[Rp] Sur la lice, venez assister au Tournoi !

Esmy courait entre les tentes, bien consciente qu'une fois de plus elle était en retard... Il lui fallait trouver celle aux couleurs du baron de Trébeurden...

Plus d'une fois, elle s'entrava dans les cordes tendues de toute part, se rattraper avant de s'affaler et continuer de courir... Enfin, elle aperçut le lieu visé...

De chaque côté de l'entrée, trônait deux tonneaux et elle se mit à rire, pensant que c'était d'une importance primordiale, elle s'accouda sur l'un deux, attendant la sortie du preux chevalier, ne voulant pas le déranger pendant son repos et son habillage.
La concentration était de mise pour jouter et si elle entrait, son verbiage le saoulerait de trop.

Elle se posta donc là, regardant le va et vient incessant des jouteurs et de leurs compagnie, et ça faisait du monde.
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Le champion de Maewenn Montana de Guérande s'installa au abord du campement. Il avait recruté un jeune manant pour l'aider dans la tâche et pour l'aider à revêtir son armure en tant voulu. Il monta sa tente, qui ressemblait davantage à un tas de tissus difforme qu'à une tente et qui provoqua au passage le rire d'un passant. Il donna à boire à ses bêtes et pansa son cheval, Ernest. Il partagea un morceau de viande et du pain avec le jeune paysan qui souriait sans cesse.

Il regarda autour de lui et personne ne semblait l'avoir remarqué. Il sorti l'écu arborant les couleurs de sa comtesse et le posa devant la tente. Il déballa la vieille armure de son père, datant d'une autre époque et un peu abimé avec le temps.

Il demanda à son aide de l'aider à revêtir l'armure paternelle pour vérifier si toutes les pièces étaient présentes.....ça prennait du temps de vêtir une armure et quand se fut fini, Mike fut satisfait du résultat, Il était le plus pauvre des jouteurs du tournoi..Malgré tout il souriait, heureux d'être là.

Après s'être débarrassé de son armure, il alla s'allonger dans sa tente pour méditer.
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Personnage précédent : Mike_Meister 1er (2005-2009)

[Niark vs Lanceor – Vu des tribunes]

Elle lui avait tu l'épisode des deux soudards en manque de compagnie, de peur que l'un des concurrents de la joute n'ait à déplorer la perte tragique de deux de ses aides au petit matin...Au lieu de cela, il avait pu sommeiller en paix, corps et esprit reposés avant que ne soient versés sang et sueur. Avec de la chance, même, on éviterait le sang, mais les joutes ne se faisant pas à coups de pâquerettes, il fallait bien l'envisager...
Au réveil, elle l'avait observé, relevée sur un coude, luttant contre des paupières réticentes lourdes d'avoir trop peu dormi. L'homme au matin d'un duel, le torse tel le tronc du chêne, marqué des atteintes de la vie, le regard fixe perdu dans l'anticipation des moments à venir... Puis il était sorti veiller aux soins de sa monture, car le jouteur est centaure, et doit ménager ses quatre jambes quand lui est le bras.
Elle avait demandé à ce qu'on aille faire chercher Nolwenn, qui se chargea une fois dans la tente de lisser la tignasse embrouillée, un vague sourire aux lèvres. Perdue dans des songes faits de terreur et de papillons, la rousse ne suivit pas vraiment l'avancée des préparatifs la concernant, et fut donc prise de court lorsque la jeune blonde eut fini. Déjà? Fallait-il si vite affronter l'affrontement?
Impatience et appréhension, hâte et malaise, c'est titubant avec classe entre ces antithétiques sentiments qu'elle se rendit jusque dans les tribunes, à la place qui lui était réservée. La Princesse de Bretagne était là, parée d'un voile de tristesse qu'elle ne s'expliquait pas encore, représentant malgré un deuil visiblement récent la couronne Grand Ducale en l'absence remarquée de son Père. Malgré son propre tourment, elle la salua d'un signe de tête amical avant de s'installer.
L'angoisse lui tordait coeur et tripes, et la dukez pourtant d'ordinaire si calme et posée peinait, au moment où les cavaliers entrèrent en lice, à rester immobile, se tortillant nerveusement à sa place.

Lorsque Niark s'approcha, sur son Bidule perché, pour lui tendre sa lance en réclamant ses faveurs, elle se leva, les joues roses, pour s'approcher. Forçant un sourire qu'elle voulait convaincant pour ne pas l'inquiéter, et empli d'une sincère fierté toute d'émoi teintée, elle lui accorda le gage demandé, fixant à sa lance l'étoffe rouge et or préparée la veille.
Au moment par contre où les drapeaux s'abaissèrent pour laisser les jouteurs s'élancer, elle avait cessé de bouger, et suivait -figée- le galop furieux qui conduirait inéluctablement à la défaite de l'un des deux. Etait-ce elle ou la course des deux destriers faisait trembler la tribune dans laquelle elle avait été installée?
Déjà les lances se défiaient l'une l'autre...
Elle s'était refusée à voir l'impact de ses yeux, et le seul son du choc lui avait arraché une grimace. Vainqueur et vaincu auraient sa sympathie, quoiqu'il advienne, car tous deux lui étaient d'importance. Elle savait néanmoins que tous deux auraient la défaite amère si ce premier tour devait être le seul. La main crispée sur l'épais tissus de sa robe, elle n'osait pas rouvrir les yeux pour constater les conséquences du grand fracas qui venait de se faire entendre, mais y fut contrainte en entendant quelques spectateurs clamer le nom de sa terre. Ainsi Cholet était victorieux.
Un sourire aux lèvres, elle chercha son champion du regard, avant de s'enquérir brièvement de l'état de santé de Lancéor. Il était défait, mais toujours en selle et ne semblait pas blessé.

