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[RP] Cathédrale: Cérémonie de couronnement et d'allégeance

Melly
Bon c'était à Melly de jouer. Adso lui avait demandé de s'occuper de tout ça. Très dignement, l'Ambassadeur Apostolique s'avança et alla chercher de quoi sustenter la foule. Le vin et le pain devait être en nombre suffisant.

Tout était prêt dans la sacristie, le vin devait être à la bonne température, ni trop ni pas assez. Melly descendit la marche et s'approcha ..... les bouteilles étaient vide, LES BOUTEILLES ETAIENT VIDE!!!!!!!!!


Nom de nom de nom d'un sans nom sans culotte!!!!!Oups, j'l'ai dit là.


Melly rougissante et pestante, tourna sur elle même tentant d'avoir une idée sublime


Vindediou de vinde diou!!!!! Qui ma siffler les futs?????

Melly se précipita par la porte arrière et siffla le premier gamin qui passait.
TOI!!!!!! Va me chercher le bedeau et vite fait.!!!!! Faut qui rapporte du vin et fissa!!!! si tu le trouve et qu'il amène du vin dans les 5 minutes, tu auras 10 écus.

dépêche toi, file


Y'avait pu qu'a attendre en espérant que le gamin trouve le bedeau rapidement.
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Gnia
Chers fidèles, voici le moment de célébrer l'Amitié Aristotélicienne en partageant ce pain et ce vin. Ils symbolisent l'union de tous les fidèles.

Agnès de Saint Just ou l'art d'arriver à point nommé.
L'heure du vin ! Et probablement, en toute logique, celle de la bouffe.
Rhaaa ! Que c'était bon de rentrer à la maison...

Elle était restée à l'arrière de la foule qui se pressait non loin du parvis et se fraya un chemin à grand renfort de coups de coudes jusqu'aux portes se réjouissant d'avoir raté le reste.

Une fois sur le parvis, elle s'était retournée pour tenter de reconnaitre quelques visages.
Le décompte n'avait guère dépassé les doigts d'une main lorsqu'elle avisa au loin la Vicomtesse de Fruges qui accompagnait une sorte de paire de ...
biches ?

Elle haussa un sourcil puis haussa une épaule et secoua la tête en se disant "Non mais normal, Saint Just, t'es rentrée à la maison... C'est l'Artois, fous-toi ça dans l'crâne, tout ce que tu vas voir à partir de maintenant dépassera les limites de la logique..."
Et pour faire passer l'information, elle mit prestement la main sur la petite gourde qui ne la quittait jamais et s'en enfila une grande lampée avant d'entrer dans l'édifice.
Histoire d'attendre le vin.

Avisant le premier banc devant elle, elle se força, à l'aide d'un coup de hanche moelleux, une place d'où on pouvait voir le spectacle pour peu qu'on se torde un peu le cou. Esquisse d'un petit sourire angélique et contrit à son voisin, avant de guetter l'instant où on amènerai la gnôle.

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Adso


Mgr Melisende avait béni ce qu'on pourrait appeler l'échantillon de pain et de vin qui était sur l'autel, mais il fallait maintenant amener le reste des provisions pour partager le pain et le vin avec toute la foule présente... Adso avait vu Melly partir vers la sacristie pour aller chercher tout ça, mais elle ne revenait toujours pas... Un peu agacé (évidemment, dès qu'il demandait à quelqu'un d'autre de faire quelque chose, rien n'allait : on n'était jamais mieux servi que par lui-même...), il se décida à quitter le choeur en pleine cérémonie pour rejoindre à son tour la sacristie.

Et alors ? qu'est-ce que tu fabriques, Melly ? Les gens vont attendre !

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Archevêque de Cambrai, Protonotaire Apostolique
Damefrenegonde


Alors que Fréné reprenait enfin ses esprits et profitait des bienfaits de l'alcool qui s'insinuait dans son corps, un évènement vint une fois de plus troubler sa courte quiétude. Un air glacial parcouru alors ses épaules tandis qu'elle sentait un tissu tomber sur le sol pendant sa marche. Il lui fallut quelques secondes avant de comprendre que c'était sa propre cape qui venait de glisser de ses épaules et de sa gorge à moitié nue. Heureusement son ténébreux toujours attentif et prévenant prit les choses en main avant même qu'elle ne perde son sang-froid et ne fasse un scandale en public.

