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[RP-PRivé] sans foi, ni foie, l'âme alcoolique s'en ira...

Reinhart_manausen
Voila plusieurs jours qu'il avait laisser Zahra, sa marraine. Les dernières parolse de celle ci, avant son départ pour la capitale Lorraine, étaient restée gravée dans sa mémoire. Elle voulait voir un médicastre que sa mie n'appréciait point comme médecin. S'était la le dernier recours a la floraison de six rose en elle.
Mais depuis plus de nouvelles. Quand a Melodie elle avait du s'absenter pour des raisons personnelle le laissant gérer le domaine d'Ottange.

Il arpentait les couloir du castel de Mélodie le regard vide. en l'absence de celle ci l'armure de glae que le jeune homme s'était créée au fur et a mesure du temps avait reprit sa place. Sa froideur vis a vis des gens de maison était peu soutenable. Il passait de longue heure dans le petit salon seul avec un verre d'absynthe. Pourtant, parfois on pouvait l'entendre murmurer dans sa langue natale. Son inquiétude vis a vis de sa marraine et de l’état de celle ci grandissait a mesure que les nouvelle n'arrivait pas. sur la table devant lui le parchemin qu'elle leur avait remit avant son départ pour Nancy. Il le connaissait par cœur maintenant jusqu'à la virgule près. a force de le lire et de le relire. Le testament quand a lui était toujours sceller.
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Forcejaune
FJ regarda l'etat pitoyable dans lequel se trouvait cette trainée de Zahra... Elle se trainait, tant bien que mal jusqu'à la porte, en pleurnichant de la laisser fuire, de se reposer un petit peu.
C'est toujours comme ça... les gens ont toujours eue des grands projets. Mais dès qu'il s'agit de les réaliser l'immense majorité ne franchissent pas le premier pas. Les rares qui osent, pratiquement tous arretent avant d'avoir franchit le second pas.
Elle faisait parti de ceux, qui, apres avoir franchit le premier pas se rendent compte que ce qu'ils voulaient faire, bah ils ne sont pas pres a faire tous les sacrifices necessaire pour y arriver.

Zahra voullait guerir, où, à defaut, avoi rune mort digne, sans trop de souffrance. Mais elle n'avait pas imaginé tous les sacrifices necessaire, quand elle demanda les sercices, quand elle suplia l'aide de FJ.

FJ la regardait. Son regard n'etait pas haineux, ni compatissant. Plustot desolé, qu'elle ne sache pas ce qu'elle veut vraiment. Elle etait sur la bonne voix, pourtant.
Il lui dit :


Je vous rend votre liberté. Profitez de ce qu'il vous reste a vivre. Car, je suppose que vous ne reviendrez pas me voir.


Il se retourna, se dirigea vers le sorcier, lui demanda de l'aider à ranger et à faire propre... enlever les petits cadeaux que Zahra avait laisser sur le sol.
Ils avaient deja commencer, quand celle-ci, tant bien que mal, ouvrit la porte pour sortir. FJ sans se retourner lui lança cette parole :


C'est seulement quand on a tout perdu, qu'on est libre de faire tout ce qu'on veut.


Quelques secondes plus tard, un bruit se fit entendre. La porte venait de se refermer. Zahra était dehors, au grand frais.
Il pensait, reelement, qu'il ne la reverrait jamais. Il ne lui avait pas dit adieu. Qu'il etait heureux de l'avoir connu...? Pas plus que cela... ce n'etait qu'une personne parmis tant d'autre dont le chemin de sa vie avait croisé celle de FJ, a plusieurs reprises.
Et qui probablement ne se recroiseraient plus. Mais ça, seuls les prochains jours pourront l'infirmer ou le confirmer...
Forcejaune
Cela faisait deja plusieurs jours que cette petite trainée de Zahra c'était fait la male du cabinet medical, comme une malpropre. L'odeur rance de la transpiration, et celle du vomi commençaient à peine à s'estomper.
Tout avait ete bien rangé, bien nettoyé. Comme si rien ne s'y était passé durant les quelques heures où l'alcolique y avait fait acte de présence.

FJ était assis sur son grand fauteuil, derriere son grand bureau en cedre du Liban (oui, parceque ça fait plus classe d'avoir un bureau dans un bois qui pousse loin de la Lorraine).
Il etait fort pensif. Il se demandait si ça valait la peine d'avoir un cabinet medical. Car, d'une part, il faut l'avouer, il avait assez peu de patients. Et d'autre part, si tous les clients qu'il avait devait etre du meme accabit que l'autre Zahra, il ne tiendrait pas longtemps.
Pas qu'il n'aimait pas les challenges. Il adorait ça. Mais, comme FJ commençait à se faire vieux (depuis deja plusieurs années qu'il est vieux le vieux), s'il devait faire une debauche d'energie aussi importante a chaque fois il ne tiendrait plus bien longtemps.


Ah non alors, plustot crever plustot que mourir rapidement !!!


FJ beuga un instant. Il remarqua l'absurdité de sa reflexion. Il n'empeche, il comptait vivre encore quelques années, pour continuer à enmerder ces enfants gatés de Lorrains...

Je me demande si ça marcherait d'ouvrir une morgue.... Peut etre bien que je pourrais commencer avec ce dechet de l'humanité de Zahra...
Abondance.
Elle avait pris le large du moins pas trop loin la baronne,
elle avait besoin de respirer l'air frais, de se sentir un peu vivante oui,
elle avait mal au crane, une douleur plus sévère qu'un lendemain de cuite,
elle souffrait , c'était peu de le dire, les boyaux qui se tordent , puis ce sang qui se déverse jour après jour, elle se vide doucement, lentement de sa vie, et pour ne pas arranger les choses le Très Haut , ou le Sans Nom allez savoir, lui avait envoyé des amis pour animer son esprit déjà détraqué , par des années d'excès , elle était au bout du rouleau la Z.

Le temps pour certains c'est de l'argent, si s'en était, on pourrait dire que la Beaulieu était pauvre, mais alors très pauvre car plus de temps non, et cela elle ne pouvait pas le savoir, elle commençait à avoir cette prise de conscience, comme si elle avait atteint un stade de "non retour", un moment de la vie, où elle n'a plus rien à perdre, alors elle reste figée devant la porte de ce cabinet, la main qui tremble sur la poignée, elle revient de son plein gré.

