pour désinfecter avant de refaire un bandage propre.

La cérémonie semble prendre fin, capitaine . Des que c'est terminé, je vais vous refaire votre pansement, je désinfecterai la plaie avant.

Tout en lui parlant Tadek avait laissé sa main sur la la hanche de la maréchale, qui finalement s"appuya sur son bras afin de voir les mariés...
Ils étaient là pour ça!!! Un peu quand même....
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Renlie

Pour sur, si certains craignent de s'endormir à un mariage, c'est qu'ils n'avaient pas été invités à un pareil à celui-ci.

La tension et le degré de testostérone ambiants le rendaient pour le moins unique, nul doute que ce cher Alfred en auraient de quoi rédiger une édition spéciale de son cher canard. Il faudrait donc surveiller la prochaine parution avec grand attention.

Renlie avait donc pris place où les témoins se devaient d'être, assistant aux diverses pérégrinations qui venaient ponctuer la cérémonie. Celle-ci abordant enfin le moment crucial, les voeux s'échangeaient, touchants de sincérité, bien à l'image de leurs auteurs.

Le buffet pointait son nez à l'horizon...
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Tadek

Le vieillard finit par prendre la parole et pour quoi ???

Des revendications à la noix, le jour du maraige du Comte ??!!

Ce vieillard et son maître n'avient donc aucuns respects,
Tadek l'aurait bien emmené dehors manu militari, mais le Comte
lança un regard à son Capitaine qui voulait dire de le laisser partir,
c'est le regard noir sur le puant qu'il le regarda partir ...

Tadek regagna discrètement, oui, c'est idiot vue le bordel, mais
c'est comme ca, s aplace au côté d'Alix qui, absorbait par la cérémonie
ne se rendit pas compte que Tad' était de retour, il posa donc une main
délicate sur sa hanche afin de lui faire comprendre de refaire une place
pour le Capitaine et de lui murmurait:

Mais j'y pense, vous m'avez broyé ma main ensanglanté quand le vieux
a hurlé dans l'église, je n'ai même pas réagit sur le coup tellement que
j'étais en colère, mais là, je m'en rend compte à présent car ca ressaigne.
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Astorius

Le messager sybillin avait fini par délivrer son message… le Comte avait su contenir sa colère et le sang n'avait pas été versé… et après tout c'est bien ce qui importait au Barbu…

Retour donc sur les première marches de l'autel afin d'écouter les futurs époux prononcer les voeux
Bien que ces paroles soient destinés à être entendus de tous, il était aux premières loges pour lire dans les regards toute la sincérité (ou pas) des paroles prononcées… avec toujours ce sentiment d'être à cet instant invité dans une sphère ou d'ordinaire, il n'y a de la place que pour deux…
Là sans hésitation, pas de place pour le faux semblant, tout ce qui avait été proclamé par le comte et sa promise l'avait été avec une conviction qui forçait le sceptique le plus convaincu…

Après avoir entendu les voeux de Vonafred, puis ceux de Leyah, il se pencha vers le Comte avant de lui demander…

Comte, Le Très Haut vous a confié la destinée de Leyah afin qu'elle devienne votre épouse. Acceptez vous de la garder comme telle, saine ou malade, riche ou pauvre et de conserver votre foi selon les commandements de l'Eglise. Acceptez vous d'honorer sa couche jusqu'à ce que la mort vous sépare ? L'acceptez vous ainsi ?

puis se tournant vers Leyah…

Dame Leyah, acceptez vous librement de prendre pour époux le Comte Vonafred, ici présent ? Acceptez vous de l'honorer et de le chérir, dans le respect d'Aristote ? Acceptez vous de porter sa descendance et de leur apporter connaissance et foi en l'Eglise aristotélicienne ?

dans l'attente de leur réponse respective, il lança à la cantonade, ne sachant trop à qui s'adresser…

euh… j'espère que vous n'avez pas oubliez les anneaux… il faudrait que je puisses les bénir avant l'échange…

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curé de Périgueux
et picétou

Leyah

Une respiration profonde, attendre que l'orage passe
Et pour qu'il passe sans trop d'encombres quoi de mieux que d'entrer dans sa bulle ...
* En ce jour de liesse, Donnez nous Ô Illustres Ancêtres, votre protection. Et avec votre protection la force. Et avec la force la compréhension... Et avec la compréhension la Science ... Et la Science de ce qui est juste... Et avec la science de ce qui est juste le pouvoir d’aimer... Et en l’Aimant, l’amour de toutes choses vivantes... Et en toutes choses vivantes... L'Amour de Vous*
Requête intérieure ...A cet instant, lui manquait son archidruiduchesse dont la sagesse charismatique l'aurait bien aidée..

Toutes à ses réflexions internes, elle n'avait pas spécialement prêté attention à ce qui s'était dit entre son Comte et le messager, et ce même si son cerveau avait imprimé le message, le connaissant à l'avance.
Elle s'était perdue dans une douce torpeur, quand Louis revint vers elle, elle l'entendit d'abord a peine avant qu'il ne s'adresse à Astorius et la fit légèrement sursauter.
Voyant ses traits plus ... sereins .. elle sourit de ce sourire que seul lui recevait .
La rouquine n'était pas pour les grandes démonstrations de sentiments, en général elle les cachait même fort bien, mais à l'écoute des mots de sa moitié, non seulement son palpitant failli lui sortir par la bouche, mais en prime, elle oscilla légèrement , émotion quand tu nous tiens ...
Ce mariage avait vu tellement d'entraves aussi ... qu'elle avait quelque peine a réaliser que cette fois ils y étaient, encore que .. Ayé ? C'était fini ? Encore un ou une imbécile pour venir faire du crique ? Regard interrogateur qui parcourt les invités, puis qui revient sur le curé, un sourire, large, avant cette fois de planter les yeux dans ceux de son comte, lui genou au sol, elle ne pouvant plus se permettre la moindre génuflexion sous peine d'avoir besoin de trois personnes pour l'aider à se relever.. .
Nouveau sourire, décidément .. elle avait l'air malin a sourire comme une andouille .. mais qu'a cela ne tienne !.

N'en déplaise à certains ..
Sourire se faisant plus large, élargissant la bulle qui l'entourait précédemment pour inclure son cher et tendre et le curé, et n'y laissant plus y entrer qui que ce soit.
Aimer avec déraison un turbulent Périgourdin, pour une Bretonne, n'est point crime.. mais fait sans doute partie de ces choses qui ne peuvent s'expliquer .. juste se vivre avec délectation chaque jour se faisant... Cet amour, aujourd'hui, je le jure devant...
Un temps d'arrêt .. la rouquine inclina légèrement la tête, se fendant d'un sourire avant de froncer le nez, et de reprendre son état presque naturel , cette fois, toisant le comte, mirettes bien fixes..
Devant Dieu et les hommes, je te jure que mon amour, ma confiance et ma fidélité te sont acquis. Puisse le très Haut me donner la force de veiller sur toi, autant que tu me protèges .. Ce jour .. je te prends pour époux, pour le meilleur du pire, ou le pire du meilleur ..va-t'en savoir .. et ce .. jusqu'à ce que l'Ankou m'emporte à jamais . Pour toujours et à jamais je deviens tienne , mon cœur désormais t'appartient et ma vie se retrouve en tes mains ..
Si sa voix était presque posée, un léger tremblement se faisait pourtant sentir dans son timbre.
Le regard sincère ne décrocha pas de celui du comte malgré son petit monologue terminé, tandis que machinalement , sa main se tendait vers lui .. l'air de dire " J'vais me peter la gueule ! attrape moi ! "
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Alix_du_vivier

Voilà Louis qui semblait vouloir régler le problème a sa manière.
D'ou elle était Alix, ne voyait pas toute la scène, mais juste ses deux amis de dos.
Elle connaissait suffisamment Von, pour savoir qu'il ne laisserai personne
Faire la loi, le jour de son mariage et ne craignait nullement la déroute
de celui-ci.

Le comte retourna près de sa douce pour enfin la marier devant le très haut et
Toute l'assemblée de la Cathédrale.
La maréchale se serait bien éclipsée de nouveau.....

Regard en coin, Tadek était dans les parages pour sur il va la rattraper
Devant cette éventualité, chassa l'idée, décida d'attendre sagement finalement
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Vonafred

Fureur n'est point cécité.
De l'envie de sang sa conscience le délivra sur l'instant, on ne tue point messagers par aversion de la nouvelle, un serment est un serment...
On relache la pression...
-Tu diras à ton maistre que je tiendrai promesse...Le délai m'appartient, s'il veut conserver mon amitié qu'il se plie à ma volonté. J'ai dit et ne me prononce qu'une fois.retire toi et délivre mon verbe ou par Dieu cette fois tu trépassera .

Regard expressif vers son Capitaine et de s'en retourner appaisé à sa promise.

-Mon Père, mariez nous à présent, que nostre volonté s'accomplisse.
N'en déplaise à certain...Je jure fidélité et amour à ma Dame, pour le meilleur et pour le pire...Que le tout Puissant et les hommes m'en soient témoin, je la veux et la prend pour épouse, que la mort seule me délie de mon engagement.Quiconque s'en prend à elle, s'en prend à moi et par Dieu je lui promet enfer et damnation sur cette terre.

C'est genou en terre qu'il fixa sa belle.
-Leyah...
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Riwan

J'étais arrivé en retard. Ma ponctualité n'était pas en cause, non. J'étais prêt à l'heure. J'avais volontairement attendu d'être en retard pour entrer dans la cathédrale.
Le but était évident: m'assurer que tout les regards convergeraient devant moi lorsque je traversais la salle. Je pouvais ainsi économiser des fortunes en vêtement tout en étant certain du résultat.

Fier de cette judicieuse découverte, j'ai donc traversé la cathédrale lentement, alors que l'office avait débuté. Je saluais d'un signe de tête les personnes que je connaissais. Je faisais de même avec certaines que je ne demandais qu'à connaître.

Arrivés au premier rang mon auguste altesse prend ma place. J'accorde un sourire à ma tante. Oui la mariée c'est ma tante. Le marié allait donc devenir mon oncle. Enfin plus ou moins. Mais peu importe, ils étaient sous ma protection.

A peine assis, le prêtre- un simple prêtre ? c'est quoi cette histoire ? Il faudra que je demande à tantine pourquoi elle a pas fait déplacer un cardinal, c'est un minimum- le prêtre donc commence le credo.

Les évènements s'enchainent et je me rends compte que je ne suis pas le seul à avoir eu l'idée d'arriver un retard. Un rustre à copié ma stratégie ! Heureusement futur tonton me venge on lui mettant sa lame sous sa gorge. Qu'est ce qu'il fait avec une lame dans l'Eglise, voilà un autre point qu'il me faudra éclaircir.
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Son Altesse Riwan Nathan De Brocéliande

Douchka

Elle l'avait suivi, discrètement jusqu'au banc qui lui était réservé se rapprochant de sa filleule.
C'est vrai qu'on voyait mieux d'ici.

Du tumulte animait le fond de l'église et elle regardait les allées venues sans trop bien comprendre.

Quand son Altesse apparut, nul ne pouvait le louper... Pas même son petit peton sur lequel son Altesse dans sa magnificence avait posé ses princières bottes.

Outch etouffé pour rester aimable, un sourire proche du rictus elle pressa la main de Bahia dans la sienne comme un jour d'accouchement.
Quelle merveilleuse façon de faire connaissance...
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Keyfeya

Key se retourna machinalement...le méchant bougre qui gâchait la fête venait de reprendre la parole.....on allait pas en finir, elle était à la limite d'aller secouer le bon Père Astorius de faire vite...ouais bon elle supportait pas la foule, c'était pas son truc et en entendant le...Judas? Elle lança de sa voix forte et de sa place non loin de la dame grosse donc...

Cocorrrrrrriiiiccccooooooooooo !

Y a des trucs comme ça ça sort tout seul....un coq....une foule....et une cinglée...l'affaire est réglée, dégainez vos armes, elle était la parleuse la plus rapide de l'Ouest.

Preuve?

Reniez mon Comte ! Reniez ! Parce qu'on lui a aussi dit " Tu es Pierre et sur cette pierre, je bâtirai mon Eglise " C'est tout beneeeefffffffffffff
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Bahia7

Bahia qui, sous le regard très explicite de sa filleul, avait été invité à rejoindre les bancs de la famille en compagnie de sa douce, profitait de cette cérémonie qui était, il faut bien l'avouer, réussie, jusqu'à...

...jusqu'à cette esclandre, que cet individu, sorti des plus mauvaises séries Bretonnes, dans un scénario du plus mauvais goût, déboula tel une truite dans la mer, à croire qu'il s'était trompé d'endroit.

Gwen' s'éloignant vers le fond de l'église...

Regard interrogateur vers la Rousse, comme pour y trouver des réponses alors que le comte quittait la place qui était la sienne.

Rassemblement de ses neurones. Il faut bien avouer que Leyah avait le don de se trouver dans ses situations exceptionnelles. Mais c'est bien connu, "mariage houleux, mariage heureux".

Il était certes surpris, mais pas inquiet.
Enfin si, peut-être pour la personne qui siégeait au fond de la bâtisse, et qui lui rappelait fortement Lyly, qu'il n'avait pas revu depuis fort longtemps...
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Stannislas

Fallait avouer qu'au moins, les périgourdins avaient eu le bon choix, dans ce guide. Aussi vif que prompt, voilà qu'il était déjà sur le molosse, une lame qui appuyait aussitôt là où on voyait le sang battre. Ça, il l'avait bien cherché, ce moment, le vieux soudard. Il se doutait bien que faire un esclandre de la sorte était certainement une façon d'en finir avec la vie. Mais il n'avait, au long de sa vie rude, refuser de servir, quelque fut la sentence ! Et s'il devait crever là, devant le Très Haut, et les putains bretonnes, alors il en serait ainsi.

Il inspira donc, le temps que le Coms donne son verdict et de voir les officiers revenir autour. Histoire pour eux de ne pas perdre la face. Ils avaient fait une brillante démonstration de leur talent à protéger un Coms... Heureusement que ce dernier était capable de tuer sans aide ! Le vieux soudard leva ensuite le menton, pour que sa gorge soit totalement offerte, et il ne bougea pas d'un cil. Il se contenta de regarder le grand général, ignorant celui qui était arrivé se donnant une excuse pour son inaction – indigne de sa charge de capitaine – puis fit entendre sa réponse, toujours rocailleuse.

Je serai donc aussi bref que le souffle me tiendra, mon Prince. Par trois fois Monseigneur vous a sollicité. Par trois fois, vous vous êtes engagé sur l'honneur... et comme un disciple honteux, au chant du coq, vous avez renié votre parole ! Je suis donc là pour obtenir, sur le champ, ce que vous aviez promis pour le mois dernier...déjà !

La phrase se termina sur la fin de l'expiration. Message délivré, et mission accomplie... Menton toujours haut, le vieux molosse était près, une dernière fois, à assumer son service.

Keyfeya

Envie de crier....

On va pas y arriver ....on va pas y arriver c'est quoi ce bordeeeeeeel !!

Ça va...ça vient, ça rentre ça sort....ça parle...ça menace....y a pas moyen de faire ça normalement ?

On a même pas le temps de réciter ses prières que ça parle de partout...

Et la rousse qui se dirige vers elle...qu'est ce qu'elle a fait encore!?

Citation:

Je crois que ma nièce aurait bien besoin de tes compétences médicales ..

Mouiiiiiiiiiii

Regard vers Perta avant de se diriger vers la jeune femme qui se sent mal.

C'est un mariage ça ?

On pousse...on se démène on a pas pris sa trousse....ben non on avait pas prévu et de sa hauteur on regarde par dessus une épaule la jeune femme qui .....mais c'est pas possible....

Ah non pas encore un accouchement ! Première réaction...

Ahum...elle a l'air....grosse non?

Cela s'appelle nommer l'évidence.
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Azkaban

Ecrite entre hâte et réflexion, voici les quelques mots destinés à celle qui va se marier

Bonjour Leyah,

Je voulais dans un premier temps te remercier de ton invitation, je dois avouer avoir été surpris de la rapidité avec laquelle tu as préparé ces festivités, remarque, depuis le temps…

J’espère aussi que vous n’aurez pas une livraison de cercueil au moment de vous rendre à l’autel, je t’assure que ça surprend pour l’avoir vécu.
Je te souhaite par ces quelques mots du bonheur autant que j’en supporte quotidiennement, c’est une vraie joie chaque jour, en espérant que cette fois ci pour toi, ce soit le bon.

De plus, je voulais t’informer que malheureusement ma famille et moi ne pourrons nous rendre à cet événement oh combien je le pense important pour mon ancien comté, faites que le Périgord s’enrichisse de cette union.

Pour ma part, je pars pour les Flandres, lune de miel et nouvelles plantations, enfin je ne vais pas te faire un dessin, de toute façon je sais retranscrire uniquement les ciels de nuit.
Et puis avec un peu de chance, Bahia fera l’effort, il est tellement plus sociable que moi. Je lui laisse cette part d’ailleurs, tu sais que je n’aime pas les foules ni les gens.

Pour terminer, sois heureuse tout simplement.
Le seul, l’unique (enfin presque)
Azkaban De Ménéac

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Erwann

Entré ni vu ni connu, Erwann s'était installé dans la rangée réservée à la famille. Il s'était vite endormi, trouvant les cérémonies de mariage un tantinet chiante. Osons le dire. Bref, au moins, il avait fait l'effort de ne pas ronfler et c'était en soi un exploit.
Alors qu'il rêvait, il se réveilla en sursaut, essouflé

Gnnnnh ! Je refuse qu'on laisse Leyah épouser un germanique ! Un germanique qui parle allemand et qui mange de la choucroute aux saucisses ! A moins que ce ne soit de la saucisse à la choucroute... Bref faut pas que...

Clignant des yeux, il commençait à se rappeler qu'il était vraiment à la cérémonie de mariage. D'ailleurs, il lui semblait qu'il n'y avait plus grand monde à coté de lui.
Il se retourna et vit des têtes connues. Le religieux, la Fleur avec son cavalier qui semblait impatiente, sa cousine et un petit groupe rassemblé non loin d'eux. Il haussa les épaules et se rassit.

On ne dérangeait pas un Bleizhmorgan durant sa sieste.
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Gael

Chloé... Chloé... Quel joli prénom pour son fils. L'enfant tout comme son père était d'une blondeur tenace, certes il bavait un peu partout et ses grosses joues ainsi son corps difforme ne le rendait pas disgracieux, mais il en était sur, plus tard cette chose serait aussi une masse imposante, un homme fort... son fils quoi.
Cependant un léger détail obsédé l'enfant, il sentait qu'un problème restait en suspens, la chose était pourtant des plus évidente il en était sur. Scrutant l'enfant il lui fit cependant un sourire qui ce figea. Il avait trouvé !
Son regard noir d'un Bleizhmorgan en colère se braqua sur l'homme qu'il connaissait plus communément sous le nom de flasque.

Dit ! J'ai comprit ton petit jeu... ça s'y passera pas coume ça, n'être pas comme le nain bruti moi !
T'y fera pas de mon fils une baltatringue ! T'a vu comment qu'il n'est habillé ! N'être une honte, faut l'habiller en violet, coume son popa !

Non mais haut faut pas pousser le bouchon trop loin, il savait qu'être dans le coma pendant quelques temps n'arrêtait pas le monde, mais depuis qu'il été réveillé plus rien n'allait, les gens allaient de travers et faisait n'importe quoi. Un peu comme Tonton Vonafred qui pensait que Leyah l'épousait pas pour sa couronne... d'ailleurs il faudrait qu'il arrive à un intercepter une couronne comtal au passage.
Fixant toujours l'incongru qui transformait son héritier en fillette, une chose des plus tragique ce produisit. Là devant lui il osait enlacer sa namoureuse dans une église en plus ! Et elle ne disait rien. La crise que traversait le couple parental du Gaël semblait ce reproduire devant lui, il le savait il aurait du s'en douter en voyant comme était Lena, toutes vénales au possible. Dans le coma et possédant une trop petite couronne il ne pouvait plus l'intéresser.
Très calmement il s'approcha de l'enfant et lui déposa une baiser sur le front.

Arrête d'y baver twa, t'y pas un crapaud. T'être mon fils n'a mwa et bientôt ne te donnerais la France.

Puis toujours sur les genoux de Lily il se retourna avant de la regarder droit dans les yeux, le choc qu'il avait subit finissait d'affirmer que le garçon n'était plus que l'ombre de lui même. Posément il posa sa question, son ton était d'une parfaite indifférence car il connaissait déjà la réponse, il venait de mourir une seconde fois. La dernière chose qui finissait de le faire avancer son corps meurtrit et malade venait de lui plonger une autre lame encore plus profonde dans le coeur. Mais une petite lueur d'espoir au fond de lui-même lui soufflait qu'il pouvait se tromper et que tout n'était pas noir. Ce raccrochant à ce dernier espoir sa voix se fit presque inaudible, la peur qu'il soit entendu dans un tel lieu et que le honte s'abatte sur lui se fit omniprésente. Chaque mots raclant encore un peu plus ses blessures il ce lança l'eau.

Dit moi la vérité na mwa, n'a sert à rien de m'y mentir, parce que s'y t'y m'y ment ne le serait et ne sera encore pire. N'être po bête. Tu n'être nain fidèle ? Tu veux plus être ma namoureuse... Ta cru que n'étais mort et t'a refait ta vie pour notre fils... T'ya eu raison.......

Leyah

Les minutes qui s'écoulent .. ou heures ? Allez savoir ..
Le gugusse ne causant pas, une espèce de petite angoisse vint naitre dans la gorge de la rouquine .. le com's allait lui taillader la gorge , ca n'allait pas faire joli , joli
Devant cette non réponse de cet être prompt à la causette quand il s'agissait de foutre le bazar, mais restant bouchée bée alors qu'on lui posait la question ... la rouquine après une petite gymnastique étrange, revint sur ses pieds, fit volte face, et avança de quelques pas.
Un shoot dans la botte de Erwann, si si .. elle l'avait entendu, les bancs réservés a la famille étaient proches .. tsss celui la .. la cuiller tout ca ..

Et d'avancer d'un pas feutré vers le comte .. ne pas lui faire faire de fausse manœuvre , sinon ca allait .. tâcher et fallait il l'admettre, sur cette magnifique tenue cela aurait été du plus mauvais effet.
Une main posée des plus dééé-liiii-caaa-teeee-mennnt sur le bras de son cher et tendre et la rouquine de lui souffler
Amore, laisse donc ce bougre pour le moment .. il va être poli et respectueux non seulement de l'endroit mais aussi de l'instant, et ira se placer gentiment sur un banc pour attendre la fin de la cérémonie et te verra ensuite pour te délivrer ce fameux .. Message..
Regard noir
Sans meme sourciller , sans baisser le moins du monde le regard face a cet homme qui était proche de lui coller de l'urticaire de par son irrespect, n'en déplaise, elle rajouta
Posez maintenant votre pétard osseux sur ce banc, dans la plus grande méditation qui soit .. le silence est d'or .. un claquement de doigt et ... il serait dommage que votre trépas fasse obstacle a votre mission ...

Se tournant vers Astorius
Le contenu de ce message est facilement devinable et non secret d'état .. il peut attendre la fin de la cérémonie
Un sourire, un regard vers son cher et tendre, calme, et largement serein, ce n'était pas un esclandre de plus, un obstacle de plus qui allait changer grand chose , et ensuite de se tourner vers les invités de toutes sortes
Veuillez je vous prie, pardonner ce petit .. incident ..
Preuve que le royaume est peuplé de malotrus , ne respectant rien , nous en avons un spécimen rare ici présent.
Je propose que cette joyeuseté se termine par la transformation de ce triste Sire en entremets si il venait a encore ouvrir la bouche ou faire le moindre geste.
Large sourire franchement amusé
Mais .. après ! Si si !
Laissons le donc brailler s'il l'ose encore, ignorons le ..si il veut s'éclater la voix grand bien lui fasse, mais en ce cas , il n'obtiendra pas ce qu'il vient chercher ..

Elle commençait a se geler copieusement les miches, et son humeur n'allait pas tarder a tourner vinaigre si même elle était parfaitement calme a cet instant précis.
Cette faculté qu'ont les gens a se la ramener pour des broutilles afin de faire trainer les choses l'agaçait, mais elle n'en montrait rien
Parce que oui .. pour elle, ce n'était que broutilles ...une ligne de plus de grief notée dans sa caboche plus tard, elle fit un pas de coté, lorgna vers l'extérieur, reconnaissant une silhouette connue, elle se contenta d'esquisser un sourire, avant de refaire un demi tour sur ses talons et de repartir là d'où elle venait.
C'est a cet instant qu'elle aperçut un petit regroupement autours de Lyly.. haussement de sourcil interrogatif, louchant un peu plus pour tenter de comprendre ce qui se passait, et quand l'écu vint percuter sa caboche, elle grimaça.
Effectivement .. il était grand temps que cette cérémonie reprenne son cours et se termine, d'autres affaires plus urgentes qu'un simple messager devaient primer.

Un peu plus loin .. Key .. encore quelque pas et elle glissa une main sur l'épaule de la mairesse de la ville, lui glissant quelques mots rapides à l'oreille
Je crois que ma nièce aurait bien besoin de tes compétences médicales ..
Sans en dire plus, elle se redressa, menton haut, digne, et ce malgré cette ultime humiliation tentée par ceux qu'elle appelait " les maitres chanteurs " , elle s'était refaçonnée cette carapace qui empêchait ces âneries jalouses de l'atteindre, mais toujours était il que si cela continuait encore .. même le plus beau placage de la Fleur ne pourrait rien empêcher ..
Une rouquine qui se fâche .. ce n'est jamais joli a voir ..
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Matalena

La jeune femme jeta un énième regard sur son reflet dans le miroir. Après un long bain parfumé de rose et d'aubépine, l'infante coiffa avec soin sa chevelure pour l'arranger en un chignon lâche qui laissait s'échapper sur ses épaules à demi-dénudées de longues boucles brunes. Une houppelande de soie rouge, serrée à la taille par une ceinture brodée, agrémentée d'un savant laçage qui mettait ses féminins attributs en valeur... Et un fin collier se terminant, dans un creux des plus seyant à l’œil, par une pierre assortie à la teinte de sa vesture. Satisfaite, la donzelle accorda un sourire à celle qui lui faisait face sur la surface lisse. Quand le martellement d'un poing sur la porte la tira de sa rêverie, elle lança un "J'arrive tout de suite très cher !" de son timbre clair et mélodieux, et...

La réformée balança le bouquin dans le premier caniveau que croisa sa monture. Dégoutée, en son fort intérieur, qu'on pu gâcher du parchemin pour semblable torchon de récit. Sérieusement, qui aurait pu supporter de lire des pages et des pages de pareilles inepties... Croisant de ses noires mirettes l'unique œil gris acier de son compère, elle haussa un sourcil significatif avant de reprendre les grommellements qui s'échappaient de sa gorge de façon interrompue depuis leur départ de Castelnou d'Arry. Enfin (ou hélas, c'est selon), se dessinèrent les hautes et glaciales façades du religieux édifice. En levant la tête pour observer la cathédrale, un long frisson lui parcouru l'échine, suivit comme souvent d'un fourmillement des doigts de la main gauche, qu'elle contracta sur les rennes de son destrier.

Franchement Maleus... Passe encore que vos obligations de noble, d'ami, d'ex-amant, ou que sais-je encore vous obligent à ce type de formalités... Mais vous ne me ferez définitivement pas avaler que ma présence était, je cite "Tout à fait indispensable à assurer ma préservation physique et mentale, et correspond à votre devoir en tant que second".

Tout ça pour finir, histoire d'ajouter au charme bucolique de cette escapade romantique, clavés sur un parvis comme une paire de clodos à l'amende. Une journée qui s'annonçait pourtant sous les meilleurs auspices quand, en pleine séance de méditation-sur-ballot-de-paille, son aîné s'était soudainement souvenu qu'on était samedi, et qu'il(s) étai(en)t attendu(s).
Croisant devant elle ses jambes ceintes de lames apparentes, la jeune femme entreprit de faire fusionner son mince fessier avec la pierre sans trop d'incommodité, jouant nerveusement avec son pendentif.

J'ai dans l'idée qu'il doit se trouver dans cet enclos à bétail au moins cinq ou six personnes qui rêveraient de voir ma et, sauf votre respect, votre borgne tête au bout de pics bien taillés. Si j'en crois les borborygmes qui montent des sous-pentes, ils m'ont l'air en sus pétés comme des coings... Servir de pignata à une bande d'hérétiques bourrés en pleine sortie de transe romaine, très peu pour moi.

Énième coup d’œil au blond. Silence. Se résignant enfin à accepter son triste sort comme inéluctable, la réformée éructa avant d'expédier un gros mollard devant ses bottes sous le regard haineux d'une honnête mère de famille entrainant dans ses jupons sa bruyante marmaille. Chier...
Mais à y être, buvons.
S'enquillant une bonne goulée avant d'essuyer ses lèvres sur sa manche, la brunette acquiesça.

Une petite partie peut-être ?

Susurra-t-elle, sachant pertinemment qu'elle touchait là un des péché mignon de son acolyte, en tirant de sa poche un petit paquet de cartes.

Mais non suis-je bête, vous êtes fauché comme les blés... Une conversation vous couterai sans doute moins cher que vous faire dépouiller par une fille.

Sourire mesquin aux encoignures.
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« Ne confondez pas le sombre avec l'obscur. L'obscur accepte l'idée de bonheur; le sombre accepte l'idée de grandeur. »
Victor Hugo

Aleen

La cérémonie se déroulait tranquillement, le Père Astorius célébrait ce début de mariage le silence s'était fait, l'assemblée était recueillie, elle allait répondre à Lily lorsqu'une voix se fit entendre

Citation:

Mon Prince ! Faites cesser sur le champ cette... cérémonie !

Elle se pencha ver Lily et Sandreen,

mais vous avez entendu, qui est ce butor qui ose troubler ce mariage ?

Elle voit le comte s'approcher de l'homme, lui pointer un coutelas sur sa gorge, puis le Capitaine s'approcher suivi d'autre hommes, la jeune femme prie Aristote pour que ce ne soit qu'un mauvais rêve, pour que ce fauteur de trouble soit jeté hors ce saint lieu, pour que ce mariage ait lieu. Pour que cet envoyé du sans nom aille pourrir en enfer, ainsi que ceux qui l'ont envoyé
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Emardeche

[ Une cathédrale qui s'emplissait.]

Ema s’était pris a attendre de voir al suites des événements qui allaient se produire. oh il en connaissait déjà une partie puisque de mariages il avait déjà été le prenant mais cette fois ci les public étant différente dans le plus grand ensemble les choses se déroulait de manière bien moins identique.

Un large sourire se dessina lorsqu elle voyait le Comte et Leyah remontés l'allée central avec le reste du cortège .

Un clin d’œil fait a la fleur. Ema se retourne pour ait ce qui se passe et aperçoit la scène de Tadek et Alix qui lui bandait gentiment la main .

Lorsqu'elle en se retourna , elle vit un homme sortir d un rang et s 'ecrier.

Mon Prince ! Faites cesser sur le champ cette... cérémonie !

En un temps de reaction , elle se retrouva au côté de cet homme, le Comte qui était tres vif, se trouvait deja là, ainsi que le capitaine Tadek, elle était prête a saisir cette ursupateur.

Elle lança un regard au Comte ainsi qu au Capitaine, il fallait agir vite, pour pas semer un vent de panique parmi les invités.

Astorius

Même pas le temps de dire un mot que déjà le Comte avait bondi… tout de rage froide contenue, la dague à la main… suivi comme son ombre par un de ses compagnons…
Un attroupement se crée aussi tôt autour du trouble fête…

Par Aristote… ils ne vont quand même pas le saigner sur place…

Leyah a écrit:

Ne vous en faites pas mon Père, Louis a cette capacité de diplomate qui épargnera le sol de la Cathédrale d'une souillure quelconque ..

euh ben oui mais là, il a l'air très très en colère…

Il est inquiet le cureton de la tournure des évènements… il se précipite lui aussi, à la suite du Comte…

Mes Amis… mes amis… un peu de calme je vous prie, nous sommes dans une église…

se tournant vers le Comte…

Monseign…, euh… Votre Grand… pffff… Louis !!!!
Pardonnez moi… je… je comprends votre colère mais je vous en prie… remettez votre dague au fourreau… Le Très Haut ne saurait tolérer l'usage des armes dans sa maison…
écoutons ce que cet importun a à dire et vos hommes le reconduiront dehors … s'il vous plait…
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curé de Périgueux
et picétou

Edlweisss

Rhalala mais on y arrivera donc jamais!
Toujours des opportuns pour tenter de barrer la route de ce qui doit être.
Qu'il l'étripe , qu'il le dépèce et qu'on en finisse bordel!!!

Croisement de regard avec la rousse. Non tu bouges pas! il maitrise .. et au pire , y a plein de coq pour la défense. Un homme même grand contre tous , ne fera pas changer les choses, alors tu bouges pas!
Trop fortes elles sont qu'elles se comprennent à distance , un seul regard suffit.. mais quel regard! un regard qui veut tout dire et dire tout.
Elle a l'air calme , tout va bien je vais bien .. mais bordel ce que j'aimerais le peler en douceur le grand pas beau qui fait suer! Je ferais griller les morceaux de chairs que j'aurais pelées pour le forcer à les avaler avant de recommencer encore et encore ,en prenant mon temps .. peut être même que je le salerais pour qu'il goute meilleur .. ben oui quoi faut bien qu'au moins son palais soit contenté …

Nouveau regard vers l'incident , je souris à mon cavalier dont je croise le regard.

Bon .. parrain c'est quand tu veux que tu finis ce que tu as a faire .. c'est pas qu'on s'ennui là mais ça devient long … tout ça dans mon regard qui à présent s'est posé sur Von.

Impatiente moi ? naaannnn
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Les Fées Tisserandes

Maleus

[Corvée de mariage en exterieur.]

Quelle galere ! Mais quelle galere ! Un voyage sans interet pour une corvée de mariage, du borgne se dégageait une forte sensation d’agacement. Il avait songé pendant quelques jours à se faire porter pale, trouver excuses assez potables pour ne point faire acte de presence mais non, rien. Le cyclope s’etait donc trainé, pas seul heureusement, jusqu’à ce foutu édifice religieux pour le mariage de son amie la rouquine. De toute maniere lui et sa comparse etaient bons pour squatter les marches à l’entrée, ne pas ouïr la messe (romaine c’la va de soi) etait un des commandements que les réformés se devaient de respecter.

Un coup d’œil à Mata, presque totalement vêtue de noir comme lui, l’Ichtus en médaillon seul bijou visible sur eux. Noir qui en plus de leurs trognes peu avenantes leur confererait un aspect lugubre à souhait.

Tendant sa pipe à la brunette après avoir tiré une bonne bouffée il indiqua d’un geste vague la grande porte de la cathédrale à quelques metres d’eux. Une legere grimace de degout s’etait figée sur le visage balafré de Maleus, l’idée que des fideles aristotéliciens puissent écouter sans rechigner les conneries des curetons romains lui filait la gerbe.

Quelques enjambées pour réduire la distance entre eux et l’entrée, de l’agitation semblait-il… Pas son probleme. Grande orgie ou baston générale, le vétéran s’en foutait royalement, désinteressé completement par cet événement il n’etait là que par amitié et aussi un peu pour manger gratos.

Paluche en visiere, une rouquine tout au fond et un bref salut armé d’un sourire crispé, il fit demi-tour et posa son séant sur l’une des marches du perron.

" Ah ces romains ma chere Matalena… ‘Savent pas se tenir… Puisse Deos les foudroyer de sa colere divine. "

D’un mouvement de caboche il l’invitait à prendre place à ses cotés et posa sa besace sur ses genoux.

" Il semblerait que nous avons été trop rapide, nous voila bons, j'imagine, à attendre un long moment… Au moins ai-je été prévoyant en ramenant de la gnôle, de quoi se réchauffer pendant qu’ils se les pelent dans le batiment le plus froid de la ville. "

Liant la parole au geste il sortait doucement la boutanche de la besace, un soupir lui échappa.

" Ne pas ouïr la messe… je ne sais ce qui se dit à l’interieur mais vous constaterez comme moi que les voix portent… Echos désagréable c’la va de soi… Toujours est-il qu’il va nous falloir trouver sujet de conversation si nous ne voulons pas sombrer dans un profond sommeil une fois cette bouteille vidée. "

Enfin un sourire, en coin certe, mais tout de même.

" A moins que vous ayez aussi pensé à ramener quelques passe temps. "
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Tinig

Beh, forcément à force de le balancer de toutes leurs forces, façon lancer de nain, contre cette paroi, avec pour mission agrandir ce passage avec sa frimousse. On va finir par y arriver, mais il allait finir dans quel état.
Oui, oui. Vous avez bien entendu ? LEURS force. Non parce vu la force avec laquelle il était poussé contre cette paroi , avec pour mission de s'y créer un passage. Il pouvait pas être seul. Pô possible

Et ça continuait, ça recommençai et recommençait sans cesse
Toujours le même rituel.
1, un bon coup de pied sur ses petites miches.
2, un vol plané de quelques centimètres, tout de même
3 fracassage de la face contre un mur. La joue qui prend un bon coup, le nez qui s'écrasse.
Et en 4, quelques minutes de répis pour lui laisser un peu le temps de récupérer ..
Bien qu'il avait l'impression que ses bourreaux étaient de moins en moins patient. Rongeant sur son temps de pause syndicale et accélérant les lancers.

Attendez que z'vous r'trouve, quand ze serais grand !! Qu'vous f'rez moins les mariolles. Namého !!

Forcément, comme prévu et parce qu'il a la tête dure, le petit tunnel commença à se s’agrandir à chaque lancer
A croire qu'ils faisaient un concours pour savoir qui réussirait à le faire traverser en premier.
Bande de … vilains missants pas bô d'Monfort. Z'vous arrasserai les pâtes, moa. Z'allez voir.
Zavez de la chance d'êt'es dans mon dos, bande de lasses !!

Et oui, qu'est ce que vous voulez. Quand on a du sang Bleizhmorgan dans les veines, on déteste viscéralement les Monforts, avant même la naissance. C'est dans les gênes. Cherchez pas, c'est comme ça.
Et notre adorable petit ange, ne délogeait pas à la rêgle. Il les détestait déjà. Il savait pas pourquoi, mais na fout'e.
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Jazon

Duchesne avec à son bras son épouse Gypsie avait fini par entrer dans la cathédrale en suivant ou plutôt emporter par la foule des invités et des curieux.
Ils finirent par trouver place sur un banc à mi chemin de l'allée centrale.
Ils purent ainsi apercevoir le couple de futurs mariés faire leur entrée dans la cathédrale.

Jazon ne put s'empécher de sourire en pensant au comte passer corde à son cou. Jolie corde d'ailleurs, soit dit en passant !
Combien de belles femmes périgourdines s'étaient confiés à lui à son sujet, bien souvent dépitées de ses agissements envers la gente féminine et elles en particulier.

La cérémonie débuta.
Elle était bien avancée, puisqu'on arrivait à l'échange des voeux quand on entendit quelqu'un hurler.
Mon Prince ! Faites cesser sur le champ cette... cérémonie !

Le silence !
Puis des mouvements de tête.. Les gens qui s'interrogent.. Tout le monde cherche à savoir ce qui se passe...

Des chuchotements qui déferlent dans l'assistance.
Le comte s'est déplacé jusqu'à un homme...
Il l'a blessé...
Non ! Non ! Il l'a égorgé je vous dis !
L'âme damné du comte n'est pas loin.
Pas d'inquiétude... Le capitaine Tadek va le faire sortir manu militari...

Jazon chercha du regard la scène mais il y avait tant de monde...
Et en entendant tous ces chuchotements, toutes ces remarques, il se dit qu'il assistait à la création de ce qu'on appelle une rumeur.
Tout le monde croyait savoir et le bouche à oreille déformait tout.

Intrigué pourtant, il demanda à Gypsie qui était plus près que lui de l'allée :
Vois tu quelque chose Gypsie ? Que se passe t'il ?

Leyah

Le père Astorius parlait, la rouquine l'écoutait sagement, sourire imbécile tiré jusqu'aux oreilles ..
Une bulle ... rien de tel pour éviter de se laisser déconcerter par l'attitude irrespectueuse qui provoquait émules derrière elle.

Ne bouge pas ma mie
Un regard qui en dit long , tant à dire " commentveuxtuquejebougejesuisendimanchéedansunerobequiprendautantdeplacequemoietavecungenouxaterresijaipasuntreuiljamaisjefinissurlespieds", ça c'est du regard qui en dit long ein?
Avant de soupirer longuement .. il était loin d'être fini ce cirque ..enfin en meme temps depuis le temps que cela durait, ils devraient être habitués, mais non ! On ne s'habitue jamais a l'imbécilité humaine.

Et le comte de se lever et de partir furieux vers l'arrière une rouquine de loucher fortement en direction du curé , avant de balayer d'un geste de la main la situation et de froncer le nez
Ne vous en faites pas mon Père, Louis a cette capacité de diplomate qui épargnera le sol de la Cathédrale d'une souillure quelconque ..
Grimace ... du moins fallait il l'espérer pensa-t-elle ..

La tête de la rouquine se détourna alors vers la Fleur, nouveau regard entendu, petite question dans les yeux " oui ? Non ? Non ? Oui ? Placage ? Bouarf .. bon d'accord .. je bouge pas " .. si si ! Elles arrivent a se dire tout ça sans ouvrir la bouche, de vraies trop fortes ces donzelles ..
Et de revenir vers Astorius .. sourire gêné .. avant de poser le menton dans sa paume d'un air nonchalant " tout va très bien modame la marquise " et de murmurer
Psstt dites mon père .. en attendant que ces hommes fassent ce qu'ils ont a faire .. vous n'auriez pas un brin de vin de messe là ? J'en ai .. cruellement besoin ..
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Tadek

Tadek avait prit place avec Alix dans la cathédrale et la cérémonie
avancait tranquillement.

Le Capitaine regardait cette main qui saignait encore, avec la colère
qui avait monté en lui à cause de Namay, Tad' avait du appuyer un peu
trop sur la lame ...

Une cicatrice de plus, mais celle-ci, il l'avait choisi contrairement aux autres et elle avait une signification tout autre.

Perdu dans ces pensées, Tadek fut sortit de sa rêverie par le cri
d'un idiot et avant que Tad' ne bouge, le Comte, excédé se rua
sur l'homme et lui mit le poignard sous la gorge pour qu'il s'exprime.

Avec un regard noir de colère et d'agacement, Tad' s'adressa à Alix:

Excusez moi Alix, je reviens

Tadek se dirigea à grand pas vers le Comte et l'idiot et lui chuchota:

Vostre Grandeur,

ce n'est ni le lieu, ni le moment pour tout ceci, laissez moi l'emmener
dehors et deux gardes l'emmeneront manu militari en nos geôles
où il attendra son jugement.

Tadek n'attendait qu'une chose, que le Comte lui ordonne d'emmener
cet idiot dehors.
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Hagos

Voilà que l'importun lui déblatérait toute sa diatribe sur des excellence par ci et lui qui était venu du ciel ou autre provenance douteuse.
Avant de passer outre le lieutenant.

Celui ci lança un "Sale chie..." mais déjà celui-ci se mettait à hurler dans la cathédrale.

Lorsque le comte arriva à leur hauteur, il sortit :

Désolé son baragouin m'a décontenancé et il a eu le temps de beugler.

Il chercha ensuite Edelweiss des yeux.

[Cheffe modo Aldraien
Le HRP n'est pas autorisé par les Règles d'Or des Arpenteurs. Retiré.
Bon jeu.]
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Alix_du_vivier

Mon Prince ! Faites cesser sur le champ cette... cérémonie !

Qui pouvait oser troubler ce mariage? Cela sonna comme un glas dans la cathédrale, Alix surprise, serra la main a Tadek qu'elle tenait toujours!!!

Pardon Tad'... heu....Capitaine!!!

Elle passa par toutes les couleurs du rose au rouge pour finir blanche comme la neige.

Homme de guerre qui je sourcilla point, il ne bougeait pas d'un pouce c'était le cas de le dire, regardant le sang qui suintait très légèrement a travers le bandage que la brune lui avait fait.

La maréchale ne savait quoi faire, reprendre un bout de jupon ...Non a ce rythme là comment allait-elle finir si ses dessous terminaient en bandage....

Finalement elle opta pour attendre de voir la suite, angoissée elle chuchota a son oreille

Oh Seigneur!!! vous ais-je fait mal?
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Vonafred

Le sermon de l'honorable Astorius résonnait encore.
Qui ose foutredieu...
Le Coms, visage pourpre et regard mauvais tourna lentement la tête tandis que main droite se porte à la dague.
Ne bouge pas ma mie suivi d'un Pardonnez moi Père Astorius et l'on remonte la travée au pas de charge.
Fureur de Coms amoureux de sa belle n'est point à prendre à la lègere.
Il reconnu le soudard envoyé d'un et hurla sa rage d'homme irraisonné prêt à tuer.
La dague brilla, effort de titan pour qu'elle ne plonge pas dans la gorge du messager...On ne tue point les envoyés avant d'entendre l'envoyeur.
-Tu as le temps d'un battement de coeur pour délivrer ton message, ne soit pas trop long ou je coupe dans ta prose avec ça.
Forte pression de la lame sur la glotte du Stanislas.
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Robins

Je regarde les gens qui font leurs entrées, doucement, par petit groupe, ou solitairement, au sein de la cathédrale.
Un éclat de voix ce fait, de reconnaître le frère de Louis avec un homme de ce dernier, et de juger la situation rapidement, pour ne voir en cela qu’une querelle d’hommes de caractères, ne pouvant prêter ombrage à ce mariage.
Le couple mit à l’honneur ce jour, fait son entrée, je me lève pour le suivre de cette façon des plus féline qui m’est habituelle.
Je me place de façon à pouvoir voir les mariés tout en observant de mon regard prévoyant l’assemblée.

Une petite agitation, et de me retourner pour faire apparaître sur mon front, les plis des mauvais jours, un autre homme du Comte semble intervenir auprès d’un homme avançant d’un pas décidé, discrètement je sors ma dague.
Echange de regard avec Louis, il se lève et je le suis tel son ombre, tout en rajoutant à ses dires :

Il te coupera la prose, et je me chargerais du reste…

Sourire sadique, en imaginant ses bourses faisant le délice de Périgord .

Stannislas

Que le lieutenant fasse mine basse, rien d'étonnant... Le dogue savait faire face ! Il restait pourtant devant lui silencieux comme un mérou châtré. Soit, de nouveau ! Fort heureusement, le Coms avait tourné la tête vers le vétéran, montrant ainsi sa considération au bonhomme. fort de son droit, il repoussa l’officier et s'avança de plus belle. Mais c'était sans compter sur le curé... C'était amusant, cette faculté, chez les curés, de faire comme si de rien n'était !

loin encore de sa destination, le vieux soudard, et fort des instructions de son Excellence, héla le Coms, sans honte, et sans irrespect.

Mon Prince ! Faites cesser sur le champ cette... cérémonie !

Il aurait bien gueulé à la mascarade, mais il avait un respect trop pieux pour ce pourfendeur d'hérétique pour songer à l'amoindrir dans ses choix.

Et dites à vos laborieux ouvriers de ne pas croire pouvoir faire taire un émissaire du Lumineux !

Le sourire du molosse était franc, et tout dirigé vers celui qui avait décidé de s'unir ici... Sans avoir entendu son excellence...

Astorius

Stannislas a écrit:

Mon Prince ! Faites cesser sur le champ cette... cérémonie !

Oh ben non !!!! il n'avait pas encore prononcé la phrase… celle qui faisait que tout à coup le silence se faisait dans l'assistance, avec ce court sentiment mélangé d'excitation et d'effroi (et si quelqu'un parlait…) suivi d'un vif soulagement (ouf, personne n'a rien dit)…
il n'avait pas encore, donc prononcé la phrase fatidique… normal elle venait plus tard dans la cérémonie… que déjà quelqu'un s'opposait …

Bon d'un autre coté, l'interpellation ne lui étais pas destiné… personne encore ne l'avait appelé mon prince… et à priori cela n'était pas prêt d'arriver…

L'adresse était faite à n'en pas douter au Comte… Le pieux barbu se tourna donc vers lui, un peu décontenancé, afin de voir quelle serait sa réaction
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curé de Périgueux
et picétou

Astorius

Ça bouge et ça remue dans tous les sens au fond de la cathédrale… des cris… des injures mêmes, s'échangent… des chaises se renversent, des gens se précipitent… s'invectivent… une femme semble défaillir… entourée aussitôt de ses proches…
il est trop loin, le curé pour se rendre compte de ce qui se passe exactement…

Il n'est pas le seul à avoir remarqué l'agitation du fond de l'église… les regards qu'échangent le comte et sa promise avec leurs proches en témoignent…

mais bon… il y a un mariage à célébrer… célébrons donc !!!
Leyah et Vonafred ont de concert récité le credo… il est temps d'enchainer…

Il sort de la poche de sa soutane le vieux livre des vertus qui ne le quitte jamais… taché, corné… mais dont les pages,souples d'avoir été feuilletées si souvent, sont un plaisir pour les doigts… son vieux compagnon de veillée à la lueur d'une bougie…

… tourne les pages avec calme pour parvenir enfin à l'extrait choisi, il relève les yeux vers l'assistance avant de reprendre la parole…

Je vais vous livre un extrait de la Vita de Christos… le livre XIII

Citation:

Or, la fille de nos hôtes vint avec une cruche pour nous servir du pain et du vin, Christos reconnu celle qui se nommait Natchiatia, et qui lui avait adressé la parole précédemment, lorsqu’elle était dans la foule.

Natchiatia versa le vin de sa cruche dans la corne de Christos, et lui demanda :
" Maître, je suis en proie à un profond tourment de l’âme. Je voudrais te suivre dans tes enseignements, mais j’aime un homme qui habite ici et qui se nomme Yhonny, je l’aime d’un amour pur comme le diamant… Que dit Aristote sur cette question que dois-je faire ? "

Christos lui répondit: " Lorsque deux êtres s’aiment d’un amour pur et qu’ils souhaitent perpétuer notre espèce par la procréation, Dieu leur permet, par le sacrement du mariage, de vivre leur amour. Cet amour si pur, vécu dans la vertu, glorifie Dieu, parce qu’Il est amour et que l’amour que les humains partagent est le plus bel hommage qui puisse lui être fait. Mais, comme le baptême, le mariage est un engagement à vie, aussi, Natchiatia, choisis judicieusement, car une foi que tu aura épousé Yhonny, vous ne pourrez plus vous y soustraire. "

Comme cette dernière parole frappa d’étonnement l’assemblé, car l’époque était à l’inconstance… Natchiatchia reprit :

" Mais, Maître, seront-nous assez fort pour respecter ce choix et vivre sans pêcher ? "

Alors, Christos répondit :
" Sachez que l’humain doute par nature, que l’amour qu’il éprouve pour Dieu et pour son prochain peut connaître autant d’aléas que la vie comporte d’épisodes. Mais la vie vertueuse est un idéal vers lequel l’homme doit tendre. Et, dans son chemin, il peut s’aider de la prière. La prière peut en effet être le moyen pour tous de renforcer cet amour lorsque cela est nécessaire. N’oubliez pas non plus la puissance de la miséricorde, qui est accordée grâce à la repentance."

Il se tu un instant pour observer l'effet qu'avait eu sa lecture sur l'assistance puis il reprit la parole…

Que nous disent ces paroles du prophète ?
Nous avons déjà parlé de l'Amitié, base de notre foy à tous…
Les époux, par un amour pur et désintéressé, sont appelés à former cette amitié parfaite qui est le gage de la sainteté aristotélicienne. A travers cette union si belle des époux c'est Dieu lui-même, source de tout amour, qui est glorifié.
Le mariage est indispensable à l'amour incarné, car il fonde une communauté de vie. C'est un engagement ferme et fort, dans lequel les époux se promettent de lutter ensemble contre les germes de haine et de désordre, par delà les difficultés de la vie quotidienne.
Cet aspect spirituel ne doit pas faire oublier que l'union des corps est aussi primordiale, en vertu de l'amour qu'elle exprime. La sexualité est le moyen choisi par Dieu pour rendre présente sur terre la fécondité de l'amour, pour assurer la fondation d'une famille unie et pour souder par les gestes intimes l'affection des époux.
Mais ce que nous dit aussi Christos dans son infinie sagesse, c'est que le mariage, fut il un engagement sincère, ne peut être considéré comme une simple formalité qui serait révocable à souhait. L'union spirituelle des époux n'est jamais une chose acquise et définitive, il convient de lutter pour la construire et la maintenir. Ainsi un simple désaccord des époux ne saurait en aucun cas justifier une séparation. La voie qui mène au paradis est étroite, et demande bien des sacrifices.
Il ne suffit pas d'un amour sincère pour qu'un mariage soit un succès… la volonté d'un engagement durable est également nécessaire…

Il était temps désormais de passer au choses sérieuses…
invitant du geste les futurs mariés à se relever, il les regarda longuement avant de s'adresser directement à eux…

Dame Leyah, Comte Vonafred, vous avez choisi aujourd'hui, devant vos amis et votre famille, d'unir vos deux destinés, dans l'amour du Très Haut. En faisant cela, vous montrez à nouveau, aux yeux de tous, votre foi envers le Très-Haut et Lui, dans sa Grâce Divine renforcera votre amour, l'un pour l'autre et en lui.

Nous allons donc procéder maintenant aux échanges de vos voeux. C'est le moment pour vous de vous promettre amour et fidélité, pour aujourd'hui comme pour demain. Entourés par vos témoins et vos amis qui seront alors garants, sous le regard de Dieu, de vos engagements respectifs.

