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[Rp] Sur la lice, venez assister au Tournoi !

--Juan
le Mestre d'armes de la famille faisait son entrée sous la tente de ftn

dans les amis de ftn seul 2 personnes pouvaient se permettre des privautés, le Mestre d'Arme et Consuela la gouvernante de toujours

Alors gamin,
Juan avait 38 ans
tu t'en est bien sorti, pourtant l'assise de ton adevrsaire et sa présentation de lance était excellente, c'était ton jour, un peu plus de vitesse et voilà, c'est ta monte qu'il faut remercier éclate de rire

la prochaine épreuve est celle des anneaux c'est de la précision et de l'adresse dont tu vas avoir besoin, prends un peu de repos je viendrais te prévenir un peu avant

et aussi vite que j'étais arrivé je ressortais
Esmyaelaig
[Tente de Bioul de Lanngroez, baron de Trébeurden]

Esmy s'était avancé auprès de Bioul et discutait de tout et de rien pour essayer de le détendre et surtout de se détendre, car l'approche de la joute l'angoissait...

Ce n'était pas rien que de foncer à vive allure sur un destrier, tenir cette lance à l'horizontale et viser l'adversaire de l'autre côté qui arrivait tout aussi vite...

L'image du baron ne lui apparaissant qu'en vainqueur bien sûr, elle se rassurait intérieurement et lui enjoignait quand même de bien se protéger.

Elle regardait ses serviteurs s'affairaient auprès de lui, quand apparut à l'entrée de la tente, un bonbon rose avec des cheveux blonds qui s'en même lui prêter attention se dirigea vers Bioul et s'imposa à lui. Elle était suivie d'une poupée brune et discrète qui trottinait sur ces talons...

Esmy ne bougea pas d'un pouce et écouta le laïus qui semblait ne jamais vouloir s'arrêter, quand soudain, sans qu'elle s'y attendit, le flot de paroles s'arrêta net et son auteur se tourna vivement vers elle, et sans même la saluer, lui envoya un sec


Et vous êtes ?

Elle allait répondre quand le son de l'appel à la joute retentit, tout le monde se précipita derrière le baron sur le lieu du duel...

Dans les tribunes pour la joute :


[ Maël de Morrigan-Montfort, Duc De Rhuys, Vicomte de Frozay et chevalier de Pont l'Abbé VS Bioul de Lanngroez, baron de Trebeurden]

Les combattants se mirent en place et Esmy trembla de tous ses membres en voyant l'adversaire de Bioul... Ma doué, se dit-elle, ce n'est pas un moindre adversaire que l'on a désigné en face, le maréchal... boudiou...
Cette joute s'annonçait rude...

Ils s'élancèrent, lance au poing et l'impact fut colossal, du moins pour Esmy qui se précipita quand elle le vit touché...

Même si le maréchal savait, de par son expérience, modéré sa frappe, le coup pour elle, était violent et elle voulut crier mais le son resta en suspens...

Elle aperçut le vainqueur qui regagnait son campement sous les vivas de la foule et qui salua Bioul...
Elle se porta vers le baron...

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Gwenael.
Mal installé au sol, il mange, péniblement, mais pour se remettre un peu de force.
Une pomme bien juteuse en bouche, une personne entre et prend aussitôt la parole.

Une voix féminine, il ne s'agit donc pas de Blacas.


Je vous adresse mes félicitations pour ce combat, mais je tiens également à vous signifier que si j'ai conscience de vous avoir froissé lors de la cérémonie en l'honneur de votre père... je ne m'excuserais point.

Roxanne.
La pomme en main, Gwenaël croque a nouveau dedans.
Un petit bout en bouche qu'il mâche doucement, prenant son temps pour répondre.


Que faites vous donc ici si ce n'est pour cela ?
Pourquoi venez vous donc m'ennuyer alors que je me repose ?


Le ton froid, Naël ne se lève ni ne se tourne vers elle.
Et une nouvelle fois il croque dans sa pomme.


