{RP} Berrichonneries en forêt

Les Gens continuaient d'affluer. Des têtes connues et inconnues, combien en avait-il croisé sur les champs de batailles ? Il vit sa marraine un peu plus loin et répondit à son signe en la saluant la main sur le coeur.
Il se rappela avoir fidèlement servi sous les ordres de certains d'entre eux, que ce soit en Lance, Groupe armés ou encore dans l'Ost. Il voyait qu'ici il n'y avait que les fidèles des fidèles, ceux qui comme lui avait un jour abandonné leur maison afin de se ranger sous la bannière du Berry et revenir en libérateur dans leur Capitale.

Il sourit ému, et sentant ses yeux s'humidifier, s'assit dos à un arbre tandis que Patoune lui lavait le visage à grand coup de langue rose. Pourquoi Georges voulait-il rencontrer tous ces vieux grognards ? Il serra avec force son épée et attendit patiemment une quelconque annonce.
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Elle sourit à Georges, l’était vieux l’Duc, il avait du oublier une copie de cette liste qu’il avait du recevoir, enfin bref, elle lui tendit un parchemin où l’on apercevait quelques noms en début de liste… Artemis_entrery, Cattie_brie,Isabelle, Sandrine, Aldebarand, Tamara, POumona, Rico6231, Tsuovad, Elisah et pleins d’autres noms encore…

Puis, elle se mit à sa gauche, les soldats se rassemblaient peu à peu à côté d’eux, Oufette leur sourit en attendant que George prenne la parole.
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Vice et versa aurait pu être son surnom. Hier il disait ne pas vouloir venir à ce rassemblement. Lorsqu’il avait reçu la lettre du Duc d’Aigurande, il avait lu les deux premières lignes puis en avait une boule avant de la jeter. Le soir en taverne, il avait dit le peu d’intérêt qu’il portait à ce genre de chose. Puis la nuit avait porté conseil. Il se réveilla du coté vicis et décida de s’y rendre quand même. Juste par respect pour quelques personnes qui lui étaient chères.
Il traversa la campement et arriva au rassemblement. Il y avait déjà beaucoup de monde. Il se mit sur la pointe des pieds et aperçu au loin George le Poilu avec à ses cotés Oufette ainsi que Kateline. En tournant la tête, il vit au loin Sandrine. Il traversa la petite foule compacte tête baissée, saluant d’un « bonjour » les personnes qu’il reconnaissait.
Une fois face à sa douce, il s’inclina puis alla lui déposer un chaste baiser et se plaça à ces cotés. Il lui chuchote :

J’espère que ça ne va pas durée des heures, je haie les cérémonies et toutes cette lèche qui va avec.
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Déjà d'autres soldats arrivèrent en masse, d'abord tam qui était venue avec une caisse, Sand n'eut pas le temps de lui répondre que déjà Elisah avait élu domicile sur la caisse.

Norf Elisah tu vas faire réchauffer la poire !!!!!!!!

Puis celui qui faisait battre son coeur arriva et lui déposa un baiser auquel elle répondit. Elle était étonnée qu'il soit venu, car il lui avait dit qu'il n'aimait pas les cérémonies. Enfin il était là et c'est bien tout ce qui compter pour notre brunette.

J’espère que ça ne va pas durée des heures, je haie les cérémonies et toutes cette lèche qui va avec.

Elle lui répondit sur le même ton en glissant sa main dans la sienne.

Tam a ramené de la poire, si élisah pousse ses fesses on aura de quoi faire passer le temps
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Il pouffa de rire aux mots de sa douce. C’est vrai qu’une gorgée de poire réchaufferait les troupes. Cela faisait quelques temps que les premiers arrivés se tenaient comme des piquets dans cette forêt. Il serra doucement la main de son aimée et se perdit dans ses réflexions en attendant que George veuille bien prendre la parole et connaitre enfin, le pourquoi de ce rassemblement.
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Entendant les mots de Sandrine, elle se releva aussi vite que si elle se serait assise sur une fourmilière et salivait déjà au mot poire.

Norf de norf, ce serait terrible si elle venait à trop chauffer !!!

Debout, donc mais toujours très très près de la caisse, elle sourit à Sandrine.

Elle profita de ce moment de calme et à ce que Sandrine et personne d'autre ne regarde en sa direction pour déplacer doucement la caisse et la pousser du pied pour la mettre hors de vue des gens, puis l'air de rien marchait de long en large pour y monter la garde.
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La place se remplissait tranquillement, Kate salua chaque nouvel arrivant d'un "salut", d'un signe de tête ou d'un sourire.
Les bras croisés, la brunette observait les personnes autour d'elle. Elle se remémora les derniers mois à leurs côtés. De cette guerre, ils n'en étaient pas tous ressortis à l'identique de l'époque où la paix régnait encore.
Ses émeraudes passèrent de visage en visage, bientôt elle aurait quelques mots à prononcer au sujet de ceux qui l'avaient suivit, elle n'avait pas besoin de chercher loin dans ses souvenirs, toutes ces batailles... ces semaines passées au loin...
Tout cela lui semblait être hier. Et rien n'était encore terminé, hélas.

