Briana.
Attendre
Encore et toujours.
Pas le temps pour elle dattendre quon lui donne réponse à sa question que déjà les petits pieds tapotent le sol activement. Que le temps pouvait lui paraître long alors même que la cérémonie venait tout juste de débuter. Les minutes passées depuis leur arrivée semblaient sêtre transformées en heures et linfantile impatience commençait alors à se faire ressentir.
Les petits yeux pers guettaient; cherchaient la moindre distraction. Quelque chose à faire de plus amusant que dattendre que se passe la cérémonie. Cest quil ny avait rien de bien marrant dans ce genre dévènements protocolaire. Rien du tout ! Et il devenait ennuyant pour Briana de rester planter là. Dautant plus quelle aussi avait à offrir quelque chose à son Duc de Papounet. Cest dire que si elle devait passer derrière tout le monde sa patience serait une fois de plus mise à rude épreuve. Il lui fallait donc trouver un moyen de passer le temps.
Machinalement, son regard reprit sa course. De nouveau, ils cherchent et viennent se poser sur Erwan. Cest avec grand étonnement que Briana fixa son frère ayant trouvé place non loin deux. Cest quelle le trouvait bien sage lapprenti Chevalier-pirate. Se serait-il assagi depuis leur dernier périple ? Il ne pouvait sagir de cela. Sans doute devait-il couvrir quelque chose. Un mal qui lempêchait de se montrer aussi actif quil ne létait dordinaire. Elle avait beau eu faire quelques gestes pour attirer son attention rien ny faisait. Il était tel limage. Comme ces portraits qui ornaient les murs du Château de la Haye du puits. Immobile.
Lattente se voulait torture pour elle qui avait bien du mal a tenir en place plus de quelques minutes à la suite. Tout aussi difficile lui était de devoir faire preuve de silence pendant que les hommages étaient prononcés. Mais une question navait pu être retenue davantage séchappant comme souffle dentre ses lèvres à lattention de celles qui lentouraient :
Un profond soupir avait accompagné les mots et tandis quelle pensait avoir à sennuyer de la sorte jusquà ce que tour vienne pour elle daller se présenter à son père, son attention fut attirée vers les portes de la salle restées grandes ouvertes. Quelque chose était en train de se passer. Elle le savait. Le chahut alentour et les têtes de lassemblée qui sétaient subitement tournées avaient été annonciateur dun nouvel évènement. Était-ce un nouvel arrivant venu rendre hommage à Papa ? Pour le savoir, Briana se positionna de façon à mieux voir ce qui causait cette nouvelle agitation. De là, elle pouvait apercevoir deux silhouettes parées de volants, de voiles, de bijoux et de robes aux attrayantes couleurs.
Elles ressemblaient étrangement à ces femmes dun autre monde, quelle avait jadis pu voir une fois au moins. Ces même femmes, gitanes, vivant non pas dans des châteaux ou des maisons mais dans des cabanes sur roues. Dailleurs; une cabane, comme celle-ci, Briana aurait bien aimé en avoir une. En dedans, elle simaginait sy faire un endroit à elle, un endroit secret où elle pourrait se rendre lorsquelle le souhaiterait Il y avait tant de choses quelle aurait aimé avoir.
Les azurs, comme attirés, ne quittaient plus les silhouettes cherchant à deviner qui se trouvait dissimulées sous de tels atours. Située bien trop loin, elle ne reconnut la Marraine de Maman que lorsquelle vint la trouver et saccroupir devant elle. Briana était bien contente de la voir là, car lors de leur dernier passage à Fécamps, cette dernière était restée introuvable.
Un sourire était venu marqué les traits enfantin. Elle aussi elle aimait les déguisements. Même que elle en avait pleins sa garde-robe et que le prochain quelle voulait serait celui dun chevalier. Si ! Si ! Parce que les chevalier fille ça existait au grand damne de son grand frère.