Il était temps pour lui de se taire…et aux autres de s'exprimer…
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curé de Périgueux
et picétou

Alix_du_vivier

Un bras qui l'attrape pour l'emmener a l'intérieur, Alix regarda Tadek en souriant.
Sa main saignait toujours malgré le tissu qui l'entourait.
Son cœur s'emballa Alix prit la main pour refaire se bandage mal fait. Regard attentif et attendrit.

-Non, non je ne vous laisse pas seul, voyons!!!!Ne bougez pas mon ami, je vais vous refaire votre bandage.

Délicatement elle refit cette bande de fortune qui ne tenait pas. et qu'elle fini par jeter.
Alix souleva sa robe et déchira un morceau de son jupon.
Tête qui se lève regard plongé dans les yeux azur du capitaine et recommença l'opération.

-Voilà qui sera mieux.

Sourire et yeux pétillants elle n'avait plus froid. était-ce ce petit calva?
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Aelyia

Respirez doucement

Elle est à la fois soulagée d’avoir Babette a ses cotés mais, submergée par une douleur inconnue jusqu’alors, qu’elle a du mal à apprivoiser, énervée des conseils donnés.

Je respire Babette, je respire… tu ne penses pas que j’oublie quand même

Fichu caractère Bleizmorgan qui la rattrape bien trop souvent à ses dépens

ça sera pour aujourd’hui

Ah ça elle en est certaine !
Amoureuse d’un homme qui a du mal à tenir en place, un hyper actif bouillonnant d’énergie, elle sait déjà que le petit dans son ventre lui ressemblera… pourquoi faire traîner des heures ce qui peut se faire en peu de temps si on veut préparer une surprise à ses parents.

Tu accoucheras dans la douleur
Est ce une phrase d’Aristote ?
Elle ne sait plus… elle sait juste jusqu’elle a mal, qu’elle sent que les contractions se rapprochent et que puisque ça se passe dans sa maison, elle lui en causerait bien deux mots, à lui aussi, de cette idée là !

Quoique c’est peut être le moment de le mettre de son coté !

Qu’était elle la blondinette pour la bonne société ?
Femme moderne 1460… hors époque, parfois choquante mais libre…. D’être elle-même.
Elle s’est offerte ce luxe suprême
Se détacher du jugement des autres…

Aurait elle l’orgueil de se détacher de celui de Dieu
Non…elle a mal, elle a peur… elle sait qu’en donnant la vie , elle peut mourir … ultime sacrifice

Je confesse à Dieu tout puissant
Je reconnais devant mes frères
Que j’ai péché en pensées, en paroles
Par action et par omission
Oui j’ai vraiment péché.

Je ne suis pas sage femme ma dame

La phrase qui rassure !!!

Comme elle désire à ce moment là la vieille matrone qu’elle devait prévenir à Sarlat, avec ses rides et son sourire édenté, ses cheveux rares, sa moustache qui lui donnait un air hommasse et qui pourtant la rassurait.

Entre deux contractions, elle a quand même une ou deux minutes pour se retrouver…
La dernière… énorme… à se mordre le poing pour ne pas hurler en pleine cérémonie… la décide à bouger.

Sortir… elle ne pense plus qu’à ça… sortir de la cathédrale pour pouvoir crier sa douleur même si elle doit accoucher sur un parvis , à même la pierre comme une gueuse sans logement.

Elle se lève brusquement, faisant grincer le banc sur les dalles … et ce bruit lui parait énorme dans le silence emprunt de recueillement de l’édifice.
Elle sent des regards sur elle… une main qui se tend et prend la sienne.

Papa , aide moi….
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Alix_du_vivier

[Aucune paix n'est éternelle. Mais toute la journée qui prolonge la paix est une bénédiction acquise.]

Kaj Munk

Je te laisse mon ennemi d'aujourd'hui, je dois aller papoter avec la damoiselle.
Oh !!! quelle heureuse surprise de vous voir ici Dame Alix.

Regard a son ti comte

Oh!!!! alors ti comte heureux du bonheur de votre ami, j'espère.
Bon on rentre ou vu le monde qu'il y a l'intérieur on reste ici a attendre le banquet?

Petit sourire au capitaine....attente dans le froid et Ema qui allait et venait à surveiller tout
ce qui bougeait.

finalement elle sortie une fiole de calva vieux reste qu'elle a piqué dans la cave de son ami Nkhan.

Qui n'en veut?

Alix ne voulait pas s'enfermer dans la cathédrale et préférait de loin rester sur le parvis ou elle pourrait surveiller les entrées de la grande porte...
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Tadek

Leyah fit son arrivée dans une robe de mariage qui pouvait
faire pâlir la Reyne tellement elle était magnifique, franchement,
le ou la couturière avait fait de l'excellent travail.

Tout le monde s'était calmé, les invités et surtout le couple Comtal
pénétra dans la cathédrale alors que Tadek avait toujours sa main en sang, personne pour lui tendre un bout de tissus ... bon, ok, grand moment
de solitude, regard vers un soldat qui approché à grande enjambé
pour tendre un tissu au Capitaine qui enveloppa sa main et fit un noeud
comme il put, il devait suirveiller le couple Comtal, pas le temps de faire mieux.

Visiblement Alix était partit pour rester dehors, ni une ni deux, Tadek l'attrapa par le bras pour l'emmener à l'interieur, il faisait froid, donc
pas question de rester dehors et ca allait être une belle cérémonie et elle
ne devait pas rater ca.

Vous allez bien entrer avec moi, vous n'allez tout de même pas me laisser
entrer seul dans la cathédrale ??
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Amarante.

[Toujours du côté des bancs réservés à la famille proche]

Le petit Gaël ne resta pas en place très longtemps et il vint dans les bras de son père. A ce moment précis, son coeur se serra et elle pensa à sa fille Korydwen qui était en Anjou avec son père. Le regard perdu sur la chevelure de l'enfant, elle ne remarqua pas le regard noir que lui lançait l'enfant. Sa fille lui manquait terriblement. Jusqu'à maintenant elles n'avaient jamais été séparé ... Elle priait juste pour que Baudouin tienne parole et la lui ramène ...

Le mouvement de l'enfant lui fit cligner des yeux et elle le regarda s'éloigner amusé. Elle reporta ensuite son attention sur Eini, son sourire aimable revenu sur son visage toujours aussi crayeux. Elle regardait la femme de Gwen qui avait prit la parole avant que la fillette ne le fasse. Se sentait-elle agressé ? Certainement au vu de sa réaction et des piques qu'elle venait d'envoyer ...

Enora est avec son beau père. Là où est sa place. Chacun à sa place, une place pour chacun quand tout le monde comprendra cela les choses iront mieux.
Lena reste tranquille veux tu ?

Elle regarda Gwen en coin pour voir sa réaction puis revint vers la brune. Croyait-elle qu'elle n'avait pas sa place ici ? Elle devait pourtant savoir qui elle était. Leyah ne le lui avait-il pas dit ?! Une moue dubitative prit la place du sourire sur ses lèvres et elle soutint le regard noir de la femme, nullement impressionné par les paroles ...

Certes, la place d'Enora est désormais auprès de Louis et de sa maisonnée, mais si vous pensez que je ne suis pas à ma place ici, vous vous trompez Dame ! La Marquise m'a personnellement invité et je fais même parti des damoiselles d'honneur, au même titre que Aelyia, Aleen, Fleurette ou encore dame Emardeche ... Seulement certaines choses ont changés puisque sur la demande de votre époux, je lui sers d'accompagnatrice et de soutien pour qu'il assiste à ce grand événement ...

Alors, ne vous en déplaise, je suis à ma place ici en tant qu'ancienne nourrice, d'amie proche de Leyah, mais aussi de Gwen ...

Mais c'était loin d'être fini. Dame jalousie pointait-elle insidieusement le bout de son nez ? Quand elle avait demandé à Gwen si sa femme serait là, c'était un peu pour se préparer à cette confrontation inéluctable. Einigriv marquait son territoire. Elle était jalouse qu'une femme qu'elle ne connaissait ni d'Adam ni d'Eve soit auprès de son propre époux. Cela avait au moins pour effet d'avoir une réaction ... Etait-ce bon signe ?

Une nourrice dites vous ? Et bien pourquoi cela ne m'étonne pas.

Garde blessé ? Tout cela est fort intéressant, je suppose que vous avez des compétences de médicastre....Hum en ce cas prenez bien soin de mon mari....

Aux mots prononcés, son sourire revint ...

Oui une nourrice ! Je m'occupe de la princesse Enora depuis la croisade de Genève où la Marquise m'avait proposé ce poste ... Et non, je n'ai aucune compétence de médicastre. J'ai quelque temps aidé la directrice d'un grand Hotel Dieu en tant qu'assistante et je pense que ses simples compétence suffiront pour changer les bandages et appliquer les onguents d'on votre époux à grandement besoin ... Et puis Gwen n'est pas une chochotte de Montfort, alors il devrait résister à mes soins ...

Elle tourna son visage vers Gwen et lui sourit amusé, même s'il avait l'air contrarié ...

Mais je suis là surtout parce qu'il est mon ami et que quand un ami me demande de l'aide, il n'est pas dans mes habitudes de refuser ...

Elle avait parlé sans élever la voix, ni animosité pour lui montrer qu'elle n'était pas son ennemi. Elle écouta ensuite l'échange entre les deux époux. Quand elle les regardait, elle avait l'impression de voir le reflet d'un miroir, mais de voir le couple présent, le reflet lui renvoyait le sien ... Baudouin ...

Gwen et elle s'étaient racontés un peu leurs histoires. Le patriarche connaissait très bien son histoire avec le père de sa fille et elle connaissait dans les grandes lignes ce qu'il se passait avec son épouse ... Pourquoi l'amour ne pouvait-être simple ? Pourquoi y avait-il toujours un des deux qui aimait plus que l'autre ? Elle avait tout donné à Baudouin ... Son corps, son coeur et même son âme. Eini lui faisait penser à Baudouin ... Toujours sur les routes à fuir quelque chose ou a courir après une autre ...

Elle espérait simplement que le couple de Gwen ne finirait pas comme le sien ... Déchiré au point de non retour ...

Du bruit encore et les paroles de Gwen la tirèrent de ses pensées ...

Qu'est-ce qui se passe ? Ce sont les mêmes qu'à l'entrée qui continue de faire du bruit ?

Elle regarda à l'entrer de la cathédrale où était encore l'homme qui avait fait l'esclandre et elle ne vit rien qui ne soit sous contrôle. Un mouvement sur les bancs de derrière, attira alors son regard et elle ne manqua pas celui qu'avait lancé Eini à Gwen avant qu'il ne bouge ... Coup d'oeil rapide sur Babette qui venait près de Lyly qui avait le visage crispé ...

Oh non Lyly ...

Gwen était maintenant debout et se dirigeait tant bien que mal vers sa fille. Dans un mouvement rapide de froufrous, elle le rattrapa et même s'il n'y avait que quelques pas à faire, elle lui prit le bras pour le soutenir. Un regard à Lyly puis à Babette don-t-elle avait fait la connaissance à l'auberge de la Dame de Coeur, mais il ne lui fallut pas longtemps pour comprendre que le travail avait commencé ...

Gwen ... Je crois bien que Lyly est en train d'accoucher ...
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Créations de bannières ici

Emardeche

[L entrée dans la cathedrale]

Arrivée sur le seuil de la cathedrale, elle apperçut la fleur, elle vint lui deposa une bise.
Elle savait qu elle avait des choses a voir Eld, elle ne l embêta pas plus.

Tout en saluant les personnes presente, elle regarda a chaque rang de banc les personnes qui s y trouvaient.
Elle s avança juqu a la nef, vint deposer un jolie bouquet de fleur au pied de l autel et s'en retourna jusqu au fond de la salle.

Discretement elle avait vu tous les visages connus et inconnus qui se trouvaient dans la cathedrale.
Elle alla s 'asseoir au fond de la salle pas tres loin de la porte d entrée, comme cela elle pourrait surveiller , les allées et venus.

Lily59

Le monde était tel que la blonde et son compagnon avaient eu du mal à accéder au banc. Soulagement de voir enfin les visages des autres demoiselles d'honneur. Enfin, est ce qu'elles étaient toutes là? Combien étaient elles en fait? Haussement d'épaules intérieur, en se disant qu'au fur et à mesure de la cérémonie, et de la soirée qui allait suivre, elle le découvrirait bien assez tôt.
Un chaleureux sourire quand ils arrivent à la hauteur des amis. Enfin, elle retrouvait Aleen! C'est qu'elle commençait à stresser Blondie! Un sourire très polie à Sandreen, qu'elle n'avait croisée qu'une fois où deux, mais dont elle avait entendu parler. Puis un rapide regard à Déli, puis à Chloé.
Enfin, ils prirent place sur le banc. Lily veilla bien à se mettre non loin d'Aleen, lui indiquant le cadeau du regard. Flax restait bien silencieux, pour le moment... Si la fête battait son plein après, le Lieutenant ne manquerait sûrement pas de se faire entendre, jovial comme il est...

Enfin les mariés... Ils remontent l'allée de la Cathédrale, tous les deux resplendissant. Et le Père Astorius commença... Une blague, histoire de détendre l'atmosphère. Ou était-ce lui qu'il fallait détendre ?! Tsss, si Lélé l'avait choisi, c'est que tout se passerait sans encombre... Enfin fallait espèrer pour lui... Elle se signa discrêtement, et répèta à la suite, tout bas... si bas qu'on eut peine à croire qu'elle prononçait les mots

Je confesse à Dieu tout-puissant, je reconnais devant mes frères que j'ai péché en pensée, en parole, par action et par omission; oui, j'ai vraiment péché. C'est pourquoi je supplie Aristote et Christos, les archanges et tous les Saints, et vous aussi mes frères, de prier pour moi le Créateur Que le Tout Puissant nous fasse miséricorde, qu'il nous pardonne nos péchés et nous conduise à la vie éternelle dans le paradis solaire. Amen.

Et d'enchainer comme il se doit...

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,Créateur du Ciel et de la Terre,Des Enfers et du Paradis,Juge de notre âme à l'heure de la mort. Et en Aristote, son prophète,Le fils de Nicomaque et de Phaetis, Envoyé pour enseigner la sagesse Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés. Je crois aussi en Christos, Né de Maria et de Giosep. Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis. C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce, Il est mort dans le martyr pour nous sauver. Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut. Je crois en l'Action Divine; En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible; En la communion des Saints; En la rémission des péchés; En la Vie Éternelle. Am......

Et de sentir que quelque chose n'allait pas. Ca bougeait... Instant de panique. Un regard à Flax. Chloé toujours dans ses bras, impossible que ça puisse être elle... Une interrogation dans le regard, elle revint sur lui. A voir la mine encore plus interrogative de ce dernier, il ne devait pas avoir la moindre idée de ce qui pouvait bien se passer dans la caboche blonde. Et pourtant, ça remue... Le regard qui s'abaisse... Non ça ne pouvait être... Impossible...!
Et là, contre toute attente, froufrous en l'air et jupon qui se soulève! "Bordel" pensa-t'elle... mais qu'est ce que c'était encore ce traknar? Les mains qui se plaquent sur sa robe, avant de foncer, tête baissée, et là c'est pas qu'une expression, pour voir ce qui se passait là-d'ssous.
Les mirettes qui s'agrandissent, alors qu'elle voit le visage de celui auquel elle n'aurait pas pensé, le croyant encore souffrant. Avec tout se monde, elle n'avait pas même aperçue Eini, alors les mini Bleizh... Et il lui décrocha son sourire. A le voir, son beau Roy était fatigué, les traits tirés sur la bouille d'un enfant...

Coucou ma namoureuse, n'est eu le droit de sortir pour ne voir toi ! N'est fait un gros dodo ? N'être ou mon fils n'au fait ? D'y, n'après que le monsieur qui pue comme Père Fide il aura marié Tota et Tonton, n'ont pourra n'utiliser lui pour nous marier !

Et de rire le plus discretement du monde en l'attrapant pour le relever et le poser sur ses genoux. Une bise sur la joue, elle l'étudia avec un regard tendre.

Que tu es beau vétu ainsi ! Et de rougir alors que le petit cherche après son fils...

Ton fils...? Ah euh et bien... lançant un SOS visuel à Flax, tout en regardant Chloé, cheveux d'une blondeur bien révélée, boucles naissantes, avec surtout les traits gracieux d'une petite fille.

Mon beau Gael, je te présente Chloé...

Elle savait bien que pour un fils, Chloé ça sonnait un peu bizarre comme nom. Peut etre ne remarquerait-il rien?! Peut être, avec un peu de chance en fait, ne verrait-il même pas la main de Flax autour de ses épaules?! Une rapide étude de la situation, pour comprendre, que là... ça allait être coton.
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Dame_margot

[CHEZ ALEX]

Margot ne pouvant attendre plus longtemps, prit Alex par le bras, alors qu'il venait juste de se changer, puis elle partit avec lui, elle avait soulevée légérement sa robe pour pouvoir marcher plus vite.

[CATHEDRALE DE PERIGUEUX]

Arrivés sur le péron ils montérent ensemble, se faisant tout discret, arrivés à l'intérieur, Margot regarda si il restait quelque place assise, elle se pencha vers Alex:

tu à vu le monde qu'il y a, je n'ai jamais vu autant de monde ici à Périgueux

ils avancérent dans l'allée centrale sans faire trop de bruit, Alex avait trouvé 2 place une à côté de l'autre, ils se faufilérent entre les personnes déjà assise et alla s'installer.[/b]

Gwenchlan

Gwen était vraiment descendu plus bas que terre en à peine quelques minutes après être monté si haut en revoyant son fils. Toutes les phrases de sa femme s'enchainait les unes aux autres telle une série de poignard qu'on lui lançait en plein cœur. Le pire dans l'histoire c'était d'avoir mêlé Amarante à cela. Il regrettait de lui avoir demandé de venir, il aurait du rester chez lui, ne pas venir au mariage et tout aurait été pour le mieux dans le meilleur des mondes. Mais non il n'y avait que suspicion envers une amie. Et pire la réflexion sur le fait qu'elles n'ont plus n'avait pas reçu de visite, il faut croire que la mémoire avait été durement touché pour qu'elle ne se rappelle pas que son mari était avec elle quand elle a été attaqué et qu'il était dans le même état.

A ce moment là, il n'avait qu'une envie, s'excuser auprès d'Amarante, ne pas lui dire de rentrer elle avait autant le droit que les autres d'assister au mariage, mais lui s'il avait pu il serait bien parti, peut importe ce qu'en aurait pensé Leyah il se serait expliqué plus tard avec elle, mais là ça commençait à faire beaucoup. Il avait suivi sa sœur, sa femme, il essayait de servir les envies de sa famille et personne ne cherchait à aider dans les siennes, on partait sans le prévenir, il avait le droit de s'inquiéter à en mourir mais surtout pas le droit de dire ou d'en penser quoique ce soit...

Pourtant niveau jalousie, il aurait pu rentrer dans le jeu il n'avait jamais eu la moindre véritable idée de son voyage de plusieurs semaines, il avait juste après qu'elle n'avait pas voyagé seul et que la compagnie n'était pas uniquement féminine. Mais jamais il n'avait douté de sa fidélité, jamais, il avait fait la gueule, il ne pouvait accepter de ne recevoir aucune nouvelle, qu'on le laisse s'en faire craignant le pire pour apprendre que rien de ce qu'il avait imaginé n'était vrai...

Décidément, c'était une bien sale journée qu'aujourd'hui et en prime personne ne cherchait à lui indiquer ce qui se passait derrière lui alors tant pis. Il fit bien gaffe de ne prendre appui que sur sa chaise et ne pas avoir le moindre geste envers qui que ce soit pour éviter les interprétations douteuses et il arriva à se lever pour se retourner et voir que s'était sa fille qui était en difficulté. Alors il avançât vers elle pour savoir ce qu'il en était, s'il avait un ressenti après les récentes nouvelles qu'il avait eu de sa fille, il ne pouvait que la remercier chaleureusement de le tirer de ce qui semblait être un guêpier qu'il avait créé sans le vouloir...

Gwen était à la hauteur de sa fille, lui prenant la main sans vraiment pouvoir se mettre à sa hauteur s'il ne voulait pas finir par terre avec son équilibre précaire. Il regardait les protagonistes que ce soit sa fille, le pirate ou Babette pour qu'on lui explique ce qui se passait. Et durant le laps de temps, il se dit que sa soeur allait franchement finir par exploser avec tout ce qui était entrain de se passer, elle avait toujours eu le chic pour attirer les pires choses au pire moment...
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Vonafred

Sa main posée sur la sienne...

L'on remonte la travée, regard droit et visage impassible.
L'oeil rivé sur le Prélat, l'on ne pense qu'au moment présent, à cet engagement suprème jamais envisagé.
C'est pourtant bien lui qui dans un instant unira sa déstiné à la sienne.

Concentré à l'extreme il écouta le Père Astorius et ses paroles de bienvenue.
Le Prélat n'avait point là tâche aisée, le comte lui sourit avant de répondre courtoisement d'une voix ferme.

-Oui mon père, l'amour est présent Divin,le monde est né de l'amour, tout est mystère dans l'Amour et si le mariage comme le disent certain est avant tout une longue conversation...J'ai grande hâte d'en démarrer le premier verset.

Un regard vers sa promise, une main qui délicatement se serre, et de poser genou en Terre, dire ses grâces à voix contenue mélant sa voix à la sienne...

-Je confesse à Dieu tout-puissant, je reconnais devant mes frères que j'ai péché en pensée, en parole, par action et par omission; oui, j'ai vraiment péché...La chair de ces Dames par dizaines en témoigne tout comme le sang de mes inimitiés...
C'est pourquoi je supplie Aristote et Christos, les archanges et tous les Saints, et vous aussi mes frères, de prier pour moi le Créateur.
Que le Tout Puissant nous fasse miséricorde, qu'il nous pardonne nos péchés et nous conduise à la vie éternelle dans le paradis solaire. Amen.

On l'observe d'un air ou se mèle inquiètude et félicité avant de poursuivre ...déterminé.

-Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,Créateur du Ciel et de la Terre,Des Enfers et du Paradis,Juge de notre âme à l'heure de la mort. Et en Aristote, son prophète,Le fils de Nicomaque et de Phaetis, Envoyé pour enseigner la sagesse Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés. Je crois aussi en Christos, Né de Maria et de Giosep. Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis. C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce, Il est mort dans le martyr pour nous sauver. Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut. Je crois en l'Action Divine; En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible; En la communion des Saints; En la rémission des péchés; En la Vie Éternelle. Amen.

Une voix qui remugle à l'entrée, un dogue messager, voix du Fater bien aymé.
On cherche d'un regard discret Robins, l'âme Damnée du Vicomte...
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--Reiner

Son regard fût enfin happé. Ses yeux avaient trouvés la silhouette qu'ils guettaient instinctivement. Un flot d'émotions le parcourut. Lorsqu'il fût à peine redescendu de son nuage, sa vision s'élargit imperceptiblement... Les émotions devinrent alors contradictoires. Pour aboutir sur une qu'il maîtrisait mal puisqu'elle était toute récente. Visualisation de la situation, brièvement : accessible. Estimation du temps que lui prendrait de céder à la pulsion qui agitait son esprit torturé : 4,17 secondes. Estimation des conséquences pour lui : infimes. Estimation des conséquences pour Leyah : une bonne migraine.

La connaissant c'était vraiment pas le moment de lui faire ça à la rousse...
Pourtant l'envie était là. Il serra la mâchoire. Se força à détourner ses yeux aimantés vers la même personne et jaugea sa situation. Il était...

Dans la foule... Brrr. Il n'avait jamais aimé ça les foules. Particulièrement maintenant ! Il ne craignait pas pour sa bourse, loin de là; mais il n'appréciait pas d'être serré dans la cathédrale si près de tant de gens qu'il connaissait et qui pour beaucoup lui rappelait un passé qu'il désirait oublier. Mais il ne pouvait s'en prendre qu'à lui même ! C'était lui qui avait décidé de venir... Et zut alors. Pourquoi il était venu d'ailleurs ? AH mais ouais ! Le mariage.

Il récita le crédo, terminant sur un amen inaudible... Et releva les yeux vers le couple comtal.

Einigriv

[passons le back up reprenons aux choses importantes]

la cérémonie débutait et le prêtre commençait son office, aussi sérieusement que possible. Le problème avec les mariages c'est qu'il sont plein de rebondissement alors essayez de marier deux figures importantes, que rien ne se passe comme il se doit.

L'histoire de Gael et son père.

La brune n'avait pas pas pu retenir le jeune garçon, son jeune fils, il était bien plus apte à récupérer qu'elle, et rien n'était plus ormal, après tout c'était elle la vieille maintenant. Ainsi était l'ordre des choses, un jour vous êtes jeune plein de vitalité et le lendemain vous vous réveillez mariée, deux enfants, une jambe folle et le ventre en vrac.
Elle entendit ce que le jeune Bleizh dit à son patriarche de mari, et ne put s'empêcher de sourire, là où en d'autres temps elle urait explosé d'un rire joyeux de gorge. Elle n'ajouta mot elle n'eut que le temps de dire.

Gae...

Que le petit était déjà partit en d'autres lieux. Un instant juste elle croisa le regard de son époux et son sourire s'effaça.

L'histoire de Lena et sa mère.

La petite gigotait sur la jambe malade de sa mère. Evidemment, la Baronne aurait du s'en douter la petite avait envie de descendre, elle en aurait fait pareil... si seulement.... si seulement elle avait pu...
Le jeune femme accompagnant son époux parlait déjà avec la petite, apparemment la connaissait elle.
On ne saura jamais si Eini avait mal ou si elle fut jalouse un instant, mais les rougeurs envahirent ses joues, et elle ne put que prendre la parole :

Enora est avec son beau père. Là où est sa place. Chacun à sa place, une place pour chacun quand tout le monde comprendra cela les choses iront mieux.
Lena reste tranquille veux tu ?

Un regard à la jeune femme avant de le détourner sur le bruit provenant du fond....

L'histoire d'Amarante et de la Brune.

Demat Dame ! Vous devez être la mère de ses adorables enfants ... Je suis Amarante, la nourrice de la princesse Enora ... Enfin j'étais, la princesse n'a plus trop besoin de moi désormais. Je suis garde-blessé maintenant ... N'est-ce pas Gwen ?

Une nourrice dites vous ? Et bien pourquoi cela ne m'étonne pas.

Oui une pointe de jalousie naissait dans le regard noir de la baronne. Il était un fait de la colère éprouvée et de venir au mariage de leyah accompagnée d'une autre. Oui une autre... et bien ne ce serait elle pas permise...

Garde blessé ? Tout cela est fort intéressant, je suppose que vous avez des compétences de médicastre....Hum en ce cas prenez bien soin de mon mari....

Elle se retrouvait seule la brune, plus d'enfant auxquels s'accrocher, car il fallait bien l'avouer, les jumeaux étaient devenus toute sa vie, plus rien d'autre n'existait ici bas que ces chers petits.
Elle sourit cela dit, de ces sourire dont elle seule pouvait être capable même en de temps bien plus troublés que ceux qui se présentait à elle. On ne baffouait pas une Blageans, et pis encore on ne trompait pas une Bleizhmorgan...

l'histoire de Gwen et Eini.

Citation:

Bonjour Princesse...

Elle eut un moment d'hésitation, parlait il à sa fille ou bien à elle ? Mais elle sut au regard qui lui était adressé c'était bien à elle qu'il parlait. Alors, comme si cela n'avait jamais cessé elle lui sourit comme au premier jour puis...

Citation:

Vi c'est cela, j'ai pas vraiment eu le temps ni les possibilités de rencontrer des gardes malades ou de propositions familiales alors bon j'ai demandé à Amarante si ça la dérangeait pas trop de venir m'aider pour que j'assiste au mariage de ma sœur.

C'est bizarre ça doit être de famille puisque en 36 jours de sommeil forcés je n'ai eu non plus ni reçu selon les dires de Gwenaelle, ni aucune visite ni chevet... Hum alors cela doit être dans la famille.

Et déjà son sourire était effacé. Cette remarque, oui cette remarque alors qu'elle était plus que réduite à rien, était de trop. De bien trop pour ses frêles épaules sous cette carapace de dureté, mais lui le savait, du moins le pensait elle.
Regard noir, regard de défi lancé à son époux puis :

Citation:

Qu'est-ce qui se passe ? Ce sont les mêmes qu'à l'entrée qui continue de faire du bruit ?

La brune se retourna lentement, elle n'avait pas suivi, son esprit comme son corps était ailleurs, elle porta la main à son flanc gauche mais fut déçue de ne pas y trouver d'épée...
Un regard entendu porté à son mari voulant dire : sais tu ce qui se trame ? Je te suis d'un coup d'oeil...

Et bien peut être le mariage de ces deux là n'était il pas perdu...
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Gwenchlan

Gwenc'hlañ reprenait ses esprits, il le fallait bien tant pis si rien n'avait eu lieu. Alors il chercha à se remémorer les paroles d'Amarante pour repartir dans un contexte mon sérieux.

Han !!! Mais tu fais mal !!! T'es sûr que tu es bien blessé ??? A mon avis tu joues la comédie ...

Mais tu es une chochotte aurais-tu du sang montfort dans les veines pour avoir mal pour un aussi faible coup. Et je te promet que je fais pas la comédie je t'enverrais les bandages par coursier quand je les aurais changé pour que tu puisses voir qu'ils sont maculés de sang.

Gwen sentait bien l'humidité de son coté signifiant une perte de sang même si elle était minime à force elle rendrait les bandages écarlates. Enfin la suite lui fit se demander si son père n'avait pas une fille cachée, car voilà qu'elle entamait la conversation avec les enfants et même avec sa femme. Décidément, elle avait des idées fixes et celle de ne pas laisser le couple bleizhmorgan-Blageans en froid en faisait parti. Il ne dit pas mot la laissant parler au enfant mais il fut bien forcer de s'exprimer quand elle l'interpella après avoir laissé un blanc pour entendre la cérémonie se dérouler et écouter les bons aristotéliciens répétés tous en cœur ce que venait de dire l'officiant mais aussi d'entendre le baroufle à l'entrée.

Bonjour princesse

Mais qu'est-ce qui venait de lui passer par la tête, il avait cherché un mot tendre mais rien d'autres que ça n'était sorti espérons qu'elle pense pas qu'il parlait à sa fille mais bien à elle... Il fallait se rattraper au branche et Amarante allait l'aider.

Vi c'est cela, j'ai pas vraiment eu le temps ni les possibilités de rencontrer des gardes malades ou de propositions familiales alors bon j'ai demandé à Amarante si ça la dérangeait pas trop de venir m'aider pour que j'assiste au mariage de ma sœur.

Gwen ne put retenir de voir son fils arriver droit sur lui, le voir debout ne pouvait que le réjouir même s'il semblait éteint, mais toujours aussi cinglant dans ses paroles. Malgré que l'étreinte ne fut pas forte Gwen souffrit quelques peu mais trop heureux de ce calin pour laisser transparaitre la moindre douleur.

Ne reviens te voir n'après mon popa n'a mwa. N'avoir nun truc plus nain portant que le nain portant, mais n'aime pas ta coupine, elle t'y regarde comme le nain fidèle il regarde une sucrerie. Ne veut que tu reviennes n'avec moman et mwa;

File mon fils, amuses toi, je ne risque pas de m'enfuir et soit rassuré ma "coupine" comme tu dis est juste là pour m'éviter de me faire trop mal, elle ne remplace pas ta mère, personne ne le peut...

Il aurait bien répondu à la dernière réflexion mais son fils était déjà parti, il lui aurait dit qu'il n'avait que ça en tête retourner auprès de sa femme. Puis encore de l'agitation dans son dos mais la douleur se faisant ressentir il ne pouvait pas se retourner sans être obliger de faire un bruit d'enfer voir de tomber. Alors il reprit la parole pour demander aux deux femmes ce qui se passait.

Qu'est-ce qui se passe ? Ce sont les mêmes qu'à l'entrée qui continue de faire du bruit ?
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Aelyia

Difficile de se recueillir alors que ses regards sont attirés un peu partout.
Et autour d’elle, ça chuchote , ça se tortille, ça glousse…ça s’observe….

Sa famille est là
Son père…qui a réussi à venir, faisant fi de ses blessures.
Ce qui, en fin de compte, ne la surprend pas vu la force du lien qui l’unit à sa soeur jumelle.
Sa belle mère.
Son frère et sa sœur qu’elle voit si peu souvent …

La jeune femme s’attendrit en souriant sur ces enfants qui grandissent, la petite Nora qui devient de plus en plus jolie.
Est ce parce qu’elle voit se dessiner dans ces traits qui changent le visage d’un autre ?

Un coup de poignard lui broie le ventre, lui coupe le souffle, son ventre se durcit et la douleur irradie jusqu’au reins.

Une main qui se pose là…. Comme pour se rassurer… les rassurer !

Non , non … pas maintenant…. C’est encore tôt … et c’est surtout pas le moment… elle veut le voir ce mariage tant attendu…. Elle est sa nièce… c’est sa place… être là… après toutes ces années à vivre cote à cote… des vies parallèles… les mêmes amis… les mêmes ennemis… bien souvent….. Les mêmes combats.

Elle retrouve les ruses de son enfance pour tenter de calmer la souffrance et ce corps qui ruse pour échapper à son contrôle. Son esprit part loin dans des chemins de traverse comme quand, petite, elle avait traîné de force à des investitures Ducales et Grand Ducale et qu’elle luttait à sa façon pour que le temps passe plus vite et la ramène à ses jeux d’enfants.

Le bouton ridicule sur le nez du Baron de Guerlesquin ou sur celui de Monseigneur Clodeweck

La robe trop criarde de sa grande sœur Salomé

Cyprien admirant les tapisseries religieuses de la cathédrale de Rennes.

Il doit bien y avoir des jeux similaires ici

Elle respire doucement… tentant d’apprivoiser à l’avance le deuxième coup qui, elle le sait va arriver.

Le chœur d’enfants des petits chanteurs du Périgord Angoumois à entamer un chant de joie

Elle se laisse porter par la voie pure du jeune ténor

Elle ferme les yeux.

Et la deuxième contraction arrive, encore plus forte … elle se plie en deux et croise les yeux d’un pirate qui vient de comprendre ce qui se passe.

Les yeux de Rahan sur elle
Par quelle magie ce regard là parvient il à tout exprimer ?

Ces yeux s’affolent mais pourtant la rassurent.
Ces yeux sont tendres mais déjà autoritaires quand il quitte les siens pour chercher de l’aide

Babette ?

Un murmure comme un cri de détresse

Oui, il me faut Babette… on doit sortir… s’il te plait

L’espoir d’un faux travail s’éloigne. La vague douloureuse qui la transperce revient très vite poursuivre le travail de la délivrance.
Le petit Störtebecker – Bleizhmorgan semble avoir décidé d’être l’invité surprise de ce mariage. Très famille ce petit !

Babette….

Juste le temps de dire cela … et un liquide chaud coule le long de ses jambes et Lyly sent ses joues rosirent d’embarras.

Babette….

Elle a peur… elle tremble…. Mais pourtant son cœur éclate de bonheur…

Ce jour là ne lui était pas destiné.
Et pourtant ce jour là allait être l’instant le plus merveilleux de sa vie.
Et elle le sait déjà !

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--Babette.

Babette ne cessait pas de ruminer que c'était une mauvaise idée d'être venu. Elle ne s'occupait même pas de la cérémonie et ne regardait pas qui était qui. Assise juste derrière Aelyia et son pirate, elle attendait sagement que ça termine, même si elle aurait aimé que ce fût déjà le cas ...

Ca faisait déjà des heures qu'elle était là et elle avait l'impression que ça n'avançait pas. Soupir désespéré quand elle vit Aelyia se raidir soudain. Elle se releva sur son séant et observa la future maman d'un oeil attentif ...

Babette....

Elle glissa alors sur le banc et se rapprocha de la jeune femme don le visage venait de virer au rouge ... Elle baissa alors son regard sur le sol en pierre de la cathédrale et y vit une flaque, passer entre ses pieds ...

Par Aristote ! J'avais raison ! Bigre j'avais raison !

Elle quitta son banc pour venir au plus près de sa maîtresse. Elle s'excusa auprès du pirate et lui demanda de se pousser un peu, puis elle posa les mains sur le ventre de Lyly ... Elle ferma les yeux et compta dans une totale concentration l'écart entre chaque contraction. Elle rouvrit enfin les yeux et regarda la jeune femme ...

Dame Aelyia regardez-moi ! Respirez doucement, les contractions sont encore assez éloigné, mais je peux vous dire que ce sera pour aujourd'hui ...

Elle chercha un coin dans cathédrale où ils pourraient être tranquille, mais dans cette foule, pas évident, surtout qu'il ne fallait pas arrêter la cérémonie ...

Essayez de vous détendre le plus possible pour que les contractions cessent un peu et il va me falloir de l'aide, je ne suis pas sage femme ma dame ...

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Edlweisss

Une seconde dame, je reviens.

éh mais heu..

Ben voila il était déjà parti et avait remonté la Cathédrale par l'allée transversale dans un silence exemplaire . Qu'est ce qui se passait encore?

Halte bordel !

La prière venant de finir , le silence dans l'édifice fit raisonner les mots entre les murs.

Je me penche pour regarder en arrière mais n'aperçois que les épaules de mon cavalier, gardien parmi les gardiens du bon déroulé de la cérémonie.

Regard vers l'autel, je croise celui de ma marraine. Froncement de sourcil et air entendu, avant de lui sourire de façon machiavélique voulant dire : fait gaffe je suis toujours prête à bondir pour le placage en règle promis plus tôt. Voir le croche pied prévu… qui pouvait s'adapter à tout intervenant indésirable.
La cérémonie avait commencé, qui donc pouvait montrer aussi peu de respect ?
Hagos saurait certainement calmer les choses et faire patienter toutes interventions non divines.
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Les Fées Tisserandes

Tinig

[Dans le ventre de sa maman]

Des heures et des heures à se faire secouer. Des jours de voyage en carrosse, à s'écraser la bouille contre le ventre de sa maman et à rebondir contre sa vessie.
Et tout ça pourquoi ? Beh... il savait pô, ça. Mais ça l'gonflait sévère.

Non mais c'est vrai quoi, c'était pas une vie.
Déjà passer neuf mois, dans une chambre devenue minuscule avec le temps mais toujours autant humide. Voilà maintenant qu'il fallait qu'on le secoue façon bouteille d'orangina, pour pas que la pulpe elle reste en bas.
« Je vous en foutrais moi », pensa t'il à cet instant.

Alors certes. Il était logé et nourri gratis, mais fallait quand ùême pas non plus abuser, hein. On était pas chez mémé.
En plus avec toutes ces secousses, v'là qu'il se retrouvait la tête en bas, maintenant. Allez donc savoir pourquoi.
Non mais c'est pas une position ça. J'vous jure, y a pas idée. Allez y. Essayez si vous êtes cap' !!

Il était colère le Tinig. Pas encore né, mais déjà remonté comme une pendule helvétique. Et il le ferai savoir.
Ah sur qu'il allait brailler le morveux en sortant de là !! Non mais oh !!
C'était quand même le futur maitre du monde, qu'on secouait de la sorte.
Faudrait voir à pas se moquer du monde. Enfin de lui quoi, mais c'est pareil.

Alors comme toutes petites pestes, qui entamaient un caprice, il commença à tambouriner de toutes ses faibles forces.
Tapant de ses poing et de ses pieds, pour qu'on lui ouvre la porte.
Fallait qu'il sorte de là, il en avait ras le pompon. Namého !!

Puis... Première contraction.
Comme une sorte de tape au cul. Gnééé ?
Namého ! Qué qu'c'est ?

Pis une autre, comme si on lui foutait un coup de savate pour le faire sortir.
Heyyy !!
Un nouveau coup de latte aux miches
Mais euh !! J'peux sortir sans qu'on m'pousse !!
Pis encore un autre.
J'le dirais à ma mère !!

Et voilà que ça continuait, des pressions le poussant vers une sorte de petit tunnel.
Ah ça vous allez l'entendre brailler quand il serait dehors !! Namého
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Lubna

[Devant la Cathédrale]

Vlad et Lub étaient enfin arrivés devant la Cathédrale...que de monde...
chuchotant à son époux

Allons y si non nous n'auront plus de place!? puis voyant l'épée de Vlad

Vont pas nous laisser rentrer! Le Capitaine à bien dit au Château que les armes étaient interdites...
L'était ou le capitaine? certainement pas loin à tout vérifier...

Quoi que ...donnes la moi je vais la cacher sous mon manteau
Ni vue mais connue ...
On tente le coups!

Se faufilant au milieu de la foule ils pénétrèrent dans la Cathédrale...
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Gael

Le réveil de Gael avait eu lieu il y'a peu. L'enfant avait été alité tel un handicapé pendant des jours, car durant son coma ses forces l'avaient complétement quittées. Aujourd'hui même sa vitalité était éteinte.
Le choc de l'épée avait tranché quelque chose en lui, son inconscience était morte en même temps que son énergie, aujourd'hui il ne restait plus que la peur.
Alors même quand sa mère lui parla de royauté et de tout ce qu'il aimait d'habitude cela ne lui faisait ni chaud ni froid.
La seule chose qui le fit réagir et quand il revit enfin son père, sous le coup de l'émotion il récupéra quelques forces et courut maladroitement pour aller l'étreindre.
Une femme était à ses côtés, trop proche à son goût, en plus elle avait osée l'appeler ''petit'', et dit majesté de façon bizarre, pour toute réponse il la gratifia d'un regard noir.

Ne reviens te voir n'après mon popa n'a mwa. N'avoir nun truc plus nain portant que le nain portant, mais n'aime pas ta coupine, elle t'y regarde comme le nain fidèle il regarde une sucrerie. Ne veut que tu reviennes n'avec moman et mwa;

Dans ses beaux habits violet que lui avait fait Fleur il se sentait tout beau, content d'être ainsi sur son trente et chercha du regard quelqu'un qui comptait pour lui.
Malheureusement du monde le gênait, il dut alors si rendre à quatre pattes, se faufilant à travers les pieds il arriva jusqu'a la robe convoitée, sauf qu'il avait mal calculé son coup et ce retrouvait donc derrière... Mais à chaque obsctacle il y'a toujours un moyen de le contourner, il souleva donc la robe et passa sa tête de l'autre côté. Se tortillant comme un ver il réussit à voir la tête de Lily et la gratifia d'un sourire qui ce vendait cher ces derniers temps.

Coucou ma namoureuse, n'est eu le droit de sortir pour ne voir toi ! N'est fait un gros dodo ? N'être ou mon fils n'au fait ? D'y, n'après que le monsieur qui pue comme Père Fide il aura marié Tota et Tonton, n'ont pourra n'utiliser lui pour nous marier !

[Cheffe modo Aldraien
Retrait du HRP, il n'a pas sa place dans le RP.
Bon jeu.]

--Stanislas

Quatre pas dans la nef... Il avait fallu faire quatre misérables pas pour qu'enfin on cessât de croire que le Très Haut lui même allait intervenir ! Quand le molosse se trouva face à un autre mur, cette fois ci plus consistant que les pleureuses italiennes habillées en soldats, sur le parvis, il s'arrêta. Immobile, un instant, le temps de se remémorer celui qui venait de donner le ton de la réplique, le vieux soudard rectifia un peu la position, eu égard à son interlocuteur. Mais son sourire de dogue était bien visible. Sa voix rocailleuse reprit du service, moins agressive, mais tout aussi franche.

Tenez d'abord votre langue, Messer Lieutenant.. Dieu vous écoute !

L'index épais du vétéran montra l'autel, visiblement sincère, malgré son sourire. Puis il reprit.

Je suis celui que l'on surnommait, jadis, le dogue de Bordeaux. et nous avons escorté notre grand général de guerre, naguère.

Cette fois, ce fut le nez inquiétant qui pointa le Coms. Mais il reprit à nouveau, toujours des galets dans la gueule.

Aujourd’hui au service de son Excellence de la Croix, je viens ici exiger ce qui fut promis à Monseigneur ! Mais il me semble que vous n'en êtes en rien responsable, Messer Lieutenant. en revanche, votre Coms, lui, sait. Monseigneur lui avait annoncé en ... préambule !

Mais comme on n'est jamais mieux servi que par soi- même...

Cette fois, son sourire se fit plus grand alors, que des yeux uniquement, sans un geste, il désigna la femme qui se tenait aux côté du grand chef de guerre.

Il saura faire son devoir, une fois encore pour "lui" !

Le discours d'introduction se termina sur un menton carré qui remonta, montrant ainsi que personne ne pourrait se mettre en travers du chemin de Monseigneur. Il songeait déjà aux jolies flammèches qui mettraient un peu de couleur dans les cheveux de certains, et un peu plus, chez d'autres !

Amarante.

[Intérieur, assit sur les bancs réservés à la famille]

Assise à côté de Gwenc'hlañ, le regarde brillant de sa bêtise sur le « grand-père », eut vite une représailles. Pas en parole, mais en geste. Elle se reçut un petit coup de coude de la part du patriarche, qui ne lui fit pas mal du tout, mais elle en rajouta grandement en faisant un « Outch » bien prononcé ... Elle le regarda en fronçant son petit nez et en se frottant les côtes, histoire de ...

Han !!! Mais tu fais mal !!! T'es sûr que tu es bien blessé ??? A mon avis tu joues la comédie ...

Prenant une expression outragée, elle se retint cependant de pouffer de rire. Retour du sérieux, après ce moment d'amusement, qui mine de rien lui fit du bien. Des jours qu'elle se terrait dans sa chaumière à broyer du noir ou à aller au lac ... Un petit silence de circonstance entre eux s'en suivi dans le bruit ambiant de la cathédrale, puis il finit par enfin répondre à sa dernière question ...

Oui c'est un peu ton rôle, mais bon aussi pour que tu viennes à ce mariage dont tu es invité personnellement. Leyah aurait été triste que tu ne viennes pas. Et moi j'avais besoin de quelqu'un pour me soutenir j'aurais jamais pu monter ses marches tout seul, on se demande à quoi les architectes ont bien pu penser en...

En quoi Gwen ? En quoi ? Il ne termina pas sa phrase et le vit se figer. Un petit signe de la main a quelqu'un de sa part et elle tourna enfin son visage quand il lui fit signe de regarder qui arrivait. Elle reconnut tout de suite Lena qu'elle avait déjà rencontré lors de la chasse à la grenouille avec Enora et Elorn. Le petit bonhomme était Gaël, elle l'avait vu une ou deux fois au camp de la Dona. Elle avait entendu parler de ce qui lui était arrivé ainsi qu'aux autres enfants et c'était d'ailleurs pour cette raison que finalement, elle était revenue en Périgord ... Elle s'en était voulu, de ne pas avoir été là pour les protéger comme elle aurait dû ...

Enfin, ses yeux se posèrent sur une femme. Alors voilà la femme de Gwen. La grande amie de Leyah ... Belle femme à n'en pas douter. Elle hocha la tête en guise de salue et se tourna légèrement pour regarder Gwen qui restait muet comme une carpe, un sourire étrange coincé sur les lèvres. Pourquoi ne disait-il rien ? Un « bonjour mon amour » ferait l'affaire ... Elle secoua la tête dans un soupir ... Il ne fallait rien attendre de la part du Bleizhmorgan, elle commençait à le connaitre ...

Elle se tourna alors encore une fois, un sourire aimable sur son visage pâle et s'adressa tout d'abord à Lena puisqu'elle connaissait la petite ...

Demat Lena ! Comment allez-vous jeune fille ? Est-ce que la princesse Nora est avec vous ? Ca fait très longtemps que je ne l'ai pas vu ...

Puis elle regarda Gaël ...

Demat petit bonhomme, je vois que vous allez bien mieux votre futur « majesté »

Elle lui fit un clin d'oeil et regarda enfin Einigriv ...

Demat Dame ! Vous devez être la mère de ses adorables enfants ... Je suis Amarante, la nourrice de la princesse Enora ... Enfin j'étais, la princesse n'a plus trop besoin de moi désormais. Je suis garde-blessé maintenant ... N'est-ce pas Gwen ?

Elle le regarda en haussant les sourcils. Elle avait fait le premier pas pour engager la conversation, il pouvait au moins, lui demander comment elle allait ... Surtout qu'elle avait l'air de ne pas être très en forme, son visage était encore rouge d'un effort qu'elle venait de faire ...

Les futurs mariés venaient d'entrer, Leyah était superbe et la cérémonie commençait. Un grand bruit se fit ensuite entendre à l'extérieur et elle se tendit, aux aguets ...
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Créations de bannières ici

Ptitmec13

En haut des marches, attendant de savoir si oui ou non ils allaient enfin rentrer et prendre place, Ptit regardait les allées et venues, les têtes qu'elle connaissait parfois pour avoir combattu à leurs coté ou pour les avoir croisés lors de ses différents séjours en Périgord.
Ces yeux se posèrent sur une jeune demoiselle vêtue d'une robe bleu qui s'avançait au bras d'un jeune homme. Son regard semblait comme attiré vers elle. Pourtant cette jeune femme, Célénya ne l'avait jamais croisée, elle en était presque sure.
La blondine suivit du regard le jeune couple sans même s'en rendre compte. Son esprit fouillait dans ses souvenirs mais n'y trouvait rien. Recherche vaine voulait dire: non jamais rencontrée.. et donc on se reconcentre sur le Cap, au cas où il jouerait un de ces tours dont il avait le secret.
Mais en entrant dans la Cathédrale elle ne pouvait empêcher son regard de se tourner vers la jeune fille, intriguée.
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Lieutenant Chef de Prévosté du Béarn - Triviale Poursuivante de Minerve

Leyah

Nouveau sourire au Père Astorius, il semblait tendu, ce qui amplifia le sourire de la rouquine à son encontre.
C'est à voix basse que la rouquine prononça les mots ...il était bien inutile de les beugler ...
Je confesse à Dieu tout-puissant, je reconnais devant mes frères que j'ai péché en pensée, en parole, par action et par omission; oui, j'ai vraiment péché. C'est pourquoi je supplie Aristote et Christos, les archanges et tous les Saints, et vous aussi mes frères, de prier pour moi le Créateur Que le Tout Puissant nous fasse miséricorde, qu'il nous pardonne nos péchés et nous conduise à la vie éternelle dans le paradis solaire. Amen.

A nouveau elle regarda le curé de Périgueux, sourire ne la quittant plus, lancé, avant de tourner visage vers celui qui était a ses cotés.
Plissement de nez, discret, l'air de dire " ayé on est coincés, ou .. heu .. on file ? On disparait ? Ile déserte tout ca tout ca ? "
Rire léger avant de se reprendre et de réciter la suite ... toujours a voix basse ... en même temps , porter la voix lui semblait impossible, tellement sa gorge était nouée
Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,Créateur du Ciel et de la Terre,Des Enfers et du Paradis,Juge de notre âme à l'heure de la mort. Et en Aristote, son prophète,Le fils de Nicomaque et de Phaetis, Envoyé pour enseigner la sagesse Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés. Je crois aussi en Christos, Né de Maria et de Giosep. Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis. C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce, Il est mort dans le martyr pour nous sauver. Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut. Je crois en l'Action Divine; En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible; En la communion des Saints; En la rémission des péchés; En la Vie Éternelle. Amen.

Le silence avait fait place quelque peu dans la Cathédrale , ce qui était d'une quiétude évidente en rapport avec le boucan de l'installation de chacun et du premier esclandre de la journée.
Silence qui fut perturbé par quelques voix qui se firent entendre, ainsi qu'un bruit métallique
Par réflexe, la rouquine détourna la tête légèrement, tentant de tendre l'oreille au mieux, et parvint a saisir quelques mots, très peu mais assez pour saisir qu'il s'agissait d'un messager , sans plus .. ni moins.
Ne s'en inquiétant pas le moins du monde au départ, quiconque connaissait les deux protagonistes de ce mariage, n'oserait jamais y semer trouble quand un son plus haut qu'un autre lui fit faire un volte face de la nuque a tel point que ses vertèbres craquèrent violemment, a croire qu'elle allait finir par rester avec un torticolis

Halte bordel !
Sursaut, soupir .. il ne manquait plus que ça ... un nouvel esclandre .. pas qu'elle pomponisait là .. mais ca commençait a être tout comme ..
Elle se retint par contre de sortir un " Et le respect marde ! " et pour ce faire se mordit les lèvres presque jusqu'au sang, et encore .. aurait elle été au courant qu'il s'agissait d'un messager d'un homme de Dieu, qu'elle lui aurait collé la tête dans l'eau bénite pour qu'il se souvienne d'où il se trouvait.
Ravalant sa colère montante, elle jeta un oeil à sa Dame de Confiance .. La Fleur en personne .. regard entendu , et petit signe de tête .
Inutile de plus pour que celle ci comprenne la pensée de la rouquine à ce moment précis .. nul message, nulle urgence, ne souffrirait d'attendre la fin de la cérémonie.. ce n'était plus à une petite heure près .. Quand bien même serait-ce la fin du monde qu'il en serait de même ..

Retour du regard sur Astorius, regard des plus désolés .. avant cette fois de sourire, mais d'un sourire forcé ...

( edit faute honteuse )
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Hagos

A peine rentré avec la fleur, que tout commença, Astorius fit un joli discours, fort sympathique qui fit sourire le premier lieutenant.

Mais alors qu'Hagos venait de répéter en même temps que l'assemblée la confession et tout et tout; du bruit parvint de l'entrée dont il n'était pas loin.

Une seconde dame, je revient.

