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[RP Fermé] Un ours oui, mais pas en guimauve !

Andrea_
Hahin... On r'mercie les deux premiers juges pour leur note exceptionnelle - à la hauteur du geste- et on tue l'dernier à grand coup d'pelle - celle qui creuse, pas celle qui étouffe.

L'humidité et la chaleur l'enveloppent, laissant la belle dans un quasi coma -éthylique?!- La course folle dans les bois à remettre la tête d'Alzin sur ses épaules -hahin- DANS la brouette -faudrait pas qu'le chérichou se perde membralement parlant- la épuisé et - sûrement la magie du lieu qui fait ça- mais elle se tait.

Pas longtemps hein, juste le temps de cligner des yeux et là voilà qui s'active. Elle a entendu une voix -lointaine- qui lui disait que tous ensemble on devait faire le ménage. Et telle une conne -chita, elle déambule dans la ruine, remontant ses fils chataîns en chignon, dépoussiérant, nettoyant, balayant, astiquant, colombe toujours plein pot, remettant rapidement les bancs en place. Se hissant sur l'autel, arrachant le lierre de la croix avec les dents.

Elle observe Alzin dans sa brouette qui murmure des choses incompréhensibles. Il est beau, il a une auréole sur la tête, la chair de poule recouvre son torse et l'ombre d'Astana se reflète sur son torse. La belle lorgne sur ce crâne lisse, détail lui arrachant une mine ennuyée.
C'est que... Rha... Bref, on y r'viendra plus tard. Elle le détache, lui ordonne de lui obéir. La chiasse glisse un doigt dans le noeud de son mini pagne, le faisant glisser. Elle retient un sifflement, impressionnée par la bestiole - non pas qu'elle n'en a jamais vu mais... surprise, la bestiole AUSSI est chauve, hahin-. Il ne bouge pas, il est stoïque -sûrement impressionné par tant de familiarité - et de beauté-
Elle lui montre le sol et miracle -miracle mais vous saurez bientôt de quoi- il balaye, il lèche le sol, elle n'a qu'a claquer des doigts et il file là où elle vise, si elle avait eu un fouet... ahhh...

Un demi tour, puis un autre et voilà la Colombe qui virevolte jusqu'a l'autel, se plaçant derrière, admire la brouette, son habitant et son gardien, chope au vol un chandelier qui trainait là - j'veux pas dire, mais les brigands d'Armagnac sont pas actifs...- grimpe sur la pierre et, jambes écartées, regarde son public d'un jour


Travailleuses, travailleurs, ensembleeeeeeee citoyens, formezzzzzzzzz vos bataillonsssssssss

La première partie étant terminée, elle enchaîne sur un show d'une rare beauté donnant tout ce qu'elle a -et même ce qu'elle n'a pas-, pour finir dans un solo instrumental - sans instrument- à vous couper l'souffle.
Le finale ? inoubliable. Le coin de la lèvre et le menton humide, la belle s'essuie et....


P'tain... qu'est ce c'est?

Miracle du pays des songes... Le réveil -elle dormait hein, jamais elle aurait fait le 1/4 de ce qu'elle a dit, l'est pas cap' -est lourd et brutal ouioui c'est ça, c'était forcément un rève, Stan qui demande de faire le ménage ça ne peut pas être autrement. Aspiration de la bavouille qui luisait sur son menton, - parce qu'y a pas que la fin tragique qu'est bonne, y a aussi Andrea- et constat rapide.
Boarf, non... tout est pareil, et ça a un certain charme. Tout est beau tout est gentil tout, sauf...



Alzin mon mignon, tu crois quand même pas qu'on a tenté une attaque de putoise parce que pet sournois, pet'd'putois et que ça doit bien marcher avec attaque pour te libérer comme ça.

La belle s'approche de lui, et comme pour se venger d'une certaine corruption envoie valser ses hanches dans la brouette - étouffe un piaillement de douleur- et finalement se baisse pour de ses deux mains envoyer la brouette se balader sur un coté, laissant Alzin réagir comme il a envie. - de toute façon la Belle s'en carre-.

Pour l'moment, on te d'mande pas d'bouger, on va faire de toi un... heu... on va passer à l'action...
Cette mission s'appelle... Un ours, OUI, mais pas en guimauve.
Pour commencer...


