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[RP ouvert] Mutation d'une brebis en ... lou-tre?!

Gypsi
*[Le ridicule ne tue pas, et en plus il fait rire. ... fin vous me direz, heureusement!]

Les regards s'entrecroisent, les esprits s'apaisent. Ou au contraire s'échauffe. C'est ça les esprits s'échauffent dans le sens où... les conneries commencent à se dire, sans retenu. Enfin, vous pourrez me dire, que, connaissant les trois donzelles, c'est presque un état naturel. Mais là quand même... Pas si naturel que ça. Un peu aidé comme qui dirait. Les rires s'enchaînent. Les bouteilles tournent. Et les rires continues. Et les anneries de l'une accompagnent les idioties de l'autre. Cercle vicieux? Presque! Soutien féminin par excellence. Etat d'ébriété qui commence doucement à se faire sentir. Le tout mélangé à un état d'esprit qui refuse catégoriquement toute prise de tête supplémentaire. ça donne trois femmes qui... déraillent?

La voilà qui bêle à la lune, pour soulager ses poumons? Ou se briser la voix, s'exploser la gorge. Voilà, s'exploser la gorge, pour avoir une excuse pour pouvoir boire plus! Bin oui, elles vont pas la laisser souffrante ses deux comparses. Si elle a la gorge en feu, elles la laisseront bien apaiser les étincelles en se rinçant le gosier un peu plus?! Quoi que... en matière d'alcool, elle ne savait pas s'il y avait toujours amitié qui tienne! Et pour répondre à son bêlement magnifique -si si faut l'avouer, soyez pas si jaloux voyons- la louve se lève... sans doute pour hurler quelque chose aussi, mais, s'affale lamentablement sur le sable. Heureusement qu'on est sur la plage! La chute est amortie quoi. Mais la gitane se marre. Belle chute!

Pis finalement...
- T'as raison ! C'est EUX ! S'ils nous aimaient vraiment, ils avaient qu'à s'adapter ! Parce que… hein ! on est exceptionnelles ou pas ? Berdol !
Ouai *hips* c'est EUX !


Elle a le hoquet jolie la colombe. Peut être que ça vient de l'habitude du roucoulement. Faudra qu'elle s'entraîne d'ailleurs. Un jour, elle y arrivera. Si si, elle y croit, elle est motivée. Même si elle préférera toujours son bêlement. On ne charie pas avec sa marque personnelle. Attention! Enfin bref, tandis qu'elle part comme toujours dans des réflexions très philosophiques, la louve se lève, sans tomber. Et, ô miracle! parvient à rester sur ses jambes. Tout en buvant. Avant de caler presque en douceur, c'est-à-dire que vu l'état, c'est plus ou moins brutal hein, on ne contrôle plus nos mouvements totalement bien, sa bouteille de chouchen dans les mains d'Andrea. Presque jalouse la gitane hein! Pfff!

- Hé tiens ! Bois ça ! Tu vas voir… comme dirait mon Errance, « c'est aussi doux à la gorge que redoutable pour l'esprit » ! Et pis faut aussi en donner à Gypsi ! Vous m'en voudrez pas hein ? Non parce que j'ai chaud là… trop chaud, en fait. Faut que j'me rafraichiiiiiiiiiiisse !

Et voilà que la brune ouvre de grands yeux, en observant - goulumment?! - la blonde se déshabiller entièrement et aller se jeter dans l'eau, d'où elle crie, plus ou moins sincèrement:

- V'nez, elle est bonne !

Un regard qui se tourne immédiatement vers Andrea, sourcils relevés. Dans le genre d'une question silencieuse : "je deviens folle où elle a bien fait ce que je viens de la voir faire à l'instant?". Finalement la réponse ne se fait pas attendre trop. Un sourire niais, tandis que la blonde dans l'eau, se met à nager et à agiter les bras pour les inviter à la rejoindre.

J'crois *hips* qu'elle est faite *hips* ! On y va ?
J'crois qu'elle est folle *hiiiips* et qu'toi *hiphips* aussi! Mais z'allons z'y!
Y'a pas d'hommes et c'est tant mieux ! On est liiiiiiibres !


Elle dit ça d'abord pour gagner du temps. Ne se sentant pas encore suffisamment saoule pour faire pareille ... chose! Hiver, glace, neige... froid! et les voilà qui plonge dans la mer. Alors elle zyeute la colombe qui se met debout d'une technique infaillible. Et qui se dépoile. Avant de rejoindre la blonde, d'un pas plus ou moins sur, assuré et stable. Elle manque d'ailleurs de trébucher plusieurs fois.

Toujours assise sur le sol, pas bien de l'eau finalement, elle les observe, et les écoute, oreille tendue. Elle n'entend pas tous les mots d'ailleurs... Un peu frustrée la gitane. L'ouïe de brebis ça surement.

p'tainnnnnn c'...
- hhh... dis ... qu'c'est ... ou Gypsi ...


Mais qu'est ce qu'elles mijotent bien. Elles la prennent vraiment pour une idiote quand même hein. Elle a noté la gitane. Alors elle reste un peu assise sur le sable, attrapant la bouteille de chouchen, et s'en enfile une ou deux lampées. L'effet ne saurait tardé. Rapidité et efficacité assurée! Et voilà que les deux, pour se réchauffer crient de tous leurs poumons:

- Elle est bonne, hein ?! Allez Gyps' ! Vieeeens !
Mais oui Gyps', TROP BONNEUUUH !


En faire trop. Pour Gyps ça avait toujours été le témoignage du faux. Pourtant, elle n'est plus tellement en état de réfléchir à la question. Et bêtement, naïvement, elle commence à poser la bouteille, et à essayer de se mettre debout, comme elle peut. Ce qui lui prend un certain temps. Ou un temps certain. Temps pendant lequel elles se mettent à chanter. Chanter? Hurler? La frontière est mince. Très mince! Trop mince? Ouais! Mais la voilà quand même qui surenchérit, inventant des paroles... des paroles pleine de bon sens:

**Les papillons en l'air
Et les fourmis par terre
Chacun est à sa place
Il n'y a pas de mystère
Sauf
Toi, toi mon toit
Toi, toi mon tout mon roi
Toi, toi mon toit
Toi, toi mon tout mon roi


Finalement elle arrive à se mettre debout. Ce fut dur! Et, bin forcément, elle zyeute les deux belles sirènes. Interdit de dire "mi-femme, mi-thon"'! C'est pas des thons! Vous avez mal vu si vous dites ça! Bon, l'oeil vitreux comme les poissons surement. Ou les daurades. Mais pas aussi moche! Au contraire! Elles en auraient fait pâlir plus d'un là. Bref au moment où elle les regarde se dandiner dans l'eau, venant de réussir l'exploit triomphant de se mettre sur pied, les voilà qui hurlent. Vraiment. Et en tombant, effrayée par leur cri, la gitane hurle aussi.

