Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4   >   >>

[RP] Concours de poèmes : dites nous "je t'aime" !

Zolena
Citation:
Auriez vous un texte pour moi ?


Oc Dona…

Pas le temps de s’étendre qu’un homme entra et remit son texte sans un mot. Zolena l’observa, bouche bée. Alors comme ça il y avait encore plus sauvage qu’elle ? Peut être cet homme avait raison d’agir et de ne pas parler tout le contraire d’elle qui bavardait toujours et n’avait même pas sortit son parchemin. En même temps elle était une femme, quoi de plus naturel que de bavarder serait ce mentalement avec elle-même.
Dans ces entrefaites, l’homme lâcha quand même son nom et s’en retourna d’où il était venu la laissant de nouveau seule avec la dona.


Hum…alors…mon texte…

Zolena ouvrit son sac, plongea sa main dedans et après une recherche à tâtons en sortit un morceau de parchemin roulé à la va vite.

Voilà, tenez.

Peut être Zolena aurait elle mieux fait de vérifier ce qu’elle lui donnait car d’un coté de la feuille se trouvait une vieille facture, tandis que de l’autre une liste étrange était dressée d’une écriture hâtive :




- beurre
- Pomme de terre
- Poireau […]


Plusieurs autres aliments suivaient et la liste se terminait par :



NE PAS OUBLIER DE PASSER CHEZ LE BOUCHER

_________________
Le_g.
Capuche sur la tête, vêtu de sombre, sans fioriture, il dépose un parchemin, et s'enfuit dans l'aube naissante.
Citation:

A toi, ma sombre reine

Te renverser, en mes bras te prendre
Près de toi, la trahison désapprendre
Mon âme obscure n'est plus à vendre
Gestes tendres, avec toi réapprendre

Ma langue passionnée en toi immiscer
Étreindre ton corps, mielleuse volupté
Désir, passion, plaisir, félicité colorée
Hédoniste exclusif pour ma moitié

Me perdre et glisser en ta profondeur
ton abîme intime, humide splendeur
Un océan de saveurs, mer de bonheur
Ecumeur, rôdeur, savourant l'odeur.

Tu es, Amour, ma douce et sombre reine
De mon coeur tu es l'unique souveraine,
A genoux, je t'implore, ma belle ébène
De vouloir partager mes joies et peines.

G.


Il n'a mit qu'une initiale, et a recopié le poème à sa sombre, le lui laissant sur l'oreiller...
_________________
Ayena
Ayena, qui n'avait rien de surexcitée, hocha la tête au nom que lui donna l'homme, l'ajouta elle même, gênée du regard qu'il lui offrait. Sans doute était-il un peu dérangé, ce Michel. Le pauvre. Elle prierait pour lui.

- Mercè !

Et il s'enfuit avant qu'elle n'ait pu lui dire au revoir. Elle regarda alors la femme qui se trouvait toujours là, haussa les épuales pour notifier qu'elle ne comprenait pas trop ce genre de comportement, et prit la feuille que lui tendait la Donà.

- Ha, parfait. Voyons cela,...

Et elle leva un sourcil : ce texte avait quelques siècles d'avance s'il se voulait poétique. Elle fit une petite moue navrée.

- Il y a mégarde ! Voici une liste de course pour toute déclaration d'amour !

Elle se retenait d'éclater de rire à nouveau lorsqu'un encapuchonné entra, déposa le parchemin et s'enfuit. Décidément...

- Et bonjorn, c'est pour les chiens ?, cria t-elle après le fuyard.
Pff... Et ça vient déposer des poèmes alors que ça n'est même pas courtois avec les autres Dames...

Ayena leva les yeux au ciel. Y'avait plus de politesse et de courtoisie de not' temps...
_________________
Héraldique
Le_g.
Il ne se retourne pas, mais ralentit le pas, lorsque la dame lui parle. Il murmure, d'une voix grave, un peu rauque, chaude et profonde, quelques mots qu'elle entendra, ou pas...

Visiblement, il ne souhaite pas s'attarder plus longuement à découvert, même s'il vient de laisser des mots pour sa douce.


Bonjorn, al reveire...

