Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 8, 9, 10, ..., 16, 17, 18   >   >>

[RP] Cathédrale: Cérémonie de couronnement et d'allégeance

Mayaii
Maya était resté bien en place durant le branle bas de combat parfois devant ce mordre l'intérieur de la joue pour ne pas éclater de rire.

Tu viens avec moi, on part à la recherche du Bambi.

Pour la haie, vous pouvez rompre les rangs. Je pense que nous serons revenus avec la sortie.

Maya rompie rapidement les rangs et rejoigna Leportel et Ombeline

Euh !!! ceci ne me regarde en rien mais je pense lieutenant que votre place est ici auprès du comte et de sa douce... Si vous le voulez, je vais partir à la recherche du Bambi. Il ne doit pas être bien loin.
Takanomi
[Dans les alentours, toujours avec le Bambi]

Sa course s'acheva bien plus vite que prévu et l'animal qui le suivait, le suivait toujours. D'où il sortait, il ne le savait pas. Cependant, il avait comme une impression de déjà vu, lorsqu'il le regarda plus attentivement. Son état de fatigue matinal et la bière qu'il avait ingurgité plus tôt n'arrangaient pas les choses ni ne les facilitaient. Arrivé au coin de la ruelle, il s'adossa à un mur et vida ses chausses de la neige ramassée durant la course.

C'te bestiole, bon sang...,grommela-t-il.

Recommençant à marcher, il n'avait pas fait deux pas qu'une créature hideuse déboucha et faillit lui broyer le pied. Visiblement, elle était montée par un homme qui lui paraissait lugubre, spectacle peu rassurant, en soi. A son passage, il entendit un " 'lu Taka " à peine audible et il se contenta de regarder le cavalier d'un air mauvais. Aujourd'hui était un jour beaucoup trop étrange. Sans doute le dernier de l'humanité pour que des évènement aussi bizarres aient lieu.

Juste en face se trouvait une petite boulangerie. Takanomi y entra rapidement, espérant semer la bête. C'était peine perdue. Le boulager le regardait d'un air ébahi.


Donnez-moi une miche de pain.
L..Les animaux sont...
Où voyez-vous un animal, vous?

Le Bambi venait de faire tomber une étagère, commençant à mordiller le pain à terre. Quel misère... Takanomi jeta un coup d'oeil au boulanger et, profitant de sa surprise, ramassa quelques miches, poussa le Bambi à l'extérieur et sortit en courant.

J'vous paierai la prochaine fois!

Après s'être assuré qu'il n'était pas poursuivi, il recommenca à marcher tranquillement, repensant à ce qui venait de se passer. Se promener avec une créature pareille pourrait lui être bénéfique. Surprendre les gens est utile. Et peut-être que s'il vendait l'animal, il en tirerait quelque bénéfice. Il en était cognitivement arrivé là lorsqu'il fut brutalement projeté en avant. La créature tentait de lui prendre une des miches qu'il avait sous le bras. Il en prit une, la lui lança en pleine figure. C'était sans compte sur le réflexe de lanimal qui l'ingurgita avec plaisir en un instant. Stupéfait, Takanomi s'approcha et, lui assénant une taloche, lui dit:

Tu devais avoir faim, vilain. Laisse-moi te monter ou je te prive de miche pour l'année!

Fort heureusement, à la différence des humains, les animaux n'avaient pas de pensées tordues, enfin, il l'espérait. Il fit un petit bond et s'installa sur le dos du Bambi. Soudain, il eut une idée.
Rapidement, il fouilla dans sa besace, en sortit un bout de ficelle, attacha un morceau de pain eu bout et le présenta à la gueule de sa monture. Elle se mit prestement à courir devant elle, malgré la neige et les pavés...


Sapristi... Où suis-je..., se disait-il, tentant tant bien que mal de garder l'équilibre.
_________________
Maeva83


Henriques a écrit:


le Vicaire de Cambrai s'était de manière tout à fait fortuite retrouvé avec la tête à un petit mètre à peine des pieds de Maéva. Il leva les yeux vers elle, toujours allongé......[/i]

MAISS...MAISSS.....PAR LA SAINTE ECRITURE!!!

Daniel ferma les yeux, mais le mal était fait: il en avait trop vu!

IL FAUT QUE JE ME LAVE LES YEUX! PURIFIEZ-MOI DE CETTE VISION!

Puis réfléchissant:

LE RINCE-BOUCHE! DONNEZ-MOI DONC CE RINCE BOUCHE!


