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[RP]Chez Saffig,3sentier du chat,+ forge 5route des barbares

Saffig
Saffig s'agitait dans son sommeil. Elle voyait sa mère en songe, elle la suppliait de rester près d'elle et de la soigner..

Mamma.. Mamma..

On pouvait entendre ce gémissement s'échapper de ses lèvres.

Elle reprit conscience finalement, pour ainsi dire.. La silhouette trouble de son frère lui apparu lorsqu'elle ouvrit les yeux. Mais pas seulement lui. Il lui semblait de voir des ombres qui s'abattaient sur le lit, qui attaquaient Dino qui lui restait impassible, et pour cause, puisque ce n'était que fruit du délire fiévreux de Saff.


Dino... non... laissez-le...

Elle cherchait son épée par de gestes vagues.
Soudain une silhouette connue... Saffig se redressa soudain, les mains tendues..


Ce... Cerise... Que...

Non.. Cela ne pouvait être.. Cerise était morte depuis bien longtemps maintenant.. Elle lui tendait la main.

Non... Cerise non... Je... Mieli...

Ce n'était que les quelques mots qui sortaient de ses lèvres alors qu'elle s'imaginait un discours bien plus complet, dans lequel elle disait à Cerise qu'elle ne pouvait pas la rejoindre, qu'elle aimait Mielikki, que rien ne pourrait y changer..

La silhouette de Cerise s'estompa peu à peu, et la figure de sa bien-aimée s'imposa dans l'esprit de Saffig, l'aidant à résister à la fièvre qui menaçait de l'emporter. À moins que ce ne soit les vapeurs de l'infusion préparée par Dino..

Elle s'accrocha à lui, confuse..


Dino.. Dino me laisse pas..
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Isabelle
Isabelle avait appris en taverne que Saffig était malade, elle prépara donc un bon bouillon de poule qu' elle lui apporta en essayant de ne pas en renverser et de ne pas se brûler. Pas si facile que ça avec un molosse qui vous tourne autours, alléché par l'odeur qui s'échappe de la marmite.

Rhaaaaaa mais c'est pas possible sac à puce !...t'as pas un chat a embêter?

comme elle l'avait espérer au mot "chat" Crocdur commença a s'éloigner, reniflant pour trouver la bestiole.
Elle se dépêcha autant qu'elle pût avec la neige qui collait a ses chausses, et les plaques de glace cachées qui transformaient le chemin en patinoire.

Arrivée devant la porte elle toqua maladroitement, les mains prises par la marmite, en espérant que quelqu'un viendrait vite lui ouvrir.
Dinola
il avait veillé toute la nuit durant , épongeant le front de sa soeur chérie qui délirait par moment , il eut très peur de la perdre et pria dans son for intérieur le très haut.Le jour se levait , il secoua Estebaiy qui s'etait endormi près de l'atre ....il prépara le petit déjeuner , lait chaud , miel , miche de pains , fruits jambon , un p'tit dèj de champion , avant d'attauer la journée .En attendant le médicastre....

Il ne pouvait laissé sa soeur ainsi , affaibli , il s'approcha d'elle lui prit la main et lui sourit..

je reste avec toi soeurette , je prend soin de toi
--Aelidis
[Toujours pendant la nuit]

Aelidis avait pris le nécessaire, huiles, plantes, et autres remèdes qu'elle préparait toujours à l'avance. Elle suivit la soeur Jenah qui la conduisait dans la demeure de l'infectée.

Elles arrivèrent, dans la nuit, trouvèrent la malade allitée, un homme à son chevet, Estebaiy tournant en rond, enfin semblant attendre d'être plus utile, restant là au cas où. La médicastre se fit guider jusqu'à la malade à qui elle s'adressa tout de suite. En plein rêve, il convenait de ne pas affoler le malade, ainsi se présenta-t-elle directement.