Et il poursuit se route, prenant soin de ne rien montrer de son visage. L'homme n'est pas du languedoc à son accent... mais parle occitan malgré tout. A croire qu'il est de pas loin, ou qu'il y a vécu longtemps. Il serre les poings, et s'éloigne, ne laissant derrière lui que des effluves d'odeurs des bois, de vêtements de terre et de feuilles mouillées, comme s'il en sortait justement, des bois. Il semble s'y diriger tout droit de nouveau.

Pas de courtoisie, non... Il ne fera pas la conversation à la jeune femme, il n'y en a qu'une qui compte pour lui, une louve...



Bonjour, au revoir...

_________________
Takoda
La rumeur grossissait...Concours de poème en place publique, s'adresser à la tente rose! Voilà ce qui se susurait dans les environs. Le CLE ayant eut là une idée tout à fait charmante en cette saison des amours que d'organiser un concours de rimes, normal que la Maître Troubadour rousse qui résidait depuis peu en Languedoc pointe le bout de son nez...

Takoda emmitouflée dans sa cape s'avança donc vers l'intérieur de la tente où quelle ne fut pas sa surprise se trouvait un visage somme toute familier...D'Alquines, consoeur couturière avait posé ses pénates icelieu et prenait visiblement les parchemins à prose et à rimes...Laissant donc glisser la capuche de sa chevelure de feu, la Fraise attendit patiemment son tour...Et quand enfin il fut venu, elle s'arrêta un instant pour saluer Ayena.


Bonjorn! Quelle surprise de vous trouvez ici...Est ce une idée de votre cru que ce concours, Dame Ayena?

Le parchemin attendrait un peu, un brin de causette était toujours plus agréable que de presser les choses!
_________________
--La_terreure


Un jeune homme dans la prime adolescence ce dirigae vers la tente rose . il y entra

Mon père m'as dis qu'ici était jeu de poésie je voudrais déposé un texte adressé a ma grosse Lucie . c'est un texte de ma plume signé la Terreure c'est ainsi que l'on m'appel

Il remit son parchemin a la femme et attendis qu'elle lui confirme que tout était en règle

Citation:
Peut m'importe que tu soit grosse
que ton père ne veuille pas de moi
toi qui sais tiré ma sauce
a chaque nuit je pense a toi

je me surprend a planifié
comment ce passeras notre rencontre
comment ferais je pour t'humilié
toi ma soumise fille du comte

je t'ai fait marcher dans la boue
tout nue malgré ton ventre moue
et j'ai aimé que tu suplie
que tu t'offre en moi en merci

jusqu'ou irons nos jeux pervers
jusqu'ou mènerai je le vice
les yeux bandé tu sens les vers
que je met sur ta peau et glisse

je ne saurais m'éloigné de toi
par toi je vis tout mes fantasme
et personne ne te touche que moi
qui si risque goute a ma hache

La terreure
Linoa14
Linoa n'avait pu passer à côté de l'annonce qui parlait de la chose qu'elle affectionnait tant : la poèsie...
Rimer pour l'être qu'elle aime, en retour du présent offert par lui ce matin, une rose couleur passion...
Elle tenait en sa main un parchemin écrit fraîchement et le tendit à la dame qui se trouvait icelieu...


Bonsoir dame...pardonnez l'heure tardive à laquelle je me présente, mais je tenais absolument à rendre mon écrit au plus vite...

Elle sortit après une rapide révérence et le coeur battant, courut se réfugier auprès du feu d'une taverne...



Ode à Tristan...

Tu es mon Dieu, mon Soleil
Astre de cette terre,
Oh! vitale merveille
Sans quoi rien ne pourrait naître ni se faire...

Tu es la douce rosée
A laquelle, tous les matins,
Je m'abreuvais, ce petit rien
Cette goutte de rosée,
sans laquelle je ne survivrais...

Sans ta présence à mes côtés
Ma vie serait bien vide,
Triste errance sur ces chemins désolés
Une existence bien insipide...

Dans nos brûlantes étreintes
Se mêlent fougue et passion,
Marquant au fer rouge sur mon corps ton empreinte
Oh! toi objet de mon adoration,
Tu plantes en mon coeur ta dague
Tout comme tu insinue en moi ton ardente flamme...

A chaque vacillement, chacune de ces entailles
Ma chair embrasée te réclame et hurle ton nom,
Tu possédes tout de moi, mon coeur, mon corps et mon âme
Tu en es à jamais le gardien de leur prison...

