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[RP]Cathédrale de Périgueux - Vonafred & Leyah - mariage

Saphyra
Un magnifique attelage tiré par quatre chevaux de Frise firent leur apparition.
La foule commençait à se rassembler pour voir l'arrivée du couple tant attendu.
Saphyra se leva sur la pointe des pieds mais de sa hauteur ne put rien voir du tout, elle ne voulait pas pousser les personnes devant elle qui s'aggluaient tels des abeilles autour de leur reine.
Elle pesta un peu, bretonne elle était , bretonne râleuse elle serait.
Et lorsqu'elle entendit les "ohhh " et les "ahhhh" et les applaudissements qui clapotérent discrétement, elle ronchonna davantage.

Elle se dit que si elle avait su, elle serait venue armurée et armée pour pouvoir se faire une place.
Alinoe_de_chenot
La jeune duchesse devait s'avouer que son voyage en compagnie de Yrvis fut plaisant. Le jeune homme avait toujours le mot pour rire, et c'était un vrai moulin à paroles. Le temps avait été beau et les relais des plus confortables.

Alinoë et Yrvis arrivèrent quelques minutes avant la mariée.
Alinoë du prendre la main d'Yrvis pour descendre, avec sa jambe fragile et sa belle robe, elle ne tenait pas à s'affaler sur le trottoir devant cette foule immense.

Ils entrèrent dans la Cathédrale et les hourras de la foule en délire les avertirent que le carrosse de la mariée arrivait.

Ils se dépêchèrent de s'installer pour voir la mariée entrer.

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Alix_du_vivier
[ Le sourire est le baiser de l'âme. ]
de Michel Bouthot

Main tendue, Tadek avait su remettre les choses en ordres comme un officier
Expérimenté qu'il était.

Profitant d'un instant d'inattention elle se mit sur la pointe des pieds pour lui chuchoter à l'oreille.


Capitaine êtes-vous certaine qu'il n'y aura aucune autre armes ? Peut être qu'elles ne sont pas visibles simplement.

Sourire espiègle et reprit toujours en chuchotant tout prêt de son oreille.

Je veux bien être fouillée, tout dépend qui cherchera l'arme cachée.


Un rire cristallin et clair retentit... Rien de tel pour détendre l'ambiance, la jeune femme riait de bon cœur devant la tête du responsable de la sécurité, puis reprit plus sérieusement.

Je suis bien d'accord avec vous Tadek, mais cela peut aussi avoir un effet dissuasif. Non pas que je doute de votre efficacité, loin de moi cette idée surtout. Mais tant de bretons sont parmi nous......

Regard inquiet envers les gens qui affluait de toute part.

Alix sourit a entendre un homme demander a entrer dans la cathédrale.
Ce barbu qui ressemblait plus a une catastrophe naturelle qu'un prête arriva a se frayer un chemin jusqu'à l'entrée.

Décidément!!!Ce mariage plein de surprises, commençait a amuser la maréchale.

La brune toujours aux cotés de ses deux amis, vit Louis arriver a pied accompagné des trois acolytes aussi laids les uns que les autres.

Puis le carrosse de la fée pas Carabosse arriva.....

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--Reiner
[Ne m'oublie pas encore, d'accord ?]

C'était un homme qui chevauchait, vers Périgueux. Le canasson à la robe brune était lancé au galop et la silhouette penchée sur son col était celle d'une personne finement musclée. Lorsqu'il arriva en vue de la capitale du comté; le cavalier guida sa monture jusqu'à la cathédrale d'une main assurée. Nul doute qu'il connaissait la ville. Il eut le temps de confier son cheval à un palefrenier, de lui filer un écu en lui demandant de faire attention et de relever la capuche sur sa tête.

Il n'y avait pas besoin qu'on le reconnaisse. Même s'il ne risquait rien ici, sa simple présence pouvait lui coûter cher si la mauvaise paire d'yeux tombait sur lui. C'est donc revêtant un long manteau à capuche qu'il avança et se mêla à la foule, peu avant l'arrivée de la mariée. Il était véritablement mal à l'aise. Il se retrouvait parmis des gens qu'il connaissait, d'autres qu'il connaissait moins... Voir pas du tout. Toujours était-il qu'il n'avait aucune envie de parler, et à ce titre aucune envie d'être reconnu.

