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[RP] Mariage de Stella et Sepa

Fred


[Quand c’est l’heure]

Le Castelviray affichait un sourire radieux depuis que sa cavalière lui avait pris son bras. Compagne qui était, elle aussi, des plus resplendissantes. Bien qu’il sache qu’elle n’appréciait nullement ce genre d’événement pour des raisons particulières, elle était rayonnante. Depuis qu’il avait décidé de la laisser entrer dans son cœur, depuis qu’elle était là à ses côtés, il avait complètement changé. Dans le bonheur avec elle, il a plongé, tous ses tracas et ses chagrins lui sont, depuis étranges. Depuis qu’elle est entrée dans sa vie, il est devenu plus fort. Ses moments de joie, remplissent de longues listes, en sa compagnie, il oublie toujours, comment être triste.

Puis, une tête rousse qui s’approche du Couple Giffard-Castelviray. Ce n’était autre que la jeune fille du Duc de Lillebonne accompagnée de son père. Le Vicomte ne put s’empêcher de froncer quelque peu ses sourcils lorsque la jeune fille Giffard l’appela par son prénom, il faut dire qu’à force de travailler au sein du Secrétariat d’Etat on reste pointilleux concernant les us des nobles en lieu public. Le Vicomte salua respectueusement les deux personnes accompagné d’un sourire qui se voulait des plus amicaux et il ne put que l’élargir légèrement suite aux mots prononcés par le grand frère de sa Blanche.


Vostre Grasce, Mademoiselle Giffard, c’est une joie que vous recroiser et n’ayez crainte vostre Grasce je saurai être sage, comment pourrais-je l’être autrement au bras d’une si radieuse femme ?

Petite inclinaison de la tête lorsque celui-ci proposa d’entrer dans la chapelle. Puis il se pencha vers l’oreille de sa douce.

Je vous comprends ma tendre aimée, cependant il est bon également de revoir tous nos amis de temps en temps même si l’on n’est pas obligé d’attendre un mariage pour cela.

Tendre sourire qu’il n’avait que pour elle avant d’entreprendre l’ascension au sein de la Cathédrale. Le Castelviray laissait son regard aller de droite à gauche, petit sourire en direction de son amie Clody, autre sourire pour la jeune Mymu, la compagne de son jeune vassal Reikilo qui d’ailleurs n’était point présent à ses côtés ? Il devrait sans nul doute s’entretenir avec celui-ci afin qu’il sorte et qu’il se prenne plus de temps.

Le Vicomte de Rémalard cherchait également sa sœur du regard, il savait qu’elle serait à la cérémonie, elle le lui avait fait savoir. Le couple Giffard-Castelviray prit place dans l’un des bancs encore libres, quand, pas même quelques minutes après il sentit une personne s’approcher. Celui-ci porta son regard sur cette personne, une femme blonde qui était sa jeune sœur. Fred lui fit un grand sourire, ravi de la voir ici et ravi qu’elle vienne prendre place à ses côtés cependant il fut étonné qu’elle soit seule. Où était donc Lidrario. Enfin les questions seront pour plus tard, il posa sa main sur celle de sa sœur, un geste fraternel afin de lui souhaiter un bonjour, ben oui une bise en pleine Cathédrale n’était pas très recommandé. Cependant, le Castelviray était fort heureux car visiblement tout semblait bien se passer entre les deux blondes, petite crainte tout de même, il les connaissait fort bien toutes les deux et il pourrait parier qu’elles se lient quelques fois entre elles juste pour pouvoir le taquiner. Il sourit à cette pensée et sourit bien plus amoureusement à sa compagne lorsqu’elle glissa sa main dans la sienne, il écarta ses doigts afin qu’elle puisse y glisser les siens afin de resserrer sa main.

Cette journée s’annonçait bonne.