Elle a pourtant tenté de suivre au mieux les conseils de Forcejaune, s'éloignait de l'alcool, mais bon ce n'était pas une chose aisée, quand elle replonge la Zahra, elle n'y va pas de main morte, ah ça non, elle aime tout faire avec passion, l'alcool ah quelle passion pour elle, s'il y a bien une chose qu'elle aurait apprécié jusqu'au bout se sont ces moments d'ivresse, en bonne compagnie ou seule, c'était toujours bon de boire un peu, de voyager sans avoir à bouger, car ses délires éthyliques étaient uniques, ils étaient tordues, et plein d'imagination, alors on peut dire que la baronne s'était amusée pendant pas mal d'années, mais qu'aujourd'hui, c'était tout autre chose, tout ces fou rire, tout ces délires avaient viré en un pâle final, elle était devenue un déchet vivant, une roseraie titubante, qui avait besoin d'un jardinier, et qui mieux que Forcejaune pour incarner ce jardinier ? On est loin du sexy là, mais on est proche de la réalité il fallait un vieux, pour avoir le courage de se lancer dans cette expérience unique certainement dans le duché de Lorraine, une avancée dans la médecine ou bien, un reculons , seul le temps le dira.

Un petit mandat de mairesse, pour tenter d'allier la volonté de sevrage ,
quoi de mieux que cette fonction pour ne pas picoler?
Le résultat est décevant, toujours les roses qui rongent; pis niveau mentalité, ce n'est pas mieux, défaitiste à souhait, elle se voyait déjà un pied dans la tombe, fallait juste l'aider à y aller et qui mieux que lui?
Qui mieux que cet être privé de tout sens moral, Forcejaune, blasé par ce duché certainement un peu plus que la baronne elle même, alors elle lui fera confiance jusqu'au bout, bien que l'épisode Marabout et bout de ficelle avec la poupée chuky Zahra, ça lui avait retourné le cerveau , pis ne parlons pas de son estomac, toute façon la brune décalée avait atteint le sommet , digne de faire partie du club de Sainte Vomitout, que son nom soit sanctifié au passage, elle pouvait gerber à la demande "so sexy , so glamour " la Z.

Elle frappe par politesse, pis tourne la poignée,



FJ ...ça sent le propre ici.

En langage de Zahra, cette phrase veut dire , bonjour, bon bon, je peux resalir le tout ça ira ?


le salut à vous, peau de charbon il est parti avec sa poupée du Sans Nom?

En 1460 , elle a toujours du mal à dire "personne de couleur", alors peau de charbon ça le fait, car c'est un blanc à la peau charbonnée, c'est tout, voila l'explication.


Je suis propre.
Toilettée, coiffée même.
Sobre, je n'ai pas bu.


Elle retire sa cape, pis lui montre son ventre nue, ah lalala, si quelqu'un d'autre débarquait dans le coin, il pourrait penser que la baronne était en mode "aguicheuse" , pis que la prochaine phrase serait " à poil le vieux ! On va travailler!", à se demander si la Décalée était vraiment malade pour vouloir se faire "arranger" par Forcejaune, bien c'est le cas de le dire, elle le veut plus que tout hein se faire arranger le ventre pas autre chose voyons...

Vous m'assommez ?
vous me soulez ?
enfin si vous avez un peu de pavot, c'est radical, ça assomme en douceur,
on ne sent plus rien après.


Qu'elle dit dans la foulée, en gros elle l'invitait à passer sur la table,
à opérer, pas le temps de manger ou de faire autre chose, son temps est compté.


Vous êtes toujours partant hein?
ne me dites pas que vous ne voulez plus hein?


L'air interrogateur , elle regarde autour d'elle,
on dirait que c'était une toute autre pièce, tout était rangé,
même parfumé, elle passe sa main sur sa bouche, lâchant un rot "puant",
et ouais malade jusqu'au bout, les remontés gastriques qui tuent un peu tout.
Terminé l'haleine douce et fraiche, bonjour le calvaire.
Forcejaune
FJ était assis sur son fauteuil, derriere son bureau. Il etait plongé dans ses pensées. Il allait d'une chose à une autre. Cala faisait deja un long moment qu'il était dans ses reveries, quand il pensa à Zahra.
Ah Zahara !!!
Zahra, cette petite ecorchure, qu'on a dans le palais; et, qui ne peut cicatriser que si on arrete de la lecher. Mais on ne peut pas...

C'est à ce moment precis, qu'elle entre en scene. A croire que les grand esprit. Zahra entre. Elle fait parti du champs de vision du vieux medecin de maniere assez flou. Comme quand on regarde un paysage, sans reflechir. Quand un nouveau element arrive, on le voit sans me voir. On sens que quelque chose de nouveau vuent d'arriver. Mais on ne sait pas quoi. On ne sait pas où.
Fj sort petit à petit de sa reverie. Il fixe Zahra sans rien dire. La laissant monologuer, seule, sans dire quoi que se soit.

FJ n'etait ni heureux, ni en colere de la voir. Seulement blasé. Blasé d'avoir ete tiré d'un moment de reverie. Un des rares moments où il peut s'extirper de cette triste realité qu'est cette réalité en Lorraine. Sans avenir.
FJ avait un reve pour la Lorraine. Ce n'est pas ça. Non ce n'est pas ca!

Il laissa un moment s'ecouler apres que la suicidaire est fini de parler. Il pris sa dague et joua un peu avec. Puis, il prit la parole :


La vie est un reve effrayant, vous ne trouvez pas...?


Il la fixa, doit dans les yeux. Pendant quelques instants. Puis, il reprit d'une voix froide.

La mort nous sourit à tous. Tout ce qu'on peut faire, c'est lui sourire à notre tour.


FJ eue un petit sourire mélancolique. Puis, soudainement, il planta sa dague sur son bureau, tout en se levant. Il posa ses deux mains, de chaque coté de sa dague.
Puis, d'une voix tout aussi froide que precedement, il dit :


En fin de compte nous mourons tous. Nous ne pouvons, malheureusement, pas choisir notre mort. Mais, nous pouvons décider comment aller à sa rencontre. Afin que l’on se souvienne de nous.


