Paladinus, incarné par Brylastar
Ses pensées étaient trop implacables, le glaive du Très Haut était trop près de frapper pour que Paladinus put se rendre compte de ce que l'inceste invertie faisait. Il en était à réciter ses incantations qu'elle en profita pour se saisir, directement dans le Feu, une bûche enflammée. Mais le prélat ne vit rien, il avait les yeux mi-clos, attendant qu'elle fasse pénitence pour ce qu'elle avait fait, et qu'il puisse alors, d'une entaille profonde à la gorge, la délivrer de cette enveloppe terrestre et pécheresse. Mais la délivrance n'allait pas venir tout de suite... non, une nouvelle fois, les espoirs du fanatique furent déçus lorsqu'il, apercevant un mouvement brusque, fut saisi par une douleur atroce au torse. La catin, elle venait de déverser son Feu démoniaque sur lui!!
Ah, Démone, Démone, Ton Feu me brûle!!!!!
Les braises brûlèrent le cou nu du prélat et une sensation de suffocation se instantanée sur le haut de son torse. Se sentant cerné et envahi par tant de chaude Haine, il ne put que gesticuler - presque comiquement - face à l'attaque dont il ne percevait pas l'origine. Impuissant et acculé, alors que dans la seconde d'avant, il était encore maître des choses! Le Malin était plus fort que lui... non, ça ne pouvait pas être, c'était, c'était un test, un défi, une chance que lui tendait le Très Haut pour prouver sa valeur! Ca ne pouvait pas être autrement!
Se débattant alors contre les flammes, il se frappa le torse, hurlant sa crainte, mais la bûche retomba bien rapidement, et la douleur se calma. Haletant, le corps en sueur et l'esprit névrosé, il rouvrit les yeux et vit l'Italienne au sol, elle n'avait pas bougé, et semblait.... se moquer.... de lui? ..... son sang, de bouillonnant, se fit volcanique. Il hurla de nouveau mais d'un coup de pied, envoya la bûche sur l'invertie.
Ah, tu vas me payer cela!!!! Tu vas le payer devant le Très Haut je le jure!!
Il prit de sa main toujours tremblante le couteau qui était planté dans le sol, et se jeta sur elle, plaquant la lame sur son cou. Oh, elle allait s'excuser hein, maintenant. Son visage était à nouveau collé contre elle, et il la fixait, l'observant, la scrutant, cherchant à voir où se trouvait la folie de cette dernière et où débutait la terreur qu'il devait lui inspirer sans doute. Son regard pervers l'étrangla, en même temps que son autre main. Elle avait beau se débattre, son poids et sa force étaient imbattables! Il était puissant, surpuissant, et son glaive achèverait bientôt son oeuvre!
Alors alors...... tu veux toujours, me brûler?!
Il rit sonorement et cette fois, sur son épaule gauche, celle qui s'offrait à lui, il planta doucement, très doucement le couteau. La femme se débattit mais la pointe acérée de la dague faisait son travail. Et dire que c'était sa lame! Il appuya, laissant quelques centimètres passer ainsi, et se délectant de l'horreur que la catin ressentait. Prendre son temps, qu'elle ne pense qu'à la douleur. Puis d'un coup, il retira la lame de la femme. Et jeta la lame au loin de la pièce, vers la fenêtre. Et de ses deux mains puissantes, il prit Eliane par les épaules et la retourna, pour la mettre face contre le sol. De la sueur et de la rage perlaient de son visage glabre. Et il se mit de tout son corps sur elle, sentant à nouveau cette excitation le prendre... excitation morale du dominant qui ne se traduirait par aucune excitation physique, cela il le savait.... il n'avait jamais pu, avec une femme....
