Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, 5, ..., 17, 18, 19   >   >>

[RP]Cathédrale de Périgueux - Vonafred & Leyah - mariage

--Arsenelupine
Les portes s'ouvraient sans succès, jusqu'à ce que...

La chambre La Renarde!! On touche au but !
au fait tu sais comment il est l'objet ? t'as pris un sac pour le transporter ?

Touchant sa tempe...
Tout est là la Renarde, j'ai tout en tête!

Bon je te laisse faire Arsènelupine tu prends vite le trésor, moi je fais le guet si tu entends un miaulement c'est que tu dois rappliquer en vitesse !

Acquiesse d'un hochement de caboche avant de disparaitre dans la chambre. Leur veine, elle était vide à cette heure là. En même temps, tant de chambre ici qu'on pouvait dormir dans un lit différent tous les soirs...

Et de tomber sur l'objet en question. L'objet du vice, du meurtre... Le fourrant dans le sac en faisant bien gaffe aux plumes de canard, il serait protégé.

Imitant du mieux qu'elle peut un bruit de coucou pour faire savoir qu'elle a fini... c'était presque trop facile...
Renlie
Renlie terminait de se préparer pour cette journée qui serait sans doute mémorable, vu le degré de folie qui allait régner en la capitale du Périgord Angoumois en ce jour de noces comtales.
Le grain de la mariée et le verbe de l'époux n'y seraient pas étrangers non plus, bien évidemment...

A peine rentré d'une cérémonie d'anoblissement en Champagne, il avait fait halte en ses terres afin d'y prendre quelque repos. Ces dernières semaines avaient été lourdes, et la nouvelle des retrouvailles prochaines avec sa jeune soeur lui avait remis du baume au coeur.

Le château était bien vide, son frère y séjournant peu, le personnel peu nombreux, les longues soirées d'hiver bien mornes. Lui qui avait tant espéré y redonner vie quelques mois plus tôt, ne put que constater la tristesse d'une vie si souvent assombrie par les évènements l'ayant marquée.

Barnabé devait encore pioncer vu l'heure, aussi, comme d'habitude de toute façon, il s'occuperait de lui tout seul. Cérémonie obligeant, il allait enfiler son tabard et ses caducées en cette journée très officielle, il se devait de faire honneur à l'office royal qu'il représentait, surtout en présence de la Reyne. Aussi, une fois la tenue prête, il entrepris de descendre en cuisine afin d'y prendre un casse-croute, nu comme un ver, avant de prendre tranquillement un bon bain chaud.

Et de déambuler dans les couloirs...

_________________
--Larenarde
Le chant du coucou, ça y est l'objet tant convoité était entre leur mains, enfin presque........

un frôlement dans le couloir, Larenarde regarda dans la direction, elle déglutit avec peine, un fantôme ? pas possible nu comme un ver, se gratte la tête, mince il est rentré ! se planque derrière l'armure


Miaouuuuuuuuuuu, psst Arsènelupine grouilles toi il y a quelqu'un si se balade à poil, viens vite voir ! t'auras plus jamais l'occasion de voir le Duc nu !

Je prends le sac et on file en vitesse !
--Arsenelupine
Sortant en trombe de la chambre et de se planquer derrière la Renarde. Mais c'était vrai, le Duc était nu ! Ouh bah on voyait pas ça tous les jours effectivement ! Se hissant sur la pointe des pieds pour voir par au dessus l'épaule de sa comparse, elle zieute le Duc...

Oubah.. il a pas froid hein!! Ah bah si en fait un ti peu...!!

Pouffe discrément.

Mais hé, il fait quoi là?? c'est vers nous qu'il vient??
J'ai l'objet la Renarde, tirons nous avant qu'il rapplique.!!!
--Larenarde
Oubah.. il a pas froid hein!! Ah bah si en fait un ti peu...!!

La pousse un peu pour profiter du spectacle

Pas mal le Duc quand même !

Mais hé, il fait quoi là?? c'est vers nous qu'il vient??
J'ai l'objet la Renarde, tirons nous avant qu'il rapplique.!!!


oui on s'arrache, mais en douceur, on va se planquer dans une pièce et quand il sera passé pfuiiiiiiit on s'en va on va passer par la porte se sera plus simple

Elles s'enfoncent dans une chambre laissant la porte légèrement ouverte, voient passer le maître des lieux dans le plus simple appareil.

