Vince5421
vince avait pris le temps de lire et relire la missive du Porte Parole du conseil.
une fois de plus, il pris la plume pour lui répondre.
une fois de plus, il pris la plume pour lui répondre.
Citation:
Monsieur le Porte Parole, Louis-Napoléon d'Arbalture Von Wittelsbach,
Merci d'avoir encore une fois répondu, et encore plus, aussi tardivement dans la nuit, j'espère que je ne vous ai pas fait griller trop de chandelles pour me répondre.
Avant toute chose, qu'est ce qu'un avocat, un homme de loi, certes mais pas que daprès moi, c'est aussi un être qui à défend des valeurs, la justice pour tous, faire éclaté la vérité, le respect des autres et de lui même.il agit pour le compte de ses clients, aussi bien en amont que pendant un procès. dans l'absolu, toute personne se définissant par ces termes pourrait se définir comme étant un avocat, mais ce serai sans avoir la distinction entre un simple homme de loi, n'y voyez aucun terme péjoratif, et une personne qui est reconnu par ses pairs, qui a conscience qu'il a des compte a rendre, aussi bien devant eux quauprès de ses clients. En conséquence, ce qui pour moi diffère entre un juriste et un avocat, c'est bien cela, appartenir a un Ordre, qui est la pour le soutenir, le guider, mais aussi le sanctionner en cas de manquement à son serment...
J'ai essayer de comprendre et d'extrapoler vos paroles, mais je peux me tromper.
- la suppression du serment. si il n'y a plus de serment, cela veut-il dire que une fois qu'on est "avocat", tout est permis... dans le cadre de la constitution. Cela sous entendrai également qu'il n'y aurait plus d'ordre "garant" de la profession. le serment étant ce qui relit les personnes à une idéologie commune. en fait cela serai accepter que toute personne qui le veut puisse être juriste et apporter conseil auprès de leur clients qu'ils soient institutionnels ou particuliers
- La garantie de l'indépendance des avocats: si on par du principe que le serment n'existe plus, plus d'Ordre des avocats non plus, il n'y a même plus à se poser de question sur l'indépendance.
Si l'on part par contre du principe qu'il existe un Ordre des avocats,
comment peut on dire qu'il sera indépendant et à la fois fixer une loi externe à l'ordre faite par des personnes qui ne sont pas concerné, lui dictant ce qu'il doit faire ou ne pas faire... ne serais ce pas a cet Ordre de définir quels sont ses règles de déontologie à appliquer?
- la souplesse pour exercer: dans votre écrit, vous parlez du fait qu'il serai fait comme condition pour pouvoir exercer d'avoir par exemple acquis une expérience en tant que juge, procureur , mais n'est ce pas là prendre le problème à l'envers. Pensez vous réellement qu'une personne n'y connaissant rien aux lois puisse être nommé procureur ou juge, et que cela lui donne le droit ensuite d'intégrer une profession qui se doit d'être le garant justement de la loi. J'ai toujours au contraire souhaité que ces fonctions soit au contraire tenu par des avocats, pour garantir une certaine connaissance juridique.
Vous parlez également de la maréchaussée, mais encore une fois, tout dépend de ce que l'on considère comme etant la maréchaussée, si cela concerne les FDL, qui par nature sont des militaires, est ce que cela voudrait dire que les FDL sont des hommes de lois? en quoi avoir fait de la garde et servir pour la sécurité de notre belle Lorraine serait elle un gage de compétence juridique.
si l'on parle des forces de police qui sont là pour constater des infractions aux lois et monter des dossiers, pensez vous que ce soit vraiment encore une fois de plus le même travail que celui d'Avocat?
Voila ce que j'ai compris de vos lignes, et les interrogations que j'en ai vis a vis de vos discutions au sein du Conseil, en aucun cas je ne veux vous dicter ce que vous devez faire, mais je vous apporte mes pensées et celles de certains de mes confrères qui actuellement ne souhaitent pas prendre la parole car le cadre législatif leur semble trop en contradictions avec nos valeurs.
je reste à votre disposition pour vous donner un point de vue si le Duc veut transmettre vos textes actuellement en discutions et vous renouvelle ma volonté de me conformer aux textes en vigueurs.
