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[RP-PRivé] sans foi, ni foie, l'âme alcoolique s'en ira...

--Aurore_
Je suis enfin arrivée au niveau de l'hôtel, où nous résidons,
j'entre dans la chambre de la baronne, puis m'enferme à double tour comme si le Sans Nom me courrait après, je prie sans relâche, et tente de chasser ces images macabres de ma tête.

Je tremble encore, je suis incrédule , je n'arrive pas à croire ce que j'ai vu,
je fouille sur la table de chevet, et arrive avec peine à trouver de quoi écrire.

Sans savoir comment, je me mets à pleurer, horrifiée devant mon parchemin encore vierge, je pense à la tête de Calyce quand elle me lira,
qu'est-ce qu'elle dira, quand elle saura que j'ai laissé sa mère seule s'en aller pour se faire soigner, je savais que l'opération pouvait mal se passer, qu'elle pouvait à tout moment mourir, mais je n'ai jamais pensé un instant que j'aurais pu entrevoir la torture d'un être humain.

La baronne de Beaulieu trépassée, je devais l'annoncer au plus vite à la Lys.


Citation:
Nancy, 24 mars 1460

Damoiselle Calyce, le b'jour,

Au secours.
Votre mère.... à l'heure actuelle doit être certainement morte.
Je m'excuse, ma chère maîtresse, j'ai failli à ma tâche, je n'ai pas accompagné Zah' au cabinet du docteur Forcejaune.
Ma damoiselle, votre mère est sauvagement torturée par ce charlatan.

J'étais là à Beaulieu en Argonne, lorsque la baronne d'Otange Mélodie a déconseillé à votre mère de se rendre chez ce vieux.

Votre "défunte" mère était désespérée et ne voyait en lui que son dernier recours pour survivre.

J'ai TOUT VU! J'en tremble encore, elle doit être morte, je prie pour qu'elle le soit, c'est une mort épouvantable...

Elle se faisait dévorer votre mère par ce fou et un autre homme et ...et ...ô Seigneur ! Alors qu'elle hurlait de douleur, je l'ai entendu crier de loin, je n'ai pas eu le courage de rentrer, ces sauvages m'auraient peut-être réservé le même sort que la pauvre baronne.

Toutes mes condoléances, Damoiselle.

Je suis perdue dans ce duché, je ne sais plus vers qui me retourner.

Que le très haut nous vient en aide.

Aurore.



Je roule le parchemin sans me relire, je regarde autour de moi,
la buse messagère de la baronne est dans sa cage, je copie au mieux les gestes de Zahra, lorsqu'elle envoyait ce volatile en Anjou.
J'ouvre la fenêtre et prie pour que le message arrive rapidement.

Je ne connais personne en Lorraine, je suis complètement perdue,
j'ai dans l'idée de rechercher la louve Mélodie et de fuir la capitale sans me retourner.

Elle n'aurait pas pu rester dans son pieux Zahra, puis rester calme à subir ses spasmes, j'étais là avec ses autres serviteurs, nous aurions pu l'aider à partir en toute dignité, une mort naturelle !



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Reinhart_manausen
Des jours que nous n'avions plus de nouvelle de Zahra. La mairie m’était revenue assez facilement car c'est ainsi qu'il en avait été convenu et aucun autre n'avais décider de ce proposer a mon encontre. Par contre plus de nouvelle de la baronne de Baulieu. Je me doutais un peu de ce qui s'était passé. Elle était toujours a Nancy pour voir son fameux médicastre. Mais une chose m’embêtait par dessus tout. Elle nous avait dit que sa fin était proche, certes rien que cela était inquiétant. Mais en citant le nom de cet homme le visage de ma douce promise avait changer. Elle avait pâlit et son inquiétude était lisible sur son visage. Qui était donc ce Force Jaune. et surtout qu'elle était ses compétence dans la matière d’Hippocrate. Plus les jours passaient plus ma propre inquiétude a ce sujet grandissait.

Je n'avais nullement envie de mettre Mélodie devant son rôle de responsable du testament de ma marraine. Et puis avant de le faire il fallait savoir. Nous avions depuis peu au sein du castel de Nancy un homme peu recommandable mais qui était efficace. il l'avait prouver dans l'enlèvement de Flora. Ce qui avait valut la colère noire de ma douce. J'hésitais a le faire sortir de se cachot puant ou elle l'avait jeter. Mais j'avais peut être un moyen de le tenir sous ma coupe. Dans la pièce qui m’était allouer au castel je me mit a la réflexion. Mais rapidement je ne fut plus seul. Je commençait alors a m'entretenir a voie haute avec mon interlocuteur. Et pourtant la pièce était vide. Hormis les meubles et moi même personne ne se trouvait avec moi pour ce dialogue.

