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[RP] Campement Memento Mori, aux portes de Fougères !

Octave
RP ouvert à tous ! Joueurs de Bretons, de Memento Mori, et... les autres ! Dans le respect des personnages et des lieux. Bon jeu !





La veille, en plein milieu de la nuit, portes de Fougères

"Qu'est-ce qu'on fait là ?

Octave parlait à Shaeline, serrés l'un contre l'autre au milieu des guerriers du capitaine. Memento mori était en marche. Ils en faisait tous les deux partie. Ils s'étaient engagés auprès de Raoul de Montjoie, vieil allié et ami des di Leostilla. La Savoie semblait si lointaine. Son coeur était tellement égaré. Les portes étaient de Fougères étaient gardées par une armée ennemie. L'affrontement allait être de taille. Les trahis de la reyne fonceraient tels les vagues sur les récifs et le sable. Qui vaincrait ? L'érosion ou la solidité ?

Octave tira son épée. Il avait peur, il était terrifié. Il n'était pas un excellent guerrier. Il menait une vie de débauche. Ce romain à l'avenir si riche dans un autre duché. Le jeune homme avait reçu de nombreuses lettres de son cousin Vikentios. Etre prudent... Il le serait... Le professeur et le moustachu veille sur toi n'aie crainte. D'accord ! Octave cherchait du regard ses deux repères, mais ne les trouva point. Il espérait secrètement qu'ils veillent sur lui.

Puis la charge fut lancée. Le capitaine Namaycush menait l'avancée à la mort. Les deux armées s'entrechoquèrent. Les lances furent brisées, les premiers hommes aussi. Octave vint frapper l'épée d'un premier homme*. Mais il lui fit bien trop peur pour qu'il continue son attaque. Il s'enfuit après avoir échangé deux ou trois autres estocs. Alors qu'il prenait ses jambes à son cou dans le champ de bataille, il avait été séparé de Shaeline, sa douce amie. Pourvu qu'elle s'en sorte !

Un second gaillard** vint à lui. Octave tressaillit. Il fallait combattre ! Il fallait affirmer ses convictions ! Même si elles n'étaient pas les siennes. Tant pis. Il engagea le combat contre cet individu qu'il ne connaissait même pas. C'était là la tristesse de la guerre ! On ne savait pas qui on tuait... Chacun se battait pour sa survie. Le dernier debout remportait le duel. Son adversaire n'était guère vigoureux, par chance ! Octave parvint à le toucher quatre fois ! Ses coups devenaient plus puissants. La rage et la colère prenait le dessus. Son adversaire en subit les conséquences. Il tomba bientôt au sol, dans les pieds d'Octave. Le Romain frémit en voyant sa lame rougie par le sang du vaincu.

Mais il n'eut pas le temps de se remettre que déjà une femme*** cette fois-ci s'attaqua à lui. Elle était effrayante, toute de blanc vêtue. Un coup, deux coups, et leur combat fut gêné par d'autres. Octave fut séparé de son adversaire. Les clairons résonnèrent, la nuit s'achevait, les combats aussi.

Campement Memento Mori, portes de Fougères

Octave lâcha son épée qui tomba durement sur le sol. Les tentes s'étaient montées. Shaeline, où était Shaeline ? Avait-elle réussi à survivre à cette première nuit ? Errant dans le campement, Octave faisait le tour de chaque figure, il regardait le visage de chaque femme. Mais il ne trouvait pas. Il s'installa contre un rocher et décida d'attendre, non loin des soins et des morts. C'était là qu'il aurait une chance de l'apercevoir si elle fut meurtrie ou si elle pensait elle aussi qu'il avait été blessé, voire pire. Le visage sale, fatigué, Octave se rendait à présent compte des ravages de la guerre.



*25-01-2012 04:05 : Vous avez engagé le combat contre Igor.

** 25-01-2012 04:05 : Vous avez engagé le combat contre Keith.
25-01-2012 04:05 : Vous avez frappé Keith. Vous l'avez grièvement blessé.
25-01-2012 04:05 : Vous avez frappé Keith. Ce coup l'a probablement tué.
25-01-2012 04:05 : Vous avez frappé Keith. Ce coup l'a probablement tué.
25-01-2012 04:05 : Vous avez frappé Keith. Ce coup l'a probablement tué.

