Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 7, 8, 9, ..., 16, 17, 18   >   >>

[RP] Cathédrale: Cérémonie de couronnement et d'allégeance

Brage
La clameur de la capitale parvenait par une fenêtre entrouverte jusque dans l'un des bureaux du château. Un dernier mandat signé, Brage avait congédié d'un geste de lassitude les derniers commis, leur signifiant qu'ils avaient le reste de leur journée. Une fois seul, il rangea sommairement en pile les parchemins qui occupaient la quasi-totalité de la surface de son bureau, remit son boulier à zéro et redressa dans un grognement sa grande carcasse sur ses jambes. Après s'être gratté pensivement le cailloux il avisa l'un des coffres qui se trouvaient contre le mur et fit jouer son couvercle d'un bon coup de botte. Au fond se trouvaient une feuille de parchemin couverte d'encre enroulée autour d'une clé. Brage détacha le parchemin et relut avec un demi-sourire le détail de la cérémonie, il secoua brièvement la tête avant de reporter son attention sur la clé. Massive et dorée, elle n'ouvrait en réalité aucun coffre. La clé du trésor d'Artois était un paradoxe à elle seule, et le bailli enfouit ce paradoxe dans sa besace. Tout en s'approchant de la fenêtre pour refermer celle-ci, il aperçut en contrebas le carrosse comtale quitter la cour, suivi de près par le fameux Bambi ainsi que par une petite troupe de gardes. Il rassembla donc ses affaires et vida les lieux.

Il parcourait d'un bon pas les rues de la ville, ayant préféré laisser son cheval de fonction à l'écurie. Il était cependant loin de s'attendre à la scène qui se déroulait sur le parvis de la cathédrale et frappé par tant de bizarrerie ne chercha même pas à en saisir les tenants. Les cérémonies artésiennes restaient ce qu'elles étaient. Il se gratta de nouveau le cailloux puis préféra se concentrer sur la recherche de sa rousse plutôt que de s'embourber, à l'image du cureton, dans une farce qui ne finirait probablement jamais. De son autre œil il cherchait également à trouver les quelques membres du conseil devant participer au cérémonial.

_________________
Sirlabreck
Acquiescement du lieutenant, voilà ce que voulait entendre le capitaine. Il se mit en retrait, observa. Déléguer était bien, pas trop d'inquiétude. Les minutes qui suivirent confirmèrent qu'il avait bien fait. Les problèmes survenaient et étaient négligés ou vivement réglé. Puis, voilà le comte qui arrivait. Pas trop tôt, pas trop tard, un comte n'est jamais en retard on dis.

Labreck continua à observer, les bras croisés, léger sourire aux lèvres. Un canard, bloody, il retint le juron, mais un canard, tout de même? On cria à l'assassin, la main du capitaine rejoignit la garde de son épée, avant de se raviser. La haie d'honneur s'organisait, on parlait d'un bambi pas loin du carrosse comtal. Le lieutenant Leportel avait les choses en main. Restait plus qu'à veiller au grain. Pas de champi en vue. Juste un canard, mais fichtre, que faisait le comte? Un oeil sur la drôle de scène, un autre pour scruter la foule. L'officier de l'Ost ne prêtait qu'à moitié attention à ce qui se passait.

Puis, d'autres ordres, on demandait aux archers d'abbatre un canard, on allait se demander à la fin. L'oeil de lynx du capitaine aperçut une vigie dans un arbre, arc court, p'tit bonhomme. Amateur qu'il pensa. Encore plus lorsqu'il vit cet archer s’exécuter, et quasiment ce tuer en emportant ce qui devait être le moineau. Qui l'avait engagé celui-là6 La prévôt? Le connétable? Certainement pas lui.

