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[RP] Campement de l'Ost de Retz

Lanceor
Malgré la proximité qui caractérise les hommes d'armes, la formation des hommes de Retz met une grande importance sur le respect de la hiérarchie. Ainsi donc, le capitaine fit stopper sa monture à la question du Maréchal.

Mes respects Maréchal !

Nos officiers et sous officiers veillent au grain !
Notre ordonnance fait de nouvelles émules que nous nous chargeons de former.
Les compagnies de quart sont en alerte comme demandé et les relèves fourbissent et entretiennent armes et matériels.
J'allais en ville afin de sursoir au ravitaillement du camp avec les paysans locaux.
A disposition Maréchal !

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Coldtracker
Maël opina du chef et répondit:
-"Bien capitaine, je n'en doutais nullement..."

Il allait partir quand il montra le destrier du doigt:
-"Belle foulée, beau travail de dressage...Espagnol non? J'ai une préférence pour la manière portugaise...

Oui, allez en ville, quant à moi,je vais profiter du peu de temps libre que j'ai pour m'entraîner...Le savoir s'entretient..."

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Maryana
Je m'étais promenée dans la cité toute la matinée. Un campement avait attiré mon attention, j'étais presque certaine qu'il n'y avait rien sur ce promontoire lors de mon précédent passage. M'approchant, mais restant cependant à bonne distance, cela me sembla de nature militaire, aussi jugeais-je qu'il fallait mieux rester à distance respectable, la présence de civils n'était peut être pas la bienvenue.

J'allais contourner les lieux lorsque j'aperçus quelque chose, enfin plutôt quelqu'un. Curiosité piquée. Je m'approchai si discrètement que je le pus, et me faisant toute petite j'observais. L'homme faisait visiblement de l'exercice, mais l'art en était consommé. Pour la demoiselle que j'étais, l'exercice en question, parfaitement maîtrisé, était absolument impressionnant. Je restais là à observer, dans les hautes herbes, espérant que rien ne trahirait ma présence inopportune.

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Chikaka10
Nouvelle journée. La lieutenant comme tous les matins s'était levée très tôt. Sa cheville la faisait souffrir mais elle était un officier de l'Ost de Retz et était habituée à ne rien laisser paraitre.

Elle prit la tisane calmante et essaya d'enfiler sa botte... Peine perdue, avec l'atèle impossible de la mettre.

Et bien ! pas de bottes, ce n'était pas grave...

Chika sortit de sa tente avec l'aide de son bâton et héla un soldat.

Faites moi amener mon cheval sellé, je vais en avoir besoin.

Le soldat obtempéra tout de suite après un salut militaire.

Bien lieutenant ! tout de suite.

Cela ne prit pas longtemps avant que son étalon noir fit son apparition. La lieutenant monta sur une caisse et se hissa sur sa monture. Au moins à cheval elle pourra faire son inspection.

Bien droite sur Zéphyr, d'une pression des cuisses, elle commença son inspection. Ses soldats vérifiaient chaque veuglaire, chaque ribaudequin soigneusement. Ils connaissaient tous leur travail, maîtrisaient parfaitement ces armes dangereuses pouvant péter sans prévenir dans des mains non expertes.

C'est parfait artilleurs ! Comme toujours !

Continuant son inspection plus loin, elle croisa le capitaine et le maréchal. Arrêtant sa monture elle les salua respectueusement mais ne descendit pas de son étalon noir. Nul ne devait savoir qu'elle avait un problème à la cheville. La jeune fille s'était placée de telle manière que ce soit son pied valide qui soit visible.

Maréchal ! Capitaine ! mes respects du jour !

Compagnie d'artillerie prête ! Toutes les armes sont en état de fonctionner correctement. On attend plus que les ordres...


Saluant elle continua son inspection du campement, ne voulant pas trop s'éterniser près de ses supérieurs. Il allait falloir la jouer fine...