Il se leva, et arriva alors qu'un homme à l'allure de soldat forçait le passage.
Prenant d'une main le manche de son épée, et s'avançant à sa rencontre, il se mit sur son chemin, les gardes restant derrière lui, la mine rougie par la colère et la main sur leurs armes.

Etant sur le perron il se permit de parler assez fort.

Halte bordel ! Que voulez vous ? Qui êtes vous ?

Répondez moi gentiment et tout s'arrangera surement sans effusion de sang...

Il se demanda soudain si il n'avait pas déjà vu ce visage lors d'une des deux croisades. "On verra bien en fonction de ses réponses" pensa-t'il.
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Celenia

Célénia avait fait une entrée discrète dans la cathédrale. C'était son premier mariage. Elle trouvait cela si... si... tellement... un grand moment d'émotion.
Pour se parer au mieux, elle avait ouvert une vieille malle dans sa maison de Périgueux. Elle en avait retiré moults affaires de feue sa mère et avait fini par trouver ce qu'elle cherchait.
Dans une toile de bure, méthodiquement enveloppée par les soins de Dame Gertrudéis, la grande robe bleue d’apparat de sa mère. Elle l'avait dépliée doucement, avec soin. Elle l'avait suspendue au baldaquin de son lit et l'avait longuement regardée. Un sentiment étrange l'avait habitée. Sa mère aurait surement aimé voir ce mariage, et c'était elle qui allait s'y rendre. Elle avait caressé le tissu, touché du bout des doigts l'étoffe précieuse. La robe de l'inauguration de la Tour de Losse. Sa mère n'en avait pas de plus belle et Célénia, moins par coquetterie, que par peur de ne pas être à la hauteur de l'évènement tenait à porter cette robe là.
Aidée de Dame Gertrudéis, elle l'avait enfilée. Elle lui allait parfaitement. Elle avait alors noué ses cheveux, prit le temps de dompter sa mèche rebelle qui jamais ne voulait aller avec les autres et qui finissait toujours par se trouver devant ses yeux azur.
Puis ils étaient partis au mariage, elle et son cher fiancé.
La cathédrale lui semblait si parfaite. Le moment si intense. Elle regardait Sieur Vonafred et Dame Leyah s'avancer vers l'autel. L'émerveillement se lisait dans ses yeux. Un moment important se jouait. De sa place elle avait une vue parfaite sur la cérémonie. Elle pria le Très Haut pour que tout se déroule sans accroc, ayant quand même prévu quelquechose au cas où...

Alex41

Alex qui venait d'entendre les cloches sonner, sortis de son atelier en courant pour voir ce qu'il se passait à la cathédrale. A ce moment là il se souvint que le Comte et sa Dame devait se marier aujourd'hui. Il se nettoya les mains et la figure puis entendit des claquement dans la porte.

Qui est là? quoi que vous veniez faire chez moi je dois partir j'ai l'air d'etre déja bien en retard

Dame_margot

Margot eu un léger sourit à ces mots, pusi entra en trombe dans la maison!!

Et bien et bien!! tu est en retard aussi apparement dépêche toi, je suis venue exprés te chercher.

margot lui sourit et attendis qu'il finisse de se prérarer

William.

arrivé dans la cathédrale au bras de sa douce ils s'asseoient et la cérémonie commence avec une petite confession comme d'habitude

Je confesse à Dieu tout-puissant,
je reconnais devant mes frères
que j'ai péché en pensée, en parole,
par action et par omission;
oui, j'ai vraiment péché.
C'est pourquoi je supplie Aristote et Christos,
les archanges et tous les Saints,
et vous aussi mes frères,
de prier pour moi le Créateur

Que le Tout Puissant nous fasse miséricorde,
qu'il nous pardonne nos péchés
et nous conduise à la vie éternelle
dans le paradis solaire.
Amen.

hop et on affirme notre croyance en le tout puissant

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Éternelle.

AMEN

Dame_margot

[DANS LES BUREAUX DE LA MAIRIE DE PERIGUEUX]

Margot était en plein travail dans son bureau de Tribun, quand elle entendit les cloches de la cathédrale sonner, elle se rappela soudain, qu'elle avait complétement oubliée le Mariage du comte, elle se leva d'un bon de sa chaise.

Par Aristote, je suis complétement en retard,

Elle pris son manteau et ses gants et se diriga vers son manoir en quatriéme vitesse.

[AU MANOIR]

Quand elle fût arriver sur le péron de la grande demeure elle vit son majordome Théodor l'attendre, avec sa robe prévue pour la cérémonie à son bras, elle gravit les marche de l'entrée deux par deux, pui celle de l'escalier intérieur 3 par 3, elle se rendit ensuite dans ses appartements pour revêtir la sublime tenue de soirée conféctionnée par la fée tisserande et se coiffer.

Margot se regarda une derniére fois dans le miroir puis souleva sa crinoline pour pouvoir courrir à petite foulée.

[EN VILLE]

Elle sortit et se diriga vers la cathédrale de Périgueux en courant. Quand elle s'arreta net au milieu de la place royale, se souvenant que Alex voulait y aller aussi, elle se rendit vite fait au 56 place Keyfeya, heureusement c'etait juste prés de la cathédrale, elle toqua à la porte et attendit quelque seconde qu'il réponde

--Stanislas

Ils étaient bien tous les mêmes, ces grands en dentelles ! Un émissaire était donc nié avec autant de talent ? Les consignes étaient claires, et le molosse, dans ce qui allait se produire, ne fit qu'obéir aux instructions de son Excellence. IL toisa donc le gosse qui était planté sur le parvis, alors que tout le comté était déjà entré ! Même d'autres soudards avaient eu le droit de passer..; et il allait, lui, rester là, et sourire comme une pucelle médocaine ? Car, il en restait encore, des pucelles, la bas ! Si, si !
Une fois la toise terminée, selon les codes du vieux soudard, il prit soin de le faire se déplacer, en ricanant, et se confronta à la garde comtale. Un reniflement digne des pires raclures des champs de bataille et quelques secondes plus tard, le glaviot fila droit entre les arpions ferrés du premier lampiste. et le molosse donna de sa voix rocailleuse.

Écarte toi, frère d'armes, si tu ne désire pas subir le châtiment du Très Haut !

Le regard du vieux soldat suffisait , en général, pour qu'on ne méprise pas sa voix. Sa main, fermement posée sur son épée, donnait comme un point d'orgue.

Le message que je dois délivrer ne saurait souffrir qu'un peigne cul comme toi s'y oppose ! Sinon, mon gars, tu devras subir deux colères : celle d'un évêque qui est plutôt chatouilleux sur l'étiquette, et celle d'un Coms qui n'aime pas que son "éminence" soit pris pour un anglais !

Mais le regard de l'abruti ne donnerait rien de plus volontaire qu'un hochement de tête, et l'intendant finit par forcer l'entrée et se diriger sans honte vers le grand Varenne. Au moins, lui, comprendrait ! Cling, cling, cling... Les deux plates de cuisses du molosse de Bordeaux cognaient à mesure qu'il avançait sur le devant.

Missionnaire... Un rôle nouvel, pour le vétéran ! Mais après tout, il en avait appris tant, avec Monseigneur qu'il savait, à voir ces chiens d'hérétiques un peu partout qu'il ne craignait rien ici ! et le sourire de dogue était parlant !

--Korzybski

[de l'autre coté du parvis]
La taverne était quasi vide, vu l'évènement qui se déroulait en face, dans la cathédrale. Caché derrière une immense choppe, le visage dissimulé par une sombre capuche, le Franc Mestrier ne perdait pas une miette des allées et venues. Très instructif! se dit-il.

Astorius

Les travées se remplissaient peu à peu dans un joyeux brouhaha. Le barbu observait d'un oeil amusé la foule envahir pacifiquement la cathédrale…
Il surveillait du coin de l'oeil, l'organiste qui venait d'arriver ainsi que les enfants de choeur qui s'impatientaient en attendant le début de la cérémonie…

Tout à coup une bousculade sembla naitre à l'entrée du lieu saint… un silence s'abattit soudain dans les travées…
et tous les regards convergèrent soudain vers le couple qui d'un pas mesuré remontait l'allée centrale…
Un petit signe à l'organiste et soudain la cathédrale toute entière se mit à trembler quand les tuyaux de l'orgue mugirent…
La mélodie si puissante rajoutait à la solennité de l'instant… et c'est le moment que choisi le pieux barbu pour se laisser submerger par un vent de panique… que lui avait il pris, lui le petit curé de campagne, d'accepter de célébrer ce mariage, devant tant de gens réunis… quelle genre de vanité l'avait ainsi envahi pour croire qu'il serait à la hauteur de l'évènement… jamais il ne pourrait mener à bien ce mariage, il allait être la risée de tous…

Leyah au bras de son promis de comte le gratifia d'un sourire en parvenant au pied de l'autel…

et comme par enchantement, tous ses doutes s'évanouirent… elle lui avait fait confiance… alors qu'elle ne le connaissait pas… et il se devait de ne pas la décevoir… La Créature Sans Nom venait de tenter de le déstabiliser mais elle n'y parviendrait pas… ce mariage là n'était finalement pas plus important qu'un autre… aux yeux de ceux qui se marient… tout se passerait bien… si… si…

Une grande inspiration pour se donner du courage et il s'avança de quelques pas … les orgues se turent soudain et le silence qui en découla alors en paru encore plus profond… juste troublé par quelques raclements de gorges, quelques toussotements et autres bruits de chaises…
Un long regard pour embrasser toute la foule présente, un sourire aux futurs mariés et , dans le style quand faut y aller…, il prit enfin la parole…

Eh bien Mes Amis… vous me permettez de vous appeler comme ça, n'est ce pas… même si je ne connais icelieu que bien peu de monde… mais nous sommes tous réunis ici dans l'esprit de l'Amitié aristotélicienne…
eh bien disais je… si on m'avais dit qu'il y aurait autant de monde… j'aurais peut être hésité un peu avant de dire oui à Leyah…

petits rires dans l'assistance…

euh… effectivement, je suis désolé Comte… mais j'ai déjà dit oui à votre promise… mais rassurez vous , il ne s'agissait que d'une demande de mariage et non pas d'une demande en mariage…
En tout cas je vous remercie tous du fond du coeurde votre présence en ces lieux…
Merci d'être là pour accompagner Dame Leyah Bleizmorgan et le Comte Vonafred de Varennes Salmo Salar dans ce qui deviendra le plus beau jour de leur existence ici bas…
L'amour est un présent d'Aristote et aujourd'hui nous sommes ensemble pour célébrer cette union.

Mais avant d'aller plus loin dans la cérémonie, nous allons purifier notre âme, en confiant au Seigneur nos pêchés.

Je confesse à Dieu tout-puissant,
je reconnais devant mes frères
que j'ai péché en pensée, en parole,
par action et par omission;
oui, j'ai vraiment péché.
C'est pourquoi je supplie Aristote et Christos,
les archanges et tous les Saints,
et vous aussi mes frères,
de prier pour moi le Créateur

Que le Tout Puissant nous fasse miséricorde,
qu'il nous pardonne nos péchés
et nous conduise à la vie éternelle
dans le paradis solaire.
Amen.

Le Confiteor déclamé, il observa une petite pause afin que tous puissent se mettre en rêgle avec le Très Haut, puis il reprit la parole…

réaffirmons tous ensemble notre amour du Très Haut et notre foy aristotélicienne en récitant tous ensemble le Credo

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Éternelle.

AMEN

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curé de Périgueux
et picétou

Emardeche

Ema sourit au Comte, il était tres beau dans son accoutrment de marié, elle tait a côtés de Lily, de la Fleur , d aleen et bien d autres.
Elle était a l affut du moindre problème et cela discretement.
Elle souhaitait que tout se passe pour le mieux a cette ceremonie.

Ema avait salué tous le monde d un signe de tête, fait une bise a toute les filles, en attendant que le coretège avance, elle fit un demi tour et alla voir le capitaine Tadek.

Bon, ça va allez, je ne suis pas loin si t as besoin de moi.

Elle le regarda tous sourire.

Je vais allez en amont voir qui se trouve dans la cathedrale.

Elle savait que le capitaine était comme elle a l affut, ils étaient devoués tous deux au Comte.

Hagos

Il sourit de la rime entre roture et cure ...

Bon dans ce cas, je n'aborderais plus le sujet héhé.

Puis elle parla de son rôle :

Demoiselle d'honneur ...même si je vais vous surprendre, je dois avouer que je ne l'ai jamais été ! je ne peut donc pas vous aider de divers conseils sur la manière d'agir.

Il lui sourit à son tour. Heureux d'être auprès d'une aussi belle "demoiselle d'honneur".
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Xenophon

Al noble su sangre avisa...siempre.

C'est tard qu'il arriva à la noce du Conde Vonafred, il venait de loin.
Une grande foule se mouvait aux porte de la Eglise.
Il le vit entrer avec sa fiancée et se réjouit de revoir son freres des combats.
Jolie senorita et fier caballero bien entouré.La providence avait fait de lui un grand, il le suivrait maintenant et se mettra a son service pour la gloire de leurs armes et la vengeance.
Le Xenophon, joli nom herité des champs de la bataille suivit la foule et entra dans la cathédrale de la ville de Perigueux.
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Gwenchlan

Gwen ne répondit pas tout du moins par la parole. Il se contentât de donner un petit coup de coude quand Amarante parla de "Grand père" ce mot il ne voulait pas en entendre parler c'était sacrilège. Lyly était sa fille adoptive cela expliquait pourquoi il devenait déjà grand-père mais n'empêche, il avait déjà reçu un premier choc en revoyant sa fille qui n'était plus sa petite fille alors il allait falloir attendre pour qu'il accepte que lui était devenu grand père, d'ailleurs le môme aurait intérêt à surveiller son langage s'il veut pas se faire cramer tout de suite.

Le bleizh ne répondit pas plus à sa deuxième intervention, bien entendu qu'il la reconnaitrait toujours et en tout lieu pour tout dire, il l'avait déjà vu sur le parvis mais il n'avait pas la force d'aller lui parler car il ne la comprenait pas en ce moment, il avait l'impression d'avoir commis des erreurs que personne ne semblait vouloir l'aider à corriger. Il avait fait des efforts après sa fuite pour tenter de renouer le dialogue mais rien n'y avait fait, même s'il ne faut pas compter sur un bleizh pour faire des efforts surhumain, faut pas rêver non plus. Mais c'était ainsi, peut-être qu'au final le voyage de retour n'était peut-être qu'une tentative désespérée et inconsciente de se faire remarquer au vu de la grande chance d'y passer enfin surtout de ne pas passer...

Et enfin pour sa dernière phrase, Gwenc'hlañ ouvrit enfin la bouche, il allait quand même pas la laisser sans une réponse de sa part surtout que cette fois elle posait une question, même si elle en connaissait la réponse.

Oui c'est un peu ton rôle, mais bon aussi pour que tu viennes à ce mariage dont tu es invité personnellement. Leyah aurait été triste que tu ne viennes pas. Et moi j'avais besoin de quelqu'un pour me soutenir j'aurais jamais pu monter ses marches tout seul, on se demande à quoi les architectes ont bien pu pensé en...

Gwen ne finit jamais sa phrase. Il l'avait sentit et quelques secondes après elle passait devant lui. Gwen était incapable de dire si elle l'avait vu ou non. Il s'étonna de voir son fils, après tout la dernière fois qu'il l'avait vu il était dans un état bien pire que son père et après plus de nouvelles on lui avait même dit que son fils n'était plus au Périgord dernièrement. Il fit un petit signe de la main et un sourire un peu figé à ses enfants se rappelant que Amarante lui avait demandé de lui montrer sa femme, alors il se tourna vers elle pour lui signifier d'un geste que c'était elle...
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Zoyah

Les premières lueurs du jours chassaient la nuit, laissant s'infiltrer dans la chambre d'auberge les rayons mordorés de l'aube qui venaient malicieusement caresser le visage opalin de Zoyah. Lentement, sa face s'anima et les yeux s'entrouvrirent.
Cela s'activait dans la pièce d'à côté...

La présence discrète et rassurante de sa « cochinta » de service qui s'affairait à lui faire couler un bain tiède parfumé aux notes fleuries du jasmin, piquantes du gingembre et vivifiantes de l'orange... de quoi vous donner du tonus pour la journée. La brune songeait déjà à repartir dans les bras de Morphée qu'une domestique de l'auberge toquait déjà à sa porte. Si la jeune femme avait songé l'ombre d'un instant pouvoir s'attarder un peu dans son lit, son entourage quant à lui semblait plutôt s'être ligué contre elle. Sa voix encore un peu rauque s'éleva et quelqu'un instants plus tard un copieux encas atterrit sur ses genoux.
Dans un coin de la pièce, sa toilette lui faisait de l'œil...

La robe était vraiment magnifique, mais la baronne regrettait un peu la teinte qu'elle avait elle-même choisie. Elle aurait dû la prendre en bleu pâle... Ma foi, elle avait tapé dans le côté « bling-bling » de sa garde-robe cette fois-ci et fait péter les broderies cousues de fil d'or sur de la soie d'Inde violet. La dame fut apprêtée rapidement... une fois n'est pas coutume. Pomponnée comme il se doit, une goutte de parfum entêtant derrière chaque lobe, elle put sortir de sa chambre afin d'assister à une union qu'on disait haute en couleurs.

A peine eut-elle quittée l'auberge où elle séjournait le temps des festivités, que la brune fut enlevée par la foule. Entraînée par le mouvement, elle se laissa guider bien malgré elle, le nez en l'air ne regardant pas vraiment où elle allait. Les rues étaient décorées et fleuries, l'air embaumait les parfums capiteux des nobles dames et les saveurs alléchantes de mets sucrés. Sans même s'en rendre compte, Zoyah se retrouva devant la cathédrale.

Rassemblant ses jupons, elle escalada le parvis et se fraya un chemin tant bien que mal jusqu'à l'intérieur de l'édifice. Cou tendu, museau aux aguets... en mode, on cherche Alfred. Avisant enfin son ami parmi la foule de têtes inconnues, elle le héla de la main...
Alf !!

Derrière les futurs mariés faisaient leur entrée.
Et la brune de se caser dans un coin afin de les regarder passer.
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Enora...

Alors que la princesse était partie avec sa cousine Lena au mariage tant attendu, accompagnée bien évidement. Sa tante, une Bleizmorgan encore une, arriva comme une furie, caractéristique de la famille et les disputa :

Êtes vous folles toutes les deux de partir ainsi ? Seules ? Je ne veux rien savoir, il est hors de question, même bardées de garde, que vous alliez sans moi. Et je ne veux rien entendre ! Votre mère Princesse en mourrait s'il vous arrivait quoique ce soit.
Bien. Allons maintenant.

Toa pas te n'inquiéter ma couzine, mamou va pas crier trop longtemps

Ben vi, elle est drolement enervée Tata... qu'est ce qu'elle a... Pense à lui faire un bisou tout à l'heure...

Fort heureusement le reste de la route se passa sans accros, et ils arrivèrent tous à la cathédrale. Une fois devant l"édifice, ils s'approchèrent de Louis... Oh qu'il était beau Louis, des jolis habits il avait

Votre Grandeur, voici la Princesse Enora, qui part peur de louper vos épousailles est parties seule sur la route accompagnée de ma fille. Je la laisse à vos bons soins.

Mais euh... veux rester avec Lena moi c'est plus rigolo.... pis y a pas de grenouilles à l’église... c'est nul.....

La petite princesse, fit donc un sourire des plus radieux à celui qui allait être son beau père. Et resta sagement à coté de lui.

Puis sa mère arriva dans sa superbe robe. Heureusement que Lena avait pas fait de trous dedans, cela aurait été dommage, vu comment elle est trop belle. Le manteau rouge était des plus magnifique. Il faut dire que sa mère portait bien le rouge.

Profitant que tous les regards étaient posés sur les mariés, elle s’éclipsa bien discrètement pour rejoindre sa cousine... ben vi les enfants Bleizmorgan c'est solidaire et pis ça adore jouer.
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Douchka

Citation:

On y va?

Elle avait glissé sa main dans la sienne, après avoir arrangé ses jupons puis avait pris le bras de son ami Anakin.

On y va !

C'est ainsi entourée qu'elle pénétra dans le lieu réservé à la cérémonie. Elle était fière d'être là si bien accompagnée.

Un regard ici et là, que de monde, que de visages inconnus.

Son regard s'arrêta sur le couple magnifique qui allait s'unir, un moment de joie à partager, elle aimait ça.

Elle serra plus fort la main de Bahia qu'elle n'avait pas quitté puis se tournant vers eux deux, chuchota :

Vous avez pensé à prendre des mouchoirs?

Elle tortilla du nez en voyant leur mine et se dit qu'il vaudrait mieux s'abstenir de pleurer d'émotion.
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Einigriv

Eini rêvassait posée sur son banc, déjà partie bien loin de tout ce fatras de faux semblant et de paraître. Un sourire se lisait sur son visage, la jambe gauche étendue, douloureuse, lancinante, la blessure encore trop vive pour pouvoir être oubliée d'un simple coup de tête.
Et puis le parvis se vida, et puis Eini s'en rendit compte, et puis ses enfants jouaient...Elle les regarda un long moment, sous ce soleil timide de janvier. Pourquoi les aurait elle dérangés ? Pour quelle raison ? Rien ne pouvait contraindre ses petits à faire ce qu'ils ne voulaient pas...
Rien ?
Réellement rien Eini, se dit elle.

Si bien sur il y avait une chose, une chose à laquelle elle ne participait que pour sa belle sœur. Une chose qu'elle n'avait pas envie de faire mais qui pourtant, devait être faite.
Eini voulait partir.
D'ailleurs partir, elle n'avait que cela en tête, partir loin.

Alors, comme elle avait été toute sa vie, elle se releva seule, dans un effort assez conéquent, elle était devenue pourpre de devoir souffrir autant, mais il était temps.

Gael, Lena venez mes enfants, allez ne me forcez pas à venir vous chercher, Mamou est... hum fatiguée.
Allons venez !

Et les enfants vinrent. Tous trois grimpèrent les marches de la cathédrale, la Baronne se fit digne, droite comme un piquet, essayant de masquer dans sa démarche, cette jambe qui ne répondait guère plus, ils avancèrent lentement dans la nef.
Et quelle était leur place ? Eini le savait parfaitement.

Elle ne pouvait pas s'asseoir au fond, non, ni plus loin au milieu, non non, sa place était celle de la famille de la mariée.
Alors, tous trois remontèrent l'allée, le regard noir, elle tenait la main des petits, pour les conduire avec elle, mais elle ne tourna pas le regard à aucun moment, elle remontait tout simplement...

Allez Eini, résiste ! Prouve que tu existes ! Se disait elle, alors qu'elle pensait bien s'effondrer à chaque pas.

Mais ceci n'arriva point. Le mariage de Leyah devait être célébré comme il se devait et en aucun cas ses blessures ne devaient transparaître. Enfin, ils arrivèrent à hauteur de places encore disponibles.
Elle fit asseoir les enfants, d'abord, d'une voix chuchotée, douce et bienveillante :

allez asseyez vous et soyez sage mes enfants, dit elle alors qu'elle même prenait place dans un long soupir.

Devant elle du monde encore, mais à vrai dire les places n'étaient pas très bonnes pour que les enfants voient, et bien que sa jambe la fît souffrir plus que tout à ce moment, elle regarda ses enfants et dit :

Venez venez mes petits ur mes genoux où vous n'y verrez rien, allez grimpés !

Elle regarda enfin devant elle, l'esprit sorti de ses pensées, elle reconnue devant elle, la silhouette bien connu de celui qu'elle avait épousé, chuchotant avec une femme qu'elle ne connaissait pas. Pincement de cœur, mais rien ne devait troubler ces noces alors :

Tout va bien ? Dit elle aux enfants
Gael? mon petit ne te sens tu pas fatigué?
Lena ? Ça va ? Vois tu tante Leyah ?
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Sandreen

Un grand geste ample vint repondre à son signe furtif et le couple remonta la nef jusqu'à Sandreen, qui se levant de son siège, les détaillait de la tete au pied, admirative.

Bisouille à son amie et salut à son cavalier accompagné d'un regard qui voulait dire 'ttention je t'ai à l'oeil mais il savait parfaitement ce qu'il l'attendait donc ... sourire et

Ben dites moi vous etes beaux comme des mariés vous ! je ne savais pas qu'on celebrait deux mariages aujourd'hui !

et de partir à rire en les invitant à prendre place à ses cotés

Citation:

Bonjour Sandre, on peut venir te tenir compagnie ?

Evidemment vous pouvez, depechez vous avant que le monde ne se rue sur les bancs.

Puis un murmure

Citation:

Sais-tu où sont Lily et Flax ? J'ai vraiment besoin de lui parler, mais dans cette cohue je ne les vois plus

Lily et Flax ? bah moi c'est plutot le comte et leyah que j'attends se tournant pour voir si elle apercevait un des deux couples et de lui repondre en chuchot
Lily et Flax...heu non.... pas vu encore mais pourquoi ?

C'est alors qu'elle vit les futurs faire leur apparition au sein de l'édifice et de donnant un leger coup de coude à Aleen continua sur le meme ton

Dis tu sais ce que doit faire une damoiselle d'honneur toi ?

Debout à regarder le couple remonter la nef à pas lents, une chevelure blonde attira son attention, deuxième coup de coude et signe de la tete en direction de Lily

sont la bas regardes

Anakin41

Les trois Fougerais, Douchka, Bahia, et Anakin, s'étaient installé sur un banc, à l'interieur de la cathédrale. Le lieu était noir de monde, beaucoup de personnes inconnues pour le Kastellan qui regardait ça et là afin de trouver un visage familier.

Certains de ces visages lui rappelerent effectivement quelque chose, de lointains souvenirs. Il cherchait aussi Saphyra, qu'il avait tout juste pu appercevoir au moment de rentrer dans l'immense édifice religieux.

Il n'eut plus de temps pour chercher et se questionner, les futurs mariés entraient et remontaient l'allée central.
Anakin fit un petit signe de tête accompagné d'un sourire à son amie Leyah alors que les voix autour émettait des "oooh"
suivit de chuchotis dans lesquels ont parvenait à discerner des "qu'elle est belle".
Anakin remarqua les sourires qui illuminaient les visages, tout autour de lui alors que le couple progressait vers l'autel.

C'est vrai qu'elle est magnifique... Se dit-il alors qu'ils arriverent au bout de l'allée.
Le Brouhaha s'estompa petit à petit, annonçant le début de la cérémonie.
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melior

La PIPTNAPFGPF finit par arriver, pas forcément très en avance, mais pas trop en retard non plus, à en juger le monde sur le parvis.
Voilà qui lui allait fort bien.
Point de luxe ostentatoire, seul le rubis étincelant sur sa gorge, et à son plus grand plaisir, quelques mèches de cheveux qui dépassaient enfin de ce hennin qu'elle ne tarderait pas à jeter au feu.
Elle se tourna vers son cavalier...qui remplaçait avantageusement sa canne. Eh oui, pour une fois, Melior avait un homme presque noble à son bras, mais seulement presque, s'il était noble, on aurait pu parler mariage et là de mariage, ce n'était pas le sien qui importait, mais celui de Louis Vonafred et de Leyah.
Elle se tourna donc vers son cavalier et lui dit :

Vous voyez, je vous avais dit à droite, et voilà nous voici à la cathédrale.
Non non, vous pouvez bien médire et vous gausser de mon sens de l'orientation mais à Périgueux, je sais encore me diriger.
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Groch

Le couard de Chinon le regardait, sourire carnassier et regard noir d'envie de meurtre. Sa compagne l'avait prévenu de cette fameuse soirée en taverne, il ne pensait qu'à réparer cet affront. Rancune quand tu nous tiens. Parle en articulant bien qui soit lu sur ces lèvres

Continues de parler NamaycRuche, ma dague plantée dans ta gorge transperçant ta langue te ferait une belle breloque. Noble ou pas tu ferai un beau trophée au bout de ma pique.

regarde sa moitié et lui sourit

Qu'est ce que tu en penses?

Suit la foule qui entre dans l'édifice

Marcus54

[sur le parvis de la cathédrale]

Marcus avait reprit quelque peu son souffle et se joignit à la foule qui grossissait à vu d’œil

il se dit hé bien leyah a invité tout le comté
il eut un léger sourire, il essaya de se frayer un chemin à travers la foule et d'être au plus prés pour voir l'arrivée des futurs mariés il réussit à se rapprocher des portes.

Soudain un villageois cria
Les voilà les voilà ils arrivent
c'est alors que des hourra des vive les mariés traversèrent la foule

Marcus aperçu la ravissante leyah dans une splendide robe confectionnée pour l'occasion il vit également le futur mari de leyah dans son bel habit fringuant.

Il vit également une autre dame qui ne manquait pas de charme einigriv dame qu'il a bien connu.

Les mariés firent une petite pause à l'entrée de la cathédrale avant d'y entrer puis entrèrent suivit par la foule venu en nombre.
Marcus entra également à son tour et réussit a avoir une place non loin des futurs mariés

la cérémonie commença...

Amarante.

Le petit intermède fini et le garde debout sur ses pieds, ils reprirent le chemin d'où tout un tas de monde entraient en file indienne. C'est qu'il y en avait du monde. A part quelques rares visages connus, pour le reste c'était la débandade ... Depuis qu'elle était restée à Sarlat, elle ne voyait plus personne et le mot était faible et depuis deux semaines, elle ne sortait même plus de chez elle ...

Tenant toujours Gwen par le bras, ils allaient à son rythme, c'était à dire très lentement. Ils grimpèrent les marches et elle salua ceux qu'elle connaissait. Dans l'entrée, elle se signa et ils marchèrent dans la grande allée. Pour leurs places, elle suivait Gwen qui visiblement se dirigeait vers les premiers bancs, ceux destiné à la famille ...

Elle le laissa s'asseoir, en le regardant du coin de l'oeil. Sa démarche claudicante montrait bien qu'il avait fait un gros effort en rossant le garde. Il devait avoir mal et elle devait surveiller ça. Tsss c'était bien un homme à n'en faire qu'à sa tête ... Une fois qu'il fut installé sur le banc, elle prit place à son côté, posant doucement ses mains sur le tissu soyeux de sa robe.

Elle tourna son regard vers lui ...

Est-ce que tu as mal ? Ca va aller ? Si tu veux quelque chose demande moi ...

Elle lui sourit, puis elle fit parcourir son regard émeraude sur l'assemblée. Les invités commençaient à s'installer. Elle cherchait les enfants du regard et se demandait si elle allait voir sa petite princesse et son petit Elorn. Il y aurait certainement aussi les enfants de Gwen et ... Sa femme aussi ...

Elle se mordit la lèvre et se demanda si elle devait poser la question ... Mais en même temps, elle devait bien savoir à quoi s'en tenir si elle voulait que Gwen se tienne tranquille ...

Dis voir ? Je suppose que tes enfants et ta femme vont venir ? Est-ce que tu es sûr que ça va aller ? Si tu es de mauvaise humeur, ce n'est pas uniquement à cause du mariage ... Je me trompe ?

Elle posa une de ses mains sur son bras, toujours dans un geste apaisant ...

Essais de ne pas t'énerver d'accord, tu n'es pas en état ... Je ne connais pas ta femme, tu voudras bien me dire quand elle sera là ?

Elle ne connaissait pas Einigriv, mais si elle voyait Lena ou Gaël, alors elle ne serait pas très loin ... Enfin normalement ...
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Amarante.

... Je ne suis pas une chochotte de Montfort ...

Elle se mordit la lèvre intérieure pour ne pas rire. Elle connaissait une ou deux Montfort, deux clientes qui étaient venues la voir quand elle avait encore son propre atelier ... Enfin connaitre ... c'était vite dit ! Comme elle n'était pas restée en Bretagne, elle n'avait pas donné suite et comme elle ne faisait partie d'aucune famille à l'époque, elle regardait les guerres de clans d'un oeil extérieur et désintéressé ...

Elle hocha ensuite la tête quand il parla d'Enora et de sa fille et elle sourit à les imaginer toutes les deux habillés en princesse. En ce qui concernait Gaël et Eini, et bien elle verrait ... Quand il parla d'arme, elle baissa son regard sur l'intérieur du mantel et secoua la tête en soupirant, mais ce qu'elle ne disait pas, c'était qu'elle aussi, avait sa dague sur elle. Elle n'avait pas amené « Modestie » mais sa dague ne la quittait jamais ...

... Enfin pour le reste tu ne te trompes pas, ce mariage n'est pas pour moi la meilleure nouvelle qu'il soit mais je l'ai accepté comme bien des choses venant de ma soeur, mais c'est bien tout le reste de la famille qui aurait tendance à m'énerver. J'ai appris assez récemment que ma fille ainée était enceinte, je doute pas que tout le monde était au courant et s'est gardé de me le dire, j'avoue ne pas trop savoir comment réagir.

Outch ... Elle plissa son nez quand il parla de Lyly ... Elle savait effectivement depuis un petit moment que Lyly était enceinte. Elle s'entendait bien avec Aelyia, même très bien et elles étaient devenues un peu des confidentes ... Elle préféra ne pas croiser son regard ... Que lui répondre ?

Je sais pour Lyly ... Elle me l'a dit quand elle l'a découvert ... Et sa grossesse était déjà bien avancée ... En ce qui concerne ta façon de réagir ... Si tu aimes Lyly comme tu le laisses entendre et bien tu n'as pas d'autre choix que de l'accepter ... J'ai aussi cru comprendre que tu aimais bien son pirate et je suis certaine que tu feras un « grand-père » merveilleux ...

Elle avait relevé ses iris sur lui en disant ses derniers mots. Elle avait les yeux brillants d'amusement quand elle avait parlé de grand-père ... Heureusement qu'il était mal en point, parce que là, elle le cherchait un peu quand même ...

Puis revint enfin le sujet de sa femme et elle retrouva son sérieux ...

Pour ma femme j'essaierai si je la vois j'ai des difficultés à me tourner pour voir qui arrive et puis bon si ça se trouve elle a complètement changé je la reconnaitrais pas, ça fait un moment maintenant que je n'ai plus de nouvelles et encore moins de visite de sa part...

Elle savait exactement ce que ressentait Gwen en ce qui concernait sa femme ... Son couple à elle aussi, battait de l'aile depuis des lustres et la dernière missive de Baudouin, lui avait clairement fait comprendre que c'était fini ... Du moins l'avait-elle compris comme cela, même si elle en avait demandé confirmation dans sa réponse ... Elle attendait désormais la réponse ...

N'exagères pas Gwen ! Ta femme n'a certainement pas changé autant que cela ... Bien sûr que tu la reconnaîtras ... Je suis bien restée toute ma grossesse sans voir Baudouin et je l'ai reconnu quand il est venu pour l'accouchement ...

Et voilà, il était énervé ... Cela se voyait à son expression agacé et cette jambe qui bougeait nerveusement. Il aimait sa femme, cela se voyait aussi ... Pourquoi l'amour n'était jamais simple ? Elle aimait Baudouin de tout son être, mais lui ne l'aimait plus et Gwen qui aimait sa femme, ne savait pas à quoi s'en tenir avec elle ...

Ca va aller Gwen ... Personne ne viendra te chercher querelle, j'y veillerais ... Tu m'as bien fait venir pour ça non ?

Elle lui sourit et détourna son regard pour voir ceux qui entraient pour s'installer ...
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Gwenchlan

Gwen n'avait pas daigné chercher à voir s'il connaissait du monde ou pas, il avait vraiment besoin d'aller s'asseoir pour pas que sa sœur l'accuse de vouloir gâcher son mariage. Enfin surtout s'il ne se dirigeait pas le premier pour s'asseoir, il créerait des bouchons dans la cathédrale voir se ferait bousculer et c'était pas le jour pour. Donc enfin assis, il regardait de temps en temps derrière lui voir qui rentrait aussi bien pour reconnaitre les amis que pour faire attention aux lâches qui pourrait ne rien trouver de mieux à faire qu'assassiner un homme affaibli dans le dos et dans une église de surcroit. Il s'amusait de voir Amarante essayait d'avoir des gestes et des mots apaisants. Ses questions étant légitimes, il se devait de lui répondre du moins en partie.

Est-ce que tu as mal ? Ca va aller ? Si tu veux quelque chose demande moi ...

Oui, j'ai fait quelques petites folies mais ça va aller, faudra surement que je me débrouille une fois la cérémonie pour rentrer et voir ce qu'il en est mais ne t'en fais pas j'ai connu pire, je ne suis pas une chochotte de montfort...

Gwen n'était pas Breton pour rien, il ne ratait jamais une occasion pour en descendre en flèche les ennemis de la famille, surtout qu'avec la situation actuelle il pouvait même leur mettre sur le dos les besoins de voyages de toute la famille aux 4 coins du monde à défaut de pouvoir rentrer chez eux. Des envies qui avaient tendance à diviser plus que de raison la famille aux caractères bien trempés. Mais ce n'était pas la seule question posée c'était trop simple s'il n'y avait eu que celle là.

Dis voir ? Je suppose que tes enfants et ta femme vont venir ? Est-ce que tu es sûr que ça va aller ? Si tu es de mauvaise humeur, ce n'est pas uniquement à cause du mariage ... Je me trompe ?

Je suppose aussi, ça m'étonnerait que Enora la cousine de Léna ne lui ait pas parlé de cette évènement et de la possibilité de s'habiller comme de vraies princesses. Alors tu penses bien qu'elle aura fait des pieds et des mains pour venir. Pour ce qui est de Gaël et de ma femme, ils devraient tous deux être là après tout si Gaël est né et que Einigriv est ma femme c'est grâce à Leyah puisque c'est elle qui nous a fait nous connaitre, pour le meilleur et surtout le pire semble-t-il...
Mais t'en fais pas ça va aller, je n'ai emmené aucune arme enfin presque

Gwen écarta le mantel pour montrer une dague à son coté...

Mieux vaut prévenir que guérir je l'ai bien appris à mes dépends récemment. Enfin pour le reste tu ne te trompes pas, ce mariage n'est pas pour moi la meilleure nouvelle qu'il soit mais je l'ai accepté comme bien des choses venant de ma sœur, mais c'est bien tout le reste de la famille qui aurait tendance à m'énerver. J'ai appris assez récemment que ma fille ainée était enceinte, je doute pas que tout le monde était au courant et s'est gardé de me le dire, j'avoue ne pas trop savoir comment réagir.

Gwen passa volontairement sur le cas de son couple, après tout elle verrait rapidement que sa femme ne faisait plus grand cas de son mari, elle ne manquerait pas de l'ignorer si elle venait comme elle l'avait ignoré alors qu'il aurait eu besoin d'elle.

Essais de ne pas t'énerver d'accord, tu n'es pas en état ... Je ne connais pas ta femme, tu voudras bien me dire quand elle sera là ?

Essayer de ne pas s'énerver, guère aisée comme demande mais Gwen avait promis de ne pas tout gâcher, par contre il ne pouvait rien faire contre son caractère si on venait le chercher volontairement.

Je sais, je vais rester assis ici bien sagement et ensuite je rentrerais bien tranquillement chez moi comme je suis venu. Pour ma femme j'essaierai si je la vois j'ai des difficultés à me tourner pour voir qui arrive et puis bon si ça se trouve elle a complètement changé je la reconnaitrais pas, ça fait un moment maintenant que je n'ai plus de nouvelles et encore moins de visite de sa part...

Parler de ce sujet avait malgré ce qu'elle venait de lui demander tendance à faire monter l'énervement en lui, d'ailleurs c'était visiblement. Il faisait bouger sa jambe nerveusement, souhaitant déjà que la cérémonie finisse avant qu'elle n'est commencé, il n'avait aucune idée de quoi dire si elle lui adressait la parole alors qu'elle ne s'était pas inquiété de lui auparavant...
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Lily59

Quoi ! Toi t'as encore quelque chose de prévu, raconte !

Et alors qu'elle commençait tout juste à ouvrir la bouche pour répondre à son dévoué, elle vit le carrosse de Leyah arrivait. Le Comte, non loin, faisait pacte de sang. Grimace légère de dégoût sur le visage de la blonde, le Capitaine, à qui elle adressa un sourire et un hochement de tête en guise de "bonjour" se tenait à ses cotés, toujours prêt. Il en était toujours ainsi. Jamais le Cap' ne trahirait le Comte. Bref...
La foule commençait de plus en plus à se mouvoir. Se regroupant, laissant tout de même un fin passage, pour que Leyah puisse descendre et...

Qu'elle est belle ...!!! lâcha-t'elle dans la cohue.

Pas de doute, elle savait plus que tout au monde pourquoi elle était là. Son amie, sans doute une des plus grandes qu'elle avait, se mariait...
Arf, à en voir sa bouille qui part dans tous les sens, la rouquine devait déjà avoir l'idée de se barrer en catimini. Fort heureusement, la Fleur veillait au grain. Cependant, connaissant la furie rousse, il fallait se méfier.
Respirant un grand coup, elle saisit la main de Flax. Ce dernier semblait toujours aussi perdu de voir autant de monde, autant de gens importants. Il s'y ferait. Peut etre qu'un jour, eux aussi en ferait parti... donc autant s'habituer. Chloé, elle, ouvrait de grands yeux, ce qui fit rire Blondie. Tant d'attention dans le regard d'une si petite fille. C'était génial ! Mais elle n'oubliait pas pour autant le plus important... et de tirer Flax par la main pour l'emmener non loin de la Fleur, soit juste derrière Leyah et Vonafred. Un gros bisous à la Fleur en passant, s'ils étaient si beaux, c'était grâce à elle!
Un sourire au Comte et une courbette de circonstance, comme elle l'avait toujours habitué. Et de tourner ensuite son visage, non vers la mariée comme on pourrait le penser, mais vers Renlie... Un sourire en coin, resserant sa prise, et un clin d'oeil amical. Et enfin, un sourire à Leyah, qui se torturait de l'intérieur, ça ne se voyait que trop... et de lui souffler...

Ca va aller... on est avec toi...!

C'est qu'ils commençaient tous à avancer déjà et rentraient dans la Cathédrale.
Enfin elle vit Aleen ! Soulagement !! C'est qu'elle aurait bien courru, mais ça aurait fait carrément déplacé. Déli et Sandreen à ses cotés. Il faudrait la jouer fine...
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Vonafred

[Sang versé et harmonie retrouvée.]

Mouchoir de Key et Foulard de l'ami Ventre scelerent la délicate affaire.
-Capitaine...
Il n'ajouta point mot, Tadek savait combien il l'éstimait.
Baises mains en cascade, Keyfeya, Ema, Alix, Saphyra, Kahhlan et de prendre le relai du Carmin...
-Retard diplomatique Frangin, en amour celui qui ne se fait point désirer n'a rien compris...
Et de prendre la main de sa rouquine diva.
-Leya ma tendre mie...il est temps que je te mène à l'autel...Scelons nostre union et par le Tout Puissant jurons nous amour pour l'eternité.

Un baiser là et de marcher, tête haute vers son déstin...
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Edlweisss

Et ce n'est guére des gens du communs... je doit faire figure d'exception de par ma roture ici.

Je lève moi aussi un sourcil

Vous êtes sure que cela ne vous dérange pas ? Voulez vous que nous entrions ?

Tsss cessez donc avec votre roture. Je vous ai déjà dit que je n'en avais cure. Je lui souris avec douceur avant de reprendre.

Je crois qu'il est temps de suivre mon parrain et ma marraine oui. Il parait que je suis demoiselle d'honneur parmi les demoiselles d'honneur, je pouffe de rire. Je ne sais même pas ce que cela signifie .. si ce n'est faire la potiche aux cotés de la mariée à un moment ou un autre. Je souris grandement amusée qu'a mon âge je fasse partie des demoiselles d'honneur.

J'aperçus alors l'autre Vassal de ma nièce. Fenthick avait lui aussi fait le chemin, je ne le savais pas invité mais en fut ravie. Je regardais alors autour , cherchant ma nièce du regard. Elle ne devait être non loin.
Puis revenant à mon cavalier.

Peut être devrais je demander à Aleen ou Blondie, si nous avons quelques missions autres que de guetter la fiancée. Encore qu'elle est entre de bonnes mains à présent… en regardant le couple Comtal mains dans la mains disparaitre dans la Cathédrale.
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Les Fées Tisserandes

Leyah

Chère Belle-Sœur, souffre que je t’amène au parvis, le temps que ton mari « débande » si l’on peut dire…
Heuuuuu ... je souffre , je souffre .. hum
Envie de rire , de grogner mélangée, étrange sensation, paumée entre les deux frangins , elle allait finir par y perdre sa tignasse un jour .
Et le vl'a qui blablate, diantre ! Il était pire qu'elle !
Regarde Leyah, regarde comme c’est beau une famille unie… bras dans bras, les enfants pas loin… C’est beau hein ! J’ai d’ailleurs souvenir d’elle, en taverne sur je ne sais plus quel front… Elle a des lèvres comme une langue… dévorantes…opina du chef… si si j’y ai goûté Certes, juste pour donner une preuve à Ma Kahhlan. L'heureux homme, il a bien raison, en amour comme en affaires, il vaut toujours mieux être à plusieurs sur une bonne affaire, que seul sur une affaire pourrie...
Regard jeté a son presque beau frère qui loooogiquement devrait l'etre entièrement et plus presque dans très très peu de temps, passer de presque a entier était un honneur quand même ein! Bref .. regard jeté au Namay et de sourire en coin marmonnant dans ses dents
Namay, tu es une sale bête .. une vraie de vraie, saleté de premier ordre, peut être bien une des raisons qui fait que je te supporte tiens
Et de ricaner bêtement, évitant cependant de tirer la langue, manquerait plus qu'il ait le même réflexe et elle aussi de lui retourner une claque en plein sur le parvis
Une tite claque discrète sur son épaule, un sourire franc plus tard ..
Boutade d'un Salmo a un Salar et de les regarder tous les deux , maintenant amusée ..

-Leyah ma tendre mie...il est temps que je te mène à l'autel...Scelons nostre union et par le Tout Puissant jurons nous amour pour l'eternité.
Ah marde .. il n'avait pas oublié . Ein ? Il aurait pu non ? Pfuif
Regard a droite, a gauche, recherche d'un échappatoire, croisant le regard de la fleur, houuu .. heu .. évitons le plaquage en bonne et due forme promis si elle décampait a vitesse grand V
Trop tard pour faire demi tour ! Mais en avait elle seulement envie ein ? Meuh nan .. juste une grande frousse, parce que oui .. derrière son apparence de vil démon, la rouquine était peut etre bien plus froussarde qu'il n'y paraissait

Une main posée sur l'avant bras du Com's, menton raide au possible, un nouveau murmure, a son attention cette fois
De grâce .. évite cette fois de m'écraser les pieds ..
Et de tourner la tête vers sa moitié, large sourire nargueur avant de refaire face a cette allée de Cathédrale et de le suivre pour la traverser afin d'atteindre l'autel

Regard ça et la, sourire aux amis bretons ayant fait la longue route, ravissement d'y voir son parrain , au point d'en avoir les yeux qui pétillent
Pour terminer par saluer le Père Astorius, fidèle au poste, sourire l'en remerciant et d'attendre finalement .. la suite des évenements, un peu plus .. heu sereine ? Naaaaaaaaaaaaaan !
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Bahia7

Bahia regardait les brindilles voler, lancées par sa douce qui se changeait. Puis d'un bond, Anakin impatient sur sa monture, sonna le départ, qui se faisait imminent à en croire les cloches de la cathédrale sonner.

Douchka dépecheuhhhhhh, on décolle !

Elle rappliqua d'un pas rapide en relevant délicatement sa robe, avant qu'il ne l'aide à monter sur leur équidé. Il se dépoussiéra rapidement, ramassa les quelques affaires et monta en scelle tout aussi promptement.

Voilà donc les trois compères en marche pour la cathédrale. Il se rapprochèrent rapidement. Les rues étaient désertes, jusqu'au moment où ils rejoignirent le point de convergence, le lieu de toutes les attractions. Une foule immense et dense.

Regard complice à Anakin, pour mettre à l'abri de l'affluence leurs montures, nerveuses en ces cas là. Un pas au sol, il accompagna sa douce sur la terre ferme. Les voilà prêts pour la cérémonie de sa filleule.

Subitement, sentiment d'angoisse.

On y va?
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Fenthick

Une bouteille de blanc de Savoie sous le coude, à remettre tant bien que mal son col qui se fait la malle comme une joyeuse bergère un matin de printemps.
On aura certainement vu cadeau plus original, mais quoi de mieux pour le .. Comte? ... Capitaine? ... Saint Homme ? ... Bonhomme! de Salmo Salar qu'une bouteille, et bonne en plus.

Le Galanodel avait, en ces moments, autant de foi dans le mariage que dans la chaleur de la Lune, et c'est donc bien naturellement qu'il apporta un cadeau qui serait apprécié, pour les maux de tête à venir, quelle que soit leur origine.

Et de retrouver le Carmin sanglant, au pied des marches, quelques minutes après, avec la mariée, le marié, et le bazar, dont sa consœur vassale de Luserne, et tante de la petite, qui, normalement ne devrait pas traîner bien loin non plus, enfin dit on..

Comme un cheveu sur la soupe, d'arriver en invité étoile, inattendu, farfelu, encombrant? Tout de même, non.
Mais d'un large sourire qui se fend d'un bout à l'autre du visage, les yeux rieurs et enchanté, d'incliner légèrement le buste, de saisir au vol, délicatement, la main de la mariée avant qu'elle n'atteigne le second, ou premier, Salar, et de l'effleurer délicatement pour un ..

Vous êtes resplendissante. Mes félicitations, ma Dame.

Et d'un clin d'oeil aux Capitaines, Comtes, Vi ! De sourire plus large encore, et de lancer un.

Un bout d'Empire, dans ce mariage français. Ah, par Lui, content de vous revoir! Je m'en vais?

Sourit, gêné un peu, taquin, beaucoup. Fou? Assurément.

Ptitmec13

Ha ben apparemment ils ne partaient plus.. Voilà le Cap qui s'écarte au bras de la Marquise, personne ho combien respectée par la blondine depuis Genève où elle avait fait sa connaissance.

Regard amusé qui se tourne vers Kah. Rhalala leur Cap, tout en finesse, mais en tout cas il avait réussi, il avait gardé son épée. Elle lève les yeux au ciel tout en ressortant définitivement sa main droite de dessous sa cape et attrape sa robe et son jupon pour gravir les marche. Manquerait plus qu'elle se prenne les escarpins dans le large tissus et s'affale de tout son long aux pieds du Carmin. Oh elle savait bien que ça le ferait rire au plus haut point, quoi de plus ironique qu'une "garde rapprochée" qui s'affale, mais elle avait quand même sa fierté à conserver la blondine.

Gravissant lentement les marches, elle prit le loisir de chuchoter à sa complice: "Bon on reprend "les choses" en main. Toi le coté gauche, moi le coté droit! ça te va?"
Sourire malicieux irradiant son fin visage, elle attend la réponse de son amie.
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Lieutenant Chef de Prévosté du Béarn - Triviale Poursuivante de Minerve

Hagos

Il lui sourit à son tour et ascquiesça à ses dires.

Ne pas me libérer aurait été tout de même trés regrettable, perdre une minute de vostre compagnie... d'autant plus que vous ne restez plus que quelques jours ici.

Puis devant sa constatation effectivement parfaitement innocente il répondit :

Oui, de la foule et du sang, des arrivées remarquées de certains. Si vous n'étiez là, je me haterai de gagner l'océan, il y à tellement de monde que l'on croirait un champ de bataille.

Passant devant les gardes :

C'est bien, restez vigilants, et nevous inquiétez pas, la plupart n'auront pas le pouvoir de vous inquiéter en cas de maladresse de votre part, donc ne vous sentez pas oppressés.

Ah et préparez vous à rentrer en cas d'alerte, je protége le couple et vous l'assemblée.

De nouveau à sa cavaliére, fort en beauté.

Et ce n'est guére des gens du communs... je doit faire figure d'exception de par ma roture ici.

Levant un sourcil interrogatif : Vous êtes sure que cela ne vous dérange pas ? Voulez vous que nous entrions ?
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Gwenchlan

Gwen avait fait fi de la douleur pour faire les différents mouvements et son attaque fut arrêter par Amy. D'un geste mais aussi par ses paroles, il faillit presque lui répondre à vos ordre chef mais cela aurait été de mauvais gout après la voir tout simple obligé à venir au mariage avec lui. Il reposa son bâton à terre pour s'en servir de nouveau à son usage premier pour se soutenir en plus de se servir discrètement d'Amarante pour cacher au maximum sa démarche particulière.
Il laissât de coté le garde et avançât vers la cathédrale, méditant les propos de sa cavalière du jour. Certes il était vrai qu'il avait réagi excessivement face au garde qui le pauvre n'essayait que d'éviter tous problèmes pour l'évènement mais pour le reste s'il était de mauvaise humeur ce n'était pas tant à cause dudit mariage, Gwen avait cessé de se faire des illusions, mais plus au fait que sa famille avait semblé bien peu se soucier de sa venue à ce dernier encore plus alors que tous avait été informé de ses mésaventures.

C'est cela qui mettait Gwen dans une folle colère, et qu'il allait devoir contrôler pour ne pas mettre son poing dans la tête de certains invités de sa sœur dont il ne pouvait décemment pas accepter la présence pour des actes récents comme beaucoup plus ancien.
Pour cette raison et aussi parce que son effort avait défait le travail de soin de sa fille, il entra dans la cathédrale pour aller prendre place ne se souciant pas de savoir s'il manquerait prenait la mauvaise place, se fiant uniquement à la partie habituellement réservée à la famille de la mariée. A présent, il n'avait plus qu'à attendre et espérer que ça se passe assez vite pour rentrer avant que le sang ne transperce ses habits d'apparat, après tout Amy venait de lui demander de ne pas faire d'esclandre ce serait la moindre des choses de ne pas se mettre à goutter du sang en plein milieu du mariage.
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Namaycush

Rouge...