Niark, lui, faisait volter sa monture, brandissant ce qui restait de la lance solide qui l'avait conduite à la victoire. L'étoffe qui y était fixée jonchait désormais le sable de la lice, au milieu des éclats de bois.
Enthousiaste, elle joignit ses applaudissements à ceux de la foule, saluant ici et là, d'un sourire agrémenté d'un signe de tête, les quelques regards tournés vers la couronne victorieuse. Mine de rien, cela avait aussi été un effort pour elle.
Elle demeura un instant, afin d'assister à la victoire d'un Gwenaël étonnamment déterminé. Lorsque la hâte de le congratuler fut cependant trop pressante, elle se leva et prit, escortée d'Ifig, le chemin du camp. En route, elle croisa des bretons qui avaient bravé l'apparent monopole de la noblesse sur l'événement, et leur sourit, en guise de bienvenue. Avant de disparaitre, elle adressa également un petit signe de la main à Loanne qui ne perdait pas une miette du tournoi.

[Tente de Cholet]

Déjà les hommes veillaient à ce que Bidule soit libéré de son harnachement, égards qui honoraient le jouteur puisque lui portait toujours le sien. Se mordant doucement la lèvre, la dukez appuya ses coudes à un ratelier vide pour le regarder et souffler:

- Mes félicitations, Champion...
Elle sourit, fière, ravie, et immensément rassérénée.

[Edit pour cohérence]
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A sa demande Glaria se mit à suivre le Sénéchal, son René s’envola de son épaule par la même occasion. Apparemment, une donzelle devait ne pas être trop loin.

Se dirigeant vers la lice, elle était prise de nervosité par le lieu où elle s’imaginait des chevaliers participer à tant de tournois. Bizarrement, elle crut entendre les sabots des chevaux venir frappés le sol dans leur course.

Elle s’appuya également sur la contre lice et écouta attentivement les explications de Cassius concernant le lieu où il participera dans peu de temps. Ses explications lui semblaient claires et limpides. Une contre lice, et une barrière dénommée lice.

La jeune escuyère était contente d’être là. C’était la première fois de sa vie qu’elle allait assister à des joutes. Et qui plus est de très près. Elle était émerveillée, ce pays, elle l’adorait dès le premier pas posé sur son sol. C’était comme si elle rentrait à la maison, sauf qu’elle n’y avait jamais mis les pieds auparavant.

Les règles des joutes ?!? Euh…

Elle n’eut le temps de répondre qu’il les lui expliqua. Elle sourit en voyant la fierté du Chevalier a bien lui expliquer les règles. Il savait utiliser des mots simples et Glaria l’appréciait encore plus.

Un art où l’on pouvait y perdre la vie. Etre Chevalier n’était pas chose aisée, et notre escuyer se demandait si un jour elle en saurait digne.

Il posa sa main sur son épaule. Celle-ci se voulait réconfortante mais ferme. Elle savait en elle-même les valeurs d’un Chevalier. Peut-être en avait-elle une image faussée. En tout état de cause, elle ne se sentait pas digne pour l’instant et se demandait si un jour, elle pourrait l’être.

Elle se tourna alors vers lui n’osant le regarder dans les yeux. Elle s’en souviendrait de ses paroles, elle ferait en sorte de s’en souvenir d’ailleurs.

Elle regarda encore une fois la lice et la contre-lice quelques instants. Mais suffisamment pour s’apercevoir que son chevalier avait déjà quitté les lieux. Elle se dépêcha pour le rattraper et s’arrêtèrent tout deux devant la Lance qu’elle avait installé à l’extérieur de la Tente mais non loin d’elle.

Cassius l’a saisi et demande à Glaria de s’approcher de lui, ce qu’elle fit sans hésitation. Il lui montra la garde et l’arrière main ainsi que leur utilité.

A sa demande, notre escuyer la prit dans les mains et la sous-pesa. Puis elle vit le Sénéchal se mettre face à elle et lui montrer le rocher, mot qui l’avait fait sourire car les seuls rochers qu’elle connaissait était ceux posés à même le sol. Une fois l’explication sur la lance, c’était au tour de l’armure.

Elle posa la lance, là où elle se trouvait puis suivit Cassius.

A l’intérieur, il lui montra son armure, celle utilisée uniquement lors de joutes. En effet, elle pouvait apercevoir la lourdeur de celle-ci par rapport à celle des Trente. Elle en fut d’ailleurs étonnée et s’en approcha caressant du bout des doigts l’armure en question, le sourire aux lèvres par l’enseignement que son chevalier venait de lui donner.