Pas le temps pour elle dattendre quon lui donne réponse à sa question que déjà les petits pieds tapotent le sol activement. Que le temps pouvait lui paraître long alors même que la cérémonie venait tout juste de débuter. Les minutes passées depuis leur arrivée semblaient sêtre transformées en heures et linfantile impatience commençait alors à se faire ressentir.
Les petits yeux pers guettaient; cherchaient la moindre distraction. Quelque chose à faire de plus amusant que dattendre que se passe la cérémonie. Cest quil ny avait rien de bien marrant dans ce genre dévènements protocolaire. Rien du tout ! Et il devenait ennuyant pour Briana de rester planter là. Dautant plus quelle aussi avait à offrir quelque chose à son Duc de Papounet. Cest dire que si elle devait passer derrière tout le monde sa patience serait une fois de plus mise à rude épreuve. Il lui fallait donc trouver un moyen de passer le temps.
Machinalement, son regard reprit sa course. De nouveau, ils cherchent et viennent se poser sur Erwan. Cest avec grand étonnement que Briana fixa son frère ayant trouvé place non loin deux. Cest quelle le trouvait bien sage lapprenti Chevalier-pirate. Se serait-il assagi depuis leur dernier périple ? Il ne pouvait sagir de cela. Sans doute devait-il couvrir quelque chose. Un mal qui lempêchait de se montrer aussi actif quil ne létait dordinaire. Elle avait beau eu faire quelques gestes pour attirer son attention rien ny faisait. Il était tel limage. Comme ces portraits qui ornaient les murs du Château de la Haye du puits. Immobile.
Lattente se voulait torture pour elle qui avait bien du mal a tenir en place plus de quelques minutes à la suite. Tout aussi difficile lui était de devoir faire preuve de silence pendant que les hommages étaient prononcés. Mais une question navait pu être retenue davantage séchappant comme souffle dentre ses lèvres à lattention de celles qui lentouraient :
- « Cest quand que ça fini ? »
« Cest long !»
Un profond soupir avait accompagné les mots et tandis quelle pensait avoir à sennuyer de la sorte jusquà ce que tour vienne pour elle daller se présenter à son père, son attention fut attirée vers les portes de la salle restées grandes ouvertes. Quelque chose était en train de se passer. Elle le savait. Le chahut alentour et les têtes de lassemblée qui sétaient subitement tournées avaient été annonciateur dun nouvel évènement. Était-ce un nouvel arrivant venu rendre hommage à Papa ? Pour le savoir, Briana se positionna de façon à mieux voir ce qui causait cette nouvelle agitation. De là, elle pouvait apercevoir deux silhouettes parées de volants, de voiles, de bijoux et de robes aux attrayantes couleurs.
Elles ressemblaient étrangement à ces femmes dun autre monde, quelle avait jadis pu voir une fois au moins. Ces même femmes, gitanes, vivant non pas dans des châteaux ou des maisons mais dans des cabanes sur roues. Dailleurs; une cabane, comme celle-ci, Briana aurait bien aimé en avoir une. En dedans, elle simaginait sy faire un endroit à elle, un endroit secret où elle pourrait se rendre lorsquelle le souhaiterait Il y avait tant de choses quelle aurait aimé avoir.
Les azurs, comme attirés, ne quittaient plus les silhouettes cherchant à deviner qui se trouvait dissimulées sous de tels atours. Située bien trop loin, elle ne reconnut la Marraine de Maman que lorsquelle vint la trouver et saccroupir devant elle. Briana était bien contente de la voir là, car lors de leur dernier passage à Fécamps, cette dernière était restée introuvable.
Un sourire était venu marqué les traits enfantin. Elle aussi elle aimait les déguisements. Même que elle en avait pleins sa garde-robe et que le prochain quelle voulait serait celui dun chevalier. Si ! Si ! Parce que les chevalier fille ça existait au grand damne de son grand frère.
- « Matou
C'est toi ? Ah ben oui c'est toi. Comme que ze suis contente de te voir
et comme ta robe elle est zolie. Tu crois que ze pourrais nen avoir une pareille que ta tienne ? »