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[RP] Fait moins le mariol en geôle !

Alzin
[RP tout vert !]

[Dans une taverne]

La lumière vacillante selon les humeurs d'une flamme tournoyante au sein de l’âtre. Elle vient dévoiler par petites touches son visage. Observateur comme lors des premières heures, il ne manque pas une miette de l'engeance pullulante. Celle de la médiocrité affichée. Ses congénères, ses collègues de beuverie et de labeur aussi. Ils ont des sales trognes et des sobriquets qui résonnent. Cela passe du face d'roux au borgne. Sans oublier les noms d'oiseaux, pie, tourterelle et colombe.

Il démontre ses talents d'orateur aigri. A la verve usée et ternie d'avoir essuyée un trop grands nombres de tempêtes orales. Celles que l'on nomme sobrement les joutes verbales. L'art de vouloir faire chavirer le navire de la bonne pensée, ses préjugés et son équipage. La langue noircie comme un vélin raturé. Assemblant la multitude et la complexité d'un ensemble de chapitres, de quoi tourner la page ou brûler le livre. Des propos oubliés, des rires calcinés et des sourires effacés. La crasse recouvre alors les souvenirs, les bons moments de jadis. Et laisse la place à l'amertume du quotidien. Et dans un cycle sans fin, chaque jour recommence la boucle. Jusqu'à ce que l'écrivain mette fin à son autobiographie couchant sur le parchemin les derniers heures de sa vie. La boucle est bouclée quand les clous viennent crucifier le cercueil des futurs oubliés. Qui fleurissent les cimetières comme à la "Toussaint" les chrysanthèmes sur les tombes. Pauvre et triste monde...

Quand les autres frisent les murs. C'est qu'il se déplace le torse bombé dans les rues de la ville. Et ceux qui ne le craignent pas ne sont pas ses "amis". Puisqu'une bande d'hommes, marchant quatre par quatre, armés jusqu'aux dents c'est pas bon pour ce qu'il a. A savoir un procès en Guyenne qui lui colle aux fesses.

Aucune résistance, il les suit gentiment. Parfois, il faut savoir être beau joueur. Surtout qu'il s'est bien amusé avec l'histoire de Montauban. Rien de bien mal. Mais les juges sont illettrés, les procureurs assoiffés et ne font pas attention à la justice. Ils inventent des témoins et n'écoutent point les plaidoiries. Nouvelle forme de justice. On se demande à quoi sert-il de s'exprimer devant la cour, au déshonneur affichée, puisqu'elle ne pipe pas un seul mot.


[Prison du Comté]


Depuis sa cellule. A sa droite, un prisonnier. A gauche...hum, la même chose. Serions-nous donc dans des geôles ? Il semblerait. Et les barreaux ne sont mêmes pas neufs. On ne pouvait tomber aussi bas. En fait si. Mais il se repose de temps en temps. Il scrute le garde qui roupille, puis ses compères et le "nouveau" gardien.

Hé, toi ! T'sais lire ?


Visiblement son et ses vis à vis, non. Soupirant devant tant d'ignorance. Pourtant, c'est dans l'air du temps.


Apporte-moi un livre des vertus. J'vais vous en faire la lecture...


Le jeune geôlier sourit à pleine dents et file chercher le précieux sésame. - Ouvre-toi, mais quand la porte en fer fait la sourde oreille... On peut dire qu'elle ne risque pas... - Un soupçon de dépit à la vision aussi riche qu'une bande de mendiants tendant les mains un dimanche matin aux sortir de l'office. Puis son visage s'illumine quand le livre de la "mère" religion arrive entre ses mains aux poignets...enchainés.
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[Avatar provisoire pour le RP "la folie des grandeurs"...]
Andrea_
[Prison du comté]


Maquillée comme une roulotte repeinte -mais une jolie roulotte-, voilà la Colombe qui déboule. Habillée comme un jour de mariage -pas l'sien où elle était en braies-, elle avait remis sa petite houp' mauve - la même que pour le tribunal-, avait fait pété les sous vêtements " et TAM !" et, comble de la bien séance, avait mis les chausses assorties.

Elle avait pu constater, pour une fois qu'elle était de l'autre côté de la " barrière" -et c'est peut dire- qu'on entrait dans une prison comme dans un moulin. Sauf que dans le moulin, on s'attend à voir le meunier débarquer avec son rouleau à patisserie et qu'en prison, à part de trois gardes... Rien de spécial. Bah à part des barreaux, z'avez compris.
Prenant son petit air guindé, dégainant de son corset un mouchoir blanc aux lettres brodées qu'elle porte sur le bas de son visage elle adresse aux prisonniers des regards moqueurs - bah quoi?-. Elle les regarde, forcément qu'elle les regarde car elle en cherche un. Mais un spécial hein, attention. LE prisonnier. Celui qui fait déplacer les foules aux tribunals, celui qui fait déplacer les foules -direction l'extérieur cette fois- quand il débarque en taverne. Celui qui avait l'crâne aussi doux qu'les fesses d'un bébé -l'odeur en moins-, celui qui ... Bref une ovation pour LE soldat -pas Rayan non, mais presque- j'ai nommé : ALZIN !