AAAAAAAAHHHHHhh
AAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHH
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHH! Boum! Ouch


Vite, elle se redresse, prête à se précipiter au secours des deux folles, lorsqu'elle voit Andrea sortirent de l'eau, en grande vainqueur... une algue. Et la voilà qui éclate de rire littéralement. Surtout que la colombe essait de faire comme si de rien n'était en se reprenant:

Allez Gyps' A POIL, A POIL A POILLLLLLLLLLL, y a pas d'mec, profites ! Personne pour r'luquer nos poumons !LIBERTAAAAAAAD !
Allez ! T'arrêtes pas en si bon chemin ! C'était qu'une foutue crevette ! LIBERTAAAAAAD ! Pour une fois qu'on peut s'reluquer entre filles tranquillement ! Ouaaaaaaaaaaaaaaaais !
OUAIIIIIS C'BOOOON! J'ARRIVEUUUUUUH! SOYEZ PAS SI IMPATIENTES!!!!


Sans réfléchir, elle se lève d'un mouvement rapide. Parfois, la rapidité est plus efficace! Et ni une ni deux, se dévêtit. Ce qui est assez rapide, puisqu'elle n'a jamais été très habillé à vrai dire. Pourquoi croyez-vous que tout le monde dit qu'elle se promène nue?! Rumeur? Ouais, enfin un peu tiré de la réalité quand même. Enfin réalité légèrement déformée. Mais bref, une fois nue, elle se met à courir, bin ça caille quand même faut pas l'oublier, en trébuchant souvent, finit en dérapage, voir roulé boulé, presque contrôlé, avant de s'étaler dans le début de l'eau, la tête et le corps un peu ensablé. Juste un peu. Finalement, elle se relève en se marrant, et se jette dans l'eau, allant retrouver les deux comparses. Une fois englobé par l'eau, elle leur jette un regard noir en hurlant à nouveau:

AAAAAAAAAAAAAAH!!!! P'taiiiiiiiiiiiiiiin!!!!! C'est g'lééééééééééé! J'vous détesteeeeeeeeeeeeeuh!

Avant de se mettre à sautiller d'un pied sur l'autre pour se réchauffer, sentant un étau glacé autour de son corps. Sensation des plus déséagréables! ça brûle, le froid. Elle a l'impression de perdre ses pieds la brune. Et ses pieds c'est sacré. Mais, elle reste dans l'eau. Par fierté. Bin oui, elles y sont depuis plus longtemps qu'elle les deux drôles. Pis, elle va bien finir par ne plus rien sentir. Et pour se redonner de la constance, enfin essayer, elle éclate de rire, avant de leur envoyer une giclée d'eau à la figure à toute les deux. Coiffure, finie! Fallait bien qu'elle trouve un moyen de se réchauffer la brune. Elle fait ce qu'elle peut.

* Pierre Bottero
**Elie Modeiros Toi mon toit
Bibosor
[Abordage nocturne ou l'attaque de la crevette géante]

Un cri.

Une diversion potentielle. Parfait. Il commençait à entendre plus clairement les voix des donzelles et s'avançait toujours doucement.

Et, chose bien plus intéressante, il commençait à les voir d'un peu plus prêt.
De sa vue d'homme, il n'y avait pas grand chose à dire et plutôt tout à reluquer. Trois femmes nues, belle comme une nuit de pleine lune et aux formes parfaites s'ébattaient à quelques mètres de lui. Les poitrines jouaient au bilboquet, mais sans tiges. Il n'osait imaginer ce que cachait la partie immergée de ces jolies icebergs.

'fin si, il l'imaginait.


Allez ! T'arrêtes pas en si bon chemin ! C'était qu'une foutue crevette ! LIBERTAAAAAAD ! Pour une fois qu'on peut s'reluquer entre filles tranquillement ! Ouaaaaaaaaaaaaaaaais !

Il entendait clairement maintenant.

Le visage au ras de l'eau, il prit une profonde inspiration, détermina à peu prêt son parcours et fila sous l'eau. Brasse soutenue, il fila vers ses victimes. Après une bonne vingtaine de brasses et quelques secondes sous l'eau, il savait qu'il était à leur niveau. Ou à peu prêt. Des bras, il sonda la mer pour enfin pêcher ce qu'il était venu chercher. Il s'agrippa à une jambe, ne sachant pas laquelle, serrant un peu, non sans un sourire carnassier au fond de l'eau.
Astana
[Oh... my... God !]*


- OUAIIIIIS C'BOOOON! J'ARRIVEUUUUUUH! SOYEZ PAS SI IMPATIENTES!!!!

Impatientes, les deux sirènes ? Naaaaaaaan. Enfin si, carrément, mais faut pas l'dire. Parce qu'en fait trois, c'est le chiffre parfait. C'est impair… et il paraît que tout ce qui est impair porte bonheur. Si, si ! Un peu comme avec les cailloux, quoi. Vous savez, les fameux cailloux qu'on doit - il paraît - porter en nombre impair sur soi pour s'éviter quelques malencontreux problèmes ? Bon, si les créateurs de problèmes les portent, c'est encore autre chose, mais ça reste le même principe… dans le sens inverse, quoi. Non vous voyez toujours pas ? Tant pis.

Et comme le chouchen fait de plus en plus d'effet, c'est au ralenti que la blondeur regarde sa brebis courir dans leur direction, enlever ses vêtements et se ramasser pleinement, à quelques mètres à peine. Nouveaux rires qui fusent, des trois Nymphes réunies cette fois-ci. Son rythme cardiaque s'accélère, elle ne sait pas réellement pourquoi… peut-être parce qu'elle sent qu'elles sont épiées, mais n'arrive pas à mettre de mots sur son ressenti. Donc elle ne dit Rien. Rire… c'est tout.

Gypsi, la mine frondeuse, vengeresse, les éclabousse alors. Ce qui leur arrache de nouveaux gloussements/rires/etc.. de vraies filles, quoi ! La journée ça jouait les dures, les femmes au coeur de pierre, pis une fois la lune à son sommet et les hommes partis : de vraies gamines ! Les voilà qui hurlent des «Hiiiiiiiiiiiii !» des « Haaaaaaaaa ! » (a ne pas confondre avec «Yihaaa»). Mais de toutes c'est la Colombe qui hurle le plus fort face au fait accompli : plus de coiffure. Astana, elle, s'en fiche complètement… puisqu'elle a déjà perdu la sienne suite au plongeon malheureux.

La Bête rôde, cependant.

Elle rôde.

Là.

