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[RP] Campement de l'Ost de Retz

Coldtracker
Maël laissa son capitaine expliquer le fonctionnement quand il vit Werner arriver...

Mary....

Il se mit à sourire en voyant Werner qui faisait de même et dit à Guillaume:
-"Oui, je demanderai tous mes officiers de se joindre à nous y compris ma lieutenant d'arstillerie si cela t'agrée....

Pour ma part...."


Regard vers Mary...

-"Je pense avoir une amie à convier avec nous..."

Puis regardant Werner, il lui demanda:
-"Werner, pourriez-vous prendre la recrue en charge?



Tout à son explication Lancéor énonçait les positions du camp avec efficacité selon les préceptes de l'italien Taccola, un tacticien hors pair qui avait eu grand succès et qui avait couché son expérience sur le vélin...
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Maryana
Tout ne s'était pas exactement déroulé selon mon plan, mais néanmoins le résultat final était à la hauteur de tout espoir. J'étais plantée la, devant Maël esquissant un sourire. J'avais craint le pire lorsque je m'étais aperçue que le soldat ne m'avait pas conduit où je le souhaitais, mais Werner m'avait fort heureusement reconnue. Je souriais aussi. On ne se jette pas dans les bras de quelqu'un, voilà une attitude qui eut navré ma mère qui avait tout fait pour m'apprendre les bonnes manières, malgré certaines attitudes restées sauvages, elle avait plutôt bien réussi, puisque j'avais réussi à me contrôler.

Je me tournais vers Werner et lui adressais un discret signe de tête, signe de remerciement de m'avoir conduit auprès du maréchal, son maréchal, aurais osé mon maréchal ? Cette subite pensée me fit rougir plus que de coutume, mais c'était une habitude que je commençais à avoir lorsque j'étais en sa présence.

Jouant la visite impromptue, si peu crédible que je sois.


Et bien mon cher ? Comment vous portez vous ? Je passais par là... Oui oui vous me direz c'est une habitude.

J'éclatai de rire pour cacher mon trouble et me tus un instant.
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Guillaumetell
Toujours aussi attentif, il marchait en écoutant les explications claires et concises du capitaine Lanceor...il sourit à Maël quand celui-ci répondit à sa requête

Merci mon ami, ce sera un plaisir que de l'y voir conviée, et il en est de même pour ton amie.

Puis écoutant de nouveau le capitaine, acquiesçant de signes de la tête chacun des arguments sur le bienfondé de l'organisation du camp, le maréchal de Bretagne s'enrichissait. C'est alors qu'il lui fut désigné la tente de Chika, il avait alors la permission d'y entrer.

Et bien merci capitaine, je vais donc la saluer prestement pour ne point attarder notre visite qui me donne l'eau à la bouche, sincèrement.

Il salua l'homme et se postant devant la voilure d'entrée de la tente, l'écartant légèrement de son bras tendu devant lui, il dit sur un ton qu'il espéra plus autoritaire que neutre.

Lieutenant Chikaka, êtes vous visible devant le maréchal de Breizh? Il aimerait s'introduire pour vous saluer

Un sourire radieux commencer à se former sur son visage sans qu'il ne puisse y contrer.
Chikaka10
Plongée dans son travail, elle n'avait pas entendu tout ce qui se passait à l'extérieur. Un rayon de soleil qui pénétra dans la tente, qui vint l' éblouir. Levant les yeux, une ombre se dessina pendant qu'une voix autoritaire s'élevait...

Lieutenant Chikaka, êtes vous visible devant le maréchal de Breizh? Il aimerait s'introduire pour vous saluer

La jeune lieutenant se leva d'un bond et se tint à la table pour saluer le maréchal de Bretagne comme il se doit, bien droite, malgré le fait qu'elle ne se tenait que sur une jambe.

Maréchal ! C'est un honneur de vous voir dans mes quartiers !

Un large sourire illumina son visage.

Entrez je vous en prie !

Chika s'avança en sautillant sur un pied au devant de lui.

Son coeur battait la chamade. Il était enfin là, devant elle... Elle n'avait qu'une envie : se jeter dans ses bras et l'embrasser...

Son soldat Tony_James se trouvait toujours devant la tente...

Soldat Tony ! Allez demander mes béquilles au capitaine. Dites lui que je ne m'en servirai pas à l' extérieur, ma jambe valide fatigue à force de ne solliciter qu'elle.

Elle tourna à nouveau ses yeux océan vers l' homme qui avait tant d' importance pour elle...

Que c'est bon de vous revoir !

Doucement sa main vint effleurer tendrement sa joue...
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Tony_james
Tony qui avait vu le maréchal de Bretagne entré dans la tente du lieutenant,alla conformement aux ordres de cette derniere demander des bequilles au Capitaine.

Il prit son temps,ne voulant pas interrompre le lieutenant et le Maréchal,il se diriga vers le Capitaine.