Oui bon, on gardera l'ovation pour plus tard, genre quand il l'aura serré dans ses bras en l'appelant "mon amour", quand il l'aura pris dans ses bras et fait tournoyé en l'air, quand il aura demandé des nouvelles des marmots Alzino le blond, Alzinette la blonde, Alzinounette la chauve - c'pas donné à tout l'monde un couple à trois, mais chacun l'sien-, quand elle lui aura dit combien elle lui vouait une admiration sans faille, bref, comme vous venez d'le comprendre, ça sera pour BEAUCOUP plus tard.

Un ronflement à réveiller un mort et la Colombe sent qu'elle approche. L'odeur putride qui règne lui rappelle rapidement où elle est - des fois que les sifflements des tôlards ne suffiraient pas-. Ses pas sont ralentis, sa démarche se fait chaloupée, son sourire enjoleur, et ses yeux ensorceleurs. La chiasse reconnaît la voix de l'ours et fonce, droit devant... Elle se rapproche du garde et lui glisse à l'oreille...



J'aimerais une entrevue...conjugale...


Après tout, qui n'dit mot consent, on le saurait bien assez vite -ou pas-.
C'est donc le "ou pas" qui fonctionnera ce soir. La belle se pose sur les genoux du garde, ne le quittant des yeux que pour admirer Alzin... La belle glisse une griffe contre son cou et lui sourit


ça fait longtemps qu'tu...
Alz', tagueul'. T'as fini d'raconter des conn'ries plus grosse que tes ch'villes quand tu parles de tes conquètes?
non mais qu'est ce qu'il raconte le Al', ça parle de vertu de je n'sais quoi, c'est.. ça brûle les oreilles pas vous?
Ses azurées se reportent vers le garde

Pardon mon mignon donc on disait, ça fait longtemps qu'tu bosses ici, tiens j'ai... t'as faim ?

Bouh c'est pas bien, mais le plat d'cochonailles qu'elle avait prévu pour l'ours est posé sur la table et la Colombe picore généreusement, rien n'est trop beau pour un garde à charmer.
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Astana
[Prison du comté, toujours ! Mon amour !]


Ah ! Qu'il faisait bon vivre dans les geôles… vraiment. Aussi loin qu'elle s'en souvienne - et la pauvre a la mémoire quelque peu sélective -, la dernière fois qu'on lui avait donné l'occasion d'entrer dans des geôles c'était en Languedoc, ferrée… Et cette expérience avait été si riche en émotions que la Blondeur faisait tout depuis pour qu'on lui octroie un droit de passage direct - sans passer par la case départ, hahin - en prison. Malheureusement, soit elle n'en faisait pas assez, soit elle intimidait trop, allez savoir… Mais personne, non personne depuis ce malheureux garde qui avait fini empalé sur une clôture n'avait accepté de la cloitrer derrières de sombres barreaux.

Eh ouais, à l'heure ou certains trimaient pour obtenir une quelconque augmentation - salariale, hiérarchique -, la louve trimait pour être foutue en prison. Insultes au comte, insulte du prévôt, du Cac, de divers MA, agression à mains nues sur des autochtones, attaques de mairies, bâtiments incendiés… Mais non, toujours pas.

Frustation.

Parce que cette danoise de blonde adore être malmenée, au fond. Mais ça…. chhhht, interdiction de le répéter.

Forcément, la Blondeur n'en loupe donc pas une. Les copains en prison, c'est sacré, y paraît ! Si, si. Apprenant par un billet clandestin que son Ours avait eu l'honneur d'être enfermé, Astana se hâte à la prison du coté. Le passage n'est pas difficile à monnayer, puisque pas âme qui vive dans les environs.

Lentement, ses mains blanchâtres viennent pousser la lourde grille de l'établissement miteux, un sourire planté sur les lèvres. La pèlerine noire ondule alors sous la démarche chaloupante de la Belle dans les escaliers et les divers couloirs… menant au coeur même de la taule. Ici, les âmes noires du comté sont réunies, pour des faits plus étranges les uns que les autres. L'odeur est putride, les miasmes agressent son sens olfactif, le faible éclairage fait danser quelques ombres affolantes sur les visages abîmés des prisonniers. Les rats eux, semblent avoir établi leur QG dans le coin…

L'Occasion se présente alors… THE Occasion ! Impossible à louper, Unique !

