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[RP] Cathédrale: Cérémonie de couronnement et d'allégeance

Vidara
[Non loin de la cathédrale , dans les rues ]

Pour ce grand jour en Artois, Vidara avait fait le déplacement, il n'avait pas louer de chambre à l’hôtel près de la cathédrales car il devait rentrer à Calais au plus vite ,il avait horreur de laisser une ou deux journée Calais avec un mairie fantôme mais il avait pas le choix , des jours comme ceux ci c'était important d'y aller surtout l'allégeance du Comté d'Artois ! Un Comte si gentil et qui avait de vraies valeurs .Dans un sens il était content d'assister à cette cérémonie , il aurait des chances de revoir certains amis/amies qui avait peur l’occasion de voir avec son travail à Calais

Vidara arrive avec un gros fût de bière et de cidre pour que tout le monde profites de ce grand et magnifique jour, de la bonne bière de l'Abbaye et du bon cidre de Bretagne.Vidara était prêt à se rendre à la cathédrale pour assister à ce sacre

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Set Fire to the rain
Muirgheal
Muirgheal contemplait la scène quand la dame au canard-bouée éclaté s'enfuit en rasant le sol ,à se râper couasiment le nez par terre , et ne regardant apparement devant....elle vînt donc s'enberlificoter les gambettes dans son bâton ...... __aïe__... fit-elle !

Rhâaaaaaa mè Oooh ! Attentioooon ! z'avez bu coi pour zig et zaguer ainsi ? Serait-ce le fait de la demunir de ses fioles camoufflées qui la rendait dingo ?

La vieillotte prit sur ces entre faits tranquilou la même direction que la fuyarde .... assez tranquille pour apercevoir une damoiselle s'evanouir aux genoux du Comte. Il faisait drôlement ravages dans sa tenue d'apparât !

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***P'tite bonne vieille mère-grande......et fière de l'Être (!)***
Chevalier_bayard



Bayard remit sa poivrote... heu prévôte debout...

ça va Crys, pas de mal ?

Puis s'assurant qu'elle tenait bien sur ses quilles, il repasse son bras à celui de Maé. Pour ce jour spécial, c'est devant tous avec elle qu'il voulait passer le porche symbolique de la cathédrale, et à côté d'elle qu'il se ferait couronner. Car il lui devait tout. Tout ce qu'il avait fait, construit, entrepris, ces dernières années, c'était pour elle, par elle, avec elle,... son amour, sa Maé...

Regardant à droite, puis à gauche, que plus rien ne pouvait interférer, ils montèrent de concert les marches menant à l'entrée de la cathédrale...
les nains firent en sorte que les portes s'en ouvrent devant eux.

Ils entrent dans le bâtiment, suivi du cortège d'officiels, gardes, invités, et autres personnes présentes pour cet événement... les cloches de la cathédrale tintèrent encore, et Bayard espéra un fugace moment qu'on entendrait ce son jusqu'à Paris...


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Astreria
*il court, il court le furet*, au sortir de la sacristie astreria fondit sur le lourd livre des vertus. Les bras chargés, elle se mit à courir vers l'entrée pour prendre sa place dans le cortège. Au passage devant Adso, elle lui lança :

Vous en faîtes pas, Monseigneur, je gère !

L'abbesse semblait complètement remise de son rhume...il se passait de ces choses dans la sacristie. Elle obliqua pour remonter par la transversale, il ne s'agissait pas de remonter par l'allée du milieu prévue pour l'arrivée du comte. Arrivée au bout, alors qu'elle tournait vers la porte d'entrée, elle vit Jehanne plonger dans le bénitier

*mais ce n'est pas possible ^^ pas aujourd'hui*
L'abbesse pensa pendant un premier temps à noyer l'impudente, problème : elle perdait une future baptisée dans une chapelle privée et dans les chapelles privée, on pouvait toujours manger à l'oeil. Ah et aussi un meurtre le jour du sacre, ça faisait tâche.
Plus elle réfléchissait plus le livre se faisait lourd. L'exclamation de Jehanne la ramena sur terre


Jehanne66 a écrit:

Ahhhh, ça fait du bien par où ça passe !!!
C'est moins bon que mon calva, ça sent moins fort que mon huile de foie d'morue, mais c'est goûteux quand même !
:drunken:


Ni une, ni deux l'abbesse emportée par son élan asséna un violent coup de livre des vertus sur la tête de Jehanne

Non mais oh ! Jehanne !!!! Au moins tu vas finir par retenir de ne plus boire dans le bénitier, allez oust !