Sortez maintenant, je n'ai rien a vous dire Dame Chevalier.
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" Nec Jactantia, Nec Metu "
Roxannemontfortlaval
Les prunelles grises ne perdent rien de leur éclat orageux. Et si d'autres se seraient offusquées d'un tel comportement, pas elle. La jeune femme se revoit à la mort de Phoe. Aussi butée que Gwenaël si ce n'est plus encore, refusant toute autorité et allant même jusqu'à courir les routes au sein d'un groupe de brigands. Elle avait tourné le dos à sa tante et combien de fois n'avait-elle point maudit Salomé, que dans sa douleur, elle tenait pour responsable au même titre que ses assaillants, du terrible trépas de son père, puisque c'est elle que Phoe allait rejoindre lorsque le drame s'était produit. Mais les choses avaient bien changé par la suite. La blonde s'en moque qu'il se repose, la blonde s'en contrefiche après tout , ce n'est pas pour lui qu'elle est venu, c'est pour Salomé et le feu Duc du Tregor. Il n'entendra que ce qu'il voudra entendre de toute manière. Elle le sait, elle réagissait exactement de la même façon.
Vous non mais moi oui. Je disais donc que je ne m'excuserais point d'avoir apporté à votre mère un peu de ce qu'elle m'a apporté lorsqu'elle était fiancée à mon père, que j'ai perdu très jeune. Elle est le seul semblant de modèle de mère que j'ai eu dans ma jeunesse. Et quand il est mort dans cette embuscade alors qu'il allait rejoindre votre mère, lors de la cérémonie, elle se trouvait à mes côtés pour m'apporter son réconfort. Et même si dans mon aveuglement à l'époque j'ai tenu autant votre mère que ces chiens responsables de la mort de mon père, j'ai par la suite compris la chance qu'il m'avait été donné de connaitre une femme comme elle. Voila la raison de ma présence à ses côtés lors de la cérémonie en l'hommage de votre père. D'un simple coup d'oeil, elle fait le tour de l'intérieur de la tente avant de reposer son regard sur un dos qui ne s'est point retourné. Puis extirpant un fin écrin de tissu, elle en sort le blason de Chevalier du feu Duc du Tregor. Ne voulant point que le jeune héritier sache que l'initiative venait d'elle, la jeune Chevalier, nouvellement promue gonfanonnier de l'Ordre des Trente, s'en dépêche d'en finir.

Ceci sont les armes de Chevalier des Trente de votre père. Et le domaine de Pontekroaz vous est légué, en remerciement des services rendus à la Breizh par le Duc Nilas d'Artignac, votre père. Ainsi en ont décidé Sa Majesté et le Maréchal.




L'entendant croquer dans son fruit, la jeune fille avise le guéridon encombré tout près de lui et s'approchant, d'un revers de main, elle renverse ce qui la gêne au sol, faisant place nette et dépose l'écrin et les armes du Chevalier de Pontekroaz. Prenez en soin et faites honneur à votre père ainsi qu'à votre mère. Dans votre douleur, vous avez la chance de l'avoir auprès de vous. Je vous laisse vous reposer maintenant et mâcher votre pomme tranquillement...attention aux pépins, il serait dommage que vous vous étouffiez avec !!
La Chipie refait surface l'espace d'un éclair mais la jeune fille se contient et fait demi-tour sans un mot de plus, menant ses pas vers l'entrée de la tente.

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Chimera
[Sous la couette sous la tente sous les bannières choletaises]

Tournoi, tournoi.
La bataille a été rude pour elle aussi. Et elle dort, du sommeil du juste, après avoir soutenu tant et si bien le champion de Cholet qu'elle en est vidée, usée, épuisée. Reposée, aussi, il faut bien l'avouer. Comblée...