La Blondeur fait glisser son capuchon sur le haut de son crâne, dissimulant ainsi la couleur criarde de ses cheveux et son visage par la même occasion. Tapie dans l'ombre, elle observe alors, un rictus au coin des lèvres. Andrea et un garde. Le garde… sa carte d'entrée ! Profitant de leur inattention… - il faut dire que les jumeaux de la Colombe semblent y être pour beaucoup -, elle se faufile pour attraper un cadavre de bouteille gisant à terre et assomme de ce fait le garde avec. D'un grand coup sec. Net et précis.

SHLACK !



Bah alors ! On attend pas la Blondeur ?! Si avec ça j'réussis pas à m'faire enfermer, c'est qu'il y a un soucis.


Mains sur les hanches, retenant un fou rire, avant de jeter le goulot de la bouteille resté dans sa main derrière elle, d'un geste désintéressé.
Les prunelles bleutées se portent alors sur l'ours.



Alzin ? Tu veux pas payer pour me faire entrer dans une cellule ? On échange de place si tu veux ! Et puis la vertu... tu connais ça, toi ?
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Andrea_
[ Pour ne pas changer... Prison du comté ]


Ah qu'il fait bon vivre, on en oublierait presque que c'est l'endroit par excellence où personne ne veut aller. Personne sauf les barges, allez savoir.
Et voilà la Colombe qui charme son garde, j'ai bien dit SON, la Colombe aime s'approprier les choses, surtout les hommes, les bouteilles, ses amis, et les couillons. Autant vous dire qu'ici, elle est dans son univers.

Elle fait partie des rares du royaume à courir vite. Sisi ! Tellement vite que la seule fois où elle a fini en geole -côté jardin- elle était déjà loin - et quand j'dis loin c'est genre à six bons jours de marche- de son lieu de ramassage décu intempestif. Rajoutez là dessus les six jours précédents qu'ella a passé chez les nonnes, les cinq jours pour un jugement - une mascarade !- auquel elle n'a pas pu assister, et vous obtiendrez heu... La chiasse n'est pas douée en calcul mental, repassez dans une heure. Vous obtiendrez donc une Colombe qui ne savait même plus de quoi elle était accusée. Elle sait juste qu'elle était innocente. Pure, innocente et... -celui qui a dit fourbe est prié de sortir-.

Pourtant la Colombe était une oiselle qui avait les dents longues, le plumage abîmé et comme qui dirait... plus sombre que la normale -même après un bain-. Mais ça, ça reste entre nous.
D'puis qu'elle avait croisé l'chemin d'la blonde, les deux pépettes en avaient pourtant fait des vertes et des pas mûres, et n'avaient jamais obtenu le laissé passé qui leur aurait permis de faire la pyjama-party de leurs rèves, sans pyjama et au milieu des rats.
Fallait donc prendre le taureau par les cornes et s'y mettre toutes seules ?

SHLACK

Bin elle essaye justement la chiasse, et vas-y que je te papouille le garde, que j'te l'charme en remplissant les poumons d'un air infecte, que je me frotte le séant sur ses jambes -bien musclées d'ailleurs- mais rien n'y fait. Peut être que...

AH mais oui... ce son.. Elle l'avait d'jà entendu quelque part ! Le bruit mélodieux d'une bouteille s'écrasant contre un crâne !
Le regard se fait sombre et la moue boudeuse alors que ses mirettes aciers se posent sur Astana.



Bah... tu l'as cassé ! Le garde hein, pas la bouteille ! Stan tu chies dans la colle ! Et mon point ? ça compte ?


Ouaip, elle perd pas l'nord la chiasse. Un défi est un défi faudrait pas l'oublier. Une calotte bien visée sur la joue de l'endormi -p'tite nature encore, est ce qu'il va se réveiller en criant maman? la suite au prochain n'épisode- et la p'tite chataîne qui chope la bouteille -la chanceuse que la blonde a laissé sur le bureau- , avant de s'en envoyer une bonne rincée derrière la crava... le col bénitier - drôle de nom hein-. La belle pique les clés accrochées aux braies de l'homme avant de les envoyer bien au chaud, les jumeaux seront désormais infranchissables-ou presque-.

Tu vas y aller ma belle, tu vas y aller mais ça s'mérite hein... tient, par pur hasard, t'aurais pas un fouet ?

Bin quoi? elle va pas lui ouvrir comme ça, la geole c'est un cadeau qui se mérite, encore plus quand y a Alzin dedans. Et le fouet ? -bande de curieux- bin... chacun ses fantasmes.
Elle se lève, lisse sa robe et passe sa main dans ses cheveux avant de s'approcher des barreaux, admirant Alzin qui joue au papa avec ses compatriotes.



Tu voudrais pas passer au chapitre où le loup mange le p'tit chaperon mauve? J'ai peur qu'on s'endorme là.
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Alzin
[Prison du Comté, J-2]

Alors qu'il se penche sur la première page du livre des vertus. Un homme présent dans la cellule à sa gauche semble vouloir lui certifier par A+B qu'il est innocent. Que c'est un certain Pierre le fautif.