A peine celui-ci s'est éloigné que Larenarde suivie de son acolyte prend la poudre d'escampette

---------------------
Alix_du_vivier
[La tendresse est le repos de la passion. ]
de Joseph Joubert

Sortir de l'eau encore chaude était un supplice pour la jeune du Vivier.
Elle se délassait dans un baquet de bois dans lequel on avait pris soin de déplier un fond de bain en molleton qui lui évitait de prendre des échardes dans les pieds.

L'aubergiste avait poussé la délicatesse d'introduire dans l'eau un savoureux mélange
D'écorce d'orange et de romarin, qui donnait un subtil parfum dans toute la pièce.

L'heure approchait, il fallait qu'elle se prépare. A la hâte elle sortit, l'eau ruisselant sur son corps Aux courbes agréables , elle attrapa le drap de lin et s'enroula dedans d'un geste assurément rapide.
La maréchale choisit pour la circonstance une robe rouge sang, qui tranchait avec ses cheveux de jais.
Tout en se préparant elle attacha un petit fourreau avec un lien de cuir autour de sa cuisse...Son poignard ne la quittait jamais.
Les cheveux ramené en haut et tenu par un peigne, elle était prête.
Dernier coup d'oeil, elle se voulait présentable pour son ami. Une cape sur son dos et elle se rendit à la cathédrale.



[Heureux deux amis qui s'aiment assez pour (savoir) se taire ensemble.]

de Charles Péguy

Arrivée sur le parvis elle apperçu la Capitaine Tadek. Salut de rigueur et regard franc.
Elle connaissait le militaire et sa rigueur. La brune savait qu'il se douterait.....
Il n'allait pas la fouiller....Pas d'armes apparentes, passage autorisé.

Une vieille connaissance joliment accompagné, comme de coutumes le Salmo avait fait le déplacement. Obligé pour un frère de faire concession......Gascon dans l'âme, Alix le connaissait depuis son enfance.
Elle s'en approcha tout en restant dans son dos pour lui chuchoter à l'oreille.


Baron, n'avez-vous pas fini de maltraiter ce pauvre bougre?
Je vous croyais avide d'ennemis bien plus dangereux que ces soldats qui ne font que leur travail.


Sourire qui dévoile ses dents blanches, yeux pétillants, des qu'il se retourne pour la regarder.
Depuis toujours elle l'appelait ainsi, cela avait le don d'agacer l'homme, mais d'amuser la maréchale.


Comment allez-vous, Namay?

Beaucoup de monde arrivait, et la venue d'une personne en particulier allait susciter pas mal de remous.....
Alix était prête.

_________________
Astorius
[en l'Eglise Saint Front ]

L'atmosphère était glaciale en ce jour de janvier dans la vieille église de Périgueux mais le pieux Barbu n'en avait cure, tout occupé qu'il était à siroter un vin de messe…
Certaines bigotes auraient pu s'offusquer de ce tableau peu commun… enfin si plus commun que l'on croit, hélas… d'un homme d'église en train de vider les réserves de divin nectar consacré...
Mais il ne s'agissait pas de cela du tout… non non non.
Il ne s'agissait que d'une dégustation… oui je vois dèjà un sourire narquois naitre aux lèvres de certains… mais c'était bien dans un souci du travail bien fait que le Barbu picolait en cette fraiche journée d'hiver… une nouvelle barrique venait d'être mise en perce à la sacristie et il s'agissait de savoir si le vin n'était pas piqué avant de le destiner à être bu lors de la prochaine messe…
Imaginez le prêtre faire une vilaine grimace en évoquant l'amitié aristotélicienne parce qu'il a ingéré du vinaigre… inconcevable !!!!

Bon la vérité impose de dire que les quantités ingérées en ce jour n'avait rien à voir avec une simple dégustation… mais le vin était gouleyant et un verre en appelant un autre… une certaine chaleur entourait désormais l'homme d'église…

Tout à coup des cloches retentirent dans le lointain… pas besoin d'être grand clerc pour reconnaitre celles de la cathédrale…

oh ben dites moi… sont en verve en ce moment à la cathédrale… z'ont à peine fini un mariage qu'ils en commencent un autre !!! l'Evèque ne va pas chomer en ces jours…

Par les cornes de Belzébuth !!!!