Elle lui aurait bien dit que oui, elles allaient le détacher, juste pour voir une expression indéite sur son visage, puis collé une pichnette derrière la tète en lui demandant s'il les prenait pour des lapins d'six s'maines, mais...on va pas y passer la nuit !
La belle baille, frottant son visage encore engourdi d'une post murge, alors que sa main se glisse sous son jupon, laissant aparaître une cuisse laiteuse - bah oui toujours la même-, délaçant le lien de cuir pour retirer sa dague, elle s'assied face à Alzin, sur lui - limite elle ferait "uhuh dada"-, mais elle se contente d'apprécier la chaleur du corps contre sa peau prête à l'étouffer d'une langue gourmande et joueuse au moindre geignement, Aucun mot ne sortira de sa bouche - comprenez qu'elle agrde sa salive si jamais- ses yeux se font expressifs, ça devrait suffir.
La dague est tendue à Stan accompagnée d'un mordillement de lèvre



A toi, ma belle. Il est à nous, marquons le.
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Astana
Les sourcils de la Louve se froncent face à l'inactivité déroutante de ses comparses. Elle grogne, légèrement, pour montrer son mécontentement. L'est pas dingue - enfin si - la blonde… elle espère - vainement ? - que ça les fera bouger, ou réagir. Vu que sa blague concernant un éventuel ménage de fond en comble est tombée à l'eau… Un peu de sérieux tout d'même… Si les Furies avaient refusé de faire le ménage dans c'te foutue Académie - maintenant on peut le dire - c'était pas pour risquer de se casser un ongle en déblayant le tout dans une église ruinée et en ruines. Quatre murs et la moitié d'un toit.


- Et comment veux-tu que je bouge avec toutes ces cordes...?
- Ah bah tu te…
- Alzin mon mignon, tu crois quand même pas qu'on a tenté une attaque de putoise pour te libérer comme ça.



A nouveau son rire se fait entendre tandis qu'elle secoue la tête et file en direction de l'autel poisseux d'une démarche nonchalante. La Belle n'a pas franchement compris la blague d'Andrea concernant une éventuelle attaque putoise, mais soit. La silhouette gracile d'Astana s'arrête en face de l'autel, et ses mains blanchâtres envoient valser d'un geste vif tout encombrement, dans un nuage de poussière. Image équivoque du fatras d'une vie, qu'on enverrait valser de la même façon, en prenant soin de refermer la porte derrière soi. Sa vie. Son Ancienne Vie.

«Qu'est-ce qu'il faut faire
Quand on ne sait rien faire ?
On devient un homme à tout faire,
On a les embêtements les plus divers,
On n'a jamais le temps de boire un verre
Sans risquer de l'avaler de travers.»


Assise sur son trône de pierre glacial, la Blondeur observe les deux A se chamailler, un léger rictus au coin des lèvres. Ah, ils s'étaient bien trouvés, ça oui. D'ailleurs, lorsque la châtaigne enfourche l'ours comme si elle s'apprêtait à lui flanquer une bonne correction, ou à défaut le maîtriser… elle ne peut s'empêcher de se dire : «c'est meuugnoon». Petit couple parfait, et compagnie. Les imaginer le jour de leur mariage, dans un champ avec une vache en guise de prêtre ; les enfants qu'ils n'auront jamais ; le chien qu'ils engraisseront pour en faire un ragoût par la suite ; et la bicoque délabrée qu'ils habiteront… avec pour seuls objets de valeur un miroir et des draps soyeux - car la Colombe tient à son confort - et puis… un jour ils feraient un ménage à trois, en bonne et due forme ; et…
Stop ! Ça suffit.

«Et moi, je fais tour à tour le garde du corps,
La voyante extra-lucide et ça m'incommode
Et je dois me battre en duel
Et je trouve ça immoral»


Lorsqu'elle sort de sa rêverie et de ses fantasmes inavoués - et inavouables - Andrea lui tend sa dague, dans une moue tout à fait craquante, qui l'invite à se joindre à eux.



A toi, ma belle. Il est à nous, marquons le.


Astana étouffe un ricanement sadique sous sa cape tandis qu'elle descend de l'autel pour les rejoindre près des vestiges de la porte, réfléchissant déjà au prochain supplice qu'elles feraient subir à Alzin. Et comme son esprit - torturé - déborde d'imagination, la Blondeur a de la ressource. Et les moyens de faire quelque chose de bien. Tout en bôôôôté, comme dirait l'autre.


Alors, alors… Ah ! J'ai une idée. Et je sais que ça va te plaire, ma colombe.


