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[RP] Concours de poèmes : dites nous "je t'aime" !

Takoda
Même si elle ne connaissait pas le dit sieur, loué soit il pour une idée de la sorte...De toute façon dès qu'il s'agissait de rimaille ou autres délires poético écrit, la jeune femme louait qui on voulait! Large sourire à celle qui récupérait les textes.

Participer, oui, je venais apporter ma maigre contribution en effet!

A peine le temps de se mettre à fouiller dans sa besace, que la tente se remplissait...un premier texte, un second, regard à D'Alquines à son évocation terrifiante et le rire cristallin s'en va rejoindre le toit de tissu...

Hé, hé...mais non, ils sont juste impressionables...vous êtes leur premier jury, pas facile de se livrer au vélin!

Elle acquiesca à la proposition de liqueur, trouvant enfin le parchemin qu'elle destinait au concours

Ah et voici pour moi!



Mon autre...trop loin:

Je goûterais toujours à tes lèvres de carmin
Ce suave sentiment qu'est l'amour
Mais tes lèvres sont loin
Et il ne me reste que les souvenirs des beaux jours...

Et sous le saule pleureur
Je t'écris des poèmes galants
Tentant d'oublier cette distance de malheur
D'aller dans ton coeur plus avant

Dans ma caboche enamourée
Laissant ton visage apparaître
Je m'imagine comblée de baisers
J'oublie du manque ce mal être.

Je sentais déjà ta main dans la mienne
M'étais faites à l'idée d'être tienne
Mais la vie nous as séparé
Quand va-t-elle enfin nous rapprocher?

Ce pont abstrait entre toi et moi
Durera tant que la distance nous séparera
Mais mes pas me ramènent vers toi
Comme une évidence, mon amour seras tu encore là?

La tête à l'envers
Je voudrais ne plus regarder derrière
Oublier tout ce qui m'entoure
Ne garder que joie et amour

Car "je t'aime"
C'est vraiment l'essentiel
Les étoiles même
Pourrait en pâlir dans le ciel.


La rouquine ajouta son texte aux précédents en le tendant à Ayena, un soupire venant mourir sur ses lèvres au souvenir de celui qui bien que faisant battre son coeur la laissait perplexe par son silence.
_________________
Motshow
Motshow, rimailleur d'un ancien temps, décida de déposer une des ces dernières inspirations quelque peu maladroite, mais brute de pomme



Toi qui est passé un jour
Et resté par curiosité
Tu ne trouves plus de détour
Cela a donné une belle amitié

La complicité faisant son chemin
Le coeur ouvert, tu m'as ému
Tel était surement là notre destin
De communier nos vertus

Ce sentiment poussant peu à peu
Celui qui donne nos guerres et nos paix
Celui qui donne vie aux guerriers courageux
Et apaise les coeurs satisfaits

Je sens des ailes me pousser
Te suivant te surplombant, une auréole
Ce sentiment, parfois, me troubler
Je le déguste tel une obole

Mon âme grandit
Ma foie s'élève
Mon amour , a nouveau revit
Merci à toi, ma douce Eve.

Motshow

_________________
Ayena
Tout le monde reçu son petit verre de liqueur. Kelak, le vieux filou, était arrivé à temps pour recevoir le sien et semblait aux anges, entouré de femmes : car si quelques hommes passaient furtivement donner leur texte, il partait ensuite comme des fuyards pourchassés par cent soldats en furie. C'était aussi le cas de certaines participantes... Qui donnait le texte en oubliant de donner leur nom. Comme s'il était écrit sur leur front ! Parmi la foule, Ayena, un chouya dépassée, lança à la cantonade :

- Et n'oubliez pas de signez vos déclarations d'amour ! Que le destinataire sache que ça lui est bien destiné !

Elle remercia les autres, songeant qu'avant de lancer les sondages, il lui faudrait lire tout cela et apprécier en avant première les rimes. Et si elle avait le temps, elle ajouterait son propre texte. Mais bon, ça...

- Ha, tu vois Kelak, j'ai eu du succès aussi ! tu vas finir par m'embaucher pour le CLE, à la fin.

L'ambiance était légère et agréable. Sans doute que la perspective de la Saint Valentin rendait tout le monde un peu gaga.

[Quelques temps plus tard : dernière minute pour participer]

Ayena avait fait les comptes : 10 participants. C'était un bon score ! Restait qu'en prenant le temps de tout lire, la jeune femme remarqua que certains parchemins n'étaient point signés, ce qui rendait la situation enquiquinante. Entre ceux qui ne c'étaient pas présentés, Ayena avait repéré Cebyss qui travaillait à ses côté au Conseil Comtal : il y avait donc un mystère de moins. Sinon, il restait deux déclarations non revendiquées : si les gens avaient pris plus de temps pour la saluer, y'aurait pas eu ce genre de problème... Patientant pour voir si certains arriverait au tout dernier moment, Ayena raya ce qu'elle avait elle même écrit un peu plus tôt et s'attela plus sérieusement à la tache. Elle réussit à sortir quelque chose de potable qu'elle signa et posa sur la pile de déclarations d'amour.

