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[RP] Eglise Saint-Michel-Archange de St Lizier

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Une paroissiennes discrète durant la cérémonie s'approcha de Pierre à la fin de celle ci. Elle débitait un flot continus et rapide de mots, si bien que le père restait confus et perplexe....

Ma fille, ainsi vous souhaitez une préparation au baptême pour vous ? Et votre amis ? Une préparation au mariage ?
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Soupirant pour reprendre sa respiration, confuse d'avoir tant parlé, elle tentait de s'expliquer sans trop en dire, ses habitudes italiennes n'étant que trop présentes, la vénitienne s'excusa en hochant la tête, le regard humble...

Oui mon père, je suis confuse de trop parler, je voudrais effectivement, me marier, mon fiancé et moi même voudrions être baptisés...

son visage rosit et ses yeux détaillaient le sol, quand ils n'étaient pas inquiets en scrutant et détaillant les paroissiens dans le fond de l'église...

Les mains toujours tremblantes et le coeur battant, elle devait se sentir pourtant en confiance, le prêtre était avec elle, mais la moindre ombre dans ce lieu, lui laissait un goût amer et lui rappalait son attaque, d'il y a peu icelieu !
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Donc, ma fille, nous partons sur deux préparations au baptême ?
Pourriez vous vous présenter tous les deux aux bureaux de votre paroisse ? Je vous ferais passer une pastorale en bon et du forme, ensuite nous definirons une date, cela vous convient il ?
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Serrant le châle pour cacher sa poitrine, inclinant sa tête en signe approbation, ne sachant comment se comporter devant un prêtre...

Etant enfant, elle avait vu les prêtres dans sa demeure et celle de ses parents, cependant, elle ne les avait cotoyés que pour les mariages dont elle avait été contrainte à assumer par obligations...

Oui, je suis prête ! je donnerais les directives à mon fiancé, s'il désire toujours aller jusqu'aux épousailles avec moi !

La main serrant son mouchoir brodé au fil de couleur, la lettre K en grand sur un des coins, Lou avait le palpitant qui battait à tout rompre, ému et peureuse de se trouver en ce lieu !
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L'heure de la messe avant sonné, c'est d'un pas chancelant et très émut que Pierre se dirigea sur le petit sentier qui menait à l'église. Arès une longue et silencieuse procession, Pierre était devant les lourdes porte de l'édifice, encore une fois nombreux seraient les fidèles pour suivre l'office dominical.

Poussant l'énorme porte, pierre se retrouva nez à nez avec la corde actionnant les cloches, après un bref moment d'hésitation, Pierre fit un grand saut et s'agrippa au cordage.




Une fois l'appel lancé, Pierre se plaça devant la porte afin d'accueillir la communauté de fidèles qui ne manquerait pas cet occasion de communier religieusement, enfin plus nombreux que la semaine passé l'espérait il.....
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Une fois tout le monde installé dans l'église, du moins une bonne partie, bien peut en fait hélas pour un si long voyage. Après avoir salué chacun, Pierre remonta calmement la nef. Arrivé devant l'hôtel, il regarda l'assemblée.

Mes très chers frères et sœurs, nous sommes ici rassemblé pour louer le Très Haut. Nous sommes là pour lui prouver notre amour.
Commençons si vous le voulez bien par la prière du pardon :


Pierre commença la prière faisant quelques pauses, suivit par l'ensemble des fidèles

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.


La prière terminé, Pierre fit une longue pause laissant aux habitants le temps de méditer. Puis il repris la parole.

Mes biens chers frères, mes bien chères sœurs, nous sommes tous en proie au péché et ce toutes les semaines!; Aussi je vous invite a vous faire pardonner vos péchés par le Très Haut en mon confessionnal.

Une fois l'invitation donné, Pierre refit une longue pause, laissant a tout un chacun le temps de se remémorer un péché passé à confesser puis il reprit.

Enfin afin de manifester notre amour du Très Haut reprenons ensemble le crédo si vous le voulez bien.

Puis tous reprirent ensemble :
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Citation:
Pré-Histoire II - Le travail Le temps faisant son travail, les hommes et les femmes devinrent de plus en plus nombreux, maintenant leur amour pour le Très Haut et rejetant dans l’ombre La Créature Sans Nom. Celle-ci nourrissait chaque jour un peu plus son amertume et sa colère envers ce peuple tant aimé du Tout Puissant qui lui avait pris sa place de reine de la Création. Les hommes et les femmes vivaient insouciants alors que dans l’ombre, leur ennemi préparait sa vengeance.

