Enguerranddevaisneau
Oui, je n'avais pas d'idée pour le titre.
Journée ordinaire en la fastueuse Parisienne, et mieux encore, en le faramineux palais du Louvre, où chaque gens avait sa tâche. Ainsi donc les chambrières soccupaient de la literie, les gardes des entrées et sortie, les valets de tout et de rien, et les marmitons, de préparer repas et mets royaux pour une famille royale.
Ainsi la vie sécoulait paisiblement, et si la froidure de lhiver navait pas envahie les jardins, pour sûr que les moineaux auraient chantés.
Mis à par cela, cétait un baron que lon entendait pousser les hauts cris.
-FOUTRECUL DE BORDEL DE MERDE !!!
Certes lharmonie était bien moins flatteuse à loreille que le sifflement des oiseaux, mais cette voix, comme son propriétaire était noble et valait son pesant dor. Entendons par là que nombreux étaient les faquins à vouloir vider leurs bourses pour ne plus jamais lentendre.
Raison de cette agression musicale ? Un garde un peu trop zélé qui ne lâchait pas les poulaines de lIttre, et ce, malgré les écus versé aux gardes en faction devant lentrée.
-Jhabitai ici, et jy ai encore des effets personnels !!! Quest-ce qui est donc si incompréhensible dans ma phrase ?!?
-Rien msieur, mais les rgistres, cest les rgistres, et zêtes pas dedans.
-Normal car jhabitai ici avant de ne plus y habiter, même si jy habitai jadis, du coup, il y a encore des affaires à moi ici, que jai laissai du temps où jhabitai là. Ce nest pas compliqué pourtant !!!
Pauvre garde qui détaille de haut en bas le fier-cul qui lui faisait face, encore bel homme malgré la cicatrice qui lui entaillait la joue droite. Petit malaise également, cest que lindividu ne prêtait pas à confiance au premier abord, cet air furibond dans le regard, surement.
-Je vais aux cuisines, y récupérer une cuisinière qui est mienne Me regardez pas comme ca, cest bien elle leffet personnel, figurez vous quune cuisinière comme celle là, ca se garde, ca ne se laisse pas au Louvre monsieur !!
Ainsi donc le pauvre vigil laissait tomber la partie, jugeant lhomme un peu trop coriace à son gout, pour rejoindre la partie de ramponneau qui devait se faire en salle des gardes. Et au de Vaisneau de rejoindre dés lors les cuisines, dy entrer sans sommation, et de nouveau, y faire entendre son ramage :
-La grosse Berthe, cest lbaron, embarque tes louches, tu rentre au domaine, et que ca saute !!!