Doucement, elle repère ses cibles… et les Sirènes n'en savent rien.


- AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!!!!!!!!!!!


On agrippe sa jambe, son mollet ! On l'entraîne sous l'eau ! Et sous le choc de l'attaque, elle sombre, la Danoise ! Elle coule, même ! La panique l'envahit, son coeur bat à tout rompre, prêt à éclater, tandis qu'elle boit la tasse, une, deux fois… trois fois ! Elle ne prête pas attention à ses amies qui hurlent en même temps, trop occupée à trouver un moyen de s'en sortir… Alors elle frappe ! Parce que ce machin-là est Humain ! Ça a des mains et tout le tralala ! Elle refourgue des coups de pied en veux-tu en voilà au Prédateur qui l'a prise pour Cible.


- AHHHHHJURPMPF !


1. 100 points pour la tête
2. 50 points pour le torse
3. 500 points pour l'entrejambe
4. 0 points en cas de coup manqué (oui, ce sont des choses qui arrivent)

C'est que ce truc, frère ou pas frère, renard ou pas renard - et encore pire si c'est un Inconnu - allait vite regretter cette Mauvaise Blague. Si c'en est une, bien entendu. Peut être qu'on désirait réellement la voir noyée, en fin de compte. Et sur sa tombe, en épitaphe, serait marqué : « Astana, morte noyée des suites de l'attaque d'une Crevette Géante »


*Oh mon Dieu ! réplique culte de Friends

_________________
Bibosor
[Décompte]

Dans l'ordre, ou à peu prêt, il réussit à compter ceci:
Premier coup: 50 points
En se débattant la louve avait décoché le talon gauche en plein thorax.

Deuxième coup: 500 points
Tentant de la maitriser et donc de l'agripper au niveau des hanches et des bras, il eu la mauvaise idée de lâcher la jambe prisonnière. Jambe prolongée, par un pied qui, un peu surexcité finit sa course dans ses parties intimes.

Là ça rigolait plus, il avait oublié un peu vite qu'avant d'êtres des femmes aux formes généreuses, des alcooliques et des bonnes vivantes, elles n'en restaient pas moins... Des guerrières.
Voyant bien que dans le tumulte il n’arriverait à la calmer, il lâche ses prises et remonta à la surface, non sans frôler ce corps nu. Agréable, pour rester correct. D’autres mots lui vinrent à l’esprit évidemment.

De l’air, enfin.


Il vit les regards éberlués et s’exclama en gueulant.

Saluuuuuuuuuuuuuut les louves ! Ca roule ?

Certaines choses sont bien plus belles vues d’assez prêt. Il avait la preuve évidente face à lui. Ses yeux étaient ouvertement tournés vers leurs principaux atouts aux sirènes.

Leurs yeux. Evidemment.


Quels beaux heu… yeux vous avez mesdames !

Il rit, non sans ressentir une douleur particulière dans l’entre jambe. Douleur qui allait grandissant et montait dans le bas ventre. C’est que c’est fragile ces choses là.
Andrea_
[ Chandler BING ! ]


Des greluches dans toute leur splendeur.
Y a pas une heure ça chouinait en silence, toute voile dehors et blessures à vif, et maint'nant ça ricane bêtement, ça piaille, ça crie, bientôt ça s'percerait les bouroles et les points noirs sans qu'personne s'en étonne.

La Gypsi les avait enfin rejoint, dans un parcours du combattant digne d'une dernière journée d'formation pour les sans-culottes - sans jeu de mots- et c'est une oiselle HORRIFIEE qui se reçoit l'eau dans la tête. Elle ne crie pas, non, ce qui se passe est encore pire. Elle remonte ses mains tremblantes qui viennent caresser sa chevelure désormais mouillée et elle constate avec effroi que ça n'ressemble plus à rien.
La chute post-chouchen est terrible, après l'euphorie vient les larmes... Enfin elle sent que ça vient mais... attendez attendez ça vient....



Mouahahahaah


Ah bin non c'est pas v'nu, la voilà repartie dans un ricanement débile, remerciant le ciel chaque instant qu'elle ne soit qu'entre elles, mais s'arrêtant net alors que...


AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!!!!!!!!!!!
AAAAAAAAAAHHHHHHHHHH, Une crevêêêêêtte !
HIIIIIIIIIIIIiiiiiiiiiiii



Et faut pas chercher à comprendre, la coiffure est morte, l'honneur doit être sauf, voila la belle qui plonge tête la première - le principe du plongeon hein- en direction des jambes de la blonde, poings en avant, prête à tabasser, mordre, pincer, griffer la chose qui s'attaque à la Louve et elle y va d'bon coeur la Colombe !
Elle se donne .... sans compter !
Et elle prend... sans compter, un p'tain de gnion dans l'oeil, le bourre pif qui lui explose l'arcade et qui lui fait r'monter les bulles à la surface.

Ses yeux la brûlent, son arcade la pique, l'air lui manque un peu, elle a froid, et l'chouchen veut r'voir l'soleil, mais JAMAIS elle lâchera le truc dans lequel elle a planté ses griffes.
Coûte que coûte.


PSsss... Au fait...
1250.

De vous à moi, j'vous l'dis, c'est 1250 points qu'elle a récolté la Colombe. ça calme hein ?!


Et soudain ça s'calme... ça va super vite hein - elle a des gros poumons mais quand même- et la belle ose se lever pour tomber nez à nez avec Bibo.
Réflexe heu... Réflexe - dans l'état des filles c'est déjà pas mal d'en avoir encore- de croiser les bras sur sa poitrine avec la folle envie d'lui coller une gifle - ce qui voudrait dire qu'elle en lâche un et ça... qui de Robert ou Deniro exposer à la vue d'l'homme ?-
L'oiselle fronce le front -hahun-, plisse les yeux et frise du nez, le tout avec une mâchoire pincée ce qui lui donne un p'tit air de " j'vais t'tuer !" croisé avec "c'te honte!"

Bah une fois n'est pas coutume, la p'tite chataîne elle reste sans voix

_________________
Astana
[J'aime quand un plan se déroule sans accro]*


Sous l'eau, elle ne distingue - hélas ! - pas grand chose. En revanche, elle ressent, ça oui. Elle sent que de l'autre coté ça résiste, que ça s'accroche plus que de raison, comme une moule à son rocher ; et que ça lâche d'un coup… chose qui lui permet d'envoyer un pied vaillant en plein dans les bijoux de famille de l'homme. Et qu'en même temps, ses deux comparses Sirènes l'aident. Elles aussi, elles frappent, mordent, griffent… C'est que ça doit passer un sale quart d'heure, là dessous. Première Victoire.

Et en plus il a les mains baladeuses, le bougre !