Puis un homme entra, prénommé apparemment Herbert, Glaria s’écarta légèrement pour regarder l’individu qui venait leur indiquer le nom de l’adversaire du Sénéchal, le chevalier Ftn, l’un des Trente.

A sa demande, elle acquiesça et aida le Sénéchal à lui passer son armure, un grand sourire aux lèvres. Le tournoi allait être plus qu’intéressant se disait-elle. Par tant de nouveautés, elle était à la fois perdue et émerveillée par l’ambiance qu’elle ne connaissait auparavant.
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Voila une petite blonde de 6 ans perdu dans la foule. Perdu ? Non ! La gamine s'est éclipser discrètement lâchant la main de sa sœur ainée pour aller voir son père seule et surtout en première. Il faut savoir marquer des points dans la vie ça peut toujours servir a quelque chose et Alastrina saura bien trouver quoi.

La gamine a la crinière blonde finit par attérir devant la tente de son père. Vérification d'usage : cheveux ? Impeccable. Tenue ? Magnifique d'un rose très voyant. Aspect générale ? Époustouflante. C'est bon elle est prête. Alastrina entre donc dans la tente de son père, fait ses plus beaux yeux doux et s'incline pour le saluer.

Bonjour père je suis venue vous encourager ! Madennig ne voulait pas venir...

Petit mensonge gentil enfin c'est ce que pense la gamine et puis, ça permet de faire plus de point. Soudain elle remarque une autre fille aux côté de son père et ça, ça va mal se passer. Personne ne peut ni ne doit rivaliser avec elle auprès de son père c'est comme ça. Déjà que c'est pas simple d'évincer Madennig pour avoir une plus grande place alors si d'autre si mettent.

Et vous êtes ?

Mais elle est où cette petite soeur bon sang ? S'pas vrai hein ! Madennig a bien voulut qu'elle l'accompagne parce que sa blonde de soeur avait peur d'y aller toute seule mais voila qu'elle l'avait perdu. Pour sur que mère allait lui passer un savon mémorable sur ce coup là. Bon réflechissons, une gamine blonde brillant comme un phare breton ça doit pas courir les lices de toute façon.

La petiote grimpe donc sur son banc pour avoir une vue de haut et se faire copieusement disputé par les gens de derrière a qui elle cachait la vue. Sur ce la gamine se tourna vers eux et s'excusa avec le sourir avant de prendre la direction d'un point rose limite fluo qui se dirigeait vers une tente. Elle aurait pu lui dire qu'elle voulait aller voir père, elle l'aurait accompagnée avec plaisir. Elle pense pas toujours a tout la blonde lui semble t'il. En plus il lui semble que ça soeur commence a prendre du poids a dérobée des gateaux en cuisine mais bon...

Madennig petite brune aux yeux marrons teintés d'or part donc sur la piste de sa soeur arrivant a la tente de son père 5 minutes après vétue d'une simple robe couleur chocolat et surtout, après Alastrina et ne peut donc pas lui reprocher ses paroles ne les ayant pas entendu.

Mes respects père ! Vous êtes magnifique en cette tenue.
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Quand une duchesse rencontre un comte, voila le résultat !

[ Retour sous la tente ]

Blacas, met toi devant l'entrée, que personne ne viennent me déranger jusqu'à l'annonce de la prochaine étape du tournoi.
J'ai besoin de repos.

Sur ces mots, Blacas quitta la tente pour se poster a l'entrée, interdisant le passage au fan en furie scandant son prénom "Naëëël !! Wouhouuuu !".
Pendant ce temps la, sous la tente le jeune Artignac s'assied la ou il le peux et commence a déguster un plat accompagné de chouchen.
Un peu de repos, le calme avant la prochaine étape.
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" Nec Jactantia, Nec Metu "

Annonce du début des joutes. Ambiance de folie.

Les premiers conquérants pénétrèrent dans la cage aux lions sous l’œil attentif du public avide d’un spectacle grandiose. Sur le visage de chacun des individus présents l’on pouvait lire des sentiments divergents : peur et énervement ne feront plus qu’un. Leurs montures foulèrent le sol terreux de la lice. Chacun convenablement armés et équipés prenait place de son côté.
Alors que la Blonde posait ses mains sur les accoudoirs espérant ainsi montrer une sérénité extérieure alors qu’intérieurement elle bouillonnait de crainte que la manifestation dérape.

Le mouchoir de couleur blanche signe de pureté tomba au sol déclenchant la première joute équestre celle de Niark de Ratspoutine, Sénéchal de sa Grâce Chimera de Dénéré Malines contre Lancéor de Kerroch, le Vicomte de Lokentaz et le chevalier de Langonnet. C’était cet instant que choisis un coursier pour lui apporter des courriers. Elle le poussa d’un geste de la main afin de ne pas être gêné dans l’observation de la joute. En une vingtaine de secondes tout était terminé et le premier vainqueur fut reconnu. La jeune femme adressa un signe de tête aux hérauts pour qu’ils affichent le résultat sur les grands panneaux de bois visibles de toutes les tribunes.



Avant que la deuxième joute ne débute, la Porte-Parole se tourna vers le coursier qui avait failli lui faire louper ce premier duel.