FJ fit craquer ses doigts. Puis, il se dirigea vers Zahra. Quand, il fut en face d'elle, à quelques cm, il lui dit, droit dans les yeux :

Etes vous prete à mourir...?
Abondance.
Vous savez ce que c'est les longues secondes de silence après un monologue?
Quand on attend désespérément que l'autre répond, qu'il réagisse, qu'est ce qu'on peut bien ressentir à ce moment là?
Bien Zahra était là, plantée comme un condamné, qui attend sa sentence, puis FJ, était un joueur dans son genre, à vrai dire, la baronne ne savait jamais à quoi s'attendre avec lui et c'est pour cela qu'elle avait choisi, lui et pas un autre, imprévisible elle n'avait plus trop d'espoir, à vrai dire, elle ne s'attendait pas trop à un miracle, mais elle voulait tenter , et lui devant elle, impassible, froid, il était parfait comme bourreau au fait.
Le silence ce brise soudainement , il ne répond pas à ses questions non! De toute manière, il n'aimait pas les dialogues, c'était une chose qu'elle avait percutée la Zahra depuis bien longtemps, depuis l'époque de la vente d'esclaves en Lorraine, alors pour ne pas changer le vieux lui lance une phrase hors contexte , pas de pavot , rien qui déchire la tronche sur le coup, il joue avec une dague..


La vie est un rêve effrayant, vous ne trouvez pas...?


Il veut son avis ? il est sérieux? elle le regarde perplexe, puis se contente de hocher la tête bêtement.


La mort nous sourit à tous. Tout ce qu'on peut faire, c'est lui sourire à notre tour.


Il la lui la joue comment là le toubib? Voila que l'hérétique se prend pour un curé? Du coup elle se contente de grimacer légèrement, au toubib Gourou de la secte des suicidaires alcooliques, e elle grimacet à la mort qu'elle s'imagine derrière lui, aussi vielle que lui, mais c'est une femme, aux cheveux gris, elle a pas de dents , puis elle joue avec une dague aussi étrange non? Encore un délire pour l'éternelle enivrée de Beaulieu.
Pis voila que la mort est synchronisée avec Forcejaune, elle plante la dague sur le bureau assez brutalement, de quoi faire trembler la grande malade, puis lui faire faire un pas en arrière, comme si elle reculait un peu....


En fin de compte nous mourons tous. Nous ne pouvons, malheureusement, pas choisir notre mort. Mais, nous pouvons décider comment aller à sa rencontre. Afin que l’on se souvienne de nous.


Elle tente de se contenir un peu, elle s'encourage à ne pas flancher et détaler encore comme une lapine, elle efface sa grimace pour afficher un léger sourire en coin, fixant du regard la dague sur le bureau, elle essuie quelques gouttes de sueur froide qui coule sur son front, quelque peu soulagée de se dire que se ne sera pas avec cette dague qu'il lui trifouillera ses entrailles ... et cette idée la secoue tout de même.

Voila qu'il semble bien détendu le docteur, futur éventreur de Zahra,
il craque ses doigts , puis s'approche d'elle , pis encore une question.


Etes vous prete à mourir...?


Elle déglutie la baronne, elle ne tient plus sur ses deux gambettes, tellement l'émotion est grande, c'était la première fois qu'on lui posait cette question dans sa vie, et là, elle ne savait pas quoi répondre, franchement elle aurait voulu crier "NON", mais elle était tellement mal, des mois de souffrance, à devoir supporter ses spasmes , avec cette impression qu'à l'intérieur de son ventre il y a une guerre "alliance Ponant versus Royaume de France", mais par contre là dedans pas question de trêve; on dirait qu'il n' y a pas d'église pour parlementer aussi,
alors faute de pouvoir compter sur la diplomatie de l'église dans son ventre, pis faute de pouvoir compter sur sa foi en l'église aristotélicienne pour se remettre de cette atroce maladie qui la ronge à petit feu, elle répond ceci.


oui et non mais on s'en fout. L'important c'est que vous m'aider un point c'est tout. Que se soit à vivre, car voila des mois que je ne vie plus, je survie, ou à mourir.


Elle baisse le regard un instant, songeuse, passe sa main sur son ventre, et la longue cicatrice qui le parcourt déjà, un souvenir de guerre, qu'elle aurait bien aimé ne pas avoir eu à garder, et si c'était la faute de ce coup qu'elle souffrait autant? Si cette histoire de six roses n'étaient qu'une fable pour qu'elle cesse de vider les caves des personnes qu'elle croisait dans sa vie, et des tavernes qu'elle visitait ?
Pourquoi se poser autant de questions, elle n'avait plus de patience, et l'heure de la délivrance s'approchait certainement, pourvue qu'elle soit douce qu'elle se dit , voila qu'elle a encore une inondation au niveau de ses mirettes, de quoi laver son visage encore une fois, elle pleure la désespérée, elle suit les perles de larme qui tombe sur le bout de ses bottes, jamais de sa vie elle avait autant chialer que ces derniers jours, elle prenait soins de le faire en privé, pour ne pas montrer sa faiblesse, mais là devant le Gourou- FJ, elle ne savait pas se contrôler il était si franc, il ne passait pas par quatre chemin, aucun tact pour faire comprendre que c'est mort d'avance , qu'il n'y aucune chance qu'elle soit sauvée.
Qu'elle soit prête ou non, en gros le toubib il s'en fout non, le dialogue devait cesser , et quoi de mieux que de passer "à table", pour faire clouer le bec de cette dégénérée alcoolique.
Forcejaune
FJ, pendant que Zahra lui repondait, etait aller chercher un seau vide. Il sortit d'une amoire plusieurs bouteilles d'alcool fort. Tres fort. Plus fort que la Mirabelle. Et frelaté, qui plus est. Il les versa toute dans le seau.
A ce moment la le beau grand sorcier noir arriva. FJ lui demanda d'aller lui chercher un cochon, bien gras. Et, sii possible, un qui n'avait rien mangé depuis la veille. Ce que le moricaud se chargea de faire tout de suite.

