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[RP] un levé de coude ou l'inter-ville de la boulasse

Rubein
Rubein n’avait encore son tour de chauffe, il avait la soif, la soif de concourir malgré son arrivé il y a peu, il se montrerait à la hauteur.
Dans le tumulte de la foule, le barbu pu entendre les voix montées, certaines de joies et d’autres de provocations bonnes enfants, mais une retenait un peu plus son attention :

« Qui est Adamet, le capitaine de Carcassonne? »

Le sourire aux lèvres, le brun s’avança dans la direction de celle qui prononçait ses mots. Surprennent jolie minois, mais elle appelait le capitaine, assez sûre d’elle, cela promettait un rude affrontement.
Puis ce fût le défiler des tonneaux, préparatif incontournable pour le début des hostilités ce qui n’était pas pour déplaire au barbu. De drôle de femmes aussi charpenté que des charpentiers venaient
ça et là déposés autres chopes vides sur les comptoirs prévu à cette effet. La vue de toute cette bière le mettait en émois.

Dans toute la diversité, une femme s’était approcher de la brailleuse qui cherchait son capitaine, puis d’un coup d’un seul, elle se mise à son tour à criée :

« Rubein de Carcassonne !

Je cherche un certain Rubein ! »



L’intéresser leva un sourcil, allons bon se dit il, on à hérité des femmes aux organes vocales très prononcés !
Le barbu s’avança d’un pas sûr, se raclant la gorge avant de répondre du même ton :

- Rubein de Carcassonne, ici présent !

Un beau sourire se laissait dessiner derrière sa barbe avant de surenchérir :

- Il parait que l’on me cherche ! Et bien je suis ici !

Fier comme un poulet de trois jours, coq sur patte et toute la basse court, il arborait fièrement les couleurs de Carcassonne.

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--Alissandre


La Rouge suivit des yeux la chopine lorsque le Chapeauté la vida d'une traite et salua ce geste d'un rire de gorge. Elle n'osait pas applaudir mais l'aurait fait volontiers si son accès à la bière n'en eut été compromis.

"Vous la trouvez mauvaise ? Moi j'lui trouve un bon goût d'liberté. J'vous parie qu'celle qu'ils vont tirer pour l'concours al'aura pas aussi bon goût !"


Elle accepta l'offrande en retour avec un sourire appréciateur et dégusta la bière, cette fois avec moins d'empressement : puisqu'elle ne serait pas dénoncée, plus rien ne pressait !
Les yeux mi-clos, elle but le breuvage à longues goulées avec une telle gourmandise que quelques gouttes s'échappèrent du coin de ses lèvres pour rouler jusque sur son menton.

Lorsqu'elle les rouvrit, elle croisa le regard du brun sur elle et haussa un sourcil amusé en constatant qu'il la détaillait.

Son vêtement avait surement dû connaître des jours meilleurs, mais elle avait trouvé le moyen de tricher avec une ample chemise d'homme, en la ceintrant d'une corde à sa taille, ce qui avait le double effet d'avantager sa poitrine et ses hanches et d'affiner sa taille. Ses jambes étaient couvertes jusqu'à mi-mollet d'une paire de braies élimées, qui lui remontaient au genoux et galbaient ses cuisses dans la position où elle se tenait actuellement. La Rousse n'était pas à proprement parler une femme maigre, mais elle n'était pas forte non plus. Ses mouvements et son allure laissaient plus à penser à un chat joueur qu'à une paysanne bien en chair ou une miséreuse affamée.

Elle laissa s'écouler quelques secondes, laissant le temps à Mordric de l'observer, mais également de savoir qu'elle l'y autorisait, avant de reprendre.


"Et pourquoi qu'vous voulez vous faire bien voir ?"

Son nez se mit à remuer légèrement tandis qu'elle adoptait une moue de dépit : voilà qui venait sérieusement écorner l'estime qu'elle commençait à lui porter. Mais peut-être avait-il une bonne raison ?
Aaaah, ces manies qu'ont les gens de se compliquer la vie !
Mordric
Un petit rire. Ni moquerie, ni amusement. Juste un sentiment étrange.
Il n'était pas à proprement attendri par la Chatoyante.
Non, ce n'était vraiment pas de l'attendrissement.
La seule qui réussissait à l'attendrir était une gamine aux allures de chaton et la femme face à lui était un félin autrement plus dangereux.
Il était intrigué, charmé.

Une silhouette plaisante, un timbre de voix particulier qui pouvait vous hypnotiser si vous n'y prêtiez pas attention. L'intelligence du petit peuple; celle qui ne s'attardait pas sur la forme; celle qui allait droit au but. Elle était dangereuse. Tout ce qu'il affectionnait.