Que se passe-t-il enfin?
Des plis pour vous.
Oui forcément…

Elle décacheta une à une les missives, l’une était écrite de la main du Duc de St Malo, un Guérande : Erwan… Bref ! La seconde provenait des terres de Poudouvre, une véritable inscription de dernière minute, et enfin un pli annonçant une autre inscription celui du champion de Maewenn Montana de Guérande. Après une minute de réflexion, la fille du Duc de Crozon donna ses ordres à l’homme en question.

Puis la première manche se poursuivit. Tous les participants avaient la même hargne pour la victoire. Leur concentration figeait les traits de leur visage. Et quand le heaume retombait sur leur visage, les chevaux s’élançaient à toute allure le long de la lice. Les corps à corps étaient parfois surpuissants e les chutes toutes aussi violentes. Pour le moment aucun blessé grave n’avait été signalé, espérons que cela continue ainsi sans encombre.

Les hérauts continuèrent de marquer les résultats.

Gwenaël d'Artignac, héritier du Tregor contre Roxanne de Montfort-Laval Chevalier de Langolen



Missanges de Kerrandic, Vicomtesse des Forges contre Trilo de Kermeur, Beskont Plougonvelen.



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Ailleurs.
Sur la plaine.

Le crieur vint annoncer les dernières nouvelles.

HRP: Je vous laisse jusqu'à jeudi pour écrire vos rps pour cette première manche. Je vous expliquerais demain soir le déroulement de la 2nd épreuve et vous demanderais vos combinaisons.
Les joueurs qui n'ont pas reçu leur résultat pour poursuivre leur rp c'est qu'il me manque les résultats de l'adversaire si demain soir je n'ai rien reçu je considérerais cela comme un abandon. Merci de votre compréhension.
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« La pire des défaites, celle d'avoir refusé le combat. »
Gérard d'Aboville

[Ftn Andenmarv VS Cassius de Montfort]



A l'extèrieur, la foule acclamait les seigneurs venu des quatre coins de Bretagne pour faire honneur aux festivités, les crieurs défilaient avec chacun leurs styles du plus Germanique, en passant par l'Italie, finissant par les terres du nord. La journée était destinée aux joies et allégresses, en cette pèriode breizh en avait fort besoin.
Vint le tour de l'annonce de la joute opposant Buzay à Guerlesquin, l'un pour l'honneur de son épouse, l'autre l'honneur de sa terre.

Le crieur Montfort vint se placer face à la populace et s'exclama à gorge déployée de toute sa verve, parcourant la lice en largeur, exacerbant la réaction de la foule euphorique...

Gentihommes, Gentes Dames, Bretons venus de tout horizons!

Veuillez acclamez le Beau, le Grand, le Fort, l'Illustre! Celui qui sous son passage ne sait laisser de marbre la gente féminime, fait trembler l'ennemi de son bras armée. Cassius de Montfort, Sénéchal du Glorieux Ordre des "Trente", l'élite de Bretagne, le cauchemard français par excellence. Il combat ce jour face à vous pour l'honneur d'une femme, un soleil de Bretagne, son épouse, quel plus beau combat que cela! Veuillez le recevoir face à vous avec l'acclamation qu'il mérite, et surtout, BON SPECTACLE A VOUS MES SEIGNEURS!!!!!!!

Le crieur se retira sous l'acclamation d'une foule en liesse, le peuple aimait ce genre de spectacle, un plaisir pervers car nombres d'entres eux espéraient au fond d'eux l'accident, cette attente jusqu'au moment où la lance adverse percute l'armure de métal était un pur moment pour celui qui regardait...

Le Montfort avec à sa suite son escuyère sortirent de la tente aux couleurs de Buzay, le chevalier équipé de son harnois de joute pesant un peu plus de 60 livres, le mouvement était lourd, l'articulation n'était guère aisée, non loin était présente l'épouse, il se fraya un chemin jusqu'à elle...



Marie lui remis un morceau de tissus, qu'il huma, profitant un instant du doux parfum de sa blondeur qui y était ancré avant de le fourreter dans son harnois au niveau de sa poitrine.

Je crois que c'est à "l'illustre" de jouer, ne bouge pas surtout, je ne serais pas long mon amour.

Il quitta ce délicieux visage sous un léger sourire, puis rattrapant Glaria, il saisit le Heaume qu'elle détenait dans ses mains et l'apposa sur sa tête, sa vision était désormais limité, le Montfort n'y voyait plus au delà de deux mètres. Apposant sa dextre gantelée sur la croupe du destrier, son escuyère plaça une sorte de marche-pied et l'aida à mettre le pied à l'étrier. Dans cette situation, il était trés difficile de monter son destrier, un frison couleur sombre comme l'imposait ce cheval robuste et racé.

Du haut de sa monture, il saisit les brides du destriers halletant et nerveux, pressé d'en découdre, il prit la direction de la lice à petite foulée toujours sous l'acclamation de la foule en folie attendant avec impatience désormais le dénouement final. La lance lui fut passé, il la sous-pesa, effectua quelques va et vient vifs et puissants à la fois. Le frison n'attendait plus que la délivrance de son maître pour fondre sur son adversaire du jour... l'ouverture fut lancée! Les talons du Montfort vinrent s'écraser lourdement de manières répétitives afin de donner le signal au destrier de guerre qui fondit à travers la lice avec la puissance de plusieurs hommes. La lance est à l'horizontal, bien tendu face à Ftn qui s'approche lui aussi, à distance d'engagement, le coup est porté, vif, rapide, puissant et percutant! Le rocher vint s'exploser sur la cuirasse de l'adversaire qui ne vacille pas de sa monture, mais au même moment, le coup adverse est lui aussi porté venant s'écraser lui aussi lourdement sur le manteau d'armes rivé sur l'épaule gauche du Montfort, il se brise sous l'impact.