Elle avait mérité sa nuit, après l'avoir défait de chacune des pièces de son armure, ainsi que de quelques autres, comme on épluche un oignon bien caparaçonné. L'affaire lui avait pris un temps fou, et elle comptait bien sur le fait qu'agacé d'être resté si longtemps engoncé, il ferait ultérieurement appel à ceux qui depuis le temps étaient rompus à l'exercice. Réticence à l'apprentissage? Fine bouche devant basses œuvres? Égards pour ses doigts tendres, tout au plus. Elle avait, au fond, savouré chaque seconde de l'effeuillage sous ses airs protestataires.
L'appât du gain s'était révélé puissant stimulant, et elle s'était donc exécutée, hâte de libérer l'aimante musculature qui ne manquerait probablement pas de lui en être gré.

L'homme rayonne lorsqu'il est auréolé de la gloire d'une victoire.
Il est fier. Il ... rayonne aussi d'une aura olfactive puissante et fortement musquée dont elle n'a pas le temps de s'offusquer quand il lui vole un baiser. Et le voilà qui profite de sa victoire tout juste acquise en ajoutant une taquinerie qui lui arrache un sourire narquois.

- Suivante, suivante...
Je dirais que comme vous je ménage ma monture. Il eut été injuste que vous receviez des soins de moindre qualité en comparaison de ceux fort appliqués dont Bidule a bénéficié, tout de même.

Un rire léger vient saluer la boutade,simple riposte probablement attendue, alors qu'elle s'excuse par un nouveau baiser sans trop chercher le contact de l'étoffe parfumée des effluves de l'effort.

Sénérat n'est pas cracra, et de lui-même en tenue des origines il se lance dans quelques ablutions pour reprendre odeur humaine... sage entreprise qui lui permettrait d'avoir accès au repos du guerrier en bonne compagnie. Elle avait au passage prélevé son salaire, laissant ses yeux suivre chaque goutte glissant sur l'amant.
Il l'avait rejointe, une fois sec, et avait sombré avant même de le lui annoncer.

Grimace alors qu'elle se tord dans les draps. Le bougre l'a maintenue si fort contre lui qu'elle en est encore toute engourdie. L'aurait-elle voulu, elle n'aurait pu se soustraire à ses attentions. L'aurait-elle voulu...


- Il est l'or... votre Grâce.
Il l'or de vous réveiller...


Elle allait réclamer un baiser du bout des lèvres avant de s'apercevoir que l'homme qui murmure n'est ni blond, ni rat, ni sénéchal, et d'avoir dans la couche désormais froide un mouvement de recul.
L'homme balbutie et se confond en excuses, balbutiant qu'il a reçu l'olordre de, qu'il nanavré de n'avoir pas laisséssé Nolwenn fa, que jamais il n'osera recocom... alors qu'elle se redresse pour rapidement retrouver la dignité ducale brièvement malmenée.
Elle met fin au tourment de l'impudent malgré lui en lui donnant pour consigne de filer chercher Nolwenn et de veiller à ce que personne ne trouble son habillage.
Lu, lu, lu et relu, le pli amant, en attendant...


[Back on the field]

C'est défroissée et défrisée qu'elle retrouve sa place dans la tribune. Les installations de l'épreuve suivante sont en fin de construction, et c'est plus sereine qu'elle s'assied après un sourire à Izea ainsi qu'à Salomé qui a fait une entrée d'autant plus remarquée que peu l'attendaient icilieu. Gwenaël serait fier.
Plus sereine donc... car a moins d'être un fin maladroit, point de risque de finir embroché, lacéré, criblé d'éclats de bois, tout ça...
Les âmes sont échauffées par la sueur et le sang versé, ça crie, ça chante, ça boit, en attendant le retour des concurrents.

Dans quelques souffles désormais, Bidule s'élancerait pour prouver à tous que malgré son nom, il n'était ni anodin ni dépourvu de vaillance et d'adresse. S'il accédait à l'étape suivante du tournoi, il lui faudrait partir en quête d'un héraut...

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Gwenael.
Non, elle ne part pas, et même elle commence a lui expliquer un bout de sa vie.
Un chemin relativement semblable.