De sa main gauche, il prit un tissu qui était à côté de la cheminée, et après plusieurs tentatives saccadées et frénétiques, le rapporta afin d'attacher la catin. Elle se débattait toujours mais il avait le dessus, ses reins la plaquant au sol, et ses mains la maintenant sous son étreinte. Il riait presque de la voir à sa merci. Les douleurs au torse avaient disparu - ou presque, en tout cas il ne s'en souciait plus guère. Il avait passé cette épreuve avec Foy! Lorsque ses mains furent attachées solidement, il resta plusieurs secondes, sur elle, mais l'ayant relâchée. Elle ne pouvait plus se détacher, il avait serré aussi fort qu'il avait pu, et elle se serait arraché la peau avant de se libérer. Il se relava alors, à nouveau doucement, puis se mit debout, et d'un pied triomphant, écrasa le bas de son dos. Il avait envie de la prendre sauvagement, mais ne le pouvait pas; et il voulait l'humilier encore et toujours, l'enfonçant plus encore dans le sol, mais ne le pouvait pas.... son regard s'éclaira.
Tu es une impie.... mais Aristote m'est témoin, j'ai essayé de te sauver! Tu aurais dû m'écouter, quand tu le pouvais encore... c'est trop tard maintenant, ma patience a ses limites.
Il s'écarta de deux pas sur la gauche et alla vers l'âtre. Quelle belle tige de fer... quel doux outil dont il s'était déjà si souvent servi. La croix qui l'ornait, symbole de Foy, et de rédemption. Il s'en saisit, et la leva, mettant le côté rougi devant son visage, à quelques centimètres, sentant la chaleur, imaginant la fureur, estimant les douleurs qu'elle pouvait infliger....
Alors, tu me demandais, tantôt, ce que c'était que cette tige? ... hum?
A cette intonation, son visage machiavélique se tourna vers elle, au sol, et il lui sourit. Il revint vers elle et s'accroupit, l'observant, et la jaugeant. Le Diable tiendrait-il longtemps, à ce rythme? De sa main libre, il caressa le visage en sueur de la blonde, et écarta quelques mèches collées à son front.
Allons.... tant de gâchis, pourquoi t'acharner? .... laisse le Démon filer, et crois-moi, tout ira mieux.... abjure et rejoins-Nous....
Il se releva et se remit, un pied sur elle, la tige haute à la verticale de lomoplate gauche. Ne pas se rater, y aller doucement, mais d'un coup. Juste avant d'appliquer le remède, il sourit et lui dit.
Essaye de.... de ne pas trop crier, s'il te plaît?
Puis d'un coup, il appliqua la croix fumante sur l'omoplate indécente de la catin....
Et l'odeur de chair brûlée le prit.
Et il hurla sa Joie au Très Haut....
Ah, Démone, Démone, Ton Feu me brûle!!!!!
Les braises brûlèrent le cou nu du prélat et une sensation de suffocation se instantanée sur le haut de son torse. Se sentant cerné et envahi par tant de chaude Haine, il ne put que gesticuler - presque comiquement - face à l'attaque dont il ne percevait pas l'origine. Impuissant et acculé, alors que dans la seconde d'avant, il était encore maître des choses! Le Malin était plus fort que lui... non, ça ne pouvait pas être, c'était, c'était un test, un défi, une chance que lui tendait le Très Haut pour prouver sa valeur! Ca ne pouvait pas être autrement!
Se débattant alors contre les flammes, il se frappa le torse, hurlant sa crainte, mais la bûche retomba bien rapidement, et la douleur se calma. Haletant, le corps en sueur et l'esprit névrosé, il rouvrit les yeux et vit l'Italienne au sol, elle n'avait pas bougé, et semblait.... se moquer.... de lui? ..... son sang, de bouillonnant, se fit volcanique. Il hurla de nouveau mais d'un coup de pied, envoya la bûche sur l'invertie.
Ah, tu vas me payer cela!!!! Tu vas le payer devant le Très Haut je le jure!!
Il prit de sa main toujours tremblante le couteau qui était planté dans le sol, et se jeta sur elle, plaquant la lame sur son cou. Oh, elle allait s'excuser hein, maintenant. Son visage était à nouveau collé contre elle, et il la fixait, l'observant, la scrutant, cherchant à voir où se trouvait la folie de cette dernière et où débutait la terreur qu'il devait lui inspirer sans doute. Son regard pervers l'étrangla, en même temps que son autre main. Elle avait beau se débattre, son poids et sa force étaient imbattables! Il était puissant, surpuissant, et son glaive achèverait bientôt son oeuvre!