Voici les poèmes qui nous ont été portés :

Michel De Carcassonne a écrit:

Je t’ai vue, Attend
Je t’ai connue pour un moment
Je t’ai vue tellement
T’as pris mon corps pour un instant

T’était Tellement
Les larmes chargées de moment
T’était tellement ,comme un moment
Que J’ai craqué plus qu’un instant

Je t’ai Brisé
Serré trop fort, pris de baisés
Je t’ai brisé
De mes baisés, tu m’as quitté sans t’retournée

Je te cherche tout l’temps
Comme un chercheur de firmament
Je te cherche tout l’temps comme un amant
Que t’as quitté en t’enfuient

Je n’pense qu’à toi
Et toi pense tu seulement a moi
Je ne pense qu’à toi
Je n’te trouve pas, Je te cherche à chaque pas


Michel de Carcassonne



G. a écrit:

A toi, ma sombre reine


Te renverser, en mes bras te prendre
Près de toi, la trahison désapprendre
Mon âme obscure n'est plus à vendre
Gestes tendres, avec toi réapprendre

Ma langue passionnée en toi immiscer
Étreindre ton corps, mielleuse volupté
Désir, passion, plaisir, félicité colorée
Hédoniste exclusif pour ma moitié

Me perdre et glisser en ta profondeur
ton abîme intime, humide splendeur
Un océan de saveurs, mer de bonheur
Ecumeur, rôdeur, savourant l'odeur.

Tu es, Amour, ma douce et sombre reine
De mon coeur tu es l'unique souveraine,
A genoux, je t'implore, ma belle ébène
De vouloir partager mes joies et peines.


G.


La terreure a écrit:

Peut m'importe que tu soit grosse
que ton père ne veuille pas de moi
toi qui sais tiré ma sauce
a chaque nuit je pense a toi

je me surprend a planifié
comment ce passeras notre rencontre
comment ferais je pour t'humilié
toi ma soumise fille du comte

je t'ai fait marcher dans la boue
tout nue malgré ton ventre moue
et j'ai aimé que tu suplie
que tu t'offre en moi en merci

jusqu'ou irons nos jeux pervers
jusqu'ou mènerai je le vice
les yeux bandé tu sens les vers
que je met sur ta peau et glisse

je ne saurais m'éloigné de toi
par toi je vis tout mes fantasme
et personne ne te touche que moi
qui si risque goute a ma hache


La terreure


Lili a écrit:

Ode à Tristan...


Tu es mon Dieu, mon Soleil
Astre de cette terre,
Oh! vitale merveille
Sans quoi rien ne pourrait naître ni se faire...

Tu es la douce rosée
A laquelle, tous les matins,
Je m'abreuvais, ce petit rien
Cette goutte de rosée,
sans laquelle je ne survivrais...

Sans ta présence à mes côtés
Ma vie serait bien vide,
Triste errance sur ces chemins désolés
Une existence bien insipide...

Dans nos brûlantes étreintes
Se mêlent fougue et passion,
Marquant au fer rouge sur mon corps ton empreinte
Oh! toi objet de mon adoration,
Tu plantes en mon coeur ta dague
Tout comme tu insinue en moi ton ardente flamme...

A chaque vacillement, chacune de ces entailles
Ma chair embrasée te réclame et hurle ton nom,
Tu possédes tout de moi, mon coeur, mon corps et mon âme
Tu en es à jamais le gardien de leur prison...

Tu es le fondement de tous mes espoirs
Toutes ces croyances folles,
Où tout peux changer grâce à un seul homme
Qui illumine votre vie alors plongée dans le noir...

Le jour où je ferais ton malheur
Cela sera sans méchanceté, encore moins prémédité,
Tu n'aurais qu'un mot à dire et je me damnerais
Pour réparer ma faute avec le plus grand bonheur...

En ces jours bienheureux
Où nous chantons les louanges
De ceux que nous aimons
Oh toi mon ange,
Je te dédie ce poème aux mots de feu,
Peut être pas des plus habiles
Mais qui vient de mon coeur, avide d'amour et fragile
Cet écrit indigne de toi
Qui règne sur moi en maître, mon Roi...


Lili...


Zolena a écrit:

Pour celui qui chez les moines s'en est allé


Mon cœur soupire d’un amour pur
Qui ne connaitra point l’usure.
Puisses tu lire un jour ses mots !
Témoins affligés de mes maux !
Las ! Un baiser dit mieux pour sure
Un aveu à rimer si dure.

A genoux je prie le Très -haut
De rendre mon ami bientôt,
Mais de ma détresse Il n’a cure :
Mon cœur soupire…

Tizou languie à mesure
Que la Foi éloigne ta peau
De mes mains chastes bien trop tôt,
Pour cause qu’à la mienne figure
Tu préféras l’habit de bure.
Je ne trouve plus le repos :
Mon cœur soupire…


Zolena


Une femme inconnue (Raphy) a écrit:

Je n'ai pas pour habitude,
D'avoir des certitudes,

Et c'est sans regret,
Que je clame que l'amour est un vrai secret,

Qui sait quoi de l'amour ?
A t-il vraiment exister un jour ?