Peu m'importe ce que vous avez pu vivre avec ma mère, il s'agissait du banc de la famille, et vous n'en faites pas partie.
Vous n'êtes pas une Artignac Dame Chevalier.


Et la voila qui poursuit...
Les mots sont lâché, le Grand Duc et le Marechal lui lègue le domaine de Pontekroaz.
Un haussement de sourcil et une interrogation.
Accepter ce lègue serait un honneur, pour son père.
Il reviendrait aussi a rejoindre l'ordre des Trente.
Chose a laquelle le jeune Artignac se refuse a faire, ne pas abandonner ses camarades de l'Ost Breton.
Les autres soldats avec qui il c'est battu a maintes reprise, dans de nombreux combat en France.

Que faire ?

Les pas de Roxanne s'éloigne de lui.


Je ne veux rejoindre les Trente Dame Chevalier.
Je suis membre de l'Ost Breton et je ne compte pas le quitter.


Une grande tristesse qui le submerge.
Refuser une part de son père...

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" Nec Jactantia, Nec Metu "
Roxannemontfortlaval
Enfin, le voila qui se décide à lui adresser la parole. Elle pourrait tout aussi bien lui répondre sans se retourner, histoire de lui rendre la pareille, mais elle est un Chevalier des Trente, et elle se doit d'avoir un comportement exemplaire. Aussi fait-elle face au jeune héritier et lui répond-elle d'un ton courtois.

Certes, je ne suis pas d'Artignac, je suis une Montfort et fière de l'être tout comme vous l'êtes de vos racines.


Une pointe de sourire effleure ses lèvres.

Et personne ne vous demande d'entrer au sein de l'Ordre des Trente. Je gage qu'au sein même de l'Ost breton, vous êtes à même de porter haut ce titre de Chevalier, car que l'on soit issu des Trente ou de l'Ost, l'amour que nous portons à notre Terre et le dévouement auprès de notre Grand-Duc est le même. L'Ordre des Trente vous lègue le Domaine et le titre de votre père, c'est qu'il estime que vous en êtes digne. Et je pense que votre père serait fier que vous continuiez son oeuvre.


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Sabze
Sabze avait observé attentivement la victoire de son chevalier. FIère d'elle quand elle vit l'adversaire tomber, elle avait partagé son inquiétude por le jeune homme qui ne se relevait pas. Portant sa lance, elle suivit ses grands pas.
Elle mena son cheval avec grande douceur jusqu'à une pâture et le pourvut en avoine fraiche et en eau. Elle le laissa courir quelques temps après lui avoir murmuré des mots rassurants. Un peu calmé, le cheval se laissa bouchonner
Sabze rertourna vers la tente, jeta un coup d’œil sur Chika qui semblait dormir mais ouvrit les yeux à son entrée. Elle semblait endolorie et Sabze sortit de ses bagues une trousse contenant des huilles essentielles et la massa longuement. La chevalier endormie sous ses mains, Sabze la couvrit et sortit.
Elle se dirigea vers la tente où reposait Mike Meister, l'adversaire malheureux de sa dame.
Elle entra. Un homme gisait là, l'air mal en point.

Bonjour Messsire, je suis Sabze, l’écuyère du chevalier Chika. Je viens voir comment vous allez et vous proposer mes services. Mon chevalier est désolée de vous avoir blessé.
Meerclaw
Avec un soupir résigné, Meerclaw se défaisait pièce par pièce de sa lourde armure, qui n'avait pas servi ce jour : son adversaire ne s'était pas présenté en lice. Au fond, il était presque soulagé de n'avoir point à combattre cet homme qui lui était inconnu : il en avait tant occis ou navré sur le champ de bataille ces derniers mois que la joute armée en avait perdu de sa saveur.

Qualifié un peu malgré lui pour le tour suivant, il aurait donc à cueillir des anneaux au bout de sa lance... activité plus distrayante et pacifique, qui éloignerait ses pensées de la guerre...