Rouge comme Carmin… ah les Salar et la diplomatie, on s’attrape virilement, on se serre par les épaules on vient au rapport… Pas belle la vie ?

Ah oui le Tadek, il avait combattu avec lui… ou lui sous ses ordres plutôt fût un temps croisé. Raison de plus en fait… En temps normal, il aurait demandé le duel de courtoisie, celui du premier sang, non pas la lice réservée à la gueusaille ou aux bourgeois en mal d’émotions. Mais expliquer cela, durerait trois plombes… et puis en fin de compte, il avait autre chose à faire.

Rouge… comme le feu du volcan qui va exploser de rire…

Ce Périgord se révélait pleine de surprises … Un Comte et un Capitaine se serrant virilement la pogne sanglante, vite unis par la bande d’un bon samaritain poitevin, les liant ainsi à jamais… Que c’était beau la féodalité aussi unie…

Carmin, presque mort de rire, tendit son bras à Leyah…

Chère Belle-Sœur, souffre que je t’amène au parvis, le temps que ton mari « débande » si l’on peut dire…Avisant enfin Ermadèche… il tendit la main tout guilleret… Coucou, je suis là !

Laissant ainsi le frangin faire le troubadour, il devisa allègrement avec la marquise bientôt Salar… Désignant une jolie famille, celle de Vîrginia et du penseur trop faux…il imprima au faux couple un temps d’arrêt…Regarde Leyah, regarde comme c’est beau une famille unie… bras dans bras, les enfants pas loin… C’est beau hein ! J’ai d’ailleurs souvenir d’elle, en taverne sur je ne sais plus quel front… Elle a des lèvres comme une langue… dévorantes…opina du chef… si si j’y ai goûté Certes, juste pour donner une preuve à Ma Kahhlan. L'heureux homme, il a bien raison, en amour comme en affaires, il vaut toujours mieuxêtre à plusieurs sur une bonne affaire, que seul sur une affaire pourrie...Enfin… montant les marches du parvisMais Von, tu es toujours en retard, tu es pire qu’une femme pour finir !

Il riait de bon cœur de cette belle journée, lame au flanc, devant l’édifice saint… petit coup d’œil narquois au capitaine du Périgord…

[Bonjour, Bonsoir
retrait du HRP
Merci de ne pas utiliser de HRP dans le RP, sauf s'il apporte une précision nécessaire à la compréhension du RP (cf Règles d'Or des Arpenteurs. Message effaçable une fois consulté, bien entendu !
Bon jeu,
Modo Mahelya]
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Lubna

[Sarlat les malles en vrac]

Boudinée moiaaaaaaaaa

le regardant et remuant ses fesses

Regardes cette robes! Elle me va de nouveau ! waouhh
de l'enlever et d'en essayer une autre

Et celle là? sortant ses seins
tu en pense quoi?

fouillant dans ses malles excitait comme une enfant qui découvrait de nouveaux jouets

oh regarde celle ci

l'ajustant avec difficulté puis enfin sans craquer le tissus de soie
tu en penses quoi Vlad?

sortant ses atouts
Alors?

regard de vlad qui en avait un peu marre de tout les essayages de sa femme

Dans dix minutes je suis prête le temps de me repoudrer le nez!

et de fouiller de nouveau dans ses malles de jeune fille pour être certaine qu'elle avait la bonne robe en attendant que son époux s'occupe de la nouvelle "charrette 4*4 top class' luxe" qu'ils venaient d'acquérir
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Edlweisss

[Au pied du carrosse]

Et le voila qui apparu , tout de bleu vêtu. A croquer le Lieutenant mais bien entendu je n'en dirais rien même si mes yeux devaient parler d'eux même.

Mes hommages noble dame, m'accorderiez vous votre bras ?

Je lui souris et passa doucement ma main sous son bras offert.

Avec plaisir cher Lieutenant. Vous êtes pile à l'heure , je me demandais si vous pourriez vous libérer quelques instants de votre charge du jour.

Me penchant un peu vers lui.

Je ne dois quitter Leyah des yeux pour ma part .. au cas où je doive lui courir après en cas de tentative d'esquive de dernière minute …

Puis m'exclamant de mon ton innocent habituel

Vous avez vu cette foule!!!!
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Les Fées Tisserandes

Ventreachoux

Alors que le comte poitevin n'avait pas terminé son échange avec le futur marié qu'un évènement se déroula sous ses yeux.Il a vu Vonafred sortir subitement sa dague et se taillader le poignet.Après que son capitaine lui serrait le bras il dégrafa le grand foulard qu'il portait sur lui et l'entoura autour du poignet de son ami et lui fit un garrot.

T'es pas encore marié que tu penses déjà a te suicider.

Le comte explosa de rire une nouvelle fois.Puis il entendit une voix féminine l'interpeler.Se retourna et esquiva un sourire tout en essuyant ses larmes du à sa crise de rire.

Je te laisse mon ennemi d'aujourd'hui, je dois aller papoter avec la damoiselle.

Oh !!! quelle heureuse surprise de vous voir ici Dame Alix.
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Amarante.

[Demeure de Gwen]

Elle aimait beaucoup de choses en Gwen et en particulier sa façon direct de dire les choses ... Elle voyait bien que c'était un coup fourré du patriarche pour la faire venir et ses dires lui confirmèrent ses pensées ... Il avait bon dos le scribe ...

Bon alors faisons simple et concis, je suis guère en grande forme...

A ça, c'était visible, même s'il n'était pas l'article de la mort, il était en piteux état c'était certain ... Elle l'écouta donc lui expliquer avec attention de quoi il retournait ... Ainsi c'était donc ça. Il voulait aller au mariage de Leyah et il voulait qu'elle l'accompagne ... Serait-elle venu s'il n'avait pas usé de ce stratagème ? Certainement non puisqu'elle ne voulait pas y aller à la base ... Moralement, elle n'était pas en état ...

Bras qui se croisaient sous sa poitrine quand il prononça le mot « obligation ». Revoilà le Gwen qu'elle connaissait, donnant des ordres. Elle ne dit mots et le regarda droit dans les yeux, un sourire en coin étirant de plus en plus ses lèvres pâles ... Il avait bon sur une chose, maintenant qu'elle était là, autant allé avec lui. Au moins elle garderait un oeil sur lui. Autant qu'elle serve à quelque chose et c'était finalement mieux que de rester enfermer à se morfondre dans sa chaumière ...

Quand la servante arriva pour l'aider à se changer, elle grimaça voyant que le coin pour se changer était derrière un paravent, mais elle y alla quand même ... Finalement la robe était belle et en plus de sa couleur préférer ... Le Bleu ...

Elle se changea donc sans attendre et laissa la servante la coiffer. Une coiffure simple qui ne prendrait pas des heures de savoir faire pour cette pauvre femme qui n'avait rien demandé à personne. Une fois terminée, elle se regarda dans un petit miroir et tourna sur elle-même ... Parfait ... Gwen l'avait bien choisi et il ne s'était pas trop trompé dans la taille ...

Elle revint vers lui et l'appela ...

Je suis prête ! On peut y aller quand tu veux ...

[Dans la voiture et devant la Cathédrale]

Le voyage entre Angoulême et Périgueux fut assez chaotique. Assise en face du patriarche, elle l'observait plus ou moins en silence ... Quand ils passaient sur un nid de poule, elle le voyait grimacé. Pas la peine de lui demander s'il avait mal, c'était évident, mais elle n'allait pas en rajouter, elle connaissait la force de caractère du Bleizhmorgan ...

Enfin les voilà arrivés et ils descendirent de la voiture l'un après l'autre ... Elle le rattrapa vite fait après avoir lissé les plies de la robe fait par le voyage et pris son bras pour l'accompagner, mais ils furent vite arrêter par un garde faisant un peu trop de zèle ...

Eh tu vas pas par là toi, c'est le mariage du Comte, t'as rien à y faire...

Rhooo quand même !!! Gwen avait peut-être une cape, mais ce n'était pas un mendiant ... Même pas le temps d'ouvrir la bouche que voilà le pauvre garde au sol et elle qui soutenait son cavalier d'un jour par le bras ...

J'ai tout à faire ici, je ne suis pas un mendiant mais le frère de la mariée et je suis de très mauvaise humeur...

Le pauvre homme qui avait visiblement vu les armoiries sur la tunique ne pipait mot et la regardait, visiblement gêné ...

Gwen je crois qu'il a compris son erreur, pas la peine de faire une esclandre maintenant ... Aller viens, il nous faut entrer et s'il te plait, ne sois pas de mauvaise humeur ... Je sais que ce mariage ne te plait pas, mais fais un effort ...

Petit froncement de sourcils pour bien lui faire comprendre qu'elle ne plaisantait pas, mais elle posa une main appaisante sur son bras en même temps ... Il avait voulu l'avoir à ses côtés alors qu'il se tiendrait tranquille ...
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Alix_du_vivier

[L'homme sage apprend de ses erreurs]

Confucius

Petit sourire à l’acquiescement du capitaine....De son capitaine....

Quand un homme a la voix tonitruante fit tourner la tête de la maréchale. Il était venu, elle laissa rapidement les deux hommes pour le saluer cher Comte....

Révérence oblige.

Je suis ravie de vous voir ici à vous seul c'est le Poitou qui s'est déplacé..

Regard dans la foule tant de diversité réuni en un seul lieu. Peu de gens pouvaient se targuer d'avoir réussi ceci.

Elle retourna vers les deux hommes qui se toisaient, Louis intervint.... le pacte du sang...
Elle connaissait, savait ce que cela représentait pour un homme.

Tadek saisit la lame et la serra dans sa main jusqu'à ce que le sang coule.
Regard sans émotion de la jeune brune qui revenait de la guerre, elle en avait vu d'autres.
Les yeux du carmin jetaient des éclairs . Tadek avait le regard noir, ce regard qui en dit long.
Voilà que la rousse Bretonne, la fève du jour était enfin arrivé a calmer le frère par son verbe haut et franc parler.

Ils avancèrent tous vers l'entrée la cathédrale. Alix resta en arrière.

[Hrp/édit: pour correction de cohérence ]
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Aleen

Une foule de plus en plus dense se pressait, quelques éclats de voix... pas étonnant les deux frangins se retrouvaient. Après avoir salué et présenté à Déli son cher Capitaine ils se dirigèrent vers Sandreen. Aleen embrassa sa grande amie de presque toujours.

Bonjour Sandre, on peut venir te tenir compagnie ?

Elle posa sa mante sur une chaise libre au cas où puis murmura

Sais-tu où sont Lily et Flax ? J'ai vraiment besoin de lui parler, mais dans cette cohue je ne les vois plus

Puis elle s'abîma dans la prière demandant à Aristote de mettre ce futur couple sous sa sainte protection
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Hagos

Hagos qui avait inspecté le bâtiment plus tôt dans le but d'en vérifier les entrées et les sorties dans le cas ou un problème arriverait.

Il était vêtu de bleu, d'un costume offert par sa cavalière.

ma tenue

Une épée était dissimulée sous la cape et une cotte de maille légère sous son mantel.

Il sorti d'un pas rapide pour aller chercher "La Fleur" sa cavalière. Il espérait que tout se passerait bien, lui évitant de devoir s'en absenter.

Malheureusement il entendait déjà de l'agitation à l'entrée, il faisait confiance aux hommes qu'il y avait laissé.
Il y alla a fond de train, apercevant le Capitaine, un soldat assommé et Namay, qu'il avait connu lors de campagnes.

S'adressant aux autres soldats il lança :

Soldats emmenez le blessé et donnez lui de l'eau. Envoyez quelqu'un pour le remplacer.

Il se dirigea ensuite vers le carosse aprés avoir salué le comte et le capitaine.
Aprecevant la belle Edelweiss il s'inclina et salua :

Mes hommages noble dame, m'accorderiez vous votre bras ?
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Deliriuma

De pas en pas, des regards se croisèrent.
Halte se fit à la hauteur du Capitaine Tadek. A de nombreuses reprises ils s'étaient croisés dans les antres du Castel, mais j'avais n'avaient pris le temps ne serait-ce que de se présenter.
Chose que fit Aleen, d'une manière sobre et sans ambages.
Main tendue d'un côté, mais tendue de l'autre. C'est d'une poignée de mains que l'affaire fut faite.

Capitaine Tadek, bonjour à vous.
Et de répondre à son conseil d'un amical sourire.
Il n'est point besoin de conseil lorsque les choses sont faites naturellement.

Il le salua une dernière fois d'un courtois signe de tête avant de continuer leur route en direction de l'entrée de la nef.

Au coeur de l'édifice, il était des odeurs et des impressions qui étaient reconnaissables entre toutes.
La vieille pierre, le bois des bancs, et ce silence profond. Chaque mot prononcé prenait une dimension gutturale en se répercutant sur chacune des ailes des lieux.

Tout semblait immobile, une nature morte qui prendrait vie d'ici peu et s'animerait au même rythme que la cérémonie.

Mon coeur il me semble voir Sandreen ainsi que Lily et Flax, et...et.. regardez tous les donatiens, mon Dieu comme ils vont être contents les mariés !

De petits doigts qui s'agitent presque timidement. Deli esquissa un sourire en voyant Sandreen assise sur son banc.
Oui, regardez, Sandreen est justement là bas.
Et de répondre d'un signe de main, doigts écartés, sourire presque niais au bord des lèvres.

Je ne vois pas Lily et Flax par contre, vous les avais aperçus ?
Se tournant vers la porte, la foule semblait encore plus impressionnante.

Rho oui, que de monde, ça va être une très belle cérémonie.
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Alfred555

Bon ben... c'était l'heure. Il fallait y aller. Sinon il allait arriver encore plus en retard que d'habitude. Et il savait que la rousse mariée ne le louperait pas s'il avait le culot de perturber de quelque façon que ce soit la cérémonie. Même s'il était déjà de notoriété publique que ce mariage ne pouvait qu'être haut en couleurs. D'une, de par la chevelure de la mariée. De deux, de par le caractère de la mariée. De trois, de par le caractère de la mariée...

Il avait d'ailleurs hésité à lui offrir en cadeau de mariage un beau poisson pourri bien comme il faut entouré d'une jolie ficelle rouge avec noeud, en souvenir de leur première rencontre mais... il avait craint que le cadeau ne fasse long feu en terminant précocement sa "vie" - avant même la lune de miel - dans sa figure. Et comme elle allait bientôt avoir un mari bien placé, mieux valait ne point trop la contrarier...

Alfred se dirigea d'un pas rapide vers la cathédrale, espérant y retrouver quelques connaissances. Zoyah, en particulier. Ils pourraient papoter si jamais la cérémonie devenait trop longue. Quoique... ils papoteraient quand même.

Saphyra

La Bretonne se sentait de plus en plus oppressée, aucune issue pour s'échapper et pourtant elle aurait aimé se mettre dans le trou d'une petit souris, voir même d'un rat.
Elle reconnut quelques anciens bretons et bretonnes.

Elle avait réussi à se trouver une place stratégique qui lui permit enfin de voir le couple qui avait occupé les esprits de beaucoup de vils bretons.
Quelle magnificence, quelle classe, elle n'avait jamais vu un mariage où se pressait autant de convives autour de tant de grandeur.

Elle aurait tellement aimé qu'il soit là pour le voir... elle soupira.

Elle se concentra alors sur ses amis fidèles qu'étaient Leyah et Louis...le jour le plus beau d'un homme et d'une femme dans une vie : un mariage digne d'un Roy et d'une Reyne.
Elle sourit à l'idée imaginant que ces deux-là y auraient bien leur place.

Vladilir

Lubna et Vladilir, comme à leur habitude, s'y étaient pris avec tant de retard pour se rendre à la cathédrale qu'ils ne faisaient plus guère d'illusions quand à la possibilité de trouver une place assise.Aussi avaient ils pris le parti de se préparer tranquillement, de toute manière toute formede précipitation était désormais vaine.
Leur fille étant confiée à la nourrice pour la semaine ils n'avaient à s'occuper que d'eux même.

Ne connaissant encore que peu les us et coutumes du comté, Vlad choisit une à la fois élégante et chaude en passant son grand mantel doublé de fourure. Pour leur sécurité il accrocha son scramasax à le ceinture ; on ne savait jamais, c'était souvent au sein de la bonne société que les conflits les plus anodins pouvaient dégénérés ; autant être en mesure de disposer d'un argument décisif permetant de mettre un point final à toute discution un peu trop vive.
Luuub, Luuuub tu fais quoi ? tu as essayé toutes ta garde robe ?
Mais oui ma douce tu es belle, mais si je t'assure que cette robe ne te boudine pas
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Gwenchlan

[Dans la maison du patriarche]

Les mots étaient certes mal choisis mais bon l'accusé ne serait pas là pour se défendre alors il pouvait bien le charger, quitte à devoir se confesser après... ou pas.

Demat Gwen ... Je vais ... Bien, trugarez !

Ton invitation ? J'ai reçu une missive me disant que tu étais mourant et que tu voulais me voir ... Est-ce ça que tu appelles invitation ?
Tu veux bien me dire ce qu'il se passe !

Euh... Je crains que le scribe en est un peu rajouté entre ce que j'ai pu dire et ce qu'il a écrit. Je lui ai pas vraiment dicté ma lettre juste donné les grandes lignes mais le scribe se veut auteur de tragédie je suis pas sur qu'il est bien compris le sens du mot invitation.

Gwen se retient d'éclater de rire quand elle lui parle de la robe et surtout quand il la voit sourire. Certes elle se moquait mais ça faisait du bien c'était franchement mieux que l'absence et l'indifférence. Et voilà le Bleizh partit dans les explications.

Bon alors faisons simple et concis, je suis guère en grande forme...

Gwen montre son bras encore bandé ainsi que la bosse formé par les bandages sur ses côtes.

Mais je ne suis pas encore mort, il en faudra un peu plus, peut-être pas beaucoup plus mais bon on va pas s'attarder là dessus. J'ai besoin de ton aide en fait, mon invitation est purement égoïste.
Je dois aller au mariage de Leyah et franchement j'aurais des difficultés à y aller seul à moins d'y aller en rampant, donc je voudrais que tu m'accompagnes...

Il s’interrompt un instant pour reprendre aussitôt.

En fait vu où on est rendu, c'est plus une demande c'est une obligation tu vas pas être venue pour rien et je ne vais pas avoir fait commander cette robe pour toi pour que tu ne la portes pas.
Je crois avoir fait le tour de tes questions mais nous auront tous le temps de parler après si tu veux on doit pas trop trainer si on veut arriver avant la fin du mariage

Gwen la laissa aller s'habiller avec l'aide de la servante derrière le parapet. En temps normal, il serait sorti de la maison pour laisser libre son invité dans cette pièce mais le problème c'est que sa maison il n'y était que depuis ce fâcheux incident et il l'avait pas vraiment fait aménager. En somme son fauteuil et celui sur lequel reposait la robe était les deux seuls endroits où il pouvait s'asseoir. Enfin malgré tout il tournait le dos autant que possible au parapet regrettant de ne pas avoir réfléchi à la disposition des choses avant l'arrivée d'Amy pour ne pas avoir à se contorsionner pour respecter son hôte.

[La cathédrale après un voyage sur les routes chaotiques du Périgord]

Gwen s'était retenu de ronchonner tout le voyage, chaque choc lui lançant des douleurs assez violentes dans les côtes dont il se serait bien passé, surtout qu'elle devenait de plus en plus difficile à cacher avec une personne en face de lui qui avait tout loisir de l'observer durant ce voyage.
Mais la cathédrale était enfin en vue. L'attelage s'arrêta dans une rue à l'entrée de la place et Gwen ne fut pas mécontent de descendre mais c'était sans compter sur d'autres embêtement.

Gwen essayait de prendre de l'avance sur Amy qui ne tarderait pas à le rattraper tellement il allait lentement, mais à peine quelques pas en direction de la cathédrale, et voilà qu'un garde comtale l’interpelle et l'arrête en l'attrapant par le bras.

Eh tu vas pas par là toi, c'est le mariage du Comte, t'as rien à y faire...

A la décharge du garde, il est vrai que Gwen avait peu l'allure d'un invité de marque. Il allait mettre le pied sur les premières marches de la cathédrale mais il était encapuchonné et trainait son bâton pour l'aider à marcher bien piteusement. Mais le marquis, comme certains continuaient de l'appeler, avait suffisamment eu mal durant ce voyage, et son égo avait pris assez pour toute une vie pour ne pas laisser passer la chose. L'homme ne comprit pas ce qui lui arrivait qu'il était déjà à terre. Gwen s'était servi de son bâton pour envoyer valser l'homme et il s’apprêtait même à le frapper commençant par s'exprimer pour instruire l'ignorant.

J'ai tout à faire ici, je ne suis pas un mendiant mais le frère de la mariée et je suis de très mauvaise humeur...

A présent le garde pouvait voir les vêtements sous la cape qui donnait une toute autre allure à celui qu'il avait tenté d'arrêter, reconnaissant les armoiries de la famille de la marié et surtout le bâton tenu en l'air par l'homme qui s’apprêtait à le frapper. Le garde se demandait comme réagir, voyant bien que le frère de la mariée était blessé et qu'il ne suffirait pas de grand chose pour le déséquilibrer mais à quel prix si la sœur était mise au courant de son action.
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Leyah

[ Qui a dit qu'il fallait des mâles dans une vie ? Tssss ]

Foutre d... houuu bon sang !
Relevé de jupes pour s'approcher un tantinet et visualiser la scène avant de rouler des yeux.
Ahhh ces hommes et leurs montées de testostérone .. non mais au jeu de celui qui a la plus grosse ... pomme cela va s'en dire, la rouquine se posait là aussi non mais ho !
Un regard a son Vicomte à elle, un regard a l'autre Vicomte, le coté Vicomte au carré façon Salmo Salar avait le don soit de l'amuser au plus haut point, soit de la foutre en rogne quelque chose de rare.
Là .. elle savait pas trop si elle devait en rire ... ou pas ..
Autre regard au capitaine , légèrement de biais .. tsss nan mais y'a des choses qu'il faut pas faire des fois ...
Et de mater Le Salmo Salar mode sanguin bis parce qu'il le vaut bien et de s'exclamer sans honte

Hey ! Vicomte Namaycush Salmo Salar, allez donc poser votre séant en cette Cathédrale, vostre cul d'enfer certifié vous le demande .. Allez pas lui gacher cette journée tssss
Sourire en coin avant de sourire largement, espiègle comme toujours, tout en moulinant de la main droite devant elle
Enfin après vos histoires d'hommes là ...
Elle faillit sortir un " avanti chéri" mais s'abstint, non mais on lui collait déja assez d'amants sur le dos , alors allez faire comprendre que ce sobriquet entre beaux frères/soeurs n'était qu'un sobriquet
Aussi fit elle silence, juste un regard des plus insistants, qu'ils évitent l'esclandre bordel !
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Sandreen

La meditation est benefique parait il, permet de se remettre en cause et rester serein en toutes circonstances, et le lieu s'y pretait naturellement mais à force de reflechir au pourquoi du comment, on finit par avoir de droles d'idées, Sandreen n'echappa pas à la regle, assise depuis un bon moment dans la cathedrale, c'est finalement le froid qui chassa de son esprit toutes ses pensées.
C'est qu'elle commençait serieusement à se geler les miches quand elle tourna la tete vers les portes en se demandant s'il serait malvenu d'aller chercher quelques fagot de bois pour faire un bon feu.
T'es folle ma pauvre fille et de se frotter les cuisses du plat de ses mains .

La tete obstinement tournée vers l'entrée, quelques personnes attendaient comme elle, elle les salua d'un hochement de tete mais la plupart des invités se tenaient toujours sur le parvis. De l'exterieur lui parvenaient les brouhaha d'une foule, et soudain des cris admiratifs
Ah surement les futurs mariés qui arrivaient se dit elle

La brunette restant ainsi à guetter l'entrée des artistes, reconnut Aleen et Dél, main dans la main, passer les portes, elle leurs sourit ne sachant pas trop s'ils l'avaient aperçu, leur fit un signe discret relevant la main à hauteur de l'epaule, pianotant des doigts dans l'air, genre houhou je suis là

Amarante.

[Demeure de Gwen]

A peine avait-elle fait un pas dans la pièce qu'elle vit qu'il n'avait rien de « mourant ». Ou alors il avait bonne mine pour un mourant, mieux que sa mine à elle dans tous les cas ... A quoi jouait-il ? Un peu déconcerté, son regarde se posa sur la robe trônant sur un fauteuil qu'elle ne pouvait pas rater. Les sourcils en accent circonflexe, elle était complètement perdue ...

Il se leva difficilement pour l'accueillir et vint même l'embrasser. A n'y rien comprendre ...

Bienvenue Amy, je suis heureux que tu es répondu positivement à mon invitation...
Comment te portes-tu ?

Son invitation ?

Demat Gwen ... Je vais ... Bien, trugarez !

Ton invitation ? J'ai reçu une missive me disant que tu étais mourant et que tu voulais me voir ... Est-ce ça que tu appelles invitation ?
Tu veux bien me dire ce qu'il se passe !

Elle tourna son regard émeraude sur la robe et la montra ...

Tu mets des robes maintenant ?

Sourire moqueur sur son minois pâle ...
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Créations de bannières ici

Tadek

Le Capitaine Namaycush n'accepta pas la main tendu de Tad',
pas grave, il s'en doutait et s'atendait à ce genre de réaction très
théatrale et tenter d'humilier son interlocuteur ... en vain
car Tadek n'y porta pas attention.

Alix se mit sur la pointe des pieds pour chuchoter quelques mots à Tadek
où il confirma d'un signe de tête qu'il était conscient de se que lui disait Alix, puis il écarquillat grand les yeux en la regardant et afficha un regard amusé par la réflexion et fit un signe de tête comme pour dire
à Alix qu'il était volontaire pour l'opération proposée.

Puis arriva Aleen, au bras de .... Déliruma ...

Stupéfaction totale pour le Capitaine, Aleen se présenta face à Tadek
et elle le salua tout en lui présenta son ... compagnon.

Bonjour Aleen, vous êtes ravissante ...

Tadek tendit la main à Déli pour le saluer et ajouta:

Bonjour Déliruma,

un petit conseil, prenez bien soin d'Aleen, c'est une personne qui m'est très chère.

Puis vint le tour de Groch qui salua Tad' et Tadek le salua en ami.

Tout d'un coup, le Comte fit son apparition en haut des marches et
interpella vivement son frère et tout en allant vers son frère, il attrapa Tad' par l'épaule et le rapprocha de Namaycush, qui, où avait la mémoire courte ou faisait semblant de ne pas connaitre Tad'.

Le Comte fit les présentations, clairs, nets, sans bavures
et sans que personne ne comprennent, le Comte s'ouvrit la main et invita Tad' et Namaycush à en faire autant pour noyer à jamais ce différent
entre deux personnes qu'ils estimaient.

Sans réfléchir un seul instant, Tad' se saisit du poignard et s'entailla la main, sa loyauté envers son Comte était sans faille.

Tadek attrapa la main de Vonafred et la lui serra vivement tout en le regardant dans les yeux, le Coms savait se que pensait Tad' et tout l'attachement qu'il lui portait et qu'il mourrait pour lui.
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Kahhlan

Tu parles d’un retour chez soi .... !

Laissant son Cap à ses affaires qu’il réglerait comme à son habitude de manière diplomatique au possible … « ça fallait pas rêver … et zut de carabistouille ! Pourquoi elle l’avait rêvé cette façon diplomate hein !!! »

Parce qu’elle était chez Elle, sur ses terres de cœur …
Parce qu’elle se faisait une joie d’assister à cette cérémonie et de peut-être rencontrer quelques de ses amis …
Parce que le temps était compté aussi et qu’il faudrait repartir vite … pour des festivités autrement sanguine et parce qu’elle avait envie d’un peu de douceur dans ce monde de brut !!!
Valà pourquoi !
Pourtant pas compliqué hein … bin si … d’une entaille s’ensuivit l’ire et l’autorisation de pénétrer l’endroit fût stoppée …

...Détachement blond, A Moi ! Retour !

Froncement de nez …. D’abord elle est cuivrée pas blonde … bon sous sa résille, ça ne se voyait pas plus que ça !
Adieu les salutations courtoises qu’elle s’imaginait et de pouvoir admirer la tenue de la future épousée, typiquement féminin mais on ne se refait pas !

Bien ni une ni deux, un regard entendu vers Ptit et se retourner, mains qui empoignent plus les pans de sa robe que de la tenir pincée du bout des doigts, signe pour ceux qui la connaissent, d’un agacement certain …

Le parvis de la Cathédrale …

Du monde encore attendait pour pénétrer l’endroit, son regard se partageait alors entre deux scènes … l’arrivée de la mariée toute en magnificences … et plus proche, le marié, main sanguinolente entre les deux capitaines dont son sien ….
Une femme à la chevelure ébène se détachait ensuite … mouchoir en main pour s’approcher du trio masculin … cette chevelure … ce visage … se pourrait-il que ce soit elle … Keyfeya … fouiller sa mémoire jusqu’à la malmener et se souvenir d’un Périgueux lointain …

S’approcher, ne pas le faire .. l’heure de saluer quiconque semblait suspendue pour l’instant …
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Gwenchlan

[Demeure de Gwen]

Gwen était assis dans la pièce, esquissant un sourire à Amy qui venait d'arriver chez lui. Il avait parlé la dernière fois de leur souci respectif et apprenant qu'elle n'avait pas fait le moindre préparatif pour venir au mariage et lui se devant d'y aller mais pas seul dans son état, il n'avait pas trouvé de meilleur stratagème. Mais l'attente lui avait fait trouver l'excuse parfaite, il n'avait pas écrit la lettre, il suffisait de dire qu'il ne l'avait pas dicté et que le scribe en avait un peu rajouté.

Et pour le reste tout était fin prêt, dans la pièce trônait en bonne place la robe qu'il avait commandé pour elle et la servante arriverait aussitôt que l'invitée se déciderait à la mettre pour l'aider, car même s'il l'avait voulu Gwen aurait été incapable d'aider, déjà que respirer le faisait souffrir alors serrer un corsage c'était pour le coup vraiment chercher à finir agonisant.

Malgré tout il se leva pour l'accueillir et l'embrasser, ce n'est pas vraiment comme s'il avait garder les attitudes mondaines, il faut dire que la foule ne se pressait pas pour venir chez lui et pour tout dire il s'en accommodait assez bien la plupart du temps.

Bienvenue Amy, je suis heureux que tu es répondu positivement à mon invitation...
Comment te portes-tu ?

Gwen essayait de faire dans la subtilité même si ce n'était pas son fort, elle ne pouvait pas rater la robe et encore moins qu'il n'était pas alité entrain de mourir...
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Gwenchlan

[Chez les Bleizhmorgan]

Gwenc’hlañ avait promis de venir, même si la récente attaque qu’il avait subi lui avait donné l’idée de se faire excuser pour cause de blessures. Encore voir sa sœur se marier, c’était une chose, mais certains détails et personnes présentes le dérangeaient largement plus. La vengeance n’était pas un sentiment aristotélicien mais malgré tout pour Gwen la vengeance demandée n’avait jamais eu lieu, ni les excuses et encore moins les réparations, des griefs assez fort pour qu’il tente de faire tout capoter mais bon pour ça faudrait être en état de se battre avec sa sœur et c’était surement pas le cas.

Alors le patriarche Bleizhmorgan allait se rendre à ce mariage, seul, du moins c’était ce qui était prévu au départ mais avec un bleizhmorgan rien ne se passe vraiment comme prévu. Il aurait du avoir certaines personnes pour l’aider à venir mais non alors c’était aide-toi et le ciel t’aidera comme dirait l’autre. L’avantage certains du drouiz c’était son réseau et aussi son argent faut le dire, mais pour le coup c’est bien involontaire qu’il eut une info, alors que c’était sa famille qu’il faisait surveiller, en ces temps troublés c’était plus que nécessaire.

Il mandât aussitôt un attelage pour Sarlat afin qu’on aille chercher une amie proche. Gwen n’avait pas vraiment été honnête pour le coup. Un courrier annonçant son état physique qu’il avait poussé un peu à l’extrême faisant croire qu’il était à l’article de la mort et qu’il aimerait bien qu’elle vienne le voir.

Tout était prévu pour qu’elle le suive dès son arrivée au mariage, même une robe, ce n’est pas vraiment ce qui manquait vu le nombre de filles dans la famille. Aucune excuse ne sera valable pour ne pas le suivre, sauf celle qu’il a menti mais c’est un petit mensonge enfin presque.
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Amarante.

[Sarlat, peu de temps avant le mariage]

Elle avait reçu l'invitation de Leyah peu de temps après le départ de Baudouin et de Kory. Elle avait décidé de ne pas y aller. Pas la peine de plomber la cérémonie avec sa mine déconfite. On ne pouvait pas dire qu'elle avait une mine superbe, c'était plutôt le contraire à vrai dire. Teint blafard et grosses cernes sous les yeux, elle restait enfermé dans sa chaumière une fois son travail de garde-pêche terminée. Elle n'avait plus d'appétit et plus goût à rien à vrai dire. Sa fille lui manquait et pour couronner le tout, elle se rendait compte que petit à petit tout changeait ...

Alors qu'elle venait de rentrer du lac comme chaque jour, des coups frappés à la porte la firent sursauter et elle mit un certain temps à réaliser qu'il y avait quelqu'un derrière. Un villageois ? Remontant son châle sur ses épaules, elle alla ouvrir et vit un homme qui portait les armoiries Bleizhmorgan. Un homme de Gwen à n'en pas douter. Il la salua et lui tendit une missive puis lui expliqua qu'elle devait se dépêcher ...

Elle fronça alors ses fins sourcils et parcourut la missive des yeux. En parcourant les mots, son coeur manqua un battement. Elle avait eu vent de la nouvelle que Gwen avait eue maille à partir à la frontière Poitevine, mais ne le pensait pas si mal. Pourquoi tout partait en vrille autour d'elle ? Le garde la pressait et elle revint à la réalité. Il voulait la voir ! Gwen voulait la voir ? Cela voulait dire qu'il était vraiment à l'article de la mort ... Mais pourquoi voulait-il la voir ? Elle n'était rien pour lui ...

Elle hocha la tête pour dire au garde qu'elle venait, parti chercher sa cape et ferma la porte de sa petite chaumière. Elle demanda de faire un détour au port de pêche, y laissa un mot et les voilà parti pour Angoulême. Le garde menait bon train l'attelage. Connaissant Gwen, il avait dû dire à son homme de ne pas trainer en route et elle se l'imagina, même agonisant, vociférant des ordres qui effrayaient tout le monde ... Un léger sourire étira ses lèvres à cette pensée ...

[Demeure du patriarche]

Elle n'était jamais venue à Angoulême. Pour elle c'était une première et venir pour voir un mourant, n'était pas la meilleure des conditions ... Une courre et une maison en pleine ville. Pas le temps de trop regarder. A peine arrivée, elle fut conduite au « chevet », du moins le pensait-elle, de Gwen. Elle ne savait pas trop a quoi s'attendre, ne sachant rien ou presque de son état ... Pour qu'il ne prenne pas trop peur du sien d'état, elle se pinça un peu les joues et se mordit un peu les lèvres pour leur donner un peu de couleur.

Une grande inspiration, une servante lui ouvrit une porte et elle y entra ...
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Créations de bannières ici

Astorius

Bon finalement, à la grande surprise du barbu, le séïde l'avait laissé passer sans mot dire, écartant juste son écu, pour d'un mouvement du menton, lui indiquer le chemin…
N'en demanda pas plus, le clerc se faufila à travers la foule grandissante et gagnant, non sans peine le presbytère…
Refermant la lourde porte derrière lui, laissant ainsi bruits et cohue à l'extérieur, il savoura le calme du lieu…
Il quitta prestement sa pauvre soutane pour enfiler ses habits sacerdotaux… Il enfila tout d'abord son aube, , enroula autour du cou son étole brodée avant de recouvrir le tout de la chasuble d'apparat, toute de soie et de brocard d'or . Le tout pesait bien quelques livres et il semblait bien pataud dans cet accoutrement, peu habitué qu'il était à ces messes d'apparat…
Un petit coup d'oeil dans le miroir pour constater qu'il avait incontestablement plus fière allure qu'en entrant…
Un grande inspiration et une hésitation presque imperceptible avant de ressortir et voilà notre prêtre gravissant les marches vers l'autel…
Il ne lui restait plus qu'à attendre que tout le monde prenne place dans la cathédrale et que les deux promis remontent la nef principale…
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curé de Périgueux
et picétou

Ptitmec13

Et la réaction du Carmin ne se fit guère attendre. Jamais elle ne l'avait vu avec ce regard, cela ne présageait rien de bon.
Elle suivait la scène avec attention, sa main glissant à nouveau à proximité de sa dague. Venant du Cap elle savait qu'il ne ferait pas de grabuges ne serait ce que part le respect qu'il portait envers son frère mais venant des autres personnes présentes.. tout était possible.
La tentative de diversion d'Alix fut, semble-t-il, désamorcée, si tant est qu'elle ai réellement amorcé quelques choses.
Le voila qu'il tournait les talons sifflant son cheval..

...Détachement blond, A Moi ! Retour !

Regard vers sa blonde complice façon question silencieuse: "Bon ben on fait quoi maintenant?" Mais la question ne se posait guère en fait, le Cap avait dit retour donc c'était retour et puis voila.
La direction vers les chevaux qui se regagne jusqu'à ce qu'une poigne de fer arrête le frangin.
On stoppe tout on attend la suite. La blonde ne manque pas pour autant le regard d'un homme.. Mais qu'a-t-il lui? Décidément Ptit se demandait de plus en plus si elle était faite pour ce genre de réunion où des personnes pensaient tellement fort qu'on lisait à livre ouvert dans leurs yeux. Ce genre de personnes qui devraient balayer devant leur porte avant de porter des jugements sur les autres.
Froncement de sourcils, mais autant se concentrer sur quelques choses d'intéressant et la Dame de Lasson revient donc à ce qu'il se passe entre les Grands Hommes.
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Lieutenant Chef de Prévosté du Béarn - Triviale Poursuivante de Minerve

Keyfeya

[37 rue de la petite Périgourdine]

Voilà une heure qu'elle poireautait fin prête et voilà qu'il lui disait que limite c'était lui qui l'attendait...Elle avait pris son bain,parfumé de violette, et avait passé une jolie robe bleu nuit rehaussée de liserais couleur d'un bleu plus pâle que l'on fabriquait en la ville d'Amiens, qui mettait en valeur son décolleté et sa taille de guêpe. Puis elle avait tenté de dompter sa crinière de jais qu'elle avait relevé avec ses deux roses rouge et blanche, elle avait mis quelques gouttes de parfum.

Quand Perta l'avait pressé, elle avait poussé un grognement et avait pris son bras pour quitter le lieu serein de la maison, elle détestait les grandes cérémonies, cela la rendait nerveuse.

[La cathédrale de Périgueux]

Bordel mais c'est quoi tout ce monde...

Elle saluait rapidement les gens qu'elle connaissait d'une révérence ou d'un sourire, elle s'approchait encore avec une sensation désagréable....la foule c'était pas trop son fort...elle vit Leyah qui approchait enfin dans sa superbe robe qui camouflait pas trop mal son ventre et des hommes....qui nous la jouaient dans la sanguin, elle écarquilla les yeux en voyant Louis s'entailler la main.

Ah ben c'était le moment tiens....les hommes et leur foutue virilité...

Elle regarda Perta puis continua de regarder la scène attendant que les malheureux lui serrent enfin la main, sortant discrètement de son corsage un mouchoir, s'avançant au plus proche des protagonistes sanguinaires, regardant Louis d'une œillade assassine....genre..." Ah les hommes...z'êtes obligés d'en passer par le sang bordel!"
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Vonafred

Mieux vaut ami frondeur que flatteur...

Citation:

Salut vieille crapule...

-Mon rebelle préféré...Dieu que cette trève à du bon mon ami...
Le Comte Poitevin comme le turbulent Périgourdin, généreux au combat quand ils s'affrontaient n'en étaient pas moins de véritables amis.
L'acolade fut franche et chaleureuse.
-Je sais que tu as du faire diligence pour venir jusque là...Ta présence me réjouis le coeur et l'esprit Ta Grandeur.

Frangin qui aboie toujours mordra...

Citation:

...Détachement blond, A Moi ! Retour !

Un regard, un rictus, le Coms sur l'instant saisit l'enjeu.
Deux soudards, deux épées, deux têtes brulées.
L'on plante là l'ami Poitevin et l'on se rue sur le litige.
Par la Malemort les deux matamores s'aboucheraient ils sans moi ?

On les prend tous deux par surprise, d'une pogne ferme et fraternelle on rapproche les deux trognes...
-Sang Dieu mes compères vous voila bien émoustillés...
On ne relache point la poigne...
-Voila civilités comme je les aime, viriles et sans ambages de femelles.
Se fend d'un sourire carnassier
-Surtout ne me dites point vostre querelle, je vous sais sanguins et prompt à l'honneur.
Capitaine, voici le grand Carmin, Commandeur émérite, bouillant bretteur, homme d'honneur...mon frère par le sang et l'épée.
Mon frère, tu connais à présent mon capitaine, Tadek, loyauté est son deuxième prénom.

Lorgne l'entrefilet sanguin sur le menton du Salmo Salar
-Le sang appelle le sang j'en conviens...
Le Coms dégaine sa dague, ôte un gant grenat et s'entaille la main.
On étouffe un juron...*Teufel j'ai trop appuyé... (*bordel, Diable, ptain !)
Peaume en avant...
-Par mon sang, faites moi tout deux grâce et serrez cette main, noyez à jamais le motif de vostre...querelle.

Pas d'ésclandre en ce jour sacré.Le Coms avait déjà assez à faire avec ses propres démons pour en voir deux des plus gratinés se jurer massacre et coups d'épées...

On leur tend la dague et on lorgne façon "Magnez vous le fessard je pisse le sang".
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Gypsie

Derrière son époux vociférant " Place, Place ! " Gypsie parvint aisément au parvis. Rares visages connus, mais ici comme ailleurs on s'interrogeait sur la robe de la mariée. Serait-elle beeelle ?
Bientôt rejoins par Jehan et Lucie, qui ne manqua pas de poser la question.
Pas longtemps à attendre, la reine du jour arriva vite, mais difficile de voir sa toilette dans cette foule. Ce serait pour plus tard, à l'autel, et à la sortie de l'église, quand elle aurait dit " oui je le veux ".

Si bien sur, personne auparavant n'aurait prononcé les mots " je m'oppose à ce mariage ", instant dramatique où on aurait pu entendre les mouches voler. Là vu la saison, ce serait plutôt les éternuements et toussotements habituels en hiver.

Surpris Jazon, en recevant invitation ; non pas d'être invité, mais du fait du mariage en lui même ; il avait sourit, secoué la tête, content pour son ami ; ce n'est que lors d'une traditionnelle et nocturne discussion conjugale qu'il expliqua ce sourire à son épouse amusée.

Lucie tira la manche de Gypsie, attira son attention vers un homme qui venait d'arriver, certaine de le connaître ; déjà vu lors d'un autre voyage, l'année passée. Jazon semblait le connaître aussi.

Admirant les toilettes, les chapeaux et les couronnes, les deux couples attendirent patiemment l'arrivée de tous les invités.
A se demander s'il y aurait assez de place dans la cathédrale.
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Namaycush

Et tu tapes, tapes, tapes…

Etonnant la différence de résonnance sur un casque périgourdin de deux poings gascons. Depuis quelques temps, Namay se sentait une vrai vocation pour le tambour, aussi, attentif aux sons, son oreille décela que sa destre tapait duBlang !et que sa senestre du Blong !

Mélomane attentif, compositeur en devenir, tout attentionné à ses percussions, il signifia d’un clin d’œil à Pti et Macallan : « Allez-y, j’arrive… ».

Une voix connue, il tourne la tête, sourit… Oh Alix ! ma foi fort bien, comme tu peux le constater, je suis dans mon élément…. Avant de rire sincèrement. Il avait bien connu sa mère. A son enterrement, sa présence avait provoqué quelques remous, surtout de la part du père d’Alix, un quelconque royal dont il ne se souvenait même plus le nom.

Surgissant de nulle part, une lame lui chatouilla le menton, le coupant légèrement. Ainsi battit-il des deux poings sur le casque, ce qui produit un Bling !étonnant, finissant d’assommer le soldat qui tomba raide comme le pal de Vlad. Le fil d’épée s’en alla comme il était venu… Lui se redressa, passa sa paume gauche dans ses cheveux, secoua la tête de gauche à droite, s’ébouriffant, empli d’un calme olympien du coup. Quiconque le connaissait, aurait pu dire qu’à ce moment précis, il devenait dangereux.

C'est ta façon d'aimer...

Emeraudes ambrées et à l’amande, accentuant pattes d’oie de paupières, sa voix se fit sèche, dure, cassante, grave, tandis que sa carcasse se déployait. Carmin n’était pas le plus grand, juste une tête en moins qu’Eikorc, mais tout aussi large par contre.

Par le Cornichon de St Théodule, de quelle catin nous connaissons-nous que tu te permettes de m’appeler par mon prénom ?

Et depuis quand, en Terre féodale de France, la basse noblesse se permet-elle de porter la lame sur la noblesse de Rang ?

Il baisse le regard un instant, le relève plus fermement, toise l’officier…

Ce jour est jour de fête…aussi vais-je faire un présent à mon frangin. Je ne vais pas souiller l’entrée de sa cérémonie par ton éviscération. C’est verdâtre, gluant, puant, les tripes d’un soldat de province. Dégueulasse quoi !

Par contre, s’il veut de toi, tu pourras lui servir de témoin, de frangin et de parrain !

Déjà, dos tourné, il n’entend plus rien, ne veut plus rien entendre en fait, siffle la monture qui ne s’appelle pas… ordonne ensuite …

Détachement blond, A Moi ! Retour !

Il ne sait qu’une chose, une seule, obtus comme il peut le devenir… que sa prochaine venue en Périgord sera en armée et croisera celle du capitaine Tadek…
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Groch

Beaucoup de monde sur le parvis de la cathédrale, des têtes connues ou inconnues allaient et venaient.

Salue de la tête, des bises ou encore des poignées de main vient ralentir son avancé vers l'entrée.
Un salut militaire à son capitaine qui eut une petite altercation avec celui qui se faisait appeler le frère de Louis.... mais personne ne sait de quoi.... juste un crève la faim certainement.

Emboite le pas avec Vinou à son bras, suivi de Matthéa et William et pour finir avec les jumeaux. Les consignes avaient été énoncés pendant le temps de trajet et il fallait en retenir qu'une seule.... Formation serrée. La fratrie Lignareix avait accueilli en son sein un nouveau membre et ils commençaient à être beaucoup

Aleen

C'est main dans la main qu'ils franchirent la courte distance entre leur maison et la cathédrale, le froid soleil de l'hiver donnait une clarté particulière à toute chose,

La jeune femme se sentait des ailes, c'était leur première sortie officielle, et pas n'importe qu'elle sortie le mariage de sa chère Leyah et de Louis Vonafred pour qui elle avait un attachement et une fidélité à toute épreuve,

Presque arrivés ils firent une courte pause pour s'arranger un peu puis arrivèrent aux abords de la Cathédrale, se frayant un passage au millieu d'une foule immense reconnaissant les invités à leurs toilettes, et les badauds plus simplement vêtus.

Enfin ils débouchèrent sur le parvis, le Capitaine Tadek bien qu'invité s'occupaient de la sécurité, elle s'avança vers lui tout sourire, lui fit une bise

Bonjour Mon Capitaine dure journée pour vous ! je vous présente mon compagnon Déliriuma.

Elle prit le bras de son compagnon franchirent la porte monumentale,

Mon coeur il me semble voir Sandreen ainsi que Lily et Flax, et...et.. regardez tous les donatiens, mon Dieu comme ils vont être contents les mariés !
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Deliriuma

C'est ainsi qu'ils franchirent ensemble la porte de leur doux ermitage. Entrelaçant ses doigts dans les siens et prenant la direction de la Cathédrale où il devait déjà y avoir foule.

L'air était doux,et la nature semblait s'aplatir en révérences lorsqu'ils gravirent le petit chemin qui menait à la route.
Leur demeure n'était pas très loin de la capitale, accessible, mais suffisamment éloignée pour qu'ils l'entrevoient comme leur havre de paix, où rien ne pouvait les troubler.

La clarté de la journée projetait sur elle une lumière douce et diffuse qui donnait à son visage un éclat particulier. Qui la rendait encore plus belle qu'elle ne l'était. C'est le regard rivé sur elle qu'il avançait, pas après pas ayant presque l'impression de la mener à l'autel pour sceller par la foi ce qui les unissait de manière si forte et si intense.

Elle portait une longue robe blanche, lignée de rouge. A sa taille, une cordelette dorée enlacée doucement ses hanches. Ses longs cheveux foncés tombaient délicatement sur ses épaules, ils brillaient sous la lumière céleste.

L'ambre de ses yeux reflétait d'une profondeur envoutante le paysage qu'ils parcouraient. Dieu seul sait ce qui a bien pu le retenir de ne pas se perdre dedans. Probablement la Cathédrale qui se dessinait à quelques pas d'eux.

Au fur et à mesure de leur pas, la foule se faisait plus massive. Un mariage Comtal, ça n'arrive pas chaque jour et il n'était pas étonnant d'y voir tant de monde.

Avant que le moindre regard puisse se poser sur eux, Deli stoppa la marche et, une dernière fois, se réajusta. Il voulait faire honneur à son ami Louis et ce n'est pas un faux pli qui aurait gâché cet évènement.

De sa main, il lissa sa chemise et ses braies puis se tourna vers Aleen.
Alors mon coeur, comment suis-je ? Vais-je faire honneur au Comte ?

Ne lui laissant pas le temps de répondre, il enchaina.
Comme vous êtes belle...
Leurs étoffes étaient parfaitement assorties. La couture était de haute qualité, il ne manquerait pas, une fois la cérémonie terminée de féciliter les habiles mains qui s'étaient posées sur ce tissu.

Il prit ses mains dans les siennes et posa sur ses lèvres un long baiser.

Se regardant de bas en haut, il lança un tendre regard dans sa direction.
Dernière ligne droite, allons-y
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Lena_

Citation:

Êtes vous folles toutes les deux de partir ainsi ? Seules ? Je ne veux rien savoir, il est hors de question, même bardées de garde, que vous alliez sans moi. Et je ne veux rien entendre ! Votre mère Princesse en mourrait s'il vous arrivait quoique ce soit.
Bien. Allons maintenant.

Gloups, ma mère ne l'était fachée, mais ce n'était normal , elle , elle était touzours touzours n'en colère parce que ze ne faisais touzours touzours des bêtises. Ze n'avais regardé ma cousine et ne lui avait fais signe de pô se n'inquiéter. N'était zentille ma mère même si n'avait pas l'air coume çà !

Toa pas te n'inquiéter ma couzine, mamou va pas crier trop longtemps

Et pis ze ne la vois qui va ne conduire 'Nora près de Tonton Vonatruc. Hé ho mamou tu me piques ma coupine que ze venais de penser, mais ze n'osais pas cro le dire tout fort, n'était dézà n'assez n'en colère coume çà ma mère. Et la voila qui ne revient , et qui donne ses ordres.

Citation:

On ne brûle pas, ni ne troue la robe de tante Leyah, parce qu'oncle Louis ne nous a pas trouvé de fiancé...

Kwaaa ? Coument ça que ze peus pô faire un crou dans la robe ? ça ne fait des zours et des zours que ze la cherche partout la robe de Tatie, ze dois me venzer ce n'est nain portant . Et maintenant que ze n'arrive au but, elle me dit que ze peux pô, c'est cro'pinzuste. Ze ne prenais délicatement le couteau ze n'avais caché pour faire les crous, et ze ne le faisais tomber par terre. Ze n'avais par contre n'oublié que çà ne faisait du bruit du fer que lui tombait par terre. Prise n'en faute, ze n'entrais ma tête dans mes n'épaules et ze regardais ma mère n'avé ma tête des grands zours

C'est pas moi c'est .. Bouing !
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Ventreachoux

[Camp de la Trémouille]

Alors qu'il était en plein préparatif pour rentrer dans sa capitale, le comte venait de voir se poser un volatile sur le pigeonnier de fortune.Il se saisit du vélin, le déroule et son visage s'illumine à la lecture de celui-ci.Ventreachoux s'exclama en riant.

Ainsi cette vieille crapule s'est enfin décidé à se pendre.

Le comte fait appelé son aide de camps et lui ordonnait de lui préparer son étalon afin qu'il puisse se rendre à l'invitation de son vieil ami.Une heure après le comte prit la route du Perigord en prenant soin de faire un détour par son castel yonnais afin d'y revêtir des vêtements appropriés à la cérémonie de mariage.

[Cathédrale de Perigueux]

C'est en début de matinée que Ventreachoux arrivait en capitale perigourdine.Après s'être renseigner auprès d'un passant, il prit la direction de la cathédrale.Il sourit à la vue de son ami qui faisait les cent pas sur le parvis de l'édifice religieux.Il sortit à la hâte de sa selle une corde et la brandit en l'air.

Salut vieille crapule, je t'ai apporté ton cadeau de mariage.

Le comte explosa de rire.Il descendit de cheval et va serrer dans ses bras son vieil ami.