C'était par une magnifique journée d'hiver où il pleuvait à torrent. Le brave avait envie d'une femme et si possible bien charpentée. Non ces maigrelettes à la mine malade. Que nenni, pensez-vous ! Avec sa gueule d'empaffée, il espérait cueillir la plus belle des roses. - C'est toujours comme ça - Et donc notre pauvre homme avait bien du mal à saisir l'objet de ses convoitises. - Logique - Quand soudain, tout à coup, à un moment donnée, à un instant précis - etc... - une opportunité, une occasion, une chance - re-etc... - se présenta à lui. Une superbe fille tout juste la vingtaine le sourire radieux, la poitrine prise dans son corset était aussi alléchante que le pis d'une vache. - Belle comparaison... - Ni une, ni deux, il prit son courage à deux mains - et le reste aussi... - et sauta sur la pauvrette. Malencontreusement, elle glissa et alla se cogner le crane contre une pierre. Morte sur le coup et le cou aussi pour la peine. Juste avant qu'un garde n'arrive pour le mettre en geôles. - Nulle cette histoire... -

Une fois le récit achevé, un son se porte à sa douce oreille. Les sifflements des autres détenus. En ajoutant à cela, quelques mots bien choisis comme "Viens me voir ma p'tite dame" et ça, c'est pour les versions les plus courtoises. Une magnifique femme fait son entrée. Une colombe. Charmant le garde, avant que celui-ci s'écroule au sol sous un coup de bouteille bien placé par un autre oiseau, une hirondelle alias sa Blondeur.

Tic et tac étaient donc entrain de se disputer le bout de gras. Alors qu'il voulait entamer la lecture du livre Saint. Mais quand on vous dit que les prisons sont des moulins...
Puisqu'un troubadour pointe le bout de son museau humide et se met à chantonner, sans avoir au préalable offert une rose jaune à Alzin. Qui le regarde tout penaud.


Bonyourrr y souis Maïqueu Branteu, troubadour di l'amour !


*gratouille sa viole, se racle la gorge et entame *

C'y comme ça que ji t'aïïïmeuuuu
Avec li brrranches di mon sapiiiiiiiiiin
Y li guirrrlandes de Noweeeeeeeleu...

Nan mi tapez pas.... c'y n'est pas mouuuua.... c'y la Belette, c'y la Belette


Une œillade vers les deux femmes. Un signe du menton afin de montrer qu'il faut se débarrasser en "douceur" de l'indésirable. Et il accroche fièrement la rose à sa chemise rapiécée sur laquelle repose un mantel ou ce qui ressemble en être un, confectionné en peau de belette véritable. Satisfait ou remboursé !
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[Avatar provisoire pour le RP "la folie des grandeurs"...]
Astana
[Recette pour un désastre]


La Blondeur papillonne des cils, passant de l'Ours à la Colombe, un sourire ravageur aussi bien pour l'un que l'autre.

Non mais… moi ? Casser des choses ? Voyons… Tout le monde sait que c'est pas du tout mon genre !

L'air de rien, une main frêle vient pousser la dernière bouteille survivante de la table, distraitement. La bouteille s'éclate sur le sol dans un grand fracas, ce qui procure un sentiment d'étrange jouissance à la louve. Le son d'un objet brisé, quoi de plus beau ? Ça la rend toute chose. Les joues s'empourprent, et la voilà obligée de s'éventer à l'aide de sa main… histoire que la canicule passe.

Ton point, ton point… Admettons qu'on rajoute celui-là, on en est à combien ? J'ai du m'paumer dans mes calculs, encore.

Vague essai de compter sur ses doigts, avant d'abandonner en haussant les épaules. Techniquement… sept pour elle et… six ? six, peut-être, pour la Colombe. Et encore, p'têtre même qu'elles sont à égalité, mais comme on ne peut pas le confirmer, cela pose problème. Pendant qu'une Andréa parle de fouet et d'un loup accrochée aux barreaux de la cellule d'Alzin, la Blondeur joue au même jeu… devant la cellule d'un vieil édenté. Pas forcément pour les mêmes raisons, ceci dit. Un sifflement pervers s'échappe des lèvres - enfin, si on peut appeler ça comme ça - du vieil homme, tandis qu'il l'invite à approcher d'un geste de la main. Encore un dégénéré.

- Viens, viens par là ma mignonne.
- J'suis pas TA mignonne, vieux déchet.


Une question lui brûle les lèvres purpurines. La caboche se penche sur le coté et le regard se voile d'une lueur provocatrice… elle évalue ses chances de lui casser les quelques dents qu'il lui reste en tendant son bras pour lui taper la tête contre les barreaux. Une sur deux ? Qui prend les paris ?


C'y comme ça que ji t'aïïïmeuuuu
Avec li brrranches di mon sapiiiiiiiiiin
Y li guirrrlandes de Noweeeeeeeleu...