Le Très Haut avait ordonné aux hommes et aux femmes de travailler pour assurer leur subsistance. Ce dur labeur les éloignait ainsi de l’acédie. Et les hommes et les femmes savaient être inventifs, car Dieu les avait conçus ainsi. Ils récoltaient ce qu’Il avait placé pour eux dans la nature. Ils se mirent à contrôler ces ressources afin d’assurer leur subsistance et leur vie n’en fut que meilleure. Ils prirent le blé qui poussait dans la nature et le cultivèrent dans leurs champs. Le meunier transforma le blé en farine dans son moulin. Le boulanger la cuisit dans son four pour faire le pain. Ils prirent le maïs qui poussait dans la nature et le cultivèrent dans leurs champs. Ils prirent les légumes qui poussaient dans la nature et les cultivèrent dans leurs potagers. Ils cueillirent les fruits qui se trouvaient dans certains arbres et purent ainsi s’en nourrir. Le plaisir apporté par les légumes et les fruits les rendait plus agréables à côtoyer. Et ainsi de toutes choses l'homme tira profit...


Alors, il est beau de voir comment, avec l'aide du Très Haut, la grande majorité des hommes et des femmes n'a pas voulu céder à la paresse. On était loin maintenant de cette vie de vagabondage où l'on ne se nourrissait que de chasse et de cueillette... La vie s'organisait selon un modèle qui permettait autant que faire se peut de prévoir afin de ne point laisser sa famille dans le manque ou le besoin. Car voyez vous, ces choses du quotidien qui vous semblent tellement naturelles aujourd'hui n'ont pas toujours été... L'homme ce flemmard a été à maintes reprises contraint à recevoir de grands coups de pieds aux fesses, sur les conseils du Très Haut afin d'organiser au mieux sa vie...

Une fois le sermon fait, Pierre prit le pain et le vin, les sacra et invitât la communauté de fidèles présents ici à venir communier.
Aurelien87
[HRP] Message aux censeurs :
Afin d'éviter de bloquer certains offices en postant cela dans les églises, nous avons préféré les mettre directement sur la halle, toutefois, d'ici quelques jours, nous vous saurions gré de fusionner cela avec le topic du lieu de culte aristotélicien, s'il vous plaît.
En vous remerciant par avance, et en comptant sur votre amabilité. [/HRP]


















Tandis que le jour naissait à peine sur la ville, un petit cortège de moines marchait dans la campagne, leurs robes de bures ornées d'une simple ceinture flottaient à chaque pas. Ils regardaient au loin, là où le soleil commençait à peine à éclairer de ses rayons. Depuis des années déjà, ils parcouraient les routes et répandaient la bonne parole, prêchaient l'amitié, comme on leur avait conseillé il y avait de cela déjà nombre d'années. Ils entrèrent dans la ville d'un pas vif, venant de loin, ils n'étaient toutefois pas fatigués et prirent de suite le chemin du lieu de culte Aristotélicien, qu'il soit église ou cathédrale. L'imposant édifice écouterait leurs chants peu de temps après, il pourrait profiter des heures de travail mis au profit des prières et de la louange, qu'elle soit orale ou intérieure.

Tandis que les cloches carillonaient, appelant chacun à la prière et au reccueillement, les grégoriens se placèrent dans le choeur, prêts à faire résonner les murs de leur Foi et de leur croyance en Dieu. Un vieil homme, de même vêtu, était campé sur le parvis, et saluait chacune des personnes qui étaient venues assister à l'office. Lorsqu'il lui sembla qu'assez de fidèles étaient entrés, il rejoignit ses frères et soeurs, et prit la parole :


















Chers amis,
Grand est notre plaisir de savoir que la Foi existe encore vos coeurs, et encore plus grand de vous voir ce jour réunis afin d'honorer le Tout-Puissant de nos prières, et de raffermir notre croyance en Lui.

Avant tout, je vais vous faire une brève description de l'ordre grégorien, dont nous sommes chacun des frères et soeurs.

L'ordre grégorien, prêcheur de bonne parole s'est rendu ce jour en votre belle cité afin de pouvoir, ensemble, montrer l'Amour que nous avons pour le Tout-Puissant, et ne faire qu'un sous le regard bienveillant de l'Eglise Aristotélicienne.