M'enfin, on finirait par entrer, c'était une cérémonie à l'Artésienne après tout. Apercevant Brage, il lui fit un signe de tête pour le saluer. Bon, c'était temps de passer à la suite sans doute. Les objets cérémoniel à sa charge était dans une sacoche à sa taille. À côté d'une cravache et d'une bonne gourde d'un rouge cassé à du calva. Il s'en enfila une rasade puis attendit pour suivre tout le cortège à l'intérieur de la cathédrale. Le sourire léger toujours présent, mais l’œil vigilant à la recherche de véritable assassins. Qu'il aurait préféré avoir un marteau de guerre à sa ceinture qu'une lame.

_________________
You know about Sun Tzu, Alexander the Great or Matrim Cauthon? Yea? Morons! - Vous connaissez Sun Tzu, Alexandre le Grand ou Matrim Cauthon? Oui? Des imbéciles!
Aterfalco
[A Arras, quelque part, sûrement, sans doute, qui sait...]

Des affaires l'avaient appelé, encore, à se coltiner le trajet jusqu'à Arras, ce qu'il n'affectionnait pas particulièrement. Il sortait d'un estaminet après une entrevue des plus étranges avec un type ayant un accent des plus surprenants. Il entendit alors du barouf dans la ville, ce qui, pour Arras, tenait presque de l'anecdotique.

Remontant sur Cheval, il entreprit d'aller voir ce qu'il se passait, pour une fois il n'était pas en retard, du moins pas encore, il avait le temps, a priori. Longeant les ruelles le menant très certainement vers la cathédrale.


-Encore un mariage où j'ai dû oublier d'aller ça..., se dit-il, maugréant pour lui-même.

En descendant une ruelle adjacente, il croisa Taka, manifestement en état d'ébriété, qui tâchait grotesquement de se hâter, suivi de près par cette espèce de poulain-veau-biche qu'il avait croisé le matin même, et que Cheval avait failli tuer à coups de dents.


'lu Taka..., maugréa-t-il, les yeux dans le vague, avançant toujours vers le brouhaha, plus pour se notifier à lui-même qu'il l'avait vu que pour le saluer, trop occupé qu'il était à... avancer plus ou moins droit devant lui pour semer son poursuivant. Le poulain-veau-biche passa à sa suite, non sans avoir esquivé les crocs de son cheval pour la deuxième fois de la journée. Preste la bestiole.

En arrivant près de ce qui semblait être une pharamineuse cérémonie, Cheval fit une embardée cette fois, surpris qu'il fut par le passage en trombe d'un péquin brandissant un canard mort et boursouflé. Il pesta, retenant sa monture de partir à la poursuite de l’importun.

Il s'arrêta un instant, songeant à ce qu'il venait de voir dans un laps de temps de moins de 5 minutes, et l'agitation anormalement festive qui régnait à Arras...


-Putain mais... C'est quoi ce bordel ?...

La foule était compacte, mais il la dominait du haut de son destrier balafré. C'était donc ça, le couronnement du nouveau comte, évidemment... Il assista de son perchoir à la bourde de l'archer, à la chute du cureton entre les cuisses de la p'tite bourrine, à la narration enflammée par les badauds de l'histoire de Bayard et le Canard, à tout ce qui faisait de cette cérémonie un moment unique et poignant.

N'y tenant plus, face à tout ce à quoi il assistait, il éclata d'un rire tonitruant, tomba de selle en basculant en arrière, et se marrait encore alors qu'il était la cul par terre et la tête contre le pavé. Il ne s'était pas levé pour rien ce matin.

Au moins pour une fois, il était par hasard à l'heure, et n'avait rien à en regretter.

