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[RP] Cathédrale: Cérémonie de couronnement et d'allégeance

Adso


Citation:
Hum... Excusez moi votre éminence, mais je suis chargé de votre sécurité durant la cérémonie... Le conflit contre la couronne pourrait vous rendre victime d'un attentat envers votre personne... Je... J'ai été mandaté par Rome...
Adso sursauta. Il ne s'attendait pas à ce qu'on vienne derrière lui comme ça. Mais ce n'était pas tout. "Eminence", "mandaté par Rome", "chargé de votre sécurité"... Ca y était, ce qu'il craignait le plus : il venait d'être créé cardinal et on lui avait assigné un garde-du-corps. Tout ce travail, toutes ces responsabilités supplémentaires qui allaient lui tomber dessus... C'en était trop. Débordement d'émotions contradictoires. Un court-circuit se produisit dans son cerveau, il perdit connaissance et sa tête s'affaissa.

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Archevêque de Cambrai, Protonotaire Apostolique
Melly
Melly attendait bien sagement, se déshydratant à vue d'oeil, que le comte entre enfin.
Elle entendit bien un bruit de casserole, mais pensa que la sacristie devait regorger de souris faisant la fête dans les robes, et n'y pris pas garde.... jusqu'à voir son Lutin tanguer de la tête. Son premier réflexe fut de penser à un attentat.
Un homme en armure trop prêt de lui. Elle sauta d'un bond léger par dessus le prie dieu et arriva ventre à terre, en criant, sa dague brandit dans son poing.


MECREEANTTTTTT!!!!!! On assassine mon lutin!!!!!!!!Je l'ai pas sauvé du spino pour le laisser mourir ainsi!

Elle arriva devant l'armure, et jeta un oeil au "mort" sans voir de sang.
Monseigneur Mélisende, vous n'avez rien?

Et toi, recule ou je te jure que tout l'ost te sautera dessus pour te faire la peau et que je me chargerai personnellement de ton dossier au procureur. On te fera bruler ...... AU BUCHER!!!!!!!!

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Muirgheal
L'avait bin eu raison d'entrer dans l'édifice avant tout le cortège pour se trouver endroit retiré confortable , ne rien louper et justement la encor même matelote qui surfait au sol jusque sous les chausses du comte _lui aurait bin servi d'amorti en cet instant son canar-bouée_.

Un cri parvint à ses oreilles ...... venait du cortège entrant . Mais , quelle peripétie se produisait-il en extèrieur ?Loupé , tant pis , rien vu !


.... fssssssin fssssssschuu blaaaaaa bla bla bleeeeeee blablaeu ...ma bonne vieille Muirgh? ____Comment ? .... Qui !.....mon nom ? moi ! ......mais bin oui !
Ramenée au défilé interieur par un marmonnement !!! Cette voix ,si si ,si ...elleeeu...Maé ...rhâaa mè ! Kêmeuveu ? Va pas m'interdire de m'assireeeu maintenant tout de même ! Gentille et prévenante comme l'est va ménager mes vieux gnous .....Oserait pas me denoncer à la Garde !

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***P'tite bonne vieille mère-grande......et fière de l'Être (!)***
Martel
Là il y avait un problème... A peine l'archevêque s’affalait-il sur le côté qu'une furie se mit à traverser toute la cathédrale à son assaut...

Hey lâchez donc cette arme ! ! ! Je n'ai absolument rien fait ! Je venais protéger Monsieur l'archevêque contre toute attaque et vous me sautez dessus ! Je suis envoyé par Rome madame ! ! Suite au conflit face à la couronne, je suis chargé de se protection durant l'intégralité de la cérémonie. Je vous prie désormais de vous reculer, ranger cette arme ou c'est moi qui vous fait bruler vive parmi les sorcières ! Là il était vraiment fier de sa réplique... Mais bon il s’enfonçait vraiment dans son mensonge.. Encore heureux que ça médaille Aristotélicienne se trouvait bien en évidence à son cou...
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Melly
Froncement de sourcils, oeil noir et réflexion intensive. Pourtant elle gardait sa dague en main, prête à égorger l'armure face à elle.