Les deux "Trente" s'étaient percutés mutuellement, mais avait gardé tout deux postures sur leurs destriers respectifs, l'on pouvait penser à une égalité mais il n'existait pas d'égalité lors de joutes, les lances furent examinés, celle du Chevalier et Baron Ftn était la plus brisé, il en sortait victorieux!

Le Montfort ôta son heaume qu'il laissa retomber lourdement à même le sol et traversa la lice en direction du vainqueur du jour

Joli coup mon ami, tu m'aurais presque déboité l'épaule si tu avais pas frappé si faiblement.

L'ironie passée, un sourire se dessina sur son visage

Tu me le payeras en salle d'armes vieux frère! Félicitations!
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[Joute CHIKAKA contre MIKE MEISTER ]

Le regard de Chika croisa celui de Roxanne qui lui souriait pour ensuite se passionner pour la rencontre de leur Maréchal. Un sourire amusé naquit sur ses lèvres quand un crieur annonçait la joute suivante.

Charleza-Katell de Kreneg-Montfort, dicte chikaka10, Baronne de Malnoë, Chevalier de Plogoneg combattra contre Mike Meister, représentant de Maewenn Montana de Guérande, Comtesse d’Ayssènes et Baronne de Ploermel

La surprise se lut dans le regard de la jeune femme. Et bien... Et sa rencontre contre la Duchesse du Rohannais n'aurait elle pas lieu ? Surtout que celle-ci était prévue pour combattre une autre personne apparemment.

Haussant les épaules, se disant que cela n'avait aucune importance, elle alla finir de se préparer, rentrant dans sa tente, elle mit difficilement un genou à terre et pria comme elle le faisait toujours avant chaque joute ou chaque tournoi.

Elle ne connaissait pas la personne qu'elle allait rencontrer. Aussi cela méritait de devenir intéressant. Il allait falloir essayer d'improviser, en espérant tomber juste.

Sortant de la tente, elle se dirigea vers son étalon maintenu par son écuyer qui tenait de l'autre main sa lance.

Elle jeta un regard aux alentours, espérant voir débarquer son mari avec les petits. Il était grand temps pour les petits Kreneg-Montfort de devenir des guerriers et de voir des joutes. La baronne ne voulait pas en faire des nobles de salon.

Ne les voyant pas, elle soupira et se concentra sur sa rencontre. Montant sur son fidèle destrier Zéphyr, parfaitement harnaché, parfaitement dressé, elle se dirigea vers les tribunes officielles et salua de la tête les personnalités présentes. Ensuite elle se rendit au bout de la lice. Un salut amical de la tête à son adversaire, elle enfila son heaume et se pencha pour prendre la lance qu'elle tint d'une main ferme.

Le coup d'envoi était donné et Chika talonna son étalon qui partit comme une furie d'un coup sec. Surprise de la fougue subite de son cheval qui commençait à se faire vieux, la baronne relâcha la pression sur sa lance. Zéphyr volait comme le vent vers son but, l'autre côté de la lice. Ah ! il portait bien son nom à ce moment précis.

Malgré la lance lamentablement tenue il fallait le dire, la rapidité de son destrier projeta la lance avec force contre le plastron de son adversaire. La baronne arriva à la fin de la lice où son cheval stoppa net sa course, toujours bien assise sur sa selle. Tout était allé tellement vite, qu'elle ne sut pas très bien si elle avait réussi à déstabiliser son adversaire. Aussi se retourna-t-elle rapidement pour savoir.
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Quand vint leur tour:
[ Maël de Morrigan-Montfort, Duc De Rhuys, Vicomte de Frozay et chevalier de Pont l'Abbé VS à Bioul de lanngroez, baron de trebeurden]

Attendant calmement son tour au contraire de son destrier qui piaffait, le colosse regardait, appréciateur, les joutes se dérouler....

Calme le colosse, enfin....Pas si calme que cela ce qui expliquait que le colosse piaffait....

La monture sentait l'énergie qui se dégageait du mestre de guerre, une énergie qu'il fallait évacuer...

Enfin les hérauts crièrent son nom....

Il mit des jambes doucement ce qui suffit déjà à faire partir kheldar au petit galop, la nuance n'était pas trop de mise avec des jambes enfermées dans de l'acier...Voix et mains devaient prendre de l'importance...

Il prit une lance juste avant de rentrer et se présenta dans la lice pour s'arrêter au bout de celle-ci alors que de l'autre côté Bioul se présentait....

Là, il "rassembla" sa monture...Bougea le bras gauche doucement car celui-ci tenait les rênes...Après avoir bougé, il eut confirmation que sa targe était bien fixé à l'épaule gauche...