L'abbaye d'Argenta, Forteresse inébranlable de Foi et de Vertu, vous
ouvre ses portes. Les pères de l'Ordre, tous les membres vous
accueilleront pour partager avec eux, savoir et connaissance, pour
vivre une vrai vie d'amitié aristotélicienne, pour que vous y trouviez
un hâvre de calme, de méditation et de repos.

Prônant quatre valeurs qu'il a toujours défendu, à savoir :



  • SAVOIR
  • AMITIE
  • PARTAGE
  • CHARITE

L'ordre est aussi sous la protection de Saint Grégoire, Saint Origène et Sainte Sylvia, chacun étant l'illustration d'une de nos valeurs. Ils sont nos modèles et nous guident de par l'exemplarité de leur vie.

Mes amis, l'Eglise a besoin de vous ! Rejoignez l'ordre grégorien : Consacrez vous à la propagation de la Foi, à l'Amour du Tout-Puissant, à l'étude ! Rejoignez une communauté où l'Amitié prédomine, où vous serez sûrs d'être aidés en toute situation !


Frères et Soeurs, prions ensemble pour l'honneur de l'Aristotélisme, de l'Eglise et du Tout-Puissant !



    Ô Christos, toi qui es mort
    Pour nous sauver du péché
    Aide nous à nous détacher
    Du bien physique de notre corps.

    Ô Christos, toi qui a fait fleurir la foi
    En des coeurs n'ayant point de loi
    Fais que celle-ci entre en nos esprits
    Afin que nous honorions l'Infini.

    Ô Aristote, toi qui donna les préceptes,
    Fais que ne gonflent pas trop nos têtes
    Accomplissons modération et tempérance,
    Le péché nous nous rendra pas rances !

    Ô Aristote, toi qui consacra l'étude à ta vie,
    Aide nous à apprendre et comprendre,
    Fais que nous ne soyons plus des apprentis,
    Et que nous ne puissions plus nous méprendre.

    Ô Saints, voyez comme nous vous implorons !
    Ô Saints, voyez comme nous vous prions !
    Ô Saints, aidez nous dans notre vie d'Aristo
    Ô Saints, nous vous rejoindrons là-haut...



Et en image...


Les grégoriens chantaient... les grégoriens chantaient ! Lorsqu'ils eurent fini, par ailleurs, une jeune novice au visage tout rose alla calmement jusqu'au pupitre où était posé le livre des vertus, et il se mit à lire :

Citation:
Saint Georges - Livre III - Archanges
“Quand il n’y a plus d’espoir, il reste toujours l’amitié.”
Alors, une vielle femme, au regard dur, à la volonté de fer, s’avança vers lui et lui demanda:
“Et
toi, l’étranger, es-tu venu en ami? Car il est en cette cité des hommes
et des femmes dont la parole est de miel mais dont les actes sont comme
le venin. Ils vivent sur des montagnes d’or, et ne désirent rien
d’autres que de s’élever encore plus dans leur fol quête de butins. La
vie de leurs semblables leur importe peu, tant leur soif de trésors les
dévore.”

“Je sais”,
répondit l’homme. “C’est pour cela que je viens à
vous. La richesse du coeur ne peut être égalée par les richesses de ce
bas-monde. Emporteront-ils leurs montagnes d’or dans l’autre
vie?”

“Non, certes pas”,
lui répondit la vielle dame. “Mais les
richesses du monde nous sont-elles à jamais interdites? Devons-nous
nous réduire à vivre tels des animaux pour honorer la richesse de
l’âme?”

“La vie vous a-t-elle appris à
renier votre main gauche pour employer la droite?”
,
demanda l’homme. “Il en est de même pour les
trésors que Dieu a créés pour nous. Que les richesses matérielles
soient vôtres, car Dieu, par amour pour Ses enfants, nous en a fait
don. Mais n’oublions jamais qu’il n’est pas de plus beau trésor que
l’amitié.”


Alors, un jeune homme se dressa et lui
demanda:
“Mais qui es-tu, toi dont les paroles sont
emplies de sagesse?”

“Mon nom est Georges”, répondit-il.