Ceci dit aujourd'hui,
Je n'ai qu'une envie,

Afficher avec joie,
Tout ce bonheur qui sommeil en moi,

De t'avoir à mes coté,
et de pouvoir te couvrir de baiser,

Amour ou pas,
Je ne te laisserai pas,

Car ce qui est essentielle,
C'est que toi et moi on reste éternelle...

Une femme inconnue


Un jeune homme inconnu (Lo-contraire) a écrit:

Je vous aime

Deux âmes endormies au reflet
D'une lumineuse espérance.
Deux cœurs fatigués,
Perdus en une douce somnolence.

Je vous aime...
Les échos d'une mélodie
Dans un petit coin de paradis.
Je vous aime...

Des yeux effacés sur le rivage
D'un rêve merveilleux.
Des pensées de passage
Sur un chemin tortueux.

Je vous aime...
Les échos d'un paradis
Dans un petit coin de mon esprit.
Je vous aime...

Deux anges abandonnés
A l'ombre d'un feuillage.
Un poète embarqué
Dans leur heureux sillage.

Je vous aime...
Les échos d'un esprit
Dans un petit coin d'infini.
Je vous aime...

Un jeune homme inconnu


Cebyss a écrit:

A Toi… Je t'Aime mon Coeur..


Je l’ai cherché ton Nom…
Lui, l’ultime chainon
Qui m’accroche à la vie,
Garant de ma survie.

Tu ouvres le chemin,
Me tenant par la main,
Transcendant mes espoirs,
J’ai la force d’y croire.

Né de cette romance,
Le sentiment immense :
De savoir désormais,
Ce que c’est que d’Aimer …


Cebyss


Takoda a écrit:

Mon autre...trop loin:


Je goûterais toujours à tes lèvres de carmin
Ce suave sentiment qu'est l'amour
Mais tes lèvres sont loin
Et il ne me reste que les souvenirs des beaux jours...

Et sous le saule pleureur
Je t'écris des poèmes galants
Tentant d'oublier cette distance de malheur
D'aller dans ton coeur plus avant

Dans ma caboche enamourée
Laissant ton visage apparaître
Je m'imagine comblée de baisers
J'oublie du manque ce mal être.

Je sentais déjà ta main dans la mienne
M'étais faites à l'idée d'être tienne
Mais la vie nous as séparé
Quand va-t-elle enfin nous rapprocher?

Ce pont abstrait entre toi et moi
Durera tant que la distance nous séparera
Mais mes pas me ramènent vers toi
Comme une évidence, mon amour seras tu encore là?

La tête à l'envers
Je voudrais ne plus regarder derrière
Oublier tout ce qui m'entoure
Ne garder que joie et amour

Car "je t'aime"
C'est vraiment l'essentiel
Les étoiles même
Pourrait en pâlir dans le ciel.


Takoda


Un homme inconnu (Motchow) a écrit:

Toi qui est passé un jour
Et resté par curiosité
Tu ne trouves plus de détour
Cela a donné une belle amitié

La complicité faisant son chemin
Le coeur ouvert, tu m'as ému
Tel était surement là notre destin
De communier nos vertus

Ce sentiment poussant peu à peu
Celui qui donne nos guerres et nos paix
Celui qui donne vie aux guerriers courageux
Et apaise les coeurs satisfaits

Je sens des ailes me pousser
Te suivant te surplombant, une auréole
Ce sentiment, parfois, me troubler
Je le déguste tel une obole

Mon âme grandit
Ma foie s'élève
Mon amour , a nouveau revit
Merci à toi, ma douce Eve.


Un homme inconnu.



Ayena d'Alquines a écrit:

Prière du mariage


A mon hibou et ma réelle inclination,
Je dédis ces mots comme une invitation
A toujours souffler fort sur la flambée ardente
Qui aujourd'hui naissante demain sera brillante.

Je promets assiduité et sincérité,
Je jure fidélité les hivers comme étés,
De porter en mon sein, toute la maternité
Dont je serai capable pour votr' pérénité.

Dévouée à l'amour, à vos moindre soupirs
J'augure de tendres jours soumise à vos désirs.
Cher fiancé, futur époux, fervent mari,

Engagez vous à me tendre en contre partie,
Votre puissante main, les clefs du paradis.
Et aboutir enfin à un mariage qui lie.


A. d'A.

_________________
Héraldique
Christina64
Amour, Amour, Toujours, l'écriteau parcouru, elle se met bien au chaud dans une taverne, sort son nécessaire d'écriture, et laisse ses pensées aller rejoindre ses souvenirs, sa main trace machinalement sur le vélin les mots qui l'assaillent, quelques ratures, elle ajoute une ligne, puis une autre. Elle relit, pense à lui, son coeur bouillonne. Elle finit sa tisane, quelques deniers posés sur la table, elle ajuste sa cape, renfile ses gants et rejoint la tente à la couleur gourmande.
Elle salue d'un signe de tête toutes les personnes présentes et mine de rien, se rapprochant de la Dame et surtout du poêle


Bonjorn Dona
Je suis Christina


De sa main délicate, elle tend son texte


A « La Ruta del Sol », en cet automne troublé
Le charme a opéré, ton armure a cédé
Se rencontrer et jamais se quitter