Tsssstt! Fallait pas exagérer non plus, se purifier pour avoir entrevue quelques dentelles et un peu de chaire pure et ferme, pour ne pas dire du cuissot de souleuse...pis il faisait moins le pudibond le vicaire lorsqu'il écumait les tavernes de Cambrai le mercredi, histoire de voir si tout le monde perpétuait la tradition du "tous à poil le mercredi"...

Bon elle réparerait ça, elle irait se confesser le jour où elle serait baptisée pour avoir choqué le père Daniel.
Ah ben nan, tout compte fait c'était pas la peine en fin de compte, puisque Bayard venait de réparer en la recouvrant de sa jolie cape toute neuve et toute douce...


Des soldats emportaient déjà l'archer en le trainant par les pieds...

Arff...où l'emmenez-vous? Le pauvre...on aurait pu le bouffer quand même!

Qui ça? L'archer? Répondait le nain portequoi...

Mais non, abruti!
Le canard!
L'archer on va le faire écarteler pour avoir buté le canard! T'as vraiment rien compris toi!


UNE ROBE POUR LE COMTE, ENFIN POUR SA DOUCE.
Ensuite, je me mets à la recherche du Bambi.


Douces paroles à son oreille...Oui une robe, pis aussi un bénitier que je me purifie, on épargnera ainsi au vicaire des yeux crevés! Z'êtes bien nerveux Bayard, z'allez pas faire trucider tout le monde le jour de vôtre couronnement tout de même?
Lou, le Bambi, si on pouvait se mettre à sa recherche tout de suite s'il vous plait, le pauvre, il a dû se perdre et il doit se sentir bien seul et abandonné...



_________________























Ombeline
La jeune femme rangea son épée en son fourreau, à moitié remise des derniers évènements et de la vision du vicaire, allongé aux pieds d'une Mae, qui devait se cailler les miches et pas qu'un peu ! Sa nuque pivota vers Lou qui venait de s'adresser à elle.

Je suis prête Lieutenant, mort ou vif, enfin vif de préférence, prête à le ramener avec vous.

Lou, le Bambi, si on pouvait se mettre à sa recherche tout de suite s'il vous plait, le pauvre, il a dû se perdre et il doit se sentir bien seul et abandonné...

Oui, oui j'y vais de ce pas.

Euh !!! ceci ne me regarde en rien mais je pense lieutenant que votre place est ici auprès du comte et de sa douce... Si vous le voulez, je vais partir à la recherche du Bambi. Il ne doit pas être bien loin.

J'ai promis au comte et à Maé d'y aller. Nous serons de retour avant la fin. Tu peux nous accompagner si tu veux.

Ils se dirigèrent vers les écuries pour récupérer les chevaux et sortirent rapidement de la ville.

Je pense qu'on a intérêt à rechercher vers les bois.

Oui.

Ils prirent donc cette direction à l'affût de toute bestiole pouvant ressembler au Bambi.
Au bout d'un certain temps, à l'orée d'un bois, Lou remarqua du mouvement.

Qu'est ce qui bouge là-bas?

Aucune idée, mais autant y faire un saut et voir par nous même. Sait-on jamais si c'était leur bestio. Quoiqu'il en soit, nous avons intérêt à le dénicher sinon Mae va en faire une jaunisse !!!

Ils s'approchèrent doucement.



Euh...tu vois ce que je vois?

La jeune femme tendit le cou, tout en avança prudemment dans la broussaille et les ronces, jonchant le sol. Yeux ronds, bouche en cul de poule, elle resta un instant interloquée. Point qu'elle n'avait jamais vu ce genre de scène ! Du tout ! Enfin, n'allez pas vous imaginer non plus qu'elle assiste à ce genre de chose au quotidien non plus ... Bref, afin que je ne m'emmêle pas les pinceaux, revenons à nos moutons ou devrais-je dire bambis. Un couple de cervidés était en plein ébat. Ne voyant que la bête de dos, bien qu'aucun doute possible sur leurs manœuvres, elle ne sut s'il s'agissait bien là du Bambi recherché.
D'un ton interrogatif, elle répondit à Lou.


Je vois ... enfin je suppose la même chose que toi ... guère besoin de dessin pour comprendre là ... mais hum, est-ce LUI ?

De dos, pas évident à dire.

J'en sais rien si c'est lui. Qu'est ce qui ressemble le plus à un fion de cerf qu'un autre?
Euh...tu sais si ça dure longtemps avec un cerf?

