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[RP] Mariage de Stella et Sepa

Helene.blackney
Bonjour ce n’était pas si mal comme départ, la présentation fonctionnait bien sauf que…il eut un intrus dans celle-ci. Mon frère. Mon adoré de frère qui vint à ponctuer la journée déjà assez angoissante comme ça. Je soupirais c’était le pompom, la famille était au complet, Nolhan allait certainement fuir après la cérémonie et père, je le sentais déjà dirait « je te l’avais bien dit ma fille ». C’était désastreux, Nolhan eu le cran de relever le défi c’était tout à son honneur, et une noble dame se proposa pour le soutenir, je ne connaissais pas ce visage mais lorsqu’elle eut énoncé son nom, je compris qui elle était pour le maître d’armes. Je devais dire quelques mots pour agrémenter la conversation.

-Enchantée vostre grâce de Fabrel de Lagarde, nul doute que je suis en sécurité auprès de cette joyeuse troupe masculine


Je lâchais le bras de mon père pour le tendre à Nolhan et enfin entrer dans le lieu sacré, je me signais et je fis avancer mon cavalier de mariage dans l’allée principale jusqu’à qu’on se décide à s’assoir sur un banc pour suivre la cérémonie. Nul doute que si j’avais à me marier ce ne serait pas à Paris. Je souris à mon compagnon pour lui chuchoter.


- Lors d’une attaque frontale par quelle parade doit-on répondre Messer Nolhan ?


Il savait bien que je ne parlais pas de l’éducation aux armes qui m’enseignait mais de la situation risquée qui se profilait en ce jour.
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Guillaume_de_jeneffe
[Quand C’est l’heure c’est l’heure. Quand c’est plus l’heure… ben on s’en fout c’est quand même toujours l’heure]

Pouvaient pas se marier sur un champ de bataille comme tout le monde les deux zygomars là ? Non parce que se coltiner des allers-retours front de trêve – Paris était certainement moins pire que de devoir rendre visite aux chevaliers de Bretagne, certes, mais de là à quasi recevoir une carte de fidélité sur les chemins du Domaine royal, yavait une marge que le Flamand n’entendait pas franchir. Quoi que vue la décision dudit zygomar von Strass, il valait mieux ne jamais dire jamais

Comme d’habitude donc aurait-on pu dire, le Flamand, vassal de la suzeraine de l’épouse dudit Sepa, et donc futur co-vassal de la comtesse de Lille avec ledit Sepa, et accessoirement frère d’armes et ancien Grand Maistre dudit Sepa au sein de l’Ordre royal de la Licorne (là, soyez rassurés, je crois que j’ai fait le tour des liens entre nos deux gus et donc des raisons qui expliquent la présence de Guillaume à Notre-Dame), avait rejoint la tour Saint-Michel, possession de son Ordre en Paris, y avait revêtu un pourpoint d’azur courus de fils d’or que rehaussaient son chevaleresque collier d’argent et le baudrier fleurdelysé par lequel il manifestait sa royale charge puis avait couvert le chemin qui le séparait de la cathédrale à cheval, escorté d’une poignée d’hommes d’armes attachés à ce qui deviendrait presque une commanderie parisienne de la Licorne.

Il était temps car déjà la foule s’était avancée dans l’édifice religieux et il ne put que se glisser parmi les derniers « spectateurs ». Restait à voir si ceux-ci ne lui étaient pas déjà connus…

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Oceade
Oceade était sur le point de répondre à la jeune demoiselle, lorsqu'elle s'aperçut qu'elle n'était déjà plus là, entrainant son garde du corps sans lui avoir laissé le temps de la saluer.
Pinçant les lèvres, elle se retint de faire le moindre commentaire quand à l'impolitesse flagrante de la dite demoiselle, puis s'inclinant comme le voulait la correction la plus élémentaire devant le père et le frère de la jeune fille, elle entra à son tour dans la Cathédrale, prenant place dans les premiers rangs, comme le voulait le protocole.
Heureusement, personne ne savait que Nol n'était pas baptisé et qu'il n'avait donc rien à faire dans un édifice religieux..
Toujours contrariée, elle inspira pour se calmer, se disant que si sa fille avait commis le même impair, elle aurait eu le droit à une bonne leçon de morale assorti d'un petit serment sur le savoir faire en public.