Bonsoir Saffig, Jenah, une de vos amie m'a parlé de vous, je suis là pour vous aider. Je suis Aelidis, la médicastre, ne vous inquietez pas, j'ai amené de quoi vous soigner, mais il bva falloir rester bien sage. Nous sommes d'accord, vous me laisserez faire?

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Estebaiy
Estebaiy se réveilla, il savait qu'il avait dormis à peine deux heures mais deux heures de trop, il était fatigué, avec la semaine qu'il avait passé ça ne l'aidait pas.

Ho dino, t'aurais pas du me laisser dormir.... j'ai passé une partie de la nuit à m'occupé d'elle. Je suis lâche d'avoir dormis ce temps...

Il a vu qu'il avait préparé le petit déjeuner mais n'avait pas la tête à manger.

Merci dino, je le mangerai.

Il regarda s'affire, puis regarda la médicastre tourna un peu en rond, il n'aimait pas ne pas être utile.

Puis, pour ne pas les stresser et les déranger, il préféra s'assoir et manger, pour ne pas attirer l'attention plus, ce n'est pas lui le malade.

Il mangat avec appétit comme toujours: Dino, tu fais très bien a manger... Je sais que ce n'est pas le temps mais je cherche un cuisinier à mon auberge, va voir l'affiche, ça pourrait t'intéresser.

Ensuite il regarda d'un air inquiet Saffig: Est-ce qu'elle va s'en sortir madame? Lui demanda bêtement.
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Saffig
Saffig n'était vraiment consciente que d'une chose. Son jumeau était là, il veillait sur elle. Le reste était trouble, flou.

Une nouvelle silhouette, une dame brune qui s'adressa à elle. Saffig essayait d'écouter, n'entendait pas, ou bien ne comprenait pas tout, les mots résonnaient dans sa tête dans un bruit assourdissant bien que la femme eut en réalité une voix douce et légère..


Bonsoir ..., Jenah, ... amie ... vous,... aider. ... Aelidis, ... médicastre, ... inquietez pas,... soigner, ... falloir ... sage. ... d'accord, ... laisserez faire?

Elle réussit tout de même à comprendre, c'était l'aide que Jenah était allé chercher. Le regard perçant de la médicastre inspirait confiance, et Saffig se sentit soulagée.

Elle jeta un oeil à son frère, puis regarda la dame, clignant des yeux dans un signe d'acceptation, essayant de prononcer quelques mots..


Je... oui... ce qu'il faut..

Et puis un oeil vers Jenah, et vers son frère, quelques mots encore

... écrire... Mielikki... Dino.. prends soin... Anna...

Saffig craignait que sa fille ne rentre cette nuit et ne la trouve dans cet état. Elle lui avait promis de ne pas mourir en bataille, elle savait la jeune fille très inquiète à l'idée de perdre Mieli ou elle. Elle devait lutter, mais si Anna rentrait, elle espérait que son frère détournerait son attention pour pas qu'elle ne panique. Anna rentrait peu, elle était souvent au monastère, heureusement, mais on ne savait jamais.
Et puis, elle n'avait point la force elle-même de tenir une plume pour écrire à Mielikki. Lui dire..

Une seule idée fixe.. Ne pas mourir.. S'accrocher à la vie. D'un nouveau regard vers la médicastre, elle se remit entre ses mains. Sa vie dépendrait d'elle et du Très-Haut.

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Jenah
[ Dans la nuit, bien avancée]

Jenah avait marché le plus vite qu'elle pouvait, bravant ce froid cinglant son visage, qu'elle tentait de protéger par une pièce de tissu. Elle se retournait assez souvent, vérifiant que la médicastre la suivanit, elle n'avait que peu de confiance en cette damoiselle, mais c'était leur unique chance à cette heure de la nuit. La damoiselle médicastre était bien jeune, bien plus jeune que la mère Jenah en tout cas, ce qui n'inspirait pas forcemment confiance, mais au moins de sa jeunesse, elle avançait vite et n'avait pas craint d'être sortie de sa couche pour aller voir une patiente. Jenah lui était donc reconnaissante de cela, bien qu'elle doutait encore de l'aide que celle-ci pourrait apporter, c'est qu'elle s'inquiétait grandement pour Saffig et aurait souhaité le meilleur pour cette amie, qu'elle ne voulait pas perdre ce jour. C'est donc pensive qu'elle arriva enfin à la hauteur de la demeure désirée.