Hélant la première personne qui passait par là, hors du comte

Hé vous-là, oui vous, débarrassez nous de cela dit -elle en montrant la matelote

Le comte arrive, je ne veux plus de bain dans le bénitier ou vous aurez à faire à moi menaça-t-elle, un peu une seconde nature chez elle, et vu la coup de livre qu'elle venait d'asséner à Jehanne il valait mieux ne pas la contrarier.

Astreria sortit, un Daniel qui déraillait totalement, une prévôte ivre, une Maé habillée bizarrement, quoi de plus naturelle en artois ? Elle regarda tout ce petit monde entrer en fin dans la cathédrale et elle prit sa place dans le cortège.

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Chevalier_bayard
Jehanne66 a écrit:

Jehanne !!!! En voilà des manières !

Oh l'autre... la Sylvine qui la ramenait alors qu'elle était pleine d'enfants elle, pis vue la différence entre les deux marmots, pas du même père en plus !!!
Alors que Jehanne s'apprêtait à lui dire ce qu'elle pensait de son dévergondage, après avoir consciencieusement et bruyamment roté, la soldate crut un instant s'être pris le ciel sur la tête... était-ce une punition divine ?!?!

Après s'être dégoupillée les vertèbres cervicales dans un bruit de castagnettes pour remettre sa tête au bon niveau entre ses épaules, la Capitaine de navire entendit subitement cette voix, reconnaissable entres toutes... celle de cette diablesse d'Abbesse, anciennement sa Lieutenante au fort d'Amiens et son futur bourreau quand elle la noierait en prétextant la baptiser...
Le temps de reprendre connaissance un tantinet, Jehanne lâcha le bénitier qui la retenait debout et se retourna, prête à sauter sur Astreria, mais l'Abbesse avait-elle senti le mauvais vent souffler... elle avait disparu laissant place au couple Comtal dans toute sa splendeur !
Jehanne emportée par son élan vengeresque, ne put s'arrêter elle-même dans son envol, puis le Comte était quand même un des protagonistes du rapt de sa flasque, alors sauter sur lui ou sur Astreria après tout !
Mais la soldate eut la désagréable surprise de se retrouver plaquer au sol, goûtant amèrement les bottes métalliques comtales...


Beurk... quel est le lourdaud qui m'écrabouille !!!

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Chevalier_bayard



Décidemment ce couronnement devient un parcours d'obstacles! Après le canard, la robe déchirée, Crysline, voici qu'il doit faire attention à ne pas marcher sur Jehanne. Grumph. Ils les empêcheront pas, non, aucun obstacle ne sera plus permis...

Avant de s'avancer vers le choeur de la cathédrale. Bayard fait une pause, histoire de voir si on a apporté une robe de rechange pour Maé. Les cathédrales ne sont pas des lieux très chauds, il faut le dire, il se soucie de ce que sa promise n'attrappe pas un froid, par ses jolies jambes, en plus!

Il en profite aussi pour se remémorer l'ordre des choses, comme prévu avec Monseigneur Adso... donc, après l'entrée dans la cathédrale, comment cela doit-il encore se passer ???
Ah oui!
"Les ornements comtaux entrent en processions portés ainsi : les éperons portés par le capitaine et l’épée portée par le connétable, puis le sceau portés par le chambellan et la clef du trésor portée par la bailli, puis le sceptre porté par le juge et enfin la couronne. Tout ces ornements sont posés sur l’autel."

Il regarde donc autour de lui si les membres du conseils sont là... Crysline oui, il l'a bien vue, Labreck, il l'a vu de loin... il cherche les autres du regard...

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Damefrenegonde


Apparemment la tenue vestimentaire si longuement choisie faisait un effet fou sur le ténébreux qui semblait avoir quelques difficultés à calmer ses ardeurs. Pourtant les beaux macarons qui encadraient le visage de la rousse eurent l'effet d'un répulsif, ce qui laissa un instant Frénégonde sans voix et perplexe. Cependant la remarque, tout en finesse, de son compagnon la fit sourire et c'est avec un geste théâtrale et légèrement abusé qu'elle jeta sa tête en arrière et qu'elle fit glisser un doigt sur l'avant-bras de Brage tout en le fixant avidement.