***25-01-2012 04:05 : Vous avez engagé le combat contre Maelfea.

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Ongwhu


Campement Memento aprés le combat.....................


Voila nous y sommes, dans le chaudron, ben oui la Bretagne croyait que.............. elle a bien eu tord.................... la Reyne qui aboye............................. c est quand même a cause d elle que les choses sont ainsi.............. ben oui de nombreux mois de guerre et un travail inachevé............................ une amertume pour certains, Memento n est pas le petit toutou de sa mémére.......................... Memento n est pas le jouet de la Malmorte.............................


Alors.......... quoi me direz vous............... ben action , réaction, quoi de plus normal a cela?


Depuis ce matin les membres de Memento avaient un titre de plus........... des traitres.......... aux yeux de l autre folle , La Malmorte hurle, ben qu elle continue, elle a par son action , trainé le royaume de France dans la boue, en faisant tuer des gens pour sa gloire, pffffffff pauvre France..................


Elle exige......... ben ouais et alors...........................

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Shaeline


A peine l'aube brûlait elle des feux de son enfer scintillant le ciel meurtri de la nuit que les hommes se bousculaient face au mur d'humains qui cherchaient à stopper leur avancée. S'étaients ils tous attendus à ce qu'arrivent ce jour une armée d'enragés ? Shae s'était engagée avec son compagnon, un petit noble romain désappointé qu'elle aimait et à qui elle désirait montrer le monde loin de la douceur d'une vie morne.

Il s'était blotti contre elle. Il cherchait du réconfort et à être rassuré. Elle, elle observait chaque mouvement de l'armée opposée. Il fallait se préparer. Elle n'avait pas combattu souvent sur terre, habituée au danger de la mer et aux prises d'assaut des navires marchands, parfois même de guerre mais c'était surtout à effet dissuasif ou défensif. Si son père la voyait là ! Serait il fier d'elle ? Se retrouver enbrigadée dans une armée pour elle ne savait quel but ? Elle ne cherchait pas à savoir. C'était une mercenaire et elle faisait ce qu'on lui demandait : tuer.

Reste près de moi, Octave. Je te protégerai ... Si tu ne me vois pas, sache que mon ombre sera toujours près de toi.

L'assaut fut lancé. Octave avait il entendu ses mots ? Il se lança dans la bataille, Shaeline à ses côtés. Les épées s'entrechoquaient. Octave s'éloigna de son premier opposant mais Shaeline se rua sur lui. Elle ne possédait pas d'épée. Elle avait perdu son sabre lors du naufrage de son navire plusieurs mois auparavant. L'argent s'était fait rare et elle s'était approprié un baton dont elle maitrisait le maniement. C'est ainsi qu'avec toute sa puissance, elle frappa le soldat défenseur inconnu (1). Son baton se brisa sous le choc mais l'homme était tombé, presque mort.

Son regard suivit Octave et le vit combattre ardemment un autre soldat (2). Elle ramassa une pierre sur la sol et l'envoya frapper son opposant, ce qui permit à son ange d'avoir le dessus, sa rage ayant fait le reste.
Alors qu'il terminait son combat et qu'elle veillait, une femme (3) s'imposa entre eux et elle le perdit de vue. Celle-ci se jeta sur elle. A mains nues, Shae esquiva ses attaques avant de s'éloigner du danger. Il lui fallait une nouvelle arme. Le jour déclinait déjà. C'était la fin d'une journée de sang. Demain une autre verrait le jour et il leur faudrait trouver le repos.

Elle ne trouva rien d'utilisable sur le sol. Elle rejoignit leur campement, cherchant du regard son protégé. Elle le trouva non loin des brancards et des blessés gémissant leur peine. Elle le vit contre un rocher et son visage s'illumina d'un sourire. Elle ne lui dirait pas qu'elle avait veillé. Il devait se sentir fort pour la suite des jours sombres.

Octave !!! Je t'ai cherché partout ! Tout va bien ?

Elle lui sauta au cou. Il devait remarquer qu'elle n'était plus armée. Lui par contre possédait toujours son arme, ce qui la rassura. Elle l'embrassa, malgré la saleté et le sang. Elle se colla contre lui. L'amour dans la guerre était encore plus fort que jamais. Elle lui prit la main et l'emmena vers un coin discret du camp.