Elle chercha au delà du groupe ensuite, dans l'espoir de l'apercevoir sans doute. Elle n'aimait pas ce genre de cérémonies, parce que pas habituée peut être, en tout cas elle aurait aimé qu'il fusse présent en cet instant.
Elle poussa un bref soupire, puis jeta un coup d’œil au vieux et à sa liste.
Peut être allait-il bientôt prendre la parole...
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Le lieutenant, diminué par un virus et une fatigue certaine, se botta les fesses pour quitter le campement et répondre à la convocation de George.
"Sale temps, humide, venteux, sombre... quelle idée cette cérémonie ! " se dit-il.
Il arriva, toussant et crachant ses trippes.
En approchant, il constata que beaucoup de braves étaient déjà présents. Tous semblaient attendre que la cérémonie débute.
Il se méla à eux, saluant les uns et les autres au fur et à mesure qu' il croisait leur regard.
Certains se rechauffaient en buvant de la poire, d' autres en s' indignant, chacun patientait à sa façon.
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Elle n’avait pas pu s’empêcher de rire à la lecture du message ducale… Il faut dire que la tournure était osée, une invitation sous une tente en forêt avec les deux Kefettes de l’armée…. C’est ainsi, du moins, qu’elle avait présenté les choses à son cousin pour avoir son approbation. Elle ne voulait pas y aller, il l’y envoyée par principe, tout sérieux qu’il était, lui, depuis le début de cette guerre.

Elle avait donc fait un effort pour taire son coté râleur, au moins pour l’instant et avait rejoint la petite troupe qui commençait de s’amasser autour de la dite tente. Elle s’approcha de Sand et Zeph, leur fit un sourire en guise de salut, puis se tourna discrètement vers les 3 instigateurs de la « petite fête » en un soupir à peine audible. Il ne restait qu’à attendre…
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Hénora Feiz de Krakov - Demi-sang et fière de l'être...

Et bien, papy george devait avoir du mal à lire la liste, ou bien il dormait debout allez savoir. Toujours est il que notre brunette commencait à avoir froid et un bon verre de poire lui ferait du bien.

Elisah guettait la caisse en faisant les 100 pas devant. Lâchant la main de zephir après lui avoir murmurer

bouge pas je reviens.

Elle se dirigea vers elisah.

Aller on l'ouvre cette caisse.

Ce qu'elle fit sans attendre sa réponse et sortit une bouteille de poire, dans sa besace, elle avait toujours quelques chopes, une soiffarde est toujours prudente. Elle servit donc quelques verres, en donna un à elisah, puis alla en ramener un à tam et hénorah qui venait d'arriver.

Puis elle en tendit un à zephir, elle n'avait pas plus de chopes si les autres soldats en voulaient ils devraient trouver récipient.

Tient mon ange, ca te réchauffera et ca nous fera patienter un peu

Elle trinqua avec lui, jetant un oeil discret vers les deux kéfettes qui elles ne pouvaient pas boire, puisqu'elles étaient près de george, peut être pour le relever si jamais il s'effondrait.
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Lorsqu’elle lâcha sa main, Zephir suivi Sandrine des yeux. Les posant au passage sur sa croupe … Bref, il ne due pas attendre trop longtemps avant de savoir ce qu’elle préparait. Elle revint rapidement avec une chopine de poire. Il la remercia et dit à mi voix :

Au Berry !

Il sourit et bu une longue gorgée. Puis son regard se posa de nouveau sur le duc George. L’attente devenait insoutenable pour un curieux comme lui.
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Elle qui pensait pourvoir détourner les bouteilles pour son seul confort, c'était raté. Fin de la garde, fin des espoirs, fin de soif aussi, là était le coté positif.

Suivant Sandrine de très près après avoir reçue une chope de poire, elle se mis près du groupe de soiffard.

Merci pour la chope, cela réchauffera un peu nos gosiers

Elle trinqua avec le groupe et dégusta sa chopine aussi lentement qu'il est possible pour elle. Moins de trois battements de coeur plus tard, c'était vide déjà, pfff petite dose, radine la Sandrine....

Maintenant qu'elle était un peu réchauffée, elle attendit comme tous le monde la suite des évènement.
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Zephir sourit poliment à Elisah qui venait de les rejoindre. Il lança un nouveau regard vers le Duc et les deux Chefs d’armée et ne voyant rien bouger pour le moment, décida, lui, de bouger un peu. Il posa sa chope sur la caisse la plus proche et s’excusa auprès des personnes qui étaient autour de lui. Il dit à sa douce :

Je reviens. Je vais faire quelques pas car je commence à prendre racine ici.

Il lui sourit et s’éloigna lentement. Marcher un peu seul ne lui fera pas de mal. Il essayera d’être de retour pour le discours …
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Les temps n'étais pas facile pour le jeune Nathaniel, il vivais une certaine crise existentiel, être ou ne pas être étais l'une des questions qui le hantais de plus en plus, mais aujourd'hui ce sujet n'avais pas raison d'existé. Le jeune Artéso-Berrichon contourna d'abord avec habilité Sand''wich'' et son amoureux puis fit de même avec la plupart des gens présent, offrant parfois de petit coup d'épaule par inadvertance, mais rien de très brutal vu sa petit taille de pré-adulte.

Petit en taille, il arrivait avec difficulté à se situé dans la foule, heureusement que en hauteur il pouvais comptez sur son pigeon conjugale pour retrouvez celle qui devais être retrouvez, c'est au son des roucoulement puis reroucoulement que Nathaniel pu enfin arrivé derrière Ouf, Goerge et Kateline, c'est en voyant qu'elle soulevais la tête pour fouillé les environs, qu'un sourire vient sur ses propres lèvres, la cherchais t'il? Probablement! Son sourire fût pendant quelques seconde interrompu par une grimace le temps que Kana dit le pigeon cupidon lui enfonça ses patte dans l'épaule. À pas assuré le jeune blond fonça vers la demoiselle pour l'entouré dans ses bras en déposant un baiser discret dans le cou de Kateline, pendant que kana s'occupait de l'autre coté avec son bec.

Vous cherchez quelqu'un milady?
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