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[RP] Campement de l'Ost de Retz

Roxannemontfortlaval


Je profitais du soleil printanier lorsque j'aperçus soudain une silhouette familière.
Je me renfrognais et me dis que puisqu'elle était là, autant aller l'affronter tout de suite et avoir cette discussion avec elle.
Je me rapprochais donc et restais pantoise en voyant ma tante quasiment prête à accoucher !!!!
Je me sentis soudain coupable de mon comportement, elle s'était déplacée dans son état, cela signifiait qu'elle devait bougrement s'inquiéter de ma personne.

Je me plantais devant elle et la regardais fixement sans parler.

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Mimilia74
Mimilia parlait avec Chika lorsqu'elle entendit un froissement de toile t vit apparaitre le ravissant minois d'une belle demoiselle, Elle reconnu de suite les yeux de Phoe sur le visage de la belle jeune femme. Elle la regardait fixement. Mimi se leva sourit à Chika et s'approcha de Roxanne.
Roxanne, est-ce bien toi ma belle?
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Roxannemontfortlaval


Je regardais ma tante approcher de moi. Je restais ébahie qu'elle me demande si c'était bien moi !!!! Evidemment que j'étais sa nièce !!!
Je réalisais soudain qu'il y avait longtemps que je ne l'avais vue et que la petite adolescente que j'étais avait du bien changer....


Bonjour ma tante....Oui, c'est bien moi Roxanne.

Lorsqu'elle me sourit j'eus un pincement au coeur en revoyant le sourire de mon père .

Je....Comment ...vous portez-vous ?

Honteuse, je la fixais néanmoins d'un air légèrement belliqueux.

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Mimilia74
Mimi sourit

>Et bien je me portes ma petite, je me porte ^^ Doucement pour aujourd'hui et demain je roulerais ^^

Mimi eut un petit sourire lorsqu'elle remarqua l'air belliqueux de la jeune femme, elle décida d'entrer alors dans le vif du sujet.

Je m'inquiéte ma puce, je ne te demanderais pas de quitter l'Ost même si j'en ai fort envie... mais j'ai ... j'ai perdu ton pére je ne veux pas te perdre toi aussi, et je sais que lorsqu'on a un manque, un décés proche on joue parfois avec la mort et je ne veux pas te laisser faire cela... j'aimerais donc que nous parlions calmement de ton engagement envers L'ost.
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Roxannemontfortlaval


Je regardais ma tante avec surprise en l'entendant qui me disait que je voulais jouer avec la mort !!!

Je la regardais d'un air outré.


Mais enfin ma tante, qui vous a donc mis dans l'idée que je voulais mourir ? Je ne suis pas entrée dans l'Ost parce que je veux mourir mais parce que c'est ma vocation que d'être dans l'armée.
Et mon père n'est pas mort par les armes que je sache...


Je me rembrunis légérement, un voile de tristesse passant devant mes yeux. Je me redressais de toute ma taille et regardais ma tante ainsi que ma cousine.

Je vous assure que l'armée est toute ma vie tout comme l'était la diplomatie pour papa !!! Vous pouvez tout de même comprendre ça !!! Et puis ma tante, que vous le vouliez ou non il y a toujours des risques mais il faut savoir les assumer.

Et tant que nous y sommes, je ne veux pas de votre prétendant à la noix !!!J'espère au moins que vous ne l'avez pas emmené ici avec vous ?


Je la regardais d'un air inquiet.

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Mimilia74
(dsl je dois abréger)

Me voilà rassurer, non non oublie ce fiancé ma belle je t'exoliquerais on s'est mal comprise ma puce. Je me remets en route je vous aime mes ptites miss.
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Maryana
J'étais revenue à l'entour du camp presque machinalement, les derniers jours avaient été mouvementés et j'avais eu besoin de retrouver la sérénité de la demeure que Chikaka m'avait prêté pour me donner une mine convenable. Je ne savais pas qui était au camp à cette heure, plus très matinale soit, aussi cette fois fus je moins inventive que j'avais pu l'être précédemment, il serait bien temps un autre jour. Je me présentais à l'entrée du camp, devant le soldat en faction.

Demat soldat, j'ai une missive à faire parvenir au maréchal.

Je me doutais qu'il ne l'entendrait pas de cette oreille.

Me permettrez vous de la lui remettre moi même ? Qui ne tente rien n'a rien pensais je.

J'attendis.
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--Werner
De faction à l'entrée du camp avec ses vougiers, le sergent Werner poussa le planton de côté.