Il nous faut dormir ... mais avant ... je souhaite apaiser ton âme ...

Elle savait ce qui tourmenterait le jeune homme. Il n'avait jamais tué. Il allait être marqué par cette guerre alors qu'elle n'y penserait même plus. Elle lui sourit, passa une main dans son dos, se dénuda sans aucune gêne et passa la nuit dans ses bras, peut-être pour une dernière fois.


(1) 25-01-2012 04:05 : Vous avez engagé le combat contre Igor.
25-01-2012 04:05 : Vous avez frappé Igor. Ce coup l'a probablement tué.
25-01-2012 04:05 : Votre arme a été détruite.

(2) 25-01-2012 04:05 : Vous avez engagé le combat contre Keith.

(3) 25-01-2012 04:05 : Vous avez engagé le combat contre Maelfea.

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Meiline
[Sur les routes de Bretagne - Entre la Baronne et son fidèle soldat]

- Madame, votre filleule..
- Oui Takeda ?
- Une armée l'a piétinée aux portes de Fougères
- Qu'est ce que tu me racontes là, Mael n'est pas du tout soldat c'est une simple citoyenne bretonne sans histoire
- Madame, personne ne sait le pourquoi mais elle s'en allait de Bretagne lorsqu'elle a croisé plusieurs hommes, une armée Madame.

La Baronne s'arrête un instant de dessiner puis regarde l'homme devant-elle.

- Si ce que tu dis est vrai, je crois qu'il va falloir retourner à Fougères et mobiliser toutes les personnes que nous pouvons emmener avec nous afin de défendre notre bonne vieille ville, Fougères l'imprenable est et restera !

Se frottant le menton.

- Contacte le meilleur des médecins que nous avons à Saint Léger, mène le au chevet de ma filleule et surtout hâtes toi !! ne traîne pas ! Maudit Francoys, qu'ils crèvent tous de la peur ou de la peste ! que l'Ankou les emportent vivant ou mort !

Rangeant vite ses malles dans la charrette, il fallait prévenir mon époux changement de programme, voyage de noces reporté !
_________________
--Kehl


Le voyage avait été fort long déjà, et quand enfin Kehl était parvenu sous les murs de Fougères, ça avait presque été un soulagement. Arrivés à Bayeux les Français avaient décidé qu'entrer en Bretagne par Laval était plus indiqué, et on était reparti pour quelques jours... Enfin, aujourd'hui c'était fini, et la pression se relâchait. L'essieu de la charrette de ravitaillement et d'armement tenait par on ne sait quel miracle, mais désormais on n'en aurait de toute façon plus besoin.

L'attaque avait été lancée probablement trop tôt pour lui. A moins qu'il ait été en retard, ce qui revenait au même. Toujours est-il que quand les échelles avaient été dressées contre les murailles, il n'avait même pas eu le temps d'aller jusqu'en haut avant que l'ordre de la retraite soit donné. Voyant l'embouteillage au niveau des échelles, il avait espéré que les assiégés tentent une sortie, mais non, il ne verrait aucun Breton lors de cette attaque. Peut-être un signe du destin, peut-être un jour de malchance, peut-être une facétie d'un quelconque seigneur de guerre.

Un peu dépité de ne pas avoir pu se servir de son épée, Kehl retourna donc vers le camp de la memento Mori, en se disant que peut-être les choses changeraient à la prochaine passe d'armes. Son seigneur, qu'il ne quittait pas d'un pas, en bon écuyer, prenait les choses avec moins de sérénité. Tossiat avait même frappé les remparts de rage, de plusieurs coups de gantelet d'armes. Ces vils remparts qui l'empêchaient de faire ce qu'il était venu faire. Maudits soient-ils !


Citation:
26-01-2012 04:05 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Fougères.
Gamalinas
La bonne reyne Nebisa a mit sa houppelande de versa.
Le bon saint Etienne lui dit : ô ma reyne, votre majesté est mal enrobée.
C'est faux lui dit la reyne, à toi de retourner la tienne.


Voila ce qu'on pouvait entendre de derrière la salade de Gamalinas. Une petite ritournelle sur les conseils vestimentaires du saint Patron de la corporation de la laine chez les italiques. Cependant le temps des chants se termina bien vite. Les murs de Fougère se dressaient comme des récifs dans un océan de prairie.