Ah là, je sais bien des choses mais tu m'en demandes que trop ! Absolument aucune idée. Ce couronnement va s'avérer instructif finalement, et pis dis donc, ça change ... Tu ne pourras pas dire t'ennuyer.

Si j'ai bien compris, on n'a plus qu'à attendre.
Bah avec l'Bayou dans un coin, on sait bien qu'on ne s'ennuiera pas.


Ils posèrent pieds à terre et attendirent que Bambi termine ses hommages à la madame Bambi provisoire.
Au bout d'un certain temps, le Bambi daigna cesser son besognage.
Connaissant les qualités de viandard de la bestiole, Lou sortit, de sa besace, un morceau théoriquement réservé à Mascotte.
Probablement épuisé par l'effort fourni, il se laissa passer la corde au cou, normal après un tirage, prit son bout de viande et suivit tranquillement
.

Ombeline suivit Lou, et observa le manège de ce dernier afin de se rendre maitre de la bête. Finalement, cela semblait bien plus facile que prévu ... Trop peut-être ... Cela aurait du lui mettre la puce à l'oreille mais pour l'heure, elle se contenta du présent et de répondre à son voisin.

C'est le Bambi, tu crois?

Ben, à vrai dire, tu sais, à chaque fois que j'ai eu l'occasion de le croiser, Maeva l'affublait d'un tas d'étoffes .. Là, pour ainsi dire, il est à poil ... Alors, bon, ça fait tout d'même, une sacrée différence ... En tout cas, je trouve que tu l'as vite amadoué.
Je le croyais plus hum comment dire...
Plus hargneux ... et non doux comme un cabri.
Toutefois, le Bambi graille de la viande et à ce que je vois là, celui-ci n'a pas rechigné à déguster ton offrande.


Bah après ce qu'il vient de mettre à la dame, il doit se sentir un peu raplapla.
De toutes façons, Maé veut un Bambi, on a trouvé celui-ci, on lui ramène.


Soit.
Dit-elle en louchant sur la bête.

Ils reprirent la route et.....stupeur, la biche collait au fion du Bambi.

Mortecouille, j'ai l'impression que la bambinette aimerait bien un deuxiéme service.
Foutredieu, ça m'a donné des idées....tu ne veux pas faire une pause?

La jeune femme rit aux premières paroles de Lou puis se tut à la seconde salve.

Comment cela ?
Veux tu emporter les deux ensemble ? Faire un package ?

Mais non..euh enfin oui...je me demandais si tu voulais faire la biche.

Post fait en concertation.
Ne sachant pas si Maya suit le mouvement, aucune précision n'a été donné dans le post. A voir pour la suite.^^
--_messager_
Jehanne66 a écrit:



A la simple pensée qu'on puisse transformer le symbole de Calais en un vulgaire suppositoire, le Maître de Calais vacilla sur ses guiboles.
Remettant excaliburne dans son fourreau pour éviter de crever un oeil à quelqu'un, Jehanne profita du relâchement Lieutenantesque pour fuir la garde d'honneur.

Après avoir simuler une courbette respectueuse à la première Dame d'Artois... qui visiblement comme la plupart des femmes, ne pensaient qu'à sa vêture en un moment si solennel, se changeant plusieurs fois avant même que d'entrer dans la cathédrale... Jehanne elle, asséchée et démunie de toutes ses flasques, s'enfuit à quatre pattes au travers de la foule, en zigzaguant, pour réussir à semer la cuisinière de Calais qui ne comptait pas la lâcher d'un poil, pfff !

Bousculant au passage une Dame déridée par ses rires, qui lui fichu un coup d'bâton...
aïe...la soldate continua son chemin vers l'endroit où elle pourrait enfin se remettre des ses émotions.
Accélérant l'allure en entendant un archer faire une déclaration d'amour au Capitaine en personne... ah ben mince alors... j'savais pas que Labreck mangeait de ce pain là... Jehanne se faufila dans le lieu Saint, passant près de Sylvine, se disant que la belle cachait bien son jeu... dire que j'pensais qu'elle était encore vierge et elle est pleine d'enfants en fait !!

Après avoir vérifié qu'elle avait semé Nefer, Jehanne se précipita vers le bénitier et y plongea la tête pour boire un coup.
Se redressant au bout d'un long moment...