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Akane
C'est qu'il faisait frais mine de rien et la brune, encore fragile se décida de rentrer après que sa soeur et son cavalier soient arrivés, et après un salut presque mutique. Finalement, elle serait peut être seule, et n'avait pas le coeur à assister à un mariage dans ces conditions... S'il fallait, elle serait présente pour la cérémonie, féliciterait les mariés et filerait en douce vers le Louvre.

De ce fait, elle laissa sa blondinette de soeur avec son cavalier, et se placa aux côtés du Jeneffe.


- Bonjour Guillaume, belle journée n'es ce pas ? Permettez que je reste à vos côtés ?

Le ton était ironique. Il faisait un froid de canard, cependant ce jour serait heureux par le mariage d'un vieux camarade...
Leha
Sepa lui avait demandé de venir. Donc elle venait. Déjà qu'elle n'avait pas pu aller à celui de Heimdal, elle s'était forcée de se rendre à Paris pour honorer sa parole. Et son cavalier n'était pas des moindres, puisqu'il s'agissait de son père.
La jeune fille se tenait près de lui, droite et fière. Si son air n'avait pas été encore un peu enfantin, on aurait pu la croire de mauvaise humeur avec ses lèvres serrées et son regard noir. Mais non, elle était contente. Les von Strass était sa famille maternelle, ce que peu de gens savaient. Néanmoins, c'était une branche qu'elle ne voyait que très peu, aussi elle en profiterait pour prendre des nouvelles.


Je crois qu'il y a ma tante, nous allons la voir ?

Oui, affaire familiale. Leha avait subitement décidé qu'elle n'avait plus qu'une seule tante, la blonde. Peut être était-ce parce que le blond était plus proche du roux ? Ou simplement une lubie passagère de la crise d'adolescence ?
Donc Anya eu droit à un sourire chaleureux, innocent et plein de joie. Malgré son arrivée en Normandie, elle n'avait pas encore eu l'occasion de la voir plus qu'avant. C'était à cause d'Ailvin, tout ça.

La rouquine entraina son père, saluant au passage d'un signe de tête tous les gens qu'elle connaissait. Et il y en avait, du gratin. Fred, Anya, la tante reniée, son frère adoré, mais aussi Guillaume, qui comme toujours lui donnait la frousse. Elle ne l'avait vu que peu de fois, mais il avait une certaine aura qui lui faisait froid dans le dos. C'était un homme qu'elle respectait énormément, sans trop savoir pourquoi. Surement parce que son père le respectait. Tel père, telle fille : les loups ne font pas des chats, plutôt des goupils.


Bonjour tatie, bonjour Fred.

Vous avez vu, mon cavalier est parfait non ? Un peu vieux, peut être !


Et hop, on s'accroche au bras du paternel. Qui n'a jamais rêvé de voir sa fille rester une enfant toute sa vie ?
Alcalnn
Le duc leva un regard interrogateur lorsqu’il vit la silhouette familière de son cadet se découper parmi la foule. Que faisait-il donc là et comment était il parvenu là ? Son haussement se conclut par un froncement généralisé des sourcils du Chat visiblement peu amateur de surprise. Les choses méritaient d’être tirées au clair. Mais plus tard. Il releva néanmoins un ton qui ne lui plut pas du tout chez son héritier :
-C’est le mariage de Sepa Von Strass, mon filleul et par conséquent tu lui dois le respect. Quand on vient à un mariage on essaye de se renseigner un minimum avant. Je ne te pensais pas friand de ces cérémonies et j’aurais préféré que tu sois plutôt assidus à ton activité à la garde épiscopale. Comment comptes-tu achever ton bachelage si tu dédaigne les exercices ?

Il en revint au jeune Nolhan. Ainsi donc il était un Von Strass lui aussi. Il sourit intérieurement. Il trouva dès lors l’intervention de son fils comme déplacée. Là encore, il reporta ses remarques à l’entrevue prochaine qu’ils auraient. Le jeune Nolhan, bien qu’hésitant, n’en demeura pas moins courtois. Alcalnn hocha la tête à la demande de l’Alençonnais :


-Volontiers Nolhan, nous te suiv… ses mots se perdirent lorsqu’il fut interrompu par une jeune femme qu’il ne connaissait pas. Fallait il donc qu’il soit si vieux pour ne connaître personne ici ? Soupirant interieurement, il sourit néanmoins à la nouvelle arrivante, la duchesse de Carrouges…

-Encantat Donhà, je suis Alcalnn Blackney, dit il simplement. Il n’avait pas le besoin de donner ses titres. Qui n’avait pas entendu parlé du plus célèbre condotière de France ? ( ) Or donc, si vous vous portez garante de ce jeune homme, quoique je n’avais pas spécialement de doute sur ca personne, vous le confortez dans son honneur.