Certain allaient tirer du canon, d'autre de l'échelle. Gamalinas restait sur son cheval, près de ses compagnons. Des anciens, des jeunes, des femmes et même un chien. Et dire que c'était la lance la moins fournie. Les autres devaient regorger de personnels étranges.

Cependant la confiance ne perdait pas l'homme, les choses semblaient assez positives, même si certaines surprises envahissait le paysage diplomatique.

Bientôt il n'y eut plus de place pour les pensées, la charge fut sonnée, le groupe hétéroclite avançait sur le champs. Rien ne semblait venir à leur rencontre. Des échelles claquèrent sur les remparts et maitre Khel monta à l'assaut. De là Octave ne figurait plus dans le champs de vision de Gamalinas. Où était-il ? Perdu dans le flot des attaquants, le lance de Gamalinas n'eut pas grand chose à faire. Sauf s'énerver contre la pierre. L'armée sonna la retraite. Mais toujours pas d'Ocatve...


Citation:
26-01-2012 04:05 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Fougères.
Woland_von_selenios
Tout ennarmuré, ne portant aucune autre couleur que celle du métal, Woland se tient auprès de Gamalinas et des quelques autres en sifflotant la même ritournelle.
Il a décidé de ne pas chevaucher ce jour-ci. Cela fait toujours un jour de moins qu'il ne passe pas sur le dos de son quadrupède.

A ses pieds, un tout petit chien est assis et regarde le paysage de même que tout le monde. Il lève de temps en temps la tête pour regarder son maître qui charge généreusement son trait à poudre.

En attendant patiemment que l'on sonne la charge, Woland se prépare donc à faire feu sur les assiégés.
Une rumeur passe dans les rangs, les trompettes allaient bientôt sonner. Le Professeur souffle sur la flamme d'une longue mèche enroulée autour de son gantelet. La mèche reste ainsi bien braisée. Il place le trait sous son bras...

Et soudain, on sonne la trompe. Woland se met en marche ainsi que les autres membres de sa lance. Groupe hétéroclite et peu nombreux, certes ! Mais capable de tant de grandes choses !... Si... si !

Arrivé à bonne hauteur certains hommes s'élancent vers les échelles pour grimper au muraille. Woland campe alors sur ses positions, place le trait à poudre sous son bras et met le feu à la poudre. Une détonation fulgurante éclate. Le Cheval de Gamalinas s'élance comme il faut, mais c'est le moment que le petit chien de chasse choisit pour s'enfuir vers l'avant du champ en lâchant des jappements affolés.

"Atlas ! Fichtre foutre !"

Et le Professeur de lâcher son trait, de saisir son épée et de se mettre en marche vers les remparts :

"Atlas au pied !"

L'escarmouche fut de courte durée et au bout de quelques minutes qui servirent à ébrécher les murailles, la retraite est sonnée.
Woland a récupéré Atlas et celui-là le remarque bien :


"Vilain chien ! Nom di diou ! C'est toi qui a choisi de me suivre alors tu restes sage ! Sinon je te donne à manger aux pourceaux ! Compris ?"

Citation:
26-01-2012 04:05 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Fougères.

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Ongwhu




Et pendant ce temps là.................

Aprés la Reyne de France , La Bretagne......................


Ongwhu regardai les remparts de Fougères, songeur ,il se demanda si c était nécessaire d entrer par la grande porte de la ville................................. Hummmmmmmm du salpêtre, voila un bon ingrédient avec du souffre rajouté a un peu de charbon............................. oui vous avez raison un cocktail, détonnant............... même pour sûr................................

Ce qui faisait sourire Ongwhu, c était les gesticulations des Breizhous, ben alors Mesdemoiselles, on dirait qu il y a le feu chez vous................... Ca fait quoi?????? hein dites..........................

En faites quand on regarde bien , la Bretagne........... enfin ses habitants , bien content d aller foutre le boxon hors de ses frontières en envoyant ses fidèles toutous comme l Anjou ou le Poitou, ben là sont le nez dans le crottin, bah qu ils se disent que ce n est qu un début..................

Et votre ami le Thoros, l est ou??????