Jenah entra, invitant la médicastre à en faire de même, elle la présenta aux présents et la conduisit rapidemment au chevet de Saffig, où elle l'a laissa faire.

Damoiselle, si vous avez besoin de quoique dcela soit, nous sommes tous à votre service. Et elle s'ecarta un peu, restant là surveillant, attendant consignes et priant pour Saffig.
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--Aelidis
[Dans la nuit]

Aelidis déposa sa main sur le front de la patiente, elle était encore brûlante, semblait ne pas être avec eux puisque son regard était un peu perdu et ses pensées paraissaient embuées. La fièvre était donc bien présente, mais la médicastre ne s'en arrêta pas là, questionnant les présents sans pour autant les inquiéter. L'herboriste pris un ton calme, elle devait donner l'impression d'e^tre sûre d'elle c'est ce qu'on lui avait toujours appris. Le médicastre doit rassurer quoiqu'il puisse se passer.

Qu'a-t-elle mangé dernièrement? Cela fait-il longtemps qu'elle est fiévreuse? A-t-elle eu des convulsions?

Saffig, dites moi? avez vous mal dans vos jambes ou vos bras?
Aelidis recherchait ce qui pouvait être cause de tout cela, le froid avait pu causer des fièvres, mais peut être était-ce plus important encore. Une crise d'epilepsie, ou une crise d'apoplexie seraientt plus graves à traiter. Elle réfléchissait on lui avait parlé d'une perte de connaissance, il ne fallait pas qu'elle se trompe, toutes les herbes ne se valaient pas et si un symptôme pouvait être atténuée par une, un autre pouvait être causé.

On lui répondit qu'elle avait déliré, mais qu'elle n'avait pas convulsé. Pour un délire, il s'agissait de divertir de la tête toutes les mauvaises fumées, il faudrait la frictionner. la jeunette fouilla donc dans sa large besace, à la recherche d'une huile spéciale. Elle laissa glisser sur ses mains quelques gouttes d'huile de violette et en frictionna les tempes de la malade.

Vous allez voir, cela devrait calmer ses délires, pour la fièvre, il faudra autre chose. Il me faudrait une autre couverture, celle-ci est humide maintenant, hors saffig doit rester bien couverte. Vous pourriez m'en trouver?

Dit-elle, s'adressant à qui voudrait bien le faire, tandis qu'elle frictionnait les tempes de Saffig. Il faudrait ensuite pour abaisser la fièvre employer des fomentations chaudes de feuilles de laurier. La médicastre demanda alors autre chose.

Il me faudrait également un tissu, une serviette, ainsi que de l'eau chaude.
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Estebaiy
Estebaiy avait compris la médicastre. Il se demandait si tout était normal ou grave mais ne préférait ne pas poser de question et de faire ce qu'elle demande. Il alla chercher une couverture propre, un bout de tissu trouver juste à coté et un linge dans la cuisine pour nettoyer la vaisselle.

Tenez madame Aelidis.

Puis prend un peu d'eau dans un chaudron qui fait réchauffer au-dessus du feu. Avant que l'eau soit trop bouillant il enlève le chaudron puis en prend dans un bol.


je vous ai fait chauffer votre eau, j'espère qu'elle sera correct. Dites-moi, est-ce grave ce qu'elle a... Elle va s'en sortir n'est-ce pas.


D'une voix inquiète.

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Gotch
Après avoir appris à l'auberge ce qui c'était passé, Gotch décida que, lui aussi il pouvait aider. Il fila chez lui chercher du bois pour chauffer la maison de Dame Saffig. Il trouva un sapin, qu'il coupa en petites branches et partit en direction de Chez elle. Arrivé devant la porte, il toqua. Estebaiy vint ouvrir.