Toutes mes félicitations à toi et à ton épouse et que soit nombreuse ta descendance.
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Edlweisss

Le duc Renlie pris les choses en mains et ni une ni deux nous étions dans le carrosse , assommés de paroles. Je me demandais si j'allais survivre à ce trajet mais Leyah n'étrangla personne et resta presque zen. Un brin agitée mais cela ne changeait pas tant que ça.

Je laissais tout le monde descendre et suivit une fois que Leyah bien escortée par le Duc fut entre les meilleures mains possibles pour la suite. Bien entendu je ne la quittais pas des yeux et restais non loin.
Je replaçais les pans de la jupe de ma robe et me couvrais bien de mon manteau , les temps étaient au frais et j'étais ravie de la tenue de mon Maitre Es Couture. J'avais eu beaucoup de travail les dernières semaines et pas eu le temps de me confectionner quoique ce soit, Val m'avait sauvé et en plus j'adorais ce manteau.

Un oeil sur la toujours fiancée , un autre guettant mon cavalier du jour , qui devait tout de bleu vêtu venir s'assortir à moi . Une pensée pour le dernier mariage où je m'étais rendue, un autre compagnon à mon bras , petit pincement de coeur , soupir et je me reprends, la vie est trop courte pour les regrets. Tant pis pour lui.

C'est qu'il y en avait du monde sur le parvis de la Cathédrale .. allais je réussir à trouver celui que je cherchais alors qu'il était partie prenante de la garde des lieux.
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Les Fées Tisserandes

Einigriv

[Back up to follow the story]

Gwenaelle où est ma fille ? Demanda la baronne au moment de quitter la demeure.
Votre fille est partie.
Partie ? Mais où donc ???
Avec la princesse.
La princesse qué princesse ??? demanda Eini d'un air éberlué.
La princesse de Brocéliande.

Eini n'eut même pas la force de hurler sur sa domestique elle eut juste le temps de prendre son fils sous le bras et de courir au triple galop pour rattraper les deux demoiselles.

Mais BO**** de Pu**** de Di** !!! ces gosses sont intenables ! Première fois et dernières fois que je fais des gosses avec un Bleizh ! Ah ça ! Elle vont m'entendre les petites princesses !!!

Oui d'accord pour les oreilles de Gael c'était pas forcément le meilleur langage mais Eini n'avait jamais été capable de se contenir, et même avec les enfants elle essayait mais c'était quasiment impossible.
Au bout d'un moment, elle rattrapa les gardes qui entouraient les deux demoiselles qui étaient en pleine conversation, qui avait l'air à leurs yeux des plus intéressantes et stoppant le convoi, elle s'adressa aux gardes d'un air courroucé :

Non mais vous faites quoi ????
Nous accompagnons la princesse et votre fille au mariage de la Marquise évidemment.

Peut être le « évidemment » était il de trop, mais la brune se mit dans une rage folle, encouragée par la douleur lancinante dans sa jambe qu'elle avait malmenée à se dépêcher ainsi.
Ainsi donc je vous épargnerai le langage fleuri de la brune, mais disons qu'elle aurait pu réveiller un Frim dans sa grotte en période hivernal et ceci sur la côte ouest quand celui ci aurait été sur la côte est.

Après quoi elle prit les deux demoiselles entre 6 yeux.

Êtes vous folles toutes les deux de partir ainsi ? Seules ? Je ne veux rien savoir, il est hors de question, même bardées de garde, que vous alliez sans moi. Et je ne veux rien entendre ! Votre mère Princesse en mourrait s'il vous arrivait quoique ce soit.
Bien. Allons maintenant.

Et ainsi la brune et les trois enfants partirent pour l'église. Arrivés à l'église, peu avant le parvis, Eini vit le comte Louis, elle s'approcha alors :

Votre Grandeur, voici la Princesse Enora, qui part peur de louper vos épousailles est parties seule sur la route accompagnée de ma fille. Je la laisse à vos bons soins.

Et souriant à la princesse, elle lâcha sa main pour qu'elle puisse rejoindre celui qui allait devenir son beau père. Elle se retourna alors mais eut un mouvement de recul :

Ah oui et... votre grandeur vous savez : tirer sur la chariote qui transporte les lépreux ça se paye...même quand on tire avec de la poudreuse...

Léger sourire espiègle de la brune avant d'avancer à nouveau. Et puis la suite vous la connaissez : Eini édicta les règles et s'assit, fatiguée sur un banc...
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--Babette.

Ce n'était pas une bonne idée ... Non ce n'était pas une bonne idée, mais personne n'écoutait cette pauvre Babette, pas même le pirate qu'elle avait espéré de son côté, mais visiblement que non puisqu'il était là aussi. Pas très réconfortant tout cela. Elle était proche de la fin quand même ... Mais quelle inconscience !

Ne t'inquiète pas Babette... tout va bien.... Tsss tu tournes à la mère poule toi. C'est pas une maladie je te rappelle.
Je te promets de ne pas danser tout à l'heure.
Et pour le moment je pense me souvenir que dans une église il y a plein de bancs.

Bien heureusement qu'elle savait que ce n'était pas une maladie, mais quand même !! Et elle tournait mère poule si elle voulait d'abord ! Babette secoua la tête dans un soupir d'impuissance. Aelyia était toute excité et si elle avait pu elle aurait couru de partout telle une enfant. Encore heureux, qu'elle n'allait pas danser. Elle regarda le pirate d'un air suppliant du genre qui dit « pas de danse hein »

Bien sûr que si je suis inquiète et je le répète, ce n'est pas une bonne idée d'être venu ...

Une très mauvaise idée, mais elle n'y pouvait rien. Elle les suivait donc de trèèèès près saluant quelques personnes connues de la tête, grimpa le parvis, se signa puis entra dans la cathédrale. Babette s'installa non loin de sa maîtresse, histoire d'avoir un oeil sur elle, ne serait-ce que pour se rassurer elle-même et attendant, emmitouflé dans sa cape, le début de la cérémonie

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Virginia_

Les enfants, les enfants, les enfants, il n'y avait rien de pire ou de meilleur selon les jours. Pour le coup c'était le pire. Entre l’aînée qui se pouponnait en prenant tout son temps et la cadette qui ne voulait pas sortit comment voulez-vous qu'elle soit prête à temps ? Pas moyen ! Bon d'accord elle était surtout en retard par sa faute mais c'était tellement plus facile de le remettre sur les enfants.

La noiraude se devait d'être présente pour ce moment, elle avait réussi à avoir un moment de répit le temps de faire un arrêt au domaine pour se préparer et juste de quoi faire l'aller-retour jusqu'à Périgueux. De quoi aussi se ressourcer, de se repaître de sa famille et repartir au fond comme beaucoup.

Emma était sortie de sa chambre grâce à une ruse de Matthéa et en portant une tenue adéquate, Matthéa attendait bien tranquillement dans le hall aux côtés de son compagnon, Audrick, pas besoin de s'en faire pour lui, il était toujours ponctuel., William et Groch prêts aussi depuis un moment .. Tout était en bonne voie, ils allaient pouvoir y aller.

La route se fit rapidement en coche pour plus de facilités et la petit troupe arriva sur les lieux un peu avant l'arrivée de la mariée. Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes.
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--Reiner

[Ne m'oublie pas encore, d'accord ?]

C'était un homme qui chevauchait, vers Périgueux. Le canasson à la robe brune était lancé au galop et la silhouette penchée sur son col était celle d'une personne finement musclée. Lorsqu'il arriva en vue de la capitale du comté; le cavalier guida sa monture jusqu'à la cathédrale d'une main assurée. Nul doute qu'il connaissait la ville. Il eut le temps de confier son cheval à un palefrenier, de lui filer un écu en lui demandant de faire attention et de relever la capuche sur sa tête.

Il n'y avait pas besoin qu'on le reconnaisse. Même s'il ne risquait rien ici, sa simple présence pouvait lui coûter cher si la mauvaise paire d'yeux tombait sur lui. C'est donc revêtant un long manteau à capuche qu'il avança et se mêla à la foule, peu avant l'arrivée de la mariée. Il était véritablement mal à l'aise. Il se retrouvait parmis des gens qu'il connaissait, d'autres qu'il connaissait moins... Voir pas du tout. Toujours était-il qu'il n'avait aucune envie de parler, et à ce titre aucune envie d'être reconnu.

Mais il se devait d'être là. Il était évidemment désarmé, et se tenait parmis les convives de façon plutôt discrète... Ses yeux sombres et vifs parcouraient les visages.
Il cherchait quelqu'un, dont la présence aurait pu l'intéresser. Mais c'est une autre personne qu'il vit arriver... Leyah. L'homme sous la capuche ne pût s'empêcher d'arquer un sourcil. Ciel, qu'elle était belle ainsi vêtue. Apaisé par la venue de la grande Dame, il ne la quitta plus des yeux. Après tout; il était là pour ça... S'il courrait les risques d'être vu à son mariage, c'était bien pour lui montrer -si besoin était- son éternelle fidélité. Sa fidélité davantage importante à ses yeux que tous les serments du monde. Une fidélité qui n'avait rien à voir avec l'amour; plutôt avec le sentiment de lui devoir énormément.

Flax

Flax finissait par rire des actions de la petite... erf, fallait vraiment pas, ça ne faisait que l'encourager, mais bon, elle était si mignonne sa petite filleule à rire et découvrir l'usage de ses mains, il ne pouvait vraiment pas faire autrement ! Reste à la porter plus bas, mais ses bras gigotent encore vers son visage, le distrayant. Il la regarde, tout sourire, en se dirigeant vers la cathédrale. Et à sa belle compagne de serrer sa main... levant les yeux, il regarde autour de lui.

Déjà à la cathédrale ! Le temps passe vite quand on s'amuse dis donc...

Si tu vois Aleen surtout tu me préviens ! Une ... affaire importante... à régler.

Encore un secret de femme, ça... Il acquiesça en souriant, et commença ç scruter la foule. Mais au fur et à mesure de pénétrer la foule, direction les doubles portes, sa bonne humeur évaporait. La plupart des gens étaient parmi les plus importants, non seulement du Périgord Angoumois mais sans doute des dignitaires de toute la France... et lui commençait à se sentir sérieusement campagnard dans tout ça ! Chloé aussi devait être impressionné, elle s'était tue, arrêtant de gazouiller et ses petites mains s'étaient accrochées à son par-dessus, ses yeux grands ouverts pour observer le brouhaha. Flax lui murmura pour la calmer

Toi aussi ma puce... t'en fais pas, j'suis pareil.

Heureusement qu'il dépassait de la tête la plupart, ça lui permettait une bonne vue, au moins de respirer un peu plus. Il regarda Lily en coin, du haut de son 1m60 elle devait étouffer ! Il la vit lui sourire, et avec un peu d'effort il imita son geste.

Hé, si jamais on se marie, tu me promets qu'on fera un truc plus soft que ça ? En guise de réponse, elle entrelaça ses doigts au siens. Il interpréta comme un "oui", pour se rassurer. Elle devait stresser elle aussi, la connaissant... sans doute un scénario catastrophe featuring Lily en mariée se déroulait dans sa tête. La voyant regarder de nouveau le paquet serré contre elle, il lutta pour retenir sa question quand elle leva les yeux sur lui de nouveau. Il la reconnaîtrait parmi mille ce regard ! Mademoiselle avait une idée de bêtise derrière la tête...

Quoi ! il sourit. Toi t'as encore quelque chose de prévu ! Raconte !

Alinoe_de_chenot

La jeune duchesse devait s'avouer que son voyage en compagnie de Yrvis fut plaisant. Le jeune homme avait toujours le mot pour rire, et c'était un vrai moulin à paroles. Le temps avait été beau et les relais des plus confortables.

Alinoë et Yrvis arrivèrent quelques minutes avant la mariée.
Alinoë du prendre la main d'Yrvis pour descendre, avec sa jambe fragile et sa belle robe, elle ne tenait pas à s'affaler sur le trottoir devant cette foule immense.

Ils entrèrent dans la Cathédrale et les hourras de la foule en délire les avertirent que le carrosse de la mariée arrivait.

Ils se dépêchèrent de s'installer pour voir la mariée entrer.
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Alix_du_vivier

[ Le sourire est le baiser de l'âme. ]
de Michel Bouthot

Main tendue, Tadek avait su remettre les choses en ordres comme un officier
Expérimenté qu'il était.

Profitant d'un instant d'inattention elle se mit sur la pointe des pieds pour lui chuchoter à l'oreille.

Capitaine êtes-vous certaine qu'il n'y aura aucune autre armes ? Peut être qu'elles ne sont pas visibles simplement.

Sourire espiègle et reprit toujours en chuchotant tout prêt de son oreille.

Je veux bien être fouillée, tout dépend qui cherchera l'arme cachée.

Un rire cristallin et clair retentit... Rien de tel pour détendre l'ambiance, la jeune femme riait de bon cœur devant la tête du responsable de la sécurité, puis reprit plus sérieusement.

Je suis bien d'accord avec vous Tadek, mais cela peut aussi avoir un effet dissuasif. Non pas que je doute de votre efficacité, loin de moi cette idée surtout. Mais tant de bretons sont parmi nous......

Regard inquiet envers les gens qui affluait de toute part.

Alix sourit a entendre un homme demander a entrer dans la cathédrale.
Ce barbu qui ressemblait plus a une catastrophe naturelle qu'un prête arriva a se frayer un chemin jusqu'à l'entrée.

Décidément!!!Ce mariage plein de surprises, commençait a amuser la maréchale.

La brune toujours aux cotés de ses deux amis, vit Louis arriver a pied accompagné des trois acolytes aussi laids les uns que les autres.

Puis le carrosse de la fée pas Carabosse arriva.....
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Emardeche

Les cloches sonnaient , Ema leva la tête, elle esperait que celle ci était bien accrochés.
Il manquait plus que ça, qu elle se prenne une de ses grosses cloches.
Elle sourit, elle attendait toujours le capitaine Namay, lorsqu elle vit arriver un carosse qui brillait sous le soleil de janvier.
Elle vit descendre son amie Leyah, la marié était magnifique, le mot n 'était pas assez fort epoustouflante.
Dans cette robe blanche qui lui allait a ravir, un diademe dans sa coiffure brillait de mille feu.
Leyah avait un visage d ange, Ema lui fit un petit signe de main discretement.
Ce mariage allait être quelque chose, c était sur.
Elle chercha du regard le Comte Vonafred, elle ne l avait pas encore vu.
Mais ou était la fleur, rhoo pourquoi elle était si en retard, et là elle attendait Namay.

Saphyra

Un magnifique attelage tiré par quatre chevaux de Frise firent leur apparition.
La foule commençait à se rassembler pour voir l'arrivée du couple tant attendu.
Saphyra se leva sur la pointe des pieds mais de sa hauteur ne put rien voir du tout, elle ne voulait pas pousser les personnes devant elle qui s'aggluaient tels des abeilles autour de leur reine.
Elle pesta un peu, bretonne elle était , bretonne râleuse elle serait.
Et lorsqu'elle entendit les "ohhh " et les "ahhhh" et les applaudissements qui clapotérent discrétement, elle ronchonna davantage.

Elle se dit que si elle avait su, elle serait venue armurée et armée pour pouvoir se faire une place.

Leyah

[ Don't Worry ! Be Happy ! ]

Bon tu viens, la dernière fois j'ai pas assisté à ton mariage, cette fois ci j'aimerais bien être assis à une bonne place hein!
Elle avait fait la moue, s'était redressée et avait pris la main de son précieux ami de toujours pour ce faire.
En même temps, la réplique avait failli fuser, mais elle se tut, bizarrement oui, mais elle avait décidé d'être sage pour la journée.
Finalement elle avait affiché un large sourire a son témoin Suzerain, CaC'noisette, comparse et ami mangeur de cassoulet
Hannnn le cassoulet ! Rien qu'a cette pensée la rouquine fronça le nez , bouarf ..

Plus tard, la pipelette rousse, qui bavardait pire qu'une pie quand elle était nerveuse, faisait subir son Suzerain et sa Filieule , ses histoires pire l'une que l'autre , en passant par la théorie on ne pouvait plus sérieuse concernant le calcul de la flexibilité de la queue de la vache dans le tournant
Il avait fallu aussi qu'elle raconte a la Fleur cette soirée en taverne, ou ils avaient ri des potins , d'ou son traumatisme face au cassoulet , en ainsi que d'autres sujets tout aussi futiles et anodins tout en hochant la tête d'avant en arrière, avec de grands yeux l'air de dire " ah mais si si , je te jure ! C'est vrai ! "
Tsss ridicule .. enfin ce n'était pas tout ca, mais finalement elle avait bien fini par poser son fessier dans le carrosse, en compagnie de ses compèremère , et blablabli et blablabla , vas y qu'elle pompait les oreilles de son Suzerain , qui soit dit en passant devait avoir l'habitude depuis le temps .. nous parlons ici d'oreilles , esprits mal tournés s'abstenir !.

[ Arrivée devant la Cathédrale ouhhh moman ! ]

Je ne sors pas j'ai dit !
Et l'index de se pointer vers le bas, saleté de morveuse capricieuse et de pencher son minois pour tenter de voir par une ouverture, ce qui se passait dehors.
Non mais vous avez vu çà ! La foule ! Non, non .. je m'insurge ! Ce n'est pas possible!
Elle se savait face a un regard inquisiteur, même pas besoin de les regarder les deux là pour le savoir, et sans même laisser le temps a qui que ce soit de broncher, sinon elle allait leur répliquer encore une énorme ânerie , elle toussota, poussa ses lèvres avec son index pour placer son sourire
Smiiiiiiiiiiiile ! Hum ..
Avant de se fendre d'un sourire cette fois parfaitement naturel, d'accepter a nouveau la main de son Suz'Cac pour s'extraire du carrosse.

Soleil bas d'hiver lui faisant froncer les yeux, l'espace d'un instant, elle fit ensuite le tour de la foule du regard.
Têtes connues, d'autres moins, d'autre même pas du tout .. épousez un comte qu'ils disaient !
La marche du carrosse franchie sans la moindre gamelle, sans robe coincée, sans marche pied cassé, sans meme une égratignure, Doué soit loué !Un miracle pour la journée
Et le minois d'une rouquine totalement angoissée mais n'en laissant rien paraitre d'apparaitre proche du parvis, dans une tenue made by " Edlweisss haute couture " * et après cette courte page de publicité , Mesdames et Messieurs, la suite de votre programme... *

Quelques pas avancés, sourire large adressé au comte en l'apercevant , en oubliant presque de saluer les âmes à côté de qui elle passait
Hochement de tête à droite, hochement de tête a gauche, avant d'enfin arriver a quelques mètres ...
Large révérence , aussi ample que lui permettait son anatomie quelque peu modifiée, non au Comte du Périgord Angoumois .. non plus Au Vicomte ou encore au Baron , mais tout simplement à sa " Folie "
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Renlie

Renlie entendit un brouhaha derrière la porte, quand celle-ci s'ouvrit, dévoilant la Fleur qui l'accueillit avec le sourire.

Bonjour mon Ami. J'espère que vous êtes en forme .. je me demande s'il ne va pas nous falloir porter votre vassale face à son destin... si si ..je vous assure !, sur quoi elle le bisouillat.

Je suis heureuse de vous voir... Je vous laisse le soin de la débusquer ?

Lui murmurant, tout sourire: Avec grand plaisir...

Contournant le paravent, il la découvra dans sa robe, éblouissante, bien que la mariée prostrée, se cachant le visage, n'aidait pas à la mettre en valeur. S'avançant vers elle, il lui tendit la main.

Bon tu viens, la dernière fois j'ai pas assisté à ton mariage, cette fois ci j'aimerais bien être assis à une bonne place hein!

Tandis qu'elle avait enfin consenti à se relever, et que la Fleur lui passait sa cape, il les embarqua toutes les deux manu militari avant qu'elles n'aient eu le temps de protester. Se plaindre de ses chaussures, des tapis et toutes les bonnes excuses du monde, ça par contre, il y avait droit, mais tant pis, fallait que ça se fasse.

C'est ainsi qu'ils arrivèrent au pied du carrosse, dans un brouhaha de bretonne jacassant.
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Einigriv

La brune, bien que sur le départ, ne pouvait en aucun cas louper le mariage du siècle comme disait certains. Après des mois, de longs mois de préparation enfin sa belle sœur allait reprendre époux.
C'était une bonne chose, selon elle. Oui car quand vous avez un mari vous avez toujours quelqu'un sur qui taper quand vous êtes énervé.
Enfin bref, là n'est pas le sujet.
La brune était donc partie de la demeure de la famille Bleizh, accompagnée de ses deux enfants qu'elle avait essayé de tenir assez propre pour la cérémonie ( ce qui je vous assure n'est pas chose facile quand vos enfants se nomment Gael et Lena Bleizhmorgan), et arriva devant le parvis les tenant chacun fermement par la main.

Les enfants on répète après moi...

posant son regard noir d'abord sur Lena.

On ne brûle pas, ni ne troue la robe de tante Leyah, parce qu'oncle Louis ne nous a pas trouvé de fiancé...

Puis sur Gael à présent.

Et on ne fomente aucune rébellion ni prise d'otage à l'intérieur de la maison du Très Haut pour devenir roi.

Appuyant son regard sur chacun d'eux, elle finit par un simple « hum » interrogatif comme pour dire j'espère que vous avez compris sinon vos derrières vont brûler.

On ne brûle pas tante Leyah parce qu'elle est rousse...On ne frappe pas l'homme d'église avec sa poêle, on ne parle pas de nain quel qu’il soit et même si c'est bien placé, on ne parle ni de Père Fide, ni de Philomène...

Oui je sais c'est beaucoup de règles mais pour Eini c'était indispensable si on voulait éviter l'ouragan dans l'église

On écoute, on est sage, on ne dit pas que la Reyne est nulle...

Arrivant à présent devant les marches, elle s'arrêta et regarda ses enfants avec un sourire.

Je suis sûre que vous serez parfaits, dit elle avec un sourire.

Ah oui et puis, n'oubliez pas de saluer vos parrains et marraines respectifs, mes petits.

Elle leur lâcha enfin la main avant d'ajouter.

On ne va pas non plus se rouler dans le foin avec les beaux vêtements, mais le temps que les futurs époux arrivent vous pouvez jouer non loin que je vous vois toujours.

Elle se redressa alors, plissant les plis d'une simple robe de soie bleue. Eini n'avait pas eu envie de faire d'efforts incroyables pour cet événement, elle voulait être la plus confortable possible, sa jambe toujours raide, ou bien folle comme qui dirait, la faisait souffrir et lui donnait une démarche claudicante qu'elle garderait sans doute à vie à présent. Encore pâle et pas très sûre d'elle piquée sur ses deux jambes elle vit non loin un banc un peu reculé de ceux qui attendaient les futurs mariés. Qu'importe ! Elle les saluerait plus tard pour l'instant il fallait qu'elle s'essaye...
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Anakin41

Au sons des cloches, les trois amis s'activerent à rassembler leurs affaires. Enfin les trois amis... Disons que l'une d'entre eux s'amusait à leur lancer des brindilles. Est-ce bien le moment hein ? J'vous jure, cette chipie.

Il riait en pestant, recevant des branches à chaque fois qu'il passait un arbre.

Mais ça va suffire oui ? On va être en retard si ça continue.

Sans dire mot, et le plus discretement possible, l'air de rien, il s'approcha de Douchka et d'un seul coup, se mit à la chatouiller.
Elle se plia en deux en riant, cherchant vainement à se défendre.

Tu l'as bien cherché, chipie. Dit-il en riant et en courant vers Avalon qu'il s'empressa de monter.

Il les regarda, perché sur son cheval, fier comme le commandat d'armée qu'il est..

Vous êtes pret, il faudrait se hâter si nous ne voulons pas arriver en retard. Nous devons encore nous changer et j'aimerai bien faire un brin de toilette avant.

Il fit doucement le tour de ses amis en souriant, réfrenant l'impatience visible d'Avalon à terminer le peu de trajet qu'ils leur restaient
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Pertacus

[Avant la Cérémonie, maison de Keyfeya]

Perta avait enfilé sa tunique acheté au défilé des fées tisserande, lors de sa journée de mannequinat, ou le jeune Montbazon avait put se pavaner dans une tenue magnifique devant un grand nombre de personne.
Pour le moment il était dans la maison de Key et son barbier s'occupait de sa magnifique moustache

-Tu pourrais pas te dépêcher ? J’vais mettre plus de temps à me préparer que Key, c'est un peu la honte quand même
-Oui, oui Monsieur Pertacus, je fais au plus vite, mais les œuvres d'art sa prend du temps
-Essayé d'accélérer un peu quand même

Un petit compliment sur sa moustache et le Montbazon n'insistait pas, il laissait le barbier prendre son temps pour que tout sois parfait.

Quelque minute plus tard, Pertacus est enfin prêt

-Key, tu es prête ? Tu n’a pas besoin de prendre autant de temps, tu es déjà magnifique mon amour

Un peu plus tard, Key était enfin prête, bras dessus bras dessous, ils partirent en direction de la cathédrale

[Prés de la Cathédrale]

Accompagné de la belle Keyfeya, il arriva a la cathédrale, beaucoup de personne était déjà présente et il reconnut plusieurs visage, il saluait tout le monde d'un sourire et ajoutait un petit signe de la main pour les personnes qu'il connaissait

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Emardeche

Ema arriva au pas de course, comme a son habitude elle était en retard, retenu par des affaires a regler.
Elle arriva a l 'entrée en souriant, rajustant d'un mouvement de main sa coiffure assez audacieuse, sa belle chevelure chatain degageant son front pour se retrouver assez relevée.
Sa robe verte emeraude et blanche, en tres belle harmonie avec son teint , tombée sans un pli.
Lorsqu' elle vit le capitaine Namay agrassé un garde, elle s interposa .

Vous ne montrez pas tellement de bonne volonté pour un homme dans votre position.

Cette constatation était formulée d'un ton dubitatif, sans vraiment émettre de jugement, Ema laissa parler ses impressions, qui étaient bien souvent comme elle... neutres.

Capitaine Namay , quelle plaisir de vous rencontrez!
Cette réception de mariage est tres belle, vous ne voudriez pas faire d incident.
Prenez plutot mon bras pour me guider parmi les invités.
Nous discuterons un peu du bon vieux temps, ou nous avons guerroyé ensemble.

Un joyeux sourire étira ses lèvres.

Edlweisss

On nous attaque !
Leyah, t'es prête? Je suis garé en double file!
Elle est pas là ! Y'a personne !

Puis la vision d'un air de chien des alpages m’apparut

Pssstttt dis a mon Suzerain que je suis tombée dans les latrines !

Et forcément j'éclatais de rire à l'issue de cette scène. En même temps je pouvais faire la fière , ce n'était pas moi qui me mariais. J'avais la "chance" d'être immunisé contre ça semblait il.
Je me levais donc pour aller ouvrir la porte au Duc en tirant la langue à la fiancée paniquée.

Bonjour mon Ami. J'espère que vous êtes en forme .. je me demande s'il ne va pas nous falloir porter votre vassale face à son destin... si si ..je vous assure !, rajoutais-je devant son air étonné.

Et pour ne pas changer mes habitudes , surtout les bonnes , je lui collais une bizouille en guise de salut sur la joue gauche.

Je suis heureuse de vous voir... Je me dirigeais alors vers mon manteau et la cape de Leyah en lui indiquant la cachette.

Je vous laisse le soin de la débusquer ?
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Les Fées Tisserandes

Vonafred

[Quand faut y aller...]

Le Comte chamarré comme le grand mogol en personne siffla ses chérubins et endimanchés pour l'occasion c'est à pied qu'il gagna la Cathédrale.
Ses trois grâces précédaient le couronné, dispensant milles douceurs aux badauds assemblés dans la rue principale, écartant les opportuns à coups d'injonctions vertueuses...

-C'est toi qu'a dit à bas le couronné, t'es tout là ? t'veux te faire démembrer ?
-Dégage tête de chien, garde tes mains dans tes poches ou j'te crève...
-J' te tuerai apres la noce bouseux, vais t'apprendre la politesse moi...

Parvis en vue...l'on se fend d'un sourire et l'on scrute l'arrivée de la promise...
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Margaux..

[Bergerac, un peu avant l'événement]

Margaux avait assisté à l'arrivée du pigeon et sourit de la réaction d'Elio. Face à la surprise qu'elle manifestait malgré elle, Elio lui avait montré l'invitation. Le brunette n'avait pu réprimer un "Waouh !" d'étonnement admiratif. Etre invité au mariage du comte, quand même, ça n'était pas rien. Elle avait eu le plaisir de rencontrer la future mariée quand elle avait franchi la frontière du Périgord. Elle se souvenait de son accueil chaleureux et de son conseil d'écrire à son fiancé pour obtenr un LP. Margaux était encore Poitevine à cette époque et n'était pas forcément bien reçue de partout où elle passait. La réponse du comte avait été à l'instar de l'accueil de Dame Leyah, tout aussi chaleureuse. La petite Trémouilloise garderait d'eux un agréable souvenir. Depuis, le moineau avait déménagé et était devenu Bergeracoise et donc Périgourdine.
Elle était heureuse pour Elio qu'il puisse se rendre à un tel évenement. Même si elle s'en défendait, Margaux était fleur bleue et les mariages, les robes, les serments, l'émouvaient au plus haut point et arrivaient même à lui tirer quelques larmes. Alors imaginez son état quand Elio lui proposa de l'accompagner. Elle était passée par différents stades, d'abord l'incrédulité, mais Elio lui affirma qu'il ne plaisantait pas, que c'etait elle qu'il voulait à son bras. Puis l'excitation se manifestant par des sautillements de partout, puis le renoncement, n'ayant "rien à se mettre."
Finalement, c'était décidé, ils iraient ensemble.

[le matin de la cérémonie]

Margaux s'était levée de bonne heure, avait soigné ses ablutions journalieres, mit quelques artifices sur ses lèvres, peaufiné sa coiffure. Puis elle avait fouillé dans sa petite malle à trésors et retrouvé cette tenue qui lui venait de sa mère. Elle l'enfila délicatement comme si elle avait peur de la voir se déchirer. L'ouvrage était simple mais de grande qualité. Elle se mirait dans un petit miroir et ne se trouvait pas trop laide. Elle voulait surtout qu'Elio ne soit pas gêné de l'avoir à son bras. Elle soupirait.

Citation:

Êtes vous prête ?

Je le suis Elio.

Elle sortit de la chambre doucement, craignant malgré tout le regard qu'il poserait sur elle. Elle le regardait en souriant.

Croyez vous que ça ira ?

Etant de toute façon trop tard pour modifier quoique ce soit, elle s'avança doucement puis lui prit le bras.

Allons y Elio !

[Bonjour, taille de l'image retirée par mes soins hors norme. Cf règles d'or des arpenteurs. Bon jeu, Modo Judas.]

Tadek

Alors que Tadek et Namaycush se regardait, Alix intervint pour
calmer tout le monde et il faut dire qu'elle était doué pour celà.

Je conçois tout à fait que le Capitaine n'a aucune intention belliqueuse
envers son frère, mais les règles sont les règles et les même pour tous.

Il devrait être rassuré de voir que mes Hommes ne laisse rien passer
et rassuré de savoir que je m'occupe moi même de la sécurité rapproché
du couple Comtal.

Tadek regarda Alix et reprit:

Vous comprendrez aussi que quand l'alcool va commencer à couler,
si différent il devait y avoir, il serait bien mieux pour tout le monde
et surtout pour notre couple que celà ne dégénère pas en coups d'épées.

Se tourna vers le Capitaine Namaycush:

Désolé d'avoir agit de la sorte, c'est juste que je défend mes Hommes
comme vous défendriez les votres.

Faite moi confiance, déposez vos armes et profitez de la cérémonie
de votre frère.

Tadek tendit la main à Namaycush
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Astorius

Arrivée du barbu sur la parvis de la cathédrale, la bure remontée jusqu'au genoux, tout essoufflé, le cheveu en bataille… bref une catastrophe…

En débouchant sur la place, il crut tout d'abord s'être trompé d'endroit. Habituellement celle ci brillait plutôt par son calme et les quelques attelages de boeufs qui parfois la traversaient ne troublaient guère sa quiétude.…
aujourd'hui par contre rêgnait sur les lieux, tout décorés aux couleurs des deux tourteraux, une effervescence plus qu'inhabituelle. Les dames rivalisaient de toilette et les hommes n'étaient pas en reste…

Il se faufila avec peine parmi la foule bigarrée avant de parvenir au pied du parvis…
Il allait gravir les marches lorsqu'il se heurta tout à coup au cordon de sécurité … Les soldats filtraient, tentant de séparer le bon grain des invités de l'ivraie des curieux…
Il se faufila jusqu'à l'un des soldats… celui qui avait la plus bonne tête…
Il allait lui falloir déployer des trésors de persuasion pour convaincre le bonhomme… son aspect hirsute et échevelé, sa robe de bure tachée de vinasse n'allait pas lui faliciter la tache…
et pourtant… sans lui pas de mariage…

euh comment débuter…bonjour Monsieur… non trop obséquieux… bonjour Mon Brave… peut être trop familier… pfff pas vraiment habitué à parler aux forces de l'ordre le pieux barbu…
bon tenons nous en aux formules qui ont fait leur preuves…

Mon Fils… je suis le Père Astorius… vous seriez bien aimable de me laisser passer, je dois aller me préparer pour célébrer la messe de mariage de notre Comte avec Dame Leyah de Breizmorgan… c'est que le temps presse…
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curé de Périgueux
et picétou

Elio

[Bergerac, un peu avant l’événement]

A la veille de recevoir ce fameux carton d’invitation, petit bout de papier griffonné que beaucoup espéraient et qu’ils recevront ou pas,
il avait évoqué en compagnie cette union peu ordinaire, en général, une alliance de nobles ça foutait un sacré merdier dans un comté mais celle-ci avait une saveur particulière.
Donc deux jours avant la célébration, il n’y était toujours pas convié mais n’en était nullement déçu, la barrique rousse ne devait certainement plus se souvenir de lui ni même de son nom,
deux rencontres ne pouvaient présager d’un intérêt quelconque.

Mais, et oui il y a toujours un « mais » quelque part, suffit de le trouver et c’est justement ici qu’il intervient ! Nous disions donc :
Mais, quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’un vilain pigeon lui déposa le précieux sésame accompagné d’un supplément fiente sur le rebord de sa fenêtre la veille du mariage.
Ouais il l’avait ramassé en râlant et viré le volatile d’un revers de main servit de doux mots tendres :

Dégage, gros dégueulasse !! C’est quoi c’te bordel qui arrive de si bonne heure ?

Et ouais vous l’aviez compris, c’était l’invitation au mariage de la barrique et du Comte qui débarquait ainsi.

[Bergerac, entre là et maintenant]

Il savait qu’il irait flâner au milieu du beau linge, par curiosité mais aussi dans l’espoir de s’y marrer un peu.
Les toilettes affriolantes seraient de mise, les bonnes femmes mettraient certainement leurs charmes en valeur, ses yeux s’amuseraient sans doute.

Et comme de bien entendu, Margaux l’accompagnerait, au moins elle n’avait pas trop d’appâts à divulguer pour les autres, juste ce qu’il fallait pour lui seul.

Ce matin même il s’était préparé pour ne pas paraitre trop insignifiant aux regards des autres, mis ses plus beaux habits, car riche il l’était mais sans titres aucuns, il tendit son bras à sa belle, fier d’elle.

Êtes vous prête ?

Audrick

Patience quand tu nous tiens ...

C'est sur qu'avec principalement des femmes dans la famille, le jeune rouquin avait appris la patience mais là, ça dépassait tout. Des heures ou presque qu'il était prêt, aucune d'entre elles n'était sortie de sa chambre, pire Emma ne voulait pas en sortir ! Il sentait mal cette journée lui qui n’aimait pas les cérémonies, les chichis, tout le tralala, allait être non seulement être servi mais en plus il devrait certainement se plier aux caprices de ses soeurs.

Emma se décida à faire sa sortie, elle était superbe comme toujours ses yeux, il lui présenta son bras pour l'escorter.
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Leyah

[ Appartements comtaux, encore et toujours, dans l'attente de ... de quoi déja ? ]

Ah non non! j'ai une mission! divine quasiment !!! Je ne te quitte pas tant que tu n'es pas devant la nef de la Cathédrale ! et même là je te guette du coin de l'oeil!!
Elle secouait son index d'une facon bizarre, la rouquine eut le réflexe de le suivre des yeux, ce qui eut bien sur pour effet de la faire loucher de manière des plus ridicules
Pour veiller à tes moindres besoins .. et pour être sure que tu ne vas pas t'enfuir !

La rouquine prit un air faussement outré
Qu'ouis-je ? Qu'entends-je ? Qu'accoustiquais-je ? Fuir moi !? Haha ! Je ris !
Feignant la désinvolture, la rouquine roula des yeux, avant de se reposer dans un fauteuil, rester debout la rendait nerveuse, s'assoir la rendait tout aussi nerveuse soit dit en passant, mais passant ainsi d'une posture à l'autre elle espérait que cela ne se verrait pas trop.
Que cela passerait encore pour sa phase tornade ne tenant pas en place et non pour l'angoisse qui commençait à réellement la prendre à la gorge.
Quand le son des cloches de la Cathédrale se fit entendre, elle devint blême ...
Ce qui semblait flou jusque là commençait à prendre forme et son estomac a force de se nouer allait finir par lui faire recracher la totalité des fruits confits qu'elle venait d'engouffrer

Toc toc toc

Nouveau sursaut, et la rouquine de regarder la Fleur avec un air de panique cette fois foutrement visible sur le visage.
La tête hochant de gauche a droite comme pour dire non, elle se leva d'un coup, enfin si on puis dire, relevant ses jupes elle fila tout droit derrière le paravent, s'y plia comme elle put les mains sur la tête en guise de protection
On nous attaque !
Leyah, t'es prête? Je suis garé en double file!
Elle est pas là ! Y'a personne !
Passant un minois angoissé et toute recroquevillée de l'autre coté de sa pseudo cachette , elle regarda la Fleur d'un air des plus implorants
Pssstttt dis a mon Suzerain que je suis tombée dans les latrines !
Et vala .. ca y était .. c'était LA panique !
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Renlie

Une fois rassasié, Renlie regagna ses appartements, sans avoir croisé âme qui vive, juste quelques courants d'air dans ce château. Tiré à quatres épingles, il sortit de la cachette située derrière le guéridon, le cadeau de mariage de la mariée, soigneusement emballé dans un carton.

Le carrosse filait à vive allure, la silhouette de Périgueux se dessinait à l'horizon. La cour principale du château fit son apparition, dans un brouhaha de roues et de sabots sur les pavés. Le carrosse stationné devant l'entrée principale, il avala quatre à quatre les marches qui le séparaient de l'entrée, où les gardes lui ouvrirent les lourdes portes.

Direction les appartements comtaux... Non sans appréhension, puisqu'il s'agissait d'une première pour lui. C'était décidément sa semaine des premières, après son premier anoblissement en tant que témoin héraldique...

Dernier couloir enfilé, planté devant la porte, la main vaillante...

Toc Toc Toc... Leyah, t'es prête? Je suis garé en double file!
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Sherynne

Elle s'éveilla fort tard d'une nuit peuplée de cauchemars imbéciles, entrecoupée de réveils en sursauts à des pitreries de gamine, le défouloir sur oreiller. L'oeil à moitié ouvert sur le rayon de lumière entrant dans la pièce par une béance dans les rideaux, elle ronchonna puis s'extirpa non sans mal de l'enchevêtrement de couvertures et de plaids. Sherynne enfila un vêtement chaud et se dirigea vers la fenêtre.

Périgueux.. Dieu qu'elle détestait cette ville. Ses émeraudes balayèrent le parvis juste en contrebas de l'auberge et elle écarquilla les yeux. Diantre, mais elle allait être en retard !! Elle resta néanmoins là quelques instants, à scruter les visages et les tenues des invités, essayant d'en reconnaitre un. Soupirant, elle passa une main dans ses cheveux emmêlés, puis appela la tavernière pour un bain chaud.

Quelques longues minutes plus tard, elle se ramollissait dans une eau tiède aux senteurs de jasmin, grignotant un morceau de brioche nappée de miel. Puis elle en sortit, se sécha vigoureusement d'un linge propre et enfila sa plus jolie robe, d'un velours bleu clair irisé. Puis elle se coiffa, chaussa de jolies chaussures achetées pour l'occasion et sortit de la chambre attrapant au passage un manteau qu'elle passa tout en descendant l'escalier.

Le froid la saisit dès qu'elle mit un pied dehors. Frissonnante, elle trottina traversant la place, puis ralentit l'allure avant de grimper les marches. Un mariage.. Et pas n'importe lequel.. Se demandant si elle serait la seule militaire à assister au grand évênement, elle poussa la lourde porte qui se mit à grincer.. Sherynne se mordit la lèvre, eut un sourire d'excuse puis s'avança vers les premiers bancs. Etait-elle la seule à être venue sans chevalier servant ? ..

Juliette.mansart

La jeune brunette qui ne se passionnait guère particulièrement pour ce type d'événement, surtout ceux de cette envergure, crut néanmions de bon goût de se présenter au mariage auquel elle avait été conviée. Aussi se présenta-t-elle à bonne proximité du parvis, alors que la rouquine tornade semblait se laisser encore un peu désirer par les convives impatients.

Sa perspicacité innée sans doute, lui avait laissé présager de la foule impressionnante qu'elle allait y trouver, mais malgré tout, une fois sur place, force lui était d'admettre qu'elle en avait néanmoins sous-estimé l'ampleur!

Corne de bouc! Voilà qui est presque dément!

Les yeux tout ronds d'étonnement, elle regardait de sous sa capuche, la masse impressionnante de gens qui s'agglutinait déjà sur le parvis et tout autour; la plupart lui étant totalement étrangers d'ailleurs. Elle laissa échapper un léger soupir, tentant de s'encourager en se disant que le mariage de deux êtres aussi colorés que les mariés, ne pouvait tout de même pas s'avérer si barbant!

Lui suffisait simplement de passer incognito d'ici l'arrivée de Leyah, histoire de ne pas avoir à se coltiner les courbettes courtoises et discussions mondaines la plupart du temps forts assomantes et qui sont généralement incontournables dans ce genre d'événément. Si elle y parvenait, tout irait à merveille puisqu'une fois à l'intérieur, le spectacle serait très certainement divin!

Elle se faufila discrètement à travers la foule, dissimulée sous sa cape et sa capuche, regard plongé fixement vers le sol de terre battue, puis acheva sa fuite improvisée en longeant le mur arrière pour revenir ensuite vers l'avant, mais du côté moins fréquenté de la cathédrale ; jusqu'à avoir une vue satifaisante pour l'éventuelle arrivée de la mariée. Oui elle détestait les foules, mais aimait néanmoins s'émerveiller à la vue de ravissantes et oppulentes vêtures... une femme reste une femme, on se refait pas, non mais!

Aelyia

Le carrosse s’arrête devant l’immense cathédrale pour laisser descendre une jeune femme heureuse d’assister à l’évènement qui va se dérouler aujourd’hui devant ses yeux.

La vie tourne…. Elle se souvient, avec émotion, de cérémonies liées à un passé maintenant bien lointain et qu’elle avait elle-même organisé… la vie est souvent dure, injuste mais la vie tourne si vite, si fort qu’elle permet d’autres histoires, d’autres espérances comme des renaissances après bien des drames.

Elle saute lourdement sur le parvis…enroulée dans une cape qui masque sa silhouette.
Elle n’a pas beaucoup perdue de la sauvagerie qui la caractérise depuis son départ de Bretagne. Elle fuit souvent le monde la blondinette… sauf par amitié…. Sauf par amour… sauf pour l’essentiel.

Ce qu’elle cache sous sa cape… peu de personnes encore en connaissent l’existence. Quand on a décidé d’affronter le monde avec sa propre morale et ses propres valeurs on va jusqu’au bout même si l’on choque, même si l’on blesse un peu sans le vouloir. Croisera t elle son père ? Acceptera t’il ce qui est pour elle une évidence.

Cette célébration sera t’il l’occasion de renouer des contacts avec des amis perdus de vue ?

Elle est un peu lasse et pourtant, à coté de l’homme qui partage sa vie, elle sourit.
Il est encore moins à l’aise qu’elle, lui, le pirate arrogant et drôle qui le plus souvent évite le grand monde et ceux qui portent titre.
Mais sa prestance, sa haute taille et le charme indéniable qui se dégage de ce visage buriné à l’épaisse crinière blonde font retourner plus d’une silhouette féminine. Lyly s’en amuse… elle se contente de serrer un peu plus fort son bras…

Derrière eux suit Babette… la fidèle, la précieuse… qui lui lance des regards inquiets quand elle se retourne pour admirer la foule nombreuse qui se presse au mariage de sa tante.

Ne t’inquiète pas Babette… tout va bien…. Tsss tu tournes à la mère poule toi. C’est pas une maladie je te rappelle.
Je te promets de ne pas danser tout à l’heure.
Et pour le moment je pense me souvenir que dans une église il y a plein de bancs.

Un éclat de rire et elle entraîne Rahan vers les places réservées à la famille sous le carillon des cloches de la cathédrale qui se déchaîne pour annoncer à la ville les noces joyeuses de leur Comte.

L’heure a sonnée… c’est un jour de fête !

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Ptitmec13

L'épée de Tadek qui se baisse donc une main qui en fait de même dans son dos tout en restant à proximité de l'objet, toujours dissimulée sous sa cape.
Sourire rapide au murmure de Kah pendant qu'elle semble essayer de la calmer ou que sais-je encore, clin d’œil qui répond aussi à leurs complicité. Mais son regard restait attentif. Le Carmin n'avait pas encore fait partager sa réaction à cet acte. Non ce n'était pas fini.. elle en était sure.
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Lieutenant Chef de Prévosté du Béarn - Triviale Poursuivante de Minerve

Lily59

Le temps s'écoulait à une vitesse surprenante. Ils étaient loin d'être en retard en fait, mais elle ne pouvait s'empécher de stresser à mort. Le cadeau bien serré contre elle, tout enveloppé, alors que Flax tenait la petite. Cette dernière avait récemment trouvé qu'avec ses deux mains, on pouvait faire quelque chose de très sympa. Tirer sur la barbichette, de celui qui endossé le rôle du père à merveille, était devenu jeu très attrayant et à la voir rire, elle ne s'en lassait vraiment pas.

A voir le monde présent autour de la Cathédrale, Lily saisit doucement la main de Flax. Elle n'imagine même pas l'état dans lequel elle serait le jour de son mariage. Un stress total, une gueule de bois sûrement, car elle aurait bu la veille pour enlever ce stress. Mais on y était pas...

Le clocher carillonnait sans fin. Elle leva la tête, admirant la splendeur de la cathédrale.
Une foule incroayble était sur place, du beau monde pour la plupart, le gratin... Des visages familiers, des sourires qui s'échangent.
Elle cherchait Aleen du regard, se demandant où cette dernière avait pu passer. Etait-elle déjà arrivée...? Fallait encore s'organiser...
Un regard à son cher et tendre et de lui dire

Si tu vois Aleen surtout tu me préviens ! Une ... affaire importante.... toussote à régler.

Serrant toujours le cadeau bien contre elle.
Le premier malheureux qui oserait, ne serait-ce que s'approcher de ça, succomberait à une mort certaine. Bon fallait aussi relativiser, car vu le monde ici, beaucoup était proche. Le regard déterminé, elle entrelaça ses doigts sur ceux de Flax en guettant la foule. A ce moment précis, elle aurait aimé que son mini Bleizh soit là. Lui avec ses idées de barges aurait sans doute fait un truc de dingue et elle, amusée, l'aurait suivi, prétextant encore une fois qu'elle surveillait l'enfant. Des coups de folie, ça avait du bon des fois. Et même si elle savait que ce qu'elle tenait bien serré contre sa poitrine était le résultat d'une "nuit de folie", elle regarda son compagnon, avec un brun de malice, comme avant une bêtise...
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Yrvis

Yrvis à son retour chez lui trouva la missive et la lu, décidément, il fallait toujours qu'elle n'en fasse qu'à sa tête. Heureusement qu'il avait les épaules larges pour s'occuper d'elle et qu'il ne tenait pas compte de toutes ses remarques alors qu'il l'empêchait de commettre n'importe quelle bêtise, voulant brûler les étapes de sa rééducation.

Plusieurs fois il s'en était voulu d'avoir dit oui à Laclemanus en promettant de s'occuper de sa fille durant son absence, c'est qu'elle a une tronche de lard comme on dit et de ce côté la, on ne pouvait mettre en doute qu'elle était sa fille.
Elle avec son côté boudeuse, pouvait parfois rester de très long moment sans dire un mot, rechignant à faire le moindre effort lorsqu'il lui demandait d'aller se promener pour refaire sa musculature. Lui au contraire était volubile, ne pouvant rester plus de cinq minutes sans dire un mot, il voyait bien que cela exaspérait Alinoë quand elle boudait et il s'en amusait, parlant exprès sans discontinuer.

Elle avait de la chance qu'il l'aimait beaucoup....Et qu'il craignait la réaction du père, sinon il l'aurait bien des fois rembarrée pour ne pas revenir s'occuper d'elle.

Il relu encore une fois cette lettre, pour qui elle se prenait et pour qui elle le prenait également, faudrait pas qu'elle croie qu'il est son laquais, il l'était un ami de la famille et son ami par la même occasion. Il savait qui elle était, elle n'avait besoin de ses titres en en-tête pour lui écrire...Elle voulait des titre dans les courriers, il allait lui en donner.
Il prit donc du papier et lui répondit.

Citation:

De Yrvis, Grand Garde malade de chez Alinoë, Suprême Promeneur de sa Grâce, Grand Parolier des moments de silence
A Demoiselle Alinoë

Demoiselle,

Je suis effectivement en excellente santé malgré les tourments dont vous me faites souffrir et je vais continuer à tenir ma parole envers votre père en vous accompagnant en Périgord.
Il ne faut pas croire que je vais vous laisser faire n'importe quoi si loin de la Savoie et de moi-même, donc je serais là demain à huit heure pour vous accompagner et ne pas vous lâcher d'un fil.

A demain

Yrvis

En guise de sceau, il mit l'empreinte de son pouce avant d'aller porter la missive et de la donner à Fluette en main propre.

Le lendemain il était prêt à l'heure et fit le voyage avec Alinoë jusqu'à destination.

Douchka

Les cloches sonnaient pas loin de l'endroit où ils avaient pris leur repas.
Ils avaient toujours tout un tas de choses à se raconter et n'avaient pas vu passer l'heure.

Anakin était arrivé juste à point pour partager avec eux ce moment de pause et de convivialité et de fil en aiguille le temps avait passé comme si ils étaient enfin un peu en vacances.

Hum, les garçons ça carillonne fort, ce serait pas déjà l'heure?

Elle se regarda crottée par la route, visa un bosquet pas loin, pris sa besace où une robe l'attendait, et fila se cacher pour se changer.

Elle parlait fort de sa cachette aux deux compères.

Hey décrottez vous, on va être en retard et pas présentables !

Je suis sure qu'il doit y avoir plein de monde en plus

Elle se hâtait mais n'oubliait pas d'envoyer quelques branches dans leur direction, en riant.
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Jazon

Parvis de la cathédrale de Périgueux

Le coursier avait eu bien du mal à remplir sa mission cette fois : Remettre une invitation à son maitre et son épouse.
Celui-çi ne tenait pas en place. "Pour ne pas changer" se disait le messager.
Du Bourbonnais-Auvergne, il avait du descendre sur Limoges puis remonter, pas tranquille du tout malgré la trêve, par le Berry.
Il avait finalement retrouver ses traces en Touraine, dans une petite auberge à Tours.

Mathurin avait vu son maitre sourire après qu'il ait lu la missive. Puis ces quelques mots : le sept du premier mois ? Nous y serons !

Et c'est par une belle journée, fraiche mais ensoleillé qu'une calèche tenta d'approcher de la cathédrale. Elle n'était pas la seule à se frayer un chemin parmi la foule qui venait s'amasser sur le parvis.
Un mariage comtal, c'était un évênement qui n'avait pas lieu tous les quatre matins.

L'équipage était arrêté depuis un moment quand Jazon passa la tête par le portillon.
Jehan ! Nous allons descendre ici et continuerons à pied.
Il ouvrit la porte et descendit puis tendit sa main à l'intérieur. L'instant d'après, son épouse Gypsie, le rejoignait à l'extérieur.
Doux baiser habituel entre les époux.

Puis Jazon replaçant sa cape sur ses épaules leva la tête vers le cocher.
Dès que tu auras confié les chevaux à quelque gamin, tu nous rejoins avec Lucie là-bas.

Une tête féminine passa par la porte.
Dépêche toi Jehan ! Je veux pas rater l'arrivée de la mariée moooiiii !

Jazon se tourna vers Gypsie, la regarda la gratifiant d'un sourire.
Nous y allons ma douce ?
Suis moi de près !

Puis maintenant son épée de la main droite, il se plaça devant elle.
Fendant la foule d'un pas ample mais claudiquant, seule séquelle visible de la guerre en cours, il se fraya un chemin en scandant : PLACE ! FAITES PLACE !

Le couple parvint sans trop de mal sur le parvis.

Kahhlan

La Trêve aura eu du bon finalement, une échappatoire à la vie qu'elle menait depuis des mois et des mois, à savoir vie de nomade de camps en camps, et si elle s'était accoutumée à la rudesse parfois accrue des champs de bataille, à la rudesse d'une vivre dans une promiscuité pour le moins hétéroclite, l'idée d'un nouveau voyage lui changerait certainement les idées ..