Pas ici pour aider ses grands amis, arffffff ..................................Thoros un brigand, non peut pas être de méche , avec ses gentils et droits Bretons, ça non...................

Jamais au bien jamais, ce duché ne se serai associer, avec un brigand............................



Citation:
26-01-2012 04:05 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Fougères.

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Octave



Las las ! Alors que la seconde journée de bataille commençait, Memento Mori s'attaqua de nouveau aux remparts de Fougères.

Octave était encore un jeune puceau : il n'avait pas cherché le corps de Shaeline, hier. Il aimait simplement la voir nue et la caresser. L'amour par les mots ! Voilà ce qu'il prônait. Il avait bien trop peur de se dévoiler, de connaître autre chose...

La milice adversaire s'attaqua à eux. Octave tira son épée. Une femme* ! Cette inconnue ! Elle fonça droit sur lui ! Le jeune homme esquiva une estoc, deux, avant de s'écrouler au sol.

Il lâcha son épée et se mit à ramper, sur le sol. Fini ! La lame adverse se leva dans les cieux. Octave se retourna sur lui-même.

Il tenta de se relever tandis qu'elle déracinait l'épée du sol. Mais quand il se trouva sur ses deux pieds, l'inconnue lança un léger poignard qui vint se planter dans l'arrière de sa cuisse !

O colère ! O fuite en avant ! Jamais il n'avait fui autant. On l'avait protégé car elle ne le suivait. A moins qu'elle ne fût sûre qu'il meure ? Qui sait !

Octave erra jusqu'à ses compagnons. Un médecin ! Le sang ! Ce sang si pur, si cher ! Vertu ! Tu n'es pas qu'un nom !

Il tomba dans les bras de Shaeline. Au loin se dessinait le professeur qui guerroyait et le moustachu toujours aussi vaillant. Oh ! Ils étaient occupés. Grand bien ! Ils ne le remarquaient pas ainsi.

"Lontano...

Ce murmure de sa part... il ne voulait pas qu'on s'inquiète pour lui et désirait souffrir loin des siens. Ne pas montrer ses souffrances, son sang, cette blessure !

Oh ! Cruauté.



*26-01-2012 04:05 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Fougères.
26-01-2012 04:05 : Laudine18 vous a frappé Vous avez été sérieusement blessé.

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Bastien_de_louhans
Par le grand cornu, il avait abimé son gantelet ! Et même pas en tapant sur un Breton, mais à cause d'une bête muraille, sur laquelle il avait tapé sans trop réfléchir, il fallait l'avouer. Mais ça défoule. Kehl avait déjà rengainé et l'entrainait vers le camp retranché. Visiblement, lui, tant qu'il y avait de la soupe, ça lui suffisait. Tssst. Le fidèle écuyer avait connu trop de batailles, son sang ne battait plus assez fort.

Tiens mais... Il me dit quelque chose ce soldat. Ne serait-ce pas le jeune Leostilla ? Quel était son nom déjà ? Octave, ou quelque chose comme ça. Difficile de le reconnaître avec sa démarche chaloupée. Bastien se porta à sa hauteur, pour voir s'il pouvait être utile.


Tout va bien jeune homme ? Vous ne marchez pas très droit. Un coup a déformé votre armure ?

Puis le seigneur de Tossiat aperçoit la blessure. Oh... Corne de bouc !

Mon écuyer va vous fabriquer un brancard et on vous portera au camp. Vous n'irez pas loin, dans l'état où vous êtes. Il doit bien y avoir un physicien dans toute cette bande. Il va vous remettre sur pied.
Le Dieu des batailles vous a mis à l'épreuve, nous avons si peu de blessés. D'un autre côté, avoir une infirmerie presque pour soi tout seul, n'est-ce pas réjouissant ?


Au contraire, c'était certainement encore plus lugubre. Enfin bon, au moins on avait un lit par personne. Bon il fait quoi ce brancard ?!

Kehl ! Un brancard ! Presto !

Et quand leur chef de lance se découpa dans la clarté, à quelques distances, Bastien le héla aussi. Si Dieu avait inventé les chefs, c'était bien pour qu'ils décident de quoi faire quand ça n'allait pas.

Sire Gamalinas ! Notre jeune compagnon a un problème !