Le Barbu se releva d'un bond, renversant au passage sur sa robe de bure, le contenu du verre qu'il était en train de déguster…

Mais c'est aujourd'hui… oui aujourd'hui… que le comte se marie… par Aristote, si j'arrive en retard au mariage, à coup sur je me fait mettre en pièce par la mariée…

Relevant sa robe du bure jusqu'au genoux, il se mit à courir vers la sortie… attrapant au passage ses vêtements sacerdotaux, il sortit comme un fou de l'Eglise, faillit déraper sur une plaque de verglas, se rétabli in extremis et fonça en direction de la cathédrale… heureusement toute proche…
Sandreen
[ N'attends pas que les événements arrivent comme tu le souhaites. Décide de vouloir ce qui arrive... et tu seras heureux.
de Epictète ]

La route fut avalé sans s'en rendre compte, le nez en l'air en traversant les bois avoisinants la capitale Perigourdine, la projetant bien des années en arrière où toute jeune, elle maniait la hache avec desterité dans les landes gasconnes, lui redonnant soudain l'envie de parcourir les routes, au mépris des rodeurs qui sevissaient toujours et dont elle avait fait les frais à plus d'une reprise.
Leger soupir mais déjà les portes de Perigueux se dressaient devant elle, du haut de sa monture, elle appréciait les décors soigneusement installés en l'honneur du mariage;
ha ce Henry ! A la pointe du raffinement, quel beau travail!

Bon c'etait pas le tout de revasser le nez au vent à admirer les parures aux fenetres, il lui fallait trouver une auberge qui n'affichait pas "complet" afin de se rafraichir et se restaurer un peu.

Par bonheur, à quelques pas de la cathédrale, une pension lui offrit contre quelques ecus, une chambre sobre mais propre et une soupe bien chaude, de quoi revigorer la jeune femme transie malgré l'etoffe épaisse d'une longue pelerine qui la dissimulait presque toute entière.

Le bol de soupe avalé, il ne lui resta plus qu'à grimper dans la chambrée pour parfaire sa tenue, ablutions bienfaisantes, le chignon avait tenu le choc du voyage et mise en place de la resille et du voile blanc sur sa chevelure d'ébene. pas de surcot pour la simple demoiselle qu'elle etait mais la lourde pelerine fut troquée contre une plus courte et plus legere ne lui couvrant que les épaules et laissant à la vue de tous le joli travail de la couturière, une jolie robe immaculée, rehaussée d'une ceinture d'un rouge profond.
Un magnifique bracelet à son poignet, unique parure pour la mairesse, elle rangea avec soin les presents dénichés pour le couple bientot unis devant le très haut et se rendit devant le parvis où une foule commençait à arriver de toutes parts.
Sans les connaitre personnellement, elle savait mettre des noms sur des visages celebres, tiens Namay qui bouscule un soldat, scène qui ne la surprit pas plus que ça, tiens un curé encombré de son attirail et qui manque de peu la chute, ah le capitaine Tadek et oui fallait montrer patte blanche.

Elle s'avança vers lui sans crainte, n'ayant jamais porté la moindre arme tant elle etait persuadée qu'elle se blesserait elle meme plutot que l'eventuel agresseur, idée très paradoxale lorsqu'on savait qu'elle avait eu pour habitude journalière de débiter des arbres en stères et de manier le rabot avec precision.

L'interieur de la cathédrale n'avait pas echappé aux mains expertes du heraut, Sandreen après la genuflexion d'usage, admira le talent du maitre de ceremonies en avançant vers l'autel, choisissant un banc près de ce denier, elle profita du calme du lieux pour mediter en attendant l'entrée des futurs mariés.
Tadek
Les invités arrivaient en nombre, Tadek passait parmis eux et les salués
d'un petit geste de la tête.

Il aperçut son amie Alix et il alla l'accueillir comme il se doit par une petite révérence et quelques mots d'accueil d'usage.

Tout d'un coup, un bruit de métal qui s'entrechoque à l'entrée,
ni une, ni deux, Tad' couru à vive allure à l'entrée et aperçu
un homme qui cognait sur un de ces gardes, Tadek dégaina et posa sa lame
sous la gorge du trouble fait.



Capitaine Namaycush,

lachez immédiatement cet homme qui ne fait que son travail,
il ne fait que appliquer les consignes et règles de sécurités qui ont été
instauré par le Comte, votre frère.

J'aurai honte à votre place, venir au mariage de votre frère et troubler
le bon déroulement de la cérémonie et de cette journée qui se doit être
inoubliable pour lui et son épouse.

Maintenant, vous allez déposer vos armes comme tout le monde car vous
ne faite pas partit du service de sécurité et vous allez rejoindre les autres
convives sans faire d'histoire.

C'est le mariage de votre frère, alors un peu de tenu et de respect !

Si toutefois vous vouliez aller pleurer à votre frère de mon comportement,
je vous donnerai la main volontier.


Tadek rengaina son épée mais laissa sa main sur la garde au cas ou ...
_________________
Lily59
Alors qu'ils allaient enfin prendre la route pour le mariage, la blonde fit un bond exemplaire dans sa robe.