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Nolhan
Restant droit dans ces bottes il fit front du mieux qu'il pouvait devant la famille de Helene.Voyant que le père ne prenait pas si mal tout cela il ce détendit un peu et n'ayant pas le temps de dire ouf que les choses s'enchainerent.
La Comtesse Océade arriva auprès du groupe et ce présenta aux convives, la dessus Helene enchaina avec un léger acceuil et en profita pour ce delester de son père et tendant le bras en direction de Nolhan.
Celui ci ne voulant pas paraitre impolis ce mis a ces coters et lui prit le bras contre le sien.
Et hop le voila embarquer sans temps mort direction l'église, Helene le fit entrer en faisant avant un signe de croix, Nolhan ne connaissant point cela et ne voulant pas ce sentir coupable d'un acte qu'il ne pouvait accomplir n'étant point baptiser,il préfera donc s'abstenir de tous gestes et suivit avec discrétion sa "promise" du jour .
Ils prirent place sur le milieu de l'église et s'installèrent sur le banc.
Contemplant ce lieu Saint il fut emerveillé par tant de beautée sur les murs et montant jusqu'au plafond qui était d'une hauteur hallucinante et ayant une forme de extraordinaire.
Revenant sur terre et reprenant ces esprits, il regarda Helene et la trouvait aussi belle que les anges peints dans le ciel de l'église.
Elle lui sourit et dit :



Lors d’une attaque frontale par quelle parade doit-on répondre Messer Nolhan ?



Réflechissant a peine il lui murmura tout pres de son oreille

Quand on voit son adversaire vouloir frapper en premier , on ne doit pas penser a la parade que l'on doit faire car naturellement et par instinct.Le plus important est de devoir penser au coup auquel on peux porter et savoir si cela nous servira a nous défendre ou attaquer.
Mais j'avoue que vous avez su manier grandement cela par une belle esquive.



Il sourit en coin et lui fit un clin d'oeil complice, il appréciait de plus en plus sa compagnie et était heureux d'etre avec elle en ce jour.
Clotillde
[C'qu'il faut pas faire pour faire plaisir à son père]

J'm'ennuie... Qu'est-ce que je fais là ? Pourquoi je suis venue ? Elle papillonnait et regardait les tableaux et les vitraux de l'église en attendant que ça passe. Elle attendait le moment béni où le curé demanderait si quelqu'un avait une raison de s'opposer à leur union. Elle voulait dire à tout le monde que cette femme ne méritait pas son papa, il pouvait trouver bien mieux, et surtout une femme plus belle que cette blonde. L'étoile... laissez-moi rire, d'où est-ce qu'elle illumine quelque chose à part les intellectuels qui se gaussent de sa grande bêtise ? On ne peut même pas dire qu'elle attire par sa grâce, car elle n'en a aucune. Et son père, comme tout homme, se laisse aveugler par elle. Clo ne comprend toujours pas ce qui peut attirer les hommes. Apparemment, certaines femmes ont une technique particulière pour les faire venir à elles et surtout pour les garder. Un de ces jours, il faudrait qu'elle trouve une catin de luxe et qu'elle lui demande tout ce qu'il faut savoir sur les hommes. Il ne devait pas y avoir tant de choses que ça à savoir, quand on voit comme la Stella avait réussi à mettre le grappin sur son père. Et voilà que maintenant, elle était obligée d'assister à la cérémonie, et sourire à tout le monde en leur disant qu'elle était... Heureuse ? Ca va pas non ? Contente que... Ben non, pas encore, vu que la cérémonie se prolongeait. Présente ! Voilà, c'était déjà énorme de sa part. Si elle avait pu, elle aurait fui dans une taverne pour assister à sa propre messe, et boire jusqu'à oublier que son père aussi la laissait pour une autre alors qu'elle l'avait prévenu que ça n'irait jamais. Elle tente de garder un air encore un peu humain et reste assise, les mains croisées, les jointures blanches à force de les serrer pour s'empêcher de hurler que tout ça ne sert à rien. Elle murmure assez fort pour que les voisins entendent

Quand est-ce qu'il nous demande ce qu'on en pense ?
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Mymu_von_strass
Le temps était guère au silence, le bruit des murmures grandissants emplissait la cathédrale...monument presque idyllique de la passion humaine pour leur Dieu et créateur, cette bâtisse grandiose méritait son nom , ses vitraux et sa nef centrale revêtaient tous ce qui avait de majestueux dans l'âme de ses bâtisseurs..

Mymu en était la dans ses pensées, regardant autour d'elle comme tous et chacun attendant le moment ou l'union allait être consacrée..voir tout le tralala n'était pas vraiment dans ses habitudes, elle préférait de loin un coin de bois, un pied de chêne afin d'écouter les oiseaux ou regarder les nuages mais voila...c'était le mariage de son oncle alors comme il se doit, elle avait mit tout ce qu'elle possédait de sauvage de côté pour faire bonne figure et paraître moins sauvageonne pour une fois...