Sans arrêter sa marche qui aurait créé encore une animation de plus, Frénégonde gratifia Brage d'un sourire crispé avant de resserrer les pans de sa cape contre son corps en proie au froid. Même si la cérémonie battait son plein et que son attention devait être portée sur celle-ci, la rousse ne cessait de chercher Nat du regard afin de lui passer un savon mémorable. Hélas, ou tant mieux pour son ami, Frénégonde dût à regret laisser son problème de côté pour se concentrer sur le sacrément qui commençait enfin.
Brage aprės un furtif baiser la laissa seule pour remplir ses fonctions et la rousse s'avança pour trouver une place.

Elle s'installa sur le banc le plus proche tout en admirant son ténébreux qui avait fière allure avec sa clef en main et sa mine sérieuse. Toujours la main crispée sur sa gorge, elle souffla un grand coup pour se remettre de toutes ces émotions en espérant retrouver bien vite son compagnon
.

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Melly
Melly attendait le gamin et le bedeau.... v'la ce qu'elle faisait! que la jeune femme fut tenté de rétorquer au lutin. Regard noir vers l'Archevêque et elle fini par lancer.
J'rattrape les âneries d'une certaine progéniture dont je tairai le nom!!! Un certain Porte parole a voulu gouter la qualité du vin de messe, mais a oublier que "gouter" c'est pas s'enfiler le fut en entier. J'ai envoyé un gosse chercher le ..... ahhhhhh vous voila c'est pas trop tôt!!!!!!!!

En effet, le bedeau revenait en roulant un fut avec le mioche tout fier de lui. Melly donna les pièces promise au gamin, lança un regard noir au bedeau qui tendait la mainToi, tu mériterai des coups de bâton pour ne pas avoir surveiller le vin!

Melly ronchonnait toujours .... bon rien qui change là, mais en même temps, elle filait des ordres pour que e vin fut mis en bouteilles et rapidement, deux carafe furent remplies, ainsi que deux paniers de pains.
Elle fini par se retourner vers l'Archevêque.


On est pret Chef!!!!!
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Sylvine
Toujours pas de Nathanael et de Faustine devant ses yeux..
Sylvine câlinait la petite d’Ytres. Le poupon avait posé sa joue contre sa poitrine et poussait des soupirs qui s’espaçaient. La cérémonie avait commencé avec son ballet de religieux.

Un bruit de sabots incongru, dans cet édifice, retint son attention. Elle aperçut au loin la vicomtesse qui leur adressa un petit signe de la main.

Regardez Gwan votre mère est là, souffla –t-elle à l’enfant.
La petite avait les paupières fermées et respirait doucement les poings fermés.

La brunette releva la tête pour rendre son signe à Ombeline mais celle- ci sortait suivi d’un cervidé.
Ils ont retrouvé Bambi ? Mais il est sans bois ? pensa-t-elle.
Des objets étaient déposés sur l’autel.

Pour mieux assurer sa prise et mieux porter la progéniture ytréenne sans la réveiller. Elle recula pour s’adosser contre un mur.
Elle sentit une légère résistance velue sur sa droite et sous sa chausse.


Heu pardon ? Je ne vous avais point vu
, prononça-t-elle à tout hasard.
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Adso


"Progéniture", "porte-parole"... Adso n'était pas très sûr, mais il pensait que Melly n'avait pas assisté au mariage de Will et Iza. Manifestement, tout se savait un jour ou l'autre... Pffff... Ah sa réputation allait en prendre un coup...

Et bein, si on est prêt, allons y, les fidèles attendent pour la communion ! Allons partager le pain et le vin ! Je prends un panier de pain, histoire d'aider...

Il prit donc l'un des panier, le moins lourd, et retourna dans le choeur, où il s'adressa à l'assistance :

Mes enfants, partageons maintenant le pain et le vin de l'Amitié ! Comme nous sommes nombreux dans la cathédrale en ce jour, les clercs vont passer parmi vous pour faire la distribution.