Mon bas ventre, tu as honoré
Perles rares, reflets de notre amour ont pris vie
Nous comblant d'un bonheur infini

Sous la lame des épées je suis tombée
Mon coeur trahi, mon corps blessé
Ta force mêlée à ta bonté les ont ravivés

Terres d'ici et d'ailleurs nous avons explorées
La mer en furie, nous avons traversée
Ton courage infaillible nous a protégé

A mes côtés toutes ces années
Le temps est apparu sur mes traits
Ton élégance n'a fait que l'ignorer

Tel ce premier jour où nos lèvres se sont mêlées
Chaque matin en secret nos doigts s'entremêlent
Tu croises mon regard enflammé d'où s'échappe un éternel

Je t'aime

Christina


Je l'ai écrit à l'attention de mon compagnon Spartan.
Cela convient-il ?
J'espère ne pas être trop en retard.

_________________

Maman de la jolie Illydra, du charmant Ugo et de l'adorable Roland
Bertold
Décidément, il n'en ferait jamais d'autres, toujours en retard ou à la bourre, et pourtant cela lui plaisait d'écrire, qu'est ce que ça serait dans le cas contraire!
Il y avait foule dans la tente, chacun sirotait son petit verre, un poêle maintenait une bienfaisante chaleur, quelqu'un dans un coin demandait de ne pas oublier de signer, ce qu'il n'avait évidemment pas fait.
Il déroula son parchemin, sortit sa plume et rajouta sa signature, puis se ravisant rajouta une dédicace.






A la princesse qui règne sur mes "possibles", jusqu'à les rendre incroyablement présents



Tu habites dans mes pensées
Et les saupoudres d’insensé.
Les choses changent de visage ;
Ce qui était fou devient sage.
Dans ce que je croyais savoir
Quasiment tout est à revoir
Et j’ai découvert ébahi
Que même mon corps m’a trahi.

J’avais les deux bras d’un manchot
Car je ne savais pas encore
Qu’on pouvait y nicher au chaud,
La femme chérie qu’on adore.
A leur vocation ils vont naitre,
Ce tendre creux où ils embrassent
N’a été créé que pour être
De toute éternité ta place.

J’avais les deux yeux d’un aveugle
Car je ne savais pas encore
Que le regard perçant de l’aigle
Ne voit vraiment que le décor.
L’essentiel est d’être ébloui
Par ton regard aimant de femme
Pour, dans cet éclat inouï
Se perdre jusqu’au fond de l’âme.

J’avais le cœur comme une horloge
Car je ne savais pas encore
Qu’il faut que l’amour le déloge
Sinon, il pompe, mais il dort.
Mais il est fait pour s’emballer,
Puiser aux sources de la vie,
L’abreuver de joies et d’envies,
Pulser des flux où t’emmêler.

J’avais des mots pour toutes choses
Car je ne savais pas encore
Que, quoi qu’on dise d’une rose,
On reste toujours sur le bord.
L’amour fredonne en ritournelles
Mille chansons vers toi, ma belle,
Infinies variations, un thème,
Mais deux mots suffisent : Je t’aime !


Bertold




Un dernier regard à son essai qui n'était déja plus tout à fait le sien, maintenant qu'il avait décidé de le rendre public. il le réenroula et se dirigea vers la table où une femme était en train de rassembler les parchemins. Une autre retardataire était entrain de présenter aussi son texte, il attendit qu'elle eut fini.

Bonjour Dame, et excusez mon retard, je me présente Bertold, originaire de Montpellier. Je n'ai su que ce matin pour votre concours et j'ai décidé de participer aussitôt, mais ma muse ne me fait pas toujours cadeau de sa présence, et les vers ne sont pas venus si vite que j'aurais cru.
je suis encore dans les temps, dites?

Et il lui tendit son parchemin avec son plus beau sourire en espérant qu'elle voudrait bien l'accepter et que l'heure tardive ne la rendrait pas trop intransigeante.
--Ange_gardien
L'Ange Gardien était de passage et déposa alors son écrit pour une étoile... Son étoile...


A toi Belle Etoile qui enflamme mon coeur...

Cette étoile brille de mille feux
Feux d'amour pour nous deux
Et qui embrasent nos coeurs
Coeurs qui se joueront de leurs peurs

Bel espoir que se rejoignent leur vies
Vies qui se glissent avec envies
Y a t il plus beau joyau qu'une étoile ?
Étoile en mon âme tu es du matin au soir...

Soir où mes songes me transportent vers toi
Toi que j'aime et que je protégerait jusque mon dernier souffle
Souffle d'un ange gardien qui veille
Veille dans l'espoir d'une vie d'éternité à deux...

Ton Ange Gardien
Ayena
- Oui, oui, il est encore temps !