Bonjour, messire. comment se porte dame Saffig? Je lui ai amené un sapin, c'est du bon bois pour chauffer une maison.


Avant qu'Estebaiy ne lui réponde, il rentra, posa les branches de sapin près du fourneau et voulu aller trouver Dame Saffig. Devant la porte de la chambre, la médicastre avait mis un mot : à ne déranger sous aucun prétexte. Gotch se retourna vers Estebayi et compris à son regard qu'il était mieux de ne pas entrer.

Alors, on va faire quoi? rester là à attendre, ne sachant pas si Saffig va arrivé à se réveiller demain matin? On est ces amis, elle est qui cette médicastre pour nous interdire d'être auprès d'elle?

Après s'être insurgé de la sorte, Gotch alla dehors se promener pour se calmer. Il trouva un sac de blé et se mis à frapper dedans pour se calmer. Une demi-heure après, il revint calmé chez Dame Saffig et se posa avec tout le monde dans le salon de cette dernière, à attendre.
Saffig
Il lui semblait vaguement que la médicastre posait des questions sur son état. Elle était quant à elle bien incapable de répondre, peinant à faire la différence entre ce qui était réel et ce qui relevait de ses délires.

Mal.. est-ce qu'elle avait mal.. Des courbatures du à la fièvres mais rien de plus.. Signe vague à la médicastre..

Et puis enfin, elle sent les mains fraîches sur ses tempes, et de douces odeurs de violette qui lui parviennent.


Mi...Mieli?

Peu à peu les brumes du délire se calment.. Les images deviennent moins floues.. Non.. Ce n'est pas Mieli. Elle se sent mieux.

Le bruit de la porte de la chambre qui s'ouvre. Saffig tourne le regard. C'est sa fille, qui la voyant, se précipite vers elle


Mamma!

Anna, non..

Saffig proteste d'une voix faible, mais Dino a compris. Il se lève et intercepte sa nièce au passage.

Viens Anna, ta mère doit rester tranquille. La médicastre s'occupe d'elle, tout va bien se passer, je t'accompagne dans ta chambre.

Il essaye de paraître sûr de lui mais sa voix tremble un peu, il est inquiet pour sa soeur.

Il disparaîssent tous les deux par la porte.

Et puis par cette porte arrive quelqu'un d'autre, Estebaiy. Il apporte ce que la médicastre a demandé.
Saffig en serait émue, si elle parvenait à avoir conscience de tout ce qui se passe. Mais d'avoir vu Anna, ou plutôt qu'Anna la voit comme ça, ça a été dur.. Elle perd la notion du temps et chaque minute se dilate à l'infini..


J'ai.. courbatures.. fièvre... dos, et épaules.. et nuque...

Quel effort pour prononcer ces quelques mots..
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Estebaiy
Estebaiy qui commençait à se reposer de ses tournés entend frapper et ouvrit. Este n'a eu le temps de dire mots, gotch court dans la maison. Il essai alors d'entre dans la chambre de Saffig, qui venait juste de s'endormir. Este le regarda avec un petit sourire qui voulait tout dire. Il se met à rire voyant la réaction de gotch qui part dehors en grommelant

Environ 30 minutes passent, c'est calme et sans qu'Este ait eu mot à dire, encore, Gotch arriva avec un énorme sapin dans les mains qu'il met dans le feu.

Gooooootch, tu exagère la! La dernière fois tu as failli de mettre le feu à la taverne pffff.

Este courra cherché la hache et coupa le sapin d,une grand coup bien placé et met le petit bout dans le feu.

Bon pour te rendre utile gotch nettoie tout ça, puis prépare un bon repas, une soupe pour saff, peut-être mangera-t-elle.

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Gotch
Après être revenu se poser calmement chez Saffig, Gotch se fit un peu houspillé pour son attitude.