Il fit signe à Melly, Daniel, Astreria et les autres clercs présents de s'exécuter.


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Archevêque de Cambrai, Protonotaire Apostolique
Henriques
Enfin à boire et à manger pour le peuple! Daniel s'exécuta donc et prit du vin et du pain pour le partager avec les présents. Il restait cependant sur ses gardes: il connaissait bien les Artésiens, et nul doute qu'un d'entre eux allait vouloir s'emparer du vin pour en boire deux ou trois gorgées.

Melly
V'la que Melly devait tout porter toute seule .... il repasseront avec leur promotion ceux la ...

Elle remonta les manches de sa robe, pris un panier de pain et une cruche de vin et un verre.


Ca fait un peu panier pic nique mon truc, mais bon, on est en Artois, alors un peu plus, un peu moins ..... Hep le p'tiot, tu veux quelques pièces de plus? Tu vas me tenir le panier pendant que je dictribue le pain et le vin. Non c'est pas la soupe populaire, si tu allais le dimanche à la messe tu en aurais toi aussi, et s'en le chaparder. Allez tiens ça, tiens toi bien, et tu auras de nouveau 5 écus, ça te fait une bonne journée non? plus un pain rien que pour toi.

Héhé, l'était pas peu fière d'elle l'ambassadrice Apostolique. Elle Avança entre les rangs de fidèle, son mioche qui la suivait de près et présenta le pain et le vin à son tour, en bénissant les Aristotélicien qui lui demandait.


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Aterfalco
La cérémonie débutait, classiquement, ça parlait, ça bénissait, ça blablatait... Aterfalco, collé sur son mur, somnolait, dormant à moitié, les yeux mi-clos, l'esprit dans le vague. Décidément, les trucs avec des machins religieux, c'était pas sa tasse d'hydromel.

Il fut réveillé brusquement, d'abord par l’exhalation soudaine d'un parfum aussi agréable que connu, puis par un heurt tout aussi soudain, encore que léger. Après avoir émis un bref grognement, Ater émergea et reconnut la silhouette et la voix de l'importune, en la personne de Sylvine.

Jolie comme tout en ce jour festif, elle tenait contre elle une petite chose qui dormait pour ainsi dire comme un bébé, la veinarde. Il lui répondit donc, en tâchant de ne pas parler trop fort, mais suffisamment pour qu'elle remarque qui elle venait de bousculer.


-Mais ce n'est rien, Mademoiselle Sylvine ! C'est toujours un plaisir de vous voir, même si... c'est pour me bousculer.

Il fit de son mieux pour parler assez doucement, de peur de réveiller l'enfant plus que de déranger les ploucs assis devant.
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Adso


Satisfait de voir que la communion était bien partie, Adso se concentra sur la suite de la cérémonie. Le temps que les clercs arrivent jusqu'au fond, on pouvait commencer le serment du comte, de toute façon, les gens du fond ne devaient pas voir grand chose, alors un peu plus, un peu moins... Et au moins, s'ils entendaient qu'il se passait quelque chose, ils feraient peut-être un peu silence...

En haut des marches qui menaient vers le choeur, il fit donc signe au comte de venir vers lui, tout en tapotant son propre genoux en regardant le comte, d'un air de dire : "n'oubliez pas de mettre un genou à terre". Quand ce fut fait :

Comte Bayard, promettez vous de protéger et défendre le pays d’Artois que le Très-Haut confie entre vos mains, son autonomie, sa population et son honneur avant toutes autres considérations terrestres ?

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Archevêque de Cambrai, Protonotaire Apostolique
Sylvine
-Mais ce n'est rien, Mademoiselle Sylvine ! C'est toujours un plaisir de vous voir, même si... c'est pour me bousculer.

Elle ne bougea plus. Ce timbre de voix bien que soufflé, elle sut à qui il appartenait.
Elle s’était si avancée dans la nef ? En effet, elle se retrouvait du côté des nobles.
Gênée, Sylvine tourna la tête et susurra à l’encontre du bousculé.