Il leva sa lance en guise de salut à Bioul et à la foule.
En redescendant la lance, il baissa d'une chiquenaude la visière de son armet et il entendit le petit bruit habituel du bouton poussoir s'enclenchant....

'Bien... 'pensa t-il.

Paré...Il resserra un peu sa prise sur les rênes tout en baissant la main...Juste de quoi faire sentir au cheval que ce n'était pas encore le moment.....

A ce moment là, le colosse pense à beaucoup de choses...La guerre, les sacrifices, la perte de sa famille, un amour perdu qui était loin...
Le sourire de sa petite fille qui lui manquait temps...
Il en voulait à la terre entière quand il ne pouvait en vouloir à personne, la vie était dure et ne faisait de cadeaux à personne....

Il serra involontairement les dents...

Plongée dans ses pensées ses yeux captèrent pourtant le mouvement des drapeaux s'abaissant signalant le départ de la joute...

Des réflexes imprimés à la dure se mirent en branle, des réflexes de guerre...
Les jambes du colosse serrèrent d'un coups les flancs du destrier alors même que la main gauche se dirigeait vers l'avant....

Une grognement monta dans la gorge du Duc De Rhuys alors même que le cheval prit un appui énorme propre à se cabrer .
Mais à mi hauteur, il piqua sur le devant et s'élança en hennissant ....

Maël se concentra alors donna encore plus des jambes...

Le destrier répondit immédiatement à l'appel et accéléra encore, il devait être le plus rapide possible à la frappe....
Des gerbes de terre se soulevaient au passage des sabots de la grande monture noire...

Maël se pencha alors encore plus et observa Bioul et nota une certaine instabilité....
Il n'en fallut pas plus au colosse pour savoir ou frapper...

Une frappe centrale était de mise quand l'adversaire n'était pas stable...

Maël se pencha encore plus et prépara sa lance à la frappe ...
Quelques mètres avant le choc, il se souleva légèrement des étriers chaussés à fond et appuya son séant sur le troussequin arrière de la selle de guerre pour encaisser le choc....

Il eut alors la vision fugitive du sourire de sa petite fille décédée....

Alors c'est dans un cri de rage quasi naturel que le cri de guerre de sa famille résonna:
-"Evit ma zud!!!!!!!!" (1)

Et il frappa avec une technique allemande matinée d'italienne qu'il avait appris pendant le temps où il avait été mercenaire en ces contrées...

Il déploya légèrement le bras avant de le verrouiller et se pencha de côté très légèrement encore mais les deux choses faites il démultiplia son impact sur Bioul....

-"Creeekkkk!!!"

La lance se brisa sur Bioul touché de plein fouet...

Il continua sa course, avait-il fait chuter Bioul?
Il le saurait en fin course...

Sa main gauches suivit le mouvement de son corps se redressant, encore, encore et encore provoquant une traction qui signifiait au destrier de ralentir...

Celui-ci ralentit enfin et Maël l'arrêta en bout de lice...

Le colosse n'avait pas trop senti l'impact de lance de Bioul....
Il fit volter sa monture...

Il était déclaré gagnant...

Quelque chose le gênait, à la cuisse droite...Il y avait un peu de sang qui coulait sous la plate du cuissot, il avait réouvert sa blessure faite pendant la guerre, le choc avait suffit...
Il grogna sous son armet:
-"Merdasse de poisse, Aleno va faire une crise..."

Balançant au sol ce qui lui restait de lance, il enclencha le bouton poussoir de son armet et releva sa visière....
De même , il se pencha sur sa monture et desserra la protection de tête du destrier, le "chanfrein " qui glissa sur le poitrail du destrier montrant la grande tête noire de celui-ci...

Il le caressa comme une brute avec force tapes amicales ce qui semblait plaire au destrier.
Et le Maréchal De Bretagne parcourut la lice en saluant la foule...:



Et il se porta à la rencontre de Bioul...

Tout en passant devant la foule qui exultait, il vit Roxanne et cria en la montrant du doigt...
-"Cette victoire est pour toi petite cousine!"

Et il continua vers Bioul...


hrp: (1) cri de guerre breton signifiant: "¨Pour ceux que j'aime"
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Une guerre à mener?De Morrigan-Montfort à vostre service...

La guerre , retour en Bretagne , Vannes puis Rennes . Ils n'avaient cessés de bouger . Certainement que la fatigue et le caractère des deux Bretons avait contribué à cette fâcheuse dispute qui était stupide et à la limite de l'ironie mais il savait très bien que sa femme était une tête de mule et que lui , la suivait de très près derrière.
C'est donc après de long jour de silence , vive les scènes de ménages , que le Breton , décida que mettre sa fierté de coté un instant et d'aller rejoindre sa blondie de femme aux joutes . Son fils était camouflé dans un manteau qui faisait de celui ci une boule à peine perceptible . Heureusement que les enfants ne connaissent pas le mot complexe. C'est avec une motivation soudaine qu'il attrapa Youen afin de partir à la rencontre de la maitresse de maison .
Il regardait son fils et avec un air ironique il lui murmura doucement .

Tu vois mon fils ce qu'il t'attend . Ne grandit pas trop vite, un conseil . Quoi que peut être qu'ainsi elle ne verra que tes conneries et pas les miennes . Va falloir en débattre Youen. Mais un autre jour , là , si nous filons pas de suite , maman va faire grève de la popote et là c'est la faim du monde , je te l'assure !