Ahhhh, ça fait du bien par où ça passe !!!
C'est moins bon que mon calva, ça sent moins fort que mon huile de foie d'morue, mais c'est goûteux quand même !
:drunken:
Crysline


[Entre la prévôté et la cathédrale]

Après avoir parcourut tous les recoins du château à la recherche de ses hommes, avoir donné à chacun sa feuille de garde et autres tâches, Crysline avait enfin quitté ce dernier avec pour seule pensée, la tenue qu'elle allait porter...

Elle avait pu voir le remue ménage que cette cérémonie avait fait et pas mal de femme en toilette c'est pourquoio au final elle était rentrée chez elle...

Personne à la maison, sans doute avaient-ils prit les devants et l'attendaient-ils à la cathédrale...Raison de plus pour se dépêcher...

Elle ouvrit en grand sa garde robe et sortit une par une une, robe de soirée et houppelandes diverses en en éparpillant partout dans la pièce...

Enfin elle avait trouvé...



La voilà fin prête...Vite vite elle dévala l'escalier , claqua la porte, gripa sur vol-au-vent son cheval et galopa...Tan pis pour la couiffure, elle passerait ses mains dedans le temps venu et ce serait bon comme ça...

Enfin, en vue la cathédrale..Sauvée, le comté était toujours sur le parvis, signe que la cérémonie n'avait pas encore commencé...

Elle descendit vite fait du cheval et courru sur les quelques metres qu'il lui restaient à parcourrir....Ne pas tober surtout, se faire petite et passer inaperçue...la connaissant, ce n'était pas gagné ...

Arrivée à hauteur du couple comtale dont hum....l'épouse était drolement vêtue voir dévêtue Crys avait voulu faire une révérence mais là...LA GAFFE...

Une épée prise dans ses pieds et...

Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa

La chute fut si rapide que personne, n'eut le temps de la retenir et c'est ainsi que la donzelle se retrouva fidèle à ses habitudes lorsqu'il y avait une cérémonie dans les bras de celui qui allait être couronné : Bayard, le comte en personne....

_________________
Melly
Astreria était enfin prête. Elle et Melly sortir de la sacristie et s'avancèrent vers le lutin au teint tout d'un coup tout rouge.

Nous revoilou Monseigneur et pile à l'heure. Astreria à meilleure mine n'est ce pas? Bon, je file m'assoir moi, je n'ai pas l'immense honneur de porter le livre des vertus.

Melly se mit à pouffer et alla s'installer à sa place, arborant ses nouvelles couleurs avec fiéreté. Lorsque Astré passa, elle lui fit un clin d'oeil, pis elle baissa la tête et commença à faire semblant de prier, la cérémonie semblant ne pas vouloir démarrer.
_________________
Adso


Melly et Astreria étaient enfin de retour. Mais toujours pas de comte...Adso commençait à se dire qu'il devrait peut-être aller voir s'il y avait un problème. Mais une alarme retentit tout à coup dans son esprit "je n'ai pas l'immense honneur de porter le livre des vertus". Et voilà. Il avait déjà fallu qu'il donne quelque chose à faire à Astreria pour qu'elle ne soit pas jalouse de Daniel qui allait porter la couronne, et maintenant, c'était Melly qui était jalouse d'Astreria... A mais je vous jure... Gérer les égos d'un diocèse, c'était une activité à temps plein...

Il réfléchit longuement, essayant de trouver une solution...

_________________
Archevêque de Cambrai, Protonotaire Apostolique
Brage
Brage répondit au salut du capitaine avant d'être alerté par le contact délicat d'une main sur son avant bras, accompagné d'un parfum qu'il connaissait bien maintenant. Un sourire prit forme sur son visage jusque là fermé.

"Je crois que vous m'attendiez?"

- Si peu mon amour, je viens de débarquer, répondit-il avant de joindre ses lèvres aux siennes.

L'arrivée de la prévote détourna quelques secondes son attention. Cependant la nouvelle scène qui ne manquerait pas de suivre allait lui laisser le loisir d'admirer la mise de sa rousse, tutoyant de sa naturelle modestie la grâce et l'élégance. Perdu dans l'émeraude de ses yeux, bercé par les fragrances que dégageait la gorge blanche de sa dulcinée, Brage ne pouvait que laisser glisser pensivement son doigt le long de la fine cordelette qui ceignait la taille de celle-ci. C'était très romantique mais son doigt arrêta soudain son mouvement. Il venait de remarquer les macarons qui ornaient le beau visage de sa belle. Prenant une attention affectée, il se mit à examiner la coiffure sophistiquée, un demi-sourire aux lèvres.