Nan mi tapez pas.... c'y n'est pas mouuuua.... c'y la Belette, c'y la Belette



Le Sang ne fait qu'un tour.
Une oeillade vers Alzin, son ours, accompagné d'un bref hochement de tête, et de s'approcher d'Andréa, la mine espiègle. Elle laisse une main traîner derrière elle, s'abandonnant sur les barreaux poisseux, avant de s'adosser contre l'une des grilles. Réfléchir au prochain supplice, si supplice il y a. Exécution rapide ? Non, même pas drôle. En ce jour de Sans Valentin, toute personne prise à chanter une chanson niaise souffrirait, longtemps. Oui. Pas de roses - jaunes, rouges, roses ou encore blanches. Ou si tiens, blanches… pour les enterrements.

Ne quittant pas le troubadour insolent des yeux, Astana se penche alors vers Andréa.


Les branches… Tu sais qu'on pourrait faire de belles branches avec sa viole… pour les lui carrer dans la bouche ensuite. Non ? Moi j'ai envie de jouer...
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Andrea_
[ Le désastre a bon dos ]


Y a des jours où rien ne va. Des jours où la chiasse est à fleur de peau, des jours où les gens en font trop et ... c'est aujourd'hui.
Adieu sourire, regard charmeur, sourire en coin, Adieu bonne humeur et bouche pulpeuse - ah non ça, elle le garde - et BONJOUR gueule des mauvais jours, regard noir vers sa blondeur qui fait tomber la bouteille. Le liquide vermillon arrache à la colombe un long soupir. La tâche s'élargit, se mêlant avec celle du garde et la moue se fait boudeuse. Vous avez devant vous du pur gâchis. De l'alcool qui tâche le sol, un crâne fracassé mais pas par elle. La Chiasse a comme l'impression de louper sa journée. Arf.
Mais elle était là, à loucher sur Alzin qui faisait la lecture - elle ne s'en remettrait jamais ça, il SAIT lire, à moins qu'il fasse semblant, ce qui expliquerait l'oeuvre choisie... hahin -. La belle jette un oeil vers sa Louve plissant les yeux vers l'édenté, un hochement de tête, le pari est lancé, un pari en solo hein, 30 écus qu'elle lui en pète trois. Sur les quatres qu'il lui reste c'est un beau challenge non? - la suite, la prochaine fois-.

Mais comme elle aime le dire les choses débarquent quand on ne s'y attend pas, et c'lui là, elle l'a pas vu, pas entendu et SURTOUT, elle s'en s'rait bien passé...

Bonyourrr y souis Maïqueu Branteu, troubadour di l'amour !

La Colombe se retourne brusquement et se colle aux barreaux, un peu comme si elle avait vu l'sans nom. Les yeux grands ouverts elle reluque le machin qui vient d'entrer -'laissent vraiment entrer n'importe qui !- Le pauvr'homme vient de dire deux mots que la Colombe déteste. Le type le sait pas encore mais elle a déjà envie d'le tuer, à moins que le grognement qu'elle émette soit assez significatif -mais les troubadours hein...-.
Un regard vers la viole, et la chiasse se penche vers Stan pour lui murmurer


S'il se met à jouer, j'lui fais bouffer sa viole par l'endroit où il a pas d'dent, j'te préviens.

Prévenir, toujours. Parce qu'elle voudrait pas que la blondeur souffre du bruit que f'ra le "troubadour" quand il aura son suppo géant dans l'derrière. On sait jamais, même s'il crie en rimes, un cri reste un cri. Pas l'temps d'voir si la blonde approuve, que l'musicien se met à gratter son instrument, frénétiquement, un peu comme un clodo qu'aurait dormi peau contre poils contre son clébard, et qu'le machin avait été habité de plus de cent cinquantes bestioles nommées "puce" -rien à voir avec Aelis, que la belle appelle " ma puce" aussi-.

C'y comme ça que ji t'aïïïmeuuuu
Avec li brrranches di mon sapiiiiiiiiiin
Y li guirrrlandes de Noweeeeeeeleu...

Nan mi tapez pas.... c'y n'est pas mouuuua.... c'y la Belette, c'y la Belette


Bizarrement, la chiasse ne l'a pas coupé. Elle a écouté, déchiffré et compris pas mal de choses, et elle s'est même prise à taper du pied en rythme alors qu'elle s'imaginait, dans un futur plus ou moins proche, inventer une machine qui ferait de la musique juste en appuyant sur un bouton. Le genre de truc qu'on pourrait défoncer si ça n'plaisait pas, toujours plus facile à faire disparaître qu'un corps de ménestrel en décomposition avancée - et sans l'odeur !-.
Mais toutes les bonnes choses - fichues expressions, on est d'accord que ça reste un supplices pour les esgourdes hein- ont une fin et la belle étire un large sourire alors que la blondeur s'adresse à elle...
La belle lui prend la main, baladant la seconde sur sa joue pour la lui caresser et lui répond, d'une voix suave.


