Eusaias
La pluie avait cessée dinonder les champs de Digoine et le balbuzard avait donc profité de léclaircie pour rejoindre lextérieur. Enarmuré et chevauchant son destrier, il venait de faire une passe dans sa lice face à son maitre darme.
Dun coup déperons il relança le destrier alors que son adversaire faisait de même. La lance était bien serrée dans sa poigne et au moment du chaque en plus de briser elle renversa le vieil allemand.
Hahahaha Tu as perdu De Jeneffe !
Quoi ? Comment vous mavez appelé ?
Non rien laissez tomber . Je mentrainais à railler le Flamand car je compte bien bientôt le faire rouler au sol.
Ah alors entrainez-vous encore, vous ne mavez battu quune fois, les neuf fois avant vous rebondissiez au sol et daprès ce quon dit, le Flamand est meilleur que moi.
Ah ne parlez pas de chose qui fâche !
Et le bourguignon mis pied à terre, le casque fut retiré dans la foulée et un sourire narquois habillait son visage. Une de ses mains reposa sur le pommeau de lépée et le nez aquilin semplit dair frais avant quil ne sélança sur le chemin de la lice pour remonter à la forteresse. Ce fut sur ce chemin, quil rencontra un soldat armé dun pique venu lui porter un message.
On ma dit de vous prévenir que quelquun était en approche et .
Ben si les armes sont bourguignonnes vous faites entrée, si elles ne le sont pas, vous repoussez.
La personne est seule
Un émissaire ? Faites rentrer.
Non votre épouse, oui il semblerait que ce soit madame la comtesse.
Laissez-la à la porte.
Sulpice à dit que vous diriez ça et donc que je devais vous informer que le temps que vous remontiez de la lice la comtesse serait déjà dans la cour et que vous devrez bien vous tenir vous lui aviez promis.
Rhaaaaaaaa Traitre !
Mine mauvaise, puis soupir las. Les écuyers n'étaient plus ce qu'ils étaient.
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Dun coup déperons il relança le destrier alors que son adversaire faisait de même. La lance était bien serrée dans sa poigne et au moment du chaque en plus de briser elle renversa le vieil allemand.
Hahahaha Tu as perdu De Jeneffe !
Quoi ? Comment vous mavez appelé ?
Non rien laissez tomber . Je mentrainais à railler le Flamand car je compte bien bientôt le faire rouler au sol.
Ah alors entrainez-vous encore, vous ne mavez battu quune fois, les neuf fois avant vous rebondissiez au sol et daprès ce quon dit, le Flamand est meilleur que moi.
Ah ne parlez pas de chose qui fâche !
Et le bourguignon mis pied à terre, le casque fut retiré dans la foulée et un sourire narquois habillait son visage. Une de ses mains reposa sur le pommeau de lépée et le nez aquilin semplit dair frais avant quil ne sélança sur le chemin de la lice pour remonter à la forteresse. Ce fut sur ce chemin, quil rencontra un soldat armé dun pique venu lui porter un message.
On ma dit de vous prévenir que quelquun était en approche et .
Ben si les armes sont bourguignonnes vous faites entrée, si elles ne le sont pas, vous repoussez.
La personne est seule
Un émissaire ? Faites rentrer.
Non votre épouse, oui il semblerait que ce soit madame la comtesse.
Laissez-la à la porte.
Sulpice à dit que vous diriez ça et donc que je devais vous informer que le temps que vous remontiez de la lice la comtesse serait déjà dans la cour et que vous devrez bien vous tenir vous lui aviez promis.
Rhaaaaaaaa Traitre !
Mine mauvaise, puis soupir las. Les écuyers n'étaient plus ce qu'ils étaient.
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