Elle avait pu apprécier d'escorter son Cap presque « père »en Paris lors de l’intronisation pour le Roi d’Arme et, lorsqu'il lui avait demandé de l'accompagner en Périgord pour le mariage de son frère , donc presque « oncle » et de surcroit son Comte puisque Périgourdine oh combien de coeur , comté qu’elle chérissait malgré son éloignement qui lui pesait parfois, elle n’avait pas hésité un seul instant, plutôt deux fois qu’une !!!
Pouvoir croiser et peut être parler à d’anciennes connaissances, retrouver Henry son vice chancelier qui tenait plus en ces instants la place de chancelier tant elle avait été accaparée et sérieusement stressée par les impondérables de son quotidien …

Au matin, franchissant les dernières lieues qui la séparait de Périgueux, elle humait l’air pour s’en imprégner … dieu que cette terre était belle et comme elle lui avait manqué et comme il était bon de la respirer à nouveau … et c’est soudain son village qu’elle revoyait … ses proches amis là-bas, du plus bourrus au plus tendre … ses obligations ne lui permettraient pas de se rendre jusqu’en Castillon, alors du fond du cœur elle espérait que certains Castillonais assisteraient également à cet événement.

Courte halte à l’Hôtel des Voyageurs, sourire en coin reconnaissant l’édifice et une douce pensée pour Gadzelle … Une chambre, un encas et un bain !!!
Puis, revêtue d’une robe d’un taffetas nuit bleuté au sage décolleté, chevelure emprisonnée sous une résille, un savant et désordonné chignon dans lequel s’accrochaient aériennes des perles de fleurs, les mains gantées de soie, elle s’enroulait dans une longue cape de velours assortie à sa houppelande et au capuchon bordé de fourrure pour retrouver le Capitan et son amie Ptit.
Si cette dernière avait sélectionné une tenue pour enfourcher sa monture, elle pas question d’arriver autrement qu’en amazone sur la sienne.

Devant la Cathédrale

La petite équipée arrivait enfin à destination, et là à peine pied à terre que le capitan jouait du tambourin sur la tête d’un garde en faction …
Erf ….. voilà qui commence bien pour se faire discret … mais un Namay discret en même temps ça n’existait pas … tout son opposé, surement pour cela aussi qu’ils s’entendaient bien tout deux.
Ne pas oublier non plus de lui glisser plus tard qu’il devrait offrir à son frère et future épousée, tous les vœux de bonheur de la part de leur suzerain commun …

Ptit lui proposait alors son bras qu’elle acceptait avec plaisir … une dame arrivait pour saluer le Cap, suivit de près par ce qui semblait un chef des armées, fouillant sa mémoire, elle reconnut Tadek, capitaine émérite en Périgord Angoumois.
Le ton était plus à l’ordre qu’au conseil lorsqu’il s’adressait à son Cap, qu’elle en fronçait le sourcil ennuyée à défaut d’être inquiète pour ce dernier.
La dame de façon diplomate, s’occupait de Tadek, et elle pour le coup tapotait la main de son amie Ptit tout en lui murmurant …

Je crois que nan, nous allons devoir nous passer des présentations et attendre bien sagement qu’on daigne nous faire entrer. Si cela devait trop tarder hein … il nous restera toujours cette façon bien particulière de jouer des coudes et de pénétrer l’endroit.

Le tout accompagné d’un clin d’œil complice …
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Alinoe_de_chenot

La petite duchesse était assise dans son jardin quand on vint lui porter l'invitation pour le mariage de Leyah et Vonafred. Elle sourit, la jeune fille adorait les mariages quoique elle n'était même pas fiancée. Son visage s'assombrit en repensant à ses propres fiançailles rompus à cause de cet accident. Elle relut la carte et une phrase lui emmena le sourire, chassant ses idées noires.
La jeune fille appela sa grosse gouvernante, Fluette et lui dit

- Fluette, je pars en Voyage, en Périgord. Faites faire mes bagages et surtout mettez mes toilettes de cérémonie, je vais à un mariage comtal.

La gouvernante eut un haut-le-corps

- Mais damoiselle ! Vous n'y pensez pas ! Vous n'êtes pas tout à fait guérie de votre accident ! Vous ne pouvez pas voyager aussi loin.

Alinoë grinça des dents

- Je boite encore un peu et rien ne dit que je ne boiterais pas le restant de mes jours. Je ne vais pas rester cloîtrée tout le reste de mon existence ! Je vais à un mariage ! Pas à des joutes !

Fluette tint bon.

- Possible mais vous n'êtes pas encore assez forte et puis votre père n'approuverait pas !

Alinoë ne répondit pas et s'enferma dans un mutisme boudeur. La gouvernante n'entendant plus rien, repartit à ses taches, contente quoique surprise. La damoiselle n'était pas du genre à rendre les armes aussi facilement.

De fait, Alinoë fait venir sa femme de chambre et lui demanda de quoi écrire.

Citation:

De Alinoë, Duchesse de Luserne, Vicomtesse de Thonon, Dame de saint-Julien en Genevois
A Messire Yrvis

Messire,

J'espère que cette missive vous trouvera en bonne santé. Mon père vous a donné pour mission de vous occupez de moi. Tache dont vous vous acquittez avec zèle.
J'ai pour l'heure, réellement besoin de vous. Je dois me rendre en Perigord dans les plus brefs délais. J'espère comptez sur vous pour m'accompagner.
Sachez que si vous refusez, je partirais quand même mais je ne veux pas vous faire manquer à votre parole.
Si vous acceptez, venez demain me chercher vers huit heures du matin, sinon, je vous dis à bientot

Alinoë de Chenot

Elle y apposa son scel et dit à sa femme de chambre de porter la missive et de préparer ses bagages.
Fluette fut mécontente mais du se plier aux ordres de sa maîtresse.

Quelques jours plus tard, elle arrivait en Périgord accompagné du Sieur Yrvis.
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Saphyra

Le parvis de l'église devint noir de monde, Saphyra se sentait de plus en plus mal à l'aise, ne reconnaissant personne.
Elle n'avait même pas un bras auquel elle pouvait se tenir, la tête lui tournait un peu, première fois qu'une telle chose lui arrivait.
Etre quelque part sans lui.

Elle avait hâte que le couple arrive et entre dans l'immense cathédrale, au moins elle pourrait peut être s'asseoir sur un banc.

La bretonne écouta les personnes autour d'elle, admira les gens d'armes qui avaient revêtu leurs plus beaux apparats, le temps était frais mais le soleil était lui aussi au rendez-vous pour illuminer ce moment si important.

Aleen

Ho... oui, oui. J'ai .... euh.... vous .... se sont ces boutons mon coeur. Vous voulez bien m'aider s'il vous plait ?

Elle éclata de rire,

Mais mon coeur vous avez boutonné votre habit de travers rha lala ces hommes !

elle lui donna une petite tape sur la main

Mais voulez-vous me laisser faire !

tout en reboutonnant son habit elle pensait à son escapade nocturne, pourvu que Lily n'oublie rien !

Et bien voila mon amour, tout est parfait........ seulement..... si j'étais vous........je passerai mes braies....... car il serait du plus mauvais effet que vous franchissiez les portes de la cathédrale en pareille tenue.

tout en riant elle l'embrassa légèrement, sorti rapidement de la pièce en lui lançant

Je vous attends en bas, dépêchez vous nous allons être en retard
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Deliriuma

Il haussa les épaules en plissant la lèvre, mimant la fausse vexation. Il savait qu'il n'était pas très doué, mais se savait rassuré qu'elle soit là pour lui.

Voui, je vous laisse faire !!

Il regardait sa longue robe sous toutes les coutures et pendant qu'elle ajustait sa chemise en remettant chaque bouton à sa place, il posa sa main sur son étoffe.

En tout cas, vous féliciterez votre tailleur, il a fait un travail remarquable. Cette robe vous sied à ravir.

A sa remarque, il baissa le regard jusqu'à ses jambes puis le posa immédiatement sur les braies qui attendaient sagement sur le lit.

Elle sortit de la pièce, lui, se jeta sur le lit pour terminer de s'habiller. Des braies étaient tout de même plus faciles à enfiler qu'une chemise aux multiples boutons.

Après avoir ajuster le tout, lissé les plis et s'être observé dans la psyché pour s'assurer qu'aucun détail ne vienne tâcher l'ensemble de ce qu'il voyait, il sortit de la chambre pour rejoindre sa compagne.

Et voila !! Qu'en dites vous ?

Petit mouvement dans les cheveux pour replacer les mèches folles et hop, ils étaient prêts à partir. A un détail près.....

Il prit une des plus belles roses du bouquet posé sur la table et la fixa soigneusement au décolleté d'Aleen.

Vous êtes merveilleusement belle mon coeur. Je crois que nous pouvons y aller.
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Matthea

La rouge ? Non, elle ne pouvait pas, maman avait choisi la rouge pour Emma. La bleue ? Non plus, maman se réserverait certainement cette couleur pour elle. La verte ? On dit que le vert porte malheur sur une scène. Oui mais la vie est-elle une "vraie" scène ? Du certaine façon, oui elle l'est mais d'une autre ... pas tout à fait ! Va pour la verte !

Attachés ou pas ? Attachés ça faisait plus distingué et plus femme. Oui mais elle n'était pas encore tout à fait une femme et elle le revendiquait haut et fort. Libres alors ? Pourquoi pas ? Elle aimait les avoir libres de voler au gré du vent oui mais pas complètement sinon ils volent dans le visage ou pire on les mange. Va pour semi-liberté !

Ça c'était fait, ça aussi, restait bottes, bottines, poulaines, chausses ? Vaste choix que celui-là ... Les poulaines et les chausses n'étaient plus ou pas encore de saison, exclues donc. Restait bottes ou bottines ? Les bottines qu'elle avait n'allaient pas du tout mais alors là pas du tout avec un tenue habillée. D'accord pour bottes alors !

Elle avait presque fini de se préparer lorsqu'elle entendit Groch suivit de William les appeler. La mini-noiraude leva les yeux au ciel et poussa un soupire d'agacement.

Ça va, un minute on est pas à la pièce non plus ! De toute façon Emma est prête mais elle ne veut pas sortir de sa chambre !

Maman et Audrick n'avaient pas réussi à raisonner la plus têtue des têtes de mule de la famille, peut-être qu'elle y arriverait en utilisant un argument de poids ! Le mari qu'Emma se cherchait depuis quelques jours, nouvelle lubie qui l'avait prise en taverne peu avant. Voilà qui était fait et voilà la cadette après Maëlya qui se décide. On y est presque en fait. Reste plus que leur mère qui termine de se préparer et ils pourront y aller à ce mariage.

En attendant elle n'a qu'à patienter bien tranquillement tout en regardant par la fenêtre.
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Bahia7

Alors, qu'ils étaient en train de se restaurer autour d'un pique-nique improvisé, faut dire, durant cette route depuis plusieurs jours, ils en avaient fait quelques-uns, et c'était tout un art dès lors maîtrisé, qu'ils entendaient un...

Hey vous deux, on peut dire que vous m’avez fait courir.

Coucou frangin

Tiens Anakin. Le monde était petit, et c'était une joie de le voir après tout ce temps, même si cette promenade en compagnie de sa douce, leur avait fait du bien.

Auriez-vous quelques restes pour un pauvre hère mourant littéralement de faim ?

Et ni une ni deux, il était assis à leur côté, à raconter ses périples.
Ce qui était drôle, c'était de s'apercevoir que dans une grande ville comme celle là, ils s'y rencontraient comme si c'était une petite bourgade, et que le hasard les avaient même amené à rencontrer les mêmes personnes pourtant d'horizons différents.
Bahia sortit donc les quelques miches de pain qui leur restaient, un peu de charcuterie, du fromage, quelques gâteaux secs (très secs même...) et quelques fruits qu'ils avaient cueilli en route.
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Deliriuma

Mais bon sang, il va où ce bouton ? En haut ou en bas ? Beh ??? Le bouton est plus gros que le trou non ? Qu'est ce que....
Mon Coeuuuuuur, vous pourriez venir voir s'il vous plait ?
Regard interrogateur vers les boutons de sa chemise, puis lançant par dessus son épaule

Soit je suis aussi bête qu'un barreau d'échelle, soit, il y a plus de boutons que de trous !

Ce n'était pas son mariage et pourtant il était nerveux comme si sa vie en dépendait.
Dans un coin de la porte, vers le couloir, il vit le visage de Barberine qui souriait, comme si elle se moquait. Il serra les jambes, tentant de se camoufler du mieux qu'il put.

Hey ! Barberine, je n'ai pas encore mis mes braies, c'est gênant hein !!

Il s’apprêtait à les enfiler vite fait
Madame est prête ?

Et soudain, elle apparut, plus belle que jamais. Son visage rayonnant éclairait la pièce à lui tout seul. Difficile de la quitter des yeux, de ne pas s'attarder sur le sourire qui ornait son visage. Il perçut à peine les mots qu'elle lui adressait...
Mon coeur je ne voudrais pas vous presser, mais il va être l'heure de se mettre en chemin !

Quelques secondes s'écoulèrent avant qu'il ne réagisse.
Ho... oui, oui. J'ai .... euh.... vous .... se sont ces boutons mon coeur. Vous voulez bien m'aider s'il vous plait ?
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Alix_du_vivier

[La guerre est dans la nature humaine. ]

Geste rapide, Alix se mit sur le coté a quelques pas. Tête qui tourne pour apercevoir finalement une lame brillante sur la gorge du Gascon.
Sang glacé dans les veines de la brune. Peur de la réaction de Namay qui n'était pas
homme a s'en laisser compter.

La maréchale voulait surtout qu'il n'y ai aucune esclandre avant la cérémonie,
finalement elle pensait que des troubles viendraient d'ailleurs, mais c'était sans compter sur le sang bouillonnant des deux hommes.
Le visage dur de Namay ne laissait présager rien de bon. Elle perçu dans son regard un éclair fulgurant éclair dominant, prunelles sombres et rictus au coin des lèvres.

Baron!!! Il ne fait que son boulot..Tout ça finalement c'est à cause de votre frère.....Il aurait du expliquer qu'un Salmo ne pose jamais les armes.

Puis rajouta avec un jolie sourire.

Finalement votre frère est entre bonnes mains non?

D'un geste souple elle posa sa main sur le bras de Tadek, regard vers celui-ci, elle repoussa sa cape en arrière pour avoir les mains plus libres,découvrant ainsi ses épaules et sa gorge, planta ses yeux noires dans ceux du capitaine .

Capitaine, allons!! Etes-vous certain que le Baron rentre dans le cadre de la loi décrétée par Louis?
Si par malheur quelqu'un en voulait au comte, nul doute qu'il serait le premier a se battre, voir mourir pour son frère.

Regard vers des jolies femmes qui n'étaient jamais loin du Gascon, sa garde très très rapprochée en somme.
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Flax

Ouf !

Flax essoufflé par le soudain calage de p'tite eut à peine le temps de la voir filer direction la maison. Tournant la tête, l'éternel curieux, ses yeux filèrent à ses hanches, en dessous même, pendant quelques instants de faiblesse avant qu'il ne se reprit en main. Nan mais ho toi ! dit l'ange perché sur son épaule droite, avant de lui toquer la tête. Irrécupérable ! Le démon assis à son épaule gauche riait, ses yeux suivant ceux de Flax, les jambes ballotant dans le vide. Hé hé... T'en as choisi une belle petite la mon p'tit Flaxou. La version humaine de six bons pieds de haut sourit, ignorant l'ange. Ouais je sais... Puis il la vit presque enfoncer la porte de leur maison, et grimaça, ses deux esprit disparaissant.

Ah bah ça se voit que c'est pas elle qui change les charnières ! Bon, la solide planche en bois était resté maintenue au mur, elle vivrait d'autres jours. Il attendit encore quelques instants, l'écho de quelques cris paniqués lui flottaient jusqu'à l'oreille, mais son attention était portée à Chloé, qui venait de découvrir que sa petite barbichette était des jouets les plus drôles.

Arf Chloé, aieuh ! Il lui prit la main et lui sourit. C'est un jouet à Flax ça, d'accord ? Ouille ! Et vi, elle en avait deux. Il releva la tête pour voir sa blonde revenir, un objet discret dans les mains. Il ouvrit la bouche pour la questionner, mais elle l'intercepta

Tu verras en temps et en heure, je t'expliquerais.

Il pinça les lèvres, titillé. Mais bon, puisqu'elle était déjà sous pression...

Bon, d'accord très bien chérie... Puisque tu ne veux plus rien partager avec ton homme... Il la regarda du coin de l'oeil, souriant. Puis quand il la vit le regarder, tira une tête de trois pieds de long, exagérant la tristesse. Bouh hou, suis mal aimé, toussa toussa...

Ptitmec13

Une dame à la mise superbe - c'est beau le rouge non? - s'approche de Namay et lui murmure à l'oreille. Quoi d'étonnant? Alors là rien du tout. Au contraire même.. la routine en quelques sortes.

Elle baisse le ton pour murmurer à Kah: Tu crois qu'il prendrait le temps de nous présenter? tssss.

Un homme s'avance alors. Devant le geste de celui ci elle fait un pas en avant puis comprend qu'il s'agit du chef des gardes. Main droite qui glisse dans son dos au creux de ses reins, la blonde regarde le fou qui s'en prend au Cap, - oui parce que faut être vraiment fou pour s'en prendre au Carmin - , l'azur s'assombrissant légèrement. Bon le Cap il est grand, elle sait qu'il se débrouillera tout seul. Et puis c'est la mariage de son frère et le responsable de la sécurité n'entachera pas cette fête pour une telle idiotie. Mais autant être prête au cas où. Dissimulé par la cape le geste se fait sur.
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Lieutenant Chef de Prévosté du Béarn - Triviale Poursuivante de Minerve

Tadek

Les invités arrivaient en nombre, Tadek passait parmis eux et les salués
d'un petit geste de la tête.

Il aperçut son amie Alix et il alla l'accueillir comme il se doit par une petite révérence et quelques mots d'accueil d'usage.

Tout d'un coup, un bruit de métal qui s'entrechoque à l'entrée,
ni une, ni deux, Tad' couru à vive allure à l'entrée et aperçu
un homme qui cognait sur un de ces gardes, Tadek dégaina et posa sa lame
sous la gorge du trouble fait.

Capitaine Namaycush,

lachez immédiatement cet homme qui ne fait que son travail,
il ne fait que appliquer les consignes et règles de sécurités qui ont été
instauré par le Comte, votre frère.

J'aurai honte à votre place, venir au mariage de votre frère et troubler
le bon déroulement de la cérémonie et de cette journée qui se doit être
inoubliable pour lui et son épouse.

Maintenant, vous allez déposer vos armes comme tout le monde car vous
ne faite pas partit du service de sécurité et vous allez rejoindre les autres
convives sans faire d'histoire.

C'est le mariage de votre frère, alors un peu de tenu et de respect !

Si toutefois vous vouliez aller pleurer à votre frère de mon comportement,
je vous donnerai la main volontier.

Tadek rengaina son épée mais laissa sa main sur la garde au cas ou ...
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Lily59

Alors qu'ils allaient enfin prendre la route pour le mariage, la blonde fit un bond exemplaire dans sa robe.

Naaaaaaaaan stooop !!

Et de caler la petite dans les bras de Flax. Juste à le regarder, on comprenait bien que même lui ne savait pas ce qui se tramait encore et toujours dans la tête de Blondie. Elle disparut aussi vite que lui permirent ses talons. C'est qu'elle s'était entrainée à déraper avec des talons bien avant le mariage, donc pour l'heure, ça passait tout seul.
La robe relevée pour aller plus vite et d'ouvrir de nouveau la porte en un bruit sourd.

BAM !!

Arf flute... faut que je soigne mon entrée moi... Louiiiiiiiiise???

Madame?

Le précieux Louise!! Le précieux!!

Et de voir sa nounou s'exécuter en revenant avec l'objet de convoitise.
Le Précieux Madame.

Sans même prendre le temps de répondre, elle lui sourit, et fila avec l'objet. Usant de toute la précaution, elle s'en voudrait d'arriver avec un cadeau de mariage abîmé.
Et de rejoindre Flax, immense sourire aux lèvres, alors que ce dernier se demandait encore ce qu'elle pouvait préparer. De sa bouille d'ange, ses boucles blondes quelque peu disciplinées par sa coiffure, elle lui sourit. Ce sourire que lui seul lui faisait décrocher... Et pour seule explication, qui n'en est pas vraiment une, elle lui dit ...
Tu verras en temps et en heure, je t'expliquerais.

A le voir pincer doucement les lèvres, elle se doutait que dire ça à son Lieut' c'était comme demander à un ivrogne de ne pas toucher à un verre. Un supplice sempiternel, auquel il faudrait qu'il tienne, ou pas... Dans ce cas, ce serait à elle de résister à l'assaut de questions.
Alors que la tite famille se mettait en route, elle croisa les doigts...
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--Larenarde

Oubah.. il a pas froid hein!! Ah bah si en fait un ti peu...!!

La pousse un peu pour profiter du spectacle

Pas mal le Duc quand même !

Mais hé, il fait quoi là?? c'est vers nous qu'il vient??
J'ai l'objet la Renarde, tirons nous avant qu'il rapplique.!!!

oui on s'arrache, mais en douceur, on va se planquer dans une pièce et quand il sera passé pfuiiiiiiit on s'en va on va passer par la porte se sera plus simple

Elles s'enfoncent dans une chambre laissant la porte légèrement ouverte, voient passer le maître des lieux dans le plus simple appareil.

A peine celui-ci s'est éloigné que Larenarde suivie de son acolyte prend la poudre d'escampette

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Alix_du_vivier

[La tendresse est le repos de la passion. ]
de Joseph Joubert

Sortir de l'eau encore chaude était un supplice pour la jeune du Vivier.
Elle se délassait dans un baquet de bois dans lequel on avait pris soin de déplier un fond de bain en molleton qui lui évitait de prendre des échardes dans les pieds.

L'aubergiste avait poussé la délicatesse d'introduire dans l'eau un savoureux mélange
D'écorce d'orange et de romarin, qui donnait un subtil parfum dans toute la pièce.

L'heure approchait, il fallait qu'elle se prépare. A la hâte elle sortit, l'eau ruisselant sur son corps Aux courbes agréables , elle attrapa le drap de lin et s'enroula dedans d'un geste assurément rapide.
La maréchale choisit pour la circonstance une robe rouge sang, qui tranchait avec ses cheveux de jais.
Tout en se préparant elle attacha un petit fourreau avec un lien de cuir autour de sa cuisse...Son poignard ne la quittait jamais.
Les cheveux ramené en haut et tenu par un peigne, elle était prête.
Dernier coup d'oeil, elle se voulait présentable pour son ami. Une cape sur son dos et elle se rendit à la cathédrale.

[Heureux deux amis qui s'aiment assez pour (savoir) se taire ensemble.]
de Charles Péguy

Arrivée sur le parvis elle apperçu la Capitaine Tadek. Salut de rigueur et regard franc.
Elle connaissait le militaire et sa rigueur. La brune savait qu'il se douterait.....
Il n'allait pas la fouiller....Pas d'armes apparentes, passage autorisé.

Une vieille connaissance joliment accompagné, comme de coutumes le Salmo avait fait le déplacement. Obligé pour un frère de faire concession......Gascon dans l'âme, Alix le connaissait depuis son enfance.
Elle s'en approcha tout en restant dans son dos pour lui chuchoter à l'oreille.

Baron, n'avez-vous pas fini de maltraiter ce pauvre bougre?
Je vous croyais avide d'ennemis bien plus dangereux que ces soldats qui ne font que leur travail.

Sourire qui dévoile ses dents blanches, yeux pétillants, des qu'il se retourne pour la regarder.
Depuis toujours elle l'appelait ainsi, cela avait le don d'agacer l'homme, mais d'amuser la maréchale.

Comment allez-vous, Namay?

Beaucoup de monde arrivait, et la venue d'une personne en particulier allait susciter pas mal de remous.....
Alix était prête.
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Astorius

[en l'Eglise Saint Front ]

L'atmosphère était glaciale en ce jour de janvier dans la vieille église de Périgueux mais le pieux Barbu n'en avait cure, tout occupé qu'il était à siroter un vin de messe…
Certaines bigotes auraient pu s'offusquer de ce tableau peu commun… enfin si plus commun que l'on croit, hélas… d'un homme d'église en train de vider les réserves de divin nectar consacré...
Mais il ne s'agissait pas de cela du tout… non non non.
Il ne s'agissait que d'une dégustation… oui je vois dèjà un sourire narquois naitre aux lèvres de certains… mais c'était bien dans un souci du travail bien fait que le Barbu picolait en cette fraiche journée d'hiver… une nouvelle barrique venait d'être mise en perce à la sacristie et il s'agissait de savoir si le vin n'était pas piqué avant de le destiner à être bu lors de la prochaine messe…
Imaginez le prêtre faire une vilaine grimace en évoquant l'amitié aristotélicienne parce qu'il a ingéré du vinaigre… inconcevable !!!!

Bon la vérité impose de dire que les quantités ingérées en ce jour n'avait rien à voir avec une simple dégustation… mais le vin était gouleyant et un verre en appelant un autre… une certaine chaleur entourait désormais l'homme d'église…

Tout à coup des cloches retentirent dans le lointain… pas besoin d'être grand clerc pour reconnaitre celles de la cathédrale…

oh ben dites moi… sont en verve en ce moment à la cathédrale… z'ont à peine fini un mariage qu'ils en commencent un autre !!! l'Evèque ne va pas chomer en ces jours…

Par les cornes de Belzébuth !!!!

Le Barbu se releva d'un bond, renversant au passage sur sa robe de bure, le contenu du verre qu'il était en train de déguster…

Mais c'est aujourd'hui… oui aujourd'hui… que le comte se marie… par Aristote, si j'arrive en retard au mariage, à coup sur je me fait mettre en pièce par la mariée…

Relevant sa robe du bure jusqu'au genoux, il se mit à courir vers la sortie… attrapant au passage ses vêtements sacerdotaux, il sortit comme un fou de l'Eglise, faillit déraper sur une plaque de verglas, se rétabli in extremis et fonça en direction de la cathédrale… heureusement toute proche…

Sandreen

[ N'attends pas que les événements arrivent comme tu le souhaites. Décide de vouloir ce qui arrive... et tu seras heureux.
de Epictète ]

La route fut avalé sans s'en rendre compte, le nez en l'air en traversant les bois avoisinants la capitale Perigourdine, la projetant bien des années en arrière où toute jeune, elle maniait la hache avec desterité dans les landes gasconnes, lui redonnant soudain l'envie de parcourir les routes, au mépris des rodeurs qui sevissaient toujours et dont elle avait fait les frais à plus d'une reprise.
Leger soupir mais déjà les portes de Perigueux se dressaient devant elle, du haut de sa monture, elle appréciait les décors soigneusement installés en l'honneur du mariage; ha ce Henry ! A la pointe du raffinement, quel beau travail!

Bon c'etait pas le tout de revasser le nez au vent à admirer les parures aux fenetres, il lui fallait trouver une auberge qui n'affichait pas "complet" afin de se rafraichir et se restaurer un peu.

Par bonheur, à quelques pas de la cathédrale, une pension lui offrit contre quelques ecus, une chambre sobre mais propre et une soupe bien chaude, de quoi revigorer la jeune femme transie malgré l'etoffe épaisse d'une longue pelerine qui la dissimulait presque toute entière.

Le bol de soupe avalé, il ne lui resta plus qu'à grimper dans la chambrée pour parfaire sa tenue, ablutions bienfaisantes, le chignon avait tenu le choc du voyage et mise en place de la resille et du voile blanc sur sa chevelure d'ébene. pas de surcot pour la simple demoiselle qu'elle etait mais la lourde pelerine fut troquée contre une plus courte et plus legere ne lui couvrant que les épaules et laissant à la vue de tous le joli travail de la couturière, une jolie robe immaculée, rehaussée d'une ceinture d'un rouge profond.
Un magnifique bracelet à son poignet, unique parure pour la mairesse, elle rangea avec soin les presents dénichés pour le couple bientot unis devant le très haut et se rendit devant le parvis où une foule commençait à arriver de toutes parts.
Sans les connaitre personnellement, elle savait mettre des noms sur des visages celebres, tiens Namay qui bouscule un soldat, scène qui ne la surprit pas plus que ça, tiens un curé encombré de son attirail et qui manque de peu la chute, ah le capitaine Tadek et oui fallait montrer patte blanche.

Elle s'avança vers lui sans crainte, n'ayant jamais porté la moindre arme tant elle etait persuadée qu'elle se blesserait elle meme plutot que l'eventuel agresseur, idée très paradoxale lorsqu'on savait qu'elle avait eu pour habitude journalière de débiter des arbres en stères et de manier le rabot avec precision.

L'interieur de la cathédrale n'avait pas echappé aux mains expertes du heraut, Sandreen après la genuflexion d'usage, admira le talent du maitre de ceremonies en avançant vers l'autel, choisissant un banc près de ce denier, elle profita du calme du lieux pour mediter en attendant l'entrée des futurs mariés.

--Arsenelupine

Les portes s'ouvraient sans succès, jusqu'à ce que...

La chambre La Renarde!! On touche au but !
au fait tu sais comment il est l'objet ? t'as pris un sac pour le transporter ?

Touchant sa tempe...
Tout est là la Renarde, j'ai tout en tête!

Bon je te laisse faire Arsènelupine tu prends vite le trésor, moi je fais le guet si tu entends un miaulement c'est que tu dois rappliquer en vitesse !
Acquiesse d'un hochement de caboche avant de disparaitre dans la chambre. Leur veine, elle était vide à cette heure là. En même temps, tant de chambre ici qu'on pouvait dormir dans un lit différent tous les soirs...

Et de tomber sur l'objet en question. L'objet du vice, du meurtre... Le fourrant dans le sac en faisant bien gaffe aux plumes de canard, il serait protégé.

Imitant du mieux qu'elle peut un bruit de coucou pour faire savoir qu'elle a fini... c'était presque trop facile...

Renlie

Renlie terminait de se préparer pour cette journée qui serait sans doute mémorable, vu le degré de folie qui allait régner en la capitale du Périgord Angoumois en ce jour de noces comtales.
Le grain de la mariée et le verbe de l'époux n'y seraient pas étrangers non plus, bien évidemment...

A peine rentré d'une cérémonie d'anoblissement en Champagne, il avait fait halte en ses terres afin d'y prendre quelque repos. Ces dernières semaines avaient été lourdes, et la nouvelle des retrouvailles prochaines avec sa jeune soeur lui avait remis du baume au coeur.

Le château était bien vide, son frère y séjournant peu, le personnel peu nombreux, les longues soirées d'hiver bien mornes. Lui qui avait tant espéré y redonner vie quelques mois plus tôt, ne put que constater la tristesse d'une vie si souvent assombrie par les évènements l'ayant marquée.

Barnabé devait encore pioncer vu l'heure, aussi, comme d'habitude de toute façon, il s'occuperait de lui tout seul. Cérémonie obligeant, il allait enfiler son tabard et ses caducées en cette journée très officielle, il se devait de faire honneur à l'office royal qu'il représentait, surtout en présence de la Reyne. Aussi, une fois la tenue prête, il entrepris de descendre en cuisine afin d'y prendre un casse-croute, nu comme un ver, avant de prendre tranquillement un bon bain chaud.

Et de déambuler dans les couloirs...
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--Larenarde

Le chant du coucou, ça y est l'objet tant convoité était entre leur mains, enfin presque........

un frôlement dans le couloir, Larenarde regarda dans la direction, elle déglutit avec peine, un fantôme ? pas possible nu comme un ver, se gratte la tête, mince il est rentré ! se planque derrière l'armure

Miaouuuuuuuuuuu, psst Arsènelupine grouilles toi il y a quelqu'un si se balade à poil, viens vite voir ! t'auras plus jamais l'occasion de voir le Duc nu !

Je prends le sac et on file en vitesse !

--Arsenelupine

Sortant en trombe de la chambre et de se planquer derrière la Renarde. Mais c'était vrai, le Duc était nu ! Ouh bah on voyait pas ça tous les jours effectivement ! Se hissant sur la pointe des pieds pour voir par au dessus l'épaule de sa comparse, elle zieute le Duc...

Oubah.. il a pas froid hein!! Ah bah si en fait un ti peu...!!

Pouffe discrément.

Mais hé, il fait quoi là?? c'est vers nous qu'il vient??
J'ai l'objet la Renarde, tirons nous avant qu'il rapplique.!!!

Namaycush

En rouge...

Bien qu’il détestât les obligations mondaines, en particulier les mariages, il en était un, celui-ci, qui l’obligea. Ce n’est pas qu’on l’oblige par la force des armes ou des représailles, le vieux gascon, mais juste par la complicité fraternelle qui l’unit au frangin, en saison où les saumons frétillent de la queue.

Ainsi Salar se mit en quête de Salmo, laissant un mot à Alcyone, enfourchant son bâtard de canasson gascon accompagnée de deux blondes, mementiennes pures, connues de sa splendeur Vonafred.

Et Noir...

Bien que les notions géographiques de Namay se résumaient à l’anatomie féminine, la petite équipée, bientôt peut-être, rejointe par La Rousse demi Noux, arriva à bonne porte. Point besoin de garçon d’écurie pour cette monture habituée à la dure, dormant dehors, été comme hiver, ne portant pas de nom puisqu’elle venait toute seule.

J'ai détruit tant de châteaux...

A l’entrée, de la garde, bien entendu, du planton, du jeunet, lui demandant de déposer les armes. Mais pour les faire déposer, il aurait fallu que la France capitule et qu’on lui envoie trois armées de bretons sur le râble, ainsi au moins un invité ne l’entendait pas de cette oreille, leva les coudes à l’horizontale et prit malin à frapper les soldats casqués, en s’acharnant sur un en particulier qui portait vraiment sale gueule …

Blang, blang, blang… raisonnait le gantelet de fer et de cuir sur le casque du malheureux. Il se faisait ainsi sonner la cloche, à défaut de se la taper en cette période festive.

T’as compris mon nom, laquet ! Salmo Salar !le relâchant enfin…

Et il est où ce pendard de frangin ? d’abord ! Et le comptoir, de quel côté ? Mais réponds mon cochon !

Et de s’acharner à nouveau de plus belle, tapant glas ou tocsin sur le casque du malheureux…
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--Arsenelupine

Se retournant alors que la bouteille tombe à terre, un bruit de malade dans les lieux. Le coeur des Ocean's battait la chamade alors qu'elles s'accordent un regard effrayé, de peur d'être surprises.

Vois il y a un escalier, il doit monter au rez de chaussée...

Ouais, montons...
Du bout du pied elle monte la première marche, qui grince... Un regard à son accolyte qui l'éclaire de sa lanterne. C'est que toutes les deux, habillées comme ça, heureusement qu'elles ne s'éloignaient pas trop sinon elles ne se seraient pas retrouvées...
En haut de l'escalier, se trouvant à un couloir, soit droite, soit gauche.

Qu'est ce qu'on fait...?? Gauche? Je vois bien le Duc la mettre à gauche!

Et d'étouffer un petit rire dans le creux de sa main en se dirigeant à gauche, sur la pointe des pieds... avant de faire un sursaut de taille, paniquant sa comparse par la même occasion.

Marde! J'ai eu peur, fichue armure... Je te parie qu'on est pas loin de la chambre...

--Larenarde

Qu'est ce qu'on fait...?? Gauche? Je vois bien le Duc la mettre à gauche!

Allons à gauche alors

Le couloir était immense, tsssss ces grands ça s'offre des immensités pour eux tout seul ! Elle sursauta lorsque sa compagne lui agrippa le bras

Marde! J'ai eu peur, fichue armure... Je te parie qu'on est pas loin de la chambre...

J'espère surtout que le Duc n'est pas rentré ou qu'il dort comme un bienheureux, car je te dis pas s'il nous surprend il va ameuter tous ces gens ! au fait tu sais comment il est l'objet ? t'as pris un sac pour le transporter ?

Elle progressaient, ouvrant doucement une porte après l'autre, enfin elle débouchèrent sur la chambre, s'introduisant à pas feutrés

Bon je te laisse faire Arsènelupine tu prends vite le trésor, moi je fais le guet si tu entends un miaulement c'est que tu dois rappliquer en vitesse !
Fais gaffe hein il a peut être une dague sous son oreiller !

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Douchka

La route était longue et pourtant elle ne voyait pas le temps passer.

Il ne faisait pas chaud mais elle ne sentait pas la morsure du froid de janvier, trop occupée à passer son temps avec lui.

Ils étaient ensemble à parler de tout, de rien, à rire et dire des bêtises tout le long de la route.

Ils sortaient d'un mariage et s'étaient précipités sur les routes pour assister à celui là où elle ne connaissait pas grand monde mais elle avait été ravie de recevoir une invitation aussi aimable.

Manger? Hum oui manger quelle bonne idée !

Elle fouillait déjà dans sa besace pour voir si il avait pensé à amener quelque chose.

On se trouve un petit endroit où le soleil pourrait nous chauffer dès qu'il sortira?

Il y a quoi de bon dans tes affaires?

Elle riait et commença à le fouiller en le chatouillant.

J'ai faim !
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Flax

Flax souriait en admirateur admiratif des préparations de sa blonde. Courir par-ci par-là, lui attendait tranquillement au salon pendant qu'elle peaufinait son maquillage, remontait un poil plus sa coiffure, surveiller le ruelle dehors pour vérifier qu'ils n'arriveraient pas en retard... Mais où en trouvait elle l'énergie ? Il admirait souvent son petit bout de femme comme ça à son insu, se demandant par quel miracle elle était à lui. Elle disait avoir tout un tas de raison, variant de son visage à son caractère, de son ... talent... sa richesse. Oui bon, pourquoi pas... Lui était juste content de pouvoir enfin se dire avec, s'avouer vaincu par les sentiments qu'il avait essayé de renier et repousser depuis des mois.

Il rigolait intérieurement lorsque la jeune femme sortait, tête en l'air et préoccupée, fignolant encore sa tenue. Lui était encore à l'intérieur, et fit signe à la nourrice de prendre Chloé et de lui porter. Elle va complètement l'oublier sinon, ça va pas bien le faire... Il la suivit alors qu'elle lui porta la petite enfant, souriant de la voir paniquer avant de la prendre. Il en arrive à sa hauteur, et lui glisse une main autour des reins.

Fine prête, ça y est ? Il l'embrasse légèrement, pour ne pas affecter son maquillage J'ai hâte qu'on y aille, se dégourdir un peu ! Au tour de Chloé d'être la cible de son attention : il lui sourit. Hein ma puce, maman a l'air beaucoup trop stressée dernièrement ? Elle ne répondait jamais, sauf de gazouiller quand elle était heureuse. Comme maintenant ! Interprétation libre, disait il toujours. Tu vois !

Pinaise, on doit ressembler à une vraie famille... se dit-il avec un sourire. En effet, le jeune couple se mit rapidement en marche, direction la cathédrale, joliment assortis, main dans la main, avec la fille de la blonde dans les bras. Ils pressèrent le pas pour arriver à temps. Pas de retard accepté pour les demoiselles d'honneur !

Ptitmec13

Et l'une des blondes c'était elle..

Mais dans quelle galère l'avait-il encore amenée ce gredin.. Rho et puis ça allait jaser en plein, elle en était sure.

Première galère.. trouver une robe. Bon son domaine était peu éloigné du camp, un messager envoyé au galop revint donc très vite avec la tenue choisie.. mais pour la choisir.. Elle supposait qu'il allait faire la route à dos de cheval donc prévoir une robe assez évasée qui retomberait de chaque coté dus ses jambes quand elle monterait, car il n'était pas question pour elle de monter en amazone Noméoh. Ce serait donc celle-ci.

Seconde galère.. ne pas avoir les bouts des pieds qui gèlent dans les petits escarpins qui vont avec la robe. Vous l'aurez compris là il n'était pas question de mettre ses sur-bas en laine de mouton, Pas potib nananan, ou sinon elle aurait tout juste pu faire entrer son gros n'orteil dans la chaussure.

Troisième galère.. ne pas salir la belle robe durant la dernière escale. Bien faire attention que la cape couvre bien le tout, aussi bien par protection que pour ne pas avoir froid.

Quatrième galère.. Bien positionner cacher sa dague là où les gardes n'oseraient aller fouiller. Son épée quant à elle resterait donc dans le fourreau attaché à sa selle. Et puis de toute façon l'épée déformerait à coup sur la robe et pi ça fait pas beau du tout du tout d'abord.

Voilà.. 4 premières galères réglées, il restait plus qu'à attendre les suivantes, elle gèrerait selon l'ordre d'arrivée.
En attendant elle descendit de sa monture dans un froufroutement d'étoffes et laissa Belle Dragonne errer avec le cheval du Cap.
Elle rit sous cape en le voyant malmener les pauvres gardes qui ne faisaient que leurs travail. Mais non Cap, ce ne sont pas des Gong sur lesquels on joue de la musique... Rhalala...
Enfin Quelle idée de lui demander de déposer les armes aussi hein?

Coup d’œil à la blonde amie et se penche pour lui chuchoter: Tu penses pas qu'on devrait se passer de ses bras pour entrer? On le laisse faire mumuse avec ses gongs comme ça..

Azur qui se pose sur Namay, sourire innocent quand elle croise son regard et bras qui se propose à Kah dans un clin d’œil. Et puis il viendrait s’insérer entre elles s'il le voulait de toute façon hein. Ça elle n'en doutait point.
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Lieutenant Chef de Prévosté du Béarn - Triviale Poursuivante de Minerve

Anakin41

Retenu par ses obligations, Anakin n’avait pu faire le trajet avec ses amis. C’est au plus vite qu’il essayait de voyager afin de les rejoindre sur la route. Il n’avait que le minimum d’arrêt pour gagner un peu plus de temps afin de ménager Avalon sur la vitesse de course.

C’est au petit matin qu’il aperçu enfin les montures de ses deux amis non loin du chemin, dans un sous bois.
Il ralentit et s’approchant des montures, vit Bahia et Douchka, installés sur un plaid, le repas servit devant eux.
Le Kastellan mit pied à terre et les salua chaleureusement.

Hey vous deux, on peut dire que vous m’avez fait courir.

Il embrassa Douchka et son jumeau de cœur et leur dit en riant.

Auriez-vous quelques restes pour un pauvre hère mourant littéralement de faim ?

Sans attendre de réponse, il s’installa avec eux, racontant son voyage en citant quelques anecdotes rencontrées durant le trajet qui l’avait conduit jusqu’au Périgord.
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--Larenarde

(UNE NUIT AVANT LE MARIAGE)
La bande des Ocean's a encore frappé -

C'était pendant l'horreur d'une sombre nuit, Arsènelupine et la Renarde, toute deux vêtues de noir, s'éclairant à l'aide d'une lanterne sourde escaladent les grilles du château du Duc Renlie.

A pas de loup elle remontent la grande allée, discrètement à l'aide d'un diamant découpent méticuleusement la vitre d'un soupirail

Larenarde, tel un serpent, se glisse dans l'étroite ouverture, une fois sur le sol elle chuchote à Arsènelupine

a toi maintenant fais attention il y a un tas de vieilles choses ne vas pas te blesser

bling bling bling, une bouteille roule à terre, toutes deux dans un bel ensemble mettent le doigt sur leur bouches, se collent au mur chuuuuuuuuut

Le coeur battant, n'osant plus respirer, elle guettent le moindre bruit, tout danger étant écarté Larenarde lève la lanterne inspecte le lieu, montre du doigt ce qui semble être un escalier

vois il y a un escalier il doit monter au rez de chaussée.

Sur la pointe des pieds,en une lente progression, faisant attention à ne pas faire craquer le bois usé des marches, elles franchissent les degrés les menant au rez de chaussée

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Bahia7

Bruits de sabot, dans la campagne environnante. Les chemins étaient encore déserts à cette heure matinale.

Le clocher de la cathédrale apparaissait au loin, alors que les premiers rayons de soleil caressaient doucement les toits des maisons, et la végétation portait encore son manteau ruisselant de la rosée nocturne. Une lumière rose orangée éclairait leurs deux visages, rayonnants de bonheur, pour cette occasion qui n'était pas sans leur rappeler que ce serait pas la dernière. Il avait mis ses plus beaux habits pour l'occasion, mais craignait toujours la flaque de boue un peu trop creusée par les carrosses et charrettes diverses

Leur monture commençait à être peu confortable, si l'on en croit les nombreux noeuds parcourus, et des crampes commençaient à se faire sentir, l'obligeant à passer sans arrêt d'une fesse sur l'autre.

Se retournant légèrement...
Tu veux qu'on s'arrête manger avant d'entrer en ville?

Ils avaient de quoi manger dans sa besace, mais peut-être préférait-elle s'arrêter dans une auberge pour casser la croûte après tout.

Edlweisss

Ce n'est pas une bonne idée .. nan nan madame ..

Ouai .. elle a peut être pas tord
Je m'affale à nouveau dans le fauteuil

Non mais tu sais a quoi je viens de penser ? Je l'imagine, avec une botte sur la tete, la chaussette en guise de .. heuuu .. cache .. machin enfin tu sais, et pis le pantalon sur les bras

Je ris à mon tour.

Mais si tu veux y aller, vas y ein .. j'bouge po .. j'ai des ordres ..

Et la j'arrête de rire

Ah non non! j'ai une mission! divine quasiment !!! Je ne te quitte pas tant que tu n'es pas devant la nef de la Cathédrale ! et même là je te guette du coin de l'oeil!!
Je lui secoue mon index devant le nez.

Pour veiller à tes moindres besoins .. et pour être sure que tu ne vas pas t'enfuir !

Et je lui fais les gros yeux, je fais trés trés peur quand je fais les gros yeux ...
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Les Fées Tisserandes

Emma_de_lignareix

Ben ils ne se chamaillaient pas, ils discutaient. Pour une fois qu'ils ne se chamaillaient pas vraiment fallait qu'on dise qu'ils se chamaillaient ! Puis il en avait de bonnes lui ! Nan, elle ne voulait pas sortir en portant une houppelande, elle était un soldat, pas une péronnelle qui paradait comme une oie dans une basse-cour. Nan, elle ne voulait pas qu'on la voie dans cet accoutrement de fille ! Elle ne bougerait pas de sa chambre na ! Quoi elle avait l'air d'une gamine gâtée pourrie ? Normal, elle en était une de gamine pas encore complètement gâtée pourrie mais pas loin quand même.

Les bras croisés, la mine boudeuse, l'air renfrogné, la moins sage de la famille ne démordait pas, elle ne voulait pas quitter cette pièce en pourtant cette chose qu'elle jugeait complètement ridicule. Pas question de pas question !

Emma sors de là ! Immédiatement ! On va encore être en retard !

Nan, elle avait dit qu'elle ne sortirait pas ! Pas la peine d'essayer, elle ne viendra pas même si c'était sa mère qui le lui demandait elle ne bougerait pas.

Emma, sois raisonnable, on doit vraiment y aller là.

La douceur de son frère aurait peut-être pu la décider mais non, elle ne fléchirait pas.

Emma ... Il y a une chose que tu oublies ... tu vas peut-être trouver un mari en venant au mariage avec une houppelande ...

Quoi ? C'était une occasion de trouver un mari à embêter et à qui casser les pieds ? Ce pouvait-il que Matthy ait raison ? C'était une chose à envisager qui demandait réflexion, intense réflexion même. Bon d'accord à cette condition elle acceptait de quitter la pièce et d'aller au mariage en portant cette fichue houppelande.
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Edlweisss

CyprIEN ma Fleur .. CyprIEN

Oui ben c'est tout qu'est ce que je dis! Nan mais oh !
Je m'empiffrais donc de gourmandise pendant que Leyah se battait avec sa tenue. Pas le temps de lui demander si elle avait besoin d'aide qu'elle sortit la tête de derrière sa cachette.

A grignoter ? T'as faim ? Encore ? Tu nous couves pas encore quelque chose toi non ?

Oo , je manque de m'étouffer forcément , Kof Kof Keuh!!! nan mais ça va pas de me sortir des trucs pareils! bien sur que non voyons! tsssssssss , je suis une innocente! tu sais bien … et hop un abricot confit à savourer innocemment.

Apparition soudaine :
Mhh t'en dis quoi ?

Superbe!! comment pourrais je dire le contraire …

Je la regardais discipliner sa coiffure seule. Je n'avais jamais réussit à faire ça mais ma camériste s'en sortait bien en général.

Mieux que la tronche en gueule de bois ein ?

Ah ça …
Et la voila qui me piquait mes fruits confits restant!! bon je prends sur moi et je rale pas .. ce serait malvenu …

Tu la sens l'odeur de la catastrophe ?

Un tapis en vue???? m'exclamais je .

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Les Fées Tisserandes

Leyah

[ Appartements comtaux, le nez pointé vers l'extérieur ]

Ein ? Tapis ? Carpette ? Moquette ? Aaahhh non !
Que nenni il n'en est pas question, j'ai demandé a ce que tout soit viré !Tsss
Et de grommeler dans ses dents
On a pas idée de me faire porter chaussures avec des tapis
Louchant légèrement la rouquine tenta de ne pas trop bouger histoire de ne pas défaire toute sa tignasse et de devoir encore recommencer.
C'était coiffé, certes .. cela tenait , certes mais pour combien de temps ?
Toujours le nez pointé vers la fenêtre la rouquine reluquait aux extérieurs.
L'avantage des appartements comtaux , la vue d'ensemble .. c'était grandiose ! Sacré promontoire pour tout voir ou ne rien voir d'ailleurs ..
Une grimace soudain, la rouquine soupira longuement ensuite .. quand elle disait catastrophe, les oiseaux de mauvaises augures étaient déjà de mise, une caboche secouée, une prière pour que tout reste en place, exaucée , Hallelujah !
Décidément avoir la paix c'était chose impossible .. mais soit.. qu'il en soit ainsi, après tout elle n'en avait plus rien à faire depuis tellement longtemps qu'elle ne pouvait s'empecher de se marrer franchement quand ses oreilles sifflaient a présent.

Un regard vers la Fleur, une nouvelle pincée de fruits confits poussés dans son gosier
C'hais pas pour toi, mais ch'irais bien echpionner du coté de chez le comte voir chi il c'hen chort avec cha tenue
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Edlweisss

Je bondis sur mes deux pieds .. c'est plus pratique ..

Ah oui bonne idée! J'attrape mon manteau et la cape de la Dame.

Faut qu'on s'occupe un peu parceque sinon tu vas gonfler avec tous ses fruits sucrés que tu ingurgites !

Euh ... arrêt sur image , je regarde Leyah. Le marié n'est pas supposer te voir avant le moment M ! S'il nous aperçoit , tu te caches derrière moi , je ferais la chauve-souris!

Compris?! discrétion, silence et observation , réactivité et calme! moui?
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Les Fées Tisserandes

Leyah

Instant de réflexion, lorgnant sa cape, puis la fleur, puis se lorgnant elle même, retour sur la cape, puis la fleur puis elle, et bla bla bla dix fois de suite avant de grimacer d'un air pitoyablement gêné.
Je doute que même en faisant la chauve souris , tu puisses me cacher, tu as vu l'ampleur de .. heuuuu ...
Gratouillement de tempe
Cette robe ! Gné pas potib !
Et de se rassoir bêtement sur sa chaise , avant de souffler discrètement
Ce n'est pas une bonne idée .. nan nan madame ..
Puis de partir un instant dans ses pensées avant d'exploser de rire
Non mais tu sais a quoi je viens de penser ? Je l'imagine, avec une botte sur la tete, la chaussette en guise de .. heuuu .. cache .. machin enfin tu sais, et pis le pantalon sur les bras
haussant les épaules
Va savoir pourquoi d'ailleurs ... peut être l'impression que je n'ai pas été la seule a bien heu .. fêter ce dernier jour .. hum ..
Un tantinet gênée encore, se remémorant la quantité phénoménale de Gnole a Pépé sifflée la veille, la rouquine reprit contenance en affichant un large sourire
Mais si tu veux y aller, vas y ein .. j'bouge po .. j'ai des ordres ..
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Aleen

( LE MATIN DU JOUR J )

Elle trempait dans sa baignoire, se prélassant dans l'eau chaude, presque sommeillant elle sursauta lorsqu'elle entendit

Je l'aaaiiiii, c'est boooon !!!

Elle sauta hors de l'eau se ceignit d'un drap couru jusqu'à la chambre

Quoi ? qu'est-ce ? une souris ?

Lui dans le plus simple appareil une clé à la main essayant d'ouvrir la porte de l'armoire !

Elle éclata de rire

Rhoooooooo mon coeur vous m'avez fait une de ces frayeur ! attendez je vais vous sortir votre habit, si vous voulez profiter de l'eau chaude allez vite vous plonger, je vais m'apprêter pendant ce temps.

Fébrilement elle passa sa robe , demanda à Barberine de la coiffer, il était toujours dans le cabinet dévolu à la toilette, elle sourit passa la tête dans la porte entrouverte , il se battait avec les bouton, elle sourit, l'aida, l'embrassa légèrement

Mon coeur je ne voudrais pas vous presser, mais il va être l'heure de se mettre en chemin !
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Lena_

[ Le zour zi ]

Ze fulminais, le zour zi ne l'était n'arrivé et même pas ze n'avais crouvé la robe de Tatie pour ne faire des crous dedans. N'était pas graf', ze n'avais décidé que ze ferai n'autre choz" pour me venzer de mon nouveau tonton. Mais ze n'avais pas n'envie non plus de sortir de mon lit paske moa ze n'étais fatiguée et pis n'avec mon papou malade ze n'avais pas cro le coeur à la fête. Mais 'Nora l'avait crouvé n'a moi une zoulie robe de princesse, n'alours pour çà ze n'allais pouvoir faire n'une exception.