Michel De Carcassonne a écrit:

Je t’ai vue, Attend
Je t’ai connue pour un moment
Je t’ai vue tellement
T’as pris mon corps pour un instant

T’était Tellement
Les larmes chargées de moment
T’était tellement ,comme un moment
Que J’ai craqué plus qu’un instant

Je t’ai Brisé
Serré trop fort, pris de baisés
Je t’ai brisé
De mes baisés, tu m’as quitté sans t’retournée

Je te cherche tout l’temps
Comme un chercheur de firmament
Je te cherche tout l’temps comme un amant
Que t’as quitté en t’enfuient

Je n’pense qu’à toi
Et toi pense tu seulement a moi
Je ne pense qu’à toi
Je n’te trouve pas, Je te cherche à chaque pas


Michel de Carcassonne



G. a écrit:

A toi, ma sombre reine


Te renverser, en mes bras te prendre
Près de toi, la trahison désapprendre
Mon âme obscure n'est plus à vendre
Gestes tendres, avec toi réapprendre

Ma langue passionnée en toi immiscer
Étreindre ton corps, mielleuse volupté
Désir, passion, plaisir, félicité colorée
Hédoniste exclusif pour ma moitié

Me perdre et glisser en ta profondeur
ton abîme intime, humide splendeur
Un océan de saveurs, mer de bonheur
Ecumeur, rôdeur, savourant l'odeur.

Tu es, Amour, ma douce et sombre reine
De mon coeur tu es l'unique souveraine,
A genoux, je t'implore, ma belle ébène
De vouloir partager mes joies et peines.


G.


La terreure a écrit:

Peut m'importe que tu soit grosse
que ton père ne veuille pas de moi
toi qui sais tiré ma sauce
a chaque nuit je pense a toi

je me surprend a planifié
comment ce passeras notre rencontre
comment ferais je pour t'humilié
toi ma soumise fille du comte

je t'ai fait marcher dans la boue
tout nue malgré ton ventre moue
et j'ai aimé que tu suplie
que tu t'offre en moi en merci

jusqu'ou irons nos jeux pervers
jusqu'ou mènerai je le vice
les yeux bandé tu sens les vers
que je met sur ta peau et glisse

je ne saurais m'éloigné de toi
par toi je vis tout mes fantasme
et personne ne te touche que moi
qui si risque goute a ma hache


La terreure


Lili a écrit:

Ode à Tristan...


Tu es mon Dieu, mon Soleil
Astre de cette terre,
Oh! vitale merveille
Sans quoi rien ne pourrait naître ni se faire...

Tu es la douce rosée
A laquelle, tous les matins,
Je m'abreuvais, ce petit rien
Cette goutte de rosée,
sans laquelle je ne survivrais...

Sans ta présence à mes côtés
Ma vie serait bien vide,
Triste errance sur ces chemins désolés
Une existence bien insipide...

Dans nos brûlantes étreintes
Se mêlent fougue et passion,
Marquant au fer rouge sur mon corps ton empreinte
Oh! toi objet de mon adoration,
Tu plantes en mon coeur ta dague
Tout comme tu insinue en moi ton ardente flamme...

A chaque vacillement, chacune de ces entailles
Ma chair embrasée te réclame et hurle ton nom,
Tu possédes tout de moi, mon coeur, mon corps et mon âme
Tu en es à jamais le gardien de leur prison...

Tu es le fondement de tous mes espoirs
Toutes ces croyances folles,
Où tout peux changer grâce à un seul homme
Qui illumine votre vie alors plongée dans le noir...

Le jour où je ferais ton malheur
Cela sera sans méchanceté, encore moins prémédité,
Tu n'aurais qu'un mot à dire et je me damnerais
Pour réparer ma faute avec le plus grand bonheur...

En ces jours bienheureux
Où nous chantons les louanges
De ceux que nous aimons
Oh toi mon ange,
Je te dédie ce poème aux mots de feu,
Peut être pas des plus habiles
Mais qui vient de mon coeur, avide d'amour et fragile
Cet écrit indigne de toi
Qui règne sur moi en maître, mon Roi...


Lili...


Zolena a écrit:

Pour celui qui chez les moines s'en est allé


Mon cœur soupire d’un amour pur
Qui ne connaitra point l’usure.
Puisses tu lire un jour ses mots !
Témoins affligés de mes maux !
Las ! Un baiser dit mieux pour sure
Un aveu à rimer si dure.

A genoux je prie le Très -haut
De rendre mon ami bientôt,
Mais de ma détresse Il n’a cure :
Mon cœur soupire…

Tizou languie à mesure
Que la Foi éloigne ta peau
De mes mains chastes bien trop tôt,
Pour cause qu’à la mienne figure
Tu préféras l’habit de bure.
Je ne trouve plus le repos :
Mon cœur soupire…


Zolena


Une femme inconnue (Raphy) a écrit:

Je n'ai pas pour habitude,
D'avoir des certitudes,

Et c'est sans regret,
Que je clame que l'amour est un vrai secret,

Qui sait quoi de l'amour ?
A t-il vraiment exister un jour ?

Ceci dit aujourd'hui,
Je n'ai qu'une envie,

Afficher avec joie,
Tout ce bonheur qui sommeil en moi,

De t'avoir à mes coté,
et de pouvoir te couvrir de baiser,

Amour ou pas,
Je ne te laisserai pas,

Car ce qui est essentielle,
C'est que toi et moi on reste éternelle...