édition pour faute de lecture
Shaeline


La nuit était sans lune. Des brumes recouvraient les voies lactées d'un espace inconnu et sombre. Shaeline aimait la nuit et observer les milliards d'étoiles qui scintillaient dans le ciel. Selon son père, chacune des étoiles était une âme capturée par Odin et était là pour veiller sur les guerriers valeureux.

Octave dormait déjà depuis un bon moment, exténué. La jeune pirate fixait ce ciel vide et ressentait un vague à l'âme intense. Une couverture recouvrait son corps nu. Si elle tournait son visage vers l'horizon, l'un était d'une noirceur terrible, l'autre portait les flambeaux des gardes de la milice de Felger.

Etaient ils inquiet pour leur ville ? Ces hommes défendaient ardemment et pourtant tombaient les uns après les autres. Combien encore ? Elle se leva, laissant son ange dormir. Sans un bruit, elle enfila ses braies, sa chemise et ses chausses. Sa panoplie n'était guère plus riche que cela. Elle se souvenait des conquêtes qu'elle avait accompli avec l'Enclume, ces trésors qu'elle avait tenu entre ses mains et que son père distribuait grâcieusement aux peuples pillés par les marchandeurs maritimes. Ils en avaient libéré des esclaves ! Ils avaient vu des misères plus monstrueuses qu'elle n'en verrait jamais. Son père n'était pas seulement un pirate. Il était un homme bon et généreux.

Des souvenirs, comme si la mort demain fonderait sur elle et que sa vie disparaitrait aussi subitement qu'elle l'avait ôté le jour même à cet inconnu. Survie. Elle marcha dans le campement. Des rondes étaient effectuées par certains. Elle dévisagea un des gardiens de leur sommeil et le salua, sans connaitre son nom.

Bonsoir ... Rien à signaler ? Ils n'oseraient pas sortir de leurs murs pour nous prendre en traite ...

Tout en marchant, elle marcha sur quelque chose de dur sur le sol. Elle s'abaissa et palpa l'objet. Un bâton ! Elle l'emporta avec elle. Venant de briser le sien, elle ne cracherait pas sur un autre moyen d'attaquer, autre que sa dague. Il fut alors temps pour elle de rejoindre leur couche de fortune et salua le garde sur le retour.

Bonne nuit, que les dieux vous gardent.

Elle savait que beaucoup de ces hommes portaient la croix d'Aristote sous leurs mailles mais refuseraient ils toute bénédiction quelle qu'elle soit ? Elle sourit et se coucha.

Une nouvelle aube ne tarda pas à venir. Embrassant son amour encore une fois, elle se prépara à partir à l'assaut des murs de la ville. Cette fois, il fallait forcer les portes. Cela prendrait du temps et elle n'y survivrait peut-être pas. Ce qui lui importait était de le garder en vie. Elle l'avait sauvé deux fois. Elle le sauverait encore. Alors ils se ruèrent tous, autant qu'ils étaient, vers les miroirs de glace provoqués par la neige encore présente dans la plaine.

Devant le nombre, les combats firent rage de tout côté. Aux prises avec plusieurs défenseurs, Shae hurla de rage de ne pouvoir se ruer vers l'agresseur d'Octave. Quand elle put se dégager, elle se précipita le rejoindre, l'aidant à rejoindre le campement. Il était blessé. Demain, elle le vengerait de toute sa fureur !

Rapidement, elle nettoya sa blessure comme elle l'avait fait il y a plusieurs semaines déjà.

Ca va aller mon amour. Tiens bon. Je vais prendre soin de toi. Repose toi ...

Des plantes, de l'alcool, un bandage de fortune. Heureusement qu'elle avait gardé sur elle les plantes séchées qu'on trouvait en forêt, ainsi que quelques morceaux de tissus et le reste d'une bouteille de rhum. Quand il fut endormi, elle en but une gorgée, restant là à le regarder. Le ciel serait il encore voilé cette nuit, présageant d'une mauvaise journée encore ?


26-01-2012 04:05 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Fougères.

Le garde peut être n'importe qui, si vous souhaitez me répondre, allez y !!!
Nous sommes un groupe, un peu d'interaction que diable !