A peine sauvée de la noyade, que la blondeur ressort la tête de l'eau, plaquant sa crinière en arrière derechef, avant de se frotter les yeux. Très certainement qu'ils sont rouges, injectés de sang. La toux est là aussi. Elle recrache l'eau de mer ingurgitée contre son gré, jetant des regards vifs autour d'elle. Spectacle pittoresque. Vérifier que tout le monde est en vie… pour ensuite découvrir avec stupeur un Bibosor qui les regarde tout sourire, heureux de sa connerie.

Bouche-bée, la Louve.
Elle ouvre la bouche, mais aucun son n'en sort.
Étrangement, elle estime que tout va bien, puisque c'est lui qui l'a touchée... ou Andrea ?! Allez savoir... Du moment que ce n'était pas son frangin, tout irait pour le mieux.

Contre toute attente, Astana ne cherche pas à masquer sa poitrine, ni quoi que ce soit d'autre, d'ailleurs. Non pas qu'elle ne soit pas pudique… Mais à quoi bon chercher à dissimuler ce qu'il avait déjà vu ? … Aucun sens. Certes, des évènements récents on pouvait dire la même chose : aucun sens. Alors autant rester dans le thème, non ?
En revanche elle lui jette un regard si noir qu'il aurait pu brûler sur place, tellement cette folie meurtrière s'insinue en ses veines, et commence à la consumer.

Sourcils qui se froncent, grincement de dents en règle et…


- JE VAIS TE TUER ! FOUTUE CREVETTE !


Sur ces mots «Blondie» se jette sur lui, intimant à Gypsi et Andrea de la suivre - solidarité féminine oblige - et lui enfonce la tête sous l'eau. Bon... peut être qu'il allait un peu payer pour leur frustration...
Deuxième Victoire.



*Hannibal, L'Agence tout risque

_________________
Gypsi
[Les petits poissons dans l'eau, nagent aussi bien que les gros?!]

Alors là voilà dans l'eau. Pour le mei... pour le pire et pour le pire du pire! Tant qu'à faire. Ou pour le meilleur du pire! Elle éclabousse, serrant les dents et se retenant pour ne pas sortir de l'eau en courrant, ne comprenant pas comment les deux comparses arrivent à tenir aussi longtemps dans... ce réservoir de glace! Finalement, elle voit la tête d'Andrea qui découvre que... sa coiffure n'est plus, et se marre discrètement. Elle ne connaissait pas les colombes aussi coquette. Quoi que... Finalement elle "se marre" quand même la chiasse. Même si on sent le rire un tout petit peu... crispé? Presque. Mais ce n'est pas si grave.

Les gamines se marrent. S'éclaboussent. Et il est aussi à noté que leur comportement, et leur état d'esprit s'est profondément transformé en... moins d'une heure? Elles étaient... blasées? Hin Hin, c'est le mot. Et maintenant? Décoiffées, trempées, déjantées. Certes. Jusqu'à ce que ...

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!!!!!!!!!!!
AAAAAAAAAAHHHHHHHHHH, Une crevêêêêêtte !
HIIIIIIIIIIIIiiiiiiiiiiii


Une crevette? Enh malheur! Horreur! Dangeeer! La blonde qui disparaît sous l'eau. Prise de panique, réagissement presque simultanément, en oubliant que la rapidité des gens bourrés n'est pas leur qualité première, mais tout de même. Et elle plonge dans un mouvement synchronisé, au côté de la colombe. Sauf que les brebis, ça aime pas vraiment nager. La laine ça pèse lourd. Elle pourrait se noyer! Heureusement qu'elle n'est plus qu'une brebis et qu'elle est devenue, au moins un peu, un tout petit peu "lou've". Sauf que l'eau, elle préfère encore sa louTRE. Oui, voilà. Brebis devient loutre. Et sous l'eau, yeux fermés parce que malgré qu'elle soit loutre, le sel lui brûle les yeux, et que niveau brûlure elle a assez donné, elle frappe, cogne, tape. Tout ce qui passe. Sachant pas trop ce que c'est. Préférant ne pas le savoir finalement. Anachronologiquement parlant, on se croirait dans un flipper. Et comme elle tape trop, secoue trop, ça finit par faire "TILT" et elle est contrainte de remonter à la surface, comme ils semblent tous le faire, pour respirer. Parce que même les loutres ont besoin de respirer!

Et elle remonte et rouvre enfin les yeux. L'air lui brûlerait presque les poumons. A force. C'est une manie ce soir. Tout la brûle! Faudrait que les gens et les choses, et les élements arrêtent de vouloir la faire cuire pour la bouffer. Combien de fois devra-t-elle encore répéter qu'elle n'est pas comestible? Qu'elle est indigeste? Pis la laine ça doit être dur à avaler! Enfin, elle rouvre les yeux, découvre la colombe, deux bras croisés devant sa poitrine, bouche bée, autant que la louve. Elle se baisse dans l'eau la brebis, s'enfonçant jusqu'au cou.

Quels beaux heu… yeux vous avez mesdames !
JE VAIS TE TUER ! FOUTUE CREVETTE !


Non mais vous en faites pas, ils sont nets. Enfin presque. Ni une ni deux la louve à écaille pour la soirée se jette sur le renard, avec un coup d'oeil rapide qui les invite à en faire autant. Elle attend pas de trop pour se joindre à elle finalement la gitane. Après tout, maintenant qu'il y a quelqu'un sur qui passer ses nerfs?! Pis surtout, à cause de lui elle a du mettre la tête sous l'eau! Se glacer les oreilles, le museau! Et rien que pour ça, il mérite de payer! Même si, taper dans l'eau, elle devrait avouer, si elle était juste et sincère que ça la réchauffer un peu. Mais elle ne dira mot, et va aider la "blondie" à couler le Hobbit. Boire la tasse! Lui laisser juste le temps de reprendre une goulée d'air avant de lui faire replonger la tête sous l'eau. Quelques fois de suite. Histoire d'être un peu sadique quand même. Mais sans aller jusqu'à l'étouffer trop quand même. Non, juste tousser un peu en recrachant de l'eau de mer.

Alors c'est bon l'eau salée?! *Hips*
Sulfura
[Un vent contraire, une illusion, un espoir au fond d'un lac... un rêve et une trêve ?]


Le temps s'écoulait toujours à son habitude aussi imprévisible qu'elle même. Pourquoi ne pas s'en tenir au jour le jour ? Elle avait fuit il y avait trop longtemps, elle s'était battue trop tôt, aimé trop tard... L'amour et la haine se mariait parfaitement, deux sentiments contraire mais si proche...si intense... si fou...