Mais il se devait d'être là. Il était évidemment désarmé, et se tenait parmis les convives de façon plutôt discrète... Ses yeux sombres et vifs parcouraient les visages.
Il cherchait quelqu'un, dont la présence aurait pu l'intéresser. Mais c'est une autre personne qu'il vit arriver... Leyah. L'homme sous la capuche ne pût s'empêcher d'arquer un sourcil. Ciel, qu'elle était belle ainsi vêtue. Apaisé par la venue de la grande Dame, il ne la quitta plus des yeux. Après tout; il était là pour ça... S'il courrait les risques d'être vu à son mariage, c'était bien pour lui montrer -si besoin était- son éternelle fidélité. Sa fidélité davantage importante à ses yeux que tous les serments du monde. Une fidélité qui n'avait rien à voir avec l'amour; plutôt avec le sentiment de lui devoir énormément.
Flax
Flax finissait par rire des actions de la petite... erf, fallait vraiment pas, ça ne faisait que l'encourager, mais bon, elle était si mignonne sa petite filleule à rire et découvrir l'usage de ses mains, il ne pouvait vraiment pas faire autrement ! Reste à la porter plus bas, mais ses bras gigotent encore vers son visage, le distrayant. Il la regarde, tout sourire, en se dirigeant vers la cathédrale. Et à sa belle compagne de serrer sa main... levant les yeux, il regarde autour de lui.

Déjà à la cathédrale ! Le temps passe vite quand on s'amuse dis donc...

Si tu vois Aleen surtout tu me préviens ! Une ... affaire importante... à régler.

Encore un secret de femme, ça... Il acquiesça en souriant, et commença ç scruter la foule. Mais au fur et à mesure de pénétrer la foule, direction les doubles portes, sa bonne humeur évaporait. La plupart des gens étaient parmi les plus importants, non seulement du Périgord Angoumois mais sans doute des dignitaires de toute la France... et lui commençait à se sentir sérieusement campagnard dans tout ça ! Chloé aussi devait être impressionné, elle s'était tue, arrêtant de gazouiller et ses petites mains s'étaient accrochées à son par-dessus, ses yeux grands ouverts pour observer le brouhaha. Flax lui murmura pour la calmer

Toi aussi ma puce... t'en fais pas, j'suis pareil.

Heureusement qu'il dépassait de la tête la plupart, ça lui permettait une bonne vue, au moins de respirer un peu plus. Il regarda Lily en coin, du haut de son 1m60 elle devait étouffer ! Il la vit lui sourire, et avec un peu d'effort il imita son geste.

Hé, si jamais on se marie, tu me promets qu'on fera un truc plus soft que ça ? En guise de réponse, elle entrelaça ses doigts au siens. Il interpréta comme un "oui", pour se rassurer. Elle devait stresser elle aussi, la connaissant... sans doute un scénario catastrophe featuring Lily en mariée se déroulait dans sa tête. La voyant regarder de nouveau le paquet serré contre elle, il lutta pour retenir sa question quand elle leva les yeux sur lui de nouveau. Il la reconnaîtrait parmi mille ce regard ! Mademoiselle avait une idée de bêtise derrière la tête...

Quoi ! il sourit. Toi t'as encore quelque chose de prévu ! Raconte !
Virginia_
Les enfants, les enfants, les enfants, il n'y avait rien de pire ou de meilleur selon les jours. Pour le coup c'était le pire. Entre l’aînée qui se pouponnait en prenant tout son temps et la cadette qui ne voulait pas sortit comment voulez-vous qu'elle soit prête à temps ? Pas moyen ! Bon d'accord elle était surtout en retard par sa faute mais c'était tellement plus facile de le remettre sur les enfants.

La noiraude se devait d'être présente pour ce moment, elle avait réussi à avoir un moment de répit le temps de faire un arrêt au domaine pour se préparer et juste de quoi faire l'aller-retour jusqu'à Périgueux. De quoi aussi se ressourcer, de se repaître de sa famille et repartir au fond comme beaucoup.