Alors qu'il se taisait, une soeur d'un âge mur s'avança, elle avait la conviction dans la peau, comme auraient dit certain, et elle se mit à parler, point longtemps, mais juste ce qu'il fallait, suffisamment pour que chacun puisse saisir le message :

Mes chers enfants, l'amitié est ce qui permet à nombre d'entre nous de vivre encore, cette amitié, nous la trouvons dans l'ordre, où l'entraide et le respect trônent auprès de la Vertu et de la Foi. Croyez-le, ou non, mais rien n'est plus important que le contact avec autrui, et certains grands hommes ont réussi, de par leur conviction et leur croyance en Dieu, a aider leur prochain, comme Saint Georges.
Prenons exemple sur lui, mes enfants, car il nous mène droit à la vie heureuse au paradis solaire, près du Père de l'humanité.


Elle se tut et recula à son tour, laissant la place à nouveau au recteur, qui s'avança d'un pas assuré, et se plaça juste devant les marches tandis qu'un autre frère amenait un plateau d'hosties ainsi qu'une grande coupe de vin, Aymé saisit les deux et dit alors :

Frères et Soeurs, communions ensemble dans l'Amitié Aristotélicienne !





Lorsque chacun eut bu une petite gorgée de vin et partagé le pain, le recteur reposa le plateau sur l'autel, avant de se tourner à nouveau vers l'assemblée, et de s'adresser à celle-ci, sa voix tremblant de Foi et de conviction, comme la Soeur qui l'avait précédé :

Mes amis, l'ordre grégorien vous tend les bras, rejoignez nous, vivez dans l'Amitié Aristotélicienne, la vertu et avant tout le bonheur.

Puissiez vous aller dans la paix de Dieu !


Alors, le cortège se mit en branle et traversa l'allée centrale, avant de s'installer sur le parvis et de remercier chacune des personnes venues assister à cet office exceptionnel. Le vieux recteur espérait qu'il aurait été source de bonheur et de Foi pour chacun d'eux. Il était déjà l'heure de reprendre leur chemin, alors les moines, toujours vêtus de bure, se dirigèrent vers la ville qui, à son tour, pourrait entendre les prêches grégoriens...



Sujet fusionné à l'église aristotélicienne à la demande de l'auteur. Merci. Thersite

Eviter d'employer la couleur d'écriture verte, couleur réséervée par coutume aux censeurs. Merci et Bon jeu.
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Villeurboy
Villeurboy entra dans l'édifice religieux, le genre d'édifice où il n'allait que très peu. D'ailleurs, il visitait pour la première fois l'église de St-Liziers et trouvait le bâtiment bien peu à son goût...

On lui avait conté la magnificence du dit édifice, magnificence qu'il trouvait bien surfaite...

Il alla s'assoir dans un coin, et attendit en ronflant discrètement que la messe se termine.
Lisbelle
Lisbelle, qui n'était à St Liziers que depuis peu, ne voulait pas manquer de participer à la messe. Ce n'était pas parce qu'elle n'était pas dans son village d'origine qu'elle ne devait pas louer le Seigneur.
Fervente croyante, la fillette s'approcha de l'édifice, qu'elle ne put s'empêcher de comparer à l'église d'Angoulême, son village de cœur. Elle pensa à ses amis, se demandant si ils avaient déjà commencé l'office. Forth était le diacre depuis peu, elle aurait aimé voir une autre de ses messes. Bah, ça viendra quand elle rentrera!

Elle gravit les escaliers en demandant à Croktou de l'attendre sur le parvis de l'église comme à chaque fois qu'elle allait dans ces établissements, et avança le long de l'allée que formaient les bancs. Elle décida de s'assoir dans un endroit d'où on ne la verrait pas trop, n'aimant pas se faire remarquer, et s'installa donc dans un coin, près d'un homme qui semblait-il, commençait à somnoler.
Lisbelle esquissa un sourire. Peut-être espérait-il que son sommeil soit béni^^

La messe commença, mais la fillette fut gênée par quelque chose... Bien que discrets, les ronflements étaient... agaçants. Elle n'aurait rien fait si elle avait été dans une période de vie normale, mais là elle venait d'enterrer un ami, aussi était-elle d'humeur plutôt morose. Elle avança une main vers la cuisse de l'homme et le pinça suffisamment fort pour qu'il se réveille.
Elle pourrait peut-être ainsi entendre ce que le prêtre disait...