Pourquoi bien me faire voir? Pour qu'on ne se mêle pas de mes affaires. Paraître au dessus de tout soupçon pour qu'on me laisse gérer ma vie, mes vies, sans être surveillé en permanence.

Je me contrefous de l'avis des notables du coin. Mais s'ils me laissent en paix, j'en serai heureux, alors je fais ce que j'ai à faire. Comme toi quand tu as soif...


Un sourire carnassier, une lueur virevoltante au fond de l'oeil.

Et puis j'aime plaire c'est indéniable... Alors si au passage je peux séduire une ou deux de ces dames de la haute...
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--Alissandre


Elle avait repris sa dégustation de bière et s'interrompit lorsqu'il parla, interloquée. Pour ne pas qu'on se mêle de ses affaires ?
Mais la suite du discours lui arracha un grognement approbateur suivit d'un sourire complice : lui aussi était un prédateur.


"V'z'avez l'art de vous compliquer la vie. Si vous voulez pas qu'on s'mêle de vos histoires, suffit qu'on v'z'y voit pas. Personne surveille Alissandre, parce qu'elle existe pas."

Elle porte à nouveau la chope à ses lèvres. Mauvaise surprise : elle est vide. Petit grondement déçu, avant de se resservir, puis de tendre la chope à son comparse.

"Par contre, va v'z'en falloir d'la belle réputation pour goûter la couche d'une grande dame. Et grande ou pas, où y trouve l'même apertrach* ! Une femme, c't'une femme."

Elle haussa les épaules avec nonchalance.
Visiblement, la Rousse ne considérait pas ses yeux noisettes, ses lèvres charnues et son corps délié comme un avantage quelconque, tout juste comme une enveloppe corporelle avec laquelle elle s'entendait naturellement bien. Elle avait le chic pour remettre toute l'humanité sur le même pied.
A son tour, elle le toisa de haut en bas, le détaillant sans faux semblants.


*attirail
Mordric
La chope lui revint en main. Équité oblige, il n'en préleva pas plus de la moitié. Quelques lentes gorgées pendant lesquelles il se laissa contempler.
Ou plutôt jauger.
Regard inquisiteur, oeil scrutateur, elle lui rendait la pareille.
Amusé, il fit glisser les pans de son mantel de parts et d'autres de son corps pour lui donner une meilleure vue.


Les dames de la haute te ressemblent peut être sur l'attirail... Mais sur d'autres points elles sont bien différentes. Elles offrent un tout autre divertissement.

La chope repassa de main alors qu'il se redressait.

Ça je te l'expliquerai peut-être à notre prochaine rencontre la Rouquine.
Je vais aller parader et surtout m'éloigner de toi avant que tu ne me soûles. Je parierais presque que tu me sers ta bière pour faire gagner ton équipe...


Un dernier sourire et, ragaillardi, il quitta l'ombre pour rejoindre l'attroupement.
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--Alissandre


La Rousse ne bouda pas son plaisir et observa la bête avec un intérêt nettement moins neutre qu'elle ne voulait le laisser paraître.

Lorsqu'il s'exprima sur l'intérêt potentiel des dames de la haute, la jeune femme lui lança un regard pénétrant, comme si elle cherchait à mesurer ses motivations. Mais déjà, le brun s'était relevé et prenait congé sur une déclaration tellement saugrenue qu'elle éclata d'un rire très peu discret. Son équipe ? Elle n'avait pas d'équipe. Sa loyauté était bien trop chère à gagner. Tout au plus avait-elle trouvé un moyen de transport pratique jusqu'à la destination qu'elle s'était choisie, voilà tout.

Elle le laissa partir sans ajouter un mot, terminant sa chopine dans l'intimité retrouvée de sa cachette. Un léger hoquet vint ponctuer sa dégustation.
Micheldecarcassonne


toujours a observé le cafarnaum tout pres ca gueulait dans tout les sens Eleanore Apela[b]Qui est Adamet, le capitaine de Carcassonne?[/b]

Il est par là indica ,simplement Michel , Belle gueule ,cheveux cour ,l'air trop heureux . tu le trouveras facilement il cuase a tout le monde

[b]Puis une autre femme sortit du lot en cherchant un de ses cocitoyen ,c'était Rhadia
Rubein de Carcassonne !