Il est vrai que je me suis un peu emporté tout à l'heure, je m'excuse. Je vais nettoyer les aiguilles de sapin autour du fourneau.

Dès qu'il finit sa phrase, il s'exécuta, sous le regard de l'assemblée. Puis, quand il eut finit, il retourna voir Estebaiy.


Tu veux que je m'occupe du repas? d'accord, je vais préparer une bonne soupe qui requinquera notre malade. Je ne sais pas où sont les ingrédients chez Saffig et on ne peut décemment pas taper dans le garde-manger d'une souffrante. J'aurai besoin : de lard, de blé, d'eau, de pain et de fromage.

Pour le pain et le fromage j'en ai chez moi. le blé je peux en trouver sur mon chemin, il y a un sac percé un peu plus loin. je ne sais pas à qui il appartient, mais je le lui rembourserai, ne vous faittes pas de soucis. Par contre du lard de cochon, je ne sais pas ou en trouver et de l'eau si quelqu'un peut aller en puiser pour moi, ce serrait gentil.

Si je ne suis pas revenu avant vous, mettez un chaudron rempli d'eau sur le feu, couper les couennes du lard, mais ne les jetez pas, puis mettez cuire le lard dans l'eau. Pour la suite, je serai surement de retour, à tout à l'heure.


A ces mots, Gotch partit non pas en direction de sa maison, mais en direction du sac de blé qu'il avait précédemment boxé.
--Aelidis
[ Au matin ]

Très bien Saffig, ne vous inquietez pas ça ira mieux. Aelidis la félicitait pour sa prise de parole, elle ne la faisait pas simplement parler pour savoir ce qu'il se passait, mais aussi pour qu'elle se concentre et qu'elle reste avec eux. La médicastre savait bien que ce ne devait être simple pour Saffig, mais il fallait l'y encourager. Ainsi lui parla-t-elle de nouveau. Vous avez une jolie fille, quel âge a -t-elle? J'irai parler à votre fille si vous voulez tout à l'heure, envoyons Jenah pour le moment, vous êtes d'accord Saffig? Dame Jenah, vous voulez bien allez les voir? Avant tout il fallait rassurer Saffig, rien ne marcherait sinon, la patiente ne ferait que s'enfoncer dans ses inquiétudes.

Le sieur avait tout porté ainsi la médicastre pourrait prodiguer de nouveaux soins afin de calmer la fièvre.

Merci, messire, aidez moi donc à disposer la couverture. Et celle-ci fut placée sur Saffig, la couvrant bien jusqu'aux pieds, Saffig ne devait pas se refroidir. Oui, ça ira, les fièvres vont retomber, il suffit d'attendre un peu. Répondit-elle à Estebaiy qui avait 'air bien inquiet, mais faisait tout pour se convaincre de la bonne fin de cette histoire, à en croire ses paroles et son regard.

L'herboriste s'éloigna un instant de la malade, fouillant dans sa besace afin d'en ressortir des feuilles de laurier, elle les plongea dans l'eau chaude. L'odeur du feuillage embauma l'air de la pièce, ce qui n'était pas désagréable. Aelidis laissa tout cela macérer un petit moment, puis elle appliqua le tissu apporté dans l'eau chaude. Elle déposa le tissu sur le front de Saffig, ayant d'abord vérifié qu'il ne soit trop brulant. Gardez ça sur vous un moment, vous verrez, cela ira mieux.

Un long moment passa où la médicastre ne faisait que surveiller Saffig, rincer le tissu dans la décoction et recommencer la fomentation. Aelidis était assez contente, la fièvre semblait baisser.

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Jenah
[ Le matin ]

Jenah aquiesça, sortit de la chambre et alla rejoindre le frère et la fille de Saffig, afin de leur raconter ce qu'il s'était passé et surtout de les rassurer avec les paroles de la médicastre. L'herboriste était confiante et cela rassurait tout le monde. La brune continua de plus à prier le Très-Haut pour Saffig.
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