_________________
--_messager_
Jehanne66 a écrit:



D'abord maîtrisée par ses propres soldats, puis bâillonnée par le Lieutenant, le Maître de Calais tenta encore de rejoindre la femme à abattre, la féroce tueuse de canard, incitée par un cri provenant du couple Comtal.
Mais à la vision de manger ses ovaires... même grillées... Jehanne résista à la tentation et étouffa sa soif de vengeance.
Le comte lui-même voulu un instant lui remonter le moral en jouant de la cornemuse avec un canard qui n'était même pas de la bonne marque, mais la soldate soupira longuement, voyant tous ses espoirs de voir ressusciter son canard s'envoler... en même temps que sa flasque de calva en plus !!!
Et c'est à contrecoeur que Jehanne brandit son épée.
Un archer ramenant le canard en brochette, Jehanne se demanda si elle ne pourrait pas faire passer une loi pour protéger l'espèce qui serait bientôt en voie de disparition à ce rythme !
Un craquement d'étoffe plus tard et voyant le Lieutenant se précipiter sur elle, Jehanne eut juste le temps de murmurer,


J'y suis pour rien, j'vous promet !!!

Mais l'officier refourguait déjà sa flasque d'huile de foie d'morue à un saltimbanque qui jonglait avec une couronne.
Secouant la tête, elle grogna doucement alors que d'autres semblaient rire de la situation,


Mauvaise journée...
Maeva83


[quelque part dans un monde parallèle...Cela ne pouvait se produire à quelques minutes du couronnement... ]

Comme ça aurait été bien, elle, vêtue comme une princesse au bras de son beau chevalier, sentant l'un et l'autre le frais, la jeunesse et le savon de Marseille, incarnant la grâce, la beauté, la réussite, l'intégrité et l'honnêteté (faut toujours qu'elle exagère...)

Applaudis, acclamés, loués de mérites et de louanges par tous les artésiens au moment du sacrement, de la consécration, de l'ultime couronnement, qu'après ça ils auraient pu mourir (enfin presque, devaient encore gagner une coupe de soule et se marier) pour avoir accédé à la réussite suprême! (Enfin non, fallait encore qu'ils récupèrent Compiègne aussi, et qu'ils bottent le cul de Nébitruc avant de prendre sa place sur le trône, bref!

Z'avaient encore quelques projets avant de mourir, comme tout le monde l'aura compris) mais un couronnement c'était déjà pas si mal hein, quoiqu'en disent les mauvaises langues!

Donc, voilà un rêve qui s'évaporait, bien qu'elle essayait encore de le retenir du bout des doigts lorsqu'elle vit virevolter dans les airs la jolie couronne comtale.

Mais... elle l'abandonna complètement lorsqu'elle vit le pauvre vicaire de Cambrai vautré à ses pieds, à deux doigts de la méga pénitence pour ce qu'il entrevoyait de ses dessus, habilement révélés par une "flêche", un champion, un vrai champion comme on en croise pas souvent dans une petite vie comtale!



Namé elle en revenait pas de la scène qui se déroulait devant ses yeux! Pas potib, elle restait figée, elle fit des gros yeux de détresse à l'attention de son chevalier pour les ferma fort en pensant "Un...deux...trois...je disparais..." (genre je suis pas là, on me voit pas...) personne n'était là, le coq n'avait pas encore sonné l'heure du réveil, et elle cauchemardait dans ses draps de soie dans l'attente d'un bon petit déjeuner et des préparatifs du couronnement...

Quelque soit le grotesque de la situation, rêve où réalité, il fallait rester digne! Tenir et se tenir!

_________________
Chevalier_bayard





...



...



...

Pas potib! Gne papotib...

Que le Bambi fasse une enième fugue le jours de la cérémonie, que Bayard perde quelque cheveux sous la haie d'honneur, qu'ils soient attaqués par un essaim de canard furieux (un coup des champis, assurément), qu'on l'obligea même (quasiment, oui, obligé!) à les gonfler par un endroit que la décence nous interdit de citer, et même que la couronne comtale soit à quelque centimètre d'une chute fatale... soit...

Mais qu'un pécore se permette de déchirer la robe de Maé, l'exhibant ainsi devant tous, et en plus, le privant lui du déballage de sa fiancée de ladite robe, déballage qui promettait moultes surprises et autre coquineries...

