Enzo.blackney
« Parce que c'est dans lextase que nous sommes le plus proches de Dieu. »
Inspiré d'un extrait de « Les mensonges des hommes » de Paul Avignon.
Il l'a. Tout entière, entre ses mains. Il y est. Entre ses cuisses. Le cur qui court le marathon, ses mains mains ferment qui simplement guide leurs corps. Il s'impose en elle, et elle ne dit rien. Elle aime ça. Il aime ça. Ils aiment ça. Oui. Ils se lient dans l'acte de chair, et Enzo d'en oublier son mépris, le temps de cette danse qu'il guide. Son corps bouillant, la tempe qui s'exprime elle aussi et démontre tout l'envie, tout ce qui se trame dans l'esprit du Blackney. Ça brûle, ça crispe les muscles, ça accélèrent le rythme cardiaque et dilate les pupilles. C'est mortel. C'est savoureux. Ses yeux se pose sur elle lorsqu'elle se cambre, indécence sublime. Il n'y a plus aucune morale qui existe actuellement, seulement ce corps qui se arque sous ses assauts. Un frisson lui traverse l'échine quand elle lui serre le poignet, encore plus fort, à chaque nouveau mouvement. Il comprends, il ressent, il sait qu'il lui donne du plaisir. Et ça le rend fou. Fou parce qu'il aime. Fou parce qu'il en veux encore plus, plus rapidement, plus brutalement.Alors il la consume entièrement de sa cadence avec plus d'ardeur alors que ses yeux se pose sur sa poitrine un instant. Chaque coup dil à ce corps le tue à petit feu, et il est temps d'invoquer pour lui la fin de cette danse, mais il ne veux pas.Pas de suite, alors ses jambes se crispent durement, la main sur la hanche de Gabrielle se fait dure, les doigts malmenant la chair, il ferme les yeux, se mord la lèvre, la chaleur se perlant doucement sur son front. Il se noie dans cette chambre, sur cette couche, avec elle sur lui. Rien n'est plus, rien d'autre que cet instant existe, alors qu'auparavant il ma méprisait, se jouait d'elle, c'est maintenant lui qui fond qui se mouve sous se plaisir qui l'envahit. Et il continue, plus fort, plus brutalement, et elle suit sa cadence. Enzo prend tout ce qu'il y a a prendre, égoïstement, alors que Gabrielle, à se cambrer allume tout les foyers de son corps.
Il se damne pour elle, il se complait dans l'acte de chair, en augmentant le tumulte dans sa tête. Enzol'âme tourmenté entre plaisir et torture ressent tout en lui ce que cela inflige au plus profond de ses entrailles, son regard est de plus en plus intenses, ses coups de reins maintenant saccadés exprime le fait qu'il ne tient plus. Il se cambre, il la tient, il se retient. Encore un peu, juste quelques secondes. Ce n'est plus le besoin de s'assouvir qu'il ressent là, maintenant. Non, c'est de lui faire l'amour qu'il a envie. Comme jamais il n'a été capable de le faire encore avec une femme. Du moins, une qui n'est pas là pour lui apprendre à faire plaisir.Il s'abandonne entre les cuisses de Gabrielle, délaisse cette raison qui lui pourrit l'existence, lui empêche d'apprécier pleinement l'acte charnel. C'est bien plus que le désir, ou le plaisir qui se positionne dans le corps et la tête du Blackney. Il se fait animal, son corps exige la rédemption de leurs échange, ses yeux se ferment, son corps se mouve, et il offre le coup de rein finale avec une force qui tire sur ses points, mais il en a cure, et délace entièrement tout ses désirs,laissant aller un grognement suivit d'un profond gémissement.Alors qu'il se déverse, sans pudeur, cette envie effrénée se libérant des chaînes du désir pour se finaliser dans l'extase, il ouvre les yeux, la regardant, laissant aller ses quelques coups léger qui fait frémir et servent surtout à calmer la chamades des plus fort moment. Son souffle est brûlant, sa respiration saccadés comme si, pendant les dernières secondes il n'avait pas respirer.Ça à durer combien de temps ? Il n'en sait rien. Il en perdu le nord le pauvre jeune homme.
Elle a gémit. À cause de lui. C'est une évidence. Il a aimé. Il en tremble. Il va apposer ses lèvres sur les siennes, presque délicatement, donnant l'impression qu'il la remercie. Il n'a pas besoin qu'elle le rassure, il comprends cette tempête qui reprend possession de sa tête, mais il n'a aucune envie d'en parler. Alors, il l'embrasse. Simplement. Puis,Il ne bouge plus, la regardant un moment avant de tenter de reprendre contenance.
Ils ont joués. Et tout deux se sont brûlé. Le désir ayant submerger l'orgueil dans toute sa splendeur.