"en effet choix judicieux et, avouez-le, totalement irrésistible"

Elle le dévisagea un instant de ses émeraudes pétillantes jusqu'à ce qu'elle sente un certain malaise s'emparait de lui. Toute l'agitation environnante eut tôt fait de les ramener à la réalité, loin de leurs envies bestiales et sensuelles. Avec un petit rire, Frénégonde se sentit happée de toute part et compris en jetant un œil par dessus son épaule que le cortège se formait enfin.

"cher amour, je crois que nous devrions prendre place dans la file afin de suivre le cortège. Vous êtes bailli ne l'oubliez pas." lui lança-t-elle sur un ton faussement dédaigneux et accompagné d'un sourire.

"me prêteriez-vous votre poing afin de m'aider à monter les marches?"

Elle tendit sa main afin que celle-ci trouve un appui tout en se préparant à avancer pour entrer dans le lieu saint.

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Adso
arthur12 a écrit:
Arthur etait surpris par tous les evenements qui se tramaient dans ce mariage. Il voyait Bayou et la garde s'affairer... et v'la faut chercher le bambi, et hop une robe en moins ... fallait coffrer l'archer m'enfin .
Il vit Bayou pensif puis tourner la tete comme si il recherchait quelquechose . En tant que membre du HC et connetable il devait faire partie du cortege mais surement aussi porter quelquechose ... Il s'approcha du comte puis prit la parole.

- Bonjour Bayou ! Dit je te vois chercher quelquechose, y a pas quelquechose pour moi ? en tant que connetable je me disais ...




Adso a écrit:


Citation:
Vous en faîtes pas, Monseigneur, je gère !

Ah ! bien, bien... Astreria se rendait à l'entrée pour faire avancer le cortège. D'ailleurs, on put se rendre compte que c'était efficace au bruit qu'il y eut quand Astreria arriva là-bas.

L'archevêque se souvint alors du protocole de la cérémonie, qui stipulait que les évêques devaient être assis quand le cortège entrait. Alors il s'assit.

Mpffff... ça le faisait paraitre encore plus petit qu'il n'était... Mais qui avait bien pu rédiger ce protocole ?





Brage
Brage éprouvait quelques difficultés à détacher ses yeux de ceux de sa rousse malgré l'agitation qui semblait lentement gagner la foule comme un coup de pompe dans le derrière d'un paresseux. Mais, détourné par le contact du doigt sur son avant-bras, son regard ne résista pas longtemps à l'envie de cerner la manière qu'avait le tissu d'épouser à la perfection les parties charnues de l'anatomie de sa compagne. La voix de celle-ci parvint à ses oreilles :

"en effet choix judicieux et, avouez-le, totalement irrésistible"
- Ca ne fait pas un pli... répondit-il comme pour lui-même.

Mais la réalité vint bientôt le refroidir par l'intermédiaire d'un pied empressé écrasant sa botte. Réprimant une grimace, il tendit son bras à sa belle qui avait le bon ton de lui rappeler ses attributions.


- Comment le pourrais-je mon amour...

Il eut une dédicasse mentale pour tous ceux qui les lui brisaient quotidiennement, avec un art consommé et un savoir-faire toujours renouvelé. Et ce fut précisément cette pensée qui guida sa main libre lorsqu'il se mit en devoir de leur ouvrir le passage afin de rejoindre le cortège qui faisait son entrée dans la cathédrale. Ils se trouvaient à présent dans la procession, Brage, se rappelant du protocole, fouilla dans sa besace pour en sortir la clé du trésor qu'il devrait ensuite présenter à l'autel. Inquiété par l'idée qu'un crétin essaye de la lui tirer, pensant que la dite clé ouvrait bien le trésor d'Artois, il la tenait fermement et jetait autour de lui des regards vigilants.
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Natanael


Nat, une chopine à la main et les yeux rivé sur ses courriers, s'ennuyait ferme dans son placard dans lequel on l'avait mit au château.

Ses paperasses s'amoncelaient sur son bureau.

Pfffffffffffff... fait ch**** tout ça!!

Joignant le geste à la parole, un "vent" s’échappa.

POUAAAH!!!!

Une odeur dévastatrice fit recroqueviller ses dossiers.

Il se leva afin d'ouvrir la fenêtre, enfin... la meurtrière tout au plus qu'on lui avait accordé afin que son apnée forcée cesse.
Sur le chemin qui allait de son bureau à la fenêtre, il eut une pensée ému pour Celosie qui devait nettoyer ses braies le soir.