Pour un instant seulement, car déjà le bruit des solerets françoys foulant la terre sacrée de Breizh résonnait au loin, dans les forêts profondes.

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Gwenael.
L'espace d'un instant il ignore totalement ce qu'elle dit.
Elle n'est pas une Artignac et n'avait pas a s'assoir sur ce banc de famille.

Puis le voila qui se lève, lui faisant toujours dos.
Elle pourrait lire la surprise sur son visage autrement.

La surprise de voir qu'on lui lègue le domaine de Pontekroaz.
La surprise d'entendre qu'il ne serait donc apparemment pas obligé de rejoindre les Trente pour.
Une grande surprise.


Dans ce cas...

Masquant sa surprise, il se retourne.
Non pas vers elle, mais vers les armes de sont père.

Jetant sa pomme sur le sol, il vient poser sa main désormais libre sur l'écrin.
Les couleurs de Pontekroaz. Le Lion.
Le courage, la force, la bravoure. Des symboliques fortes que sont père a tenté de lui enseigner.


.. J'accepte.
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" Nec Jactantia, Nec Metu "
Niark
[Seconde Manche, Niark de Ratspoutine et l'anneaux magique, en direct live de la lice]


Il était l'heure, l'heure pour un Rat, pour le Sénéchal de sa Dame d'arriver sur la lice.
Mais bien entendu avant cela il avait pris soin de bien préparer Bidule, pour cette épreuve il lui faudrait un destrier des plus calmes et des plus maniable.
C'est pour cela que quelques heures avant, il avait pris soin, lui même de préparer le Bidule, lui passant la brosse, le nourrissant un petit peu, et l'hydratant.
D'ailleurs le canasson appréciait plus que de nature ces petites attentions, c'est qu'en ce moment le rat n'avait pas beaucoup de temps à lui accorder, et c'est donc un destrier tout maniable et tout "presque ronronnant" que le Rat découvrit.
Puis s'en allant finir de ce préparer, les hommes d'armes passèrent la grande robe Or et Rouge au destrier et le scellèrent.
Il était tout beau comme cela d'ailleurs, tout fringant le canasson.

Quand au Rat, il finissait de ce préparer donc, enfilant de gros gants en cuire.
Quelques exercices d'échauffement étaient aussi de mise, qu'il n'aille pas ce fouler quelque chose non plus, et puis il voulait être au top de ses capacités.
C'est pas les couleurs de n'importe qui qu'il portait et il voulait en être digne et d'autant plus fier.

C'est donc tout pimpant, qu'il était arrivé sur la lice, les couleurs de Cholet l'accompagnait, un homme d'arme portait la lance marchant à côté, un autre une longue lance avec l’oriflamme de Cholet et des Dénéré Malines.
Les trompettes sonnes alors que les jouteurs restant entre en lice suivi de leurs hommes et femmes d'armes.
Les couleurs des terres flotte dans les air, et la foule les acclames.
C'est la folie dans les gradins, et le temps d'attente entre les deux manches n'a rien arrangé, l'alcool est monté aux esprits, et c'est dans un bazar monstre que le Rat arrive à voir sa Duchesse dans la tribune réservé aux noble.
Un petit sourire dans sa direction, l'aura t'elle vue ?!

Mais cette fois, pas de déclaration public, pas de demande de faveur rien de rien ! Il devait ce concentrer, observant d'un oeil le parcours et les anneaux...

Les règles sont annoncées et l'ordre de passage distribué !
Il sera donc le premier...

Petit coup de talon et il prend la direction du bout de lice au pas sur son Bidule, ses hommes le suivant.
Le long du chemin, analysant le terrain, chaque emplacement d'anneaux, il essaye d'imaginer la meilleurs stratégie.
Mais il est bien vite en bout de lice et le temps n'est plus à la pensé mais à l'action...
Les gradins sont sur chauffé, ils veulent du spectacle !!