Votre dévoué
Vince
ps merci de ne pas m'appeler Maître en public, je ne suis qu'un simple habitant de la Lorraine, et pas encore, si le tout puissant le veux, Avocat lorrain.
Monsieur le Porte Parole, Louis-Napoléon d'Arbalture Von Wittelsbach,
Merci d'avoir encore une fois répondu, et encore plus, aussi tardivement dans la nuit, j'espère que je ne vous ai pas fait griller trop de chandelles pour me répondre.
Avant toute chose, qu'est ce qu'un avocat, un homme de loi, certes mais pas que daprès moi, c'est aussi un être qui à défend des valeurs, la justice pour tous, faire éclaté la vérité, le respect des autres et de lui même.il agit pour le compte de ses clients, aussi bien en amont que pendant un procès. dans l'absolu, toute personne se définissant par ces termes pourrait se définir comme étant un avocat, mais ce serai sans avoir la distinction entre un simple homme de loi, n'y voyez aucun terme péjoratif, et une personne qui est reconnu par ses pairs, qui a conscience qu'il a des compte a rendre, aussi bien devant eux quauprès de ses clients. En conséquence, ce qui pour moi diffère entre un juriste et un avocat, c'est bien cela, appartenir a un Ordre, qui est la pour le soutenir, le guider, mais aussi le sanctionner en cas de manquement à son serment...
J'ai essayer de comprendre et d'extrapoler vos paroles, mais je peux me tromper.
- la suppression du serment. si il n'y a plus de serment, cela veut-il dire que une fois qu'on est "avocat", tout est permis... dans le cadre de la constitution. Cela sous entendrai également qu'il n'y aurait plus d'ordre "garant" de la profession. le serment étant ce qui relit les personnes à une idéologie commune. en fait cela serai accepter que toute personne qui le veut puisse être juriste et apporter conseil auprès de leur clients qu'ils soient institutionnels ou particuliers
- La garantie de l'indépendance des avocats: si on par du principe que le serment n'existe plus, plus d'Ordre des avocats non plus, il n'y a même plus à se poser de question sur l'indépendance.
Si l'on part par contre du principe qu'il existe un Ordre des avocats,
comment peut on dire qu'il sera indépendant et à la fois fixer une loi externe à l'ordre faite par des personnes qui ne sont pas concerné, lui dictant ce qu'il doit faire ou ne pas faire... ne serais ce pas a cet Ordre de définir quels sont ses règles de déontologie à appliquer?
- la souplesse pour exercer: dans votre écrit, vous parlez du fait qu'il serai fait comme condition pour pouvoir exercer d'avoir par exemple acquis une expérience en tant que juge, procureur , mais n'est ce pas là prendre le problème à l'envers. Pensez vous réellement qu'une personne n'y connaissant rien aux lois puisse être nommé procureur ou juge, et que cela lui donne le droit ensuite d'intégrer une profession qui se doit d'être le garant justement de la loi. J'ai toujours au contraire souhaité que ces fonctions soit au contraire tenu par des avocats, pour garantir une certaine connaissance juridique.
Vous parlez également de la maréchaussée, mais encore une fois, tout dépend de ce que l'on considère comme etant la maréchaussée, si cela concerne les FDL, qui par nature sont des militaires, est ce que cela voudrait dire que les FDL sont des hommes de lois? en quoi avoir fait de la garde et servir pour la sécurité de notre belle Lorraine serait elle un gage de compétence juridique.
si l'on parle des forces de police qui sont là pour constater des infractions aux lois et monter des dossiers, pensez vous que ce soit vraiment encore une fois de plus le même travail que celui d'Avocat?
Voila ce que j'ai compris de vos lignes, et les interrogations que j'en ai vis a vis de vos discutions au sein du Conseil, en aucun cas je ne veux vous dicter ce que vous devez faire, mais je vous apporte mes pensées et celles de certains de mes confrères qui actuellement ne souhaitent pas prendre la parole car le cadre législatif leur semble trop en contradictions avec nos valeurs.
je reste à votre disposition pour vous donner un point de vue si le Duc veut transmettre vos textes actuellement en discutions et vous renouvelle ma volonté de me conformer aux textes en vigueurs.
Votre dévoué
Vince
ps merci de ne pas m'appeler Maître en public, je ne suis qu'un simple habitant de la Lorraine, et pas encore, si le tout puissant le veux, Avocat lorrain.