- Tiens... C'est marrant ce que vous avez fait là. Le côté cache-oreille est tout indiqué vue la saison vous me direz...
_________________
Sylvine
[Proche de l'entrée de la Cathédrale]

Il eut un moment de confusion. Un homme exclamait son amour pour une femme pendant qu’on le traînait puis ce fut pour un homme
Les bottes martelaient le sol, on se bousculait.
Sylvine crut apercevoir la silhouette d’un cavalier au-dessus de la foule mais une ondulation, plus tard, il avait disparu.
A son grand soulagement, le comte s’empressa de revêtir dignement sa compagne.

La nourrice improvisée retira sa main des yeux de la fillette de deux années. Elle se demandait si un couronnement artésien était montrable à ces petites têtes blondes.
La jeune femme appuya contre les pans de sa jupe, la blondinette et remonta sur sa hanche l’enfançon Ytréen..

Un autre mouvement firent reculer le trio d’un pas à l’intérieur de l’édifice. Puis l’attroupement s’ouvrit : une trombe passa devant eux pour atterrir la tête la première dans le bénitier.

Jehanne !!!! En voilà des manières !
Elle avait reconnu la Soldate.


Faustine , ne regarde pas cette dame, regarde plutôt ton père. Vois comme il se tient bien droit.

La Bertincourtoise lança un œil réprobateur à la capitaine du Quenenny qui relevait enfin la tête.

UNE ROBE POUR LE COMTE, ENFIN POUR SA DOUCE.
Ensuite, je me mets à la recherche du Bambi.


Elle tourna de nouveau son regard sur la suite de évènements. Elle entendit un couinement dans son oreille gauche qui s’amplifiait.
Le visage de Gwan se plissait et rougissait, la bouche édentée s’ouvrit. Ses petits poings se serrèrent. Sylvine comprit bien vite le tourment de la petite: ses parents s'éloignaient.

Nathanael, aidez moi.
Prenez la main de Faustine. Faites en sorte qu’elle puisse mieux voir Leducq et Sam.


Elle secouait tout doucement Gwann en la berçant, comme elle pouvait, d'un seul bras. Celui-ci s'ankylosait.

Faut pas pleurer jolie Gwan. Ils vont revenir… Ils ne sont pas loin… Chut! chut…Ma belle...

Tout en claquant la langue, elle n’attendait qu’une chose que son bras droit fût libre pour mieux câliner la brunette et éviter les vagissements qui se préparaient.
_________________
Mayaii
J'ai promis au comte et à Maé d'y aller. Nous serons de retour avant la fin. Tu peux nous accompagner si tu veux.

Maya haussa les épaules

Non ça va aller dans ce cas je vais sagement rester ici.

Maya les regarda se diriger vers les écuries puis avec un large sourire chercha ou elle pouvait bien prendre quelques choppes.
Chevalier_bayard




Maeva83 a écrit:

Z'êtes bien nerveux Bayard, z'allez pas faire trucider tout le monde le jour de vôtre couronnement tout de même?


J'avoue y avoir pensé... mais ça va tout de suite enlever le côté festif... pi bon, y'aura plus personne pour payer les taxes après...

Etait-il sérieux, blagueur ou réellement fou ? Nul n'en saura jamais rien...

Mais ne vous en faites pas pour le Bambi, Lou est un homme de confiance, il saura le retrouver VIVANT et en BONNE FORME! Je n'ai aucun soucis à ce propos... venez mon Ange, entrons dans la cathédrale, où on devra bien trouver un confessionnal vide pour vous changer...

Et alors qu'il tendait le bras pour montrer l'entrée de la cathédrale, il entendit un léger haaaaaaaaaaaaa derrière lui, et voilà-t-y pas que paf! ou plutôt pouf! quelqu'un vient y atterir... Bayard se retrouve ainsi avec Maé à son bras, et Crysline dans son autre bras... Il y a pire comme situation me direz-vous, c'eut peut être un canard ou un autre archer maladroit... mais là, ça ne manquait tout de même pas de piquant... que dirait Adso, voyant le futur Comte entrer dans la cathédrale deux femmes à ses bras ???

_________________









Martel


Martel était sacrément en retard.. Habitué à faire le trajet jusqu'à la greffe du château, il ne connaissait absolument pas le chemin jusqu'à la cathédrale... Trop fier pour oser demander son chemin et avouer qu'il était perdu, il continua dans sa lancée jusqu'à retomber devant les portes du château... Là il y avait un sérieux problème ! !
Fumasse, il tapa du pied deux minutes pour réfléchir quant à la meilleure solution pour trouver cette fichu cathédrale !