Taratata!!!!!! Je vois bien que vous tentez de tuer Adso. et de un, de Rome, j'en viens et j'aurai bien su si y'avait un truc, vous pensez bien que je le saurai.

Nouveau froncement de sourcil. Pas prévue de garde épiscopale, vu que y'en avait pas en Artois...

Il est où votre ordre de mission? et votre LP? Allez, on me montre ses papiers et on recule de MON archevêque, sinon je mords! ou pire, j'envoi Timusse en renfort!

Plus elle réfléchissait et moins elle avait confiance. Ce garde, l'avait un truc de pas aristotlicien, et elle ne voulait pas se retrouver avec une cathédrale assiégé par les spino ... une église lui avait suffit.
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Henriques
Les yeux encore gluants d'huile de foie de morue, Daniel se tenait prêt à prendre la suite du couple comtal, avec la procession, tenant fermement la couronne à deux mains.

Dans le brouhaha général, il entendit pourtant la voie paniquée de Melly:


Citation:
MECREEANTTTTTT!!!!!! On assassine mon lutin!!!!!!!!Je l'ai pas sauvé du spino pour le laisser mourir ainsi!


Le lutin? Assasiné? Monseigneur ? Faisant fi du protocole, qui était de toute façon déjà bien entamé, Le Vicaire cria aux soldats présents tout en s'élançant à l'intérieur de la Cathédrale.

Soldats! L'Archevêque est en danger!!! Il faut protéger le Comte !!! Protégez le couple comtal!!!! Alerte !!!! ALEEEERTTTE !!!!!!!

Daniel courait vers Adso et Mélisendre, le premier sans conscience et la tête baissée. Melly menaçait un homme de sa dague, lui criant dessus. Le Vicaire Diocésain arriva près d'eux en un instant avec fracas, l'huile de foie de morue ayant dégouliné sur ses bottes qui couinaient comme un cochon enfourché.

Melly!!! On a empoisonné le patron? Qui est cet homme? Faut-il faire évacuer la Cathédrale?

Puis s'adressant au sire qui lui était inconnu:

Si vous avez tué l'Archevêque de Cambrai messire....vous risquez fort d'être jeté au bûcher sur un char à roulettes!!!!

http://www.youtube.com/watch?v=9st4mLxZ6ms&feature=related
Jehanne66
Au cri d'alerte du détenteur de la couronne, Jehanne, comme tous bon soldat qu'elle était, désarçonna son cavalier sans même prendre la peine de voir qui il était, et courut en suivant les douces effluves d'huile de foie d'morue.
Une fois arrivée au bout de la cathédrale, le Maître de Calais se pétrifia l'espace d'un instant.

Et zut... c'était quoi cette alerte encore !
L'Archevêque est en danger et... c'était le Comte qu'il fallait protéger... pfff...
L'était pas de l'Ost le jongleur, ça s'voyait !!!
Faut être clair dans les ordres donnés aux soldats nanméo !
C'est que ça réfléchit pas un soldat, ça réagit au quart de tour, mais si on appelle au secours pour un Archevêque et pour un Comte en même temps et qui plus est, quand les deux sont aussi éloignés l'un de l'autre, ben le soldat... il est tout perdu et se retrouve comme une andouille en se demandant ce qu'il fiche là !!!

Pour avoir l'air moins bête que ce qu'elle était, Jehanne attrapa Adso par le colbac et lui fila deux petites claques pour voir s'il respirait encore...
Ben oui, non seulement ça réfléchit pas un soldat, mais c'est aussi très limité au niveau des cours de secourisme... son entraînement l'incitant à parer au plus pressé.


