Lothar.von.frayner
Il est linfant prodigue dune illustre famille.
Lothar Von Frayner, laiglon, limplacable, huit ans révolus, qui enfin, guette les frontières Lorraines.
Mère serait rassurée, père pourrait le sermonner, mais le préféré était bien arrivé.
La route avait été exagérément longue, ponctuée de quelques échauffourées, quelques hurlements du jeune Frayner qui se complaisait à avoir tout ce à quoi il rêvait. Il voulait voir les catins en la fastueuse Parisienne, il y avait été, certes en catimini, mais tout de même. La visite navait pas été très concluante, mais il sy était fait un ami en la personne du fils de la maquerelle, rompant ainsi la solitude qui rongeait ce petit être de fierté.
Il voulait monture à sa hauteur, voila quil montait maintenant un fier poney à la robe bringée, docile à souhait, que lenfant adorer caresser en fin de journée.
Choyé par une nourrice très protectrice, il ignorait tout de la réalité, lui qui évoluait dans un monde de mystère, de chevalier, de princesse et de dragon. Il se savait à labri de tout inconfort, et avait laudace que pouvait avoir un enfant de son âge. Multiplié par cent.
Ainsi à Toul, il cherchait à faire savoir quil était enfin présent en Lorraine, et recrutait crieur pour prévenir le chaland de larrivée de lenfant.
« -Toi là !!
-Moi ?...Monsieur ?
-Non le pape de laristotélicisme !»
Moue désabusé du clochard trouvé en pleine rue pour servir le môme.
« Deux écus si tu annonce en place publique que chui en Lorraine, faut quma famille me retrouve, alors pas dsautises où jte marave la face en te prout-proutant au visage !!! »
La menace était réelle, ainsi, plusieurs heures plus tard, lhomme, accompagné du jeune Lothar, sécriait dune voix de stentor.
« -OYEZ OYEZ, bons gens, limmensité immense nommée Lothar Von Frayner, le bel, lintelligent, le pragmatique, lillustre, ladoré, ladulé, laimé, le plus fort que tous, le magnifiquement beau, la lumière du monde, le fils de sa mère, la fierté de son père, le plus mieux que son frère, et le plus fort que sa sur, recherche sa Famille, les Von Frayners, si ils mentendent, quils viennent de ce pas où le beau, lillustre, bref, Lothar, promet de mettre une main aux fesses de lancienne Duchesse, la simplette !!!! »
Le dialogue était de Lothar, du grand art en soit.
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By Exquiz
Lothar Von Frayner, laiglon, limplacable, huit ans révolus, qui enfin, guette les frontières Lorraines.
Mère serait rassurée, père pourrait le sermonner, mais le préféré était bien arrivé.
La route avait été exagérément longue, ponctuée de quelques échauffourées, quelques hurlements du jeune Frayner qui se complaisait à avoir tout ce à quoi il rêvait. Il voulait voir les catins en la fastueuse Parisienne, il y avait été, certes en catimini, mais tout de même. La visite navait pas été très concluante, mais il sy était fait un ami en la personne du fils de la maquerelle, rompant ainsi la solitude qui rongeait ce petit être de fierté.
Il voulait monture à sa hauteur, voila quil montait maintenant un fier poney à la robe bringée, docile à souhait, que lenfant adorer caresser en fin de journée.
Choyé par une nourrice très protectrice, il ignorait tout de la réalité, lui qui évoluait dans un monde de mystère, de chevalier, de princesse et de dragon. Il se savait à labri de tout inconfort, et avait laudace que pouvait avoir un enfant de son âge. Multiplié par cent.
Ainsi à Toul, il cherchait à faire savoir quil était enfin présent en Lorraine, et recrutait crieur pour prévenir le chaland de larrivée de lenfant.
« -Toi là !!
-Moi ?...Monsieur ?
-Non le pape de laristotélicisme !»
Moue désabusé du clochard trouvé en pleine rue pour servir le môme.
« Deux écus si tu annonce en place publique que chui en Lorraine, faut quma famille me retrouve, alors pas dsautises où jte marave la face en te prout-proutant au visage !!! »
La menace était réelle, ainsi, plusieurs heures plus tard, lhomme, accompagné du jeune Lothar, sécriait dune voix de stentor.
« -OYEZ OYEZ, bons gens, limmensité immense nommée Lothar Von Frayner, le bel, lintelligent, le pragmatique, lillustre, ladoré, ladulé, laimé, le plus fort que tous, le magnifiquement beau, la lumière du monde, le fils de sa mère, la fierté de son père, le plus mieux que son frère, et le plus fort que sa sur, recherche sa Famille, les Von Frayners, si ils mentendent, quils viennent de ce pas où le beau, lillustre, bref, Lothar, promet de mettre une main aux fesses de lancienne Duchesse, la simplette !!!! »
Le dialogue était de Lothar, du grand art en soit.
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