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Gamalinas
Herr Professor était là, le sire de Tossiat arrivait avec maistre Khel, la dame d'Octave n'était pas loin, le chien gambadait, mais toujours pas d'Ocatve. La chose devenait inquiétante. L'écuyer de Louhans revenait pour repartir, étrange. Au loin le reste du groupe s'attardait. Mais la nouvelle tomba de la bouche de Bastien.

-Un problème ?! pfffff

Il descendit de cheval et vint rejoindre le brancard. Son amie avait déjà procuré quelques soins.

-Et bien messire Ocatve, que s'est il passé ? Un coup à la jambe ?


Gamalinas regarda entre les bandages.

-C'est bien, ça saigne peu et en plus c'est propre. C'est vous qui avez lavé ?
Il regarda la dame, sans toute fois attendre sa réponse.

-C'est une bonne initiative, règle première de l'école de Bologne. Ne jamais laisser de chose sale sur les blessures. Par contre il faut refermer la chose. Je doute qu'on trouve de grosse fourmis ici. Il va falloir recoudre. Je reviens.

Après s'être lavé les mains, pris un crin de cheval enfilé dans une aiguille, il revint vers le blessé.


-Messire Octave il faudra penser à ne plus marcher pendant environ 5 jours.

Le moustachu ressembla les deux bords de la plaie.

-C'est plutôt petit, on va vite finir.

Piquant la peau, le couturier commença son oeuvre.

-ça fait moins mal que le coup, c'est déjà ça.

Après deux points, le tour fut joué. Rien de grave ce qui soulageait tout le monde.


-Voila, nous allons garder ces herbes et remettre le bandage. Comme ça tout ira bien.


Le pire était évité.
Elven
[Remparts de Felger]



Voilà quelques semaines qu'il était de retour en Bretagne après une campagne de six mois en France qu'il devait ressortir la cotte de maille et sa fidèle épée tueuse de francois.
Sur les remparts Elven attendait patiemment l'arrivée des chiens galeux.
Ceux qui se félicitaient quelques mois plutôt de pourchasser les félons berrichons, guyennois, ponantais étaient devenus à leur tour des félons pour la vache limousine.
Pour la peine il avait presque du respect pour les hommes qui se tenaient en face mais ils avaient décidés de s'attaquer à la Bretagne alors pas de quartiers.

Apercevant au loin le campement de l'armée Elven eut une pensée à tous ses compagnons d'armes, tous ses volontaires civils qui s'étaient engagés sous la bannière du Vicomte de Lannion, son ami de toujours. Pour sûr qu'il aurait voulu être là, de même que tant d'autres qui avaient survécu aux longs mois de guerre, mais seuls les fougerais se battaient pour le moment.

Le premier assaut fut donné par la Memento, armée qu'il avait certainement combattu en Berry, Touraine ou ailleurs.

Le combat fut de courte durée. À peine avaient-ils tenté de passer les remparts que les françois fuyaient.
Déçu de ce premier combat qui n'était certainement pas le dernier, il héla son dévoué palefrenier.


Yan! J'ai monté les remparts pour rien, même pas eu le temps d'éviscérer un seul des hommes de Namay!


Enervé par le manque de combat.


Ils ont fuit à toutes jambes, enfin pour ceux qui savent courir, il y avait même des enfants avec eux!
Au prochain assaut ça sera quoi, des gourgandines engrossées!

C'est devenu n'importe quoi! L'ost et les Trente, ils se prélassent? C'est que j'aimerai bien leur donner la chasse moi.

Va me chercher du Lambig en attendant le retour de ces mécréants, enfin s'ils osent revenir!
Douchka
[Remparts de Felger]

Douchka était là au milieu des Fougerais et Fougeraises venus en nombre défendre leur ville.

Elle se tenait droite, l'épée à la ceinture, la main sur le pommeau, prête!

Elle regardait le camp et les fourmis s'agglutiner, prêtes à en découdre.


Mes amis, il est des soirs qui agglutinent les nuages noirs pour annoncer l'orage mais regardez les ces nuages, ils n'annoncent pas la foudre mais une pluie de rosée pour nous mettre en forme et réveiller nos sens.

Elle prit une inspiration profonde, les voyant approcher, elle sortit l'épée de son fourreau.

Felger l'imprenable ! Hurla-t-elle comme pour leur ancrer dans le crane

Ils étaient là, grimpaient, glissaient de leurs échelles, puis voyant le nombre face à eux, s'en retournaient en prenant leurs jambes à leur cou.