Quelle impatience ma Belle ! Tu vas pouvoir jouer... Mais heu... Rien n't'as choqué dans sa chanson ? C'est possible que non, la colombe se doute bien que la louve n'a RIEN écouté des paroles, les blondes sont comme ça -humpf, je t'aime aussi-. La belle trépigne comme une enfant qui sent la surprise arriver Il a parlé des guirlandes !!! Hihi, pas des boules ! Dis je peux? tu fais les branches je m'occupe des bouliches, dis oui !! humm, on est bien d'accord qu'on lui carre le tout dans l'fi... hein ?


Autant annoncer l'programme tout d'suite non?
J'veux quand même rappeler que le pélos qui s'permet d'chanter " l'amûuur", il est tombé au mauvais endroit, au mauvais moment et avec les mauvaises personnes. S'il a cru qu'on allait lui dérouler l'tapis rouge, il s'est fourré l'doigt dans l'oeil jusqu'au coude - tient c'est une idée comme une autre-. Un rapide coup d'oeil au chauve qui fait l'fière avec sa rose jaune -cocu ?!- et ricannement moqueur de la Colombe. Elle va quand même pas lui montrer qu'elle est jalouse, nan mais oh !-

Souriant à sa blondeur elle lui prend la main et la guide vers l'insolent, sourire carnassier aux lèvres. Finalement c'est pas si mal comme journée, pleine de promesses...

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--Maiqueu.branteu


Troubadour, je suis un troubadour. C'est mon métier, ma passion et ça me permet de manger à ma faim.
Quand je ne gagne pas d'écus je récolte des marrons, et quand c'est la saison je ne dis jamais non.

La Saint Valentin... Tellement de demandes que j'ai dû choisir. La prison, je n'avais jamais vu, je me suis dit que la caisse de résonance devait être assez incroyable alors armé de ma viole et de la rose qu'on m'avait demandé de porter, j'ai pris la route destination... ailleurs.

J'ai pu admirer les grilles rouillées, la lourde porte et les gardes qui jouaient aux cartes. J'aurais bien enchaîné sur un numéro de magie mais je n'avais pas le temps, le chanceux qui ne m'attend pas n'est pas du genre patient il parait.
Un chauve, je cherche un chauve. L'angoisse commence à monter, le paysage est ... odorant et je ne suis pas très à l'aise. Je souris aux filles, sûrement des catins payées par le directeur de la prison pour occuper les gardes les jours de calme.


Bonyourrr y souis Maïqueu Branteu, troubadour di l'amour !

Je donne la rose à son destinataire, et sert ma viole et la gratte, tapant légèrement du pied pour m'accompagner, Pablo et son tambourin n'ont pu se libérer, je dois donc assurer seul le spectacle de deux personnes. On mettra ça sur le compte de la restriction budgétaire.

C'y comme ça que ji t'aïïïmeuuuu
Avec li brrranches di mon sapiiiiiiiiiin
Y li guirrrlandes de Noweeeeeeeleu...

Nan mi tapez pas.... c'y n'est pas mouuuua.... c'y la Belette, c'y la Belette


Apercevant leurs regards, ma tête s'est subtilement enfoncée dans mes épaules, réflexe "de la tortue" pour troubadour incompris. Voyant qu'il ne se passe toujours rien au bout de trois secondes douze, je remets mon chapeau grelottant en place et esquisse une révérence

Ah, j'avis crou qué vous alli mi taper ! c'y la Belette qui m'envoie !
Elle a dit vous alli mi donner un écou, alors j'y souis vinou. Pivez apploudir…


En enchainant avec un sourire des plus larges, je suis sûr de faire un carton ! J'hésite à tendre la main pour recevoir mon dû, quand même, car les catins me regardent avec un drôle d'air. On dirait presque qu'elles veulent faire de moi leur repas. Et… comment résister ? Elles sont époustouflantes et je suis… je suis… puceau, hélas. La sueur commence à imprégner le tissu de ma chemise et me voilà incapable de bouger autrement qu'en dansant d'un pied sur l'autre. J'enfonce mon chapeau sur mon crâne, pour me raccrocher à une chose matérielle, le bruit des grelots me rassure. Malgré moi, ma bouche s'ouvre en grand, je bave presque ! Je… j'aimerai parler pour les arrêter mais la seule chose que j'arrive à dire est :

Uiiiiiii ?

