Napo76
Un garde moqueur, envoyé par Ylalang, avait annoncé à Napo que sa nounou était dans les parages, à ce qu'il paraissait.
Étonné que sa vieille nourrice ne soit pas morte depuis le temps, il errait de ci de là dans les couloirs de la chapelle, à la recherche d'une femme voutée et bêlant quelques mots qui l'auraient concerné. Que faisait-elle donc ici ?
Il aperçut de loin Marie et comprit les mots désobligeants du rustre. Soupirant déjà aux pleurs dont celle-ci allait l'arroser, arguant qu'on ne devait pas la laisser seule et sans défense dans cet endroit empli d'hommes aux pensées inconvenantes et pleines de luxure, il préféra l'éviter et aller chercher Yla. Qu'elle s'en occupe, après tout elle la connaissait aussi et ce garde s'affirmait envoyé par elle.
Entrant sans crier gare chez "Sylvestre" (quel nom ridicule, cela faisait penser à un minet célèbre), il allait commencer à annoncer qu'une pucelette dans les parages avait besoin d'aide lorsqu'il s'interrompit, regardant la scène d'un il étonné d'abord, sarcastique ensuite.
Ah qu'il était loin le temps où cette même infâme personne avait découvert deux conseillers ducaux très occupés dans une salle réputée tranquille (ben tiens) du château de Reims.
Un grand sourire accroché à ses oreilles (ça prouve qu'il était grand, ce sourire), il lâcha un bref : Tatata, ne me retenez pas en disant que ce n'est pas ce que je crois, je n'ai rien vu.
Hum, à la réflexion, si je ne contacte pas un certain rédacteur de torchon réputé, je serai témoin du mariage ?
La scène n'avait duré que quelques secondes, trop peu de temps pour qu'on puisse réellement le qualifier de gêneur. Aussi il se préparait à sortir aussi rapidement qu'il était intervenu.
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Étonné que sa vieille nourrice ne soit pas morte depuis le temps, il errait de ci de là dans les couloirs de la chapelle, à la recherche d'une femme voutée et bêlant quelques mots qui l'auraient concerné. Que faisait-elle donc ici ?
Il aperçut de loin Marie et comprit les mots désobligeants du rustre. Soupirant déjà aux pleurs dont celle-ci allait l'arroser, arguant qu'on ne devait pas la laisser seule et sans défense dans cet endroit empli d'hommes aux pensées inconvenantes et pleines de luxure, il préféra l'éviter et aller chercher Yla. Qu'elle s'en occupe, après tout elle la connaissait aussi et ce garde s'affirmait envoyé par elle.
Entrant sans crier gare chez "Sylvestre" (quel nom ridicule, cela faisait penser à un minet célèbre), il allait commencer à annoncer qu'une pucelette dans les parages avait besoin d'aide lorsqu'il s'interrompit, regardant la scène d'un il étonné d'abord, sarcastique ensuite.
Ah qu'il était loin le temps où cette même infâme personne avait découvert deux conseillers ducaux très occupés dans une salle réputée tranquille (ben tiens) du château de Reims.
Un grand sourire accroché à ses oreilles (ça prouve qu'il était grand, ce sourire), il lâcha un bref : Tatata, ne me retenez pas en disant que ce n'est pas ce que je crois, je n'ai rien vu.
Hum, à la réflexion, si je ne contacte pas un certain rédacteur de torchon réputé, je serai témoin du mariage ?
La scène n'avait duré que quelques secondes, trop peu de temps pour qu'on puisse réellement le qualifier de gêneur. Aussi il se préparait à sortir aussi rapidement qu'il était intervenu.
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