D'un coup d'épée elle atteint le séant d'une demoiselle qui prenait déjà la fuite, tranchant la peau comme pour en faire un fin morceau de viande à griller.

Mais revenez donc, nous commencions juste à nous amuser !

Elle partit d'un éclat de rire, tenant ses plus proches compagnons par les épaules.

A un match de soule on dirait Fougères 1 Assaillants O



26-01-2012 04:05 : Vous avez frappé Lysithee.. Ce coup l'a blessé superficiellement.

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Namaycush
J’ai demandé à la France…


Ce n’est pas une armée qui franchit les frontières de Bretagne, c’est « Memento Mori » qui veut le prix du sang des siens.

Ce n’est pas un homme qui la commande, c’est un Fléau de couleur « Carmin ! » qui ne reconnaît comme unique maîtresse sa conviction.

Pour que paix se signe, Reine de France voulait tenir le glaive par le manche. Carmin voulait capitulation. Ces deux-là finirent par s’entendre et Reine de France donna laissez-passer permanent à Capitaine de Talus en Domaine Royal. Nul autre assez fou, n’accepterait de relever défi aussi insensé que de battre le fer chez Bretons réputés pour taper à vingt contre un. L’idée rejoignait la conviction et le fol gascon battit le rappel de ses amis.

Nebisa se révélait tout aussi folâtre que volage, virevoltant casaque…



Si elle voulait encore de Moi….…


Frontières se franchissaient, Domaine royal s’éloignait et sourire en carnasse se dessina lorsque l’armée rouge franchit une borne d’ère romaine….sur laquelle se gravait : « Aremorica ».
Geste ample du bras indiqua sans hésitation que armée désormais franche, ne serait en rien lié à tout interdit. Bretagne refusait pas d’armes, Namay refusait le déni et présentait l’ardoise jamais sortie quand il pleuvait.


Mais la France a répondu, Je n’ai pas l’habitude de m’occuper des cas comme ça…


Interdits de toutes parts bientôt plurent, Bretagne, Royaume, Empire, Eglise… contre une simple armée franche, une armée d’antan avec avant et arrière garde. Peut-être une force rassemblée dont l’on n’avait plus l’habitude…


Pourtant je lui ai montré mes brûlures……


Fougères se présenta enfin, assaut se capitonna en faveur de la muraille épaisse de pierre aussi dure que tête bretonne. Tout au plus… rien de grave pour vieux Capitaine qui en a vu tant et tant pire…

En aube, pourtant, assaut de trois armées bretonnes, si stratège ils ont, leur arrivera sur la tête, le dos ou… les fesses !

Tous rassemblés ils sont beaux… ils sont fiers….


A Vous, mes frères !

Nobles d’Empire comme de France, Italiens, gueux, conseillers ducaux ! Malgré l’orage, je vous vois tous là, présents, unis comme un seul homme.

Je m’incline devant vous ! Que tout soldat, de n’importe quel bord qu’il soit, prenne exemple de votre attitude, de votre fidélité et plus que tout, de votre conviction ! Parce que, pour me suivre, il vous en fallait des couilles !

Le combat qui nous attend, si nos amis d’Armorique ne sont pas stupides, est un combat d’infanterie. Cela tombe très bien, j’en suis issu !
sourire sincère depuis longtemps pas revu sur visage aux pattes d’oie accentuées… lame tirée vers le ciel…

A Vous hommes d’armes comme parfois de larmes, … A moi et à vos rangs !

Serein et confiant devant l’adversité, il reprit le refrain des impériaux d’un ton crescendo…

La bonne reyne Nebisa a mis sa houppelande de versa.
Le bon saint Etienne lui dit : ô ma reyne, votre majesté est mal enrobée.
C'est faux lui dit la reyne, à toi de retourner la tienne.


Souvent, trop souvent, il regardait vers le Ciel en ces périodes de trouble et sans cesse, il le remerciait de l’avoir fait homme d’honneur, ce qui lui permettait, au-travers des chocs qui ensanglantaient son existence de goûter à quelques instants de détente, de paix et de sérénité, à l’antipode de l’action en cours….


libre interprétation de : J'ai demandé à la lune d'Indochine

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