C'est donc ainsi qu'ils prirent chemin vers les lices , à la rencontre des Trentes et de la petite blonde qui devait sans doute encore tirer la tronche .Qu'est ce qu'elle pouvait être résistante , niarf . Le temps du trajet , Alw s'était arreté chercher une rose , autant mettre tout ces atouts de son coté, puis elle les aimait puis c'était surtout la première fleur qui lui avait offert il y a de ça quelques années au début . Un sourire malicieux sur les lèvres puis enfin ils étaient sur place .Ses yeux bleus balayés les environs à la recherche de sa petite femme.

Demat tout le monde !
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[Joute CHIKAKA contre MIKE MEISTER ]

Au camp
Son aide vint le réveiller, Mike avait essayé de dormir un petit peu sans succès. Il se leva, se fit rere sa barbe juvénile et commença à s'apprêter. Il enfila la vieille armure de son père ce qui prend un bon bout de temps et il donna son épée à son aide.

Garde ça, on ne sait jamais. Vend la si je meure, je n'ai pas de famille...

Bien messire

Son ronçin était déjà prêt. Il manquait peut être de punch pour la joute mais il était brave et courageux. Le jeune garçon l'avait déjà apprêté.

Prend mon écu et vient avec moi. Tu me donneras mes lances, d'accord ?

Le jeune garçon acquiesça. Le champion de  Maewenn Montana de Guérande, Comtesse d’Ayssènes et Baronne de Ploermel  avait du mal à se mouvoir dans cette armure, elle était pesante et il n'était pas habitué à la porté. Il mangea un petit peu du jambon qu'il partagea avec son escuyer de fortune.

Tu sais qui je vais affronter ?

Une dame monseigneur, Charleza-Katell de Kreneg-Montfort, dicte chikaka10, Baronne de Malnoë, Chevalier de Plogoneg .. 

"qui est-ce ? Tu me donnes du monseigneur maintenant, tu crois que je vais tomber si facilement..."
Il monta à cheval sans l'aide de personne. Il était un excellent cavalier mais malheureusement pour lui il n'avait jamais tenu de lance dans sa vie. Il se dirigea vers la Lice accompagné par son aide.

A la lice

Il y avait foule autour de la lice, des gens de toutes les conditions se réunnissait pour célébrer ce grand évènement et lui, Mike Meister issus d'une petite noblesse désargentée, fils d'un chevalier qui était un preux mort en combattant le Lion de Juda en Helvétie, il allait vivre ce que beaucoup jeune homme de 18 ans rêvait, participer à un grand tournois. Il était certainement le plus jeune de tous mais il était prêt à jouter pour l'honneur. Il s'approcha de la grande tribune où était réunis tout les notables de Bretagne venu assister au tournois.

Donne moi ma lance et vérifie s'il n'y a pas nœud.

Il salua les nobles présent et inclina la tête en signe de respect. Une jeune femme lui tendit un tissus d'un blanc éclatant, il avait trouvé sa dame.

Il se dirigea ensuite vers le bout de la lice et il répondit au signe de tête de son adversaire en souriant tant bien que mal malgré la peur qu'il l'envahissait. Il mit son haume et reprit sa lance.. Il sentit rapidement le poids de cette lance accumulé au poids de l'armure et sentit son bras se fatiguer.
'J'ai autant de force qu'une jouvencelle' pensa t-il
Il attendit le signal, les secondes paraissait si longue et la lance paraissait peser des quintal...Il vit le signal et son cheval démarra en trombe, plus rapidement que d'habitude et il avait une excellente assise...beaucoup de pensée traversa son esprit, son père, sa mère, l'Helvétie, Rieux. Il cria tout à coup

POUR REOOOOZZ !!!!!!

...puis, il vit cette lance, celle de l'adversaire fondre sur lui et il tenta dirigé la sienne 'Je vais l'avoir... Argh sc...'

Et BAAAAMMMMMMMMM !!

La lance percuta son pastron avec une extrême violence..Il tomba de cheval et percuta la barrière centrale. Il se retrouva à terre et il sentit une violente brulure à l'épaule, comme si on l''avait transpercé. Il leva sa main droite en direction de son épaule blessé et sentit un morceau de lance qui s'était enfoncé entre les jointures de l'armure. Il regarda sa main ensanglantée

Au moins, je ne serai pas passé pour un couard...