Un moment se passa quant soudain un fourmillement léger lui caressa la nuque, signe que quelqu'un parmi tout ce monde la regardait.."elle"..un rapide retour sur terre pour croiser le regard et un sourire courtois du messire Fred Castelviray en sa direction.

Elle sursauta , se mordit les lèvres d'être prise en flagrant délit d'évasion et seule sans son compagnon de route..Maudissant sa façon désinvolte de se moquer des convenances en assistant pas à ses côtés à l'heureux évènement, elle rendit un sourire et un léger signe de tête au Seigneur de Reikilo, le remerciant en son fort intérieur de l'avoir reconnu au milieu de cette foule...

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Johanna.
Johanna avait trainé les pieds pour cette cérémonie. Sa mère qui soi-disant l'aimait, avait décidé de l'envoyer se préparer avec le satyre. Johanna ne comprenait pas : alors qu'elle devenait une femme, sa mére la tenait toujours pour une sale gosse. Jo après ce mariage tirerait sa révérence : puisqu'elle n'était rien pou sa mère, elle irait ailleurs là où on remarquerait encore et là où on ne la confondrait pas avec quelques enfants à mettre à tout prix sous la coupole d'une dizaine de gardes.

Pourquoi c'est à moi de donner les alliances? pourquoi ce n'est pas l'autre... elle, je suis sure... Maman l'aime... mais moi... je ne suis plus que pour elle le souvenir de mauvais jours.

Jo se laissa laver. Même cela, on ne la pensait pas capable de le faire seule. Elle se fit malmener par les bonnes tendues par peur de subir le courroux de Sepa.

Trop c'est trop! Je ne suis pas votre poupée... encore, votre poupée, vous en prendriez davantage soin.


Jo repoussa la servante et finit d'attacher la robe seule. après de brefs ordres de son beau père auxquels elle répondit avec autant de brièveté. A l'approche du lieu de célébration, elle sauta de leur majestueux moyen de transport. elle regarda Sépa avant de partir rejoindre les premiers rangs
.

Oui j'ai les alliances! Oui je serais sage! Non je ne m'enfuirais pas! M'enfin je n'ai plus dix ans!! laisses moi tranquille! Vas donc avec TA fille et TA famille!

Ostensiblement, elle haussa les épaules et se dirigea au premier mais à l'autre bout de cette famille pour qui elle n'était rien.
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Asphodelle
On a beau regarder, ce n'est vraiment pas le Cardinal Rehael, la créature qui s'avance jusqu'à l'autel. Ce qui devait être le charismatique Connétable aux cheveux de Beatles, se transforme en une femme aux cheveux auburn au feu de henné, aux yeux verts et à la robe de velours gris souris - et elle s'est fait la moustache le matin même...si si...

Elle s'avance sans crainte, habituée à s'adresser aux inconnus, et ce, en six langues différentes....enfin...on va dire cinq parce que vraiment, la langue de vikings qui boivent dans des crânes - l'allemand, qu'est-ce qu'elle a du mal!!! ça lui vaudra d'ailleurs un cadeau qui coûte un bras à l'Hochmeister Teutonique Monseigneur Makcimus, impossible qu'elle fut de se souvenir de ce que signifiait son grade...la bourde...

Elle s'avance donc...la tête vidée, liquidée et lavée de ce qu'elle est - multiple - en dehors de celle qu'elle doit représenter à cette heure.
Asphodelle n'en peut plus de chercher l'équilibre, et de s'accrocher, car elle ne peut se permettre de décrocher plus d'une semaine d'affilée. Décrocher, c'est tomber. C'est tomber et c'est voir s'écrouler l'oeuvre de sa vie, la raison qu'a de battre son pauvre coeur qui pulse le sang dans ce corps qu'elle fait devenir simple instrument, machinal, robotique, programmé sur le mode "avancer", mais décidé une fois pour toute à s'oublier pour la Garde Episcopale et ses branches étrangères.

Sa mère empoisonneu...apothicaire aussi...lui avait fait parvenir un onguent nacré qui permettait de dissimuler les cernes et le rose aux joues brulées par le froid, le vent, et le soleil des escortes qu'elle mène, amène, accompagne, et trop pour son Archevêque qui se fatiguait de la voir revenir - elle ne lui dit pas trop qu'elle a le voyage dans les veines.