Citation:

Lena Bleizmorgan, faut te lever tout de suite !!!!! N'a ramener une robe pour toi !!!! VIIIIITTTEEE va n'etre en retard.

Z'arriiiiiveeee, z'arriveeeeee !!!!

Ze n'avais mis la zoulie robe de 'Nora, une que la dame Fleur n'avait faite pour elle et que ma couzine n'avait été zentille de me prêter pour le zour zi. Coume çà, nous l'étaient nous deux en bleu. Ce n'était étranze paske moa ze ne mettais zamais que du rouze, mais là, ze me crouvais zoulie. Un bisou à papou avant de partir avec 'Nora , en lui dizant de se dépêsser, que lui n'allait être en retard et pis moa voila partie.

Viens vite 'Nora, nous va être en retard au mariaze de ta mère !

Ze n'avais accrapé son bras pour la tirer plus vite, mais z'oubliais que n'elle n'avait été blessée un p'tit peu n'avant. Quand ze m'en suis rappelée, ze ne m'étais excusée, pis n'alours pour me faire pardonner

Toi n'être vraiment zoulie 'Nora, ta mamou va etre contente, toa n'être une vraie princesse !

Bin voui, c'est çà les petites filles, déza çà parle siffons en partant pour la Cathédrale n'avé les serviteurs derrière pour pas que nous fasse des bêtises.
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Robins

Un bras ballant dépassant du lit, je me réveille, un instinct me le fait poser sur mon front.
Front où une barre de plomb semble avoir élue domicile
Ma gorge veux avaler la mer et ses poissons sans distinction.
Mon crâne résonne de chants et de « Prosit ».

Je dois me reprendre, ou suis-je ?
Habillé encore, dans une chambre d’Auberge c’est certain, vu l’ambiance austère et impersonnelle.
Je m’assoie sur le rebord du lit, la tête baissée, les mains posées dessus, j’essaye de retrouver mes esprits.

Périgueux – Vonafred –Louis – Enterrement – Mariage.

Le voile ce lève enfin de mon cerveau immergeant doucement, hier il semblerait que l’enterrement de la vie de garçon ait été part trop arrosé, combien de verres et de bouteilles pour ne pas dire de fût avons-nous pu descendre ?
Doit bien avoir que l’intendant du château pour le savoir ce matin.
J’essaye la position debout, et trouvant une forme d’équilibre je m’avance vers mes fontes, j’avais bien apporter une tenue, je la sors, cet uniforme date d’une époque révolue, mais il me restait plus grand-chose.
Je le passe, et constate qu’il est trop large, le manque d’entraînement a fait fondre ma musculature, je n’ai pas le choix, rien d’autre n’ira pour le mariage d’un Comte.

Je regarde l’animation de la rue sans trop la voir et me rend compte que le temps passe, et qu’il faut partir pour la cathédrale, donner son épée au garde.
Une génuflexion, un signe de croix et prendre place.

Lily59

[ A la maison ]

Alors que le grand jour était arrivé, la donzelle était sortie du lit de très bonne heure. C'est qu'il fallait se grouiller, pas se louper. Bon en fait, fallait vraiment bien résumer la situation, vu la nuit précédente, Blondie n'avait quasiment pas fermé l'oeil. Elle pensait et repensait à la soirée, la nuit, s'était levée à plusieurs reprises pour nourrir sa princesse, qui ne finissait par d'avoir faim. A croire que les gosses, à c't'âge là, avaient toujours faim.
C'est qu'il fallait droper aux portes de la ville après, faire son petit tour des arrivants et de rentrer, "délicatesse" incarnée en beuglant...

Louiiiiiiiise???
Et de chercher partout après celle qu'elle avait élu nounou, mais qui s'occupait, pour son plus grand bonheur, également de l'intérieur de la maisonnée. A croire que tout le monde dormait dans cette maison. Elle écoute, grand silence. C'est limite si elle n'aurait pas entendu son Lieut' ronfler à l'étage. Soupirant, bouche de travers. Bouille qu'on notera parfaitement adorable pour une blonde qui réfléchit. Haussant la voix...

Looooooouiiiiiiiiiiiiiiise !!!!!!
Déboulant en catastrophe de la cuisine, encore toute décoiffée, la nounou avait limite les yeux encore collés.

Oui Madame ? Que puis-je pour vous?
La blonde ouvre des grands yeux en regardant l'autre.
Bah allooooooooooo c'est aujourd'hui!
Par Aristote, Madame, vous n'êtes pas encore prête! Bougez pas, je vais chercher ce qu'il faut...
Tutut !! Nan nan... pas folle la guêpe, son Monsieur dormait encore. Je vais aller chercher la robe, préparer le reste je vous prie. Ce serait super.

Et de débarquer en trombe dans la chambre...
Chééériiiiiii !!
Déjà elle avait attrapé sa robe et était ressortie de la chambre. Puis, hésitation de la blonde en se disant, qu'il n'avait pas répondu.
Chééériiiiiii !!
Et de lui envoyer sa tenue...
Grouille !

Foncer hors de la chambre se préparer, revenir maintes fois, se reluquer dans le miroir. Tenue ok, coiffure ok, chaussures...
Chaussuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuures??? Panique ne durant qu'une seconde, Flax lui agitant déjà sa paire devant les yeux.
Boudiou, ils étaient fin prêts, dans leurs plus beaux atours. Pas tous les jours qu'on assistait à un mariage comtal, qui plus est, quand une de ses plus grandes amies devient la femme du Comte. Ce couple, qu'elle avait toujours adoré, allait enfin se dire "oui"...
Juste à y penser, Blondie sourit alors qu'elle descendait les escaliers se dirigeant vers la porte. Main tendue vers la poignée...

Madame...? commença Louise dans une voix gênée. Madame, je pense que vous oubliez quelque chose...
Alors que la blonde hausse déjà un sourcil d'un air "bah quoi??", la Louise disparut une minute avant de revenir, Chloé dans les bras, pouponnée, belle à croquer.

Chloé !! Et de prendre sa puce...
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Enora...

[le jour J quelque part au PA]

La dernière des Brocéliande avait eu le droit de sortir de la maison des malades au milieu de la semaine et elle en était plus que ravie. Ne plus avoir ces bâtons autour des jambes et pouvoir courir partout... le rêve. Elle prévoyait déjà la futur chasse à la grenouille, mais pas aujourd’hui.
Aujourd'hui maman mariait Louis... c’était fort important.
A peine levée, elle demanda son petit déjeuner.
Puis monta enfiler la robe que la soeur belle de Amy lui avait fait.
Elle était très jolie. Une fois habillé coiffé etc, un doute la pris

Faut aller réveiller Lena sinon va faire dodo toute la journée et va rater mariage. N'y vas tout de suite.....

Après une bataille acharnée avec la personne qui la gardait pour la nuit, car elle voulait partir comme çà au risque de salir sa belle robe. Elle accepta au bout de quelques minutes de lutte acharnée de partir en carosse jusque la maison de son oncle. Une fois arrivée, elle entra en hurlant :

Lena Bleizmorgan, faut te lever tout de suite !!!!! N'a ramener une robe pour toi !!!! VIIIIITTTEEE va n'etre en retard.
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Saphyra

La Consule de Bretagne avait fait un voyage sans encombre, elle déposa ses affaires dans la taverne où elle avait fait garder une chambre, se fit une toilette de chat et mis sa plus belle robe pour arriver esseulée devant la cathédrale où beaucoup de monde commençait à s'affairer.

Saphyra se sentait mal à l'aise, sa moitié n'avait pas fait le voyage avec elle et c'était la première fois, elle sentait aussi quelques regards inquisiteurs sur sa personne.
Elle aperçut au loin quelques visages qui lui rappelait des souvenirs...se souviendraient-ils d'elle ?

Elle prit une grande inspiration et leva la tête fiérement en s'avançant sur le parvis du grand édifice religieux.

Aanor

[A Sarlat]

- Madame ! Madame ! Madame !

La blonde, les yeux toujours clos, soupire en entendant les pas de sa dame de compagnie se rapprocher.

- Madame !
- Moins fort Eillena, vous allez réveiller Laonie.
- Elle est déjà réveillée.

Elle consent à ouvrir un œil, grand effort pour une marmotte en manque de sommeil.

- Mais pourquoi ce remue-ménage ?
- Nous sommes samedi…
- ..Oui et le samedi est bien l’un des seuls jours où j’aime dormir longuement
- Le 7 Madame…

Moment d’absence pour la blonde, le temps que les quelques neurones qui sont sortis du sommeil fassent la connexion.

- Mais vous ne pouviez pas me le dire avant !
- Mais madame c’est ce que…
- Eillena ! Nous avons perdu assez de temps, je ne peux pas être en retard, la marquise ne me le pardonnerait pas.
- Elle n’est plus…
- Vous avez décidez de me contrarier ou vous allez m’aider à me vêtir ?

Et une blonde levée du mauvais pied, une. Elle n’avait pas l’habitude de traiter ainsi sa dame de compagnie mais il y a des jours comme ça. La jeune fille lui apporta la tenue qu’elle avait choisie. Une robe rouge et or, clin d’œil à son ancien fief. La robe était cintrée sous la poitrine et dissimulait ainsi fort bien les quelques petits kilos qu’elle n’avait pas perdu suite à sa grossesse. Elle brossa ensuite ses cheveux longuement, décidant de les laisser lâchés sur ses épaules et compléta le tout d’un voile tenu sur la tête par un diadème tout simple et au coup par une broche du même type.

- Laonie est-elle prête ?
- Oui elle vous attend.
- La voiture ?
- Elle vous attend aussi.

C’est ainsi qu’elle prit le chemin de Périgueux, avec sa dame de compagne, sa fille vêtue d’une jolie petite robe rouge qui rappelait la tenue de la mère. Le rouge se mariait à merveille avec ses boucles rousses, héritage de son père tout comme… au grand dam de la blonde… son caractère. Un homme en arme suivait les femmes de près à cheval.

Guillaume.

[En dehors du Périgord, la veille au soir]

« Euh... Six… Hum... Sept ? » Le gamin comptait ainsi à haute voix, usant de ses doigts pour s'aider dans sa lourde et difficile tâche. Cela faisait plusieurs jours, maintenant, que le garçon ne cessait de placer ce septième jour tant convoité, à la suite de chacune des journées passées. Cette fois-ci cependant, par fruit d'un hasard et de fait inévitable, son assistant totalement dépité du se résoudre à lui donner raison, en confirmant son calcul. Dans un grand sourire il comprit alors que du sixième jour s'en suivait le septième et qu'il était bien temps se mettre en chemin pour s'inviter de lui-même à la fête.

L'importance de la date lui était venue lors d'un séjour forcé en Périgord. C'est une attaque de brigand mêlée à sa pleine maîtrise de soumission aux ordres lorsque menace de coups de bâton était présente, qui lui valu une perte totale de contenu de bourse et donc, une impossibilité de poursuite de son périlleux voyage. À cette occasion, il avait entendu un homme aussi amusant qu'inquiétant annoncer un mariage. Sans en connaître les principaux acteurs, seul le fait de la cérémonie et de la cathédrale vint convaincre le garçon de s'y présenter. Car les mariages lui étaient quasiment inconnus et il lui fallait corriger ce manque, et les cathédrales formaient à la fois une passion personnelle et un concours d'ego puéril et masculin avec son chambellan.

Une fois l'instant de joie passé, et l'ensemble des mesures disproportionné pour la faire comprendre a tout le monde environnant, tel que des sauts et des cris insoutenables, le mini-moine – qui n'en était même pas un – exerça le peu d'autorité en sa possession pour lancer un ordre clair. « En route ! » Aussitôt, son assistant et son garde se mirent à obéir au commandement en préparant le voyage. Si d'aucuns avaient pu y voir de la mauvaise volonté dans l'action des deux hommes, visiblement lassé et démotivé par toute une série d'ordre qui semblait ridicule, le garçon, lui, était bien trop crédule pour y voir une once d'un centième de début d'un commencement d’éventuel problème. Pour lui, tout se passa pour le mieux, et bientôt il rejoignit la cathédrale du comté.

Si seulement il avait su dans quoi il s'embarquait, pas sûr qu'il s'y serait déplacé...
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Marguerite

[Le jour du mariage]

Fraichement arrivée au Périgord et ayant reprit un peu plus goût à la vie, la jeune femme avait vu l’affiche du mariage de Leyah. Elle avait rencontrée cette grande dame quelques années auparavant lorsqu’elle était en Bretagne et toute petite. Beaucoup d’événements avaient forcée la jeune de Silly à se cacher chez les nonnes et à cette époque désirait de mettre fin à ses jours, mais après avoir parlé à ses frères elle décidait de tout quitter pour une vie meilleure auprès d’eux. C’est avec joie qu’au petit matin Marguerite se préparait dans la maison de Sarlat, pensant au bonheur que la future mariée allait vivre. Sourire aux lèvres elle prit la plus belle robe qu’elle avait et la mit, une belle robe légère dans les teintes de rose, qui faisait ressortir son teint.

C’est avec une certaine crainte qu’elle parti vers la Cathédrale car elle ne connaissait personne, mais bon elle avait le goût de connaitre ces gens et bien sur d’assister à un mariage, mariage d’une dame que Marguerite respectait.

Sur le parvis la jeune de Silly reconnu un visage, celui du capitaine de l’armée du PA qui avait rendu justice lorsqu’elle fût brigandée, la brunette n’osait pas aller le voir par crainte qu’il ne la reconnaisse pas et bien sur pour ne pas déranger.
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Tadek

[Un peu pltôt à la caserne]

Le Capitaine avait appris la nouvelle, le Comte Vonafred
allait se marier, son ami, son frère d'arme et il lui a été demandé
de gérer la sécurité de l'événement afin que ce jour reste inoubliable
de bon souvenir.

Après avoir sonné le rassemblement, le Capitaine prit la parole:

Soldats,

comme vous le savez tous, notre Comte va se marier et bien sûre, nous
avons la charge de la sécurité de l'événement.

Les soldats à l'entrée, vous ne cesserez de dire:

"Ni épées, ni armes, déposez vos armes!"

Je compte sur votre vigilence absolue, en ces période de troubles
dans le royaumes, tout peut arriver.

Les gardes qui patrouilleront, je vous demanderez d'être discret et efficace.

Armure, épée, botte, bref, tout votre équipement doit être IMPECCABLE !

Je ne veux voir AUCUNS gardes à moins de vingt pas du bar ou de tout autres distribution de boisson.

J'espère que tout le monde à bien compris !

Montrez à tout le monde le savoir faire et le professionnalisme du
Périgord-Angoumois !!!

[Le jour J]

Le capitaine était là, parmis les premiers, avec son uniforme d'apparat
et les barettes des médailles accrochées à l'uniforme, il devait gérer la sécurité mais était également invité.

Il avait précisé à ses hommes qu'il s'occuperait de protéger le couple Comtal.

Certains invités commancaient à arriver et tous respectaient le non
port-d'arme imposé.
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William.

arf... déja l'heur de la cérémonie ? mince ! il se dépêche de se préparer s'arrete devant la table de coiffage a Matthéa pour ajuster son haut

bah alors ta pas encore finie ? dépêche ton père nous attend, je t'attend dans le couloir avec ton père.

sort dans le couloir, portant la plus belle tenu qu'il avait.

oui oui me voila ! Matthéa devrais pas tarder je pense... vous savez comment sont les femmes toujour devant leur table de coiffage pendant trois heurs !

Et attend avec Groch les derniers

Sandreen

[Mairie de Sarlat, à l'aube]

Cahier de comptes d'une main, plume dans l'autre, Sandreen faisait l'inventaire des marchandises réceptionnées
1... 2....3....Flocel !!! plus vite ! nom de nom ! regarde moi ça j'ai de l'encre plein les doigts et on avance à rien, je dois encore me preparer et me rendre en la cathédrale !
10... 20

encore 5 viandes dame mairesse

Sandreen ! je t'ai déjà dit !! rrrrr.... 25 ? mais il en manque !

vi demain qu'elle a dit la dame

Rrr... bon j'ai pas le temps de m'occuper de ça ce matin, ça ira, tiens Flo, porte lui ça, elle aura le reste demain....

et le gamin de s'emparer de la bourse pret de s'en aller, ravi d'avoir fini sa besogne.
Attend ho ! j'ai pas fini ! reviens vite et selles mon cheval, d'accord ?

A la moue boudeuse de son aide manutentionnaire, elle ajouta

J'ai préparé un bon repas pour toi

Avec un gateau ?

Evidemment ! mais ne mange pas tout hein !

De la mairie à son logis, il n'y a qu'une rue que la jeune femme dévala à toute allure après avoir boucler les portes à double tours

Tsss misère ! je ne serai jamais prête à temps se dit elle alors que s'engouffrant chez elle, elle courut jusqu'à sa chambre, toilette dans un baquet fumant et parfumé puis démêlage de tignasse à s'arracher les cheveux par poignées dans sa precipitation

Aïe ! mais pourquoi toujours souffrir....
leger sourire, elle savait bien pour qui elle souffrait et continua, enfiler la toilette, serrer la taille plus que de coutume et tenter d'epingler son chignon sans se planter les piques dans le crane.

Dehors le clocher de l'eglise egrenait les heures inexorablement quand le gamin fit irruption et claironna au bas de l'escalier

Dame mairesse, vot chval est sellé

D'en haut, elle lui répondit

Sandreen ! j'ai dit ! ... merci....

descendant les marches avec precaution, pas le moment de se vautrer.

Va te servir, moi j'y vais, laisse la clef où tu sais hein ! je rentrerai tard.

Laçage de bottines et là voila debout grandie de quelques centimetres, prete ? et oui il semblerait qu'elle n'ait rien oublié.
Hop en selle, direction Perigueux et hop demi tour toute en passant les portes de la ville, sauter de la monture, relever la robe et courir de nouveau chez elle

Tu aurais pu me dire que j'oubliais ça ! montrant la besace et repartant sans attendre de réponse du gamin bouche ouverte stoppé en plein élan de mastiquage.

et ferme la bouche quand tu manges !

Marcus54

[dans la résidence de marcus]
Marcus s'était levé de bon matin afin d'arriver à l'heure pour la cérémonie de mariage car la route serait longue jusqu'à Périgueux.

Il appela une servante et lui ordonna de préparer un copieux déjeuner
Marthe descendez vite aux cuisines et préparer moi un copieux repas je dois partir dans la matinée et je ne reviendrais que tard dans la nuit

La servante répondit
Vous ne serez donc pas la pour le repas de midi?

Marcus rétorqua à son tour
Non! Dépêchez vous de me préparer ce repas au lieu de jacasser je suis pressé

La servante obéit en disant
Bien maître puis elle s’éloignât

Marcus alla donc se préparer et choisit ses plus beaux vêtements pour le mariage de son amie il fit un brin de toilette et s'habilla avec les habits précédemment choisit puis une fois terminé il descendit prendre le déjeuner que lui avait préparé la servante
Il s'assit à la table qui était garnie et commença à manger ;entre 2 plats il s'adressa à la servante qui était restée là
Marthe dites à Godefroid de venir vite!

la servante s'exécuta, quelques minutes après, le jeune serviteur apparu marcus lui ordonna de sceller au plus vite son cheval

Godefroid scellez immédiatement mon cheval je dois partir dans l'heure

le serviteur répondit
bien j'y vais de ce pas et le serviteur disparu

Marcus continua de se restaurer puis après un long moment alors qu'il finissait son copieux repas le serviteur réapparu et dit

Votre monture est prête messire

marcus répondit
Bien il est temps de partir
il sorti de table s'essuya la bouche attrapa une cape sortit et monta sur son cheval blanc se tourna en direction du jeune serviteur et lui dit

N'attendez pas mon retour je reviendrais tard dans la nuit puis s'élança sur son destrier à toute allure en direction de Périgueux

[sur le chemin]
La route fût longue jusqu'à Périgueux il croisa quelques marchands ambulant sur de lourdes charrettes tirées difficilement par des chevaux fatigués
Il croisa aussi des lances qui faisaient surement une halte pour se désaltérer
Il passa dans différentes bourgades et arriva enfin dans la ville de Périgueux

[dans Périgueux]
Marcus s'arrêta à l'entrée de la ville et demanda à un des garde ou se situait la cathédrale
Dites moi mon brave ou se trouve la cathédrale ?

Le garde était endormi et sursauta à la question de marcus il mis quelques minutes avant d'indiquer la direction à marcus en répondant ceci
Ce .... hum.... c'est ..... c'est par là messire

marcus répondit
parfait

Il se dirigea vers l'édifice religieux ou devait avoir lieux la cérémonie de mariage il arriva enfin sur le parvis de la cathédrale, il descendit de sa monture attacha son cheval prés d'une auge et monta les marches 4 à 4 de peur d'arriver en retard à la cérémonie puis arrivé devant la porte il la poussa et pénétrant dans l'édifice il constata que la cérémonie n'avait pas encore commencé mais que la foule attendait l'arrivée des futurs mariés. Il poussa un ouf de soulagement et alla s'installer dans un des banc en attendant le début de la cérémonie

Aricie

Bien qu'étant tout aussi en retard que son cousin, elle n'avait aucune excuse. Elle était arrivée de Poitiers la veille et n'avait cherché à voir personne. Cloîtrée dans l'appartement qu'elle avait acquis il y a de ça plusieurs années, elle avait passé la majeure partie de son temps à rédiger de longues lettres à son époux.

C'est dans un ennui à peine dissimulé qu'elle profita de l'agitation pour s'avancer jusqu'à sa place, cette cathédrale ne lui avait jamais parue aussi grande. Elle n'avait regardé personne. Le monde était fait pour parfois être ignoré. Elle s'assit à un petit mètre de Riwan et se pencha légèrement vers lui pour lui glisser quelques mots.

Je suis heureuse de vous voir mon Cousin. Le Comte ne se joindra pas à nous.

Elle ne lui avait pas encore trouvé d'excuse pour cette absence, c'est pourquoi elle préféra ne pas en dire plus à ce sujet.

Le froid s'est abattu sur nous si soudainement. Ne trouvez-vous pas?

Son visage était la seule partie de son corps à ne pas être dissimulé sous les couches des riches tissus qui l'habillaient. Dans un faible sourire, elle maudissait silencieusement le destin qui la forcerait bientôt à l'exil donamartiritar.
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Sandreen

Cérémonie houleuse, interrompue par l'arrivée d'un phenomène et comme toute l'assemblée réunie, le regard de la brunette de Sarlat suivit le comte arme en main vers l'indélicat jusqu'à ne plus voir ce qui se passait au fond de la cathédrale.

Une main sur l'épaule d'Aleen pour se hisser afin d'observer la scene, la tete se penchant d'un coté ou de l'autre, elle maugréait toute seule de sa taille ridicule et souffla à sa voisine

Dis Aleen... mais que se passe t il ?

Petits pas chassés vers la nef pour admirer les tenues de dos et soupirs de la mairesse en regagnant sa place, bien qu'elle assistait là à son premier mariage, elle se doutait qu'il n'etait pas coutume de perturber une noce de la sorte.

Au bout d'un petit moment, le marié revient près de sa dulcinée et ils s'échangèrent des voeux si émouvants que Sandreen regretta pour le coup l'oubli d'un carré de tissu brodé. Ah non hein ! pas de larme !
On attendait plus que les oui respectifs et les alliances, des reniflements seraient du plus mauvais gout.

Alix_du_vivier

[ Tout est drôle, dès l'instant que ça arrive aux autres. ]
de Marcel Achard

La voilà convié à un mariage des plus surprenant. Son ami Von avec la Breizh.
Dans le fiacre aux armoiries de la connétablie, Alix avait prit un raccourcit pour se rendre à l'auberge près de la cathédrale.
Sur les chemins escarpés d’Angoulême à périgueux, elle ne croisa pas âme qui vive, tout au plus quelques corbeaux par ci par là Croassant de bon matin.

Le soleil pointait son nez, la jeune femme profitant du paysage et des premières brumes qui caressaient l'horizon, laissait errer ses pensées les plus intimes, comme à chaque fois qu'elle devait se rendre à des épousailles...Doutes ou certitudes d'avoir raison.... Quoiqu'il en soit c'était éternellement la même question ....

Rapidement l'attelage entra dans la ville, tête qui se tourne accompagnant un geste qui souleva le petit rideau noir de la porte, on y voyait les rues s'éveiller au désir des marchands et Gueux qui chaque jour participait ace singulier renouvellement.

l'ensemble stoppa devant la lourde porte cochère de l'auberge et la petite porte s'ouvrit
sur le conducteur qui tendit la main à la maréchale pour l'aider a en sortir.
Un pas, puis deux, petit saut et la voilà hors du fiacre, consignes données.

--Montez mes bagages je vous prie!

L'officier Royal releva sa capuche sur sa longue chevelure noire, cela lui couvrit une partie du visage, elle ne tenait pas à être reconnu de suite.
Entrant dans la pièce, accusant le voyage, elle se fit accompagner dans sa chambre tout en expliquant à l'épouse de l'aubergiste qu'elle désirait se rendre à l'étuve.

--Faites moi emplir un baquet que je puisse prendre un bain , bien chaud.

Porte refermée sur un acquiescement et la voilà seule dans la pièce.
Petite pause, installée sur le rebord du lit, elle se laissa choir de tout son poids.
Corps inerte et lourd...Les prunelles noires rivées au plafond, elle fit le vide dans sa tête....Un rayon de soleil qui perçait parvint à lui chauffer les joues, paupières qui se ferment et la jeune femme se sentit partir loin, très loin.....

Sursaut d'un frappement lourd à la porte.
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Aelyia

Un carrosse qui a quitté les terres de Bourgogne au grand galop !
Trop de retards successifs rendent la fin du voyage bien précipité mais ni l’un ni l’autre des occupants de l’habitacle n’ont envie de manquer la fête qui se prépare et à laquelle ils doivent participer.
Des arrêts de courte durée dans différentes auberges pour laisser souffler voyageurs et chevaux. Une course contre le temps et un confort bien sommaire.
Lyly regarde les paysages différents qui s’enchaînent avec les lieux parcourus, la main dans celle de l’homme qui partage sa vie.
De temps en temps, sa tête se pose sur l’épaule solide de son compagnon… instant de douceur… bonheur simple que ce voyage fait ensemble dans la complicité et le rire. Sourire aux lèvres, détendue, elle oublie sa fatigue pour savourer à l’avance la joie de revoir sa famille réunie.
Evénement si rare et précieux qu’il se doit d’être apprécié à sa juste valeur.

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Flax

Flax ouvra difficilement les yeux. Quelle nuit ! Il ne l'oublierait jamais s'il pouvait s'en rappeler de la plupart ! Les rayons de soleil, déjà forts pour une jour de janvier, brillaient à travers les vitres de sa maison pour illuminer la chambre, silencieuse. Silencieuse ? Ah oui, en effet, pas de ronflements... il tourna la tête sur le côté pour confirmer ce qu'il avait déduit. En effet, sa petite blonde n'était déjà plus là. Elle était fin excitée pour le mariage, elle serait sans doute déjà levée se préparer, et en effet, manquait sa tenue habituellement accrochée à côté du miroir depuis qu'elle avait eu la bonne idée de la commander. La sienne de tenue ? Accrochée à côté de la sienne normalement. Vi, toujours là... Plus simple que celle de la blonde, mais à le voir on comprenait qu'ils avaient fait une commande en commun !

Il referma les yeux et s'en retourna dans son lit. Il pourrait bien grappiller encore quelques minutes de sommeil, elle viendrait certainement le réveiller in extremis au cas où ça se prolongerait. Mais à peine qu'il essaye de replonger dans le sommeil...

BAM. Chériiiiii ? Une porte qui claque, suivi du "doux" son de sa voix. Elle était de retour ! Se disait qu'il faudrait p'tet qu'elle sache qu'il n'était pas mort, il se força et leva la voix, encore rauque de la nuit. C'qu'il ferait pas pour l'amour...

Quoi ! Me dis pas qu'il est déjà l'heure !

Et de la voir débarquer en trombe dans la chambre, tirer les rideaux et lui jeter sa tenue à la figure. Arf, je prend ça pour un "SI !"... Il rejette la couverture, et s'assied difficilement. Elle fouine dans la chambre, fignolant sa tenue. Il la regarde, encore engourdi, et sourit.

Stresse pas ! On sera à l'heure, quoiqu'il arrive, ils vont pas commencer sans une des demoiselles d'honneur.

Mais n'empêche qu'il se lève quand même, baillant, pour aller se rincer la tête, avant de se préparer à proprement dit. Maintenant qu'il y était, il avait hâte, c'était pas tous les jours qu'on allait voir se marier la noblesse périgourdine ! En plus paraît qu'il y avait une réception qui allait être grandiose... Il ne mangea pas, préférant s'économiser pour l'après-fête. Lily s'agitait toujours et il vint lui prendre la main pour l'embrasser.

Ho ! Du calme ! On va y être... Il rigola doucement Enfile tes bottes et on est parti !

Leyah

[ Pote, pote .. un petit cochon pendu au plafond .. dans les appartements comtaux , toujours ]

Yeux lorgnant les deux tenues, la rouquine hésitait encore et encore, c'est qu'elle avait la main fine pour la couture sa filleule, les deux étaient juste magnifiques et la donzelle avait beaucoup de mal a choisir
Toute à sa réflexion, la rouquine écoutait la fleur, hochait la tête de temps à autre, un index posé sur sa joue, signe que sa caboche fumait franchement.

Fruits confits ? Heu ..
Désignant du menton
La dans le pot là .. devant toi .. et de grâce laisse Cyprien en dehors de çà ..
CyprIEN ma Fleur .. CyprIEN , pas Cyprius m'enfin

Continuant sur sa lancée, la Bleizhmorgan, se saisit alors d'une des deux tenues, le choix était fait.
Large sourire à sa filleule, avant de passer derrière le paravent et de commencer a enfiler chaque étoffe.
Quand l'écu vint a nouveau percuter sa caboche, mi a poil, mi habillée la rouquine passa la tête de l'autre coté du dit paravent
A grignoter ? T'as faim ? Encore ? Tu nous couves pas encore quelque chose toi non ?
Et hop retour derrière sa cachette du moment a batailler avec les divers jupons, avant d'en sortir , sourire large de circonstances.
Un tour sur elle même après avoir déposé la cape qui finirait l'ouvrage sur le coin d'un fauteuil, elle s'arrêta enfin en position fixe fasse a la dame de Savoie
Mhh t'en dis quoi ?

Quelques pas de côté, histoire de mieux se faire valoir, l'étoffe était soyeuse et confortable, bien que l'enserrant un tantinet mais qui n'aurait pas été serrée en de telles conditions !?
Deux pas encore sur le côté pour atterrir sur ce siège qui la mettait face à la coiffeuse, tignasse indomptable dont elle seule avait l'habitude de dresser, quelques coups de peigne et de brosse suffirent à parvenir a un résultat qui lui semblait satisfaisant.
Un nouveau demi tour pour refaire face a la brune et de sourire franchement
Mieux que la tronche en gueule de bois ein ?
Un rire franc mais nerveux sortit de la gorge de la rouquine tandis que sa main filait vers le pot des fruits confits.
Enfournant une pleine poignée, elle jeta un oeil vers l'extérieur .. elle était presque prete, ne manquait que le son des cloches, son Suzerain et .. de trouver sur le Parvis de la Cathédrale son Vicomte
Un long soupir plus tard, tentant de se vider le crâne d'inquiétudes grotesques , la Du Verdier, s'enfonça un brin dans son siège, cherchant a faire preuve de nonchalance
Puis matant la Fleur en coin ..
Tu la sens l'odeur de la catastrophe ?
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Saphyra

Pendant ce temps en Bretagne, Saphyra était très en colére, rien n'allait comme elle le souhaitait ce jour.

Son époux avait pris la décision d'aller au mariage d'une vile personne, qui ne leur avait causé que des ennuis et des tourments, et qui n'avait pas été d'ailleurs conviée à leur banquet de Noël.

Qu'à cela ne tienne cette personne n'était rien pour la bretonne et c'est avec plaisir qu'elle se prépara au mariage d'une grande amie qui avait toujours été à ses côtés.
Alors que les cloches tinteraient en Bretagne, Saphyra avait pris le chemin hors de Bretagne pour se rendre, seule, aux épousailles de ses amis Leyha et Louis.

Elle était fière d'y aller et même si son coeur s'était brisé en mille morceaux, c'est fiérement qu'elle avait fait attelé son meilleur coursier et qu'elle s'aventura sur des terres étrangéres.

Lam

Il avait voyagé partout de ville en ville, de villages en villes, mais là il avait du faire demi-tour.

Un mariage, encore un mariage, Lam adore les mariages, pour plusieurs raisons, il trouve vraiment beaux, et tout ses tableaux de mariages étaient magnifiques. Après des jours de marches forcé, qu'il arriva à la ville du mariage.

Il pris une chambre dans l'auberge en face de la cathédrale, ouvris les fenêtres, mis son tableaux en place et commença à dessiner la cathédrale tout en regardant, un homme était entrain de crier, "l'homme de fonction comme d'habitude, après il va sortir, et va s'énerver sur le premier garde venu qui à un tout petit défaut, j'en suis sur". Il prit un parchemin et commença à écrire après tout il ne devait pas être aux première loges, mais il devait avoir une vue assez dégagé pour pouvoir dessiner les mariés, et il le savait, les places pour les peintres dans les églises était assez limités.

Une fois la lettre finis, il la donna aux garde responsable de la sécurité, il savait que ce dernier allait le donner à l'homme qui s'occuper des places. Puis après trois heures dans l'auberge à dessiner, il prit la décision de descendre sur la place pour continuer.

Groch

Au domaine du lac, de bonne heure le matin du mariage de son ami Louis

Les enfants!!Il est temps de se préparer et arrêter de vous chamailler. Nous allons être en retard comme d'habitude.

Repasse dans la chambre parental, récupère son uniforme des grandes occasions avec ses décorations dans son armoire, embrasse sa compagne en passant qui était assise à sa coiffeuse.

Allez on se remue et je ne veux rien entendre pendant la cérémonie. Je vous connais

Deliriuma

Déjeuner prit, regard rapide vers le clocher de l'église au travers de la fenêtre légèrement embuée. Il était maintenant l'heure de se préparer.

Je monte me changer, vous me rejoignez à l'étage ?

N'attendant pas de réponses, il grimpa les marches et se rendit dans la chambre. Il ôta sa chemise et ses braies qu'il plia précautionneusement avant de les poser sur une chaise près du lit.

Main sur la poignée de l'armoire, il tira la porte vers lui. En tout cas il essaya
Mince, fermée... mais où se trouve la clé ?

Regard circulaire sur chacun des meubles de la chambre, mais rien... Presque nu dans l'encadrement de la porte, il lança au travers de la maison.
Je n'ai pas la clé de l'armoire, c'est vous qui l'avez ??

Continuant à cherchez dans la pièce, faisant le tour du lit à maintes reprises, soulevant jusqu'aux draps au cas où elle aurait décidé de jouer à cache-cache, c'est comme par une révélation divine que son regard se posa près du vase de roses sur la commode. Elle était là, trônant fièrement, de sa courte longueur, de sa mâte brillance, de son bronze étincelant.

Je l'aaaiiiii, c'est boooon !!!

Glissant la clé dans la serrure, il lui fit faire un quart de tour. La porte s'ouvrit, dévoilant son contenu.
Il en sorti sa tenue et commença à s'habiller.
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Edlweisss

[Au castel , la bouche pateuse d'avoir tant papoté mais bien contente que les choses se déroulent pas si mal finallemment]

Celle de gauche ou celle de droite ?

Ah ben tu connais ma préférence …. celle ci c'est plus toi .. l'autre c'est moins .. toi, mais c'est toi qui vois.

Grand sourire angélique , du genre , débrouille toi ma poule moi je prends pas ce genre de décision mais je peux en cramer une si tu insistes vraiment et comme ça on aura plus le choix .

Si on convoquait l'assemblée des donzelles de la Dona pour donner leur avis de dernières minutes?

Hum .. petite pose dans ma réflexion

Ah oui non peut être pas une bonne idée , on risque le retard certain si on fait ça .. on demande à Cyprius? ou tu te décides tout seule ?

Je m'installe dans une liseuse de la pièce , c'était pas le moment de me fatiguer et le temps que la décision arrive j'étais bien mieux là.

Tu n'aurais pas un peu de fruits confit à grignoter ? j'ai comme un petit creux .. Alinoë a toujours des petites douceurs quand on doit patienter.
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Les Fées Tisserandes

Leyah

[ au petit matin, tête dans le citron ? ]

LEYYYYYAAAAAHHHHHH!!!!!!!! DEBOUT LA DEDANS!!!!! c'est l'HEURE HHHHHHHHHHHHH
HOP HOP HOP !!!!!

Gné?Ein?Quoi ?
Éveil d'une rouquine la bouche un brin pâteuse et la tête totalement à côté de ses épaules.
L'heure ? Mais l'heure de quoi bon sang !
Neurone 5689 appelle neurone 5690, Maydey ! Maydey ! Y'a quelqu'un la dedans ???
Le temps de reconnexion ne fut pas très long, sans pouvoir s'extraire de cette couche ou elle avait ronflé une bonne partie de la nuit, de manière radicale, la Bleizhmorgan se traina un brin, s'en extirpa finalement sans trop grand mal , avant de secouer son indomptable tignasse
Tenter de se remettre les esprits en place était sans doute le plus grand challenge de ce matin, encore qu'elle hésitait franchement
Avoir la tête dans les choux face à une certaine appréhension que lui procurait cette journée était peut être la solution après tout ..
Enfin debout, elle toisa la fleur lui balancant un
Chef oui chef !
En pleine poire, elle enfila les quelques frusques nécessaires a la route entre la grotte et le castel

Il n'en fallu pas plus pour être prete a partir ..
La route jusqu'au castel, accompagnée de la Dame de Savoie, ne fut que pipelettage en bonne et due forme sur la journée a venir
Ce bavardage intempestif, uniquement là pour combler le vide que laissait une certaine angoisse et masquer l'inquiétude ne cessa point même lorsque les donzelles furent arrivées.
Enfin dans les appartements comtaux, toilette de rigueur, fit que la rouquine paraissait fraiche comme la rose au petit matin, alors même qu'elle était en mode gueule de bois épouvantable.
L'heure était maintenant à l'assemblage des pièces qui feraient que ce jour, elle porterait une tenue particulière.
Face aux deux exemplaires confectionnés par la Fleur , la rouquine prit une moue interrogative ..
Celle de gauche ou celle de droite ?
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--Stanislas

Quand le dogue de Bordeaux devait faire contre sa volonté, il valait mieux ne pas tenter de l'asticoter ! Son faciès de soudard, son cou épais de vétéran consciencieux, et tout le reste, donnait la mesure de ce curieux intendant épiscopal. Car cette fois, ce n'était plus comme larbin d'un sombre consul, qu'il arrivait, mais bien comme une sorte de légat.
Son gambison souillé, comme toujours, de taches trop brunes pour être récentes, et trop sombres pour être le sang de purs esprits, arborait désormais les armes de celui qui resterait, cela dit, son excellence à lui. Mais il avait bon dos, son excellence, à l'envoyer sans douceur - et quiconque connaissait l'ancien curé de Sarlat savait que quand il avait les boules, fallait pas tenter de le manipuler plus encore - donner en mains un courrier officiel.

Quand le trait boulonnais fit claquer son sabot, à l'endroit où son Monseigneur avait imaginé que le jeune damoiseau diplomate se tiendrait pour les noces, le vieux molosse resta un instant en selle. Il toisa l'endroit. Périgueux... Elle portait bien son nom, cette cité de pouilleux ! et ses bottes ravinées par des années de pluies et de terre sanguine claquèrent enfin sur le pavé. Le pas du dogue se fit sur et son regard fit s'écarter les peigne-culs qui imaginaient avoir le droit de l'arrêter. Il finit devant le parvis, improvisé en bureau de celui qui avait l'estime du prélat, et il frappa du talon sans ménagement.
Un sourire sur son faciès de soldat... Une réminiscence, soudain. Un instant, et le vieux soudard se retrouva, en pensées, sur les galets pourris du Médoc, à "instruire" un chevalier anglois, malheureusement tombé de son cheval... Hé Hé... Cons de bâtard ! Il était rentré au pays dans un linge !

Hola ! L'intendant de Monseigneur d'Angers est ici !

Blanche_

En revenant du mariage d'Aimbaud (elle ne parlait plus du tout de Clémence de l'Epine), Blanche n'avait pas vraiment la tête aux épousailles. L'ennui, c'est que sa suzeraine se mariait, et qu'il est des obligations qu'on ne peut moralement pas refuser. A moins de finir handicapé en deux tours de cuiller à pot. Ah ah.
Son invitation en main, Blanche causait à Astaroth de la pluie et du beau temps, omettant sciemment quelques détails, passant scrupuleusement outre la totalité des événements récents, envisageant pour une fois l'avenir autrement qu'en mentant chroniquement à la simple idée du futur. Nous aurons des enfants, nous vivrons ensemble, nous serons ensemble... Il y avait presque de la joie dans cette façon plate de se confronter à sa destinée et à son devoir ; presque.
Néanmoins, heureuse ou pas, elle avançait vers Leyah, et vers un nouveau mariage.

Youpi.
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Edlweisss

Faudrait p'tet bien que tu heuu .. m'aieudeuh pour enfiler cette robe que t'as fait

Bordel , elle m'a presque vidé ma petite réserve de gnole à pépé . Crévindiou il est plus que temps que je fasse un p'tit tour sur mes terres de Savoie pour refaire le plein. Ya que la gnole à pépé de Savoie qui soit correct pour le gosier , ailleurs elles arrachent la gorge , vous brule l'estomac , vous rends malade. La Gnole à pépé de Pépé savoyard , ça coule comme le miel , vous requinque une femme au bord du gouffre et vous ranimerait un mort.
Je regarde ma Marraine engoncée et toujours un peu paniquée . Vivement demain soir pensais je ..

Ma chère et tendre Marraine que j'aime beaucoup et qui m'a sauvé des eaux tel l'autre morveux dont je ne me souviens jamais du nom mais chuuuttt faut pas le dire à mon confesseur .. bref , va déjà falloir songer à prendre un peu de repos sinon cette jolie robe va finir en vieux chiffon tout moche avant que tu n'avances vers la cor.. euh l'autel de ton bonheur.

Grand sourire et poussage de Leyah vers la couche de la Grotte.

Au matin on remonte au château et on te transforme en princesse .. parceque là tu fais plutôt effet grenouille visqueuse ..

Boudiou !! obligée d'être raisonnable je suis, ça va pas du tout. En plus je parie que Parrain doit être dans le même état.. tssssss les fiancés , c'est un état insupportable. Mais bon depuis le temps , z'allez se marier les deux là , foi de Fleur alpine!

Ni une ni deux , je couche la Marquise qui ne l'était plus mais qui le serais toujours quoiqu'en dise les Grand Ducon. Il y a comme ça des chose immuable et on ne change pas les habitudes prises sans demander son avis aux interressés nanméoh!

Alphonse!!! vous surveillez la ronfleuse . Si elle bouge et disparait je vous réduis en charpie!!

Et de foncer au château pour veiller au Comte et de réaliser l'état du futur marié.

Oh Bordel!!! je vais jamais m'en sortir …

CYPRIUUUUUUUUSSSSSSS!!!!!!! au sicourrrrrsss!!!!

Dans l'attente de l'aide majordomesque , je m'attèle à raisonner le soiffard comtal.

Nan mais parrain , faut aller vous reposer là .. vous avez invité du beau monde demain et vous allez avoir l'air d'un vieux fripé là …

Mais non je serais beau grâce à toi

Grosse fatigue soudain .. comme si un bel habit pouvait enlever un air décrépis ..
Je vous passe la scène du chien amoureux d'un comte à moins que ce ne soit l'inverse … mais enfin les principaux intéressés ronflaient chacun de leur coté .

Finalement c'est moi qui allait avoir l'air décrépite au petit matin …

[Et au petit matin, une Fleur au taquet ]

LEYYYYYAAAAAHHHHHH!!!!!!!! DEBOUT LA DEDANS!!!!! c'est l'HEURE HHHHHHHHHHHHH

HOP HOP HOP !!!!!
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Les Fées Tisserandes

Leyah

[ La grotte ]

Loin de Cyprien et de ses préparatifs qui allaient lui taper sur les nerfs, la rouquine avait choisi comme dernière soirée en tant que veuve brocéliande, d'aller rendre une petite visite a la fleur
Vraaaaaaaaaaam arrivée fracassante, meme pas le temps de lui dire bonsoir que déja
C'est la paniiiiiiiiiiiqueuhhhhhhhhhhhhhhh !
Moi quoi qui t'arrive ?
J'veux plus me marier .. vala ..

Hum, normal non ? 'videmment la fleur avait eu la précieuse idée de sortir la gnole a pépé, ce qui renforcait le coté " totalementpaniquéememequ'elleallaitmourir" de la rouquine.
Trois gorgées avalée plus tard, la rouquine avait rajouté un
J'veux mouriiiiiiiiiiiiiir !
Et la fleur de répondre
Si tu meurs j'épouse parrain !
Houla .. LA phrase a ne pas dire, namého ! Retour en trombe de la rouquine raide amoureuse d'un turbulent Vicomte , on respire et .. ça va mieux, si si .. encore que ..
Elle n'en menait pas large la rouquine, pas faute de ne pas vouloir paniquer mais c'était pire que jamais là ein !
Et de se redresser , pour avoir allure plus ou moins fière, de chasser sa tignasse en arrière et d'ajouter
Moui enfin tout compte fait tu sais ... la mort c'est pas trop ça quand même ein !
Mais oui bien sur ... mode innocente on, je vais bien tout va bien !
T'aurais encore de la gnole a pépé ?

Dix gnoles à pépé plus tard
Ma fleuureuhhhh !
Titubage express d'index , et la meche qui pendouille sur le nez
Faudrait p'tet bien que tu heuu .. m'aieudeuh pour enfiler cette robe que t'as fait
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Vonafred

[Au Castel de Périgueux, dans les caves...]

Le Comte et quelques amis devisaient en gentilshommes, en vers et sonnets comme il se doit...

-Dans sa gueule de fourbe je la lui ai planté mon amitié Hips et sa cervelle a éclaboussé hips hips mon tabard immaculé.
Tu te rennnnnds compte Louis, même mort ce porc hips continuait à déverser sa bile de cocufié...
Un rot sonore vint ponctuer la rime.
-Paix à son âme damnée de gros âne batté Hips...elle est belle mon épitaphe hein hein ?
Et de vider hanaps avant de le fracasser contre un mur
-Louis tu es mon frèreuuuh hips hips hips...hips...Tu es sur hein pour demain ?
Regard vitreux du couronné
-Demain heuuu...se passe quoi demain ?
Eclats de rires bien gras des ptits chanteurs à la croix Teutonne qui se mettent à beugler en choeur.
-Demain tu te marie, demain tu t'enchainneuuuuh.
Demain c'est ta noce, tu iras en carrosse au trépas de Casanova.
Finis les doux minois, les émois et les maitresses,
joie dans tes braies mon Comte, tu épousailles la belle Leyah, elle te tuera si tu défailles.
Oyez Oyez Bonnes gens, soyez en paix, libérez vos moitiés, Louis se marie de mainnnnnnnnnnnnn.

Clap clap clap...

-Heuuu c'est qui Louis ? burp.
Et de se vautrer...dans un tonneau...
-Qui à eteint la lumière ? Hips...On s'en cogne...Buvons Kameraden...
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--Cyprien

[ Préparatifs ]

Par les sanctes braies du couronné ! Diantre ! Quel est donc que ce...

il se retourne Cyprien, d'un coup et beugle

Foutre dieu ! Allez donc voir ailleurs si je m'y trouve bande de cafards

Il s'excite Cyprien, il s'excite. Il est usé, fatigué, et pourtant, c'est son métier, à lui, le seul, le vrai, l'unique majordome porte parole des bonnes manières. L'homme est dans tous ses états, il est toujours dans les appartements comtaux alors qu'il devrait déjà être à la Cathédrale pour vérifier le travail du "héros". Il fait la vérification de la robe, une fois, deux fois, trois fois, quatre fois, dix fois, un faux pli serait une catastrophe. Les chaussures ensuite, il ne faut pas des chaussures qui serrent trop, Madame étant Reyne du pied nu à n'en point douter, il fallait qu'elles soient confortables. Et bien évidemment c'était a Cyprien de choisir pour elle, catastrophe , lui et la mode féminine ça fait deux, alors il râle Cyprien, il râle, il chouine, il bougonne, il n'arrête pas. Le choix des chaussures avait prit un temps assez long, voire long assez . C'en était fini. Le Comte lui avait assez de larbins pour préparer ses affaires, donc Cyprien pouvait maintenant se rendre a la Cathédale, cela lui laisserait le temps de souffler

La Cathédrale en vue, Cyprien arrive tadam ! C'est lui que voila ! Il va pouvoir y aller de son commentaire. C'est que Cyprien est connu pour son bon gout, il n'en doute pas une minute, c'est lui le meilleur, surtout quand il a une mission. Enfin face au Silly, l'homme s'incline en angle droit, dans un grand craquement qui résonne. Cyprien bigre, il faut vraiment que tu arrêtes çà ! Il se redresse avec beaucoup de difficulté. Il est déjà prêt Cyprien, juste avant de partir il a revêtu sa grande tenue, celle qu'il ne sort que pour les grandes occasions, la dernière fois était pour le mariage de son maitre.

Messer le héros, mes hommages

Nouvelle inclinaison mais moins forte celle là, se pencher deux fois de la sorte et c'était blocage du dos assuré et devoir forcer pour se redresser et aussi risquer l'incident diplomatique façon Cyprien, en émettant un bruit qu'il ne pouvait se permettre de laisser entendre en public. Il en avait pris la lecon le bougre, une fois ! Mais pas deux !Il porte son regard alentours Cyprien, regarde , scrute les détails, c'est qu'il est oeil de lynx même si il est vieux.

Madame pourra être rassurée vous assurez pour un héros cela est normal me direz vous, mais tout ceci est .. grandiose ! Magnifique ! Merveilleux ! Audelali ! Quel beau jour vraiment !

Et là ! D'un coup ! D'un seul ! Pour saluer le travail du héraut grâce à qui il n'a plus rien a faire ! Il est heureux Cyprien heureux comme jamais , il a une heure de repos, c'est byzance, alors il ne se sent plus pisser le majordome, plus du tout, il s'incline d'un coup, angle droit comme toujours et CRAAAAAAAAAAAAAAAAAC le dos une bonne fois. Il se retrouve minablement coincé, le nez presque contre les genoux et en bafouille

Humpf .. I need a hero ..

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Henry_de_silly

Grande fête au château dans très peu de temps
Les bels et les beaux nobliaux, noble sang
De tout le royaume on est venus dansant ...

Tournent les vies oh tournent les vies oh tournent et s'en vont tournent les vies oh tournent les violons ...*

A l'occasion des épousailles du Comte du Périgord et de l'Angoumois, un balais incessant d'ouvriers vit le jour, quelque soit leur métier, tous ... ils avaient tous été réquisitionnés.

Les menuisiers construisaient des arcs de triomphe, les horticulteurs avaient sélectionné leur plus beaux plants, les tisserands s'étaient donnés le mot pour que les bannières aux armes du comté flottent aux fenêtres des demeures de la capitale situées autours de la cathédrale, du castel comtal et des entrées principales de la ville.

La cathédrale avait été fleurie, une estrade avait été construite afin de permettre aux hôtes de marques de saluer la population qui allait sans nul doute se déplacer en masse afin de participer aux festivités exceptionnelles offertes sur la cassette personnelle de l'épousée.

Feux de joie, banquets publics, dompteurs d'ours, troubadours et ménestrels affluaient également en nombre. Pour l'occasion, aucun droit de passage, de douane ou de marché n'était perçu et l'on peut le dire, cela faisait vivre la ville.

Mais alors qu'une brigade d'une douzaine d'hommes en armes surveillait les abords de la cathédrale, Henry, homme multifonction ( homme à tout faire ? non on dit technicien de surface maintenant) peaufinait les derniers détails de la cérémonie.

Orgues ... En ordre
Trompettes ... Tout es en place
Choeur ... le premier qui chante faux, va avoir droit au supplice de choc, rester sous les cloches alors qu'elles carillonnent !

Bon à part ça ... tout est en ordre ?
Avez vous pensé à installer des chaires à bras, pour les plus hauts personnages du royaume ?
Les épousés se contenteront d'un prie dieu ...
Oui oui, point d'ostentation lorsqu'il s'agit de piété !

Alors quoi ?
Que manque-t-il ?
Peut on lancer les "hostilités" ?

[* JJ Goldman - Tournent les violons]
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Erwann

Erwann sursauta quand sa cousine donna un coup dans le pied. C'était de l'amour vache Bleizhmorganesque. Il la fusilla du regard mais ne pipa mot. C'était son mariage ! Autant rester digne. Le Comte remit enfin en place le machin qui avait perturbé la cérémonie et elle pu poursuivre. Manquait plus que la bénédiction et l'échange d'alliance et les acceptations bisounourisques. Evidemment, comme toujours dans ce genre de cérémonies y a toujours un imprévu.

ATCHAAAAAAAAAA !

Et v'là ti pas qu'Erwann éternue. Son rhume s'était subitement réveillé. Son corps vengeait le coup de taloche de la rouquine. Vu que l'éternuement était puissant, il ne manquait plus qu'une chose. Il décida donc de se moucher avec toute la discrétion dont il était capable :

Poueeeeeeeeeeeet ! Snooooooooorlf ! Sniiiiiiif !