Lui, il la guettait, elle sentait sa main, son emprise sur son existence, sur sa propre vie. Fuir plus loin, au delà même des frontières du possible. Un coeur rigide, d'une froideur implacable... Un regard transperçant, assassin, fuyant... Fuir encore et toujours ... A quand donc la fin? La confrontation? Le dernier combat qui sonnera le glas de sa vie. En y repensant la téméraire senti un long frisson parcourir son échine. Les yeux de son pire ennemi, de son cauchemar éveillé l'épiait comme un ermite obscène, fou à lier... Fou de vengeance... La brune avait l'habitude de le sentir près d'elle mais il était pourtant bien loin...
Alors vivre au jour le jour, aucune chance pour l'avenir, fermer les yeux et attendre avant de dégainer la belle Esperanzia pour briser ce cauchemar et achever cette existence d'errance, celle d'un fantôme transparent, d'une brise et parfois d'une averse.

La Reyne caressa le pommeau de son épée, toujours présente, son fidèle compagnon. La seule témoin de toute une histoire pour la moins épique : son histoire. SulfurA n'était plus seule, sa solitude la suivait toujours parfois, elle l'emportait dans ses bas fonds. Pourtant... une rencontre... des rencontres. Qui aurait cru qu'elle savait encore sourire ? Et rire ?
Le coeur déchiré par l'ombre de S***el, elle poursuivait son destin. Plus jamais... plus jamais elle sera en paix.
Mais il était là, sa nouvelle ombre, sa Renaissance. Comment était ce possible ? Etait ce qu'une illusion ? Garder les yeux ouverts pour ne pas se réveiller de ce rêve idyllique. Une botte perdue, un coeur échoué, un espoir naissant. Un avenir ? La belle sulfureuse en aurait elle le droit ?
Toujours à ses côtés, blottit dans leur bulle, leur univers. Elle en avait oublié le démon jamais bien loin, jamais trop près... Pourtant, une brèche d'espoir réchauffait son coeur si froid.... Trop longtemps la solitude l'avait bercé aujourd'hui, un nouveau chapitre défilait sous ses yeux.

Les jours passaient et l'ombre de sa Renaissance prenait une plus grande ampleur, un danger pour elle ? Elle ne saurait dire, c'était si intense, si magique, cela dépassait les barrières du réel. Encore des rencontres, toujours plus de rencontres... Mais surtout une adoption, un être cher, une brebis... Qui pourrait savoir ce qu'elle représentait aux yeux de la sulfureuse.

La route se poursuivait à travers des rires, des crises, et enfin la nuit s'échouait sur eux pour graver leur clan. Unique, indissociable l'un de l'autre, puissant, inséparable...
Mais ... il y a toujours un mais. Trop de pensées, trop de paroles en suspend... Un volcan trop fort, trop brûlant. La teigne fait des siennes, ne réfléchit pas toujours. Retourner à sa solitude pour épargner d'autres blessures, laisser les siennes dans les bras d'un silence sans nom.
Une déception, une dispute, un regret... une fuite..... encore et toujours mais pas la même. Un retour aux sources, il était temps qu'elle se retrouve car trop perdue était son âme. Un visage blême, les yeux secs mais le coeur : un torrent de larme caché.
Aucun mot ne saurait porter ses maux... Maudit silence qui la torture. Si seulement elle pouvait crier à en perdre la voix... Toujours une trace de ce glaçon... ne laisser aucune émotion se lire.
Les esclandres éclatèrent puis la paix était de retour mais le coeur gardait ses cicatrices, le mutisme avait recueilli ses blessures...

Une page de tournée, un chapitre clos en apparence. Avancer, il n'y avait que ça à faire, pourtant ses pas s'enlisaient dans son passé. La vie tissait sa toile avec toujours plus d'ardeur, de folie et de teintes édulcorées unies à de sombres fils de pensées.

Des mots toujours des mots... cette fois, lacérant comme la douce Esperanzia que seul un berger pouvait provoquer... Une nouvelle déchirure silencieuse, sinueuse, si profonde... brisée, les morceaux se sont éparpillés et aucune volonté pour les ramasser. Le temps est criard, joueur, moqueur... Les mots l'avaient martelaient, sonnés, ils tournaient dans sa tête comme une leitmotiv....

Le crépuscule, un paysage qui l'accueillit à bras ouvert. La nuit, son domaine, son refuge, son monde où elle se cristallisait. où elle muait en un être inhumain... une chimère vêtue tout de pensées... Des larmes transparentes, un sourire effacé et une missive de la brebis... trop tard. Lire ses paroles, s'en habillaient... Une émotion, un élan, une envie... mais les bras enchaînés. Que répondre ? Le temps le dira. Alors la Sulfureuse s'en alla. Elle errait à la recherche de son sanctuaire. Ses pas étaient toujours aussi lourd, sa légèreté s'était dissipée pour s'envelopper d'un poids pesant : le fardeau de ses maux. Toujours à la recherche d'une réponse, toujours en quête de la vérité, elle tentait de trouver un endroit paisible pour se revitaliser. Sa quête s'offrait enfin à elle : une étendue bleue limpide, sauvage et calme. Un lac où pouvait s'échouait tout son coeur si lourd... SulfurA se posa près de la berge, elle admira le paysage, seule une faible lumière lui dévoilait ce tableau. Elle huma l'odeur de la nature, l'odeur d'une liberté qui vint la submerger. Alors elle posa son baluchon, celui qui cachait son fardeau, besace invisible mais bien trop présente. Les pensées l'envahirent, les paroles lui criaient dessus. Les larmes ne voulaient pas couler, elles restaient figées au bord de ses yeux. Ses mots avaient cessé de s’exprimer.
Des images lui revenaient inextricablement. La brune essayait de fermer la porte sur ce coin obscur de son être mais en vain. Finalement, elle tendit son visage au ciel pour y trouver une solution mais encore une fois, les astres restèrent muets face à sa souffrance.
La lune restait témoin toujours de sa vraie nature mais elle se défilait pour laisser l'aurore pointait le bout de son nez.
Alors, comme si elle n’était que le pantin d’un marionnettiste, elle prit un velin et une plume qu’elle trempa entre ses lèvres avant d’écrire une lettre, une réponse…des vérités… Les mots défilaient sur le parchemin vierge à l’encre de ses espoirs…ils se déchaînaient… la libéraient et enfin l’apaisaient….




Il est temps de te répondre car je pense avoir assez attendu aussi bien d’avoir de tes rares nouvelles que de te répondre. C’est vrai il y a cette distance mais je ne sais pas ce qui pourrait nous séparer sans doute certains sentiments heureusement passager mais hélas bien là…
....
....

SulfurA avec un A

Astana
[ Tadadadaaaaam Clap clap ?]