Ohé... l'Archevêque... z'êtes encore parmi nous ?
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Melisende
Mélisende, sise au côté de Monseigneur Adso, attendait toujours patiemment l'arrivée de la procession. A ce rythme là, elle pensait bien qu'elle perdrait quelques orteils gelés par le froid, ou encore serait incapable de se lever car prise par les glaces dont elle était persuadée de sentir la formation entre elle et le siège.

Elle en profita tout de même pour regarder un peu à droite à gauche, pour observer comment les artésiens se tenaient, histoire de changer son idée en tête. Visiblement, l'ordre n'était pas vraiment leur truc.
Alors que son regard vagabondait, elle ressentit une certaine agitation, provoquée par l'intervention d'un soit-disant garde auprès de son confrère de Beauvais. Mais de cette agitation, elle ne fit grand cas. Etait-ce encore une farce artésienne ? Ou bien quelque chose de plus sérieux cette fois-ci ? Par acquis de conscience, elle tourna la tête, pour voir la tête de l'archevêque choir.

Gné ?!

Surprise, elle n'eut pas le temps de réagir que déjà certains s'affolaient en tout sens. Panique, quand tu nous tiens...
Quelques secondes plus tard, elle repris le fil des événements et commença par répondre à Mélly :

Oui, oui... C'est bon, je n'ai rien.
Occupez vous plutôt de mon confrère...


Elle se leva pour s'éloigner de la scène et laisser un peu respirer Mgr Adso, quand elle reconnut l'agresseur :

Messire Martel ? C'est bien vous ?
Qu... Que... Que faites-vous là ? Qu'avez vous fait ?

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Martel
Alors là il y avait un gros gros GROS problème... A peine la Dame lui répondait-elle que deux autres personnes l’encerclaient...

C'est alors qu'il s’apprêta à parler d'une histoire d'agent secret pontificale pour se sauver, mais aussi pour conserver cette place qui lui permettait d'observer toute la salle, Première classe quand même ! !

Mais c'est alors que Melisende le reconnu et là... c'était cuit cuit cuit cuit... C'est le cas de le dire d’ailleurs avec cette histoire de bucher !


Ha bah tiens... Hum... Bon bah baissez vos armes là ! Je suis Martel Lopez, tribun de Bertincourt et greffier... Un homme intègre quoi ! ! Je voulais simplement souhaiter mes vœux de bonne année à Monseigneur Adso de manière originale ! Bon... pour le coup c'est sur que ça n'a pas eu l'effet escompté... Mais bon c'est po d'ma faute si il est tombé dans les pommes Naméooo...
Bon.. enfin sur ce... je vais allez m'asseoir moi, j'ai hâte que cette cérémonie se déroule, hum, pas vous vous? Ha bah ! Ha bah tiens je vois une place qui me convient parfaitement là bas ! ! Je vais vous laissez discuter tranquillement sans moi...

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Brage
Malgré toute sa vigilance l'attaque ne vint pas d'un quidam mais d'un très bon ami et n'avait pas pour cible le trésor d'Artois mais bien son propre trésor. Brage sentit plus qu'il ne vit passer Nat avant que celui-ci n'aille s'échouer dans le décolleté de sa rousse, ce qui déclencha chez celle-ci un sacré cri de stupeur. Le charpentier se passa une main lasse sur le visage, la résignation s'y mêlant pour accoucher d'une constation muette : il fallait bien que quelque chose arrive. Le quelque chose se releva avec empressement pour constater sa présence.

- Salut Nat.

Il passa un bras derrière les épaules de sa belle afin de la tranquilliser. Adressant des sourires forcés au voisinage il leur signifia que tout allait pour le mieux avant qu'un craquement n'alerte ses oreilles. Sa moitié lui signifia discrètement la cause du craquement.

- Oh.

Il resserra immédiatement son étreinte sur les frêles épaules afin de s'assurer du maintien de la cape et lorsque Fréné eut bu une bonne rasade il en prit une à son tour. Il la rendit à Nat, accompagnée d'un regard noir.