Ah, me voilà encore dans de beaux draps.
Astana
[Chassez le sadisme, et il revient au galop]


Il n'y a pas à dire, la Colombe sait y faire. Cette façon de passer une main sur sa joue, et cette étincelle dans les yeux… tout est dans l'attitude. La clé de tout. La Blondeur papillonne des cils un moment, avant de pencher la tête sur le coté, petite poupée désarticulée, afin de mieux étudier leur future Proie, tout en écoutant les propos d'Andréa. Des guirlandes, des boules, des tap… sapins… Ah la période de Noël à la Sanguinaire du Quercy avec la Belette, que de bons souvenirs ! D'ailleurs… sa Belette lui manque affreusement. Heureusement qu'un passage par la Cité des Saules est prévu…

Finalement, Astana relève le museau et hume l'air avant d'afficher un grand sourire mimant un «Oui», et de se laisser entraîner en direction du fameux Maïqueu Branteu. En chair et en os ! … mais plus pour longtemps. Rageuses, les Furies ? Non… Enfin à peine, quoi. Juste ce qu'il faut : un soupçon de peine, une pincée de rage, et une bonne dose d'amertume. Affreux cocktail faisant des ravages.


Tu dis que c'est la Belette qui t'a envoyé ici ? … Ça, à la rigueur oui, c'est plausible. Mais qu'elle te dise qu'on allait te payer, ça, en revanche… j'en doute. La Belette tout de rouge vêtue sait qu'on est pas du genre à payer… Donc j'en déduis plutôt que tu es là pour délivrer ton message et te faire tuer ensuite. Elle ne tenait pas à toi, mon pauvr' homme. Tu viens d'te faire rouler en bôôôôté !

Le ricanement de circonstance est donc lancé, tandis que la Blondeur passe un doigt sur la joue du ménestrel, tournant autour de lui. L'araignée tisse sa toile, lentement, précautionneusement. Tout de même faire attention, des fois que «l'troubadour di l'amour» s'avère être un combattant hors pair, avec des armes planquées de partout. Mais pour la fouille au corps, on repassera plus tard… La Colombe a déjà dû faire son repérage.

D'un geste vif, la viole est arrachée des mains de la Victime et va s'écraser contre le mur plus loin. Nouvelle sensation de jouissance. D'une démarche féline, la louve file ramasser les morceaux, cassant l'instrument en parties plus petites, avant de brandir un bout de bois, la mine triomphante. Hors de question de prêter une quelconque attention aux protestations de l'insolent.


Et v'la déjà les branches ! Tu t'occupes des boules, hein. Moi j'touche pas à ces machins là.
C'est vrai quoi ! On sait pas où a traîné cette Chose là, ma Colombe.


Une main se tend alors vers Alzin, munie d'un reste d'instrument. Le pauvre ours semble grincer des dents ; effet causé par la rose des cocus ? Telle est la question.

Tu veux ça pour mâchouiller, peut être ?

Sourire taquin à l'adresse du chauve, avant de balancer le morceau en question dans sa geôle et de reporter son attention sur une Colombe passant à l'ouvrage. D'abord, les présentations… Après… le pestacle !
Finalement, la journée n'était pas si Terrible que ça.
Et puis du temps... bah encore deux jours à tirer, autant en profiter... non ?

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Andrea_
[ L'odeur particulière de cette Saint Valentin]


Elle est douée la Louve. Elle vient de nous faire une déduction en moins d'temps qu'il en faut pour ... la dire. Sauf qu'elle l'a dit. - acccrochez vous, j'suis en forme-.
Hochement de tête, ricanement et roulement des yeux pour la chiasse, ça, pour se faire rouler, en effet il s'était fait rouler le troubadour " di l'amour". La belle, elle connait pas la Belette, mais elle comprend bien d'puis quelque temps que c'est un peu LA fille à connaitre. Un peu comme une pucelle connaitrait pas " Jeustine Bi-beurre ", comme sa mère n'aurait jamais entendu parlé de " Maiqueu.branteu" - hey mais ça tombe bien ça, on l'a sous la main- bref autant dire que la Belette, c'était l'élément incontournable des royaumes - surtout quand on connaissait la Louve et le Chauve.

Bref la Chiasse regardait la blondeur jouer de la viole à sa manière, et y a pas à dire, une fois passée entre ses mains elle fera moins de bruit, cependant, le son qu'elle a fait en s'explosant au mur a été d'une rare beauté. Peut ètre le troubadour aurait préféré la casser lui même à la fin de son spectacle ? Faut dire qu'avec le tintement de ses grelots il aurait fait sérieuse concurrence à "Johnny Vacances" !
La belle admire Astana qui se décide à nourrir le tolard avec des morceaux de bois et la chiasse se promet de vérifier -un jour- si c'est parce qu'il a des dents de castor. Au moins, s'il ne becte pas, il pourra toujours s'en faire des cure-ratiches. Puis les azurées de la chiasse se porte vers le troubadour qui a vraiment une tronche qui incite à la chirurgie esthétique. - c'est fait exprès ou bien?- Et là encore, ça tombe vraiment bien, parce que la belle se sent l'âme généreuse et lui referait bien le portrait gratuitement - sa bonté n'a pas de limite, champagne !-

Un sourire en coin et un baiser envoyé dans les airs - via air royaume, what else * - pour sa blondeur, un crachat dans la geole d'Alzin - toujours cette bonté, vous comprenez- et enfin la chiasse répond à Stan