Il croisa alors le regard de Castelviray qui le saluait de loin. Enfin un visage connu et c’était appréciable. Il lui rendit son hochement de tête s’attendant à le retrouver un peu plus tard. Sa fille, guillerette d’avoir son chevalier servant s’en fut à son bras, non loin de la vigilance paternelle, mais suffisamment pour qu’elle se sente « libre ». C’est alors que la duchesse de Carrouges prit congé et s’engouffra dans Nostre Dame. Le duc leva un sourcil interrogateur à son fils. Il aurait bien aimé lui demandait si elle avait un lien avec un duc de Carrouges dont le nom lui titillait la mémoire. C’était le problème a force de recevoir des horions dans les mêlées, le duc en perdait peu à peu la capacité à se souvenir des noms, des visages et des gens…

Ils finirent par entrer eux aussi, à leur tour, dans la Cathédrale. Le Chat vit Clairval et de Jeneffe. Une certaine nostalgie s’offrit à lui et il avait bien envie d’aller tapoter l’épaule de celui qui était désormais le Grand Ecuyer de France et dont il ne savait toujours pas comment il était revenu d’entre les morts… Mais il se retint, car ce n’était pas là l’occasion. Un jour peut être…


-Allons fils, allons-y. Il enleva son chaperon de sable, sur lequel un Sent Jorge d’argent était fixé par une broche, se retrouvant ainsi teste nue.

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Anya_de_puycharic
[Quand faut y aller...]

Il avait fait ce qu'il avait pu pour la rassurer, aucun autre mariage en vue. OUF intérieur de soulagement. Un autre regard alentours, elle vit sa soeur au loin, mais celle-ci entrait déjà. Etrange, où était son chevalier servant ? Sans doute au milieu de tous ces invités. C'est qu'il y avait réellement foule.

Son Suzerain adressa un hochement de tête comme salut. De là à savoir s'il avait salué le SG ou elle... disons qu'il avait salué les deux.
Une tornade rousse s'approcha, au bras d'un "vieux" Loup, gratifiant le couple Giffard-Castelviray d'un :"Bonjour Tatie, bonjour Fred". Hum... froncement de sourcils de la Blanche. Elle ne savait pas que sa nièce et le Vicomte se connaissaient au point de s'appeler par leur petit nom. Un détail à éclaircir. Elle adressa un sourire au père et à la fille.

Bonjour Leha. Je trouve que ton cavalier est parfait, oui. J'en serais presque jalouse. Heum, tu me le prêteras un peu, dis ? Juste un peu....


La nièce et la tante, juste quelques années d'écart. Puis déposant un baiser sur la joue du Loup. Peut-être serait-il étonné de voir sa jeune soeur au bras du Vicomte. Quoique, les bruits couraient qu'ils avaient signé un pacte tous les deux la concernant. Louche, très louche.

Bonjour mon frère, heureuse de te voir ici. J'ai cru voir nostre soeur, mais elle est déjà entrée dans la Cathédrale. Peut-être devrions-nous en faire autant.

Regardant à nouveau son "cavalier" et, dents serrées, toujours lui faisant un grand sourire :

Dieu que j'ai hâte que ce soit fini... ce mariage, tout ce monde...

Oui, elle n'aspirait qu'à une chose : la solitude et la tranquillité. Quelle idée il avait eue, le Licorneux de se marier.....

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Enzo
« Je n'ai plus besoin de passé autant de temps à la garde père, mes responsabilités m'octroient le droit de ne pas rester cloîtré à Rome comme les cadets, et je reste tout autant sérieux dans ma formation. »

Et c'était vrai. S'il y avait un endroit dans lequel le fils mettait beaucoup d'effort et de sérieux c'était bien à la Garde Épiscopale, mais elle avait un fonctionnement bien à elle se qui permettait d'être un peu libre, car il devait aussi s'occuper des paperasses pour la vidamie d'Auch. Toutefois, Enzo n'osa rien ajouté d'autre, restant bien droit dans ses bottes, ayant senti que son père n'était pas spécialement friand du ton qu'il utilisait. Valait mieux faire attention à ce qu'il disais, que son père n'arrive pas à monté un dossier sur les remarques déplacés qu'il avait. D'ailleurs, il aurait bien de quoi en faire deux de dossier, mais valait mieux pas mettre au courant le padre. Il salua donc simplement Nolhan d'un signe de tête, montrant qu'il lui donnait le respect qu'il lui devait mais pas bien bien plus. Il n'appréciait pas trop les jeune homme qui tournait autour de sa soeur, mais seul son père avait vraiment le droit de dire quelque chose à ce sujet, ainsi le fils se taisait, portant son attention ailleurs. Il daigna revenir à la conversation qu'a l'interruption d'une jeune femme.