Une fois n'est pas coutume… la Louve s'adonne alors à un jeu étrange, voire terrifiant pour certains, avec sa nouvelle victime. Car on ne présente plus le fait qu'Astana s'avère sadique… de temps à autre… ou même plutôt souvent, à vrai dire ; mais disons qu'elle travaille sur elle-même pour ne pas empaler sur place la première personne lui faisant un quelconque affront.

Résumons un peu la situation, voulez vous ? Au début de la soirée, une Astana en voie de dépression sévère était tombée sur une Gypsi dans le même état. Un lien s'était crée, Indestructible. S'était alors rajoutée Andrea, la Colombe, manifestement dans le même état empli de Noirceur. Ensemble, elles avaient râlé, crié… et la situation avait vraisemblablement dégénéré. Tout ça à cause des hommes, des mâles Alpha. Et du chouchen. La Louve s'était mise à « oilpé », suivie de près par une Colombe et une Brebis. Puis était arrivé la terrifiante crevette géante nommée Bibosor… et la suite on la connait.

Bref.

Toujours est-il qu'elle y prend du plaisir, la blondeur, à enfouir la tête du renard sous l'eau… et à la ressortir histoire qu'il prenne un peu d'air… avant de l'y replonger. Quand elle n'en ricane pas, un sourire sadique se dessine sur ses lèvres. Non pas qu'elle veuille le tuer, non, loin de là.. mais tout de même. Tuer un tel amant... mauvaise idée. Simplement lui donner une foutue bonne leçon. Et il faut aussi avouer que la Louve est joueuse mais mauvaise perdante… et donc que cela pose problème, forcément.

- Alors c'est bon l'eau salée?! *Hips*

Nouveaux rires.

- A vue de nez, j'dirais qu'il n'en a pas encore bu assez ! Il faut au moins qu'il boive le triple de ce que j'ai bu ! Et en plus si on ajoute le triple de ce que vous avez bu toutes les deux… on en a encore pour un certain temps. Z'avez pas une idée pour que le temps passe plus viteeeeeeeeuh ?

Ouais. Elle comptait sur l'esprit inventif de ses deux comparses pour l'y aider.

- J'vous préviens... à trois je le lâche et vous en faites c'que vous voulez... Tout sauf le laisser partir, bien entendu, hein... Namé.
UN ... DEUX ... TROIS !


Elle les regarde alors, un sourire se dessinant au coin des lèvres. Et la voilà qui plonge, tâtant du bout des doigts les fonds marins... algues, coquillages, verre poli... tout y passe. A croire qu'elle se prend pour une certaine Petite Sirène et n'sait pas à quoi sert une fourchette - mais ça, c'est une autre Histoire. Nul doute que cela servirait à assouvir son désir de vengeance.

S'il voulait s'enfuir ? Impossible. Personne n'échappe aux Furies.

_________________
Gypsi
[C'est à boire, à boire qu'il lui faut!]

Et la gitane elle observe la blonde, elle en prend de la graine. Ce n'est pas son élève pour rien. Elle veut apprendre. Et niveau sadisme, même si elle est déjà pas si mal, elle doit encore progresser. Vraiment. Mais, elle a un professeur des plus performants dans ce domaine, et elle n'a pas aucun doute sur ses prochains progrès.

A vue de nez, j'dirais qu'il n'en a pas encore bu assez ! Il faut au moins qu'il boive le triple de ce que j'ai bu ! Et en plus si on ajoute le triple de ce que vous avez bu toutes les deux… on en a encore pour un certain temps. Z'avez pas une idée pour que le temps passe plus viteeeeeeeeuh ?

Un regard vers la colombe qui a toujours des idées débordantes. Sinon, la gitane imagine une colaboration possible. Chacune attrapant un pied du renard, et on fait trempette en le montant et le descendant, sauf que... il est légèrement plus grand qu'elle et que ça risque d'être compliqué. Autre chose donc... des croches pieds alternés à l'appui sur la tête.

Que ça passe plus vite pour nous... Pas pour lui d'façon. Donc on a qu'à chanter en appuyant à tour de rôle sur sa caboche.

Bin quoi, elle reste dans le thème. Elles ont bien inventé une chanson en entrant dans l'eau, alors pourquoi pas une deuxième. Et le thème principale étant l'alcool. Enfin thème principal, non, mais la source de leur état, très certainement, oui! Voir les champignons mais vu que Stan est la seule véritablement au courant de leur existence, ça ne mène pas bien loin tout.

J'vous préviens... à trois je le lâche et vous en faites c'que vous voulez... Tout sauf le laisser partir, bien entendu, hein... Namé.
UN ... DEUX ... TROIS !

Nan mais toi tu fais quoi?!


Bref, heureusement que les deux jeunes femmes sont pas trop loin, voir même très proche, et qu'elles sont prêtes à prendre la relève. Enfin, la gitane attend une idée lumineuse de la colombe pour que ça passe plus. Mais en attendant, une seconde de plus de répit au pauvre renard avant de lui renfoncer la tête sous l'eau. Il allait pas s'échapper comme ça! Sauf que, la blonde, elle a un sourire amusant sur les lèvres, et la voilà qui disparaît sous l'eau, remontant avec tout un barda de truc inimaginable, et... beurk! On se croirait presque dans un vieux navire coulé, exploration, décoration... Pourtant la soirée -comment ça la nuit?! - ne faisait que commencer! Et le renard n'arriverait pas à s'enfuir aussi facilement qu'il n'était venu. Il ne fallait pas jouer avec des Furies. Surtout pas avec elle trois. La leçon rentrerait surement à la fin de la soirée. Et le lendemain ils seraient tous aussi mal en point les uns que les autres. Malades et tout, mais pour l'instant on n'y pense pas le moins du monde et on se marre en pataugeant dans l'eau et en martyrisant un renard asaisonné au sel de mer.
Andrea_
[Furie nome beur ouane ]


La Colombe ne comprend plus rien, ne voit plus, ne crie plus, et ne cache plus rien, Robert et Deniro à la vue de tous -fières et en avant- ricanements éteints, mais sourire sadique sur le visage : la belle a entendu THE "cri de guerre" de la blonde, se tourne vers la gitane d'un air entendu et lorsque le TROIS retentit, ce n'est pas une Colombe - fin si c'est elle- mais une lionne enragée qui se jette sur le Bibosor des mers.

Elle bondit toutes griffes sorties, et teste les limites de sa vessie - des fois que.. mais non- lui mord l'épaule et disparait dans les profondeurs.

Telle une sirène elle ondule à la recherche de n'importe quoi qui pourrait lui servir d'arme, d'arme ou que sais-je d'ailleurs.
Bras en avant, brasse coulée, battements de pieds, cul en l'air -ohhhhhh elle fait la baleine- et n'importe qui à l'extérieur pourra admirer la pleine lune, son magnifique séant offert à la vue de tous, la Colombe sombre...