Elle cache sa fatigue, parce que là, à cet instant, qu'est-ce qui comptait? ah non ce n'était pas "la cause", ni ses galons, ni les dossiers et les lettres qui s'accumulaient sur son bureau...ce n'était pas non plus son gonfanon de la Vidamie de Rouen, ni ses terres en Savoie...en réalité, elle n'était encore une fois, ici dans cette enceinte sacrée insulaire, brillante de ses étoiles bleus et rouges éclatées par les vitraux sur la pierre massive, qu'un outil.

Tout ce qui importait, étaient cet homme, et cette femme.

Lui...elle...le Créateur...et c'était tout.

La jeune femme, la mine douce sur son visage serein, est infiniment heureuse d'avoir été sollicitée par Son Eminence pour l'assister pour cet office. Elle avait été diaconesse, et avait chéri ces moments d'enseignements et de célébration. Reprendre du service par un mariage à Notre Dame, cela tenait du merveilleux!!

Aussi, c'est avec sincérité qu'elle partage leur émotion. Car quelle que fut la pensée des invités, l'état des gargouilles ou l'humeur des états atmosphériques, il était question ici d'une force qui dépassait tout, surpassait et explosait l'entendement humain, rendu permis et parfait par le Tout-Puissant...

Là et maintenant, c'était juste Stella et Sepa!! ce n'était pas sa petite personne ou ses petits tracas, ni ce que l'on faisait hier et ce que l'on fera demain!! là, et tout de suite, c'était la magie, et le plus grand que soi, qui brillaient si forts dans leurs yeux. Leur univers imposait et s'imposait à l'égo de chacun, passait devant et que ceux qui les aiment les suivent!!

Asphodelle leur adresse un immense sourire lumineux, aussi émue que s'il eut pu s'agir de ses propres amis, de sa propre soeur et de son propre frère, touchée dans son âme par leur bonheur, leur émoi et leur fébrilité à se fondre pour une ligne continue et infinie...unis.
La mariée était magnifique...et on ne sait pas comment elles faisaient toutes pour être toujours aussi uniques. Le marié avait fier allure, un peu nerveux...c'était attendrissant et toujours adorable à contempler que ce léger trouble causé par les battements du coeur, et ce rapprochement de cette finalité si passionnément espérée.

Elle ouvre légèrement les bras en signe d'accueil, embrassant l'assistance parmis laquelle elle connaît, reconnaît, mais n'en souligne rien, car ici et maintenant, elle n'est rien :

Mes chers frères et soeurs, nous sommes tous rassemblés, embarqués dans ce beau "navire" pour célébrer l'union de cet homme, et de cette femme, et avoir le grand honneur de partager leur joie d'atteindre enfin la légitimité et l'ultime félicité d'être bientôt annoncés comme "mari et femme"...

Elle était chaste, et allait bientot faire ses voeux, mais elle a été fiancée, et le visage de son premier amour l'accompagne toujours.

Le mariage est un présent de Dieu, qui se découvre chaque jour, s'embellit et s'entretient sans relâche...un tableau que l'on peint au fil des matins, des jours et des nuits...qui un sourire, et l'on dépose un soleil sur la toile...qui une attention, et c'est une fleur qui apparaît...

Les époux trouveront leur inspiration pour faire de leur vie, l'oeuvre de cet amour qu'ils apprendront, puissant et à tout épreuve...entrelacés dans leurs étreintes d'amants, d'équipiers, forts car le meilleur ami et le plus grand allié de l'autre...

C'est là la touche finale du Créateur qui nous donna cette lumière présente sous plusieurs formes, qu'elle soit sous l'empreinte de l'amitié, de la piété, de la famille ou de l'émoi du sexe opposé.
Il ne faut jamais oublier, que tout faire pour être heureux en mariage est une forme de culte, rendant honneur et gloire à cette disposition qu'il nous donna et qu'il veut heureuse, harmonieuse et éternelle.

Ensemble, récitons le crédo qui unit, et que nos coeurs soient touchés par ce délice qu'ils partagent à cet instant, conscients autour d'eux, que nous en sommes étrangers...éblouis par leur beauté et la pureté de leurs sentiments.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN


Elle se recule alors, laissant place au Cardinal qui devait continuer et effectuer la célébration du mariage, se plaçant sur le côté, discrète.