Une femme inconnue


Edmond Lo-contraire a écrit:

Je vous aime

Deux âmes endormies au reflet
D'une lumineuse espérance.
Deux cœurs fatigués,
Perdus en une douce somnolence.

Je vous aime...
Les échos d'une mélodie
Dans un petit coin de paradis.
Je vous aime...

Des yeux effacés sur le rivage
D'un rêve merveilleux.
Des pensées de passage
Sur un chemin tortueux.

Je vous aime...
Les échos d'un paradis
Dans un petit coin de mon esprit.
Je vous aime...

Deux anges abandonnés
A l'ombre d'un feuillage.
Un poète embarqué
Dans leur heureux sillage.

Je vous aime...
Les échos d'un esprit
Dans un petit coin d'infini.
Je vous aime...

Edmond Lo-contraire


Cebyss a écrit:

A Toi… Je t'Aime mon Coeur..


Je l’ai cherché ton Nom…
Lui, l’ultime chainon
Qui m’accroche à la vie,
Garant de ma survie.

Tu ouvres le chemin,
Me tenant par la main,
Transcendant mes espoirs,
J’ai la force d’y croire.

Né de cette romance,
Le sentiment immense :
De savoir désormais,
Ce que c’est que d’Aimer …


Cebyss


Takoda a écrit:

Mon autre...trop loin:


Je goûterais toujours à tes lèvres de carmin
Ce suave sentiment qu'est l'amour
Mais tes lèvres sont loin
Et il ne me reste que les souvenirs des beaux jours...

Et sous le saule pleureur
Je t'écris des poèmes galants
Tentant d'oublier cette distance de malheur
D'aller dans ton coeur plus avant

Dans ma caboche enamourée
Laissant ton visage apparaître
Je m'imagine comblée de baisers
J'oublie du manque ce mal être.

Je sentais déjà ta main dans la mienne
M'étais faites à l'idée d'être tienne
Mais la vie nous as séparé
Quand va-t-elle enfin nous rapprocher?

Ce pont abstrait entre toi et moi
Durera tant que la distance nous séparera
Mais mes pas me ramènent vers toi
Comme une évidence, mon amour seras tu encore là?

La tête à l'envers
Je voudrais ne plus regarder derrière
Oublier tout ce qui m'entoure
Ne garder que joie et amour

Car "je t'aime"
C'est vraiment l'essentiel
Les étoiles même
Pourrait en pâlir dans le ciel.


Takoda


Un homme inconnu (Motchow) a écrit:

Toi qui est passé un jour
Et resté par curiosité
Tu ne trouves plus de détour
Cela a donné une belle amitié

La complicité faisant son chemin
Le coeur ouvert, tu m'as ému
Tel était surement là notre destin
De communier nos vertus

Ce sentiment poussant peu à peu
Celui qui donne nos guerres et nos paix
Celui qui donne vie aux guerriers courageux
Et apaise les coeurs satisfaits

Je sens des ailes me pousser
Te suivant te surplombant, une auréole
Ce sentiment, parfois, me troubler
Je le déguste tel une obole

Mon âme grandit
Ma foie s'élève
Mon amour , a nouveau revit
Merci à toi, ma douce Eve.


Un homme inconnu.



Ayena d'Alquines a écrit:

Prière du mariage


A mon hibou et ma réelle inclination,
Je dédis ces mots comme une invitation
A toujours souffler fort sur la flambée ardente
Qui aujourd'hui naissante demain sera brillante.

Je promets assiduité et sincérité,
Je jure fidélité les hivers comme étés,
De porter en mon sein, toute la maternité
Dont je serai capable pour votr' pérénité.

Dévouée à l'amour, à vos moindre soupirs
J'augure de tendres jours soumise à vos désirs.
Cher fiancé, futur époux, fervent mari,

Engagez vous à me tendre en contre partie,
Votre puissante main, les clefs du paradis.
Et aboutir enfin à un mariage qui lie.


A. d'A.


Christina a écrit:

A « La Ruta del Sol », en cet automne troublé
Le charme a opéré, ton armure a cédé
Se rencontrer et jamais se quitter

Mon bas ventre, tu as honoré
Perles rares, reflets de notre amour ont pris vie
Nous comblant d'un bonheur infini

Sous la lame des épées je suis tombée
Mon coeur trahi, mon corps blessé
Ta force mêlée à ta bonté les ont ravivés

Terres d'ici et d'ailleurs nous avons explorées
La mer en furie, nous avons traversée
Ton courage infaillible nous a protégé

A mes côtés toutes ces années
Le temps est apparu sur mes traits
Ton élégance n'a fait que l'ignorer

Tel ce premier jour où nos lèvres se sont mêlées
Chaque matin en secret nos doigts s'entremêlent
Tu croises mon regard enflammé d'où s'échappe un éternel

Je t'aime

Christina


Bertold a écrit:

A la princesse qui règne sur mes "possibles", jusqu'à les rendre incroyablement présents


Tu habites dans mes pensées
Et les saupoudres d’insensé.
Les choses changent de visage ;
Ce qui était fou devient sage.
Dans ce que je croyais savoir
Quasiment tout est à revoir
Et j’ai découvert ébahi
Que même mon corps m’a trahi.