Evidemment, des regards indignés se portèrent sur lui, mais un Bleizh a l'habitude d’être dévisagé. La beauté naturelle et le charisme étaient inhérents chez eux. Il fallait plus pour décontenancé un Bleizh !
Il s'excusa tout de même gracieusement

S'cusez moi hein ! Un rhume ça ne se commande pas ! Faites comme si j'étais pas là ! Ah oui et cousine, jolies paroles ! Très émouvant ! Ca change de ton discours donatien. Bref... dis oui qu'on puisse aller ripailler avec vous !

C'était ça un Bleizhmorgan. Délicatesse, bonne éducation et le sérieux. Toujours
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Aleen

Dis Aleen... mais que se passe t il ?

Oh ma petite Sandre, ce mariage ne plait pas à tout le monde du sais ! Il y a toujours des personnes qui se mêlent de ce qui ne les regardent pas et se croient investis par Aristote lui même... pauvres fous !

Le calme étant revenu, l'on pouvait entendre l'échange des voeux, Aleen vit une larme perler au coin de l'oeil de son amie, elle lui tendit un mouchoir en souriant. Puis se tourna vers Lily

Tu as le paquet ? on en fait quoi ? Quand ? de quelle manière ?
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Gwenchlan

Amarante l'avait rattrapé avant qu'il arrive auprès de sa fille et preuve que son cerveau ne fonctionnait pas très bien, il avait fallu que Amy parle d'accouchement pour qu'il réagisse vraiment sur ce qui se jouait là. Voilà il était pas dans la mouise, il avait l'impression de ne faire que ça dernièrement des accouchements, à croire qu'elle s'était donné le mot pourtant en réalité le dernier remontait à plusieurs mois en arrière.

Ce qui était clair c'était l'impossibilité de jouer son rôle et encore plus de faire accoucher Lyly ici aux yeux de tous, qui ne se gênerait pas pour regarder, fatalement ça voulait dire après une obligation pour le patriarche Bleizhmorgan de faire un massacre à la sortie de la cathédrale, pas très aristotélicien comme pensée.
Alors Gwen reprit les bonnes vieilles habitudes, il donna ses ordres avec le plus de discrétion possible.

Le premier fut de faire changer rapidement sa fille d'endroit, l'idéal aurait été de la faire sortir mais Gwen craignait que le travail soit trop avancé pour que ça soit possible. Alors il attrapa le monde autour pour faire déplacer sa fille uniquement vers les travées latérales de la cathédrale et le plus au fond, ainsi elle était non seulement caché par les piliers mais aussi par l'ombre qui régnait dans la cathédrale.

Il faisait suivre tout le monde notamment Babette et Amarante. Bouger devenait de plus en plus usant, il s'appuyait d'ailleurs fortement sur la deuxième pour suivre tout le petit monde. Une fois sa fille installée aussi confortablement que possible, sur un lit de capes et de manteaux fait à l'improviste sur le sol de la cathédrale, il se tourna vers Amy.

Il va falloir que tu m'aides je n'ai pas suffisamment d'équilibre, mais faut que je fasse les premières constatations avant de donner les consignes ensuite.

Le patriarche s'accroupissait, se servant d'Amarante pour pas tomber et retroussant les jupons de sa fille pour se rendre compte. Il fut assez surpris, sa crainte était en fait loin de la réalité. Il pouvait quasiment prendre la tête de l'enfant dans sa main. C'est qu'elle ne trainait pas sa fille pour mettre au monde un nouveau Bleizhmorgan, à croire qu'elle était pressé de retourner s'asseoir pour suivre le mariage de sa tante.
Il fit un sourire à sa fille des plus rassurants, alors qu'il demandait aux personnes autour de l'aider à se relever.

Il allait se mettre à coté de sa fille pour lui prendre la main tout en regardant sa tenue pour la suite des évènements. Voyant le père du futur bébé à naitre, Gwen ne put s'empêcher de le mettre à contribution tout en le charriant.

Rahan, tu veux bien délasser la robe de Lyly pour qu'elle puisse mieux respirer et pousser le moment venu ? Cela devrait être dans tes cordes le marin d'eau douce vu l'état dans lequel tu as mis ma fille...

Aucune animosité sur son visage après tout ce qui était fait était fait pas la peine de revenir dessus, il aurait aimé garder près de lui sa petit fille mais elle avait bien grandi, elle était devenu une belle et jolie jeune femme à présent et bientôt une mère... Par conte l'idée de se faire insulter de Grand-Père lui fit vite ravaler son sourire pour se concentrer sur les consignes à donner.

Il se tourna vers les 3 femmes présentes en dehors de Lyly, pour leur dire quand elle devait faire pousser Aelyia, comment placer leur main sur sa fille et sur le bébé et surtout, les consignes pour après sur les risques d’hémorragies et autres. Il espérait ne rien avoir oublié dans ses consignes. Mais de toutes façons, il pouvait pas faire grand chose de plus, alors il serra la main de sa petite blonde la regardant dans les yeux avant de la rassurer...

Tout va bien se passer Pimousse, tu vas voir on va tous bien s'occuper de toi...
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Blanche_

Blanche en retard.
Rien d'anormal.
Blanche accompagnée d'Astaroth...
Notez la différence. Madame panachée, dans son mantel drapée, suçait du haut de son frison le bonheur de sa réussite, à cheval sur son orgueil, et son hongre basané. On ne pouvait pas vraiment dire qu'elle était belle, mais on ne pouvait pas non plus en dire le contraire de cet atour de fête, sorti pour Leyah, sa suzeraine. L'or palpitait sur sa gorge, et les bleu roy, les ocres, et les dorures glissaient sur ses membres comme le sang en ses veines. Il suffisait à un mouvement du cheval, que son assise stable la fasse suivre l'impulsion, et elle se mouvait joyeuse comme lui, unique créature, aux pupilles ébène, et au ramage de joyaux.
Elle était tendue plus qu'à n'importe quel jour. Cela faisait une éternité qu'ils n'étaient pas rentrés en Espagne, et ils avaient tellement enchaîné les réceptions de mariage qu'elle ne trouvait goût à aucune ; celle-ci était trop bretonne pour qu'elle y aille calme et docile. Aussi le pas du cheval était saccadé ; comme à son coeur ; comme à son ventre.

Sire, nous y sommes... fit-elle à son époux en dressant une main gantée, et altière, en direction de l'édifice saint.
Ils y entrèrent. Elle laissa les mains hispaniques border sa taille et s'emparer d'elle ; fussent-ils seuls, que bien sûr...
Ils entrèrent, firent du bruit en s'installant, ce qui fit tourner quelques têtes, mais ma foi... Il n'était pas intelligent de froncer les sourcils à Astaroth, qui gardait l'un des siens sous son tabernacle de cuir...
Voire pas intelligent du tout.
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Aricie

Elle n'avait pas vu son époux durant trois mois, et pourtant elle reconnaissait bien là ses méfaits. De son premier rang, elle se leva précipitamment en abandonnant le cousin qu'elle était heureuse de voir quelques minutes auparavant.

Il va me falloir vous laisser seul quelques instants mon Cousin.

Etant l'incarnation même de la discrétion, elle se mit en marche vers la travée la plus proche, tête haute et regard rivé devant elle. Ces bouffées de chaleur étaient certes pénibles, mais pas autant que l'évènement qu'elles osaient encore annoncer. Par le plus pur des hasards, un pavé lui fit baisser le regard non loin de la sortie de l'édifice. Il se baissa si heureusement qu'il croisa celui d'un être cher à son coeur.

Elle allait se jeter vers elle mais le souvenir de son état la retint. Elle se trouva soudain bien bête. Blanche était superbe au bras de son époux, assurément l'un des hommes les plus convoités de leur époque. Même les tissus verts de la Brocéliande se trouvaient effacés devant ceux qui paraient les formes de la nouvelle Espagnole. Aricie avait passé beaucoup de temps et d'énergie à choisir la plus éblouissante des robes dans l'espoir de se cacher elle-même. Mais Blanche était raffinée, intelligente et perspicace. Elle devinerait son état en un clin d'oeil. La réussite de son amie ne pouvait que lui faire ressentir plus cruellement encore la honte qui s'était abattue sur elle et qui s'attachait déjà à la ronger jusqu'aux os. Face à tous ces sentiments contradictoires, elle ne put que déclarer, d'une voix forte et claire.

Blanca...

Peut-être était ce trop fort. Elle baissa d'un ton pour se débarrasser des regards qui s'étaient tournés vers elle.

Quelle joie...
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Blanche_

Trop fort, ou pas assez.
Blanca, Blanche, ou Gwenn, c'est selon, a tourné un regard radieux et ravi vers Aricie de Brocéliande, épouse Brocéliande, Princesse Brocéliande, qui rappelons-le, est venue à elle en toute simplicité.
On a beau dire, l'éloquence verte est imparable ; inexcusable ; inévitable. Ainsi, amusée, la jeune épousée de Gondomar tourne un chef imperceptiblement plus audacieux que de coutume, et lorgne de toute sa hauteur la comtesse aux petits champignons.

La joie m'emporte, vous resplendissez !
Et, sentant la gêne, s'asbtint de la serrer dans ses bras ; un inconfort quelconque, qu'il fut physique ou psychique, ordonnait à Aricie de ne pas s'étaler en retrouvailles ; et donc, Blanche, pour lui être égale, fit comme si de rien n'était.
Ma chère, votre apparat est de vert inégalé. Même Riwan -est-il ici à propos, le chenapan ?- n'en porte jamais autant !
Il faudra me donner la source d'une audace pareille.

Une petite gêne fit se serrer le ventre de la jeune femme, et en son sein quelque chose lui fit brutalement mal. La rosée, peut être, qui l'avait cueillie à trotter vers ces noces, et l'avait enveloppée de son manteau d'aulnes, ou bien autre chose... C'était peut être autre chose. Elle se sentit chaude.
Et, toute de pâle parée, elle en vint aux présentations.
Mon Seigneur, Marquis de Gondomar, et seigneurs de bien d'autres terres, permettez que je vous présente son Altesse Aricie de Brocéliande, Princesse de Bretagne et Comtesse d'Or...
Mais j'y pense ! changea-t'elle brutalement de sujet. Si vous êtes ici, d'autres Brocéliande le sont, et Coomme j'aimerais à ce que mon doux sire ne les rencontre ! Allons. Et elle se mit à chuchoter. Il faudra organiser un certain repas. Nous laisserons les hommes à la politique et aux alliances de terre, et nous parlerons chiffons.
Posant la main sur la manche lourdement parée d'Aricie, elle s'essaya à une caresse sans effort d'oppression ; l'instinct lui était venu, comme une ride brusque à son front. Si elle avait des questions, ainsi qu'elle l'avait insinué, c'eût plus été pour connaître le temps, et non l'issue ; la durée, plutôt que le supplice.

As-tu mal ? demanda t'elle en ouvrant à peine les lèvres, car souffrant, déjà, en elle-même, d'un fardeau qui, quel qu'il soit, n'autorisait pas au partage. Souffrant, oui... Mais ni trop fort, ni pas assez.
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Cerise

Cerise était plongée dans ses dossiers, il faut dire qu'avec cette Guerre, les Frontières Fermées, la Loy Martiale, toutes ses demandes de Laisser Passer, et ceux qui se permettaient de fouler le sol du Périgord Angoumois, sans rien. Cela donnait bien du travail au Prévôt.

Pourtant la Comtesse avait bien reçu l'invitation pour le Mariage, par deux fois même, une par la future épouse, Leyah, et l'autre par le futur époux, Vonafred. Mais il était fort connu Griotte n'était jamais à l'heure pour les unions. Même à celui de la Reyne Nébissa, elle était arrivée en retard, et avait du s'excuser auprès de son ami Cerberos.

Le fameux jour J était là... Et Cerise bin.... Elle travaillait dur à son bureau quand cela lui revint en mémoire... le Mariage... Elle se leva d'un coup en employant des jolis mots contre elle même. Elle s'en voulait, elle allait encore arriver la dernière elle aurait même pu le parier.

Bref ! Plus de temps à perdre, elle devait vite se rendre chez elle à Lanquais, pour trouver une tenue plus adéquate pour cette Cérémonie.

Une fois à son Domaine elle put sourire en trouvant tout prêt sur le lit, sa délicieuse servante, Sara, elle n'avait point oublié elle, que ferait Cerise sans elle. Griotte ne s'attarda pas et se glissa dans sa tenue, fit mander Sara pour l'aider à relever ses cheveux en chignon pour lui dégager sa frimousse.

Un dernier regard sur son apparence et.. Tout semblait parfait, enfin non il lui manquait une personne à son bras pour l'accompagner, elle n'avait point pu prévenir son ami, son ti brun de la rejoindre directement au Mariage. Comment faire... Pas le temps de passer le prendre, elle était bien trop en retard. Elle lui ferait parvenir un vélin par son garde pour le faire venir. Elle ne savait point s'il viendrait, il lui avait dit oui l'autre soir. Mais Cerise avait du presque batailler, usant de son charme, car elle savait qu'entre lui et Vonafred, cela n'était point ça. Mais bon, au fond elle, elle espérait le voir, et s'il ne venait pas elle lui en voudrait point..

Elle fit dire à son garde d'aller à vive allure, le temps était compté pour arriver avant la fin de la Cérémonie.

Après quelques minutes de voyage, la Comtesse était devant la Cathédrale de Périgueux, elle put voir un peu de monde encore dehors, les portes ouvertes, était ce déjà fini ? Elle espérait que non. Elle donna un bout de parchemin à son Garde pour le faire livrer à son ti Brun, puis elle releva un peu sa robe pour gravir les marches en courant.

Une fois en haut, elle posa sa main sur le haut de sa poitrine, et essaya de reprendre son souffle.... Une chance, la Cathédrale était encore remplie, et elle vit les deux futurs époux devant l'autel près du Père Astorius.

Griotte se remit un peu de ses émotions, la peur d'avoir loupé ce Mariage, ca aurait été l'bouquet. Elle remit en place sa robe et ses mèches qui lui tombaient devant ses yeux. Pas le temps de chercher une connaissance pour se joindre près d'elle, mais elle chercha tout de même le Capitaine Tadek, pour savoir si tout se passait bien niveau sécurité. Mais impossible de le voir, surement par la tite taille de la Comtesse, elle se mit donc dans un des derniers rangs près du couloir central pour avoir un oeil sur l'assemblée.

Le Prévôt sourit en voyant qu'elle n'avait pas loupé le moment plus important du Mariage, elle allait donc pouvoir assister à la fin. Elle tourna la tête vers les portes de la Cathédrale pour regarder si.... S'il viendrait la rejoindre....
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Le silence est le plus grand des mépris - Tout à une FIN.

Vonafred

Concentré à l'extrème le Comte, surtout ne point prester attention à autre chose que le présent moment, dans un instant il sera unis à sa belle.
Le cervelet s'échauffe, mille pensées resurgissent, mariage, engagement, pour l'éternité...Fuir en courant...demeurer et l'aimer.

Citation:

Comte, Le Très Haut vous a confié la destinée de Leyah...L'acceptez vous ainsi ?

Il avait longuement murit sa réponse, prose expressive, philosophiques et céleste.C'est un...
-Oui...Tonitruant qui scella sa déstinée.

Un regard vers l'élue avant de solliciter ses témoins.
Point de frangin en vue ni de cousine à l'horizon...La famille n'est point valeur sure, il saurait s'en souvenir.Ce sera donc le choix du coeur...

A voix basse au Pater...
-Mes témoins sont...Dame Edleweiss Mitara et Messire Tadek de Castille...
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Kahhlan

Enfin un semblant de calme ...
Toujours auprès de Ptit à essayer de comprendre le pourquoi du comment un tel désordre ... y renoncer ..
Keyfeya .. peut être plus tard, elle auraient l'occasion d'échanger .. car plus de doute, elle avait suffisamment observée la dame pour reconnaître cette jeune femme sortie du passé ...
Faire un signe discret à son amie pour lui signifier qu'elle filait pour un peu ...

Vi , elle ne s'était certes pas déplacée pour ne voir rien de la cérémonie, et là le cap devenu statue de pierre, mué ou troublé par l'émotion surement ... moui autant dire ça comme ça .... mon oeil voui !
Purée les Salmo et Salar !! leur foutus caractères !!! de quoi la faire tourner bourrique ... et bien cette fois , outre le fait que toute sentimentale qu'elle soit, les mariages .. oh elle n'en avait pas assisté à beaucoup en fait ... mais bref les mariages , c'était du sérieux pour elle , alors pas question de faire banquette !!
Elle jouait donc discrètement des coudes pour pouvoir enfin se placer de façon à assister à ce précieux échange ...
Vàlà ! elle n'avait presque rien manqué ..
Soupir ému à l' énonciation du "Oui " sans appel.
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Elio

Citation:

Croyez vous que ça ira ?

Elio la regarda sortir de la chambre dans laquelle elle avait passé un nombre indécent de minutes, peut être même d’heures.
Et quand elle lui demanda si sa tenue lui allait sa caboche n’fit qu’un tour, avec tout ce temps cramé à se pomponner évidement que ça allait et puis bien sur qu’ça irait, tout irait même un sac en toile de jute.

Alors que sa jolie bien aimée venait à se poser juste devant lui, ses yeux dessinaient son contour éclairés d’une légère étincelle lubrique il murmura entre ses lèvres :
Dommage que nous soyons déjà en retard…

Et puis voilà, tout ira encore mieux lorsqu’il l’ôtera cette robe même si elle lui faisait une silhouette de rêve les froufrous c’était un peu chiant pour s’en dépêtrer mais ça c’était pour plus tard.

Il prit son cadeau sous le bras en souriant, un beau paquet ficelé la veille en soirée comprenant une corde de dix mètres coupée en deux livrées avec une notice explicative pour le nouage des nœuds coulants. Il ne s’était pas cassé la tête le brun ça faisait trop mal et il n’était nullement adepte de la torture.

La cathédrale de Périgueux approchait, la foule était présente, il y avait énormément de personnes qu’il ne connaissait pas, Margaux était à son bras, il resserra son étreinte en montant les marches et il l’entraina à s’assoir assez rapidement tout près du bénitier de l’entrée.
Il se disait qu’au cas où l’ennui viendrait il inventera bien un jeu avec le présentoir de flotte sur pied.

Pour le moment, d’autres invités mettaient l’ambiance, lui restait dubitatif à entendre les gueulards, il posa son regard en direction de son jouet improvisé puis sur Margaux...

Alix_du_vivier

[ Vivre sans amis, c’est mourir sans témoin. ]
de George Herbert

Oh!! surprise extrême a l'annonce des Témoins...Tadek était appelé.
Alix lâcha donc le bras, la main, tout le capitaine en somme afin qu'il se rende prêt de Louis.
Finalement elle ne regrettait pas qu'il l'ai forcé a rester dans la cathédrale.

Sourire entendu et petit clin d'oeil a Tadek.

--Allez y mon ami, on vous attend je pense.

Discrètement elle lui fit une légère pression sur le dos, pour qu'il se presse un peu d'aller rejoindre Von et sa Belle...
On ne fait pas attendre un si beau couple ...

Qui sait un jour elle aussi on la conduira a l'Autel et le très haut en serait témoin, elle aussi n'aimerai pas attendre......
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Leyah

Dame Leyah, acceptez vous librement de prendre pour époux le Comte Vonafred, ici présent ? Acceptez vous de l'honorer et de le chérir, dans le respect d'Aristote ? Acceptez vous de porter sa descendance et de leur apporter connaissance et foi en l'Eglise aristotélicienne ?

Pote pote, un petit cochon pendu au plafond ..
Sourire fin à certains mots prononcés , réponse du comte, qui fait un brin sursauter .. l'aurait il pas oublié que ca résonne dans une Cathédrale ?
Tirez lui la queue il pondra des oeufs .. - Le cochon ein ! suivez un peu dédiou ! -
Regard prononcé au Comte, sourire s'élargissant, et aux quenottes de s'entrouvrir pour tenter d'émettre un son ..
Combien en voulez vous sans réfléchir et sans mentir ? - les oeufs pas les quenottes! -
Raaahhhh .. restons sur le .. " sans réfléchir et sans mentir " la, réflexion ayant eu lieu bien avant .. et de laisser enfin le son accompagner l'image par un simple
V'Oui !
Bon .. ça ... c'est fait !
Regard à sa moitié et suivant ses paroles, elle se tourna vers Astorius , voix basse aussi
Le mien est le Duc de Graçay ..
Elle se voyait mal demander a Lyly de rappliquer alors qu'elle l'avait vue un peu plus tot dans ce qu'il semblait etre un gros gros gros malaise ..
Vint la demande des anneaux , un regard vers le côté, un sourire a nouveau mais cette fois vers une toute jeune damoiselle, princesse de son Etat et de tendre la main vers elle pour qu'elle approche
Ton Altesse ... ?
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Margaux..

Le regard qu'Elio avait posé sur elle et sur sa robe en disait long sur ses pensées. La pendule jouait en faveur de la sagesse.

Arrivée à la Cathédrale à son bras, Margaux n'avait jamais ressenti une telle fierté. Elle se sentait belle et reconnue, elle existait tout simplement. Elle n'en restait pas moins impressionnée, Elio le savait et l'encouragea en resserrant son étreinte. Des hochements de tête en guise de bonjour, des sourires polis, des visages inconnus, et des toilettes à faire pâlir le plus altier des paons. Elio choisit une place près de l'entrée. Ce fut pour la petite paysanne comme un immense soulagement, comme si Elio lui avait trouvé une cachette, un trou de souris dans lequel elle s'engouffra. Elle essaya de s'intéresser à ce qui se passait beaucoup plus haut dans le saint édifice, mais les regards qu'Elio balayait entre elle et derrière elle, finirent par l'interpeller. Elle se retourna discrétement, cherchant des yeux l'objet de sa curiosité. Aucune présence de jeune damoiselle qui aurait pu justifier un tel intérêt. Margaux connaissait Elio et le savait capable de facéties imprévisibles et l'ironie qu'elle voyait dans ses yeux ne la trompait pas. Elle le regarda, lui sourit et se pencha pour lui murmurer :

Qu'avez vous vu que je n'ai point vu , qu'est-ce qu'il y a ? allez dites moi ...

Margaux s'attendait à tout et riait déja doucement.

Lily59

Dit moi la vérité na mwa, n'a sert à rien de m'y mentir, parce que s'y t'y m'y ment ne le serait et ne sera encore pire. N'être po bête. Tu n'être nain fidèle ? Tu veux plus être ma namoureuse... Ta cru que n'étais mort et t'a refait ta vie pour notre fils... T'ya eu raison.......

Le petit sur ses genoux la dévisageait totalement. Elle sentait la pression qu'exercait la main de Flax sur son épaule alors qu'il regardait attentivement le petit. A quoi elle s'attendait la blonde franchement? A ce que le gamin comprenne? Bah il allait falloir... Une inspiration avant de lui sourire le plus tendrement du monde. Elle savait pertinemment qu'il allait mal le prendre. C'était un Bleizh. Et dans le genre caractériel, bah... y'avait pas vraiment pire. Même si elle, elle s'était habituée avec une étrange facilité à ces caractères bien trempés. Coïncidence? Peut être pas... Le ptit coté breton devait sûrement y être pour quelque chose.
Le coeur qui s'accélère alors qu'elle doit tout simplement dire la vérité à Gael. Pour beaucoup, ça pouvait faire rire. Un tel attachement entre un enfant et une jeune femme... Elle aimait Gael, à sa façon à elle, pas comme lui le voudrait, même si pour le sauver, elle donnerait sa vie...
Les yeux bleus de la blonde se furent tendres alors qu'il attendait sa répose sagement... pour un Bleizh...

Gael... mon beau... petite caresse sur sa joue Tu sais que je t'aime hein. Mais comme tu le vois, j'aime aussi Flax et il m'aime aussi.

Petite pause de circonstance pour que le mini Bleizh commence à digérer la nouvelle avant d'enchainer.

Chaque amour est différent tu sais et...

Une main se pose sur son épaule. Aleen, qui se tenait tout à coté.

Elle releva la tête, tout juste pour entendre les voeux des époux. Un regard à son bien aimé et de lui sourire. Un jour, eux aussi seraient là devant l'autel à se dire oui. Enfin y'aurait pas autant de monde. Juste les amis proches, les plus importants... Entre le "Voui" de Leyah et le "OUI" du Comte, Lily fut émue mais rapidement sortie de ses pensées...

Tu as le paquet ? on en fait quoi ? Quand ? de quelle manière ?

Un regard vers la brune avant de désigner le paquet qu'elle a soigneusement déposé sur le banc. Elle avait pris grand soin de l'emballer avec gout. Un joli noeud l'ornait, de façon à ce qu'un courrier y soit bien maintenu. Pour la personne à qui s'était destiné, il n'y aurait pas grand chose à lire... Juste deux signatures de mains féminines, du nom de ArsèneLupine et LaRenarde.

Bah c'est que j'ai pas encore trouvé comment... mais oui je l'ai...! Suffit juste de le remettre à Leyah

Son attention est désormais portée sur Aleen et c'est à peine si elle sent Gael descendre doucement de ses genoux...
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Edlweisss

-Oui...

Hiii j'ai envie de bondir de mon banc pour l'embrassouiller tellement je suis contente d'avoir entendu ça.
Je retiens mon souffle et :

V'Oui !

Oh bordel!!! ça y esssssssttt!!! on va enfin y arriverrr!!!! depuis le temps qu'ils me font tourner en bourrique avec ce mariage.
Bon je me retiens pour ne pas leur sauter au cou et devant la princesse toute solennelle , je me calme un peu. Mais je bouille en dedans de moi même tout seule en attendant la suite et fin de la cérémonie
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Les Fées Tisserandes

Amarante.

Toujours à côté de Gwen, elle le soutenait du mieux qu'elle pouvait. C'était qu'il pesait son poids de viande cru quand même le patriarche, mine de rien ... Réalisant certainement ses mots, il fit bouger Lyly de place et ils suivirent le mouvement dans une travée latérale où ils seraient plus tranquille pour cet enfant vienne au monde.

Leyah prononçait ses voeux et la cérémonie serait bientôt terminée, libérant tous les invités pour aller au banquet ... Il fallait donc se mettre au travail et au plus vite ... Lyly était maintenant installé sur des capes et mantels et elle tourna son visage pâle quand Gwen lui parla ...

Il va falloir que tu m'aides je n'ai pas suffisamment d'équilibre, mais faut que je fasse les premières constatations avant de donner les consignes ensuite.

Elle hocha la tête et se décala un peu pour qu'il puisse passer. Elle mit une de ses mains sous son bras et l'autre dans son dos, l'aidant ainsi à se baisser pour qu'il se place devant Lyly. Il commença alors à regarder où en était l'avancée du travail et elle le laissa faire sans le gêner dans ses mouvements ...

Il donna ensuite ses consignes et elle l'aida à s'asseoir tout près de fille et ce n'était pas du gâteau pour faire en sorte qu'il n'ait pas trop mal. Elle se baissa elle aussi près de Lyly et lui caressa doucement les cheveux ...

Ca va aller Lyly t'en fait pas ! Regarde on est tous avec toi et Leyah a enfin dit oui à Louis ... Respire ma belle, respire doucement ...

Babette se tenait derrière la future mère pour qu'elle soit à l'aise et elle regarda Key qui s'installa aussi. Toute en place, Lyly pouvait y aller ...
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Créations de bannières ici

Keyfeya

Aelyia

Emardeche

Gwenchlan

Enora...

Hagos

Aricie

Amarante.

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Keyfeya

Ingeburge

Gwenchlan

Valmer

--Rahan88

Aelyia

Leyah

Matalena

[Pendant ce temps, sur les marches... Interlude en Reine de Pique.]

Derrière l'éventail des cartes à jouer, solidement ancrées entre ses doigts, se gaussa une œillade furibonde, brûlante, de ses vastes yeux Onyx. Un funeste claquement de langue accueilli la main du mercenaire, étalée sur la marche comme une pitoyable barrière de papier à son destin, désormais scellé par les voies impénétrables du hasard, et moins impénétrables des mathématiques. Tricher ? Allons bon, de suite, les grands mots. En sus de quoi, lui eussiez-vous posé la question, la malheureuse gueuse aurait bien été en peine de vous citer ses chiffres jusqu'à cent. Alors établir des calculs de probabilités... Jusqu'au mot lui était inconnu. Et c'est l'intention qui compte n'est-ce pas ?
Dans l'immédiat, et ce depuis déjà une bonne heure, son unique objectif se résumait à ce simple mot : gagner. On est joueur où on ne l'est pas, tout un chacun vous signifiera que la pitié ou les sentiments n'ont rien à voir là dedans. Aussi essuya-t-elle la considération proprement haineuse de son ainé de la plus parfaite indifférence quand, abattant son propre jeu sous sa face médusée de balafré, sonna sa cinquième victoire consécutive.

N'allez pas insinuer quoi que ce soit de fâcheux, il faut vous rendre à l'évidence et assumer : vous êtes nul, et je suis excellente.

En toute modestie bien sur.

Et au sourire triomphant qu'elle lui adressa, éclairé de cruelles canines, il pu voir danser les 24 victimes royalistes desquelles il l'avait surclassée au score lors de leurs combats de l'année passée. Un affront qu'elle n'était pas prête de digérer, d'autant plus que le mercenaire ne manquait jamais une occasion de lui rappeler l'infériorité au combat que lui avait valus ses dix jours de convalescence -selon elle- / sa médiocrité aux armes -selon lui-. Ce à quoi, s'ils ne vouaient un si farouche attachement au culte réformé, on aurait pu qualifier l'un ou l'autre de "mauvaise foi".

Une pointe de langue au coin des lèvres, la jeune femme le considéra de la tête au pied avec un sérieux glacé, les sourcils froncés de concentration... Ignorant la moue désabusée, le regard de poussin noir martyrisé, que lui adressa le borgne. Elle contempla une seconde le butin accumulé : quelques malheureuses pièces, un dés pipé, une pipe ébréchée, l'outre de vinasse désormais complètement vide... Sachant que son compagnon n'avait dorénavant plus un sous vaillant en poche, ni quoi que ce soit d'autre, d'ailleurs.
Puis, d'une voix atone que seul contredisaient ses pupilles luisantes d'un amusement sadique, le verdict tomba :

Faites péter la chemise.

Rétrospectivement, cette journée ne serait peut-être pas si faisandée que ça.
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« Ne confondez pas le sombre avec l'obscur. L'obscur accepte l'idée de bonheur; le sombre accepte l'idée de grandeur. »
Victor Hugo

Enora...

Aucune bêtise princesse, juste .. heu .. les anneaux ? Dans ta petite pochette la

Haaaaaa, les belles bagues qu'elle avait eu le droit de garder, parce qu'elle était grande maintenant.
Prends sa petite pochette, sors les 2 belles bagues, enfin y en a une qui est vraiment beaucoup trop grande. C 'est celle de Louis, l'a des gros doigts ...
Et vient se mettre à côté de sa mère et pis attends...
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Amarante.

Les choses se passaient bien et souriait aux grognements que laissait quelques fois échapper son compagnon de la journée ... Lyly souffrait et poussait, mais tout avait l'air de bien se passer et c'était très bien ... Enfin l'enfant parut et laissa échapper un cri qui signifia a tous les présents qu'il était en bonne santé. Elle en fut soulagée et regarda un moment avec tendresse, mais aussi avec tristesse, cet enfant qui lui rappela la douloureuse absence de sa fille ...

Amy dit moi comme il est beau ...

Elle sourit en se tournant vers son amie, les yeux embuer de larme d'émotion ...

Il est magnifique ma belle ! Tu as fait du beau travail ! Et il a une voix charmante ...

Elle rit, amusé parce qu'on n'entendait que lui et que la cérémonie touchait du mariage touchait à sa fin ...

Je crois que j'ai eu mon compte d'émotion aujourd'hui ...

Elle s'approcha de Gwen et se baissa vers lui, posant une main sur son dos ...

Tu veux que je t'aide à te relever ?
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--Babette.

Elle était ravie la Babette, pas elle qui allait mettre au monde ce petit. Agenouillé derrière sa maîtresse, elle la soutenait et l'encourageait comme elle pouvait. C'est qu'il y en avait du monde pour l'aider. Heureusement ce petit évènement n'avait pas arrêté la cérémonie et elle regardait d'un oeil l'avancer des épousailles. La petite princesse était en train de donner les bagues et ce serait terminé.

Les cris de l'enfant se firent entendre, pas trop tôt, mais elle ruminait, parce que personne ne l'avait écouté ! Pas une bonne idée qu'elle avait pourtant dit ! Mais que des têtes de mules dans cette famille ! Des bourrins que j'vous dis ! Enfin bon, elle était contente quand même, tout c'était bien passé !

Babette ... allez prévenir votre maître qu'il est père d'un garçon en pleine forme !

Elle baissa les yeux en hochant la tête puis se dégagea de derrière en faisant attention de bien mettre d'autre cape ou mantel sous la tête de la jeune femme puis elle se leva avec un peu de difficultés, ses jambes étant engourdies. Elle chercha le pirate du regard et quand elle le vit un peu plus loin, s'approcha.

Messire Rahan ?! Votre fils est né. Vous êtes père d'un beau bébé ... Un garçon ! Si vous voulez vous approcher ...

Elle l'invita à venir sa progéniture et félicité la maman.

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Astorius

Volià les deux promis avaient tous deux prononcé le "oui" fatidique… le vrai… celui qui engage…
celà continuait à s'agiter au fond de l'église sans que le prêtre puisses voir de quoi il s'agissait… sauf que tout à coup un nouveau né se mit à brailler…un enfant à baptiser sans doute…
Il reprit la parole, regardant longuement l'assistance…

Chers frères et chères soeurs, devant vous, Leyah et le Comte Vonafred viennent de se promettre fidélité et amour, dans le respect des commandements d'Aristote. Ils vont bientôt se passer la bague au doigt qui scellera de manière définitive leur union devant le Très-Haut. Mais avant ceci, si quelqu'un parmi l'assistance a une quelconque raison d'empêcher cet amour, qu'il parle maintenant ou qu'il se taise à jamais.

Voilà, il avait finalement prononcé LA phrase… mais il doutait que quelqu'un, compte tenu de la vive réaction du Comte tout à l'heure quand le messager avait eu l'outrecuidance de perturber la cérémonie, eusses le courage désormais de s'opposer à ce mariage… mais bon…
il fallait néanmoins laisser passer un certain temps avant de poursuivre…
Profitant de cet instant de répit, il pris des mains d'un enfant de choeur, un petit coussin.
Il avait vu la fille de Leyah s'approcher de sa mère et échanger quelques mots avec elle… puis sortir d'une pochette les deux anneaux…
s'agenouillant devant elle il lui demanda à voix basse…

Bonjour Mademoiselle, je suis le père Astorius et c'est moi qui suis en train de marier ta maman avec le Comte Vonafred…
je vois que c'est à toi que l'on a confié la tâche si importante de garder les anneaux…
Pourrais tu me les confier un instant s'il te plait…

avançant vers elle le coussin…

Pose les sur le coussin, je te prie…
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curé de Périgueux
et picétou

Enora...

Le monsieur qui parlait beaucoup depuis tout à l'heure se mis a genoux devant elle.
Bonjour Mademoiselle, je suis le père Astorius et c'est moi qui suis en train de marier ta maman avec le Comte Vonafred…
je vois que c'est à toi que l'on a confié la tâche si importante de garder les anneaux…
Pourrais tu me les confier un instant s'il te plait…

avançant vers elle le coussin…

Pose les sur le coussin, je te prie…

La brocéliande hésite un instant. Pis pose les anneaux avec un grand sourire sur le coussin et lui dit :

Faut faire attention; si tu perds la bague à maman elle va se facher. Et quand maman l'est fachée.... euh.... tu auras une féssée....ein.... donc attention faut pas les perdre.

Après avoir dit la phrase de recommandation et poser les anneaux, elle se remets à coté de sa mère et attends.
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Keyfeya

Key prit la dague et trancha le cordon entre les deux liens d'un geste vif, il ne restait plus qu'à attendre le moment de la délivrance et de veiller à ce que l'hémorragie ne soir pas trop grande, en attendant elle se leva et confia l'enfant aux soins de sa mère, pour ensuite se reposter entre ses jambes attendant que le placenta se décolle. Elle essuya la lame avec un linge humide et la rendit à Gwen.

Je vous remercie.

La mère et l'enfant se portaient à merveille et au bout d'une dizaine de minutes, elle récupéra le placenta, l'examina rapidement et l'enroula dans un linge puis elle se lava les mains avec soin.

Elle se rendit auprès de la jeune mère et lui sourit.

Félicitations Dame !

Si vous avez besoin de mon aide, n'hésitez pas, je reste à votre entière disposition...prenez du repos et nourrissez vous correctement dans les jours à venir.

Elle lui sourit une nouvelle fois et finit de débarrasser la bassine et les linges, les emportant dehors rapidement, elle en profita pour rentrer rapidement chez elle, faire un brin de toilette et revenir pour l'échange des anneaux, veillant du coin de l’œil sur la jeune mère et son enfant.
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Gwenchlan

Tu es fière de ton petit fils papa ?

La phrase lui fit vraiment tout bizarre. Bien sur, elle n'avait pas utilisé le terme de grand-père, il le lui avait interdit, n'étant pas prêt à ce qu'on l'appelle ainsi. Mais l'utilisation du terme petit-fils impliquait fatalement l'autre terme, en gros, il y couperait malgré toute sa volonté de lutter, il faudra un jour qu'il accepte ce nom, mais surement pas avant d'avoir défoncé plusieurs crânes.

Je suis toujours fière de ma famille, même de la plus récente. Je suis fière de toi ma pimousse même si je me rends compte que je ne t'ai pas vu grandir autant que je l'aurais voulu. Je ne pouvais t'empêcher de grandir pourtant si j'avais eu la possibilité j'aurais gardé ma petite fille à mes cotés.

Puis il se tourna vers Amarante qui lui parlait.

Tu veux que je t'aide à te relever ?

Oui, je veux bien que tu m'aides mais va pas te faire mal, c'est que je pèse mon poids.

Il se garda bien de lui dire que sa tête lui tournait et que sa vision se troublait. Il s'appuierait sur elle pour rentrer. D'ailleurs, il lui murmura à l'oreille.

Tu penses que la cérémonie est finie qu'on puisse rentrer ?
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Astorius

Enora... a écrit:

Faut faire attention; si tu perds la bague à maman elle va se facher. Et quand maman l'est fachée.... euh.... tu auras une féssée....ein.... donc attention faut pas les perdre.

Ne t'inquiètes pas je vais y faire très attention, je n'ai pas du tout envie que ta maman me donne une fessée…

Le curé se relève avec une petite grimace… satanée hanche… pose le coussin où reposent les anneaux sur l'autel et hésite un instant… c'est quoi la phrase magique déjà… ah oui…

Bénis, Seigneur, ces deux magnifiques anneaux, symboles de l'amour de cet homme pour cette femme et de cette dame pour son Comte. Ces cercles représentant leurs sentiments n'ont ni de début ni de fin, comme l'amour qu'ils viennent de se promettre. A leurs doigts, ils seront la marque de cette réciprocité. Fais en sorte qu'ils soient le gage de leur fidélité et qu'ils les protègent des tentations de la créature sans nom, qu'ils soient munis de ta protection céleste et surtout qu'ils soient signe d'une conduite sainte, dans le sillon de tes enseignements.

puis il fait signe à Enora pour qu'elle se rapproche et lui confie les deux anneaux en lui chuchotant à l'oreille…

Donne les à ta maman, elle saura quoi en faire…

Il ne restait plus aux deux mariés qu'à échanger leurs anneaux et il pourrait clore ce mariage…
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curé de Périgueux
et picétou

Tinig

Et ça continuait.
Les coups de savates sur ses petites miches pour le faire avancer.
La frimousse du petit Störtebecker Bleizhmorgan, qui s'écrase sur les parois du trop petit tunnel, afin d'en ouvrir un passage. Tel une foreuse le ferai sous La Manche, quelques siècles plus tard.
Tssss … Les copieurs !!
Humm … Noter plus plus tard : Faudra qu'il pense un jour à déposer un brevet. Y a moyen de se faire quelques coffres de pièces d'or, là.

Tiens … Qué cé qu'cé que ça ?
Une légère pression sur le crâne
Puis des sortes de trucs, qui viennent glisser sur sa petite bouille toute ratatinée, jusqu'à son cou.
Heyyy !! Vous trouvez qu'y a trop d'place pour un ? C'est ça !!
Allééééeuuuux !! Partez ou z'vous mord !!

Les mordres, ses espèces de sortes de truc, il l'aurait bien fait avec plaisir, si seulement il avait eu de la place pour bouger la tête.
S'en sortaient bien ceux là.
Il avait déjà les Monfort qui étaient dans son dos. Il allait pas se laisser faire si y en avait qui arrivaient par devant. Namého !!

Tiens en parlant de ces vilains pas bô d'Monfort. Voilà qu'ils se remettaient à pousser … Et y z'avaient l'air d'avoir appelé du renforts, vu comme ça poussait …
La le frimousse qui s'écrase encore plus.
Le nez qui devient plat comme celui d'un cochon
Une petite joue qui se plisse et remonte tellement, qu'elle pourrait lui servir de deuxième paupière.
On sait jamais ça pourrait servir … Mouais, vous non plus vous êtes pas convaincus de l'utilité de la chose ?

Donnant des petits coups de pieds vers l'arrière pour essayer d'un choper un au passage.
Tinig, le futur maitre du monde et le déjà plus bôôôôôôôôôôôôôô … - oui il a du coffre le petit- ... ôôôôôôôôô bébé du monde avançait lentement et douloureusement, jusqu'à enfin deviner une lueur. Le bout du tunnel.

Et ça tombait bien, car il en avait plus que marre là.
Les plaisanteries les plus courte sont les meilleures … Et celle là avait déjà duré trop longtemps, à son goût, pour espérer avoir une place sur le podium !!

Tout s’enchaîna rapidement
La lueur qui grandit
Les oreilles qui se plissent, comme à se les arracher.
Des rides sur la bouille, façon shar-pei
Mais enfin une petite tête qui fait son apparition

Il a la gueule recouverte de sang et de y sait pas quoi, mais il aime bien ça.
Petit rire sadique intérieur en pensant que c'est pour qu'il se prépare éjà à être couvert u sang es Monfort, quand il ira leur arrasser les pates avec Pépé Guen !!

Mais c'est quoi ce truc qu'on me passe sur la bouille ?
Une autre sorte de truc. Tout mouillé qui le frotte doucement.
Une dernière pression
Et le reste du corps qui se fait éjecter de sa grotte, où il avait passé les neuf premiers mois de son règne

Il regarde d'un geste circulaire l'assemblée, alors qu'on finit de le laver.
Sa vue est trouble, mais il semble qu'il y ai une chiée de fidèles sujets
Ils sont tous venus fêter la naissance de leur futur maitre
Les braves gens
Note pour plus tard : Penser à les en remercier
Mais … Mais … Bordel ce qu'il CAILLE !!!
Non, mais ça va pas, non ??

OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIINNNNN !!! OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIINNNNNNNNNNNNNNN ! … -oui, oui. Il a toujours du coffre- ... OUIIIIIIIINNNN !!

Ce qui en langage bébé signifie : Mais bandes de nains !! Z'allez vite m'allumer la cheminée et chercher des vêtements chauds !!

A peine les ordre criés, et voilà qu'on le recouvrait de linges chauds.
Mais tant pis, ils lui avaient mis la rage, ils allaient l'entendre gueuler.
Déjà rien que la sortie avait été mal préparée.
Si en plus on savait pas accueillir dignement le futur maitre du monde
Note pour plus tard : Penser à les punir.
Faudrait voir à pas déconner non plus.

Alors qu'il continue de pleurer, de nouvelles mains le prennent entre elles et ramènent sa frimousse contre la plus douce des peaux.
Cette douceur. Cette odeur qu'il reconnaîtrait entre des milles des milles des milles
Cette voix qu'il entend depuis des mois
C'est celle de sa môman !!

Alors, il se calme, le bambin
Ses pleurs se transformant rapidement en petits reniflements
On est tout de suite bien dans les bras de sa maman
Le refuge secret de tous les enfants
Là où règne l'amour et la douceur, et où on peut dire tout les chagrins qu'on a sur le cœur

Alors il le dit à sa manière le petit Tinig tout en restant blotti contre sa mère. L'est crô bien là.
Oui ben tu sais ? Ben y z'ont été supers missants, tu sais ?
Pi y avait plein de vilains pas bô d'Monfort, qui z'ont fait rien qu'a m’embêter, hein !!
Pis ze me suis tout casser la tête contre un truc qui voulait pas que ze passe.
Pis fait froid ici.

Ce qui en langage bébé se dit avec des sniff et autres gazouillis
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Vonafred

Brave petite qui s'exécute malgré la tentation de faire siens les précieux annels d'or.
Bénédiction lumineuse de la joncaille d'un Astorius fort en verve,
regard éloquent d'un Comte transfiguré qui à grande hâte de passer le précieux au doigt de sa belle.

Citation:

Donne les à ta maman, elle saura quoi en faire…

A voix basse...
-Ma Mie, il semblerait que ce soit à vous de me passer bague au doigt...
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Ptitmec13

Ptit avait vu filer Kah vers le centre de la cathédrale avec un sourire. Cela faisait tout juste quelques semaines qu'elles avaient sympathisé, s'étant déjà croisées plusieurs fois sur un terrain de soule, mais elle savait déjà que la blonde cuivrée ne raterait aucun moment de la cérémonie. Un mariage c'était important.
La blondine elle par contre ne voyait pas les mariages du même œil et défendait bec et ongle d'ailleurs sa liberté ainsi que son aversion envers ce serment. Aussi resta-t-elle sur le coté préférant observer l'assistance. Des personnes qu'elle avait croisées pour certaines, d'autres qu'elle connaissait bien, d'autres encore pas du tout, cette jeune fille à la robe bleu vue plus tôt sur laquelle ses yeux se posaient inexorablement à chaque allée et venue du regard.
Elle aperçut aussi une personne qui fut sa sœur un temps et qui avait fait un sacré bout de chemin depuis. Sourire au Cap toujours figé.. Et la blondine qui se faufile discrètement jusqu'à Cerise pour lui murmurer à l'oreille afin de ne pas déranger la cérémonie en cours: "Bonjour belle Griotte, cela fait plaisir de te revoir mon amie"
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Lieutenant Chef de Prévosté du Béarn - Triviale Poursuivante de Minerve

Amarante.

Oui, je veux bien que tu m'aides mais va pas te faire mal, c'est que je pèse mon poids.

Ah bin ça, elle l'avait remarqué qu'il pesait son poids de viande cru le Bleizhmorgan Patriarcale, mais qu'à cela ne tienne ... Elle se baissa et passa son bras sous le sien pour le tenir dans le dos et celui de Gwen se retrouvait sur son épaule. Ainsi, elle l'aida à se relever en y allant le plus lentement possible ... Diantre que la terre était basse quand il fallait soulever quelqu'un ...

Une fois relevé, elle lui jeta un coup d'oeil. Il était pâle, presque autant qu'elle ...

Tu penses que la cérémonie est finie qu'on puisse rentrer ?

Je ne sais pas ...

Elle regarda en direction de l'autel et vit Enora qui donnait les anneaux au curé ...

La princesse donne les anneaux, il n'y en a plus très longtemps ... Est-ce que tu veux aller féliciter ta soeur avant de partir ?

Un regard inquiet sur son visage fatigué et las puis elle regarda Lyly qui était en de bonne compagnie. Elle sourit, l'enfant blotti contre elle lui rappelait son propre accouchement et son regard se tourna de nouveau vers Gwen ...

Au fait, je ne t'ai jamais remercié pour mon accouchement ... Tu avais ... Disparu ... Avant que je ne le fasse ...

Elle lui sourit et le regarda avec reconnaissance, puis revint au sujet du départ ...

Alors ? Que veux-tu faire ?
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Créations de bannières ici

Leyah

[ Donne mooaaa ta mainnnn et prends la mieennnnneeeuhhh ]

Ah voui tiens, une claque .. elle en aurait bien besoin d'une la rouquine la, mais son baffeur attitré étant hors Cathédrale, elle attendrait encore avant de se faire remettre les idées en place.
Quééé bordel !!
Un cri derrière, l"arrivée d'un nouveau bleizh, il commencait fort dans la vie lui oui oui parfaitement

-Ma Mie, il semblerait que ce soit à vous de me passer bague au doigt...
Retour sur le comte, on sort de ses pensées et on se recentre !
L anneau pris en main, et de le reluquer, elle allait cepandant éviter de croquer dedans pour faire sa bailli en herbe et de vérifier si ils n'avaient pas été leurrés par la marchandise..
et de planter son regard dans celui du comte, de prendre sa grosse mimine et de batailler environ dix secondes et trois centieme pour passer cette bague , étouffant un juron.
Ayé !
Hum ..
oups ..
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Gwenchlan

Je ne sais pas ...

La princesse donne les anneaux, il n'y en a plus très longtemps ... Est-ce que tu veux aller féliciter ta soeur avant de partir ?

Gwen suivait tant bien que mal la cérémonie à présent, les paroles d'Amarante l'aidant beaucoup à comprendre avec son cerveau embrumé. Il s'était rapproché subtilement d'un pilier pour pouvoir tenir et ne rien montrer de sa condition.

Oui ce serait pas mal en effet de le faire, enfin en même temps, elle sera pas dupe, elle s'est très bien ce que j'en pense de ce mariage et du marié.

Malgré tout, il entraina son baton de vieillesse sur le dernier rang pour s'asseoir en attendant que sa soeur sorte, qu'il la félicite et qu'il puisse rentrer changer ses bandages. D'ailleurs, il fallait qu'il réfléchisse à présent à la manière de la féliciter, bien choisir ses mots...

Au fait, je ne t'ai jamais remercié pour mon accouchement ... Tu avais ... Disparu ... Avant que je ne le fasse ...

Amarante le sortit de ses intenses réflexions.

Ah... euh... oui de rien j'ai juste fait ce que quelqu'un d'autre aurait fait si je n'étais pas là...

Il ne répondit pas à la disparition qui s'en était suivi, il avait reçu juste après de bien tristes nouvelles, pour lesquelles, il s'en voulait encore. Et cela concernait Leyah, si elle venait à apprendre ce qui se tramait dans sa tête jamais plus, elle ne voudrait avoir à faire à lui. Elle le haïrait comme jamais, même plus qu'à leur première rencontre. Alors il se garda bien de parler plus sur le sujet.

Alors ? Que veux-tu faire ?

On va attendre, mais si ça dure trop longtemps, je fais un scandale, j'irais devant l'autel la féliciter pour vite rentrer au chaud, c'est un véritable courant d'air cette cathédrale...

L’espièglerie des Bleizhmorgan venait de reparaitre sur son visage, mais ce n'était que de façade, visant à faire oublier le sujet précédent en occupant l'esprit de son aide. S'il pouvait la faire réagir sur la capacité du patriarche à faire connerie sur connerie, il n'allait pas se gêner...
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Aelyia

Elle avait pris son fils dans ses bras …. Pour la toute première fois !

Elle dévisageait avec une tendre curiosité sa petite bouille, cherchant dans les traits à peine ébauchés des ressemblances.
Il avait les yeux grand ouverts comme si, lui aussi, il cherchait à faire plus ample connaissance.
Elle murmura doucement quelques mots qu ‘elle voulait caresse

Bienvenu toi… Tu sais, j’étais pressé de te voir également.
Même si je n’avais pas prévu que cela se passe ainsi en ce lieu.

L’enfant se calmait peu à peu… elle le serra davantage contre elle pour le réchauffer.

Je crois que tu as fait une arrivée humm moyennement discrète.
Nous allons laissé la cérémonie se terminer. Babette a été cherché ton père… il est temps de rentrer et de te mettre dans le berceau qu’il a fait pour toi.
Je rêve aussi d’un lit et d’un bon feu de cheminée.

Il semblait là comprendre, son petit visage s’apaisait.

Elle le trouvait magnifique… s’extasiait sur ses petits cheveux blonds et bouclés… ses grands yeux… sa bouche à croquer.
Elle était pourtant tres impartiale… si … si !
Ceux des autres arrivaient souvent bouffis, la tête déformée par les tenailles en cuillères , invention récente qui sauvaient bien des vies mais donnait à l’enfant un aspect de lutin un soir de Samain.
Non le sien était parfait ! Un ange…
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Maleus

[Et le valet de carreaux perd sa chemise.]

" J’prefere les dés de toute maniere… "

Balançait-il tout en lachant ses cartes avec un agacement non dissimulé.
Le borgne en etait venu à se demander si la femme de sa vie en fin de compte n’etait pas Dame Poisse. Loin de se douter de quelconque entourloupe, il ruminait contre son manque flagrant de chance et ses jeux aussi moisis que l’entre-jambe d’un nobliot atteint de petite vérole.

Grognement face au sourire victorieux de sa comparse, pour sûr qu’il la ferait payer dans les jours et semaines et venir par des petites piques bien acérées dont il avait le secret.

" La chemise ? Par ce froid ? Pouvez aller vous brosser Mata ! "

Enieme grognement et haussement d’épaules.

" Nous verrons en temps voulu, en d’autres lieux, ce que je vous dois… T’façon ce jeu est ennuyeux au possible… "

Mauvais joueur le cyclope, ce n’etait un secret pour personne, mauvaise foi et grognements etaient liés à sa personne.
Coup de mirette en direction de la porte pour ne plus avoir dans son champ de vision la brunette triomphante, fallait pas pousser non plus.

" Croyez que leur manege est terminé ? On se les pele et je commence à avoir faim… "

Et de lancer un regard de grincheux à la réformée.
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[RP]Cathédrale de Périgueux - Vonafred & Leyah - mariage