Emma était sortie de sa chambre grâce à une ruse de Matthéa et en portant une tenue adéquate, Matthéa attendait bien tranquillement dans le hall aux côtés de son compagnon, Audrick, pas besoin de s'en faire pour lui, il était toujours ponctuel., William et Groch prêts aussi depuis un moment .. Tout était en bonne voie, ils allaient pouvoir y aller.

La route se fit rapidement en coche pour plus de facilités et la petit troupe arriva sur les lieux un peu avant l'arrivée de la mariée. Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes.

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--Babette.



Ce n'était pas une bonne idée ... Non ce n'était pas une bonne idée, mais personne n'écoutait cette pauvre Babette, pas même le pirate qu'elle avait espéré de son côté, mais visiblement que non puisqu'il était là aussi. Pas très réconfortant tout cela. Elle était proche de la fin quand même ... Mais quelle inconscience !

Ne t'inquiète pas Babette... tout va bien.... Tsss tu tournes à la mère poule toi. C'est pas une maladie je te rappelle.
Je te promets de ne pas danser tout à l'heure.
Et pour le moment je pense me souvenir que dans une église il y a plein de bancs.


Bien heureusement qu'elle savait que ce n'était pas une maladie, mais quand même !! Et elle tournait mère poule si elle voulait d'abord ! Babette secoua la tête dans un soupir d'impuissance. Aelyia était toute excité et si elle avait pu elle aurait couru de partout telle une enfant. Encore heureux, qu'elle n'allait pas danser. Elle regarda le pirate d'un air suppliant du genre qui dit « pas de danse hein »

Bien sûr que si je suis inquiète et je le répète, ce n'est pas une bonne idée d'être venu ...

Une très mauvaise idée, mais elle n'y pouvait rien. Elle les suivait donc de trèèèès près saluant quelques personnes connues de la tête, grimpa le parvis, se signa puis entra dans la cathédrale. Babette s'installa non loin de sa maîtresse, histoire d'avoir un oeil sur elle, ne serait-ce que pour se rassurer elle-même et attendant, emmitouflé dans sa cape, le début de la cérémonie

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Einigriv
[Back up to follow the story]

Gwenaelle où est ma fille ? Demanda la baronne au moment de quitter la demeure.
Votre fille est partie.
Partie ? Mais où donc ???
Avec la princesse.
La princesse qué princesse ???
demanda Eini d'un air éberlué.
La princesse de Brocéliande.

Eini n'eut même pas la force de hurler sur sa domestique elle eut juste le temps de prendre son fils sous le bras et de courir au triple galop pour rattraper les deux demoiselles.

Mais BO**** de Pu**** de Di** !!! ces gosses sont intenables ! Première fois et dernières fois que je fais des gosses avec un Bleizh ! Ah ça ! Elle vont m'entendre les petites princesses !!!

Oui d'accord pour les oreilles de Gael c'était pas forcément le meilleur langage mais Eini n'avait jamais été capable de se contenir, et même avec les enfants elle essayait mais c'était quasiment impossible.
Au bout d'un moment, elle rattrapa les gardes qui entouraient les deux demoiselles qui étaient en pleine conversation, qui avait l'air à leurs yeux des plus intéressantes et stoppant le convoi, elle s'adressa aux gardes d'un air courroucé :


Non mais vous faites quoi ????
Nous accompagnons la princesse et votre fille au mariage de la Marquise évidemment.


Peut être le « évidemment » était il de trop, mais la brune se mit dans une rage folle, encouragée par la douleur lancinante dans sa jambe qu'elle avait malmenée à se dépêcher ainsi.
Ainsi donc je vous épargnerai le langage fleuri de la brune, mais disons qu'elle aurait pu réveiller un Frim dans sa grotte en période hivernal et ceci sur la côte ouest quand celui ci aurait été sur la côte est.


Après quoi elle prit les deux demoiselles entre 6 yeux.

Êtes vous folles toutes les deux de partir ainsi ? Seules ? Je ne veux rien savoir, il est hors de question, même bardées de garde, que vous alliez sans moi. Et je ne veux rien entendre ! Votre mère Princesse en mourrait s'il vous arrivait quoique ce soit.
Bien. Allons maintenant.