J’avais les deux bras d’un manchot
Car je ne savais pas encore
Qu’on pouvait y nicher au chaud,
La femme chérie qu’on adore.
A leur vocation ils vont naitre,
Ce tendre creux où ils embrassent
N’a été créé que pour être
De toute éternité ta place.

J’avais les deux yeux d’un aveugle
Car je ne savais pas encore
Que le regard perçant de l’aigle
Ne voit vraiment que le décor.
L’essentiel est d’être ébloui
Par ton regard aimant de femme
Pour, dans cet éclat inouï
Se perdre jusqu’au fond de l’âme.

J’avais le cœur comme une horloge
Car je ne savais pas encore
Qu’il faut que l’amour le déloge
Sinon, il pompe, mais il dort.
Mais il est fait pour s’emballer,
Puiser aux sources de la vie,
L’abreuver de joies et d’envies,
Pulser des flux où t’emmêler.

J’avais des mots pour toutes choses
Car je ne savais pas encore
Que, quoi qu’on dise d’une rose,
On reste toujours sur le bord.
L’amour fredonne en ritournelles
Mille chansons vers toi, ma belle,
Infinies variations, un thème,
Mais deux mots suffisent : Je t’aime !

Bertold


L'Ange gardien a écrit:

A toi Belle Etoile qui enflamme mon coeur...


Cette étoile brille de mille feux
Feux d'amour pour nous deux
Et qui embrasent nos coeurs
Coeurs qui se joueront de leurs peurs

Bel espoir que se rejoignent leur vies
Vies qui se glissent avec envies
Y a t il plus beau joyau qu'une étoile ?
Étoile en mon âme tu es du matin au soir...

Soir où mes songes me transportent vers toi
Toi que j'aime et que je protégerait jusque mon dernier souffle
Souffle d'un ange gardien qui veille
Veille dans l'espoir d'une vie d'éternité à deux...


Ton Ange Gardien


Et le lendemain, les votes furent ouvert. Pour cela, une urne était mise à disposition devant la tente pour entrer le nom ou le titre de l'auteur ou du poème que chacun considérait comme meilleur.



Quelle est la plus belle déclaration d'amour ?

"Je t’ai vue, Attend..." par Michel De Carcassonne
"A toi, ma sombre reine", par G.
"Peut m'importe que tu soit grosse... ", par La Terreure
"Ode à Tristan...", par Lili
"Pour celui qui chez les moines s'en est allé", par Zolena
"Je n'ai pas pour habitude...", par une femme inconnue (Raphy)
"Je vous aime", Edmond Lo-contraire
"A Toi… Je t'Aime mon Coeur..." par Cebyss
"Mon autre...trop loin", par Takoda
"Toi qui est passé un jour ", par un homme inconnu (Motchow)
"Prière du mariage", par Ayena d'Alquines
"A « La Ruta del Sol », en cet automne troublé ", par Christina
"A la princesse qui règne sur mes "possibles", jusqu'à les rendre incroyablement présents ", par Bertold
"A toi Belle Etoile qui enflamme mon coeur... ", par L'ange Gardien



Ironiquement, il y a trop de participants pour que je puisse mettre un sondage au topic... Ca sera donc a jouer rp, zut, hein ?^^ Donc, un vote par personne, évitez les pnj sauf pour ceux qui ont donné leur poème via pnj. Ceux qui n'osent pas dire pour qui ils votent pourront me l'envoyer par mp.
Vous pouvez voter jusqu'à lundi soir minuit.
A vous les studios !
[/quote]
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Héraldique
Bertold
Ca y était, les inscriptions étaient closes et l’organisatrice avait affiché les diverses œuvres.
Quatorze participants, pas moins, c’était un vrai concours.
Impossible de se décider vite, il y avait trop de bonnes choses, il fallait procéder par élimination.

Après un moment il n’en avait plus gardé que trois. Le moine lui plaisait bien, aussi l’ode à Tristan et aussi « je vous aime » , mais il fallait se décider pour un seul.
Relecture et rerelecture, la décision n’était pas si difficile finalement. A chaque nouvelle lecture le moine lui plaisait mieux et les autres moins.
Il prit un petit bout de parchemin et écrivit :



Je vote pour « Pour celui qui chez les moines s’en est allé » de Zolena
Signé Bertold

Puis il alla le déposer dans l’urne et prit congé en attendant la fin du concours et les résultats.
Tristanlegrand
Linoa, ma chérie, quel magnifique poème !

Je t'aime !!!!
Ryxende
ayant été informé du concours .. et surtout des mot de son tendre .. la lorraine vient déposer ses mots en silence .. elle se fait discrète et invisible ..

elle dépose son vélin sur la pile des autres ..




pour mon promis ..

Dans les méandres de son esprit .. tortueux à souhait
La petite ne lit que pensées troubles .. vers lésés
Son ange semblant plus calme et perturbé
La sombre abandonne de comprendre .. se sentant larguée

Elle le sait homme droit .. comme il dit « d’honneur »
Elle le sait secret .. tout comme elle ,le silence est acteur
Mais de secret .. elle n’en a point .. seul Ael reste en son cœur
Lui a-t-elle dit ? elle ne sait plus .. d’un pigeon serait elle l’auteur ?