Je cherche un certain Rubein !




toujours le couteau a la main Michel indica ou trouver le jeune Rubein,

Par là, c'est le jeune barbu je gagerais qu'il te cherche de son coté.

avant de partir ,c'est laquelle Eldearde!
[/b]Michel pointait de la pointe du couteau le rassemblement d'où était venue les deux femme qui cherchait quelqu'un de Carcassonne

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Coco...
Coco qui déambulait au milieu de tous les candidats, n'avait pas encore aperçu son adversaire, le sieur Rackam de la Lergue.
Où se cachait il ?
Coco alla rejoindre Marieline pour s'échauffer avec elle, entre Mendoise, en attendant qu'il montre le bout de son nez.

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Castelreng
Tout juste le temps de gouter au breuvage, c'est à dire quelques chopes plus tard et s'annonçait la formation des équipes. Pas le temps d'aller saluer ses connaissances, d'aller taquiner un peu la Comtesse de Minerve que Castelreng se mettait en chasse de son adversaire.

Ce qu'il savait de cette personne, c'est qu'elle était d'Alais. Son nom ne lui apprit pas si il allait avoir à faire à belle donzelle ou affreux sieur. Il préférait largement la première hypothèse ! la saouler, en plus de la bière, de paroles et clin d'oeil, façon comme une autre de la déconcerter. Aussi ne cessait-il de se dire " pourvu que ce soit un donzelle ! "

Alors qu'un grand brouhaha se faisait, car tous cherchait son adversaire, il aperçut le blond Merer proche des tonneaux et d'une belle. Le veinard allait affronter une jolie plante déjà quelque peu éméchée aux vues de ses gestes imprécis. "maudit soit le sort" fulmina t-il intérieurement "Moi aussi je veux faire face à une femme ! " De tout coté des noms fusaient mais le sien ne semblait pas encore en faire parti.Ou alors il ne l'avait entendu. Il espéra un court instant que son adversaire soit déjà à cuver dans un coin et qu'ainsi, avec un peu de veine, Kelak lui ferait affrontée une beauté.

Qui a dit que l'espoir ne faisait pas vivre ?

Bon ! c'était pas tout ça mais à force de regarder en tout sens, d'entendre moult noms sauf le sien, il commençait à avoir grand soif ! matant deux matrones qui transportaient un tonneau, il se demanda s'il n'allait pas le leur piquer pour aller le vider à l'écart.

Un soupire, suivit d'un haussement d'épaules, fataliste, il renonça à cette idée et se mit, comme les autres, à beugler


Abazigaaaaaaaaaaaal... Crénom d'un chien ! ... Y fait soif !!
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Ruthy.
hou lala ... ça s'agite de tout côtés ! La "crevette" a repéré sur le tableau le nom de son adversaire ... mais comment le trouver parmi tout ces inconnus ... Roy de Mende ... bah elle est bien avancée avec ça ! Au grands maux les grands remèdes ... elle interpelle les gens ...

Excusez moi , vous seriez pas Roy de Mende ?

Roy de Mende vous connaissez ?

Pffff ....


Autant chercher une aiguille dans une botte de foin ! puis c'est bien la première fois qu'elle cherche un homme !

Vous auriez pas vu Roy de Mende ?

Oh et puis crotte ! Elle prend place à l'une des tables et attend ... il a qu'à la chercher lui ! ah beh tient elle a une idée ! Elle farfouille dans sa besace ... enfin dans une belle besace en cuir qu'elle a trouvée abandonnée ... parfait y a de quoi écrire ! Elle s'applique , bricole un peu et quelques instant après se passe une pancarte autour du cou avec écrit en grand

Citation:
RUTHY .


Si avec ça il l'a trouve pas !
Azelys
Azelys sourit en voyant les tonneaux arriver.
Elle cherchait des yeux son ...adversaire, ce Summa, de Mende.
Un fin sourire éclaira son visage et outre la préparation des chopines qui s'annonçait, elle sortit de sa besace son arme secrète, qu'elle ne dévoilerait que lors du duel.
Ou plutôt devrait on dire "ses" armes secrètes.

Elle alla rejoindre Ferek et Loup et sa capt'ain. Des mascottes! Mouarf....Bon soyons bons joueurs c'était déjà un beau rôle.

Parmi la foule, elle chercha son adversaire de ses yeux miels et tripota machinalement le haut de la dague qui siégeait sur le haut de sa cuissarde, dévoilée de temps en temps au gré du vent qui tournoyait et faisait onduler sa jupe dorénavant fendue de part et d'autre.

Finalement, elle la saisit prestement et la planta d'un geste aiguisé dans un des tonneaux, faisant couler la panturlà locale.