Et ainsi la brune et les trois enfants partirent pour l'église. Arrivés à l'église, peu avant le parvis, Eini vit le comte Louis, elle s'approcha alors :

Votre Grandeur, voici la Princesse Enora, qui part peur de louper vos épousailles est parties seule sur la route accompagnée de ma fille. Je la laisse à vos bons soins.

Et souriant à la princesse, elle lâcha sa main pour qu'elle puisse rejoindre celui qui allait devenir son beau père. Elle se retourna alors mais eut un mouvement de recul :

Ah oui et... votre grandeur vous savez : tirer sur la chariote qui transporte les lépreux ça se paye...même quand on tire avec de la poudreuse...

Léger sourire espiègle de la brune avant d'avancer à nouveau. Et puis la suite vous la connaissez : Eini édicta les règles et s'assit, fatiguée sur un banc...
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Edlweisss
Le duc Renlie pris les choses en mains et ni une ni deux nous étions dans le carrosse , assommés de paroles. Je me demandais si j'allais survivre à ce trajet mais Leyah n'étrangla personne et resta presque zen. Un brin agitée mais cela ne changeait pas tant que ça.

Je laissais tout le monde descendre et suivit une fois que Leyah bien escortée par le Duc fut entre les meilleures mains possibles pour la suite. Bien entendu je ne la quittais pas des yeux et restais non loin.
Je replaçais les pans de la jupe de ma robe et me couvrais bien de mon manteau , les temps étaient au frais et j'étais ravie de la tenue de mon Maitre Es Couture. J'avais eu beaucoup de travail les dernières semaines et pas eu le temps de me confectionner quoique ce soit, Val m'avait sauvé et en plus j'adorais ce manteau.

Un oeil sur la toujours fiancée , un autre guettant mon cavalier du jour , qui devait tout de bleu vêtu venir s'assortir à moi . Une pensée pour le dernier mariage où je m'étais rendue, un autre compagnon à mon bras , petit pincement de coeur , soupir et je me reprends, la vie est trop courte pour les regrets. Tant pis pour lui.

C'est qu'il y en avait du monde sur le parvis de la Cathédrale .. allais je réussir à trouver celui que je cherchais alors qu'il était partie prenante de la garde des lieux.

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Les Fées Tisserandes
Lena_
Citation:
Êtes vous folles toutes les deux de partir ainsi ? Seules ? Je ne veux rien savoir, il est hors de question, même bardées de garde, que vous alliez sans moi. Et je ne veux rien entendre ! Votre mère Princesse en mourrait s'il vous arrivait quoique ce soit.
Bien. Allons maintenant.


Gloups, ma mère ne l'était fachée, mais ce n'était normal , elle , elle était touzours touzours n'en colère parce que ze ne faisais touzours touzours des bêtises. Ze n'avais regardé ma cousine et ne lui avait fais signe de pô se n'inquiéter. N'était zentille ma mère même si n'avait pas l'air coume çà !

Toa pas te n'inquiéter ma couzine, mamou va pas crier trop longtemps

Et pis ze ne la vois qui va ne conduire 'Nora près de Tonton Vonatruc. Hé ho mamou tu me piques ma coupine que ze venais de penser, mais ze n'osais pas cro le dire tout fort, n'était dézà n'assez n'en colère coume çà ma mère. Et la voila qui ne revient , et qui donne ses ordres.

Citation:
On ne brûle pas, ni ne troue la robe de tante Leyah, parce qu'oncle Louis ne nous a pas trouvé de fiancé...


Kwaaa ? Coument ça que ze peus pô faire un crou dans la robe ? ça ne fait des zours et des zours que ze la cherche partout la robe de Tatie, ze dois me venzer ce n'est nain portant . Et maintenant que ze n'arrive au but, elle me dit que ze peux pô, c'est cro'pinzuste. Ze ne prenais délicatement le couteau ze n'avais caché pour faire les crous, et ze ne le faisais tomber par terre. Ze n'avais par contre n'oublié que çà ne faisait du bruit du fer que lui tombait par terre. Prise n'en faute, ze n'entrais ma tête dans mes n'épaules et ze regardais ma mère n'avé ma tête des grands zours

C'est pas moi c'est .. Bouing !
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Ventreachoux
[Camp de la Trémouille]

Alors qu'il était en plein préparatif pour rentrer dans sa capitale, le comte venait de voir se poser un volatile sur le pigeonnier de fortune.Il se saisit du vélin, le déroule et son visage s'illumine à la lecture de celui-ci.Ventreachoux s'exclama en riant.

