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[RP] Ouvert à tous - Le Comptoir Venitien - Maison Ceresa -

Blake
S'enfonçant dans les rues de Paris, après son départ de la boutique, l'encapuchonnée se permit un sourire. Ridicule était sa tenue hm? Les gens avaient tendance à ne voir qu'un côté de la médaille. Malheureusement pour eux.

Elle reviendrait, se promit-elle, elle reviendrait. Mais serait-il reconnaître? Elle en était moins certaine. Trop peu s'attendait à voir une femme boulotte et non bien de sa personne. Dommage.

Retenant sa capuche sous une bourrasque, l'encapée continua son chemin, se disant toutefois que l'homme qui possédait cette boutique aurait pu faire meilleur impression. Généralement, l'idée qu'elle se fondait d'un premier regard était bon, pour le même excellent. Elle " ressentait" plus qu'elle n'observait. Ce fut de regret qu'elle constata une tel façade.

Ce fut d'un soupire qu'elle chassa cet homme de ses pensées. Une chose était certaine toutefois, ils se recroiseraient.. Tôt ou tard.

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Elouan.
Ça va bonhomme, tu trouves ce que tu veux ? Si tu as besoin va voir Lupino, il t’aidera….

Elouan leva la tête du bric à brac qu'il était en train d'observer et adressa un grand sourire à l'Italien. Ce genre de petit sourire plein d'audace des enfants prit en flagrant délit les mains dans le pot de confiture et qui trouve encore l'aplomb de dire que ce n'est pas eux. Ce genre de petit sourire qui apaisent immédiatement les colères des adultes. Ouais ouais !


-Nan j'trouve pas c'que j'veux encore, mais j'trouve tout plein d'autre chose ! T'inquiète ! J'met pas l'bazard !

Et le môme continua de fouiller, soulevant une chemise d'une étoffe magnifique et la regardant avec attention. Une chemise pareil sur lui, avec les poignet en cuire que lui avait donner l'encapuchonné, pour sur que ça lui donnerait un style a faire craquer n'importe qui !
Elouan se retourna, plaquant la chemise sur sa poitrine pour tenter de voir ce que cela donnerait sur lui.


-Hey ! T'en penses quoi ? lança-t-il sans vraiment se soucier si quelqu'un était là pour lui répondre ou non. Tout ce qui l'importait là, c'était sa trouvaille.... Dix fois trop grande pour lui...
-Mouais... va falloir qu'j'grandisse encore j'crois...

Haussant alors les épaules, le môme s'approcha du comptoir et grimpa à genoux sur un tabouret posé là. A la hauteur des Italiens, (ou presque), il avait maintenant tout le loisir non seulement de regarder ce qui pouvait se trouver de l'autre coté, mais également de parler au Ceresa comme un homme.

-Bon faudrait qu'j'te parle d'homme à homme, tu crois qu'on peux ? Pisque tu connais mamma, y faut qu'j'te cause.
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Dante.tommaso
L’encapuchonnée était partie mais Dante resta un moment dehors, à respirer au calme avant de pouvoir réintégrer la boutique. Et à peine entré, ses yeux bleutés se posèrent sur Elouan qui semblait apprécier le moindre recoin de l’échoppe. A croire que le Vénitien avait ouvert la caverne d’Ali Baba… et il tenait déjà là un des quarante voleurs.

Souriant, plus serein que les minutes précédentes, Dante revient jusqu’au comptoir afin de ranger quelques articles qui trainaient lorsque le môme décida qu’il était temps de faire plus ample connaissance… d’homme à homme. Le Ceresa leva un sourcil, laissa son regard couler sur la demi-portion qu’il avait en face de lui avant de laisser un sourire illuminer son visage.


- D’homme à homme… je vois… Ne me dis pas que tu veux qu’on discute de ta mère quand même ?