Et bien qu'attends tu ?? Tu as peur de lui ??
Jamais. Je n'ai pas peur de lui. J'appréhende juste certaines de ses réactions.
Les siennes ou celle de ta précieuse Melodie au forme si ennivrante ??
Hehe tu as vu juste. ce sont les réaction de Melodie qu'il redoute. que ce passerait il si elle découvre que tu l'as laisser partir. ainsi. Mais dit moi Reinhart cette situation ne te rappel t-elle rien. La derniere fois que s'était il passer ?
Je ne me rappel plus
Quelle mauvaise fois. La derniere fois tu n'a pas bouger et tu tes retrouver defroquer sans le sous et errant sur les route. Allez soit un homme montre que t'en a une paire et qu'elle te sert pas qu'a certaine nuit avec Melodie
Elle a raison Rainhart serais tu un dégonfler, un lache, un pleutre face aux femmes ?? Auquel cas tu ne me sers a rien et tu ne vaudrait pas mieux que ton ... père


Je me redressais d'un bon et frappais l’épais bureau de chêne ou se trouvait mon nouveau blason. La fureur et l'impétuosité s’étaient emparée de moi.

Je n'ai peur de personne. Et ce n'est pas une femme qui m’empêchera d'avancer. Pas même la mienne.

J'ouvris la porte de mon bureau et descendit dans les cachots Au passage je prit la clé avec moi

L'odeur rance du lieu me prit le nez. Cette fois j’étais seul. Pourtant je sentais encore leur regard moqueur et intrigué sur moi. Comme pour me pousser a commettre cet acte. Je me présentais au bas de l'escalier. Il faisait froid et humide. La pièce n’était pas aéré. J'allumais quelques torches pour y voir un peu mieux. La pièce était ronde des instrument de torture récemment utiliser formait le mobilier de cette pièce. au fond deux grosse porte de chêne massif. Je me dirigeait vers l'une d'elle et ouvrit le loquet me permettant de voir à l'intérieur. Il y régnait une pénombre digne des abysses. Pourtant j'entendis le cliquetis des chaine signe que l’être a l'intérieur vivait encore. J'ouvris la porte et restait dans l'embrasure de celle ci.

Toi je peux t'aider a sortir d'ici. Je peux aussi faire de toi un homme riche et puissant. Mais il va falloir m'obéir.
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--Vorvzacone
Voila des jour qu'il croupissait au fond de sa cellule. De temps a autre on venait le sortir de la pour s'amuser avec lui. La maitresse de maison avait été particulièrement ignoble. Mais l'homme a ses coté n'avait pas dit un mot ni fait quoique ce soit il s’était contenter d'observer de regarder. Plusieurs fois il avait appelé la mort. Souvent elle était venue mais jamais elle n’était repartie avec lui.

Depuis peu il croupissait dans cette infecte geôle. Seul un broc d'eau croupie et un petit morceau de pain rassis pour repas. Mais ce repas lui avait été apporter il y a plus de quatre jours, par une rousse plantureuse, qu'il aurait bien fait danser si elle ne lui inspirait pas une certaine méfiance.

Mais aujourd'hui la chance tourna. Lorsque la porte de sa prison s'ouvrit ce qu'il entendit le fit sourire. L'homme qui avait assister a la torture sans jamais sourciller se tenais dans l'embrasure de la porte.

Toi je peux t'aider a sortir d'ici. Je peux aussi faire de toi un homme riche et puissant. Mais il va falloir m'obéir.

Obéir Ce n'était pas son fort. Mais le reste l'intéressa : richesse, puissance, et sortir de la. il est par contre certain que ce qu'on lui demanderai ne serai vraisemblablement pas du plus légal


quel est le piège. Qu'est ce qu'il faut faire ??
Reinhart_manausen
Le piège ???
Voila que ce bougre de rebut de société venait a réfléchir. Je lui avait promis richesse et puissance et voila qu'il cherchait le piège. Cet animal avait été torturer deux jours durant par la louve de Lorraine, et il était encore apte a réfléchir. impressionnant la condition humaine était des plus intéressante. Après avoir crier après la mort pendant la torture et avoir pleurer sous les fer rougeoyant et autre magnificence. Le voila qui réfléchit au piège possible alors que je lui propose de sortir et de lui donner un rôle dans dans sa misérable vie de cloporte.
Mais cette réflexion soudaine face aux évènements qui se profilaient et à la perspective possible de continuer a souffrir mille tourments si ma douce Mélodie revenait. Me confortait sur mon choix. Je jetais les clé de ses lien de métal non long de lui mais hors de porté. Puis je répondit a sa question.

Je veux que tu me retrouve quelqu'un. Moi je ne peux pas le faire je sus connus grâce a ma femme. Mais toi tu n'es rein. Un misérable vermisseaux. Trouve ma marrai... la baronne Zahra et le médicastre ForceJaune a Nancy et vient me rapporter ce que tu as appris dans 15 jours Tu trouveras une bourse avec quelque ecu sur la table des braie et une chemise aussi. Pour le reste débrouille toi.

si tu n'est pas de retour dans 15jours c'est la corde qui t'attends avec les milice de toute les ville et village au trousse pour enlèvement séquestration tentative de meurtre tentative de rançonnement assassinat et autre je trouverais bien de quoi te faire tomber lourdement et que le bourreau prenne son temps. Ce que tu as subit ici n'est rein comparer a ce qui peu t'arriver si tu me trahis et moi je le ferais légalement.


Je ne cherchais même pas a entendre sa réponse je savais que le gredin accepterais. Je venais de le lire dans ses yeux. la peur de l’écartèlement en place publique, d'être éviscéré et des autres possibilité s'était lue dans son regard. Mais l’appât du gain aussi.

Je remontait les marche du donjon que déjà j'entendis le cliquetis métallique des chaine m'annonçant que mon pion bougeait.
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