FJ en revint à ses bouteilles et à son seau. Il fini de vider les deux dernieres bouteilles dans le seau. Il laissa celui ci sur son bureau. Il invita la pochetrone à le rejoindre au niveau de son bureau.
Une fois qu'elle fu à son niveau, FJ lui mit un bon coup de genoux dans le ventre. Zahra se plia en deux de douleur. Il joignit ses deux mains, en passant ses doigts les uns entre les autres, leva les bras en l'air. Puis, il rabaissa les bras. Ses deux mains fraperent l'arriere du crane de Zahra.
Elle s'ecroula à terre. C'est que le vieux, il savait frappé au bon endroit, et savait utiliser sa force de telle façon à ce que les coups fassent mal.

Il mit le seau, remplit d'alcool, à terre. Il pinsa les fesses de la tainée pour la reveiller. Elle commençait a se remttre des coups reçut qu'il lui plongea la tete dans le seau. Plusieurs fois de suite, durant d elongues secondes. A chaque fois à la limite de la noyade.
Il la forçat meme à en boire un bon litre et demi. L'effet commencera à se faire sentir d'ici quelques minutes. Et avec le reste d'alcool qui restait dans le seau, FJ lui balança sur les vetements de Zahra.
De ce fait on, peut dire qu'elle etait inbhibé d'alcool. Dans tout les sens du terme...

A ce moment le noiraud revint au cabinet avec un beau gros cochon, bien puant. L'atmosphere allait bientot enpesté d'un sacrée melange d'alcool fort, de cochon et de transpiration de la Zahra. Ca promet mes enfants.
Le cochon fut solidement attaché à un pilier.

FJ demanda au sorcier de l'aider. Ils mirent l'alcoolique sur un "lit medical" qui n'etait rien d'autre qu'une planche de bois posée sur deux gros rondin de bois, à environ 1m10 du sol. Les bras et les jambes de la patiente furent solidement attachés.
Rien que pour le plaisir, FJ donna un coup de poing dans le ventre de Zahra. Celle ci cracha un peu de sang.

Il s'eloigna d'elle un petit instant, puis revient avec deux solides cordes, et une hache finement aiguisée. Il demanda au sorcier, avec chacune des cordes, de serrer bien fort les cuisses de Zahra, au dessus des genoux, pour bloquer la circulation du sang. Puis, il lui demanda de lui ramener un tabliser propre, puis d'aller allumer un feu dans la cheminée.

Puis, il regarda Zahra. FJ avait un grand sourire qui illuminait son visage ridé. Puis, il lui dit d'une voix toute joyeuse :


Aujourd'hui, ma grande, je te coupe une partie des jambes. Tu vois, je vais prendre ma jolie hache toute neuve, et je te coupe tes deux jambes en dessous des genoux...


FJ partit dans un immense eclat de rire.
Abondance.
["Attention certaines scènes peuvent heurter la sensibilité des plus jeunes et des plus vieux aussi, et surtout celle de Zahra présentement" : "vous pouviez le lui dire avant non? "]

Elle s'attendait à avoir de l'opium, ou de la mandragore pourquoi pas, ou du pavot comme lui avait donné le médecin maure à Saumur.
Fj restait muet, et s'en était si inquiétant, troublant, l'ex guerrière; elle lui faisait entièrement confiance, alors elle s'attendait bien à ce qu'il lui donne quelque chose d'assez fort pour qu'elle ne ressent rien durant "l'intervention", si seulement elle était devin, si elle avait su ce qui allait se suivre, elle ne serait pas revenue. Elle l'observait faire son remplissage de seaux avec de l'alcool, elle en avait l'eau à la bouche l'alcoolique, de voir toute cette eau de vie, son odeur venait chatouiller ses narines, mais rapidement une autre odeur arriva, pis voila que peau de charbon rentre, elle a ce réflexe de se dire soudain " AH NON PAS LUI!" , elle a encore en tête le mauvais quart d'heure qu'elle avait passé avec lui et FJ, et la foutue poupée, en transe, déprimée, et sale, cette odeur de vomis ... elle a un haut le coeur, elle voit FJ en train de discuter avec lui, elle comprend rien à l'accent qu'il trimballe le sorcier, mais limite elle en a rien à foutre de ce qu'il lui demande, sans doute que FJ en tant que grand médecin avait besoin d'assistance non?

Il l'invite d'un signe de main, le vieux à le rejoindre, elle s'approche de lui, et là, elle ne s'y attendait pas du tout, le vieux bougre avait garder de la souplesse, car ce qu'il fit était tout simplement imprévisible, elle hurle de douleur, pourquoi ce geste? Les mains qui se dépêchent de serrer le ventre, cette douleur, comme si elle n'avait pas assez mal, il lui en rajoutait une couche le sadique, elle se tord de douleur la brune, même pas le force de hurler, en temps normal si elle avait toute sa santé, elle le lui aurait rendu son coup, elle lui aurait brisé les bras, pis les genoux, mais là, que dalle, elle souffre et pour ne pas calmer le supplice , il en rajoute un autre de coup et ce coup si à l'arrière du crane, pas le temps de savoir ce qui se passe, que la baronne est écroulé sur le sol, les oiseaux qui chantent dans la caboche, l'enfer est encore loin, le paradis encore plus, elle perd connaissance quelques instants, pis rapidement elle est forcée de se réveiller, l'arrière train titillé par les mains perverses du Gourou toubib FJ.

Pis là, une sensation de déjà vécu dans ce cabinet, bizarrement elle se retrouve encore la tête plongée dans un seau et ce coup ci ce n'est pas de la flotte, mais de l'alcool, elle a l'impression qu'elle va étouffer, pour couronner le tout, il l'a force à picoler, lui qui lui avait conseillé de cesser de boire pour son bien il y a quelques temps, était en train de l'achever.

Boire, des litres et des litres d'alcool, jusqu'à en tomber raide écroulée,
elle est trempée de la tête au pied, de ce liquide qui a été longtemps son carburant, elle vivait de ça, certains vivent d'amour et d'eau fraiche, bien elle c'était l'alcool, peu importe l'origine tant que ça arrachait, elle était bien à l'aise , mais ce jour funeste, elle aurait aimé refusé de boire si elle avait le contrôle de ses gestes, mais FJ décidait pour elle, elle n'arrivait pas à le croire... les mirettes qui se ferment de temps en temps et qui s'ouvrent à nouveau sur ce cabinet, où elle a du mal à respirer, le sorcier revient accompagné d'un porc, mais où donc elle avait atterrie ?