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Mymu_von_strass
Enfin devant les mariés voila qu'une femme au cheveux de feu, les yeux d'un vert éclatant dans une sobre robe gris souris s'avance les bras tendu...

Mymu est piquée de curiosité..


-Qui est elle ?

D'une voie forte pour toute l'assemblée elle clame :

Citation:
Mes chers frères et soeurs, nous sommes tous rassemblés, embarqués dans ce beau "navire" pour célébrer l'union de cet homme, et de cette femme,.....


Alors la ça lui en bouche un coin..des lèvres qu'elle soulèvent béatement pour les laisser retomber aussitôt pour reprendre avec toute l'assemblée le credo...

-Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle. ...


-Hum..la diaconesse...


Puis Mymu se tord le cou pour apercevoir son Éminence le Cardinal....
Son regard accroche la mine renfrognée de Johanna et se souviens d'une soirée au château ou elle avait rencontré la belle ...

-Bon sang ! qu'est ce qu'elle a grandit...

Le silence se fait ..chacun retient son attention sur le couple réunis devant l'autel...
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Esperenza
Cela faisait quelques temps que le jeune femme avait quitté l’Alençon ou vivait pourtant la plus part de sa famille, entre temps elle avait eu le temps d'apprendre de nombreuses nouvelles les concernant tous, dont les épousailles de son jumeau.
Si ca on l'avait cru quelques semaines au par avant, mais elle était aussi repartit dans son comté d'origine, alors avec toute la route à parcourir vers Paris, cela ne fut pas évident d'arriver à temps pour le tout début des noces.
D'ailleurs elle arriva lorsque l'on récitait déjà le crédo.

Mais la damoiselle Von Strass arriva quand même, d'ailleurs elle n'avait prévenue personne de sa venu, même pas le marié, si elle était au courant des nouvelles, elle était tout de même reclus dans sa seigneurie depuis un certain temps et ne donnait que peu de nouvelle.
Alors espérant que la surprise serait réjouissante pour son frère elle entra dans la cathédrale de Nostre Dame, et discrètement avança la ou la famille avait coutume de s'assoir lors de ce genre d'événement.

Ah elle n'aurait jamais cru venir ce jour, et un jour peut être que ce serait son tour, alors rêveuse elle entonna le crédo en même temps que l'assemblée, se retournant rapidement vers le reste de la famille pour leur adressait un petit salut.
Puis Blanche reporte son attention sur son frère.

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Oceade
Sa colére passée, Oce avait légérement haussé les épaules, se disant qu'il fallait que jeunesse se passe puis avait suivi la célébration, pensant qu'il faudrait bien qu'elle aille à confesse un jour..
L'assistance reprit en choeur le credo et elle suivit le mouvement, le récitant à voix basse :


Citation:

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle. ...

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Sabaude
Sepa, sais pas...

- Nous entrons ou pas? D'après ce que j'entends ça a commencé depuis belle lurettes.

Sabaude, qui collectionnait plus de mariages - ceux des autres- que de conquêtes, lissa pour la énième fois sa tenue en fixant sa compagne du regard pour guetter son approbation. Il avait bien fait d'investir dans ce costume, il le ressortait à chaque union!

- Après tout, je ne suis pas connu pour ma ponctualité et je n'avais pas prévu que la carriole qui contenait le reste de la caserne se décrocherait, finirait je ne sais où pendant la nuit... Nous aurions du chercher un peu plus.... Ils n'ont pas pu ne s’apercevoir de rien... Tant pis, il se contentera de nous deux. Je vais essayer d'ouvrir discrètement la porte, rase les murs et précipite toi vers le banc le plus proche, la bouche en coeur!

Sa main retint soudain Brune.

- Hum, j'ai une meilleure idée! Nous allons attendre les futurs mariés sur le parvis. Inutile de troubler la cérémonie avec une porte qui grince, des têtes qui se retournent, des sourires navrés...
Brunehautdartois
Lissée, tirée, épinglée, je parle évidemment de sa chevelure qu'elle a ainsi disciplinée pour énième cérémonie, au moins cette fois il n'aura pas eu à se moquer d'elle et l'aider dans le choix de sa tenue, elle avait opté pour la verte celle qu'elle portait au mariage de sa demie, autant amortir.
Visant la porte qui leur faisait face, se demandant pour quel géant elle avait bien pu être construite, elle ne peut que constater comme il le lui fait si bien remarquer qu'ils sont bel et bien en retard.
Elle qui rêvait d'admirer les vitraux de la cathédrale,devra se résoudre à ne les voir que de l'extérieur.