T'as vu sa gueule ? A mon avis, ça a pas du beaucoup trainé si tu vois c'que j'veux dire

Je pense qu'on est tous unanimes le type n'a pas été gaté par Dame Nature, non? Faut dire que -mais ça reste entre nous- avec un autre pif, des habits un peu -beaucoup- moins ridicule, un sourire un peu plus large, plus de mains, histoire qu'il puisse plus jamais jouer et une voix plus virile, la Colombe le trouverait presque pas mal, si bien qu'elle pourrait même l'autoriser à porter son chapeau à grelots en public, c'pour dire !
Enfin là, telle une grande professionnelle - chut ! on va définir le métier avant que vous ne vous fassiez des films- de la chirurgie -hahin- elle ferme un oeil, passe son doigt entre elle et le ménestrel.
Ce qu'elle fait ? Bin elle prend les mesures là.
Un baiser volé au coin des lèvres de la Blonde - y a pas d'mal à s'faire du bien- et la brune -claire- avance vers " li troubadour", vers c'est plutôt contre, autant vous dire qu'elle se colle et qu'elle rigole de le voir rougir, posant un doigt sur ses lèvres elle ne le quitte pas du regard. Elle constate d'ailleurs qu'il a des yeux de porcins, mais ... on n'va pas pouvoir tout faire en une fois hein, pis c'est bien qu'il garde ses yeux jusqu'à la fin. La main de la belle glisse le long du corps du brun, lentement, lascivement, son regard de braise accentuant l'attitude lubrique, de celle qui pour une fois apprécie de n'avoir qu'un second rôle. Stan a levé le rideau en grande pompe, il faut maintenant ne pas décevoir le public étrangement silencieux.

L'oiselle saisit lentement sa dague et profite une première et dernière fois des lèvres -sûrement vierges- du ménestrel. L'esquise saveur de la peur et l'excitation arrachent des frissons à la belle. Oui, elle aime embrasser, comme elle aime dévisager. Les yeux sont le reflet de l'âme, mais en présence d'un homme au regard de chien battu croisé avec un coker - spéciale dédicasse- la belle se permet d'aller voir ailleurs si elle peut lire un truc. Et elle lit, les lèvres tremblantes de l'homme entre ses dents, ses soupirs saccadés entre ses lêvres, et sa main, dans laquelle la belle fait glisser la dague qui ne réagit pas. Elle serait presque tenté de faire un caprice ! Où sont les hommes ! Les vrais, Berdol va vraiment falloir la faire, cette race parfaite - j'en profite donc pour passer une annonce, cherche homme parfait ou femelle reproductrice pour créer, avec Alzin -notre mâle Alpha- une race parfaite- Merci !

La lame remonte doucement le long du bras du brun, puis vers son cou pour finalement mourir sur ses lippes, la belle fond sur son oreille pour lui murmurer


Ton sourire est ... presque parfait. Laisse-nous te payer en nature...

Pas de ricannement, la langue de la chiasse est juste sortie entre ses lèvres - pour plus de précision-, ses yeux légèrement plissés et la dague s'enfonce légèrement dans la bouche du chanteur. Le sourire est agrandi, imperceptiblement, l'acier rencontre la chair, les perles vermillons venant se perdre sur la chemise déjà très colorée -carnaval?!-.
Les peaux sont tendres, la lame aiguisée, et le coup de main précis. Le tout n'est pas de faire ça comme un boucher mais de s'essayer à quelque chose de nouveau, et au pire... On a dans les parages quelqu'un qui coud - sisi ! d'mandez à la blonde !-.
Le cuir s'écarte, se déchire pour bientôt laisser entrevoir la chair troubadouresque et la belle en bave, elle observe le spectacle qu'elle s'offre en première loge, perdant son autre main dans la chevelure de l'homme, histoire qu'il ne pense pas s'enfuir. La tignasse est aggripée, le regard captivé, et la simple vue de viande cru lui ouvre l'appétit.

La lame vient s'essuyer le long du coup du brun, et la belle lui pince la joue, le secouant lentement, y a pas à dire, deux centimètres de plus de chaque côté, ça vous change un homme !


Bin voilà ! T'es plus mignon !

Sans vraiment comprendre pourquoi l'homme soudain se rebelle - une honte !- et aventure une main contre le cou de la Colombe, qui de surprise en lâche son bistouri. Elle n'a pas peur, pas vraiment, elle admire son travail en détail, son regard n'est que noirceur, haineuse, vraiment énervée de s'être fait avoir. Un coup de pied est violemment envoyé dans les roupettes du ménestrel, et la belle, -mode pas contentejefaisuncaprice ON-, tape du pied et se tourne vers sa blondeur

Il m'a touché, et ... j'ai cassé les boules !


Sourire plus large : check
Voix plus virile : heu... pour le coup c'est loupé
Stan ! à toi !



* quoi d'autre !

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