Il contempla le ciel et tomba inconscient...
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Personnage précédent : Mike_Meister 1er (2005-2009)

Les yeux braqués sur le colosse et sa monture. Le moindre petit détail lui saute aux yeux. La nervosité réfrénée de Keldhar juste avant que les hérauts n'abaissent les couleurs pour que la joute débute. C'est bien le sol qu'elle sent trembler sous le fracas des fers. La lance qui se lève, Le voila lancé, SON héros, et elle continue de les suivre du regard Lui et son destrier. Non pas seulement du regard, ses pieds foulent le sable de l'orée de la lice et avancent au gré du combat. Sous le heaume, elle voudrait être goutte de sueur sur sa peau pour savoir quelles peuvent bien être ses pensées. Des yeux qui s'attardent sur le combattant, celui qui fait battre son coeur de petite fille comme avant. Frémissement des paupières au moment ou le cri de guerre retentit, le fracas se fait plus dense et la femme d'armes décortique et apprécie le geste. Les battements de son coeur font des envolées subites et la grimace est éloquente au moment de l'impact, puissant, frénétique. Il est vainqueur!!! Il n' a pas failli encore cette fois. Elle le sait pourtant relevant de blessures autant physiques que morales. L'espace de ce moment divin, la jeune femme s'est trouvé hors du temps, les tourments qui l'assaillent n'avaient plus prise sur elle. Peut-être le coeur bat-il trop fort pour la petite fille qu'elle n'est plus, une drôle de crispation dans l'estomac qui la tient et la peur de la chute qui s'éloigne. Déjà il relève visière et les grisailles accrochent l'acier azuré, avant de glisser sur les mains harnachées qui félicitent le destrier.
-"Cette victoire est pour toi petite cousine!"
Ce n'est qu'en voyant le doigt ducal pointer sur elle que Roxanne réalise que c'est à elle qu'il vient de dédier sa victoire. De surprise, elle en sent ses joues vermillonner et le beau visage s'éclaire lentement l'espace d'un instant. Heureusement qu'il est assez éloigné, déjà, pour ne rien percevoir. Touchée comme jamais, c'est alors qu'une rose se dresse devant elle et qu'une voix se fait entendre et deux yeux océan se posent sur elle et la ramène brutalement à la réalité. Et ces yeux là ce ne sont pas ceux de Maël, mais ceux d'Alwen.
Demat tout le monde !
Une réapparition qui lui cause un choc, des semaines sans le voir, des jours qu'ils ne s'adressent pas la parole. Une rose à la main et son infernal sourire Taquin sur les lèvres.
La blonde tend les mains muette et se saisit précipitamment de Yaouen-Elfyn, le blotissant contre elle, avant que quelques mots ne se décident enfin à franchir ses lèvres.
Tu...tu es venu...Apparemment docile, elle attend la suite. Parce que forcément, il va bien finir par lui fournir explication sur son acte...
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[Ftn Andenmarv VS Cassius de Montfort]


Gentihommes, Gentes Dames, Bretons venus de tout horizons!

Veuillez acclamez le Beau, le Grand, le Fort, l'Illustre! Celui qui sous son passage ne sait laisser de marbre la gente féminime, fait trembler l'ennemi de son bras armée. Cassius de Montfort, Sénéchal du Glorieux Ordre des "Trente", l'élite de Bretagne, le cauchemard français par excellence. Il combat ce jour face à vous pour l'honneur d'une femme, un soleil de Bretagne, son épouse, quel plus beau combat que cela! Veuillez le recevoir face à vous avec l'acclamation qu'il mérite, et surtout, BON SPECTACLE A VOUS MES SEIGNEURS!!!!!!!

ftn entendit le crieur dire les louanges de son ami et compagnon,, pour sur il n'allait pas tarder à se présenter

le voilà qui arrivait, avant de baisser son heaume, le baron salua de la tête son ami et adversaire d'un jour

autant il était plaisant de pourfendre du françoys ou autres bestioles du même genre, autant combattre un ami était délicat, car en aucun cas il ne fallait tuer ou blesser trop lourdement.


les deux hommes s'étaient élancés, ou plutôt avaient lancé leurs montures au grand galop, malgré les protections qu'elles avaient, les lances horizontales se rapprochaient de chacun d'eux, pour sur le coup serait rude

la seconde du choc était là,
dans un fracas on entendit le choc des armes sur les écus et armures des hommes, le coup faillit mettre à terre ftn qui on ne sait par quelle grasce tint bon, tout comme son ami Cassius, la pointes des lances avaient exploxées , une fois le choc terminé les montures continuèrent dans leurs élans, une fois au bout ftn revint à la rencontre de son ami lui aussi toujours assis et bien calé

au même instant on vint examiner leurs lances pour vérifier qui aurait la joute en sa faveur

le vainqueur déclaré de cet affrontement est...........,
comme un suspens, une attente un peu longue
------------ de par la brisure plus prononcé de sa lance le.......Baron de Guerlesquin et Chevalier de Douarnenez Val Sainz-Trestain dicte baron ftn_andenmarv


ça va Cassius, pas de casse?

Joli coup mon ami, tu m'aurais presque déboité l'épaule si tu avais pas frappé si faiblement.

je crois que je vais avoir un sacré bleu aussi, en tout cas sourire

Tu me le payeras en salle d'armes vieux frère! Félicitations!

merci Cassius,
mais félicitations à toi aussi, ce fut une joute digned'hommes qui s'apprécient,
digne des Trente

déjà on signifait aux deux hommes de libérer la lice pour d'autres joutes

je vais me reposer un peu,
comme quoi le françoys est moins fatiguant à combattre que le breton éclat de rire de l'homme au rictus

Aléjo vint diriger la monture, pendant que l'on faisait redescendre le baron

Aléjo tu iras me chercher un bon poulet, cuit de préférence, je vais reprendre des forces en attendant la prochaine joute, et ftn disparu sous sa tente
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