Cette déchirure .. ce vide interne .. de son être dépourvu d’écorce
Cet assassina .. ce meurtre .. ce simulacre de rédemption atroce
Seul il est là .. toujours présent .. lui donnant cette force
Il est écoute et attention .. alors que d’autre la rosse

Et vers lui .. toujours revient .. jamais bien loin .. comme à la source
Cherchant son chemin .. dans la nuit de sa vie .. se repairant à la grande ours
Dans la chaleur amoureuse de son ange .. dans ses sourires ..elle se ressource
Échappant à la mort .. évitant les épreuves .. c’est vers lui qu’elle finira sa course

L


elle a prit la peine d'indiquer son nom à l'arrière de l'écrit .. mais ne cherche pas la reconnaissance des autres .. seulement pour voir dire je t'aime à sa façon
_________________
Motshow
Motshow pensa que parce que l'amour était une douce souffrance, plus belle ne pouvait être que le spleen râlant célébrant la disparition d' être aimé en le lieu de l'adoration.
Motshow fût ému par cette lecture et partagea cette peine un moment




Je vote pour:
Pour celui qui chez les moines s'en est allé, par Zolena

_________________
--Lo_contaire
Toujours présent, le conteur de son surnom, Edmond de sa vraie appellation, se rapprocha de la maîtresse du concours et lui murmura. Le poème "Je vous aime", vous pouvez le signer au nom d'Edmond Lo Contaire. Puis le blond se pencha alors sur les différents parchemins et commença de parcourir les plumes habiles des Languedociens et des Languedociennes. Tour à tour, souriant, ému, il ne put se résoudre à voter pour sa propre réalisation, cela lui semblait fichtrement trop orgueilleux, il se décida pour quelques mots baignés d'amour, inscrits sur un parchemin comme une encre indélébile sur un coeur enflammé. Oh ! la belle âme. Oh ! Le magnifique poème. Je donne ma voix aux rimes de la Comtesse Cebyss.
Ayena
Top Chrono.

Déjà, les lecteurs affluaient, curieux ou amoureux qui cherchaient dans les lignes tracées ceux de leurs bien aimés.

Ayena se tenait devant l'urne pour vérifier que certains ne déposait pas deux bulletins. Quoiqu'elle s'en fichait un peu : tous les poèmes étaient très beaux (exceptés celui dédié à la grosse Lucie, qui lui donnait la nausée et celui du G, qu'elle trouvait trop osé) et méritaient d'être crié à chaque coin de rue pour que la Saint Valentin soit cette année inoubliable.

Ne souhaitant pas non plus voter pour elle, quoiqu'elle aurait apprécié que son poème soit l'élu comme une mise en bouche du mariage qui avait lieu fin décembre, elle se décida enfin :




Mon vote va à :
A la princesse qui règne sur mes "possibles", jusqu'à les rendre incroyablement présents, de BERTOLD.

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Héraldique
Morphee
Melgueil avait occupé toutes les pensées de la Première Ambassadrice, jusqu'à cette privation un peu volontaire de la vie en Gargote. Un petit sacrifice pour le bien commun, à remettre en l'état les différents trousseaux de clefs de l'Ambassade.

De passage à la capitale, elle avait emprunté le chemin menant à la Grand Place, et nota cette tente d'un rose profond, à en perdre la vue... Sans nul doute l'endroit ou les amoureux venaient déposer leur poèmes.
La flamboyante repoussa le pan de la tente afin d'entrer, et salua les personnes déjà présentes tout en se rapprochant du feu.

Adissiatz la compagnie!

Bien qu'un petit remontant aurait été le bienvenu, elle préféra d'abord lire les différents poèmes qui étaient affichés. Tous avaient leur charme, quoi qu'un peu particuliers pour certains... Tous les goûts n'étaient-ils pas dans la nature? Un la toucha particulièrement... L'absence... Elle la ressentait chaque jour, non pas au nom de l'amour, mais de l'amitié.

Lentement elle revint vers les dives bouteilles et prit un petit vélin ou elle nota le nom du poème qu'elle avait choisi.



"Mon autre...trop loin", par Takoda


Souriant à Dona Ayena et à sa dame de compagnie, elle plia son vote et le glissa dans la fente de l'urne.

Et bien quel succès! Je ne m'attendais pas à voir autant de poèmes affichés. Le Lengadoc nous offre des personnes de grand talent, enfin.. de talent certain dirons nous!

Elle se frotta les mains, quel temps mais quel temps mes aïeux!

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Lise_
Encore trop imbibée pour avoir le courage de rimailler,
La prose des autres suffisait à la contenter .
Des sonnets passionnés,
Des quatrains libertins,
Difficile de se décider,
Mais il fallait qu'il n'en reste qu' un.
Un petit sourire mutin,
Quelques mots sur un bulletin,
Puisque vote il fallait donner,
Le sien, tout naturellement irait au G.



Moi Lise, je vote pour le poême du G. " A toi, ma sombre Reine"

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