A ton avis un édifice de cette taille doit avoir un grand nombre de confessionnaux, tu ne crois pas?

Sourire de connivence un brin taquin, pour serrer entre ses doigts les siens.

De toute façon ils ne s'apercevront pas de notre absence pendant l'office, si nous les accueillons à leur sortie.
Mais ça risque d'être encore long non?


Balayant son regard autour d'eux, la seine n'est qu'à quelques pas.

Je crois avoir une meilleur idée, que diriez vous mon cher d'accompagner mes pas et flâner un peu au bord de l'eau.
Promis je ne t'y pousserais pas.

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Luaine
Entrée dans l'immense bâtisse de pierre et échappant avec un bonheur indescriptible au froid du dehors, Luaine se dirigea derrière les mariés vers l'autel.
Son mari et Duc d'Alençon amena la belle blonde incendiaire aux bras de son futur et tendre.

Heimdal et Luaine en tant que témoin, se placèrent juste derrière les futurs époux.
Ils étaient là avec un boulot en vu tout de même, ouais ils avaient un labeur, donner les alliances, signer les registres, un vrai travail de titan.
Une jeune femme se tenait là, du côté office et Luaine scrutait la bouche de l'Archevêque qui allait probablement s'ouvrir.
La célébration allait commencer ou pas....

Luaine fit un clin d'oeil vers la petite étoile pour lui donner une dernière once de courage avant le début. Ensuite portée par les évènements, l'appréhension que ressentait toute mariée, s'évanouissait.

Une bouche s'ouvrit tel un tocsin mais pas celle qu'on croyait. Luaine se tourna vers la jeune femme qui amorçait la célébration.

[mode schizo on]
Tiens l'archevêque fait une grève? Pourquoi il ne parle pas?
Bizarre c'est qui cette jeune femme....
Bon on commence c'est bien le principal
[mode schizo off]

Elle écouta solennellement le discours plein de sagesse de la....surement vicaire ou diaconèse ou un truc du genre.
La témoin entonna le credo en choeur, qui résonna dans les murs de la cathédrale.


Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN


Elle leva ses yeux vers son mari et lui sourit. Cela lui rappelait leur propre mariage. Sans compter que bientôt une jolie blondie agrandirait la famille Von Strass, leur donnant une nouvelle cousine. C"était un jour de liesse pour la famille.
Un regard fut perdu dans l'assistance.
Elle y vit la petite souris Mymu et lui fit un petit salut discret de la main et vit aussi quelque chose qui retint son regard un peu plus qu'à l'accoutumée en voyant un vicomte en charmante compagnie d'une jolie blonde amie de longue date de son époux.

Elle tourna vivement la tête vers son époux avec des mirettes bien expressives. Son mari pouvait voir que quelque chose avait heurté son attention. Mais il n'avait pas la moindre idée du pourquoi et du comment.
Entre les dents serrés à la manière d'un ventriloque, Luaine lui parla à voix très basse.


Où j'ai une hallucination collective à moi toute seule, où Fred est accompagné de Anya. Mais vu que je n'utilise pas d'opiacés, je pense que je rêve pas.

Elle sourit largement vers son mari. Le Fred semblait être parti en Normandie pour une galante intention.
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Sepa
C'est surpris quand Sepa se retourna, vit que le Cardinal était remplacé par une femme pour commencer la cérémonie de mariage. Peu importe qui s'était à vrai dire, il voulait juste que son union avec Stella soit officialiser aux yeux du Très Haut. Tout sourire, il vit ses amis, des personnes qu'il tenait chère dans son cœur, la plupart était là mais il manquait encore un grand nombre de personne. Déçu? Non loin de là, rien ne pourrait lui ôter son bonheur de se lier avec Son Étoile.

Tout cela n'était pas de l'avis de tous, en première lieu à Clotillde et Johana, les deux filles d'un "union" précédent. Sepa les regardait de manière à qu'elles comprennent qu'à la moindre bêtise, même la foudre serait un plaisir comparé à ce qu'il leur réserverait. Enfin il les avait assez sermonné et ce n'était pas dans un lieu Saint qu'il devrait le refaire.