Arf.. y'a pas... mieux vaut pet sonore mais inodore que petit pet sournois qui empestois!!!

Bref personne pour le blâmer donc: conscience tranquille car ne dit on pas: ni vu ni connu? Donc: ni entendu, ni sentu!

Ouverture de la fenêtre et...

C'est quoi ce bruit?

Nat tendit un peu plus l'oreille et percuta d'un coup.

M****!!! C'est aujourd'hui!!! La cérémonie!!!

Il couru vers son bureau à la recherche de son habit d'aparat.
Cherchant de quoi se débarbouiller un peu...Pas d'eau...beuuurk...

Bon!! Aux grand maux, les grands moyens!

Une fois changé, il prit sa chemise "sale", la trempa dans le reste de bierre restant de son godet et se passa un p'tit coup sur le visage.

Une fois sa toilette faite, il sortit promptement de son "bureau" et couru jusqu'au parvis de la Cathédrale.
De loin il reconnu quelques amis qui faisaient parti du cortège.
Il arriva en trombe et comme à son habitude, n'étant plus très au fait des us et coutumes des églises, arriva sur une belle glissade.
Près à sortir son "TA DIIIIIIIIIIIIIIIIIN" habituel mais... le parvis étant humide, sa glissade fut plus longue que prévue.
Son pied heurtant la première marche il fut éjecté en avant alors qu'il allait saluer son ami Brage.

*vol plané*

Nat atterrit bras grands ouverts pour faire son accolade à Brage... la tête dans le décolleté de Fréné.
En une fraction de seconde Nat se dit:

1: j'ai pu physiquement tomber plus mal et me faire mal justement.
2: Moralement: Là... je vais me faire fritter grave..

Se redressant rouge de honte:

Heuuuu jolie ta tenu Fréné... Tu vas bien?? Ha t'es là aussi Brage???

Faisant mine de rien en se "défroissant" un peu ses vêtements:

Hum hum... alors? Quoi de neuf? 'Parait qu'y'a une chouille dans le coin?

Il ne savait plus où se mettre... Cherchant désespérément un regard qui ne soit pas moqueur, il se tourna vers Melly, puis Cewenne, puis... personne... personne ne semblait pouvoir le tirer de se mauvais pas.

Se prenant un ton le plus digne possible, il regarda le comte et s'inclina à son passage.

Puis se dit:

Bon... là, je crois que j'ai merder un peu....Peut être qu'un petit cadeau....

Il se retourna vers Brage et Fréné puis sortit de sa poche une fiole moitié vide de Calva.

Une 'tite soif avant le début???

Dans sa tête:

Sorts toi de là... viiiiiite!!!!!

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Damefrenegonde


La marche avait enfin commencé mais avançait d'une lenteur sans nom. Frénégonde, qui n'était pas du tout patiente, essayait donc d'occuper son esprit tout en marchant à petits pas. Son attention fut vite attirée par la clef que tenait fermement son ténébreux au creux de sa main libre. Point au courant des règles protocolaires malgré sa présence à de nombreuses cérémonies, la rousse zieuta donc un instant l'objet avant de murmurer à Brage sur un ton amusé accompagné d'une œillade complice :

"Serait-ce la clef du Paradis mon bel amour? Car si tel est le cas je vous suis sans attendre."

Sauf que pour l'expédition dans le Jardin d'Eden, elle allait devoir attendre longtemps et surtout revenir à la réalité... Car justement en parlant de Paradis, un ange venait de trouver refuge au creux de son décolleté ce qui lui coupa littéralement le souffle.
Le contact froid de la face de Nat fit bondir la rousse qui hurla sans même s'en rendre compte tout en repoussant l'intrus d'une main assurée.


"PAR ARISTOTE!"

Toutes les têtes se tournèrent alors vers le trio et Frénégonde prit une teinte semblable à sa houppelande et serra fortement la main de Brage qu'elle gardait toujours dans la sienne.

Heuuuu jolie ta tenu Fréné... Tu vas bien?? Ha t'es là aussi Brage???
Hum hum... alors? Quoi de neuf? 'Parait qu'y'a une chouille dans le coin?


La rousse resta un instant sans voix en reconnaissant son ami et toussa pour se redonner une certaine contenance.

"Nat... Heu grand merci pour ce compliment... En effet tu as du voir de près la qualité du tissu..."