Louveus'ment - bah quoi ? - , elle jette un regard sur Alzin, avant de s'emparer de la lame tendue et de s'agenouiller pour se mettre à leur hauteur. Ses pulsions sadiques jusqu'alors restées enfouies refont surface, et lui intiment de ne pas demander à l'ours de serrer les dents, ni quoi que ce soit d'autre. Simplement se mettre à la tâche. Et s'appliquer. Faire durer, ça oui. Laisser une trace indélébile. Un dernier coup d'oeil est jeté sur Andrea, attendant un quelconque signe d'approbation. Signe qui arrive dans la seconde qui suit, mêlé d'un sourire malicieux et que la colombe réaffirme son emprise sur le grand chauve.

Très soigneusement, la lame vient effleurer l'épiderme du biceps droit d'Alzin, avant de s'y plonger avec lenteur - l'on reconnait l'experte en observant le mouvement de poignet qui l'accompagne -, traçant trois initiales similaires, suivies de près par quelques lettres. Le sang entremêlé à la gravure lui donne une allure certaine, bien que ça ne soit pas phénoménal. L'écriture est serrée, petite et quelque peu maladroite compte tenu du fait que l'ours a bougé. La dague est retirée de la chair lacérée dans un sourire triomphant, avant de venir essuyer le tout à l'aide d'un pan de sa cape. Laissant apparaître un sublime : «AAA forêveur» sur le biceps masculin.

«forêveur» parce que les Anglois disent que c'est «pour toujours», et qu'elle estime que cela s'écrit comme ça se prononce, n'ayant jamais eu l'occasion de lire des écrits Anglois…


Alors, heureux ?! Tu nous as dans la peau maint'nant ! Hahin…


Les Furies partent alors dans un fou rire qui aurait pu être contagieux si jamais il y avait eu une tierce personne avec eux… mais de toute évidence, l'ours n'était pas du même avis. Tempête, que dis-je ! Ouragan en approche ?

«Jamais le temps de faire un tour,
Jamais le temps d'aller dormir,
Et de manger des petits fours,
Et ça fait trop longtemps que ça dure,
Et y'en a marre, marre, marre, marre, marre !»



Et ne te plains pas ! Sinon je rajoute un coeur tout autour !


*Les Hommes à Tout Faire, Nino Ferrer

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Alzin
Il le savait ! Sa Blondeur est touchée du syndrome du "petit pied". Et oui, vous savez sans doute pourquoi les femmes ont des petits pieds ? Pour être plus proche de l'évier.
- Mouahaha - Et bien, Astana c'est pareil. Elle adore faire le ménage. Si bien qu'elle entraine la Colombe et l'chauve tard dans la nuit pour se perdre dans une église poussiéreuse. Tout ceci dans le but de ranger, nettoyer, astiquer. Les gens et leurs manies. Plus rien ne l'étonne. Pas même Andréa assise sur lui avec un air à la fois menaçant et langoureux. C'est les prémisses de l'érotisme à la sauce amour vache. Sauf qu'il ne peut pas. La ligotée va le tuer, si elle apprend ça. Remarque, une fois mort on a plus aucun soucis.


Puis vient le moment tant redouté. Il savait que cela allait mal finir. Et voyant la dague de la louve frôler sa peau et ensuite la pénétrer dans une douleur étouffée. Tout ceci afin d'y graver des mots sans doute avec des fautes d'orthographes. Si c'est pas malheureux. - C'est comme avoir des tatouages avec des erreurs dedans, cela fait ridicule -. Il va avoir l'air de quoi quand il va se rendre en terre Angloise, hum ? Bah, je te le dis Émile, ils vont se foutre de sa gueule ! Mais pour l'instant, c'est lui qui la fait. Ses paupières fatiguées se dressent pour ne plus quitter des yeux la fautive.


Dans un geste désespéré, il balance ses hanches en avant. Ce qui fait sauter la Colombe. Hélas, elle ne tombe pas. Et on pourrait croire à tout sauf à une tentative d'évasion...
Pourtant voici son plan. Il se débarrasse de la Andréa, se jette ensuite sur la dague, égorge la Blonde. Dans un élan de générosité, il s'occupe de la féminité de la châtaigne avant de la pendre à une poutre avec ses propres liens. Ensuite, il brule l'église et les cadavres avec. Une fois son forfait effectué, il retourne se coucher.

Mais on ne fait pas toujours ce que l'on veut... Et dans un grincement de dents.



J'vais faire une descente de lit avec tes cheveux ma "douce rose"...

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[Avatar provisoire pour le RP "la folie des grandeurs"...]
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