« Enchanté, vostre grâce... »


Mais il n'eut pas vraiment le temps de se présenter, chacun saluant la nouvelle arrivé. Il ne la connaissait pas du tout. D'ailleurs, il connaissait personne, où alors c'était des visages rencontrés dans son enfance dont il ne se souvenait point. Lui aussi avait la mémoire défaillante par moment. Il pénétra donc dans la Cathédrale a la suite du petit groupe, et opina simplement la tête au propos de son père, replaçant ses cheveux de manière à ce qu'ils ne soient pas trop ébouriffer, et ce donna prestance. C'était tout de même un mariage.

« Je vous suis, père. »
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IRL à Québec, le 13 octobre ! Viendez !
Guillaume_de_jeneffe
Et parmi les visages déjà connus venait la duchesse de Clairval. Il n’aurait pas dû s’en surprendre tant il avait toujours vu une certaine complicité entre la Normande et le Von Strass. Mais, soyons honnêtes, Guillaume n’avait pas réfléchi à qui il rencontrerait à Notre-Dame, à l’exception des mariés et de la comtesse de Lille. Certainement que courir les cérémonies ne revêtait plus pour lui l’aspect de la surprise et que ces derniers temps ses proches étaient toujours à ses côtés dans quelque campement de guerre ou de trêve. Cependant, cette présence n’était pas pour lui déplaire et si l’ironie avait été conviée à ces retrouvailles, le Flamand n’entendait pas demeurer en reste : « Je ne peux que permettre, même si je crains que cela ne fasse fuir les jouvencelles qui rêveraient de goûter au charme d’un chevalier de la Licorne ».

Puis, sans vraiment lui laisser le temps de répondre, du moins pas immédiatement, Guillaume présenta son bras à celle qui semblait devoir être sa cavalière du jour, non sans saluer du chef le couple Giffard.
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Clody
Clody n’en était pas à son premier mariage, mais le premier oui à Paris même. Elle avait reçu l’invitation, une délicate attention de Sepa, et n’avait pas hésité à prendre la route pour avoir l’honneur d’assister à l’heureux évènement. Impressionnée par les robes, les dentelles, les beaux habits et les couronnes présentes, Clody se fit toute discrète, autant qu’elle pouvait, malgré sa flamboyante chevelure rousse, difficile à camoufler.

Quelques visages connus, d’autres moins et certains pas du tout, quelques sourires, inclinaisons de têtes en guise de salutations l’aidèrent à se rendre jusqu’à une place libre pas trop loin devant et suffisamment près pour quelle ne manque pas l’échange des vœux.

Voila que la cérémonie débutait, Le Duc Heimdal conduisait la jeune épouse vers l’élu de son cœur. Clody se laissa porter par l’ambiance.

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Jglth
Pour une fois, ce n'était pas à une cérémonie assommante qu'ils se rendaient. Depuis que le Giffard était GO-pair, il ne comptait même plus le nombre de pinces fesses auxquels il avait du se rendre, la plupart du temps pour faire tapisserie soit dit en passant.
Pas forcément des plus à l'aise au milieu des Von Strass pour des raisons que peu connaissaient, Julien était accompagné ce jour par sa fille. En fait, c'est lui qui l'accompagnait car c'était elle l'invitée... Signe avant coureur d'un passage de flambeau à une nouvelle génération? Allez savoir.

Sur le parvis il repéra sa sœur et avant même qu'il ne dise un mot, sa fille l'avait pris de vitesse pour aller saluer choupinette.
En se frayant un passage parmi les convives, le Cdf en profita pour saluer quelques têtes connues.
Alors qu'il arrivait devant sa sœur, son regard fut attiré par un visage qu'il n'avait pas vu depuis longtemps. Quelques rides en plus mais comme lui assurément. Alcalnn. L'homme qui l'avait pris sous son aile et l'avait encouragé. Depuis le départ du Chat de Normandie, les deux hommes s'etaient perdu de vue. Certes il existait toujours ce lien entre eux suite à divers serments prononcés. Julien n'oubliait pas que c'était Mortain qui était son parrain mais également celui qui l'avait accompagné à l'autel et avait été son témoin de mariage. Avant de sombrer dans des moments de nostalgie propres à ceux dont l'âge avance, il répondit à sa sœur et don cavalier.