Tu es le fondement de tous mes espoirs
Toutes ces croyances folles,
Où tout peux changer grâce à un seul homme
Qui illumine votre vie alors plongée dans le noir...

Le jour où je ferais ton malheur
Cela sera sans méchanceté, encore moins prémédité,
Tu n'aurais qu'un mot à dire et je me damnerais
Pour réparer ma faute avec le plus grand bonheur...

En ces jours bienheureux
Où nous chantons les louanges
De ceux que nous aimons
Oh toi mon ange,
Je te dédie ce poème aux mots de feu,
Peut être pas des plus habiles
Mais qui vient de mon coeur, avide d'amour et fragile
Cet écrit indigne de toi
Qui règne sur moi en maître, mon Roi...

Lili...

_________________


Corpo Doloris & Terra Sangre
Zolena
Citation:
- Ha, parfait. Voyons cela,...


La dona fit une tête surprise, désappointée, désolée ? Zolena ne savait mais en tout cas, pas la tête à laquelle elle s’attendait.

Citation:
- Il y a mégarde ! Voici une liste de course pour toute déclaration d'amour !


- Quoi ?!

Zolena ouvrit de grands yeux étonnés qui firent rapidement place à une grimace et à un air gêné.

Oh…effectivement il y a erreur. Attendez s’il vous plaît, mon poème doit avoir glissé au fond de mon havresac…

Les joues légèrement roses, elle se remit à sa recherche de façon plus minutieuse cette fois ci, pendant qu’un autre homme entrait, déposait son texte et repartait comme un voleur.
Qu’elle mouche avait donc piqué les hommes de ce royaume ?


Citation:
- Et bonjorn, c'est pour les chiens ?
Pff... Et ça vient déposer des poèmes alors que ça n'est même pas courtois avec les autres Dames...


Boudiu, tous des rustres… marmonna Zolena en réponse, une main toujours en train de draguer le fond de sac.

Ses recherches restant vaines, une nouvelle arrivante fit son entrée et cette fois, ô surprise ! Ce fut quelqu’un qui daigna prendre 30 secondes sur son précieux temps pour saluer la dame Ayena, la charpentière connaissait son nom désormais.

Adissiatz. La salua poliment Zolena puis sa tête disparut entièrement dans le bagage d’où s’envolèrent une flopée de juron.

Didju dé didju ! Mais où qu’il est ?

La jeune femme commençait à paniquer, elle était si distraite, l’aurait elle laissé sur la table de la cuisine ?
Des gens entraient toujours et le poème lui échappait…

Mais soudain, miraculeusement, ses doigts entrèrent en contact avec la surface satinée d’un vélin.

Je l’ai ! S’écria-t-elle.

Elle vérifia cependant au cas où avant de donner son « bébé » , et quand Ayena le lui prit, elle ne le lâcha pas de bon cœur. Il est si difficile de partager pour la première fois un travail !

J’ai un peu tricher sur la forme, j’espère que ça n’a pas d’importance ?…

Dans sa voix transparaissait l’inquiétude de la maman confiant son petit pour la première fois à une tierce personne.
Zolena tripotait nerveusement sa médaille de baptême et restait là, dansant d’un pied sur l’autre et n’osant s’en aller.





Pour celui qui chez les moines s'en est allé

Mon cœur soupire d’un amour pur
Qui ne connaitra point l’usure.
Puisses tu lire un jour ses mots !
Témoins affligés de mes maux !
Las ! Un baiser dit mieux pour sure
Un aveu à rimer si dure.

A genoux je prie le Très -haut
De rendre mon ami bientôt,
Mais de ma détresse Il n’a cure :
Mon cœur soupire…

Tizou languie à mesure
Que la Foi éloigne ta peau
De mes mains chastes bien trop tôt,
Pour cause qu’à la mienne figure
Tu préféras l’habit de bure.
Je ne trouve plus le repos :
Mon cœur soupire…

Zolena

_________________
Ayena
Ca y est, il y avait foule. Et ce n'était pas sans déplaire à Ayena car les nouveaux participants prenaient au moins le temps de se présenter. Laissant Zolena chercher dans son sac, Ayena accueillit Takoda avec une joie non feinte.

- Bonjorn ! Non, ce n'est pas une idée mienne, elle vient tout droit de la caboche de mestre Kelak... Mais je crois que patienter dans une tente rose ne lui disait trop rien.. C'est donc moi qui m'y colle !