Mes sommaches tame marie anna ! Ach so...Un bli bour le maréjal ?...

Sourire à pleines dents du sergent.

Zi zé une leddre barfumée, il faut mieux que fou la remédiez en mains brobres....Endrez, che fou brie !

Le sergent passa ses pouces dans son baucdrier et sourit au passage de la demoiselle.

Se tournant vers la faction.

Alors fou z'audres ! Zé tout ze gue fou zavez à vaire ? Zi ch'en fois engore un qui ze marre, ché lui basse un crand goup de gomme à evacer le zourire ! Arbeït ! Schnell !
--Morganerig


Citation:
Qui a dit que le métier des armes était facile hein? Personne Maël...Personne...


Il pense avoir entendu la voix d'un de ses maitres d'armes. Mais c'est parce qu'elle est toujours présente à ses côtés et qu'elle lui souffle les paroles sages. De celles qui font grandir l'âme, la magnifie, la transcende lorsque l'homme a besoin de soutien.

Morganerig pose une main sur l'épaule de Maël. Soutien rassurant.
Abattre un homme, qu'il soit duc, noble, roturier ou gueux, cela reste une épreuve. Et quand bien même Coldtracker a été élevé dans ce but quasi ultime, il n'en demeure pas moins un homme lui-même, sensible et vulnérable sous sa carapace de guerrier froid. Ca, Morganerig est la seule à le savoir. Presque la seule...


Tu suis la route qui t'est tracée Maël. Et tu ne faillis pas.
Fais ce que tu dois. Sois ce que tu es...


Bientôt elle sent poindre d'autres émotions, tout aussi fortes. Tout aussi déstabilisantes. Un sourire glacial se fige sur le visage de la déesse.

Sa place n'est plus ici. Pas pour le moment du moins.
Chikaka10
La jeune lieutenant avait dialogué avec sa cousine un bon moment, jusqu'à l'arrivée de Roxanne. Là elle quitta les deux femmes, elle avait encore beaucoup à faire et son moral en ce moment n'était pas au beau fixe. Elle n'arrivait pas à accepter la traitrise de Naoned. Du coup elle n'avait envie de parler à personne et préférait rester seule...

Le meilleur moyen de surmonter cette épreuve était de se donner à fond dans le travail comme d'habitude. Avant elle devait passer dans la tente du chirurgien afin de lui montrer sa cheville... cela trainait trop...

Chika entra dans la tente et s'adressa au chirurgien.

Demat ! Je dois retourner défendre la mairie, pouvez vous regarder ma cheville. Je n'ai pas l'impression qu'elle aille mieux.

Retirant sa botte, installée devant le médicastre, celui-ci examina la cheville encore gonflée...

Hummm ! La guérison va être longue si vous bougez, mais vous n'avez sans doute pas trop le choix vu les circonstances.

On va essayer autre chose. Un beaume pour désenfler et un bandage serré. Restez à cheval le plus possible, évitez de marcher.


Le chirurgien appliqua lui-même le baume et fit le bandage.

La jeune femme serra les dents mais ne dit rien. Elle pensait à la Bretagne et ne voyait plus beaucoup d'avenir en ce moment même avec la mobilisation de tous pour remonter le duché.


Elle regarda ensuite le médicastre qui préparait quelque chose dans une fiole.

Tenez ! buvez quatre fois par jour... Cela va atténuer la douleur et aider à la guérison de votre cheville.

La lieutenant le remercia...

Encore combien de temps afin de retrouver mes deux jambes ?

Une quinzaine si vous faites tout ce que je vous ai dit. Surtout évitez de poser le pied à terre...

Chika coinca la gourde dans sa ceinture et prit ses béquilles pour sortir quand le chirurgien reprit la parole...

Et arrêtez d'être une tête de mule si vous voulez guérir. Votre maréchal a vraiment raison. Vous êtes impossible et cela se retournera contre vous. Continuez à vous entêter et vous perdrez votre pied... Est-ce bien clair ?

La jeune femme le regarda avec de grands yeux. Perdre son pied... sans pied... finie l'armée, fini l'Ost, finie le métier qu'elle aimait...

Ne vous inquiétez pas je veux guérir et là de toute façon je n'ai plus de rebellion en moi. Il me reste seulement la force pour défendre notre ville et notre Bretagne...

Sur ses dernières paroles, elle sortit et se dirigea vers sa tente afin de mettre son harnois et se rendre à la ville pour continuer à organiser la défense.
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Coldtracker
Maël se sentit soudain apaisé comme lorsqu'il se trouvait à Brocéliande...