C'est alors qu'il aperçu une superbe jeune femme s'avancer vers le château... Bouché bée, Martel vit là une chance d'obtenir le numéro de son pigeon et par la même occasion demander son chemin. Après avoir recoiffé rapidement ses petites bouclette, il essaya tant bien que mal de parvenir à la demoiselle en limitant le bruit lourd de son armure... Halala il aura l'air de quoi quant il faudra rentrer discrètement dans la cathédrale en pleine cérémonie ? ? ! !


Hola Buenas Dias belle demoiselle ! Ses origines et la langue espagnol faisant à chaque fois pâlir les belles.
Excusez moi de vous déranger, je me nomme Martel Lopez, et heuu... comment dire... Bahhh... vous êtes bein belle !

Elle le fixa alors un peu interloquée et lui répondit :


Bhé ch'ai gentil m'sieur ! Moua heuch' m'apchel Cunégonde ! Vous s'êtes bhein amable dmheu dire cha !


De toute évidence, son physique était bien plus attrayant que son accent ! Cassé dans son approche Martel eu un petit recule, puis un encore plus grand lorsqu'il perçut l’haleine de la demoiselle à hauteur de son nez...

Haaaa... Mais... Derien ! ! N'abusez pas trop du choux par contre ! ... hum.. Enfaite, je voulais savoir où se situait la cathédrale... J'ai été invité comme VIP au sacre !
Oui bon hein ! Faut bien mentir un peu pour plaire ! Sinon on a l'air de rien !

Bhiiiindiouuu ! ! Mais t'sort d'où twé ! Pour pas voir la cathédrale fo t'être sacrément con, suffit de l'vé la tête ! ! Pui' s'vous êtes VIP comme vous dites, pourriez ptet' dire au comte qu'il é bhein bo et que contre deux trois piecette jlui donne tout ski veu' !

Martel leva alors la tête et vit l'énorme cloché... Quel con quand même... Mettons cela sur le dos de la fatigue... Il préféra ignorer la boutade de la donzelle et essaya de courir tant bien que mal vers le lieu du sacre...
_________________
Henriques
Citation:
Euh.....votre sainteté, voilà pour vous.


Merci mon fils....quelle bévue mon fils, me trouver nez à nez avec les cuisses de la Dame....qui plus est ma voisine....arghhhhh.

Ne relevant même pas le "Sainteté" qui était bien trop élevé pour son rang, il aspergea ses yeux du liquide que Leportel lui avait donné. Le vicaire se retrouva alors avec les yeux collants, et il parvenait à peine à les ouvrir tellement ses sourcils étaient pris entre eux.
C'est dans cet état qu'il s'adressa au couple comtal:


Veuillez excusez cette mésaventure...non pas que votre corps me dégoûte Dame Maeva, loin de là même...mais vous savez....il y a Monseigneur Adso là-bas et ça risque de jaser s'il apprend que j'ai vu vos dessous.

Reprenant peu à peu ses esprits, toujours les yeux dans l'huile:

D'ailleurs Monsieur le Comte, votre épousée à de très bons goûts, tout en dentelle de...

Daniel entendit un bruit, et crût voir entre deux gouttes d'huile gluante sa chef prévôte Crysline au bras de Bayard. Daniel resta ainsi, droit comme un I, se demandant s'il avait trop abusé de la gnôle ou si tout simplement le Comte avait fait un changement express de femme.
Adso


Ca y est ! il avait trouvé comment se sortir de ce mauvais pas ! Il avait trouvé comment donner un rôle à jouer à Melly, pour qu'elle ne se sente pas mise de côté pendant la cérémonie.

Pssssit ! Melly ?

J'ai oublié de préparer le nécessaire pour la communion. D'autant que je vois qu'il y a de plus en plus de monde... Moi, je ne peux pas bouger, le comte risque d'entrer à tout moment. Il faudrait donc aller vérifier les stocks de pain et de vin, et s'il n'y a pas assez, aller acheter des provisions.

Evidemment, tu feras préparer une petite note de frais à l'attention du comté.


Voilà. Il n'était pas peu fier d'avoir résolu deux problèmes, voire trois, d'un coup.

_________________
Archevêque de Cambrai, Protonotaire Apostolique
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 8, 9, 10, ..., 16, 17, 18   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2025
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)