Elle lança un regard en biais à son ténébreux tout en continuant de presser sa main. Le rouge qui colorait ses joues avait un mal fou à disparaitre et des vapeurs lui montaient.
Pourtant la marche continuait et malgré cet incident ils devaient continuer à avancer. Avec un sourire gêné elle remercia Nat d'un signe de tête et avança d'un pas pour ne pas perdre le rythme.


"CRAC"

Le sang de Frénégonde se figea en même temps que sa marche. Ce son provenait de sa houppelande mise à mal durant l'altercation avec Nat. Il faut dire que le tissu était déjà extrêmement tendu par les attributs généreux de la belle et que la tête de Nat pesait aussi son poids. Sans rien dire ni rien montrer, elle porta une main à son gorge et sentit que le tissu s'était largement fendu au niveau de sa poitrine et la découvrait un peu trop. Sans attendre elle resserra les pans de sa cape et siffla entre ses dents à l'adresse de Brage :

"Surtout ne me demandez pas d'ôter ma cape, et ce en aucune circonstance. Sans quoi vous n'aurez pas beaucoup de travail ce soir en rentrant pour me dévêtir..."

Elle crispa les mâchoires mais afficha tout de même un sourire. Lorsque Nat leur proposa gentiment une gorgée de Calva, Frénégonde attrapa la bouteille et s'enfila une rasade discrètement.
Elle en avait bien besoin...

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Chevalier_bayard




maeva83 a écrit:


[Après s'être changée et recoiffée illico presto dans le confessionnal...]



Les émotions allaient crescendo, et Maé n'était plus très loin de la l’apoplexie lorsque Crys atterrit dans les bras de son Bayard...

Tout le monde connaissait le calme légendaire de la fille au pépère, elle était née sans patience et sans nerfs la pauvre fille, du coup, un pet de mouche pouvait déclencher un séisme, un raz de marée, une avalanche, une irruption volcanique.

Pas pour rien d'ailleurs qu'on l'avait surnommé "la terrible" à la soule. Ça pouvait ne pas être très beau à voir lorsqu'elle pétait vraiment la plombs...

Le couronnement était-il tellement excitant pour un homme, qu'une seule femme ne pouvait plus suffire lorsqu'il devenait comte ?
Voilà une question qu'elle ne manquerait pas de lui poser avant de se laisser passer la bague au doigts, parce qu'il fallait que tout soit noir sur blanc sur le papier avant de signer! Nomé c'est que la moutarde commençait à lui monter au nez à la Maé!

Voir son fiancé souffler dans le croupion d'un caneton passait encore...perdre sa robe suite à la maladresse d'un abruti était un peu limite...

Jeter quelques pincées d'eau bénite par dessus ses épaules pour conjurer le mauvais sort et se purifier pour que l'Henriques ne pourrisse pas en enfer pouvait se comprendre surtout lorsqu'on envisageait un éventuel baptême...

Se changer et se recoiffer dans un confessionnal pouvait être drôle en d'AUTRES CIRCONSTANCEUHHHH!!!!

Voir une des plus jolie fille d'Artois se pâmer dans les bras de son futur mari le jour de son couronnement était à la limite des convenances mais encore acceptable...

Mais perdre son seul et unique Bambi en plus du reste un jour aussi important, c'était la goute qui faisait déborder le vase!


Respirant lentement et profondément, un petit sourire pincé au coin des lèvres, une main sur le cœur, des sanglots dans la voix, elle s'adressait à la garde presque en sourdine pour ne pas déranger le futur comte dans ses pâmoisons...

Quelqu'un aurait-il enfin des nouvelles de Bambi? Quelqu'un aurait-il vu Chany? Moumoune, tonton Orick, Yoyo où ma bonne vieille Muirgh?

Ne sachant plus très bien où elle mettait les pieds et dans quoi elle s'engageait en suivant son chevalier, Maé avait besoin de réconfort et rien de tel que la famille où la vision des gnous de Muirgh pour lui redonner courage et lui remonter le morale...



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Chevalier_bayard




Alors que d'un oeil, Bayard regardait à ce que chacun se mette en place, le bon attribut en main, qui la clef, qui l'épée, qui les éperons, qui le reste, son second oeil ne quittait pas sa Maé. Qui lui semblait bien désemparée. On la comprend. Lui le premier. Comment lui montrer qu'il l'aimait et quil tenait à elle plus qu'à sa propre vie ?