Un bruissement dans les hautes herbes attira son attention. D'une pression des genoux sur les flancs de Zéphyr, elle accéléra le rythme vers les abords du campement.

Inspectant les alentours du regard, la jeune fille ne vit rien.


Sûrement un chien errant...

Mais pour plus de sûreté elle envoya deux soldats faire une ronde...
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Coldtracker
Maël salua sa lieutenant d'arstillerie et opina derechef davants les faits....

Il partit s'entraîner....

Lichtenauer...

Maël avait été formé par l'un de ses disciples et en était devenu un fervent adepte....

A l'instar de l'escrime de Lichtenauer, il avait suivi un enseignement complet dans la formation du métier des armes...

Et ce dans toute l'Europe, Il était devenu mestre d'armes et finalement mestre de guerre en Italie...Avec la famille Sforza...

Tant d'efforts, tant de sacrifices, tant de guerres pour le service de Bretagne...

Et tout cela sans aucun regret...

Il avait payé le prix...
Il était gravé dans sa chair sous formes de cicatrices mais il s'estimait heureux d'être en vie et indemne de toute mutilation...

A Vint-cinq printemps, il commandait une armée d'élite et était Vicomte...

Mais il était seul, il en avait pris l'habitude, les femmes fuyaient les hommes de la guerre comme on fuyait la peste...

Le colosse leva le visage vers le soleil qui se manifestait ce matin-là échauffant la terre des ses rayons, il se mit à sourire, ce qui était chose rare...

Il faisait bon...

Seul,Il finit par déboucler son doublet armant dévoilant un torse puissant zébré de balafres .
Il accrocha le doublet à la branche d'un arbre et reprit...

Concentré...

Il commença par s'échauffer physiquement tel qu'il l'avait appris depuis son plus jeune âge puis...

Il travailla "ses temps" et "ses déplacements" puis les gardes ....

Il travailla ensuite les coups d'engagements:
- la frappe de la colère, le zornhauw
- la frappe crânienne, l' oberhauw ou schedelhauw
- la frappe du milieu ou frappe d’opposition au-dessus, le mittelhauw ou
uberzwerchhauw
- la frappe du dessous , le unterhauw...

Il n'avait pas fini qu'il était déjà en sueur....

Il continua cependant encore et encore exécutant toutes les passes les unes après les autres....

Le travail à l'épée bâstarde étai son préféré, la lame était son arme de prédilection..

Il s 'arrêta enfin....

Le vent avait tourné et lui apporta une senteur de parfum....
Un parfum de femme...

Le colosse tourna son visage qui portait une fine cicatrice sous l'oeil gauche face au vent et darda ses yeux bleus vers les hautes herbes...

Il ne voyait personne mais le parfum suffisait, un soldat devait faire confiance à ses sens...
Aussi dit -il:
-"Vous pouvez sortir...Malgré ce qui se dit sur moi, je ne mange pas les gens..."

Il se rendit compte qu'il était torse nu....

Tant pis pour les convenances....

D'un regard distrait, il aperçut deux de ses hommes faire une ronde...
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Darklumi
dark appliqua sur le champ les ordres du capitaine

bien soldat firmas et naelias donnez moi vos epées

oui dizainier

il en jetta une dans les mains de tony james et garda l autre pour le descriptif de l arme

avant que vous ne commenciez le combat , laissez moi vous presenter celle que vous devrez aimer plus que tout

dark exercuta quelque passe avec l arme qu il avait en main

voici donc une epée , comme vous pouvez l appercevoir , elle se compose de plusieur elements.
la partie basse se compose dû pommeau de garde , la branche de garde et de la coquille de garde.
alors que la partie haute , est celle de la lame , ainsi que la soie de la lame et du fourreau

veillez a ce que la soie soit toujour tranchante , et comme on le dit toujour , la garde vous preservera des mauvais coups , alors que la lame sera votre meilleur allier pour pourfondre votre adversaire , entretenez la bien et elle vous le rendra

bien passons donc a l application , soldat winwin prennez cette epée


le dizainier lui lanca l epée

a vous de jouer soldats montrez nous de quoi vous etez capable
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Chikaka10
Une voix se fit entendre, celle du maréchal. Il s'était donc rendu compte de quelque chose également... Voyant que celui-ci allait s'occuper de cette affaire, la lieutenant se dirigea vers ses artilleurs à nouveau...