Le sorcier s'approche d'eux, avec l'idée d'aider le vieux à la porter elle, qui était inerte, sur une espèce de table improvisée, si elle pouvait elle se serait bien sauvée, son imagination qui avait toujours été fertile quand elle était imbibée , était à sec, elle n'arrivait pas à faire de rapprochement entre la médecine et la présence de ce porcin dans la même pièce qu'elle, elle a envie de rendre ses tripes la baronne, écœurée , mais FJ est bien trop bon, non il ne lui laissera pas ce plaisir, même pas le temps de tenter de rassembler "tout ses esprits " la Zahra, un autre coup porté sur son abdomen, de quoi la faire hurler de douleur et pleurer à ne plus savoir s'arrêter, pis elle perd l'idée de comprendre ce qui est en train de se jouer sous ses yeux.

Ils l'attachent, elle a un gout de sang dans la bouche, des batailles la Zahra elle en avait vécu, mais jamais , au grand jamais elle s'était sentie aussi désarmée, et certaine de la défaite... des cordes bien serrées, le géant noir s'est appliquée à bien faire les noeuds, et dans les mains de FJ, une Hache ...


Aujourd'hui, ma grande, je te coupe une partie des jambes. Tu vois, je vais prendre ma jolie hache toute neuve, et je te coupe tes deux jambes en dessous des genoux...


-p'tain de m'rde*hips*mon dieu*hips* déconnez pas ...
pitié! j'avais juste mal*hips* au ventre*hips* juste le ventreeeee*



Elle tente de bouger mais rien à faire, elle voulait juste être soignée, ou partir en toute dignité, une tentative de sauvetage de son corps et de son foie "si rosé", et là, la voila menacée de perdre ses jambes !
Un réel cauchemar pour la baronne, elle pensait crever de vieillesse ou peut-être de cette foutue maladie, mais pas sauvagement découpé , comme on découperait les carcasses d'un porcs ou d'une vache...

Alors implorer le bon dieu pour qu'il fasse une intervention divine, pourquoi pas qu'il crèverait pas d'une attaque avant elle le vieux!
Mais ça ne se passe jamais ainsi dans la vie, car les miracles n'existent certainement pas, surtout pour une baronne niaise qui a mis sa vie entre les mains d'un hérétique.


-peau de charbon, aidez moi! TOUCHEZ *hips*PAS MES GUIBOLES! s'il vous plaît, si vous croyez en Aristote ou au Sans Nom, aidez moi par pitié!
*hips*

Elle s'attendait pas non plus à implorer le sorcier, mais alors pas du tout.
Elle regarde FJ et l'autre, tour à tour, peut-être que c'était une blague, elle qui avait tellement d'humour et de taquinerie dans sa vie, elle s'accrochait à cet espoir, que c'était qu'une mauvaise blague rien de plus.
Forcejaune
FJ prit la parole et lui dit d'une voix douce et melodieuse pour adoucire la petite Zahra, et pour detendre un peu l'atmosphere qu'elle alourdissait par ces cris et pleurs :

Il y a un adage qui dit : qu’on fait du mal à ceux qu’on aime. Mais, il oublie de dire qu’on aime ceux qui nous font du mal. Je veux dire par la, pas que je vous aime, mais que je veux que vous m'aimiez.


Le sorcier vint lui dire que le feu etait fait. FJ lui demanda d'aller y mettre une barre en fer à chauffer dedans. Puis, revenant à Zahra, il lui dit, tres serieusement :

C'est votre vie, et elle s'achève minute après minute. Quand on ne sait pas ce qu'on veut, on finit toujours par se retrouver avec des tas de trucs qu'on ne veut pas.


FJ prit sa hache a pleines mains, la leva, et, au moment ou il allait la rabattre, il s'arreta et la posa a terre. Puis, il se remit à lui parler.


Tout ce que vous aimez vous rejettera ou mourra. Tout ce que vous avez jamais crée sera jeté aux orties. Tout ce dont vous êtes fier finira aux ordures.


FJ posa sa main droite sur le front de Zahra, et la laissa quelques instants. Puis, il l'enleva. Il s'essuya la main, couverte de sueur et d'alcool, dans son tablier. Puis, sans crier garde, il reprit sa hache, la leva promptement, puis la rabaissa. Il repeta une deuxieme fois l'action.
Du sang venait de gicler de partout. Il reposa la hache à terre, apres l'avoir essuyer dans son tablier. Puis, il s'essuya le visage.

Il demanda au noir de lui ammener la barre de fer rougit par le feu. Il lui demanda de la passer a quelques cm des deux plaies pour "bruler" la viande, et arreter le saignement.
Il prit les deux morceaux de jambes, et les jeta dans le seaux. Il alla chercher un torchon et le mit de force dans la bouche de Zahra, pour qu'elle se taise enfion. En effet, celle ci s'etait mis à hurler à la mort. Il en avait marre de ces enfants pourris gatés. Dès que quelque chose leur arrivaient quelques choses qui ne leurs plaisaient pas, ils devenaient capricieux.

Il la detacha. Le sorcier la pris par les epaules, la leva et la mis en positions assise. Il faisait en sorte qu'elle reste en posiiton assise, avec ce qui lui restait de jambes qui pendouillaient. Elle pleurait. FJ lui dit :


J'ai une theorie sur Dieu. A savoir, qu'attirer l'attention de Dieu en étant mauvais valait mieux que de ne pas attirer l'attention du tout. Peut-être parce que la haine de Dieu est préférable à son indifférence. Si vous aviez à choisir, admettant que vous puissiez être le pire ennemi de Dieu ou rien du tout, que préféreriez-vous?


Zahra repondit. Mais avec un chiffon entre les dents, on ne prononce que les voyelles. FJ lui enleva le chiffon pour lui permettre de lui donner sa reponse. FJ avait le regard dur.
Abondance.
[ Tu te lèves avec ta tête, tu sembles entière et tu termines cul-de-jatte , va pour chercher l'erreur du parcours, vous parlez d'une dernière journée.]

Lui qui jusqu'ici n'était pas très causant, s'était mis à parler, mais à causer à ne plus en finir, et elle, elle avait mal au crane, mal partout au fait, pendant une seconde, elle a cru que c'était fini, qu'il n'était pas sérieux en lui causant de jambes, tout ça.