_________________
Inspiré d'un extrait de « Les mensonges des hommes » de Paul Avignon.
Il l'a. Tout entière, entre ses mains. Il y est. Entre ses cuisses. Le cur qui court le marathon, ses mains mains ferment qui simplement guide leurs corps. Il s'impose en elle, et elle ne dit rien. Elle aime ça. Il aime ça. Ils aiment ça. Oui. Ils se lient dans l'acte de chair, et Enzo d'en oublier son mépris, le temps de cette danse qu'il guide. Son corps bouillant, la tempe qui s'exprime elle aussi et démontre tout l'envie, tout ce qui se trame dans l'esprit du Blackney. Ça brûle, ça crispe les muscles, ça accélèrent le rythme cardiaque et dilate les pupilles. C'est mortel. C'est savoureux. Ses yeux se pose sur elle lorsqu'elle se cambre, indécence sublime. Il n'y a plus aucune morale qui existe actuellement, seulement ce corps qui se arque sous ses assauts. Un frisson lui traverse l'échine quand elle lui serre le poignet, encore plus fort, à chaque nouveau mouvement. Il comprends, il ressent, il sait qu'il lui donne du plaisir. Et ça le rend fou. Fou parce qu'il aime. Fou parce qu'il en veux encore plus, plus rapidement, plus brutalement.Alors il la consume entièrement de sa cadence avec plus d'ardeur alors que ses yeux se pose sur sa poitrine un instant. Chaque coup dil à ce corps le tue à petit feu, et il est temps d'invoquer pour lui la fin de cette danse, mais il ne veux pas.Pas de suite, alors ses jambes se crispent durement, la main sur la hanche de Gabrielle se fait dure, les doigts malmenant la chair, il ferme les yeux, se mord la lèvre, la chaleur se perlant doucement sur son front. Il se noie dans cette chambre, sur cette couche, avec elle sur lui. Rien n'est plus, rien d'autre que cet instant existe, alors qu'auparavant il ma méprisait, se jouait d'elle, c'est maintenant lui qui fond qui se mouve sous se plaisir qui l'envahit. Et il continue, plus fort, plus brutalement, et elle suit sa cadence. Enzo prend tout ce qu'il y a a prendre, égoïstement, alors que Gabrielle, à se cambrer allume tout les foyers de son corps.
Il se damne pour elle, il se complait dans l'acte de chair, en augmentant le tumulte dans sa tête. Enzol'âme tourmenté entre plaisir et torture ressent tout en lui ce que cela inflige au plus profond de ses entrailles, son regard est de plus en plus intenses, ses coups de reins maintenant saccadés exprime le fait qu'il ne tient plus. Il se cambre, il la tient, il se retient. Encore un peu, juste quelques secondes. Ce n'est plus le besoin de s'assouvir qu'il ressent là, maintenant. Non, c'est de lui faire l'amour qu'il a envie. Comme jamais il n'a été capable de le faire encore avec une femme. Du moins, une qui n'est pas là pour lui apprendre à faire plaisir.Il s'abandonne entre les cuisses de Gabrielle, délaisse cette raison qui lui pourrit l'existence, lui empêche d'apprécier pleinement l'acte charnel. C'est bien plus que le désir, ou le plaisir qui se positionne dans le corps et la tête du Blackney. Il se fait animal, son corps exige la rédemption de leurs échange, ses yeux se ferment, son corps se mouve, et il offre le coup de rein finale avec une force qui tire sur ses points, mais il en a cure, et délace entièrement tout ses désirs,laissant aller un grognement suivit d'un profond gémissement.Alors qu'il se déverse, sans pudeur, cette envie effrénée se libérant des chaînes du désir pour se finaliser dans l'extase, il ouvre les yeux, la regardant, laissant aller ses quelques coups léger qui fait frémir et servent surtout à calmer la chamades des plus fort moment. Son souffle est brûlant, sa respiration saccadés comme si, pendant les dernières secondes il n'avait pas respirer.Ça à durer combien de temps ? Il n'en sait rien. Il en perdu le nord le pauvre jeune homme.
Elle a gémit. À cause de lui. C'est une évidence. Il a aimé. Il en tremble. Il va apposer ses lèvres sur les siennes, presque délicatement, donnant l'impression qu'il la remercie. Il n'a pas besoin qu'elle le rassure, il comprends cette tempête qui reprend possession de sa tête, mais il n'a aucune envie d'en parler. Alors, il l'embrasse. Simplement. Puis,Il ne bouge plus, la regardant un moment avant de tenter de reprendre contenance.
Ils ont joués. Et tout deux se sont brûlé. Le désir ayant submerger l'orgueil dans toute sa splendeur.
_________________