Non pas qu’il n’avait pas envie d’évoquer la tatouée mais Dante n’avait rien à dire à personne, et encore moins au fils de la Corleone.

Voyant qu’il n’y avait plus grand monde dans l’échoppe, Dante fit un signe de tête au gamin.


- T’as pas une p’tite faim ? On pourrait discuter plus tranquillement dans mon bureau tout en grignotant quelque chose…. Allez suis-moi !

Sans vraiment laissé le temps au fils Corleone de réfléchir le Vénitien s’avança dans la direction de l’arrière boutique. Il croisa Lupino qui était revenu et lui fit comprendre qu’il serait indisponible pour un moment avant de faire un signe de la main à Elouan afin que ce dernier le suive. Le temps de prendre au passage une corbeille de fruits dans ce qui lui servait de garde manger et Dante ouvrit la porte de son bureau.

Décoré avec goût, la pièce reflétait tout à fait le Vénitien. Quelques tableaux dénichés au gré de ses promenades dans le Royaume, quelques sculptures, un mobilier taillé dans un bois noble et ciselé finement, siège recouvert de cuir, tout respirait l’opulence et la possession matérielle. Après tout, Dante n’était pas un riche commerçant pour rien et même si la plupart de ses activités clandestines renvoyaient de lui une image plus vulgaire, il était tout le contraire. Mais il aimait cacher certaines facettes de lui-même aux yeux du reste du monde.

Posant son panier sur le bord de son bureau, Dante montra un siège à Elouan puis s’installa en face de lui tout en prenant ses aises. Ses doigts fébriles fouillaient déjà les fruits afin d’en extirper quelques grains de raisons dont le goût le rendait unique à son palais. La bouche remplit de ses charmantes baies, il observa le môme avant de lui demander.


- Alors Elouan, dis-moi tout… tu veux qu’on parle de quoi toi et moi ?
--Ungoliant


Elle avait su conserver son sang froid malgré les manières un peu abrupte de celui qui l'avait accueillie en dépit de son visage plutôt avenant. Elle l'avait vu repartir vers ses clients tel une petite fourmi travailleuse même si il devait être moins aisé à écraser principalement à cause de la différence de taille. Elle sortit donc de sa bourse une clé, clé qui lui permit d'ouvrir le coffret posé sur le comptoir et qui se révéla contenir une bonne quantités d'écus qu'elle commença à sortir pièce par pièce pour former une pile au fur et à mesure que le temps s'écoulait et que son ennui s'accentuait. Peut être ne remarquerait il pas toutes ces pièces qui lui étaient destinées et qui de surcroit semblaient neuves ce qui pour certains pouvait démontrer une certaine aisance. Elle se tourna alors vers le larbin qui l'accompagnait pour que durant quelques secondes, elle n'eut plus à observer la discussion entre le garçonnet et le marchand qui semblait partie pour durer.

-Dis moi toi, n'as tu donc rien de mieux à faire que rester ainsi à nous infliger ton odeur pestilentielle? Ai je donc eu tort de te permettre de m'accompagner? Eut il fallu que je fasse demander un autre serviteur de ma maisonnée? demanda t'elle un sourire narquois sur ses lèvres.

- Maitresse, je ferais tout ce qu'il faudra pour vous satisfaire. répondit le badaud suant à grosses gouttes qui se voyait déjà croupir au fond d'une basse fosse.

N'importe quoi dis tu? Et bien que penserais tu d'aller me chercher le frère de ce marchand qui nous à si superbement ignorés nous et notre bel or. Peut être sera t'il plus enclin à faire une bonne affaire?

En tout cas pensa t'elle, pour quelqu'un qui n'avait pas le temps de la recevoir, il semblait se permettre de s'éclipser avec un môme tandis que une dame se devait d'attendre. Peut être avait elle mal choisie sa boutique finalement.
--Lupino
Lupino était de méchante humeur ces jours-ci. Il n'avait pas tellement envie de travailler ; il n'avait pas tellement envie de boire ; il n'avait pas tellement envie de for ... bon si, peut-être, mais le reste l'ennuyait au plus haut point.