Naaaaaaaaan stooop !!

Et de caler la petite dans les bras de Flax. Juste à le regarder, on comprenait bien que même lui ne savait pas ce qui se tramait encore et toujours dans la tête de Blondie. Elle disparut aussi vite que lui permirent ses talons. C'est qu'elle s'était entrainée à déraper avec des talons bien avant le mariage, donc pour l'heure, ça passait tout seul.
La robe relevée pour aller plus vite et d'ouvrir de nouveau la porte en un bruit sourd.


BAM !!

Arf flute... faut que je soigne mon entrée moi... Louiiiiiiiiise???

Madame?

Le précieux Louise!! Le précieux!!

Et de voir sa nounou s'exécuter en revenant avec l'objet de convoitise.
Le Précieux Madame.

Sans même prendre le temps de répondre, elle lui sourit, et fila avec l'objet. Usant de toute la précaution, elle s'en voudrait d'arriver avec un cadeau de mariage abîmé.
Et de rejoindre Flax, immense sourire aux lèvres, alors que ce dernier se demandait encore ce qu'elle pouvait préparer. De sa bouille d'ange, ses boucles blondes quelque peu disciplinées par sa coiffure, elle lui sourit. Ce sourire que lui seul lui faisait décrocher... Et pour seule explication, qui n'en est pas vraiment une, elle lui dit ...

Tu verras en temps et en heure, je t'expliquerais.

A le voir pincer doucement les lèvres, elle se doutait que dire ça à son Lieut' c'était comme demander à un ivrogne de ne pas toucher à un verre. Un supplice sempiternel, auquel il faudrait qu'il tienne, ou pas... Dans ce cas, ce serait à elle de résister à l'assaut de questions.
Alors que la tite famille se mettait en route, elle croisa les doigts...

_________________
Ptitmec13
Une dame à la mise superbe - c'est beau le rouge non? - s'approche de Namay et lui murmure à l'oreille. Quoi d'étonnant? Alors là rien du tout. Au contraire même.. la routine en quelques sortes.

Elle baisse le ton pour murmurer à Kah:
Tu crois qu'il prendrait le temps de nous présenter? tssss.

Un homme s'avance alors. Devant le geste de celui ci elle fait un pas en avant puis comprend qu'il s'agit du chef des gardes. Main droite qui glisse dans son dos au creux de ses reins, la blonde regarde le fou qui s'en prend au Cap, - oui parce que faut être vraiment fou pour s'en prendre au Carmin - , l'azur s'assombrissant légèrement. Bon le Cap il est grand, elle sait qu'il se débrouillera tout seul. Et puis c'est la mariage de son frère et le responsable de la sécurité n'entachera pas cette fête pour une telle idiotie. Mais autant être prête au cas où. Dissimulé par la cape le geste se fait sur.
_________________

Lieutenant Chef de Prévosté du Béarn - Triviale Poursuivante de Minerve
Alix_du_vivier
[La guerre est dans la nature humaine. ]

Geste rapide, Alix se mit sur le coté a quelques pas. Tête qui tourne pour apercevoir finalement une lame brillante sur la gorge du Gascon.
Sang glacé dans les veines de la brune. Peur de la réaction de Namay qui n'était pas
homme a s'en laisser compter.

La maréchale voulait surtout qu'il n'y ai aucune esclandre avant la cérémonie,
finalement elle pensait que des troubles viendraient d'ailleurs, mais c'était sans compter sur le sang bouillonnant des deux hommes.
Le visage dur de Namay ne laissait présager rien de bon. Elle perçu dans son regard un éclair fulgurant éclair dominant, prunelles sombres et rictus au coin des lèvres.

Baron!!! Il ne fait que son boulot..Tout ça finalement c'est à cause de votre frère.....Il aurait du expliquer qu'un Salmo ne pose jamais les armes.

Puis rajouta avec un jolie sourire.

Finalement votre frère est entre bonnes mains non?

D'un geste souple elle posa sa main sur le bras de Tadek, regard vers celui-ci, elle repoussa sa cape en arrière pour avoir les mains plus libres,découvrant ainsi ses épaules et sa gorge, planta ses yeux noires dans ceux du capitaine .


Capitaine, allons!! Etes-vous certain que le Baron rentre dans le cadre de la loi décrétée par Louis?
Si par malheur quelqu'un en voulait au comte, nul doute qu'il serait le premier a se battre, voir mourir pour son frère.


Regard vers des jolies femmes qui n'étaient jamais loin du Gascon, sa garde très très rapprochée en somme.
_________________
Flax
Ouf !