Une petite veine sur sa tempe droite indiquait une explosion fulgurante et dangereuse... n'oublions pas que Bayard est un sanguin...

D'abord, d'un geste ample, il retire sa cape et en couvre Maé. Ce corps si apétissant qu'il gardait pour lui, tel un sphinx, lui jaloux tel un lion,...

Puis il posa un regard noir vers l'archer


--Archer a écrit:


JE L'AI !!!
JE L'AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!!
VOTRE ALTESSISMEEEEEEEEEEEEEEEEEE, IL EST CUITTTTTTTTTTTTTTTT !!!


ALTESSISMEEEEEEEEEEEEEEEEEE
LE VOILAAAAAAAAA



Bayard tentait de se forcer au calme. Difficile en de telles circonstances...

Tu me rapportes ce canard en dénudant ma promise ? Mais tu sais où tu peux te le mette ce canard ? Tu sais où ??? Lou! Qu'on le mette aux arrêts, vais lui faire passer le goût du canard moi! L'aura plus jamais de soucis de constipation avec un tel suppo, j'vous l'promets!

Henriques a écrit:

IL FAUT QUE JE ME LAVE LES YEUX! PURIFIEZ-MOI DE CETTE VISION!

LE RINCE-BOUCHE! DONNEZ-MOI DONC CE RINCE BOUCHE!



Et voilà-t-y pas que son voisin s'y mettait...

Et quoi, il veut qu'on lui crève les yeux lui ? Qu'il boive le rince bouche et en silence. Et qu'on apporte une robe de rechange pour Maé. Et tout le monde dans la cathédrale, fissa! Et si y'en un qui essaye de regarder sous la cape, ou lorsqu'elle se change, c'est le pal ? Compris ???

_________________











Damesamantha
Citation:
Bonjour Sam. Non, je n’ai pas eu l’honneur de me faire présenter à cette jeune damoiselle.
Si elle veut bien me prendre la main, nous regarderons ensemble son père et celui de Gwan parader dans leur uniforme.
Euh J’espère qu’il n’y a pas d’autres enfants de l’Ost à garder je n’ai malheureusement que deux bras


Elle se nomme Faustine. Je pense que non, il n'a pas d'autre enfants de soldats. Merci beaucoup.
Faustine je te présente Sylvine c'est une amie de ton papa et moi. Elle va te garder pendant que nous on doit faire notre rôle de soldats. Prend lui le sa main ma puce.


Faustine va avec Sylvine. Samantha lui fait un bisous et repart ou tout les soldats sont. Elle va prés de Led.

Dit il se passe quoi la? Je me suis absenté quelque minute et s'est le cirque ici.

Elle attendis la réponse de Leducg.
_________________
Leportel62
Le spectacle continuait et quel spéctacle mes ancêtres.
Sur ce coup là, l'Bayou avait été assez lent pour que Lou puisse se rincer les mirettes.
Bah, il ne devait pas s'ennuyer le comte.


Tu me rapportes ce canard en dénudant ma promise ? Mais tu sais où tu peux te le mette ce canard ? Tu sais où ??? Lou! Qu'on le mette aux arrêts, vais lui faire passer le goût du canard moi! L'aura plus jamais de soucis de constipation avec un tel suppo, j'vous l'promets!

Lou se depêcha de s'pointer devant le comte et attrapa l'archer par la panse.

Dis, donc bien roul....hum....bien armée, Maé dis donc.
J'emméne cet idiot de suite. Euh....la canard, je lui mets dans l'fion avant de le mettre en géôle où ça peut attendre?

Et quoi, il veut qu'on lui crève les yeux lui ? Qu'il boive le rince bouche et en silence. Et qu'on apporte une robe de rechange pour Maé. Et tout le monde dans la cathédrale, fissa! Et si y'en un qui essaye de regarder sous la cape, ou lorsqu'elle se change, c'est le pal ? Compris ???