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Chroniqueuse de la Grande Maison d’Attigny
---fromFRMacyto
Macyto tôt le matin c’était décider à aller dans la cathédrale qui ne lui paraissait pas très visiter ces derniers temps, il avait passé son habit de sergent en se demandant qu’est-ce qu’il faisait ici. Sur le chemin il admira un vol d’oiseau mais n’ayant pas le cœur à grand-chose à part a recevoir de triste missive ces derniers temps, il s’arrêta sur un banc pour se parler à lui-même « Faire le point… Humm… Bon bref. »

Ne sachant pas quel chemin prendre il partit vers l’église d’un pas nonchalant, lorsqu’il entra il remarqua que l’autel n’avait pas beaucoup servit ces derniers temps et ce demanda un instant s’il servait à quelque chose ici, et même en général… Leur dernière trouvaille était de parader, parader ! … Il alla s’asseoir sur un banc en faisant une tâche dans la poussière, il aimait la tranquillité de cette cathédrale, il ne venait sûrement pas pour prier car ces derniers temps sa foi et son foie était plutôt mal partit.

Après avoir réfléchit un instant sur son banc il s’approcha d’une statue représentant un saint quelconque et se mit dans une position de « miprière » : sa tête lançait des regards hagards de chaque côté mais il était à genoux… Lorsqu’il eut finit il se releva et passa derrière l’autel pour s’occuper à enlever la poussière qui reviendrait sûrement.

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Macyto
Sergent de la garde épiscopale de Saint-Lizier
Ancien Lorrain
VIVE LES ASSOIFFES
Chevalier Philosophe
pnj
Cassandres
Cassandres laisse un parchemein su la lourde porte en chéne
Un très grand malheur vient de frapper sa majesté le Roy de France



Rehael de Plantagenêt a écrit:
Nebisa a écrit:



    Des mesures du Grand Deuil.

    Peuple de France qui pleure ta Reyne défunte, selon la volonté de Sa Majesté le Roy Levan III de Normandie, les suivantes mesures sont édictées pour trois semaines.

    Durant trois semaines, sont déconseillés les festivités, bals, joutes etc.

    Les nobles de France porteront en signe de deuil leurs armes en berne. (contacter vostre héraut)

    De même, en tous lieux et places du Royaume, les armes de France seront en berne.

    Le port de de vestures couleurs vives et chatoyantes, les pierreries ostentatoires et les fourrures précieuses sont déconseillées.

    En complêment, les provinces sont libres de prendre les mesures qu'elles désirent.

    Pour faire ce que doit,
    Nebisa de Malemort,
    Comtesse de Ségur

    Grand Chambellan de France











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Cassandres
Cassandres s'installe sur un des bancs et sort de sa besace e livre des vertus

Citation:
Chapitre 8 : La ressurection
Cette voix que j’entendis, alors que je me trouvai en compagnie d’Aristote et de Christos, était calme et pénétrante. Ils m’expliquèrent que c’était Dieu Lui-même qui allait me poser la question. J’allai enfin savoir laquelle était-ce. La voix divine me dit: “Toi, l’humain que les tiens nomment Sypous, tu es venu à Moi, découvrant tout ce qu’un humain pourra connaître après sa mort. Tu as visité chacun des sept Enfers, où tu as rencontré chacun des Princes-démons, qui se sont présentés à toi, conformément à Ma volonté. Qu’as-tu retenu de tes périples?”

Je répondis: “J’ai compris le sens du Salut. Lorsqu’un humain a vécu dans la vertu, s’étant ainsi conformé à Ta divine parole, transmise par le prophète Aristote et par Christos, le messie, Tu lui accordes le droit d’accéder en ces lieux, au Paradis, au sein du soleil. Si il se détourne de la vertu, refusant d’écouter Ta divine parole, qu’il s’abandonne aux plaisirs terrestres, à l’égoïsme, à la tentation, à de fausses divinités, Ton infinie sagesse t’amène à l’envoyer en Enfer, dans la lune, pour y être puni pour l’éternité. Tu nous aime, mais c’est également à nous de T’aimer.”

Dieu me dit: “Maintenant, le temps est venu pour toi de faire ton choix. Tu peux décider d’accepter la mort. Dans ce cas, je jugerait toute ta vie, les moments où tu as su oeuvrer pour la vertu et ceux où tu t’es détourné d’elle. Si, alors, Je juge que tu le mérite, tu rejoindra les élus pour une éternité de joie et de bonheur. Mais si Je juge alors que ta vie n’a pas été assez vertueuse, tu connaîtra une éternité de tourments en Enfer. Mais, si tu penses que ton temps n’a pas encore été accompli, que tu n’as pas encore fait tes preuves devant Moi, tu peux décider de revenir à la vie.”