Les bras cherchent etttttt TROUVENT.

Miracle de la vie - ou miracle de l'imaginaire- l'oiselle se saisit d'un magnifique oursin violet et l'envoie en direction du torse de la crevette.

Sortie de l'eau victorieuse et le cri désormais célèbre de leur comparse retentit



Bêêêêêêhhhhhhh, Colombe attaque oursin !


La danse de la pluie, la colombe tourne sur elle même en chantonnant un " tututu tutu tu tutu ", puis stoppe net pour fixer l'homme et pointe un doigt inquisiteur sur lui


Lady colombe win haine the brebis continious


C'est fou quand même, quelques gorgées dans l'nez, et la belle parle plusieurs langues...Et l'lend'main ? bah... elle cuve quoi
_________________
Bibosor
[Pougne chigne baule]


Il regrettait.

Cette blague était-elle une bonne idée ?
Il s'était rincé l'oeil, c'est vrai. Mais elles étaient surtout en train de lui rincer le gosier à grands coups d'eau de mer.
Il pensait qu'ils allaient s'ébattre ensemble tranquillement en mer, tel Adam et Eve un, Eve deux et Eve trois.

Raté, visiblement. Naïf, surement.

Bien qu'il ne soit ni chétif, ni mou du genou, tranquiliser et maitriser ces trois furies s'avérait à peu prêt impossible.

Il respire enfin, grande respiration et...


Aiiiiiieeee

Un truc rond et piquant vient se loger pile sur son thorax, d'un geste il l'écarte.
Il a pris quelques coups, bu quelques tasses et subit quelques regards noirs.

"J'vais t'tuer" qu'elles avaient dit.

C'est qu'elles allaient y arriver à force. Tout en continuant de se débattre, il cria entre deux gorgées d'eau de mer:


"POUCEEEEEEEEEEE"

Oui, il regrettait.
Astana
[On ne vit qu'une fois] *


Et la v'là qui remonte à la surface, des trésors plein les mains. Elle ne sent plus le froid qui lui glace les os, ni même quoi que ce soit d'autre.
L'excitation, et son sadisme ont prit toute la place, et même mieux encore ! ils l'ont réchauffée.

Et là… ô malheur !

Pauvre…

Pauvre…

OURSIN !

Le porc-épic des mers voltige en direction du torse de la crevette géante.


- Bêêêêêêhhhhhhh, Colombe attaque oursin !


De mieux en mieux ! La Colombe se prenait désormais officiellement - ou officieusement ? après tout ils étaient en petit comité - pour une Brebis ! Brebis qui, d'ailleurs, les regarde effarée. Tarées, barges, tabanas.

Astana ne le montre pas mais elle ressent alors une profonde douleur… se mettant l'espace d'une seconde à la place du Bibosor des mers ayant reçu un tel projectile en plein dans la poitrine. Et qui est-ce qui allait lui enlever les épines après, mmh ?

Malheureux renard ayant eu le malheur de s'aventurer sur un tel terrain.

Elle lève alors son index, l'air de dire «bougez pas j'reviens» et replonge dans les profondeurs en quête d'une «chose» croisée un peu plus tôt. Cette chose qu'est-ce que c'est ? Et bien figurez-vous que c'est un crabe ! Eh ouais. Lorsqu'elle sort la tête de l'eau, respirant à pleins poumons, elle se met à rire. Vicieuse petite peste qu'elle est. Qu'elles sont.

Où va-t-elle accrocher le crabe, alors ?

1. Au lobe de son oreille
2. Aux poils de son torse
3. Au téton
4. Au nez (sur un malentendu ça peut marcher)
5. Aux.. aux…


- POUCEEEEEEEEEEE !


- Pouce ? C'est quoi ça ? J'connais pas ! Ahun.



Et HOP ! Crabe accroché. Pinces fermées. Douleur certaine.
Pauvre téton…

Ah que c'est bon, le chouchen aux champignons !


* We Only Live Once Les Strokes

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Gypsi
[ C'est l'histoire de... PAF loup! ou la crevette au choix]

C'est l'histoire de trois petits cochons. Ah nan. On recommence correctement. C'est l'histoire de trois drôle de donzelle, une brebis, un dragon et une colombe. Elles sont surprises et poursuivies par un renard. Et ça finit en "PAF PAF PAF le r'nard!!!!". Bien comme résumé non?

Tout s'accélère. Surtout pour le pauvre renard. Après avoir bu un bon tiers de la mer, voilà que les bestioles qu'elle contenait s'en prenait à lui. Un oursin volant vint se planter en plein milieu de son thorax, laissant la gitane siffler, après le bêlement de la colombe, pas courant, mais elle va s'y faire à force, et finira par croire que les colombes bêlent, tout comme les magneaux et les brebis bell'euses!:

Beau jet! 50 point! Oh yeah! et de marquer son respect pour le jet, et pour l'oursin, parce que le pauvre aussi, on ne pense pas assez à lui, en répondant au bêlement: Beêêêêêêêêêêêêêêêêêêêêêêêêêêh êêh êêh!

Et tout s'enchaîne toujours. Elle grimace légèrement pour le pauvre renard, c'est que ça doit faire mal, les hérissons marins! sur la tendre peau du thorse! Hum! un délice, un régal! Alors la brune lui renfonce la tête sous l'eau, le temps qu'il crie, voulant pas perdre son ouïe merveilleuse. Il remonte et hurle un immense:

POUCEEEEEEEEEEE !
Pouce ? C'est quoi ça ? J'connais pas ! Ahun.


Et la voilà qui sort l'arme fatale... LE crabe! Enh, la brune elle serre les dent en le voyant pincer le téton du renard. Pour sur que ça, ça doit faire très mal! très très mal! encore plus que le hérisson marin surement! Pis, le soucis, c'est qu'il se prend tous les coups au même endroit le pauvre Bibo. Mais bon, pas de répis pour la canaille! Fallait pas venir les embêter ce soir là. Oh ça non!

Nan mais, c'est qu'il veut un autre crabe sur l'pouce! T'en a pas un autre Staaaaan?!