On lui tend sa lance qu'il attrape et qu'il place sous son bras droit, serrant fort. C'est une lance un peu plus courte et moins épaisse que celle qui a servi au duel.

Concentration, et voila que le signale est lancé.
Coup de talon, et Bidule par au trot avant de prendre le gallo, les yeux du rat fixe les anneaux, approchant à grande enjambé le premier qu'il attrape d'un petit coup de lance.
Chaque mouvement du canasson est important, tout dois ce faire vite, mais avec grâce, et pour le moment Bidule est calme, rapide suivant à la lettre les ordres de son maître.
Le Sénérat dans tout sa concentration en viens à crier les ordres à son cheval tout en lui ordonnant par les gestes, second anneau qui glisse sur la lance, troisième, quatrième, cinquième, les anneaux s'enchaîne. Mais il y en a dix-huit en tout...
Et voila que le rat en a une dizaine sur sa lance, sa main ce crispe, ses paumes deviennent moite, il a peur d'échouer, il veux gagner, le coeur s'emballe.
Et voila que les anneaux continu d'affluer sur sa lance... Quinze, seize... Dix-Sept et le dernier, il le voit, il jubile, un sans faute au presque, le dernier s'approche à grande vitesse et dans un mouvement de lance le Rat le cueille enfin...
C'est un sans faute, tous les anneaux ce retrouvent sur sa lance, pas un échec.

Fier de lui, il diminue la vitesse du gallo au trot et fait un tour de lice, la lance tendu bien haute pour montrer les dix-huit anneaux à l'assemblé tout en criant de plaisir et de joie !


- YAAAAAAAAAAAAAH

Après un tour de piste, arrivant devant la tribune des officiels il montre bien les dix-huit anneaux à Izea et aux hérauts que l'on lui compte bien son sans faute, avec ça si il n'allait pas en final... il voulait bien ce raser la tignasse.
Puis au pas il prit la direction de la tribune ou ce trouvait Chimera, s'approchant au plus prêt et tendant sa lance, fit glisser doucement les anneaux sur ses genoux comme cadeau et reconnaissance.
Et sans un mot il retourna au prêt de ses hommes à l'entré de la lice, ce délestant de sa lance avant d'enlacer le cou de son Bidule pour l'embrasser et lui donner un bonne tape bien viril.

_________________
Mike_von_meister
Il s'était réveiller dans une tente sombre, faiblement éclairée par une bougie en fin de vie. Il avait la fièvre, la plaie avait du être soigné au fer rouge. Il sentait une brûlure intense sur son épaule. Il pensait, de multiple pensée traversait son esprit torturé par la douleur. Une ombre s'approcha de lui, qui était-ce ? il l'ignorait, peut-être un mire qui venait l'apaiser de sa douleur. l'ombre se présenta.

...Bonjour Messsire, je suis Sabze, l’écuyère du chevalier Chika. Je viens voir comment vous allez et vous proposer mes services. Mon chevalier est désolée de vous avoir blessé...

Il avala sa salive, devait-il répondre ? il ne savait pas. Ce chevalier devait être digne de s'excuser ainsi. Il se redressa tant bien que mal et scruta l'obscurité.

...Elle n..'a..pas..

Les mots sortait difficilement, surement le choc et la fièvre.

...a..être..dés.o...lée..

Sa tête le brulait, il avait l'imprèssion qu'un forgeron forgeait une épée dans sa tête.

...C...est...la...joute

Il sourit malgré la douleur, il était satisfait d'avoir participer. Il avait soif, très soif. Il savait que le pire était passé et que son état allait s'améliorer.

Chou..chen..boire..
_________________

Personnage précédent : Mike_Meister 1er (2005-2009)
Roxannemontfortlaval
[toujours dans la tente du Tregor]

.. J'accepte.

Il n'est plus de dos, il est de profil, tourné vers les armes de son père. La main qui caresse l'écrin.