"Où es tu donc? Summa! de Mende! Aurais tu peur d'une bergère?"
Gigagil
Gigagil parcourt la foule, saluant les visages connus.
Il est surpris mais heureux de voir autant de Languedociens réunis pour s'amuser et surtout rencontrer leurs voisins des autres villes.
Par contre il n'a pas encore vu son adversaire et pire, il ne le connait pas !


Je cherche Le Firmin

olla , il y a des Nimois par ici ?

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http://gigagil.over-blog.com/
Adriendesage
Jamais de mémoire de languedocien, n'avait-on vu plus grande taverne que celle là. C'était un bazar magnifique. Un joyeux regroupement de soiffards qui s'étaient tous mis à beugler plus fort les uns que les autres. Il y avait ceux qui désiraient faire des rencontres, ceux qui cherchaient la concurrence, ceux qui chambraient, et ceux qui avaient soif.
Adrien Desage était de ces derniers. Avec la délégation montpelliéraine, bien groupée, il était attablé, à l'endroit où on lui avait dit de s'asseoir et attendait son concurrent, Sermrehymh avec impatience:


"Mordious, j'ai soif! A BOIRE! QU'ON ME SERVE!"

Il avisa deux grosses dames qui portaient un tonneau de bière comme on cueille une marguerite pour sa belle:

"Tenez les dodues! C'est pour moi! Laissez donc ça ici!"

Et ainsi participait-il à la foire ambiante. Quel serait l'était de la place à la fin de cette journée? Combien y survivraient-ils? Combien laisserait-on là cuver dans leur rendu? Nul ne pouvait le prévoir...
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Arthurcano


[Arthurcano de Narbone contre Aeldred de Alais]

Après être allé faire un tour du côté des Arbitres, il prit avec surprise connaissance de son adversaire...

Un gamin qu'il connaissait bien et cela le chatouilla... Savait il boire autre chose que du jus de pomme ??

Il parcourut les différentes allées pour à la recherche d'Aeldred aller à sa rencontre...

Le trouvant entrain de fanforanner auprès d'autres Alaisiens... Alais... tant de choses belles la-bas il avait en son coeur et ses mémoires....

Il s'installa en face d'Aeldred, souriant comme il savait le faire parcequ'il le vaut bien... et lui ébouriffa les cheveux en guise de bonjour...


Et bien jeune Ami, quel plaisir de te revoir !

Il fit signe à l'arbitre qu'il pouvait aligne autant d'échoppe que le gamin venait de faire... La boulasse est présente aussi à Narbonne, suffit d'aller à messes chaque jour pour ça !!

Bon alors prêt le jeune ?

Au signal de l'arbitre, Arthur enchaina sept premières chopines presque d'une traite... Il vit que le gamin ne bougeait pas et presque inquiet se demandait s'il savait boire...

Hips alors jeunot on ne sait pas lever le coude ?

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Motshow
Motshow, ayant passé la nuit à sa table, se reveilla de bon matin, vers 13 heure, et commença son petit déjeuné par un bon jus de mirabelle qui pique.
Une fois ces exercices quotidiens consistant à ouvrir une paupière, la refermer, puis passant doucement à l'autre paupière, il ouvrit enfin ses yeux pour constater que face à la belle banderole, plus très fraiche, annonçant le duel de sainte boulasse, il n'y avait que bien assez de Languedociens festifs, dansant et chantonnant, passant ca et là.
Se sentant de bonne humeur encore ce jour:


Citation:
29-01-2012 04:16 : Vous vous êtes levé du bon pied ! Vous êtes en forme et prêt à surmonter les épreuves de la journée !


Il prit la banderole dans ses mains, monta sur la table, et levant bien haut le défit, appela tout en dansant et chantant, son adversaire


MOTSHOW de ALAIS Vs AURELUS de CARCASONNE

http://www.youtube.com/watch?v=ZOLiv-i6KPk&feature=related

AURELUS DE CARCASONNE?
Y'AURAIT IL PARMIS VOUS TOUS UN CERTAIN BOULASSEUX AU NOM D'AURELUS,


Motshow resta ainsi un moment, puis cracha un caillou de sa bouche.
Sentant bien là les symptômes de la déshydratation, il sorti sa gourdasse, et se jeta un long jet de jus salvateur.
Il commanda alors ses 16 choppes et entrepris de les disposer comme convenu selon sa stratégie.
Une fois l'étale établi, il regarda son oeuvre, et commença à saliver...

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Utilité publique:
Boulasseux depuis toujours
Boulanger de la filière BFP depuis 12/1947
3 mandats de tribun de 09/1449 à 12/1449 (croissance de 22%)
1 mandat de maire 01/1460 (croissance de 47%)
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