Ainsi cette vieille crapule s'est enfin décidé à se pendre.

Le comte fait appelé son aide de camps et lui ordonnait de lui préparer son étalon afin qu'il puisse se rendre à l'invitation de son vieil ami.Une heure après le comte prit la route du Perigord en prenant soin de faire un détour par son castel yonnais afin d'y revêtir des vêtements appropriés à la cérémonie de mariage.


[Cathédrale de Perigueux]

C'est en début de matinée que Ventreachoux arrivait en capitale perigourdine.Après s'être renseigner auprès d'un passant, il prit la direction de la cathédrale.Il sourit à la vue de son ami qui faisait les cent pas sur le parvis de l'édifice religieux.Il sortit à la hâte de sa selle une corde et la brandit en l'air.

Salut vieille crapule, je t'ai apporté ton cadeau de mariage.

Le comte explosa de rire.Il descendit de cheval et va serrer dans ses bras son vieil ami.

Toutes mes félicitations à toi et à ton épouse et que soit nombreuse ta descendance.
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Deliriuma
C'est ainsi qu'ils franchirent ensemble la porte de leur doux ermitage. Entrelaçant ses doigts dans les siens et prenant la direction de la Cathédrale où il devait déjà y avoir foule.

L'air était doux,et la nature semblait s'aplatir en révérences lorsqu'ils gravirent le petit chemin qui menait à la route.
Leur demeure n'était pas très loin de la capitale, accessible, mais suffisamment éloignée pour qu'ils l'entrevoient comme leur havre de paix, où rien ne pouvait les troubler.

La clarté de la journée projetait sur elle une lumière douce et diffuse qui donnait à son visage un éclat particulier. Qui la rendait encore plus belle qu'elle ne l'était. C'est le regard rivé sur elle qu'il avançait, pas après pas ayant presque l'impression de la mener à l'autel pour sceller par la foi ce qui les unissait de manière si forte et si intense.

Elle portait une longue robe blanche, lignée de rouge. A sa taille, une cordelette dorée enlacée doucement ses hanches. Ses longs cheveux foncés tombaient délicatement sur ses épaules, ils brillaient sous la lumière céleste.

L'ambre de ses yeux reflétait d'une profondeur envoutante le paysage qu'ils parcouraient. Dieu seul sait ce qui a bien pu le retenir de ne pas se perdre dedans. Probablement la Cathédrale qui se dessinait à quelques pas d'eux.

Au fur et à mesure de leur pas, la foule se faisait plus massive. Un mariage Comtal, ça n'arrive pas chaque jour et il n'était pas étonnant d'y voir tant de monde.

Avant que le moindre regard puisse se poser sur eux, Deli stoppa la marche et, une dernière fois, se réajusta. Il voulait faire honneur à son ami Louis et ce n'est pas un faux pli qui aurait gâché cet évènement.

De sa main, il lissa sa chemise et ses braies puis se tourna vers Aleen.

Alors mon coeur, comment suis-je ? Vais-je faire honneur au Comte ?

Ne lui laissant pas le temps de répondre, il enchaina.
Comme vous êtes belle...
Leurs étoffes étaient parfaitement assorties. La couture était de haute qualité, il ne manquerait pas, une fois la cérémonie terminée de féciliter les habiles mains qui s'étaient posées sur ce tissu.


Il prit ses mains dans les siennes et posa sur ses lèvres un long baiser.

Se regardant de bas en haut, il lança un tendre regard dans sa direction.

Dernière ligne droite, allons-y
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Aleen
C'est main dans la main qu'ils franchirent la courte distance entre leur maison et la cathédrale, le froid soleil de l'hiver donnait une clarté particulière à toute chose,

La jeune femme se sentait des ailes, c'était leur première sortie officielle, et pas n'importe qu'elle sortie le mariage de sa chère Leyah et de Louis Vonafred pour qui elle avait un attachement et une fidélité à toute épreuve,

Presque arrivés ils firent une courte pause pour s'arranger un peu puis arrivèrent aux abords de la Cathédrale, se frayant un passage au millieu d'une foule immense reconnaissant les invités à leurs toilettes, et les badauds plus simplement vêtus.