Il regarda autour de lui et crut sentir une présence puis...Plus rien...
Il se sentait mieux ..Comme..revigoré...

Il regarda au dehors et vit Mary qui se dirigeait vers sa tente....

Le visage balafré du tueur qu'il était se mit à sourire et il se leva pour l'accueillir...
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Maryana
J'avais été accueillie avec affabilité comme à l'accoutumée. L'accent prononcé de Werner me faisait sourire, mais sa politesse était sans faille. La discipline et le respect qu'il imposait également. Je rougis à la mention de "lettre parfumée". Parce qu'au fond, il n'y avait pas de lettres autres que celle que j'avais inventé de peur qu'on ne me laisse pas rentrer dans le camp. C'était une idée un peu idiote il était vrai, après tout, maintenant que j'entrais de façon conventionnelle qu'on me refuse à l'orée du camp.

J'étais plongée dans mes pensées lorsque je vis une silhouette bouger. Je l'aurais reconnue entre mille. Maël venait de se redresser, même si parfois pour me sentir moins petite j'eus préféré qu'il reste assis, cette pensée manquant de m'arracher un éclat de rire. Je me contentais de sourire, m'approchant en suivant Werner. Arrivant aux environs de la tente, je m'approchais plus doucement.


Maréchal mes respects.

Là aussi, je manquais d'éclater de rire, non point qu'il s'agisse d'un manque de respect, mais je n'étais pas soldat, et ces mots sur mes lèvres sonnaient étrangement. Alors que mon coeur aurait simplement soufflé "Maël..." néanmoins, malgré la discrétion de Werner dont j'étais certaine, nous n'étions pas seuls. Aussi restais je dans ce que la politesse me dictait. Le sourire, déguisant mon éclat de rire, était cependant représentatif et j'espérais de tout coeur qu'il comprendrait, il serait bien temps plus tard de le lui expliquer au besoin.
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Coldtracker
Le colosse retint l'éclat de rire qui faillit le surprendre devant la formule de politesse et avec un sourire narquois, il joua le jeu:
-"Ravi de vous recevoir en ces lieux damoiselle Maryana...

Puis-je vous inviter à rentrer?Il ne sera pas dit que l'hospitalité du Maréchal de l'Ost De Retz laisse à désirer..."


Le Vicomte De Frozay lui laissa le passage avec un franc sourire et reprit:
-"Que puis-je pour vous agréer ma Damoiselle?"
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Maryana
Un instant de panique me prit, il n'avait pas compris sans doute que mes lèvres ne traduisaient pas ce que je pensais. Parfois je regrettais l'éducation que ma mère m'avait donné, même si j'étais un peu sauvageonne enfant, elle avait tenté par tous les moyens d'adoucir mon caractère, faire de moi une femme de bonne compagnie, une bonne épouse. Tout ces idéaux auxquels mon esprit se heurtait. Si j'avais pu, ou si j'avais osé.

Ma Damoiselle ?

Je me tus un instant, Werner eut la bonté et/ou la présence d'esprit de s'esquiver discrètement une fois m'avoir conduite à bon port. Une fois plus seuls, je murmurais, instinctivement, car je doutais qui quiconque ose épier la tente du maréchal.

Et si nous revenions à Mary, tout simplement ? N'avez vous point compris que seule la bienséance m'avait poussé à ...

Pour retrouver une contenance, car pour la première fois, prise à mon propre piège, je n'avais su comment réagir, je souris, maladroitement sans doute.

Ma foi, mon cher, une escabelle, une bolée de ce délicieux nectar que vous m'aviez servi à ma première visite et votre compagnie, cela m'agréérait au plus haut point. Qu'en dites vous donc ? Ne suis je point trop exigeante ?
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Coldtracker
Grand sourire, il s'approcha et l'embrassa longuement avant de reculer avec un grand sourire sur le visage et de déclarer:
-"Diantre? Vous disiez....?

Je suis navré...Il me semblait avoir omis quelque chose..."


Il prit une bouteille de chouchen et deux gobelets d'étain et lui tendit une escabelle en disant d'un ton redevenu simple:
-"Viens t'asseoir et me donner ton point de vue de 'civil' sur les récents événements, j'ai besoin de savoir comment l'Ost a été perçu par la population...

Ceux -là même que nous protégeons..."


Il rajouta:
-"Je suis heureux de te voir Mary..."
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