- Une petite soif oui, merci. Et tiens toi tranquille un peu, tu vas encore faire une connerie.

Devant le convoi semblait marquer un nouvel arrêt tandis que des cris venaient de résonner dans la cathédrale. Combien de temps allaient-ils rester là à se les peler?
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Ombeline
Petite œillade complice vers son tendre, et un sourire un brin amusé par cette inopinée demande mais bien alléchante.
Elle mit pied a terre.


Tu fais quoi?

Et bien, n'as-tu pas dis que tu souhaitais une pause champêtre en tête à tête ?
Bien que d'un autre coté, ce serait nettement plus raisonnable de rendre le Bambi sans tarder au vu de l'inquiétude certainement grandissante de Maé.
Si cela se trouve le couronnement est même terminé depuis tout ce temps ?


Arf, elle posait un cas de conscience à Lou sur ce coup là. Devait-il faire une pause ou ramener l'Bambi et sa dame de suite.
Elle le vit réfléchir ... et décida donc de remonter à cheval.

Bah...tout dépend de ton envie.

Bon retournons rendre le Bambi.

Il regarda le Bambi d'un sale œil se disant que lui en avait bien profité. Il remonta sur Tonnerre.

La jeune femme talonna son cheval à brides abattues, pressée d'en finir, de livrer le Bambi, d'assister au couronnement pour ensuite profiter d'un temps de repos car assurément, la journée risquait d'être longue et mouvementée vu ses débuts déjà révélateurs et propres à l'Artois.
Lou suivit en tenant bien la longe du Bambi. La biche ne lâchait pas son mâle.
La capitale fut rapidement en vue et Lou décida de s'arrêter auprès d'un camelot.

Je vais acheter deux, trois bricoles pour habiller un peu madame Bambi.

Des Achats?

Oui, oui pour la Bambinette.

Haussements de sourcils perplexes de la cavalière. Regard qui suit le déplacement du Lieutenant. Elle attendit son retour.

Achats terminés, ils reprirent la route, direction de la cathédrale.
Rapidement, ils arrivèrent sur le parvis de la cathédrale. Tout le monde semblait être rentré. Ils posérent pieds à terre et lou habilla quelque peu la biche.
La jeune femme flatta Cheval tout en jeta des regards de plus en plus intrigué sur le manège de Lou.

Tu te charges de la femelle, je vais m'occuper du Bambi pour rentrer?

Euh...
Crois-tu utile de ...


Elle ne finit point sa phrase, prunelles rivées sur l'accoutrement dont Lou venait d'affublerla femelle.

Bah, c'est leur bébé, il a le droit d'assister aussi au couronnement.

Elle préféra éviter de le contrarier, guère l'envie de se prendre une avoinée et des push up en prime. Elle attacha Cheval et prit le licou de la biche.

Bon, viens avec moi toi.
Non mais quelle idée, quelle idée ...


Elle avait fait quelques pas quand elle entendit la réponse de Lou.

Bébé, bébé, t'appelles cela un bébé toi ?

Pas petit le bébé !

Nathy est bien grand et tu l'appelles toujours mon bébé, non?

Nathy c'est autre chose ... mais y'a belle lurette que je ne l'appelle plus ainsi et encore que pour cela, il faudrait que je le vois plus souvent.

Il a enfin compris qu'il devait lâcher les jupons de sa mère et d'aller voir sous ceux des autres.
De plus, l'Bayou et Maé veulent leur Bambi, je ramène l'Bambi.


La jeune femme blessée dans son orgueil maternel, n'en dit pas plus et embarqua la femelle, derrière Lou. L'heure n'était certainement pas venue de discourir sur l'éducation qu'elle donnait à son fils. Le quatuor pénétra à l'intérieur de l'Église.