Un messager vint lui souffler un mot à l'oreille, et lui porter une robe pour Maé. Il acquiésca, et se dirigea vers sa belle, lui prenant doucement la main.


Je... j'ai fait apporter une robe, que vous ne preniez pas froid. Venez, allons dans le confessionnal là bas, vous changer. Pourront bien attendre encore un peu, pourront rien faire sans nous, d'toute façon!

Après qu'elle se fut changée, il voit bien qu'elle est toujours désemparée, appelant sa famille au secour... bah, tant pis pour le monde, tant pis pour le lieux... Il prend doucement ces deux mains, et plonge son regard dans le sien...

Je suis là mon Ange. Je... voulais vous dire que c'est près de vous et avec vous que je veux vivre cet instant, et tous les autres de ma vie. Vous et juste vous, car c'est vous que j'aime. Sans vous, tout ceci ne rime à rien pour moi... Sur tout ce qui est Saint et Sacré, et sur tout ce en quoi je crois, c'est à vous que je veux consacrer ma vie...

...

En plus de la robe, le messager m'a aussi donné des nouvelles du Bambi. Bon, on sait pas où il est, c'est vrai, mais on sait vers où il est parti. J'ai un limier, mon meilleur nainformateur qui le suit à la trace... il le retrouvera bien vite, ça aussi je vous le jure...


Yeux qui brillent. L'a un tout pitit coeur le grand chevalier... et ce pitit coeur ne bat que pour une femme... sa Maé...

[EDIT pour cohérence avec le post de Maé^^]


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Martel
Martel arriva enfin à la cathédrale, s'affichant devant ses yeux de toute sa splendeur, il se sentit alors presque rien vis à vis de cette masse monumentale... Dire que des 'hommes avaient pu ériger cela...

N'étant pas un officiel et le carrosse étant déjà arrivé, il savait que ce n'était pas en prenant la suite du cortège qu'il ne se ferait pas remarquer... Après une légère réflexion il fit alors le tour du bâtiment pour enfin tomber sur une petite porte en bois sculpté... Et, comme le dit le proverbe, "Tous les chemins mènent à Rome" !

A la suite d'un petit couloir, il tomba dans la sacristie... Ne sachant où se mettre et espérant ne pas croiser quelqu'un, il traversa discrètement la pièce pour continuer vers la nef dont il percevait quelques sons.

Se pressant encore un peu, faisant un vacarme pas possible avec son armure, il passa rapidement la dernière porte... Et continua tout droit sans regarder devant lui... Telle ne fut pas sa surprise de tomber.... A côté de l’archevêque, Adso, en pleine croisée des transept (j'espère que je ne me trompe pas dans le vocabulaire).
La, il y avait vraiment un ... GROS soucis ! ...

Il se gratta alors derrière la tête sachant que le retour en arrière était impossible...

Son sang ne faisant qu'un tour il eu alors -> L’IDÉE

Hum... Excusez moi votre éminence, mais je suis chargé de votre sécurité durant la cérémonie... Le conflit contre la couronne pourrait vous rendre victime d'un attentat envers votre personne... Je... J'ai été mandaté par Rome... Bon les preuves il les fournira après... ou pas... Bhé faut bien sortir de cette galère hein ! !

Puis sans même attendre de réponse il se mit droit comme un pic à côté du siège du prélat, une petite goutte de sueur perlant sur sa tempe droite...
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Crysline


Elle aurait pu se faire aussi petite qu'une souris, qu'elle l'aurait fait, rouge pivoine, gênée et confuse, Crys se redressa droite comme un"i" et se confondit en excuses à peine compréhensible


Je ...Désolée...retard et du coup...pfiou...épée...maladroite...désolée...génée mais l'autre nigaud la....pas fait exprès...Chaussure...robe
...

Pas sure que le couple la comprenne à ce train la....Elle essaya nénamoins de retrouver son calme et de faire parade pour se faire pardonner...que faire mais que faire?

C'est à ce moment là que Maé parla de Bambi qui semblait avoir disparu
...

Quoi Bambi...je pars à sa recherche de suite...Foi de prévôt, je le retrouverai.


La voilà la solution, peut-être que si elle retrouvait le Bambi, Mae et Bayrd lui pardonneraient sa maladresse aussi ni une ni deux elle tourna les talons....enfin, elle ôta ses chaussures et parti en direction de la ville...

Pardon, z'avez pas vu le bambi...Savez le bambi...Dites z'avez pas vu...

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