Capitaine,le lieutenant Chikaka m'envoie vous dire qu'elle a besoin de ses Bequilles.Elle vous assure qu'elle ne s'en servira pas pour se deplacer,mais elle en a besoin.
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--Precio
Un messager se présenta à l'entrée du camp porteur d'une missive à remettre en main propre au Capitaine de l'Ost de Retz.
L'écriture et le parfum en émanant ne laissait planer aucun doute quant à la main qui avait tenu la plume.

S'adressant à l'un des gardes présents.

J'ai une missive urgente pour le capitaine Lanceor. Je dois la lui remettre moi-même.


--Werner
Werner fit un demi-tour discret et se dirigea vers la semaine à l'entrée du campement.

Une jeune personne y attendait depuis un moment déjà et les allers et venues de ce matin avaient embrouillé les offices du sergent Werner.

Ach... Dessolé jenue fille ! Ch'ai eu t'autres brioridés à rékler !

Ach, ja, che me soufiens, fous êtes Monvort de Lafal ? Zé pien za ?

Gut...Che fé fou aggombagner dans fos gartiers. Fou bartacherez la tente du serchent Meiline et du dissainier Constipette.

Nous pazerons enzuite gé le vourrier pour hacer pupa éguipement et hacer pupa univorme !

Des queztions ?
Guillaumetell
Il entra, son sourire cloué aux lèvres, à l'invitation. Le soldat de faction devant la tente éloigné par un subtile stratagème, une main douce caressant son visage, il prit enfin la parole essayant de contrôler l'afflux de mots qui se sentait propulsé à l'allure de son cœur battant la chamade.

Chère Lieutenant, l'honneur est pour moi d'être ce jour ici devant vous, vous portant mes plus plates excuses pour le manque de nouvelles que j'aurai pu, plutôt du, vous apporter. J'ai peu de temps à vous consacrer de suite, l'on m'attend pour la visite du campement et je ne voudrait accaparer trop de temps à votre capitaine.

Lui glissant un clin d'oeil

J'ai néanmoins obtenu que vous soyez du repas que ce cher Maël m'a offert de partager.

Il la regardait d'un regard se perdant dans l'envergure importante de ses sentiments.

J'ai cru comprendre que vous avez fait preuve d'insubordination et maintenant que je suis devant vous...j'apprends que vous êtes blessée. Que s'est-il passé?

Il ne savait que faire. L'embrasser la maintenant...mais vers quoi le pousserait ensuite ce contact charnel? Sa bouche se desséchait, son pouls s'accélérait.
Chikaka10
Elle se croyait dans un rêve. Etait il vraiment là ? Tant de jours à espérer des nouvelles, tant de jours sans le voir. Elle savait qu'il était très pris par ses obligations liées à ses fonctions. Elle avait patienté, attendu, ne cessant jamais de l'aimer chaque jour davantage, pensant au jour où ils se reverraient enfin, à ce jour...

Tout en l'écoutant s'excuser, elle ne pouvait s'empêcher de le dévisager,de regarder ses lèvres, ses yeux...


Je comprends que vous n'ayez pas le temps de rester. Vous êtes ici pour une inspection... Je vais essayer d' avancer dans mon travail également. Surtout si je suis invitée au repas... Je vous reverrai donc très bientôt.

J'ai cru comprendre que vous avez fait preuve d'insubordination et maintenant que je suis devant vous...j'apprends que vous êtes blessée. Que s'est-il passé?

Et nous y voilà ! Comment lui expliquer rapidement tout ce qui s'était passé... Comment lui dire le fichu caractère qu'elle avait...

Et bien... C'est une longue histoire et ... Je crois que le capitaine vous attend... Je vous conterai tout ce qui s'est passé à un moment plus calme...

Chika ne pouvait lui narrer maintenant, ne voulant pas gâcher ce moment. Qui sait ce qu' il aurait pensé de son comportement et de son insubordination...

Elle plongea à nouveau son regard dans le sien et s'approcha tout prêt afin de lui murmurer ces quelques mots :

Da garan"

Puis elle joignit ses lèvres aux siennes d'un tendre baiser.

Elle s'écarta de lui à contre coeur tout en continuant à le regarder.

Allez y Maréchal ! Il ne faut pas faire attendre le capitaine ! On se reverra tout à l'heure au repas.

Qu' il était dur de le laisser partir...
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Guillaumetell
Tout comme elle avait gentiment éloigné le garde de faction, voilà qu'une magnifique pirouette orale lui permit de ne pas narrer le pourquoi du comment. Son sourire ne s'en trouva pas moins élargi, et lorsque les mots raisonnèrent en ses cavités auditives, animant fougueusement son cœur, faisant vibrer chaque artère, chaque veine...il allait l'embrasser mais elle prit le pas et ses yeux se fermèrent savourant ce doux contact.