Il semblait se passer de drôles de choses encore. Un gars en armure, un cureton allongé. Jehanne qui faisait encore des siennes. Ils arrivèrent derrière le comte et Maé.

Pffff.....Bayou, j'ai retrouvé l'Bambi mais....euh....tu vois, il était entrain de rendre hommage à une biche et....bah...on a ramené l'Bambi mais la demoiselle a suivi.
Je me suis permis de l'habiller un peu en ton honneur.
Je ne sais si c'est dû à la période du rut mais il me semble bizarre ton Bambi.


La jeune femme opina du chef ... Surtout qu'elle l'aurait pensé bien plus récalcitrant à venir avec eux.


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Jehanne66
Jehanne continuait de tapoter l'Archevêque bêtement alors qu'un Sire tentait de s'expliquer auprès du jongleur qui sentait bon la morue.
Pas vraiment sûre d'elle, voyant Adso encore évanoui, elle se tourna vers melly.


Euh... tu crois qu'il faut passer au bouche-à-bouche ?!?!
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Melly
Melly rengaina sa dague, furieuse, et mécontente qu'un bertincourtois, en plus, se fasse remarquer.
Elle laissa Monseigneur Melisende sermonner l'imposteur, ne laissant passer entre ses dents qu'un
Tu a intérêt à t'éloigner et te tenir tranquille toi, espèce de piqueur de meilleur place.

Toute son attention se portait maintenant vers son lutin, aidé en cela, grace au ciel par Daniel.

Pôpa, on contrôle la situation. Le tribun de Bertincourt semble vouloir nous faire quelques farces. Les soiffards devait être vide, et il s'est dit qu'il allait boire un coup à l'oeil ici.

Nouvel oeil noir vers le tribun qui s'éloignait, elle lui adressa tout de même un Je suis du Guet de Berti messire, je vous ai déjà croisé aux soiffards.... maintenant que Monseigneur Mélisende me le dit..... Dites donc, ça vous arrive souvent t'usurper une identité? Filez, avant que mon collègue et moi même on ne vous arrête pour avoir attenté à la vie du Lut.... d'Adso.

Melly bien embêté toute de même, c'est qu'il était toujours pas réveillé le bougre, regarda Jéhanne tenter sans grand succès un réveil façon OST...

Daniel, elle va nous le finir j'ai bien peur.

Heureusement le poulpe se retournait vers Melly afin de quemander de l'aide, et une idée tilta dans son cerveau des plus loufoques. Elle retint Jéhanne, pus s'agenouilla vers l'Archevêque.

Psttttttt, si vous vous réveillez pas, ils sont bien capable de vous marier en douce avec Jéhanne, elle propose déjà de vous embrasser....
Et de croiser les doigts, espérant que le mot mariage est un effet salvateur sur son lutin.
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Adso


Adso était assis autour d'une grande table autour de laquelle de nombreuses personnes, vêtues de pourpre comme lui, se tenaient avec un air fort sérieux. La conversation tournait autour de la Nonciature, et les critiques fusaient, comme d'habitude. Soudain, l'interlocuteur qui se trouvait juste en face de lui monta sur la table et prit Adso à la gorge en lui donnant des baffes. Puis il cessa, et lui susurra à l'oreille "Et si on se mariait ?" Adso, qui avait été fort passif pendant les baffes, agita alors violemment les mains pour se défendre.

Oui, Cloclo, c'est promis, je ne signerai plus de concordat !
Nooooon ! Cloclo, on ne peut pas se marier !


Adso ouvrit tout à coup les yeux, et constata que tout le monde le regardait. Il se redressa dignement en époussetant son aube et se racla la gorge.

Aheum... qu'est-ce que vous fichez encore à vous tourner les pouces ? Le comte et sa suite ne sont pas encore arrivés ? Allez ! A vos places, voyons !