Il y a un adage qui dit : qu’on fait du mal à ceux qu’on aime. Mais, il oublie de dire qu’on aime ceux qui nous font du mal. Je veux dire par la, pas que je vous aime, mais que je veux que vous m'aimiez.


Elle lâche un "je vous aimeuuuuuuuuuuuh, alors c'est bon, je peux rentrer!"

Elle tente de respirer normalement, le "taux de panique" se baisse quelque peu, si elle le lui dit ça va le calmer, oui , oui alors du coup elle l'aimera pas de souci s'ils en restent là , lui et peau de charbon ça sera bon.

C'est votre vie, et elle s'achève minute après minute. Quand on ne sait pas ce qu'on veut, on finit toujours par se retrouver avec des tas de trucs qu'on ne veut pas.


Elle est bourrée, un peu sur le choc aussi de l’épisode du seau (SAW?) , la presque noyade, pis ses jambes serrées par cette corde, son abdomen encore si douloureux, elle ne comprend rien à ce qu'il raconte, elle ne veut rien, enfin elle ne veut que vivre, survivre c'était cela, ou mourir mais pas de manière violente, il en existait pourtant des herbes médicinales qui pouvaient aider à s'en aller sans trop de mal, comme si on s'endormait paisiblement, chez les médecins "normaux", on avait cette option là, alors soudain elle se met à regretter de ne pas avoir rechercher Achim al Quasim, lui il ne le avait pas foutu autant les jetons.

Tandis qu'elle laisse place aux regrets s'installaient doucement dans sa caboche, elle le regarde en coin, la raclure a repris la hache dans sa main, il a lève aussi haut qu'il peut, pis s'arrête net.


Tout ce que vous aimez vous rejettera ou mourra. Tout ce que vous avez jamais crée sera jeté aux orties. Tout ce dont vous êtes fier finira aux ordures.


Elle n'y comprend rien, juste qu'elle tente de ne pas se remettre à pleurer sur le coup et espère encore et encore, qu'il abandonne cette lame de bourreau.
C'est qu'il la remet presque en confiance, en blablatant, sa main chaude et moite sur son front, pis quelques minutes plus tard.... juste le rouge carmin dans les yeux, puis une douleur à en faire rompre son palpitant et quel dommage qu'il n'est pas lâché son coeur, ça aurait été une délivrance pour sûr , ça aurait été moins pénible, moins horrifiant que ce qu'elle pouvait vivre par la suite, alors elle a entendu quelqu'un hurler si fort , si fort, un espèce de "mamannnnnnnn" , et un[ "ahhhhhhhh", c'était elle, elle réclamait sa mère, quasiment jamais rencontré, elle douille la baronne , un chiffon squatte rapidement sa bouche, pour l'empêcher de crier , elle perd connaissance, libérée mais sans ses jambes, consciente et à la fois inconsciente, enragée mais à la fois incapable de rien faire, morte mais pas encore morte, le bourreau se met encore à blablater, pourquoi était il si bavard soudain... pourquoi était il si cruel ?


J'ai une theorie sur Dieu. A savoir, qu'attirer l'attention de Dieu en étant mauvais valait mieux que de ne pas attirer l'attention du tout. Peut-être parce que la haine de Dieu est préférable à son indifférence. Si vous aviez à choisir, admettant que vous puissiez être le pire ennemi de Dieu ou rien du tout, que préféreriez-vous?


e....e.....ie


S'il y avait un dieu , il l'aurait zigouillé ce chacal de FJ non?
Qu'est ce qu'elle avait bien fait pour mériter et une maladie, et la torture de ce vieux fou? Alors il osait encore lui poser des question , il osait lui demander de faire encore des choix, alors que depuis le premier jour où il avait appris qu'elle remettez sa vie entre ses deux mains, c'est simplement par ce qu'elle ne savait plus faire de choix.
Mélodie la louve une de ses meilleurs amie, l'avait prévenu, il y avait d'autres médecins, alors pourquoi le Très Haut l'avait fait pensé à ce vieillard psychopathe. Il lui retire le chiffon...


s'il y a une vie après la mort.
je serais ennemie de dieu,
je vous hanterais s'pèce de raclure.
la seule chose qu'il a trouvé pour m'achever c'est vous le bon dieu...


Elle a trop causé, pour une personne qui a perdu pas mal de sang,
pis ses deux gambettes, on pouvait dire qu'elle était courageuse,
mais elle s'est rapidement tue, pis les mirettes à nouveau fermées.
Elle semble endormi, le visage tordue par la douleur.
Forcejaune
Zahra, apres avoir sortit tout le venin qu'elle avait se tu. Elle ferma les yeux, et essaya, si cela etait possible, de se reposer. Essayer de passer outre la douleur. L'alcool l'y etait un peu. Mai sla douleur etait vraiment violente.
Pendant ce temps la, le docteur (ou medecin, on ne sait pas trop en fait. Peut etre qu'il est les deux) alla en direction de son armoire et sortit un gros bocale. Il le posa sur son bureau. C'etait un melange de plantes hallucinatoire et de plante qui font dormir. A haute dose, cette mixture permet d'avoir un dernier reve avant de s'endormir. Definitivement. Sans reveil.

FJ s'assit un instant sur son bureau. Il etait prit dans ses pensées. Il se dit à voix base :


Il existe entre nous une sorte d'histoire triangulaire. Je veux la Lorraine. La Lorraine veut Zahra. Zahra m'a voulu. Je ne veux pas de Zahra. Et la Lorraine ne veut pas me voir dans ses pattes. Elle ne veut plus. Ceci n'a plus rien à voir avec l'amour. Ceci ne concerne plus que la possession.
Il faut que Zahra meurt. Et la Lorraine se tuera toute seule



FJ alla vers le seau qui contenait les deux morceaux de jambes. Il y receuillit le sang, qu'il versa dans un grand verre. Il le passa au sorcier, qui le bu d'une traite.
FJ se dirigea vers l'handicapé. Il lui adressa la parole :


Qu'est-ce qui est pire, l'enfer ou rien du tout ? Ce n'est qu'après avoir été capturés et punis que nous pouvons être sauvés.
J'ai la mixture qui vous rendra la paix eternelle, de façon douce, avec un derniere petit reve. Elle sur mon bureau mais avant va falloir encore faire deux trois petite choses...