Enfin ils débouchèrent sur le parvis, le Capitaine Tadek bien qu'invité s'occupaient de la sécurité, elle s'avança vers lui tout sourire, lui fit une bise


Bonjour Mon Capitaine dure journée pour vous ! je vous présente mon compagnon Déliriuma.

Elle prit le bras de son compagnon franchirent la porte monumentale,

Mon coeur il me semble voir Sandreen ainsi que Lily et Flax, et...et.. regardez tous les donatiens, mon Dieu comme ils vont être contents les mariés !
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Namaycush
Et tu tapes, tapes, tapes…


Etonnant la différence de résonnance sur un casque périgourdin de deux poings gascons. Depuis quelques temps, Namay se sentait une vrai vocation pour le tambour, aussi, attentif aux sons, son oreille décela que sa destre tapait duBlang !et que sa senestre du Blong !

Mélomane attentif, compositeur en devenir, tout attentionné à ses percussions, il signifia d’un clin d’œil à Pti et Macallan : « Allez-y, j’arrive… ».

Une voix connue, il tourne la tête, sourit… Oh Alix ! ma foi fort bien, comme tu peux le constater, je suis dans mon élément…. Avant de rire sincèrement. Il avait bien connu sa mère. A son enterrement, sa présence avait provoqué quelques remous, surtout de la part du père d’Alix, un quelconque royal dont il ne se souvenait même plus le nom.

Surgissant de nulle part, une lame lui chatouilla le menton, le coupant légèrement. Ainsi battit-il des deux poings sur le casque, ce qui produit un Bling !étonnant, finissant d’assommer le soldat qui tomba raide comme le pal de Vlad. Le fil d’épée s’en alla comme il était venu… Lui se redressa, passa sa paume gauche dans ses cheveux, secoua la tête de gauche à droite, s’ébouriffant, empli d’un calme olympien du coup. Quiconque le connaissait, aurait pu dire qu’à ce moment précis, il devenait dangereux.


C'est ta façon d'aimer...


Emeraudes ambrées et à l’amande, accentuant pattes d’oie de paupières, sa voix se fit sèche, dure, cassante, grave, tandis que sa carcasse se déployait. Carmin n’était pas le plus grand, juste une tête en moins qu’Eikorc, mais tout aussi large par contre.

Par le Cornichon de St Théodule, de quelle catin nous connaissons-nous que tu te permettes de m’appeler par mon prénom ?

Et depuis quand, en Terre féodale de France, la basse noblesse se permet-elle de porter la lame sur la noblesse de Rang ?


Il baisse le regard un instant, le relève plus fermement, toise l’officier…

Ce jour est jour de fête…aussi vais-je faire un présent à mon frangin. Je ne vais pas souiller l’entrée de sa cérémonie par ton éviscération. C’est verdâtre, gluant, puant, les tripes d’un soldat de province. Dégueulasse quoi !

Par contre, s’il veut de toi, tu pourras lui servir de témoin, de frangin et de parrain !


Déjà, dos tourné, il n’entend plus rien, ne veut plus rien entendre en fait, siffle la monture qui ne s’appelle pas… ordonne ensuite …

Détachement blond, A Moi ! Retour !

Il ne sait qu’une chose, une seule, obtus comme il peut le devenir… que sa prochaine venue en Périgord sera en armée et croisera celle du capitaine Tadek…
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Groch
Beaucoup de monde sur le parvis de la cathédrale, des têtes connues ou inconnues allaient et venaient.

Salue de la tête, des bises ou encore des poignées de main vient ralentir son avancé vers l'entrée.
Un salut militaire à son capitaine qui eut une petite altercation avec celui qui se faisait appeler le frère de Louis.... mais personne ne sait de quoi.... juste un crève la faim certainement.

Emboite le pas avec Vinou à son bras, suivi de Matthéa et William et pour finir avec les jumeaux. Les consignes avaient été énoncés pendant le temps de trajet et il fallait en retenir qu'une seule.... Formation serrée. La fratrie Lignareix avait accueilli en son sein un nouveau membre et ils commençaient à être beaucoup
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