Elle se sent vidée soudainement de toute l'énergie qu'elle a mis à venir jusqu'ici. A la manière dont les doigts caressent les armes, à la façon dont il a penché la tête, semblant captivé par ce qu'il regarde, Roxanne sait qu'elle a eu raison. Elle même la veille en allant dans la bibliothèque des Trente faire une vérification pour la cérémonie qui se prépare, elle est tombée en arrêt devant les armes du Chevalier de Pontekroaz. Se remémorant ce qu'avait pu être sa vie, ce qu'elle en avait entendu dire parce qu'elle n'a jamais eu l'occasion de le croiser Roxanne, le feu Duc du Tregor. Même pas au sein des bâtiments bien fermés que recèle l'Ordre. Il était en mission la plupart du temps, elle ne connait de lui que des portraits. Elle sait qu'il fut Maréchal, tout comme l'a été son parrain et tout comme l'est SON héros. Elle a eu raison de faire elle-même la requête auprès de son Maréchal et de son patriarche afin que les armes de Chevalier de Nilas d'Artignac ne partent point dans l'oubli avec son trépas et soient léguées, ainsi que son Domaine, à celui qui mieux que quiconque sera apte à les faire perdurer dans le courage, la force et la bravoure...et l'amour de la Breizh. Et elle ne sait que trop combien la douleur de perdre un père est cruelle, elle qui ne s'est au fond, toujours pas remise de la perte du sien. Perte d'un père, perte de son fils de coeur, et il semblerait qu'elle ait encore à déplorer une perte. Peu lui prou qu'il apprenne qu'elle soit à l'origine de ce legs, Salomé le sait. Dans un souffle.
Bien.. Elle tourne les talons face à ce dos impoli sans un mot de plus. Déjà, ses pas la mènent auprès de sa tante, le visage est blême et les yeux brillants. Trugarez tata. Pas une syllabe de plus ne sortira de sa bouche. D'un geste doux, elle prend Yaouen-Elfyn dans ses bras, l'enveloppe tel un cocon protecteur et quitte la lice en direction de la forêt. Son refuge depuis qu'elle est enfant, lieu dans lequel son père avait l'habitude de se promener avec elle.

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Chikaka10
Un bruit de pas fit ouvrir les yeux de Chika qui se reposait, essayant de se détendre. C'était son fidèle écuyer, efficace comme à son habitude.

Zéphyr est calmé ?

Bougeant sur sa couche, elle grimaça. Fichus muscles ! Et là ! Le chevalier de Plogoneg fut surprise quand elle vit Sabze prendre de l'huile et commencer à la masser.

Je ne te connaissais pas ces talents Sabze ! Tu es le meilleur écuyer que j'ai jamais eu.

Se laissant aux mains expertes, elle ferma les yeux, sentant ses muscles se dénouer un à un. Se détendant de plus en plus elle finit par s'endormir sous les bons soins de la jeune femme.

Un crieur annonça la deuxième manche des joutes. C'est ce qui réveilla Chika qui s'étira comme une chatte au soleil. Les courbatures étaient loin et elle se sentait d'une force à toute épreuve.

Elle se leva promptement et alla manger un morceau, du pain, du fromage et un fruit. Il fallait être au mieux de sa forme pour la suite.


Elle sortit de la tente, la pomme à la main, croquant dedans à pleines dents afin de voir en quoi consisterait la deuxième manche.

Ainsi ce serait des anneaux. Au moins, là, elle ne blesserait personne. Nul besoin de porter l'armure au complet et nul besoin d'harnacher l'étalon. Il appréciera lui aussi d'être moins lourdement chargé. Il allait falloir faire preuve d'adresse.

Déjà un concurrent se présentait en bout de lice et il s'élançait sous les couleurs de son amie Chimera. Elle suivit avec attention le parcours du messire et fut ébahie de voir qu'il avait fait un sans faute. La partie risquait d'être difficile.


Sabze ! Aide moi à me préparer et amène zéphyr ! Je pense que ce sera bientôt mon tour !