UNE ROBE POUR LE COMTE, ENFIN POUR SA DOUCE.
Ensuite, je me mets à la recherche du Bambi.

Lou traîna l'archer et se dirigea vers deux gardes afin qu'il s'occupe de lui.
Il revint vers Omby.


Tu viens avec moi, on part à la recherche du Bambi.
Pour la haie, vous pouvez rompre les rangs. Je pense que nous serons revenus avec la sortie.

_________________
Damefrenegonde


Cela faisait près d'une heure que la rousse flamboyante s'activait à essayer diverses tenues pour paraître la plus presentable. Il faut dire qu'elle était attendue par le bailli lui-même et que sa mise devait donc être parfaite et unique. Mais la jeune dame de Roeux s'était levée du mauvais pied et son impatience face à tous ces tissus multicolores ne faisait que croître.

"Trop decolleté... Pas assez soigné... Un brin osé..." marmonnait-elle en jetant sur le lit chaque robe jugée inadéquate pour la circonstance.

Désespérée, elle jeta un œil à la vitre qui reflétait son image et soupira longuement, avant d'entendre de l'animation à l'extérieur. Elle avait loué une petite chambre dans un hôtel de la capitale Artésienne qui donnait par chance sur la Grand-Place, où trônait fièrement le château Comtal.
Elle se leva d'un bond et se hâta d'ouvrir la fenêtre en jurant de tous les noms sur son retard et sa négligence. En effet, la foule se rassemblait déjà sur le parvis et devenait plus dense à chaque coup d'oeil.


Il était donc temps de faire un choix et de se dépêcher pour rejoindre Brage qui devait déjà la chercher. Avec une grande agilité elle enfila une superbe houppelande d'un rouge profond, orna sa taille d'une fine corde dorée et coiffa sa chevelure en deux beaux macarons bien symétriques. Quelques gouttes d'essence de rose au creux de ses poignets et de sa gorge, la belle ajusta sa longue cape blanche, ses poulaines et quitta la chambre d'un pas décidé.

En quelques secondes, le temps de régler l'aubergiste et d'attraper un beignet, la rousse se retrouva sur la place grouillante de monde. Tout en croquant dans sa gourmandise pour se donner du courage, elle commença à arpenter les grandes dalles en quête de son ténébreux. Un énorme brouhaha assourdissait ses oreilles et il régnait apparemment une grande animation non loin, mais Frénégonde était bien trop occupée à se frayer un chemin pour y porter attention.

Enfin elle le trouva! Elle remercia le ciel de lui avoir choisi un compagnon si grand et si bien charpenté et se hâta à petites foulées vers lui, un sourire rayonnant aux lèvres. Une fois à sa portée, elle posa une main sur son avant-bras et lui murmura :


"Je crois que vous m'attendiez?" puis croqua une dernière fois dans son beignet les yeux pétillants de malice.

_________________
--Archer



Guillomme Tell croyait son heure de gloire arrivée, il se voyait déjà même titré, des fois que ... Ce fut un tout au programme qui se déroula loin des liesses auxquelles le petit homme s'attendait ... Loin, très loin ... Pas toujours facile, la vie d'un Archer, je vous jure.

Tu me rapportes ce canard en dénudant ma promise ? Mais tu sais où tu peux te le mette ce canard ? Tu sais où ??? Lou! Qu'on le mette aux arrêts, vais lui faire passer le goût du canard moi! L'aura plus jamais de soucis de constipation avec un tel suppo, j'vous l'promets!

Lui vrillant dans les tympans l'Altessisme. Un brin sonné, il mit un temps certain à entendre à nouveau et surtout à ouvrir le bec à cette vindicte ...

Euuu

Ca c'était de la réponse !!! Faut dire que l'archer avait mâter vers la Comtesse enfin de comprendre de quoi l'accusait-on ... Finalement, il ne contempla qu'une belle rouquine emmaillotée dans une étrange robe ... ayant plus des airs de cape, qu'autre chose, mais bon, lui et la mode, ça fait 1000. Il allait signaler que le Comte faisait certainement erreur quand un officier le choppa brutalement ... Et le comble, par la panse ! Comme un bestio !!! Biglau ce guss, il devait certainement pour le canard.