Et de sourire.

- Vous souhaitez participer Takoda ?

Et hop, c'est à un jeune garçon d'entrer et de tendre sa participation.

- Mercé, La Terreure ! J'espère que la grosse Lucie sera ravie de ce texte.

Ayena parcouru en diagonale le texte, se retint de grimacer mais acquiesça.

- Tout est en ordre, je vous inscrit au concours.

Et zou, cette fois c'est le tour d'une femme, que d'Alquines salue d'un signe de tête poli.

- Faites moi donc voir cela !

Elle prend le texte, regarde la signature.

- Parfait Lili, j'espère que vous gagnerez !

Sur ce, la Lili en question partie en fuyant presque sous le regard désabusé d'Ayena qui s'adressa alors à Takoda :

- Je dois faire un peu peur sur les bords, je crois.

En attendant, Zolena avait enfin retrouvé, dans le fin fond des entrailles de son sac, le texte d'amour qui allait concourir. Ayena tendit la main, se demandant, à la mine de la participante, si elle allait réussir à s'emparer du velin.

- Mh... Oui, c'est parfait, Donà Zolena.

Et elle posa le tout sur la pile de poème qui commençait à grandir.

- Je vous offre une petite liqueur, peut être, à vous deux, mesdames Takoda et Zolena ?
_________________
Héraldique
Zolena
Bien evidemment Zolena suivit des yeux son vélin jusqu'à ce qu'il soit bien posé au sommet de la pile.
Voilà, il y était. Elle verrait bien ce que ça donnerait.


Citation:
- Je vous offre une petite liqueur, peut être, à vous deux, mesdames Takoda et Zolena ?


Ayena venait sans le savoir de trouver le point faible de Zolena. Rien de tel pour la détendre.
La jeune femme hocha donc vigoureusement la tête pour approuver l'initiative.


Oui je veux bien merci. Mais rien qu'une tite lichette, je dois prendre la route...

Cette dernière considération la fit changer d'avis avant même qu'Ayena ne sorte sa liqueur. Mieux valait être totalement sobre au rique de chanter à tue tête et de rendre le voyage insuportable pour son accompagnateur ou pire encore, elle risquait de les faire repérer par des brigands.

En fait laissez Dona...il faut que je m'en aille je n'ai que trop bavardé. Merci encore.

Zolena refusant de l'alcool...ça resterait dans les annales. Mais elle allait quitter son comté pour la première fois depuis longtemps alors le sacrifice en valait la peine.
La jeune femme sortit de la tente après avoir salué une dernière fois Ayena et Takoda.

_________________
Raphy
Raph avait entendu parler de l'annonce pour la saint valentin, elle s'en fichait au début, puis ne sachant que faire de ses journées longues, elle se disait "arf après tout hein !!! je n'ai rien a faire soyons fou !"

De ce pas elle prenait une plume et un parchemin puis ce mettait à écrire, sa plume glisser toute seule le long du parchemin, jamais elle n'aurai cru pouvoir écrire quelques chose aussi vite...


"hé bah mon vieux !!! c'est pas parfais mais sa fera l'affaire!"

Elle se rendait la ou ce trouver la dame puis lui remettait en main propre.

"t'nez dame, c'est pas grand chose ! mais bon qui ne tente rien à rien ne sait-on jamais !"

Raph tournait les talons aussi tôt



Je n'ai pas pour habitude,
D'avoir des certitudes,

Et c'est sans regret,
Que je clame que l'amour est un vrai secret,

Qui sait quoi de l'amour ?
A t-il vraiment exister un jour ?

Ceci dit aujourd'hui,
Je n'ai qu'une envie,

Afficher avec joie,
Tout ce bonheur qui sommeil en moi,

De t'avoir à mes coté,
et de pouvoir te couvrir de baiser,

Amour ou pas,
Je ne te laisserai pas,

Car ce qui est essentielle,
C'est que toi et moi on reste éternelle...

_________________
Kelak
Avec beaucoup de retard, kelak arriva enfin au stand de la poésie, il avait eu cette idée d’animation histoire de cibler un peu un autre publique que les ivrognes, mais bon ca n’était pas trop sa tasse de thé, pas plus que les tentes roses d’ailleurs… par contre ce qui l’attirait plus, c’était la liqueur et ô hasard ô merveilleux concours de circonstance, il décida de rendre visite à Dona Ayena précisément au moment ou elle faisait une distribution de ce doux nectar.