Alors alors...... tu veux toujours, me brûler?!
Il rit sonorement et cette fois, sur son épaule gauche, celle qui s'offrait à lui, il planta doucement, très doucement le couteau. La femme se débattit mais la pointe acérée de la dague faisait son travail. Et dire que c'était sa lame! Il appuya, laissant quelques centimètres passer ainsi, et se délectant de l'horreur que la catin ressentait. Prendre son temps, qu'elle ne pense qu'à la douleur. Puis d'un coup, il retira la lame de la femme. Et jeta la lame au loin de la pièce, vers la fenêtre. Et de ses deux mains puissantes, il prit Eliane par les épaules et la retourna, pour la mettre face contre le sol. De la sueur et de la rage perlaient de son visage glabre. Et il se mit de tout son corps sur elle, sentant à nouveau cette excitation le prendre... excitation morale du dominant qui ne se traduirait par aucune excitation physique, cela il le savait.... il n'avait jamais pu, avec une femme....
De sa main gauche, il prit un tissu qui était à côté de la cheminée, et après plusieurs tentatives saccadées et frénétiques, le rapporta afin d'attacher la catin. Elle se débattait toujours mais il avait le dessus, ses reins la plaquant au sol, et ses mains la maintenant sous son étreinte. Il riait presque de la voir à sa merci. Les douleurs au torse avaient disparu - ou presque, en tout cas il ne s'en souciait plus guère. Il avait passé cette épreuve avec Foy! Lorsque ses mains furent attachées solidement, il resta plusieurs secondes, sur elle, mais l'ayant relâchée. Elle ne pouvait plus se détacher, il avait serré aussi fort qu'il avait pu, et elle se serait arraché la peau avant de se libérer. Il se relava alors, à nouveau doucement, puis se mit debout, et d'un pied triomphant, écrasa le bas de son dos. Il avait envie de la prendre sauvagement, mais ne le pouvait pas; et il voulait l'humilier encore et toujours, l'enfonçant plus encore dans le sol, mais ne le pouvait pas.... son regard s'éclaira.
Tu es une impie.... mais Aristote m'est témoin, j'ai essayé de te sauver! Tu aurais dû m'écouter, quand tu le pouvais encore... c'est trop tard maintenant, ma patience a ses limites.
Il s'écarta de deux pas sur la gauche et alla vers l'âtre. Quelle belle tige de fer... quel doux outil dont il s'était déjà si souvent servi. La croix qui l'ornait, symbole de Foy, et de rédemption. Il s'en saisit, et la leva, mettant le côté rougi devant son visage, à quelques centimètres, sentant la chaleur, imaginant la fureur, estimant les douleurs qu'elle pouvait infliger....
Alors, tu me demandais, tantôt, ce que c'était que cette tige? ... hum?
A cette intonation, son visage machiavélique se tourna vers elle, au sol, et il lui sourit. Il revint vers elle et s'accroupit, l'observant, et la jaugeant. Le Diable tiendrait-il longtemps, à ce rythme? De sa main libre, il caressa le visage en sueur de la blonde, et écarta quelques mèches collées à son front.
Allons.... tant de gâchis, pourquoi t'acharner? .... laisse le Démon filer, et crois-moi, tout ira mieux.... abjure et rejoins-Nous....
Il se releva et se remit, un pied sur elle, la tige haute à la verticale de lomoplate gauche. Ne pas se rater, y aller doucement, mais d'un coup. Juste avant d'appliquer le remède, il sourit et lui dit.
Essaye de.... de ne pas trop crier, s'il te plaît?
Puis d'un coup, il appliqua la croix fumante sur l'omoplate indécente de la catin....
Et l'odeur de chair brûlée le prit.
Et il hurla sa Joie au Très Haut....