Pour sur on ne l'y reprendrait plus. Quoi que, peut être que les renards sont un peu suicidaire sur les bords parfois. Elle aide les donzelles à chercher un autre moyen de 'vengeance" à infliger au renard, plongeant à la recherche de bebête marine. Soudain, elle ne voit plus rien, la lumière s'éteint. Tout est noir. Comme dans le cul d'une poule. Expression bien étrange, elle n'est jamais aller vérifier si le cul d'une poule était noir. Faudrait qu'elle se renseigne. Bref, paniquée, elle remonte à la surface, une sensation bizarre autour du visage. Elle remonte à la surface ... avec une algue sur la tête, qui lui couvre le visage, ou presque. Grogne, grommelle, déglutit. Vrai que c'est dégueulasse quand même. Gluant, puant... brrrrr elle en frissonne. Ni une ni deux, elle arrache avec sa main l'algue traitresse et la balance rapidement au loin. Loin qui atterit malencontreusement... sur la tête de... -bin le hasard est bien fait, si si, très bien fait, on le dit toujours- donc malencontreusement, innocemment - vrai que c'était pas prémédité, un pur hasard je tiens à le préciser - sur la tête de... la louve. Le hasard est peut être pas si bien fait que ça! Ouch! ça va grogner.... ou hurler!

MAIS C'EST DEGUEULASSE!!! ouais, elle hurle aussi la brune, pour couvrir peut être les cris de Stan, pour se donner un aspect innocent. Et lorsque qu'on la regarde, yeux noirs, accusateurs, elle lève la main, innocente et lâche:

J'ai une question de PREMIERE importance! BIBOOOOOOOOOOOOOO! Toi qui t'y connais en poule!!!! Vrai que dans leur cul c'est tout noir? Ou c'est une légende?!

Bon, elle plus nette. Les joies du chouchen champignonné. Faut pas lui en vouloir. Elle attend la réponse avec un grand sérieux, mais se glissant tout doucement, mine de rien de plus en plus dans l'eau, pour se cacher. On sait jamais comment une furie réagit...

Elle s'enfonce tout doucement, lorsque ses yeux s'ouvre en grand, sa bouche aussi. Oui, ses yeux sont grands ouverts - comme si elle avait vu un fantôme - et sa bouche grande ouverte aussi - comme si... elle allait hurler. Ce qui ne saurait tarder:

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH!!!! NOM D'UNE CREVETTEEEEEEEEEEEEE!!!!! J'savais pas qu'les champignons marins existaient!!! C'est quoi cette chose

Nan elle n'était pas médusée. Loin de là, c'est juste que... là devant elle flottait un espèce de chapeau blanc. Vous voyez? Non vous voyez pas? Ces choses qui piquent, qui "BRULENT" parce qu'on reste dans le thème hein! Ces chose blanche transparente! qui flottent. Qui ressemblent à des champignons? Des chapeaux? Qu'on les pattes qui ondulent? Oui vous voyez? Bin elle, elle sait plus ce que c'est! Totalement à l'ouest la brune.
Astana
[Quand les Furies attaquent, le Champignon contre-attaque !]


C'est vrai, c'est vrai… pauvre Bibo. Mais il avait amplement mérité son châtiment ! On déconne pas avec les Furies Aquatiques. Aussi, lorsqu'il eut fini de crier - et Deos que ça criait fort un renard, mine de rien - elle retira le crabe de son téton avec deux doigts et le balança derrière elle, sans regarder. Juste le PLOUF! entendu peu après confirma qu'il n'était pas allé s'accrocher ailleurs ; ce qui lui fit hocher gravement la tête avant de se concentrer de nouveau sur le pouce de leur Victime levé.


- Nan mais, c'est qu'il veut un autre crabe sur l'pouce! T'en a pas un autre Staaaaan?!
- Heeeein ? Bah nan ! J'l'ai envoyé valser… va falloir trouver autre chose !



Chose… crabes, coquillages, algues, oursins aussi.

Mais la blondeur a suffisamment vu les fonds sous marins pour le moment… et puis faut aussi avouer que la nature a beau être bien faite, se retrouver nez à nez avec les lunes des uns et des autres toutes les deux minutes, ça l'agace un peu. Donc Astana reste à la surface, pour une fois, accrochée au bras de la crevette géante pour le maintenir en place, tout en faisant des oeillades à la Colombe qui bêêêêle, pendant que la vraie Brebis - celle qui sait bêêêêler correctement - plonge.

Mais là, d'un coup…. PAF ! c'est tout noir.



- AAAAAAAAAAAAH ! C'EST QUOI ÇA ?!!!!
- MAIS C'EST DEGUEULASSE!!!



Forcément, elle hurle, elle gémit aussi… rien qu'en touchant cette «chose» sur sa tête. Sur sa crinière blonde. Ce machin vient tout parasiter ! Alors elle hurle de plus belle, et les deux Furies hurlent aussi. Par surprise ou par peur, allez savoir… Toujours est-il qu'elle se force à «porter la main à la pâte», et qu'elle envoie valdinguer aussi loin de sa tête que possible cette immondice visqueux.


- Brrrrrrrrr. Yeurk.


Astana s'ébroue, le poil hérissé. Elle a du mal à s'en remettre. C'est une expérience traumatisante… et elle finit par croire que l'Univers tout entier s'est ligué contre elle. En réalité, la jeune femme n'a tellement plus les idées claires qu'elle en vient à se demander si ce n'est pas Dame Nature qui complote contre elle. Voilà, c'est un fait : La nature la DETESTE, elle VEUT SA PEAU, et elle COMPLOTE ! Alors il faut agir vite avant que la Mère Suprême ne sévisse de nouveau.

Lorsque la Louve revient à elle, Gypsi s'est fondue intégralement dans l'eau, tout comme Andrea. Les sourcils se froncent et une moue dubitative se dessine sur les lèvres de la blondeur. Elles font pipi ? Et puis… Bibosor aussi semble bizarre…



- Qu'est-ce qui…
- AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH!!!! NOM D'UNE CREVETTEEEEEEEEEEEEE!!!!! J'savais pas qu'les champignons marins existaient!!! C'est quoi cette chose



Ah ! Ah !

C'est ça ! Et puis la marmotte, hein… ?

Ils essaient de lui faire une blague ! Mais ça marche pas. Ah ça non !



- C'est ça ! Non mais ça va pas hein… j'tombe pas dans le pan…


Ses yeux s'écarquillent alors - elle joue au merlan frit - au passage de la chose Inconnue. Ça semble flotter dans l'eau. C'est mort ? Elle n'ose plus bouger, de peur de faire des vagues, suivant du regard ce «mollusque» qui trace son chemin paisiblement entre les compagnons de jeu. Mais… hein ! Et puis tant pis ! Qui est-ce qui veut quelqu'un qui met les deux pieds dans le plat direct ? Bah la blonde, tiens. Alors elle plonge la tête, histoire de voir le truc de plus près et la ressort aussitôt en criant :


- AAAAAAAAAAAAAAAAH ! UN CHAMPIGNON AVEC DES PATTEEEEEEEEEES !!!!!! SAUV' QUI PEEUUUUUT ! MERE NATURE COMPLOTE CONTRE NOUUUUUUUUUUS !


Nature 2 - Furies &co 0
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