Il lui murmura donc ensuite


Da garout a ran

Puis repris à plus forte voix

Bien Lieutenant, encore merci à vous de m'avoir reçu et j'espère donc que vous aurez fini votre travail afin de vous restaurer en notre présence, que vous puissiez me conter tout cela

Il lui sourit, ferma ses yeux, et les rouvrit emplis d'amour, puis fit demi tour rapidement sentant qu'il ne saurait partir sinon.

Il franchit ainsi la voilure d'entrée, reprenant ses esprits et se contrôlant pour ne rien laisser paraitre. Il alla à la rencontre du capitaine.


Bien, merci de m'avoir accordé cet instant capitaine, mes esgourdes et mes yeux sont entièrement à votre attention dès lors.
Coldtracker
Maël se mit à sourire et répondit:
-"Une bien belle habitude que tu as là....

Puis-je t'inviter à un repas en ma compagnie et celle du Maréchal de Bretagne et de mes officiers..?


Il dit un ton plus bas:
-"Et on verra pour un dîner en tête à tête un peu plus tard..."

Il vit son ami Guillaume revenir de la tente de sa lieutenant d'arstillerie et dit:
-"Tu pourrais visiter en même temps que le Maréchal de Bretagne....Lancéor doit lui faire visiter le camp.."
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Maryana
La visite que je dois terminer oui... Lanceor et le maréchal de Bretagne dis tu ? Cela ressemble fort à une inspection plus officielle que celle à laquelle je t'ai accompagné la dernière fois, essayerais tu de te débarasser de moi ?

J'éclatai de rire. Puis je repris plus bas.

Tête à tête dis tu ? La mienne commence à tourner à ces mots...

Je levais les yeux vers lui, le monde autour avait presque cessé d'exister.
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Coldtracker
Maël se mit à rire et dit:
-"Me débarrasser de toi? Hors de question..."

Il tendit son bras et reprit:
-"Tu n'as qu'à finir cette visite à mon bras..."

Pour le reste, il lui fit un clin d'œil, le maréchal de l'Ost De Retz avait du mal à se "lâcher" et plus encore quand il était d'office....

Mais il avait appris qu'être tout le temps taciturne n'aidait pas...

Et Mary lui donnait le sourire, c'était une chose trop rare....
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Maryana
Je ne me le fis pas dire deux fois. Le bras qui m'était offert était trop tentant pour être refusé. Je posais doucement ma main sur la sienne pour l'accompagner.

Je souris, nous étions au vu et au su de tous, ici il était maréchal et j'étais une simple civile. J'aurais aimé qu'un brouillard profond nous engloutisse à cet instant.

Continuons la visite mon cher. Puis je poser une condition ?

J'avais dit cela avec un sourire, et je terminais ma phrase en me mettant sur la pointe des pieds pour lui murmurer plus bas.

Condition que la visite s'achève dans la tente où se trouvent toutes les si jolies choses et ces bonnes bouteilles. Ainsi nous...

Je n'ai pas achevé ma phrase, il serait bien temps plus tard.
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Lanceor
Le capitaine ne fit aucune remarque. Il se contenta d'indiquer la direction de la compagnie d'infanterie.

Fort bien maréchal, nous nous dirigerons tout d'abord vers ce que l'on nomme "le grand carré". C'est à dire la plaine où notre infanterie s'entraîne sans cesse à l'ordre serré.
L'infanterie est un des fers de lance des armées modernes. Trop de belligérants ont négligé le fait de former professionnellement et correctement les hommes de pied. Il suffit de prendre l'exemple proche des françoys misant la force de leurs armées sur leur cavalerie lourde.
Nos officiers et dizainiers sont formés par les meilleurs spécialistes allemands et suisses, passés maîtres dans l'art des manoeuvres de piquiers.
Une compagnie de piquiers organisée en quatre dizaines soudées, et commandée comme il se doit, est souvent décisive dans les batailles modernes.


Les deux hommes étaient arrivés au grand carré où les dizaines n'avaient de cesse de se regrouper, de marcher en rangs serrés ou encore de pointer les piques.

Les premiers rangs sont calqués sur le principe ancestral des phalanges grecques et portent les piques créant ainsi un rideau quasi impénétrable tant à la charge qu'à la réception de charge.
Les rangs arrières, quant à eux, sont formés par les coutiliers chargés de "nettoyer" les ennemis tombés entre les rangs.
Vous aurez vite compris que dans cette unité, plus que dans d'autre, il faut faire une confiance aveugle à vos camarades de combat. Chacun protégeant ses voisins.


Nos officiers et sous-officiers appréhendent des fondements importants afin d'optimiser les résultats de chacune de leurs unités. On peut citer parmi ces principes l'intendance, le commandement et l'étude du terrain. Quand ces trois principes sont maîtrisés par une armée, elle a de fortes chances de gagner, plus que celle qui part à l'aventure !
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