« Bonjour, messire Ater. Il sera dit que je vous martyrise. Je suis confuse d’avoir atteint vos bottes et votre personne. Permettez-moi de me confondre en excuses.. »
Elle hésita à le saluer à la Bertincourtoise en ce lieu saint, à Arras.
Elle s’appuya sur le mur à ses côtés.

"Je vous présente la petite Gwan."
Elle rougit en découvrant que son voisin avait les jambes nues.
Pour garder contenance, elle caressa la joue de l’endormie.
Le Cambrésien la surprenait encore : un mantel à superbe fourrure mais une tenue…légère.

La communion se faisait dans les rangs. Elle n'osa se déplacer.

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Aterfalco
Aterfalco l'écouta, souriant légèrement, ne portant qu'une attention modeste à l'enfant, qu'il avait par ailleurs déjà vu, et encore moins à la cérémonie qui se déroulait autour, et qui commençait à l'ennuyer un tantinet.

-Oh, il est inutile de vous excuser enfin, et encore moins de vous en confondre, la vache qui a servi à faire mes bottes ne risque point de s'en offusquer. Et quant à ma personne, et bien... J'ai connu ruades plus désagréables, croyez moi.

Il jeta un coup d’œil à la fillette qui dormait dans les bras de Sylvine.

-La gamine d'Ombeline, hein. Vous vous improvisez nourrice en ce jour ? Vos disciples ne sont pas avec vous ? Il m'a semblé vous apercevoir plus tôt avec d'autres jeunes gens. A moins que cette bienheureuse chose qui dort contre vous n'en soit une également ?

Aterfalco n'arrivait plus bien à se rappeler combien elle lui avait dit avoir de disciples, seulement qu'eux l'appelaient Sysy, ce qui lui avait enlevé la primeur d'un surnom qu'il avait pourtant trouvé très original...
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Takanomi
Surveille la Biche de l'utre côté de la cathédrale et viens me quérir s'il y a un problème a concernant! , dit Takanomi à un des moines qui gesticulait à l'entrée, l'air hagard et ne sachant où se mettre.

L'air renfrogné, il se dirigea vers un des bancs et, à force coups de genoux et de coudes, parvint à trouver une place. Il scruta les environs, à l'affut d'un regard moqueur et mauvais dont il pourrait justifier sa mauvaise humeur mais ne trouva rien d'autre que des sourires et des regards indifférents.

Voilà que l'on distribuait ce qui ressemblait à du pain et que des ecclésieux passaient entre les bancs pour faire goûter le vin de messe. Des gouttes de sueur perlaient sur les tempes de Takanomi, on lui avait raconté de drôles de choses à propos de ce drôle de pain et des droles de mains qui les touchaient. S'il avait su, il serait resté au fond, contre le mur, comme le faisait Aterfalco. Mais s'il l'avait fait, il aurait une mauvaise vue sur les parures portées par les femmes assises le long des bancs. Et il n'aurait pas remarqué la coiffure de Frénégonde qui ne manquait pas de goût. Il se pencha légèrement pour lui faire un signe mais elle regardait ailleurs et ne put, peut-être pas le voir.

Soudain, il sentit un très léger coup de hanche sur son côté droit et il remarqua en se tournant et grâce à des détails qui ne lui échappaient que rarement, l'allure d'une femme issue de la noblesse et qui lui souriait. Il contempla son regard avant de se rendre compte que ce visage, il l'avait déjà vu il y a quelques années de cela. Mais il était incapable de mettre sur ces traits ni un nom, ni une qualité particulière. Il se contenta d'incliner la tête et de murmurer un "je vous en prie".

Des murmures se faisaient entendre du côté du mur du fond.


Silence, marraud ! , dit-il en direction d'Aterfalco, l'air renfrogné, avant de se rasseoir.
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Henriques
Daniel continuait de distribuer le pain et le vin....et voyait que le Comte tardait à prêter serment. Avait-il à son âge du rhumatisme? Non...ce ne pouvait pas être cela....
Il devait être ébahi et trop ému, il était dans ses pensées perverses....ou politiques...les soucis, tout ça. Les Flandres, le Concordat, la guerre, la Reine....que de choses dans la tête de Bayard!
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