Bien le bonjour tout le monde

Kelak loucha vers le tas de parchemin


Hey on dirait que ca commence à ressembler à quelque chose, merci madame tartinne de vous être chargée de cette mission, j’ai bon être le pour ainsi dire seul membre du CLE faut bien que je tente de veiller à ce que chaque languedocien y trouve son compte, je ne peux pas que m’occuper des ivrognes de mon genre…

Kelak qui n’en manquait jamais une


D’ailleurs si parmi les participantes de ce concours,

Kelak éleva la voix pour être bien entendu et fixa quelques instants la belle rouquine

Certaines apprécient tout particulièrement les concours de poèmes ou d’autre variation de la langue Francaise, elle ne pourrait qu’être la bienvenue au CLE pour organiser de façon récurrente ce genre de concours en gargote.

Kelak fit son plus beau sourire

Il entendit ensuite Zol


Citation:
Oui je veux bien merci. Mais rien qu'une tite lichette, je dois prendre la route...


Kelak surenchérit


Hey ca va hein durant les 3° mi temps avec les soul’hards de bézier la route n’a jamais été incompatible avec une énorme lichette

Kelak ricanna
_________________
--Lo_contaire
Et vous pouvez ajouter celui-ci, s'exclama une voix pas tout à fait inconnue en réponse à l'homme bon vivant dont le nouveau venu avait surpris les remarques en arrivant. Son propriétaire, ce nouveau venu, était en fait celui-là même qui avait sévi durant de longs mois dans l'antre des artistes en Languedoc, dispersant à qui voulait bien les entendre ses contes de la région. Le temps était passé, le blond Edmond avait voyagé en Catalogne, mais il était de retour avec la ferme intention de prouver qu'il était également à l'aise avec une plume. Voici le contenu du parchemin qu'il tendit.



Je vous aime

Deux âmes endormies au reflet
D'une lumineuse espérance.
Deux cœurs fatigués,
Perdus en une douce somnolence.

Je vous aime...
Les échos d'une mélodie
Dans un petit coin de paradis.
Je vous aime...

Des yeux effacés sur le rivage
D'un rêve merveilleux.
Des pensées de passage
Sur un chemin tortueux.

Je vous aime...
Les échos d'un paradis
Dans un petit coin de mon esprit.
Je vous aime...

Deux anges abandonnés
A l'ombre d'un feuillage.
Un poète embarqué
Dans leur heureux sillage.

Je vous aime...
Les échos d'un esprit
Dans un petit coin d'infini.
Je vous aime...
Cebyss
Voilà bien longtemps que la brunette n’avait joué de ses maux, chatouillant le vélin de la pointe de sa plume… Elle s’y était essayée une nouvelle fois, pas vraiment convaincue, mais surtout transportée par un doux regard, un tendre sourire… La plume avait glissé, sans vraiment y penser… Il n’y avait que Lui…

Sans relire son méfait de peur de repartir aussitôt en sens inverse, elle roula le vélin et le referma par son habituel petit ruban de soie rouge sombre avant de le déposer timidement près des autres, saluant au passage les nombreuses personnes présentes.



A Toi… Je t'Aime mon Coeur..

Je l’ai cherché ton Nom…
Lui, l’ultime chainon
Qui m’accroche à la vie,
Garant de ma survie.

Tu ouvres le chemin,
Me tenant par la main,
Transcendant mes espoirs,
J’ai la force d’y croire.

Né de cette romance,
Le sentiment immense :
De savoir désormais,
Ce que c’est que d’Aimer …

_________________
Mhayri
La blonde était de retour à son poste, un peu en retrait derrière sa brune maîtresse : elle avait profité d'un afflux de poètes pour s'y glisser le plus discrètement possible, et s'était mise en devoir de la seconder dans sa distribution de boissons, tout en veillant à ce que le poêle continue à fonctionner correctement, même si la chaleur humaine commençait doucement à faire son petit effet.
Elle saluait les arrivants qu'elle n'avait pas encore vus, s'inclinant et souriant de son mieux, tout en restant respectueusement en retrait derrière la maîtresse de cérémonie.

_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)