Flax essoufflé par le soudain calage de p'tite eut à peine le temps de la voir filer direction la maison. Tournant la tête, l'éternel curieux, ses yeux filèrent à ses hanches, en dessous même, pendant quelques instants de faiblesse avant qu'il ne se reprit en main. Nan mais ho toi ! dit l'ange perché sur son épaule droite, avant de lui toquer la tête. Irrécupérable ! Le démon assis à son épaule gauche riait, ses yeux suivant ceux de Flax, les jambes ballotant dans le vide. Hé hé... T'en as choisi une belle petite la mon p'tit Flaxou. La version humaine de six bons pieds de haut sourit, ignorant l'ange. Ouais je sais... Puis il la vit presque enfoncer la porte de leur maison, et grimaça, ses deux esprit disparaissant.

Ah bah ça se voit que c'est pas elle qui change les charnières !
Bon, la solide planche en bois était resté maintenue au mur, elle vivrait d'autres jours. Il attendit encore quelques instants, l'écho de quelques cris paniqués lui flottaient jusqu'à l'oreille, mais son attention était portée à Chloé, qui venait de découvrir que sa petite barbichette était des jouets les plus drôles.

Arf Chloé, aieuh ! Il lui prit la main et lui sourit. C'est un jouet à Flax ça, d'accord ? Ouille ! Et vi, elle en avait deux. Il releva la tête pour voir sa blonde revenir, un objet discret dans les mains. Il ouvrit la bouche pour la questionner, mais elle l'intercepta

Tu verras en temps et en heure, je t'expliquerais.

Il pinça les lèvres, titillé. Mais bon, puisqu'elle était déjà sous pression...

Bon, d'accord très bien chérie... Puisque tu ne veux plus rien partager avec ton homme... Il la regarda du coin de l'oeil, souriant. Puis quand il la vit le regarder, tira une tête de trois pieds de long, exagérant la tristesse. Bouh hou, suis mal aimé, toussa toussa...
Deliriuma
Mais bon sang, il va où ce bouton ? En haut ou en bas ? Beh ??? Le bouton est plus gros que le trou non ? Qu'est ce que....
Mon Coeuuuuuur, vous pourriez venir voir s'il vous plait ?
Regard interrogateur vers les boutons de sa chemise, puis lançant par dessus son épaule

Soit je suis aussi bête qu'un barreau d'échelle, soit, il y a plus de boutons que de trous !

Ce n'était pas son mariage et pourtant il était nerveux comme si sa vie en dépendait.
Dans un coin de la porte, vers le couloir, il vit le visage de Barberine qui souriait, comme si elle se moquait. Il serra les jambes, tentant de se camoufler du mieux qu'il put.


Hey ! Barberine, je n'ai pas encore mis mes braies, c'est gênant hein !!

Il s’apprêtait à les enfiler vite fait
Madame est prête ?

Et soudain, elle apparut, plus belle que jamais. Son visage rayonnant éclairait la pièce à lui tout seul. Difficile de la quitter des yeux, de ne pas s'attarder sur le sourire qui ornait son visage. Il perçut à peine les mots qu'elle lui adressait...
Mon coeur je ne voudrais pas vous presser, mais il va être l'heure de se mettre en chemin !

Quelques secondes s'écoulèrent avant qu'il ne réagisse.
Ho... oui, oui. J'ai .... euh.... vous .... se sont ces boutons mon coeur. Vous voulez bien m'aider s'il vous plait ?
_________________
Bahia7
Alors, qu'ils étaient en train de se restaurer autour d'un pique-nique improvisé, faut dire, durant cette route depuis plusieurs jours, ils en avaient fait quelques-uns, et c'était tout un art dès lors maîtrisé, qu'ils entendaient un...

Hey vous deux, on peut dire que vous m’avez fait courir.

Coucou frangin

Tiens Anakin. Le monde était petit, et c'était une joie de le voir après tout ce temps, même si cette promenade en compagnie de sa douce, leur avait fait du bien.

Auriez-vous quelques restes pour un pauvre hère mourant littéralement de faim ?

Et ni une ni deux, il était assis à leur côté, à raconter ses périples.
Ce qui était drôle, c'était de s'apercevoir que dans une grande ville comme celle là, ils s'y rencontraient comme si c'était une petite bourgade, et que le hasard les avaient même amené à rencontrer les mêmes personnes pourtant d'horizons différents.
Bahia sortit donc les quelques miches de pain qui leur restaient, un peu de charcuterie, du fromage, quelques gâteaux secs (très secs même...) et quelques fruits qu'ils avaient cueilli en route
.
_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, 5, ..., 17, 18, 19   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)