Il fait beau... Cela vous tenterait un entrainement aux traits à poudre ?

Devant l' acquiescement général, Chika sourit.

Je n'en doutais pas une seule seconde. Prenez les armes et des mannequins de paille et en route soldats. Direction le terrain vague un peu plus loin. Hop ! hop ! on s'active.

Les artilleurs prirent les traits à poudre, la poudre, de quoi bourrer et les projectiles et leurs cibles. Les soldats entamèrent un chant breton jusqu'au terrain d'entrainement...

[sur le terrain vague]

Des soldats installèrent les cibles en paille au fond du terrain. Et ils allèrent tous se placer à une certaine distance...

La jeune lieutenant, appuyée sur sa béquille de fortune, posa la première question...

Quelqu' un peut me dire à quelle distance peut tirer le trait à poudre ?

Tous les soldats, en coeur, donnèrent la réponse.

Environ 60 m lieutenant !

Chika approuva d'un signe de tête.

A présent , détaillez moi toutes les tâches que vous allez effectuer avant la mise à feu...

D'une seule voix, les artilleurs énumérèrent la préparation de l'arme :

Le chargement s’effectue par la gueule de l’arme. On place d’abord une charge de poudre, puis on bourre à l’aide d’un bouchon de bois, du foin ou du tissu et on place le projectile.

Ensuite on attend votre ordre lieutenant afin que le boutafeu allume la poudre.


La jeune fille sourit. Ils connaissaient tous le fonctionnement. C'était un plaisir d' avoir des soldats aussi professionnnels.

Alors allez y ! Mettez vous deux par deux et dégommez moi ces cibles.

Tout se déroula dans la plus grande maîtrise, chacun connaissant sa tâche. Les uns derrière les autres , voir en même temps, annoncèrent qu'ils étaient prêts à la mise à feu.

Prêt lieutenant !

La lieutenant d'artillerie leva le bras en l'air et donna l'ordre.

BOUTAFEU !!!!!!!!!!!!!!!!!!

Les détonations claquèrent dans le silence printanier, apeurant des oiseaux non loin... La paille des cibles vola de tous côtés...
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--Naelias
il s approcha de tony james et winwin

alors les bleus , n allez pas vous faire mal , il faut avoir de la force pour jouer avec de tel armes , il ne faudrait pas en ramener un en petit morceau

il rigola et regarda firmas lui souriant
Coldtracker
Attendant ce qui allait sortir des herbes hautes, il entendit la voix forte et claire de sa lieutenant d'arstillerie....

Il lui avait transmis le savoir et maintenant, elle le transmettait à son tour...

Il avait fait ainsi pour tout ses officiers qui faisaient de même maintenant...
Sa lieutenant pouvait se vanter d'être un vrai Mestre d'arstillerie...

Peu de jeunes femmes pouvaient se vanter d'avoir un tel savoir...

Le savoir se devait d'être transmis et non pas gardé comme un trésor...

C'était sa vocation de Mestre d'armes et de guerre...
Transmettre pour faire des soldats bretons, les meilleurs...
Les plus efficaces au combat...

C'était ce qui caractérisait l'Ost De Retz...

Le Duc l'avait rêvé et voulu ainsi et lui avait réalisé le rêve...
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Winwin
winwin prit l'epée
pret dizanier contre qui vège combattre?
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Maryana
Il y avait beaucoup de mouvement dans ce camp, j'avais pu apercevoir une jeune femme non loin de l'homme que j'observais aussi discrètement que possible. Elle avait un instant semblé détecter ma présence, mais s'était éloignée, les herbes étaient si hautes et moi si petite. Je ne pouvais dégager mon regard de l'homme si pris par son art habilement maitrisé que ma présence ne semblait nullement l'avoir affecté. Mission réussie me dis-je j'avais su me faire oublier.