Dis, donc bien roul....hum....bien armée, Maé dis donc.
J'emméne cet idiot de suite. Euh....la canard, je lui mets dans l'fion avant de le mettre en géôle où ça peut attendre?


Que que quoi ????
Mais .... mais .... mais
Je n'ai fais que mon devoir !!!!


Pauvre archer qui ne comprenait plus rien. Le voila remit malu malimentari à deux autres gardes.

Mais .... mais .... mais
JE SUIS DES VOTRESSSSSSSSSSSSSSSSSss
VOUS VOUS FOURVOYEZ


D'un ton se voulant suppliant, allant qu'il était trainé par les deux gardes.

MON ALTESSISMEEEEEE
MON PRINCEEEEEEEEEEE
MON ROIIIIIIIIIIIIIIII
Pitiéééééééééééééééééé
Grâceeeeeeeeeeeeeeeeee
Vous avez été leurré !!!
Fourvoyééééééééééééééé
JE ne sais ce qui se passe, mais je suis INNOCENTTTTTTTTTTTT


Une paire de gambettes passèrent au ras de son nez. Ni une, ni deux, il attrapa une cheville et s'y accrocha fermement, comme si sa survie en dépendait. Ce qui était certainement le cas, s'il devait finir aux mains d'un bourreau. Sans lever le nez vers le propriétaire de cette cheville qui tombait à point nommé, il couina.

PITIEEEEEEEEEEEE
PITIEEEEEEEEEE
INTERCÉDEZ en ma faveurrrrrrrrr
PITIEEEEEEEEE
JE vous serez redevable à vieeeeeeeeee
JEVOUS EN SUPPLIE
OU PRÉVENEZ ma promise, ma tendre, ma bibiche, ma chouchounette, mon cacachou, ma sauterelle, ma mignonne .... que j'ai été mis aux fers par erreurrrrrrrrrrrrrrr.
JE L'AIMERAIIIIIIIIIIIIIII même au delà de la mort !!!
Muirgheal




La vieillote ne se hâtait pas plus que (l'avait faillit oublier chtio bâton porte-bonheur) ..... mais arriva place du parvis juste à temps pour la parade militaire ....et clownesque .

Tout se dechainait , elle eut peine à suivre des yeux les evénements ....un canard boué éclaté, Bayard au pipeau du troufinion de canard bien vivant, à finir même en brochette .
Elle fût un laps éblouie par l'éclair de l'armure et la somptuosité vestimentaire de sa fiancée.....Et , et ...., làaaaaaaaaaaa .....Le vicaire Henriques joueur de soule avec la couronne comtale ...à plaquer dans l'embut des jambes de Maé , et.... pchafffffffffftttt PATRaaaaaaaTRacKKKKKKKK !!!
Décidemment le deculotage public devenait maladie honteusement contagieuse chez ce couple !....

Le savait certement qu'elle rigolerait à plein poumons .... ses rides allaient sacrément s'estomper en cette journée!

_________________

***P'tite bonne vieille mère-grande......et fière de l'Être (!)***
Nefertisis
Nefer avait suivi les évènements qui s’enchaînaient avec difficulté, malgré sa proximité avec les protagonistes.
Elle eut juste le temps de lâcher Jehanne lorsque le Lieutenant Leportel arriva, moitié furieux d'ailleurs, et que le Comte descendit de carrosse pour souffler dans le canard de Klovis
Ils allaient en prendre pour leur grade les Calaisiens, c'était couru d'avance.

Puis elle sortit son épée de terre et la brandit comme ordonné par le Lieutenant en charge de tout ce cirque.