Je ne savais que répondre. Avais-je mérité de rejoindre le Paradis ou finirais-je en Enfer? Alors, j’entendis des voix. C’était celles de mes amis, qui priaient pour le Salut de mon âme. Bien qu’ils se trouvaient sur terre, je les entendais distinctement. Cela me faisait chaud au coeur de voir qu’ils se souciaient tant de ce qui allait m’arriver. Il me fallait leur montrer que leurs prières n’étaient pas vaines. Je décidai d’accepter la résurrection, afin de pouvoir vivre dans la vertu et de mériter le Paradis. Je leur devais bien ça, au moins autant que je me le devais à moi-même.

Dieu me dit alors: “Depuis que J’ai décidé de changer l’esprit des humains en âme, afin qu’elle soit jugée à leur mort, chacun d’eux parcourt le chemin qui t’a conduit à Moi, et Je pose la même question à chacun d’eux. Certains ont la même prudence que toi, d’autres accèdent au Paradis, et d’autres surestiment la qualité de leur vécu et sont envoyés en Enfer.”

“Ceux qui ont opté, comme toi, pour la résurrection ne gardent pas traces de leur périple céleste dans leur mémoire. Ainsi, leur comportement ne change que si la leçon s’est gravée au fond de leur coeur. Mais, afin que tous sachent quel sort terrible les attend si ils se détournent de mon amour, je te laisse exceptionnellement la mémoire. Tu pourra ainsi témoigner de ton périple. Et ton témoignage restera pour les siècles des siècles. Maintenant que tu sais quelle tâche Je t’ai confié, retourne à la vie, jusqu’à ce que Je te rappelle pour que tu fasse un nouveau choix.”

Alors, ma vue se brouilla. J’eus tout juste le temps de voir Aristote et Christos me dire à bientôt avant de perdre connaissance. Lorsque je me réveillai, je me trouvai dans mon lit, les bras en croix. Autour de moi des cierges étaient allumés et mes amis étaient en train de prier. En larmes, mais visiblement soulagés, ils m’expliquèrent que cela faisait neuf jours que j’étais mort. Je me levai, alla à la fenêtre, et vis que le soleil diffusait à nouveau sa chaleureuse lumière sur le monde. Je racontai à mes amis mon incroyable périple et décidai de coucher sur le papier tout ce que je venais de connaître pendant ma mort.



(url=http://www.lesroyaumes.com/aide/fr/leDogmeAristotelicien.html] Livre Des Vertus[/url]
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Fantik37
Fantik aime se retrouver dans ces lieux paisibles pour prier ou simplement réfléchir à sa vie.

Arrivée de bon matin à Saint Liziers, elle découvre une ville fort différente de Montauban. Le plaisir des voyages...

Elle pousse la lourde porte et pénètre dans l'édifice.
La même quiétude l'attend...senteur de cire, de fleurs et de cierges mêlés.
Elle s'avance doucement dans la nef découvrant les vitraux et statues qui font la richesse des lieux.
Christos est là, qui l'attend... Elle s'assied et commence à méditer sur les derniers jours qu'elle a vécu. Tant de choses se sont passées...




Christos, me voici devant toi
Tout simplement dans le silence.
Comme Oane, j'ai enfin compris le sens de la vie...

Dieu un père aimant pour moi?...je ne comprenais pas...aimer et être aimé c'est quoi?

Mais il est venu et il m'a tendu la main.
J'ai mis longtemps à lui faire confiance, j'ai mis longtemps à le comprendre, lui ne doutait pas...
Il m'attendait.
J'ai cru le perdre avant de l'avoir trouvé, je lui ai ouvert mon coeur, lui disant ma souffrance.
Maintenant je comprend aimer et être aimée.

Je vais pouvoir me rapprocher de Dieu un peu plus, lui offrir cet amour qu'il a suscité en nous et que nous ferons grandir jour après jours.
Mon amour d'enfant de dieu aussi bientôt...
Présenter un jour peut-être plus que des mots.


Fantik resta là un long moment savourant sa découverte sur son chemin de foi.
Le père Vanwolk lui avait demandé de réfléchir à sa vie de futur Aristolélicienne pour son baptême, elle savait dorénavant où elle aimerait que ses pas la conduisent.

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