Un instant plus tard, mes certitudes faillirent. Il s'était interrompu, s'était tourné vers les herbes qui m'avaient offert tant leur abri que leur discrétion. Je m'interrogeais sur ce qui avait pu me trahir, j'étais pourtant bien certaine de n'avoir pas bougé d'un cil. D'une voix haute et claire, qui me captivait cependant moins que ces yeux d'un bleu profond, il sembla s'adresser à moi. Je restais impressionnée, presque pétrifiée. Sans doute n'aurais je pas osé me montrer s'il n'y avait eu soudain ce bruit qui me fit brutalement sursauter. Je me relevais prestement.

Apeurée un instant, mais tranquillisée par l'impressionnante présence de l'homme qui me faisait face, je ne pus néanmoins pas empêcher le rouge de me monter aux joues. Il était à moitié découvert, tandis que ma mise laissait à désirer, les herbes qui m'avaient abritées semblaient avoir décidé de se mêler à ma chevelure. Je n'étais guère présentable, mais une partie de moi se surprit à penser que s'il était si découvert il ne pourrait guère émettre de critique quand à ma tenue. Je m'approchais de quelques pas, restant néanmoins en retrait, fébrile quand à d'éventuelles autres détonations qui ne manqueraient pas de me faire sursauter à nouveau.


Demat..

Je réfléchissais, j'avais entendu la jeune femme s'adresser à lui un peu plus tôt d'un ton si respectueux, comment l'avait elle appelé déjà ? Maréchal ? Capitaine ? Je n'étais pas bien au fait des hiérarchies militaires.

Pardonnez ma présence inopportune...

Plus les mots passaient mes lèvres, plus mes joues s'enflammaient.

Je ne voulais pas déranger mais...

Je ne savais plus que dire, après tout, il eut été malséant de dire à un homme qui m'était somme toute totalement inconnu que j'étais restée à l'observer en catimini. Je me tus plutôt que de dire quelque chose qui m'eut embarassé plus encore, espérant qu'il dirait quelque chose lui même qui me sortirait de la gêne dans laquelle je me trouvais.
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Coldtracker
Le colosse se mit à sourire devant la visible gêne de la jeune femme qui malgré la mise quelque peu désordonnée était charmante...

Le bruit d'arstillerie l'avait surprise, il en allait souvent ainsi avec les gens qui n'étaient pas habitués...On s'y faisait à force...

Peu présentable lui-même il dit:
-"Demat, vostre parfum vous a dénoncé...

Vous auriez du vous mettre face au vent...


On ne refaisait pas un soldat...

-"Vous êtes pardonnée, pardonnez quant à vous ma façon un peu cavalière de parler mais je suis quelque peu méfiant...
Je ne compte plus le nombre de malandrins qui voudraient bien me voir 'ad patrès'..."


Sur ce, n'étant guère convenable mais pas le moins du monde gêné il se dirigea tout de même vers l'arbre où était suspendu son doublet armant, prit un chiffon et tout en essuyant la lame reprit:
-"Je me nomme Maël De Morrigan-Montfort, je suis le Maréchal de l'Ost de Retz qui campe ici..."

Il pointa du doigt l'énorme camp qui se trouvai non loin et continua:
-"Il n'est guère prudent de se cacher si près des gardes, c'est dangereux pour vous Damoiselle...

A qui ai-je l'honneur au fait?"


D'un geste rapide, il boucla son doublet armant et en quelques enjambées le Vicomte De Frozay se trouvait près d'elle et tendait la main pour l'aider à sortir des hautes herbes...
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Lanceor
La matinée était déjà fort avancée quand le capitaine revint au campement. Dans ses fontes, les billets à ordres qu'il avait signé pour le ravitaillement journalier du campement.