Bonjour Anya. Tu es aussi en beauté que Leha aujourd'hui.

Puis froncant les sourcils à moitié en rigolant.

Et n'en profitez pas trop Castelviray, hein?
Bon, on y va alors?

Et hop on retend le bras à sa fille pour rentrer.
Luckylachance
La jeune femme était arrivé quelques minutes en retard se jour là. Il fallait bien évidemment comprendre qu'elle était souvent lente à se préparer, sa minutie la forçant à faire attention au moindre détails. Tout devait être parfait, et pourtant, ce n'était point elle la mariée ce jour là !
Vêtu de bleu nuit, couleur qu'elle affectionnait particulièrement, ses longs cheveux blonds en cascade dans son dos elle s'avança dans la cathédrale. Elle était heureuse d'être là, pour le jour si important de ses deux amis. Elle s'était avancé discrètement, ne voulant guère faire remarquer son retard, puis elle alla s'asseoir auprès de son frère et de la dame qui l'accompagnait. Elle savait qui s'était simplement parce que Fred lui en avait parlé, mais elle n'avait pas encore eu l'occasion de rencontrer la dame en question.


Bonjour vous deux ! Dit-elle doucement, accompagné d'un sourire. Elle se sentait bien, de bonne humeur en cette belle journée. Elle n'avait pas pu voir tout le monde mais il lui semblait qu'il y avait d'autres membres de la famille Giffard. Elle reconnu Akane et ceux qui lui semblait être le connétable de France ainsi que sa fille. Mais un léger doute s'installa dans la caboche Castelviraydienne.

Aussi, se reconcentrant, elle posa son regard sur la cérémonie et s'efforça de suivre. Elle eu chaud au coeur en voyant Stella, porter la robe qu'elle lui avait réalisé, honoré que cette dernière lui demande à elle de s'occuper de la robe qui pour Lucie, était la plus importante d'une vie.
Les visages familiers se dessinaient dans la cathédrale, elle aurait du monde à saluer !

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Anya_de_puycharic


[Heure de la transhumance]

Son aîné l'avait complimenté sur sa tenue et surtout.... surtout.... avait remis le Castelviray un poil à sa place, ce qui valut un large sourire sur le visage de la Blanche. Et toc ! Enfin, en même temps, s'il savait le frangin...
Mais il devait s'en douter puisqu'il avait donné son consentement et même plus ! Carte blanche !! et à elle, choupinette, on lui avait bien sûr pas demandé son avis.

Elle se rappela la discussion qu'elle avait eue avec son frère, concernant le mariage, les prétendants et toussa, et le Loup de lui dire :" il en est un qui a pris une sacrée avance sur les autres". Ouais, ben euh... n'empêche qu'au départ, hein, le Castelviray était pas au programme, mais alors, pas du tout. Après, le Très Haut, les frérots, et le Parrain en avaient décidé autrement.

Toute cette petite troupe CastelPuychGiffardienne entra dans cette magnifique bâtisse qu'était Nostre Dame et prit place. La jeune Duchesse n'avait pas quitté le bras de son traitre de Vicomte Copyrighté SG et une fois installés, un "bonjour vous deux" fit détourner le regard de la Blanche, qui afficha un sourire en guise de première réponse, avant de dire un "bonjour" à son tour.
Une autre blonde, voilà de quoi se sentir un peu moins seule, et au vu de la ressemblance, ce devait être Lucie. Le traitre assis à côté d'elle lui en avait maintes fois parlé, puis les deux femmes avaient eu la chance et le bonheur de croiser celui que Anya appelait son Ange, le Parrain de sa fille, celui sans qui elles ne seraient plus de ce monde.
La jeune femme était heureuse de la voir là, d'autant qu'il fallait avouer qu'elle craignait un peu le jour où elles se rencontreraient vraiment.
Anya s'était toujours demandé comment Lucie prendrait la nouvelle, de la savoir elle avec son frère. Apparemment, derrière le sourire qu'elle affichait, il n'y avait ni épée, ni dague cachée dans le dos, ce qui rassura la jeune Duchesse.
En s'asseyant, la Blanche avait lâché le bras du Vicomte, mais avait discrètement faufilé sa main gauche dans la sienne. Ben oui, quoi... fallait bien qu'elle la chauffe un peu, elle était gelée. Puis bon, valait mieux la main que les pieds, qui au passage étaient gelés aussi, comme à l'habitude. Et une main à réchauffer, cela faisait moins désordre.