Elle tourna la tête, mais ne la vit pas. Ses yeux parcoururent le camp sans la voir. Et bien ! Où était donc parti son parfait écuyer ? Hum ! peut-être un besoin urgent ! Allez savoir !

La jeune femme retourna dans sa tente afin de se préparer.


Une fois prête, ne voyant toujours pas son écuyer, elle alla chercher elle-même son étalon. Elle en profita pour lui parler.

Zéphyr ! Mon bel étalon ! Ne me refais pas ce que tu as fait tout à l'heure. Je suis ta maîtresse, tu dois m'obéir. Alors ta rébellion tu te la gardes pour les champs de bataille. Là c'est une joute ! pas une guerre ! Alors tu te calmes et tu files droit jusqu'au bout de la lice.

Tout en lui parlant, elle lui caressait le chanfrein. Le cheval semblait l'écouter et secoua la tête de haut en bas, comme pour dire oui.

Elle lui flatta le cou.

Allez on y va Zéphyr ! On doit donner le meilleur de nous même.

Grimpant sur son dos, elle se présenta au bout de la lice à son tour. Elle attrapa une lance spéciale pour les anneaux qu'on lui tendait. Elle la tint fermement et la baissa devant elle, fermement calée contre flanc. Et là elle talonna ceux de son destrier de ses talons.

Yeaaaaaaaaaaaaaaah ! Vas y Zéphyr !

Le cheval s'élança rapidement, trop rapidement et elle attrapa le premier anneau de justesse, le deuxième arrivait à grande vitesse.

Plus doucement !

Chika fixait des yeux chaque anneau au fur et à mesure qu'ils défilaient sous ses yeux. Le bout de la lice arrivait à grands pas avec les derniers anneaux. Tout était allé si vite que la baronne ne put compter ceux qu'elle attrapait. Ce ne fut qu'au bout de la lice qu'elle releva la lance et regarda ses anneaux...

15 anneaux.... Moins bien que le précédent concurrent.


Elle libéra la lice au pas, tendant la lance avec les anneaux afin que les arbitres comptent et notent son score.
_________________
Coldtracker
[De retour en lice..]

Un grognement, voilà ce qui sortit de la gorge du colosse quand il se mit en selle....

La jambe blessée lui posa des difficultés à se mettre en selle....

Il demanda alors une lance et sans perdre de temps mit des deux et se lança au galop mais il n'était pas à l'aise, sa jambe affaiblie le déséquilibrait...

Ne comptant pas abandonner, il continua et se loupa...

Non pas une fois ...Mais cinq fois...

La cinquième fois, il ralentit la monture le temps d’aligner ses pensées...

Le sang coulait sur la plate d'armure et il réalisa qu'il n'allait pas réussir à attraper un seul anneau s'il ne s'adaptait pas rapidement....
Peu à peu il prit appui sur l'autre jambe la soumettant à un rude effort mais on n'appelait pas Maël De Morrigan-Montfort le colosse pour rien...

Aussi, il pensa au plateau d'une balance, il allait devoir prendre appui sur une jambe, galoper et faire l'équilibre avec le reste du corps et tenter d'attraper les anneaux...

C'était difficile mais c'était mieux que de ne rien faire...

Aussi prit-il appui sur une jambe et pencha de l'autre côté s'aidant de la lance...

Et il relança son destrier à grande vitesse....

Et un anneau, deux anneaux....

Un sourire carnassier barra le visage du colosse qui continua.....

Il n'en loupa plus un seul....

Treize anneaux au final...
Ce n'était pas terrible mais pour lui c'était une victoire....

Comme au combat, il fallait savoir s'adapter, improviser et surtout dominer....

Content d'avoir dominé la difficulté , il en lança puissamment la lance qui se planta plein fer dans une palissade de bois...

Il repartit vers ses quartiers, le destrier au pas...

Il ne montra pas un signe de douleur...Pas son genre...
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Une guerre à mener?De Morrigan-Montfort à vostre service...
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