S'approchant de la motte, il aperçut le maréchal qui progressait dans les hautes herbes...Vers une forme plus ou moins tapie...
Machinalement, sa main dextre se porta à la masse à ailettes suspendue à l'arçon tandis que le destrier s'approchait par le revers...
Les sens aux aguets, l'officier continuait d'observer les hautes herbes par prudence. Même s'il savait que le maréchal n'était pas homme à se laisser surprendre, deux précautions valaient mieux qu'une.

Approchant lentement, il s'arrêta à bonne distance. Prêt à lancer la charge à tout mouvement suspect...Au loin, par derrière le maréchal, deux soldats de Retz étaient en rapprochement.

Le capitaine restait là, immobile, prêt....

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Chikaka10
Les artilleurs revenaient au campement après leur séance de tir aux traits à poudre. Ils chantaient, heureux de leur entrainement, heureux que le soleil soit présent, heureux d'être dans l'Ost de Retz...

La lieutenant d'arstillerie chevauchant Zéphyr était en tête de groupe. Arrivée devant leur campement, elle se tourna vers ses soldats.

Bravo artilleurs ! belle séance de tirs ! Permission d'ouvrir un fût de chouchen mais pas plus de deux verres chacun. Je répète que nous devons nous tenir prêts.

Mais tout d'abord nettoyage des traits à poudre et que tout soit impeccable...

Les soldats poussèrent des cris de joie à l'annonce de leur lieutenant et se mirent tout de suite à la tâche. Une fois le travail terminé, ils s'installèrent et burent ce qui était permis... Un soldat prit la parole...

Allez lieutenant ! un verre avec nous !

La jeune fille descendit de cheval et alla s'installer en boitant près de ses soldats. Prenant un verre, elle le leva et dit :

Aux artilleurs ! à l'Ost de Retz ! à Breizh !

Après le son des détonations, ce fut le son des voix et des rires des soldats qui résonnèrent...
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Maryana
Le voilà qui conversait comme si la situation était totalement naturelle, qu'il n'était pas à moitié nu devant moi et que je n'étais pas, admettons le au fond, en train de l'espionner. J'étais légèrement décontenancée.

J'admirais ses grandes foulées, me disant qu'il me faudrait sans doute faire trois pas quand il ne lui en fallait qu'un. Il se présenta. Maréchal qu'il disait. Que connaissais je aux hiérarchies militaires ? Fichtrement rien, il fallait bien l'admettre. Je gardais un air digne, malgré l'empourprement irrépressible de mes joues, du moins jusqu'à ce qu'il décide de s'approcher.

Il s'était recouvert, ce qui eut du me calmer, mais la présence du jeune colosse, car si les batailles avaient marqué sa physionomie, il était jeune à n'en point douter. Je restais interdite devant la profondeur de ces yeux qui avaient sans doute vu plus que je ne saurais l'imaginer.

Arrivé près de moi, il tendit la main, et quelle main. Il fallait que je me reprenne, que la parole me revienne, j'étais ridicule à restée ainsi pétrifiée.


Mon parfum ? Je n'y aurai point pensé. Mais il est vrai que je n'ai pas vostre entraînement.

Je pensais qu'après tout je ne risquais sûrement rien, vu la taille de l'homme s'il avait voulu me menacer, c'eut été déjà fait. Je plaçais donc ma main dans la sienne, au sens propre, telle une brindille à côté d'un chêne. Je me hissais près de lui, il était effectivement plus difficile de sortir des hautes herbes que d'y entrer.

Enchantée messire Maréchal. J'ai nom Maryana, mais l'on m'appelle généralement Mary.

J'aurais volontiers adopté une conduite plus brave, mais mon sursautement quelques minutes plus tôt, m'avait déjà trahi. Devais je rester ? Prendre congé ? Après tout je l'avais interrompu en plein entraînement, et le voilà qui me parlait courtoisement comme si de rien n'était, mais peut être préférait il la solitude. Je guettais un signe.
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