Peut-être que les deux blondes auraient l'occasion de faire plus ample connaissance après la cérémonie. Anya jeta un regard alentours et vit sa soeur à côté de... tiens... lui, elle l'avait déjà vu aussi. A un duel. Celui contre son frère. Un homme qui avait osé dire qu'elle avait mis une robe exxxxprès pour le déconcentrer. Heureusement que ce jour là, elle n'avait pas mis la préférée du Vicomte, sinon, il y aurait eu matière à déconcentration, en effet. Sourire amusé adressé à ce dernier à cette pensée.

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Mymu_von_strass
Mymu en ce moment faisait profil bas, que de monde, de plus en plus et le pire pour elle c'est dans sa tête aucun noms ou presque à en sortir ..

La farouche mymu Von Strass était solitaire comme une souris face a un amoncellement de titre et d'étalage mondain...


-Ma belle il serait largement temps de sortir de ton trou...

Heureusement elle avait remarqué l'entrée de Fred si courtoisement appelé ainsi par son tendre Reikilo..et oui le messire de Castelviray avait son disciple dans l'ombre qui avait arrêté ses yeux sur elle ...ou bien était ce le contraire^^..peu importe, elle l'adorait même si peu de monde n'était au courant encore ..

Elle avait reconnu le dit messire Fred de Castelviray parce qu’elle avait accompagné Reikilo lors de son voyage a Rouen et surtout parcqu'il avait été le Duc d'Alençon au moment de son déménagement afin de rejoindre la famille ...mais qui pouvait bien être les deux blondes à ses côté?...certainement une proche de sa famille au vue d'une ressemblance mais l'autre ?
Sourcils froncé , elle chercha dans sa mémoire puis le discret rapprochement de la belle la fit sourire..à oui bien sur..sa douce ...comment ne pas y avoir pensé ?

Bien heureuse aussi de voir Heimdal fort occupé par ..Luaine et Stella la princesse du jour ..
Elle salua de loin Dame Clody de Shanley la rectrice de l'université, ignorant si elle l'avait vue..beaucoup de visages, difficile à se souvenir de chacun...Enzo..oui celui la elle connaissait aussi...

Mymu sourit à tout ce beau monde, ne voulant point rester anonyme dans une foule qui grandissait dangereusement, elle se rapprocha de son cousin le Duc Heimdal cherchant un regard, une attention, un sourire de l'une ou l'autre de ses maigres connaissances ...

Sepa était droit et fier...il pouvait l'être, en ce jour ou sa future épouse rayonnait comme un astre ..oui tel devait être sans doute son destin avec pareil prénom..

Mymu Von Strass se sentit soudain bien seule , ou était donc Reikilo?..elle aurait vraiment bien voulu le voir à ses côté en ce moment, avoir son bras tendrement collé au sien avec sa douce main dans la sienne comme les moments ou elle ne se sentait qu'une personne oublié au milieu de tout ce beau monde qu'elle voulait pourtant connaître et que son père Theudric Von Strass lui avait tant parlé...

Mais Reikilo viendrait il seulement? il était ami avec Sepa mais bien souvent occupé alors ...

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Camille.
[Ou comment se faufiler quelques heures loin de la folie tourangelle]

Ca devait être la saison. Pas d'autre explication. Ca se mariait à qui mieux mieux dans la famille et Camille ne savait trop où donner de la tête. Même ses cousines s'y mettaient et comme de bien entendu, la miss allait devoir passer à travers les noblions tourangeaux qui voulaient encore sa peau pour aller assurer son rôle de membre de la famille Mariemont.

Mission?
Kidnapper une énième fois son bougon de mari et l'enfermer dans le coche pour se rendre au mariage. Faciiiiiiiile!

Technique?
Se parer de ses plus beaux atours, prétendre une sortie romantique et pimentée en un lieu secret et troublant et voici l'italien harponné, se faisant beau pour montrer son plus beau plumage à la douce épousée qu'il aime tant encore jouer à séduire pour entretenir les feux de la passion.

Conséquences?
Intérêt après la cérémonie de lui offrir une nouvelle "nuit de noces" époustouflante pour se faire pardonner l'entourloupe!!!
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