L’ecclésiastique prit la parole pour débuter la cérémonie à la plus grande joie du Von Strass,l'écoutant attentivement puis récita le Credo en même temps que tout le monde.


Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle. ...

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Thimothee
Il ne voulait pas se laisser conter cet heureux évènement. Même si sa santé l’empêchait souvent d’être présent pour la structuration et la mise en place de certains évènements de cette famille, qui a bien voulu lui faire la grâce de lui offrir les clés de leur chapelle, Thim se sentait tout de même proches d'eux.
La célébration du mariage avait débuté et tout semblait déjà en place lorsque le jeune diacre arriva a Nostre-Dame, revêtu de tout la carrure dont le Très-Haut l'avait gratifié.

Les voix résonnaient a l'unisson dans tout l'édifice pour affirmer fièrement leur Foy et leur appartenance a la grande Famille de la Aristotélicienne Unie. Prenant place parmi les convives deja présents, Thim se signa puis rejoignit les voix.


Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

Anya_de_puycharic
[Ahhhhh, ça commençait, mais...]
      ... vision, hallucinations ?


Après avoir vu le sourire discret de sa "nièce" Luaine, la Blanche resserra un peu plus fort sa main dans celle du Vicomte. Note pour éclairer les lanternes, la Blanche de dix-neuf printemps se retrouvait être sur le même arbre que les Von Strass, et ce, de part le biais de sa nièce Leha, demi-soeur de Heimdal. Ce dernier devenant donc de fait son neveu. Oui, la nouvelle fait toujours frémir de savoir que le neveu était plus vieux que la tante. Mais il était vrai que les liens entre Heim et Anya étaient d'abord tout autre.
Elle se souvint de leur pacte, il y a de nombreuses années maintenant, alors qu'elle n'était qu'élève à l'Ostel Dieu. Ce pacte... honte à elle... bien qu'elle y tenait toujours, force était de constater que le temps les avait séparés. Il faudrait qu'elle s'octroie plus de temps pour prendre de ses nouvelles - fin de la note -

La Cérémonie allait commencer, quand la jeune femme leva les yeux vers le ... qui allait officier ... le Cardinal était en fait... la... ???? ce ne pouvait être possible !! Elle ferma les yeux, secoua la tête. A force de ressasser les souvenirs ces derniers temps, voilà qu'elle avait des visions. En les rouvrant, elle ne put que constater que c'était bien ELLE.
Asphodelle ???

Et Paf, re-souvenirs, nostalgie et toussa. Effectivement, le Vicomte n'avait pas menti losqu'il lui avait dit que ce mariage allait être plein de bonnes surprises. Cela commençait bien. Un sourire s'afficha sur le visage de la Blanche qui écouta attentivement les paroles de cette "vieille" connaissance.

Le mariage est un présent de Dieu, qui se découvre chaque jour, s'embellit et s'entretient sans relâche...un tableau que l'on peint au fil des matins, des jours et des nuits...qui un sourire, et l'on dépose un soleil sur la toile...qui une attention, et c'est une fleur qui apparaît...

Les époux trouveront leur inspiration pour faire de leur vie, l'oeuvre de cet amour qu'ils apprendront, puissant et à tout épreuve...entrelacés dans leurs étreintes d'amants, d'équipiers, forts car le meilleur ami et le plus grand allié de l'autre...


Ah ben voilà, c'était dit. Joliment dit, même. Mais non. La jeune femme détestait toujours autant les mariages.
Le Mariage... un présent. Ouais ouais ouais... c'est ça : un présent. Ben le Très Haut, il aurait pu ouvrir les yeux à St Nicolas !! et il ne l'avait pas fait. Elle avait comme un sentiment d'abandon pour le coup. Bien que machinalement, sans s'en rendre compte, elle gardait la main du Vicomte dans la sienne et la câlinait doucement, discrètement, ses doigts se resserrant un peu aux siens, tout en récitant le Credo.

Credo avec une pensée pour toutes leurs vieilles connaissances : un Diacre écossais, un docteur fou des haches et de l'huile de foie de morue, une amie qui lui avait appris à manier la serpillère, et bien d'autres qui les avaient quittés.

Amen...

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