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Archevêque de Cambrai, Protonotaire Apostolique
Melisende
maeva83 a écrit:
Chevalier°Bayard a écrit:


Je suis là mon Ange. Je... voulais vous dire que c'est près de vous et avec vous que je veux vivre cet instant, et tous les autres de ma vie. Vous et juste vous, car c'est vous que j'aime. Sans vous, tout ceci ne rime à rien pour moi... Sur tout ce qui est Saint et Sacré, et sur tout ce en quoi je crois, c'est à vous que je veux consacrer ma vie...

...

En plus de la robe, le messager m'a aussi donné des nouvelles du Bambi. Bon, on sait pas où il est, c'est vrai, mais on sait vers où il est parti. J'ai un limier, mon meilleur nainformateur qui le suit à la trace... il le retrouvera bien vite, ça aussi je vous le jure...



Vi Bayard, que à moi! Nouvelles? On sait pas où mais vers où? Vi jurez et retrouvez le!

Je ...Désolée...retard et du coup...pfiou...épée...maladroite...désolée...génée mais l'autre nigaud la....pas fait exprès...Chaussure...robe...

Vi Crys, soyez pas désolée, ça arrive à tout le monde tous les jours, je ne m'étonne plus de rien!

Quoi Bambi...je pars à sa recherche de suite...Foi de prévôt, je le retrouverai.

Par pitié, oui! Merci de tout cœur!

Maé se cramponnait maintenant au bras de son chevalier comme un naufragé à sa bouée canard...

Par pitié Bayard, prenez cette couronne, finissons en et rentrons, j'ai l'impression qu'on est vraiment pas au bout de nos peines :pale:
Vous voulez que je m'en occupe? Ni vu ni connu dans ma poche secrète et on en parle plus, en plus ce ne serait même pas du vole pour une fois puisqu'ils veulent vous la donner cette couronne!

























Junky07 a écrit:
Et voila que finalement la route n'était pas aussi rapide que prévu le Bourrin n'étais même plus sur d'être dans la bonne direction. Ne partait il pas vers la champagne ? était il passé devant Péronne sans le voir ?
Quand tout à coup il arriva à l'entrée d'Arras, mais voila au lieu de ne rien entendre il voyait du monde de partout à courir à droite ou à gauche.
Le voici près de la cathédrale et la aussi c'était bien le bazar mais rien de quoi effrayer le Junk.

Il posa son cheval et se fit discret pour rentrer dans la cathédrale car malheureusement il était en retard.

Le couronnement n'était pas fini et n'avait même pas commencé apparemment car l’archevêque était au sol, la ça devient de plus en plus bizarre mais connaissant le couple comtale rien d'étonnant.

Il se faufila un peu plus dans la cathédrale et s'installa contre un mur.



Pas croyable ça... On pouvait pas faire un couronnement tranquille par ici !

Et voilà qu'Adso délirait en parlant de Cloclo et de ses Clodeweck... Vite, reprendre le contrôle... Mélisende frappa trois fois par terre avec sa crosse.


Allez, sortez de l'autel, tous ! On s'expliquera plus tard : A vos places !
N'oubliez pas que le Très Haut nous regarde !
Et puis on est déjà assez en retard comme ça, pas la peine d'en rajouter...


S'adressant sèchement à Henriques :
Et vous, la couronne, elle est passée où ?! Gné mais c'est pas possible, ça ! Je vous préviens, y a pas intérêt à ce que...

Mélisende ne finit pas sa phrase, il fallait se calmer. Elle fit un rapide tour de la cathédrale du regard. Allez, ça allait le faire, maintenant.

Le Comte semblait s'être éclipsé. Elle ne savait pas trop si c'était le service de désordre qui l'avait emmené là-bas où si c'était autre chose.


Qu'on prévienne sa Grandeur qu'il peut reprendre la procession !

Entende qui pourra. Mais ça valait le coup d'essayer.

Sur ce, Mélisende vint se rassoir, en prenant des nouvelles de son confrère du regard. A priori, ça allait mieux.
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