FJ savait qu'elle serait prete à tout. De ce fait, il n'attendit pas la reponse de Zahra, encore si elle avait ete capable d'en faire une.
Il demanda, au sorcier, qui avait une force Herculeene de la prendre, et d'aller la porter au dessus du cochon. A portée de groin. C'est ce qu'il fit tout de suite.
Quand elle fut suspendu a porter du cochon, celui ci la renifla. L'odeur melangé de l'alcool, transpiration, au sang, aux excrements du cochon, et au cochon lui meme etait pestinancielle.
Puis, aux bouts de quelques reniflements, ce cochon qui etait affamé se mit a manger les moignons des jambes de la Zahra. Meme le bruit que faisait le cochon en mangeant pouvait faire frissoner toute personne "normal". Mais pas FJ. Ni le maribout.

Zahra hurlait. Elle demandait à ce que cela s'arrete. FJ l'insultait. La rabaissait. Puis, il alla chercher les morceaux de jambes. Il lui en presenta un sou sl enez, et lui ordonna d'en manger. Elle refusa.
Il en donna amanger un moceau au moricaud. Celui en prit. Si FJ ne lui avait pas retiré d ela bouche, il aurait tout fini. Il en proposa encore a Zahra. Elle refusa encore. Le cochon continuait à la bouffer. Il commençait a s'attaquer aux os et cartilages des genoux. Ca craquait de partout.
FJ en croqua un morceau. Mastiqua. Mais se retourna, et cracha sans que Zahra ne s'en apperçoive. Elle ne voullait toujours pa smanger malgré les souffrances et l'exemple qu'on lui montrait pour manger d ela chair humaine.
Puisil lui dit :


Je vous promet que vous allez manger votre foutu jambe.


FJ demanda au noiraud de la poser sur le "lit medical". Il mit une tatane a la Zahra. Sa tete frappa la planche ou elle reposait, en tombant.
FJ alla chercher deux des bouteilles. Il les prit par le goulot les frappa chacune sur le rebord du bureau. Elles se casserent. Il prit les deux culs de bouteilles qui ne s'etaient pas cassés.
Il s'approcha de Zahra. Lui enleva son haut. Il voyait donc du nombril jusqu'au coup. Avec les restes de bouteilles, craquellées de partout, il le smit sur le ventre, puis ses seins en faisant des griffures jusqu'aux sang. Il s'acharnait.
Il se mit a hurler. Le noir aussi. Comme des hurlements de betes sauvages. D'hommes sauvages. Mais aussi des cris de coleres.
Soudainement, il se mit à lui hurler dans les oreilles, tout en continuant de la lacerer avec les mocreaux de bouteilles :


Mais tu vas te bouffer les jambes, oui, espece de trainée !!! TU VA TE LES BOUFFER TES P****NS DE JAMBES !!!!!


C'etait une specialité de FJ. Quand il etait enervé, il se mettait a tutoyer les gens qu'il vouvoyait habituellement...[/list][/list]
--Aurore_
Nancy, la capitale, j'avais de quoi m'amuser,
la baronne m'avait laissé quelques écus, pour passer au marché,
je prends le temps de le faire, vrai qu'à force de l'interdire de boire,
elle avait fait des économies l'alcoolique , et je pouvais en profiter.

Le temps défile, et je vois qu'il fait bientôt nuit, elle m'a demandé d'aller la rejoindre au cabinet du docteur Forcejaune, chose que je dois faire sur le champ, en me perdant un peu dans les ruelles sombres de Nancy, toujours animée, ça change de Beaulieu et Vaudémont.

Elle a indiqué le chemin à prendre, pas très compliqué, j'arrive non loin de la vielle bâtisse, et là il me semble que j'entends des cris, je veux me dépêcher d'ouvrir la porte, mais ma curiosité est telle que je préfère m'attarder devant une fenêtre, tentant d'espionner l'intérieur, il devait être en train de l'opérer, j'avoue que je n'avais pas forcément envie d'y assister et c'est peut-être pour cela que je ne suis pas allée avec elle, moi qui la suis depuis quelques semaines comme une ombre Zahra.

Ce que j’aperçois devant mes yeux, est une scène épouvantable, je n'arrive pas à le croire, je tremble de la tête aux jambes, puis j'ai un haut le coeur, ni de une , ni de deux, je fais demi tour, je cours comme une dératée, je fuis, ce que j'ai pu voir, je veux hurler au secours et à l'aide mais qui pourra me croire ?



______________________
Abondance.
Il parle encore, il lui pose encore des questions,
elle ne sait plus y répondre, elle ne sait plus rien,
elle a mal, alors entre deux réveils, il l'assomme de parole, un coup causant de la religion, un coup de la Lorraine, un coup de l'amour, de la haine, elle se savait plus le suivre et lui il y tenait qu'elle reste éveillée, qu'elle ressente la douleur et qu'elle soit bien consciente de son supplice.

Alors sa vision flou par le trop plein de larme, puis son esprit complètement perturbé par ce qu'elle est en train de subir, la laisse entrevoir le sorcier qui s'approche d'elle à nouveau et là l'horreur .. elle ...ses jambes, ses restes, elle encore en vie, le coeur qui bat à une vitesse ralentissant, et consciente, consciente, malgré son éternelle ivresse, elle est en train de se faire dévorer, par une bête qu'elle aurait pu bouffer en temps normal.

Pleure, pleure Zahra car "tu l'as choisi", un ultimatum, trois petite choses à faire, puis il la délivrerait avec un poison mortel, est-ce qu'il disait vrai, ou était-ce un mensonge, elle n'en savait rien, mais là, un coup l'esprit qui s'en va et qui revient, la revoilà sur cette table, peau de charbon est aussi un cochon il se régale au passage, et elle, elle douille mais en silence, elle ne fait que gémir, plus la force de crier, FJ était dans un état second, méconnaissable, bouteilles en main, brisées, il s'approche encore d'elle et là, il la lacère , son ventre, ses seins, son reste de corps...



Mais tu vas te bouffer les jambes, oui, espece de trainée !!! TU VA TE LES BOUFFER TES P****NS DE JAMBES !!!!!


