Alzin
Fou. C'est fou ce que le temps passe vite en si agréable compagnie. Puisqu'il commençait à les aimer. Surtout le vieil édenté en fait. C'est le genre de mec qui a été payé par un membre du conseil comtal pour faire rire un peu tout le monde. Déverser le fiel que lui dicte son maitre à l'oreille de qui veut l'entendre. Pour l'instant pas grand monde. Puis faut dire qu'il divertit avec une qualité quelque peu discutable. Et c'est l'arrivée de la belle blonde, sa "douce rose", sa muse qui l'amuse avec talent et ruse. Heureusement qu'il ne le dit pas à haute voix. Elle risque d'apprécier...ou non la louve. Et là, le pompom comme on dit. L'édenté revient à la charge avec les "fausses" annonces du Comte Néo le remué et l'égocentrique chancelière Toulousaine. Oui, parce que le style de la première annonce ressemble à tout sauf aux écrits du comte. Chose qu'a évoqué dans une réponse sanglante notre homme. Parce que lui, ne se cache pas. Et l'autre qui divague à citer Logann alors qu'il n'avait rien à faire dans cette histoire. C'est fou donc - nous y revenons - ce que les "gentils" sont prompts à faire des amalgames. Alors pourquoi ne pas appliquer une certaine forme de réciprocité ?
Et là, une servante de noble. Travail dégradant mais il faut bien survivre dans ce monde "cruel". Elle est suivie de près - ou pas, là aussi - par son nouveau "bichon". Il l'aimait bien lui. Tout comme l'Astana d'ailleurs. Les gens qui lui tiennent un peu face en taverne, il apprécie. Enfin, - oui, il est temps d'en finir - vient le tour d'une femme qui semble être un peu contrariée par le fait que sa tête soit mise à prix. A moins que cela soit le montant qui ne lui convient pas.
Du...bon boulot ? Ceci est la sempiternelle ritournelle qui se glisse au creux de mon oreille. S'ils tiennent la comparaison avec leurs voisins, et c'est sans doute le cas. Ils ne font que vider de leurs sangs les honnêtes gens, qui se tuent à la tâche dans leurs champs, à travers de multiples taxes et appels aux dons. Cela me fait penser à une histoire en Tolosa. Une bande de conseillers passant le plus clair de leurs temps à s'auto-congratuler sur leur réussite toute relative en fin de mandat. Ils disaient avoir réussis à combler le déficit béant qu'ils avaient eu même creusés. Ironie du sort. En se servant de la bonté de la populace et en leur mentant. Prétextant que leurs terres se verraient réduites à néant car à l'approche d'une date butoir, cela serait la fin de leur monde. Et les moutons ont accepté avec un consentement affiché, via une ignorance totale, de se faire tondre jusqu'à la moelle. Ils ont même poussé le vice jusqu'à placarder des listes de "généreux" donateurs. En évitant consciencieusement de mettre le montant des sommes données par les concernés. En effet, cela aurait été mauvais genre de voir que l'ex-coms n'avait donné que très peu pour une terre où il possède un fief de retraite. Là, où d'autres ont offert bien plus. D'un point de vue électorale ce n'était pas bon...
Il ne parle pas tant d'habitude. Un soupire, il pique la bouteille de chouchen, la porte à ses lèvres. Puis se souvient qu'il ne doit surtout pas boire. Alors dans un geste d'une nonchalance extrême la repose.
Or, ici. Vous avez la même engeance. Pauvre royaume de France. Aussi, nous prenons sur Nous afin de vous en délivrer.
Morgana... Morgana... Regarde sa liste de femmes conquises. Hum, non. Celle pour le marché, non plus. Ah ! Les têtes misent à prix. Est-il sot ? - Le premier qui dit oui, hinhin. Comme dirait sa Blondeur. -
500 écus, j'ai été généreux. A voir ta tête, la conseillère, tu n'en vaux pas la moitié.
Un nouveau bref coup d'il sur les noms pré-cités. Un vers la femme se tenant en face de lui.
Une porte parole, donc. T'as du temps à tuer. Va donc me chercher un peu d'eau, femme !
Quoique femme ne me semble pas être le terme le plus approprié. En effet, tu en as bien plus dans les braies que tes homologues. Qui doivent trembler d'effroi dans leur château. Allez, amuses-moi !
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[Avatar provisoire pour le RP "la folie des grandeurs"...]
Et là, une servante de noble. Travail dégradant mais il faut bien survivre dans ce monde "cruel". Elle est suivie de près - ou pas, là aussi - par son nouveau "bichon". Il l'aimait bien lui. Tout comme l'Astana d'ailleurs. Les gens qui lui tiennent un peu face en taverne, il apprécie. Enfin, - oui, il est temps d'en finir - vient le tour d'une femme qui semble être un peu contrariée par le fait que sa tête soit mise à prix. A moins que cela soit le montant qui ne lui convient pas.
Du...bon boulot ? Ceci est la sempiternelle ritournelle qui se glisse au creux de mon oreille. S'ils tiennent la comparaison avec leurs voisins, et c'est sans doute le cas. Ils ne font que vider de leurs sangs les honnêtes gens, qui se tuent à la tâche dans leurs champs, à travers de multiples taxes et appels aux dons. Cela me fait penser à une histoire en Tolosa. Une bande de conseillers passant le plus clair de leurs temps à s'auto-congratuler sur leur réussite toute relative en fin de mandat. Ils disaient avoir réussis à combler le déficit béant qu'ils avaient eu même creusés. Ironie du sort. En se servant de la bonté de la populace et en leur mentant. Prétextant que leurs terres se verraient réduites à néant car à l'approche d'une date butoir, cela serait la fin de leur monde. Et les moutons ont accepté avec un consentement affiché, via une ignorance totale, de se faire tondre jusqu'à la moelle. Ils ont même poussé le vice jusqu'à placarder des listes de "généreux" donateurs. En évitant consciencieusement de mettre le montant des sommes données par les concernés. En effet, cela aurait été mauvais genre de voir que l'ex-coms n'avait donné que très peu pour une terre où il possède un fief de retraite. Là, où d'autres ont offert bien plus. D'un point de vue électorale ce n'était pas bon...
Il ne parle pas tant d'habitude. Un soupire, il pique la bouteille de chouchen, la porte à ses lèvres. Puis se souvient qu'il ne doit surtout pas boire. Alors dans un geste d'une nonchalance extrême la repose.
Or, ici. Vous avez la même engeance. Pauvre royaume de France. Aussi, nous prenons sur Nous afin de vous en délivrer.
Morgana... Morgana... Regarde sa liste de femmes conquises. Hum, non. Celle pour le marché, non plus. Ah ! Les têtes misent à prix. Est-il sot ? - Le premier qui dit oui, hinhin. Comme dirait sa Blondeur. -
500 écus, j'ai été généreux. A voir ta tête, la conseillère, tu n'en vaux pas la moitié.
Un nouveau bref coup d'il sur les noms pré-cités. Un vers la femme se tenant en face de lui.
Une porte parole, donc. T'as du temps à tuer. Va donc me chercher un peu d'eau, femme !
Quoique femme ne me semble pas être le terme le plus approprié. En effet, tu en as bien plus dans les braies que tes homologues. Qui doivent trembler d'effroi dans leur château. Allez, amuses-moi !
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