Finalement, elle aperçut de loin la vêture de la Comtesse Maéva tomber à cause d'un imbécile d'archer - la marine, y a que ça de vrai - puis put arrêter de brandir sa lame pendant que Lou et Omby allait à la recherche d'un certain Bambi.

La jeune femme se dit qu'elle allait surveiller Jehanne, histoire qu'elle ne fasse pas une bêtise pendant que Lou était loin.

_________________
Sirlabreck
Houlà, Labreck remua un peu d'une main. Bloody hell, le Comte y était pas content. Mais avait du goût en femme, sourire narquois. Z'enfin, il remit son attention sur l'archer que Leportel amenait à des gardes.

Les choses étaient un peu confuse, mais fallait pas trop demander, il avait entendu le comte vouloir rentrer dans la cathédrale, pas trop tôt. Mais comme par malchance, il passa proche des gardes, et de l'archer. Mais voilà, il s'éloignait du lieu où se passerait l'action, pour que celle-ci viennent le chercher. Le prisonnier avait visiblement attrapé sa cheville, et en déséquilibre momentané, le capitaine fit quelques mouvements de bras bien inutile, avant de soudainement retrouvé une position stable. Les gardes s'étaient arrêtés aux mouvement de bras du capitaine. Ils étaient pas con eux.

L'archer le suppliait, pour qu'il intercède. Regard sec et sévère de Labreck, avant qu'il se penche un peu pour lui parler, c'est qu'il avait un comte à suivre.


Le comte a parlé mon gars. Mais je suis bon, tu me parles d'une promise, qui est-elle? Elle sera prévenu. Maintenant lâche ma cheville et va méditer dans les geôles, parfois le comte reviens à de meilleurs sentiments avec le temps.

Il attendit un bref moment afin de savoir le nom. Le cortège comtal pourrait bien rentrer dans la cathédrale pendant ce temps.
_________________
You know about Sun Tzu, Alexander the Great or Matrim Cauthon? Yea? Morons! - Vous connaissez Sun Tzu, Alexandre le Grand ou Matrim Cauthon? Oui? Des imbéciles!
--Archer



Le comte a parlé mon gars. Mais je suis bon, tu me parles d'une promise, qui est-elle? Elle sera prévenu.

Guillomme leva les yeux vers le Capitaine dont il avait reconnu les galons. Il était sain et sauf avec lui. Il en était certain le petit Guillomme Tell. Il le contempla comme s'il avait devant lui, le plus grand sauveur du monde, plus grand encore que son Altessisme. L'espoir put se lire sur son visage.

Maintenant lâche ma cheville et va méditer dans les geôles, parfois le comte reviens à de meilleurs sentiments avec le temps.

Ah ?
Vous intercèderez à ma cause ?
Oh merveilleux ... majestueux ... grandissisme capitaine !!!
Vous êtes Grand !!!
Vous êtes Bon !!!

Je vous aime !!!
Mon oiseau des bois verdrus, mon sucre d'orge, ma pupuce, ma cochounette
Elle répond au doux prénom de Colchique !!!
Dîtes lui que je l'aimeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee, l'aimeraiiiiiiiiiiiiiiiiii toujours fois de Guillomme Tellllllllllllllllllllllllllll


aboya-t-il vers la fin, quand les deux gardes le trainèrent de nouveau par les pieds à travers la foule colorée pour l'emmener dans sa future demeure.
Astreria
Astreria regarda attentivement les deux robes...elle compara et fit plein de compliments.

Je vais mettre la bleu foncé car je pense que la bure marron ne convienne pas à un couronnement. Mais crois-tu que je peux discrètement prendre les deux robes ?

Astreria marqua un arrêt en entendant les hurlements d'Adso

Ah je crois que l'archevêque se meurt !!! hihihihi, dépêchons nous, le lutin doit être au bord de la syncope. Viens, Melly !!!

Elle s'avance vers la porte ainsi parée :


_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 7, 8, 9, ..., 16, 17, 18   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2025
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)