Là elle s'y attendait pas, elle l'entendait hurler au loin, les yeux à demi fermés, le visage ensanglantée et couvert de larme, le corps complètement lacéré, découpé , son coeur bat encore, et là pendant un moment, elle prie oui, elle prie de tout son coeur pour qu'elle se réveille de ce mauvais rêve, entourée des gens qu'elle aime, puis dans un lieu ensoleillé, avec bien sûr quelques verres à porter de main, puis quelques éclats de rire autour d'elle.

Peu à peu, elle chassait de son esprit cette dernière vision d'elle,
un léger sourire se dessine sur son visage, de loin on dirait qu'elle se moquait du vieux, et son cœur lui avait accordé un miracle divin, oui, comme si elle allait être consentante à la demande du sadique , elle en boufferait de la jambe oui, mais pas maintenant, là pour l'heure elle ne ressent soudainement plus rien, le vide, aucune douleur, juste froid, puis plus rien....

Si la grande Faucheuse avait un nom, pour la baronne de Beaulieu, Zahra, elle se nommerait sans doute Forcejaune, et tandis que d'autres se diront qu'elle était de toute autre couleur, comme rose , comme ses six roses, peut-être que personne ne connaîtra la fin de l'éternelle enivrée.

Sans trop le vouloir FJ avait pratiquement répondu à une de ses attentes à elle, tout ce qu'elle voulait c'était survivre ou mourir.

Peu importe le chemin parcouru, elle s'en était allée, le narguant toujours.

Penser crever d'une mort naturelle, rongée par la maladie, ou finir assassiner sauvagement, le résultat n'était-il pas le même au final?

Si une chose est certaine c'est qu'elle s'en est allée avec ses six roses fanées ou fleuries, seul l'au delà lui dira.

Pour l'heure, elle allait avoir rendez vous avec toute une compagnie de "patients", entre la porte de l'enfer lunaire et le paradis solaire.

Avec un dans l'esprit un mot "vengeance", mais qu'elle ne tarde pas à écraser une fois devant les portes du paradis, c'était peut-être péché de vouloir du mal à son bourreau non?
Forcejaune
FJ continuait à la ravagé, encore, encore, et encore... Pris dans son élan, il ne remarqua pas que la grande faucheuse venait de passer prendre la Zahra pour l'amener voir l'autre monde. Si celui la existait.
C'est son escla...heu son sorcier qui vint lui dire :


He, pat'on, je c'ois qu'elle est mo'te Zah'a...


FJ s'arreta. Il mit quelques instants à reprendre son souffle. Il se dit qu'il serait peut etre temps de faire etats de ses connaissances medicales. Il allait s'assurer qu'elle etait bien morte.
Il posa son oreille droite au niveau du coeur de la morte. En effet, elle etait morte. Plus de battement de coeur.
Son corps etait encore chaud. La figure du vieux etait sur le sein gauche de Zahra. Il fit un mouvement de tete de haut en bas. Comme s'il carressait la poitrine de Zahra avec sa tete... Puis... puis... ce fut carrement plus. Il mit sa tete entre ses deux seins. Ses deux mains se mirent aussi sur les seins... puis se fut du petrissage... du...

[scene coupée pouvant choquer les ames sensibles, et les plus jeunes. Scenes qui dura bien 20 minutes]

Puis, apres avoir legerement umidifié son pantalon, au niveau du sexe, par un autre liquide que d el'urine.
A c emoment la FJ s'en alla prendre sa dague, qui etait resté planté dans le bureau. Puis, il revint, avec, vers Zahra.

Il la planta dans le ventre de Zahra, et l'eventra... Il y sortit les boyaux. Le sorcier sorti les poumons, le foie, l'estomac... et les deux s'amuserent avec tout ca. Ils prirent tour a tour les boyaux pour une echarpe, pour une ceinture. Ils firent meme de la corde a sauté avec. Il essayerent de 'en servirent comme fouet, mais cela ne vallait pas le coup. Blasé de leur jouet, ils donenrent les intestins a manger pour le cochon. Celui ci s'en donna a coeur joie.
FJ repritr sa dague. Il decoupa les deux mains. Il en donna une au moricaud, il garda l'autreL Ils jouerent avec. Se donnerent des soufflets, se serrent la pincce, se gratterent le nez avec l'un des doigts de Zahra. Le noiraud alla juqu'a la passé dans l'antre de ses deux fesses...
LE COCHON

Quand ils euerent fini de jouer, au bout de deux heures intensives, ils se sentirent fatigué. Ils prirent chacun un poumon et s'en servirent comme coussin.
Ils s'endormirent, par terre, la tete repossant sur un poumon...
Forcejaune
FJ et l'autre se reveillerent au bout d'une petite sieste. Ils se debarbouillerent du sang qu'ils avaient sur les mains et sur le visage. Une fois la toillette faite, les deux se dirigerent vers le corps de la defunte Zahra.

Les mains et les jambes coupées etaient posées à coté du corps. Les deux bonshommes s'occuperent d'enlever les ongles. Une fois la chose faite, ils firent des petits trous dans chaques ongles, puis ils en firent un collier. Fort jolie d'ailleurs. Le marabout le mit autour de son coup.
Puis, le grand sorcier noir se dirigea vers la tete de Zahra, avec la dague de FJ. Il lui fit le scalp. Il repuera la chevelure. Il la mit sur sa tete. Il avait une fier allure, le moricaud, avec ce collier d'ongle, et cette chevelure toute decrépi de l'alcoolo.

Pendant ce temps, FJ etait allé chercher un grand drap. Avec l'aide du noir, il mit la morte dedant. Ainci ce que restait des mains et des jambes qui furent coupées. Il referma a la va vite la plaie ventrale. Puis, il fila ce qui restait des viceres au cochon, histoire de faire propre.
Pendant que FJ enlevait son tablier couvert de sang, et alla se changer, le marabout etait entrain de danser autour de morte. Une sorte de melange de danse du ventre, et de crise d'epilepsie. Il chantait quelques chansons paillardes.

FJ, une fois changé, se dirigea vers la sortie. Il dit au noir qu'il allait sortir. Il avait besoin de prendre l'air. De s'aerer l'esprit. Il s'ortit hors du cabinet. Il frota ses manches, comme pour enlever de la poussiere. Il se mit a siffloter, et se mit a marcher dans les ruelles nanceene.
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