Heureusement que Tommaso était là ; et que l'échoppe se portait bien.

Il en était là de ses réflexions douteuses, préparant quelques affaires, lorsque Dante passa justement devant lui ; accompagné, par un enfant. Ce dernier suivait docilement l'Italien. Alors Lupino, compréhensif, sortit de l'arrière-boutique.

Mais le magasin n'était pas vide ; une sorte de ... personne était là. Et cette personne avait de l'argent, en trop sans doute. Peut-être pourrait-il la soulager, bien sûr, son côté généreux reprenait le dessus.

Il s'avança vers elle, doucement, et ne dit rien.

Lorsqu'il fut à quelques pas, il s'arrêta, mais elle ne disait rien. Une muette, peut-être ? Il toussa un peu.


... Signora* ? On s'occupe de vous, hum ?



*Madame.
Elouan.
Le môme redressa les épaules, se croyant d’un coup plus grand, plus fort et prêt à traité n’importe quelle affaire comme l’aurait fait… sa mamma. Il regarda l’Italien droit dans les yeux sans sourciller, attendant simplement son approbation pour lui causer. Ce qui ne tarda pas à arriver. Et quoi de mieux que de discuter comme les vrais autour d’un verre et de quelque douceur ? Là, c’était sur, il entrait dans la cours des grands. Bientôt, son nom ferait trembler le monde entier. Lui, Elouan Corleonne, la terreur du Royaume !

Sourire en coin, le gamin redescendit bien vite sur terre et sauta du tabouret pour suivre le grand Ceresa dans l’arrière boutique non sans lancé un regard vers Lupino, la tête haute, l’air de lui dire : « J’vais causer avec le patron alors, n’dérange pas ! ». Il s’y croyait le môme, fier d’être le centre d’attention du magasin, fier de pouvoir, à lui tout seul monopoliser le grand italien, fier, tout simplement. Ah ça ! Il en aurait des choses a raconter a sa mère, encore mieux que ses visites sur les marchés, ou ses escapade nocturne !
Oups !
J’devais pas l’dire !

Elouan s’arrêta un instant à l’entrée du bureau, regardant minutieusement tout ce qui pouvait y avoir d’intéressant à l’intérieur, et vint s’installer face a Dante en piochant dans la corbeille de fruit à son tour. Avoir vécu dans la rue, à cet avantage, on se sent bien partout, mais absolument partout !


-J’veux t’parler d’quequ’chose d’important ! Mais y faudra qu’tu m’laisse parler et qu’tu m’réponde! J’ai b’soin des conseils d’un homme. Pour de vrai !

Regard tout a coup sérieux, Elouan se redressa et plongea ses petites prunelles dans celle du Ceresa. Les choses sérieuse commençait… Pas d’enfantillage !

-Tu t’y connais en femme toi ?
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Xalta
Accompagnée d'Armande, sa dame de compagnie, elle faisait le tour de Paris, la jeune femme qu'elle avait pris à son service connaissait bien la Ville et, grâce à elle, elle découvrait des coins de Paris qui lui étaient inconnus jusqu'alors. Les visites de l'Intendante royale se limitaient très souvent à son bureau et à son appartement.Elle s'éloignait guère du chemin entre les deux, non par peur mais par manque de temps et d'envie. Mais la jeune femme blonde avait su lui insuffler le désir de mieux connaître la capitale.

Pour l'accompagner elle s'était vêtue sobrement, nul besoin de se promener en affichant sa condition de noble ni ses fonctions, marcher inconnue et presque comme un quidam quelconque était un plaisir, elle retrouvait un peu de ce qu'elle était il y a près de quinze ans plus tôt une bergère dans la ville de Gien. Etre simplement une femme comme les autres s'émerveillant devant les vitrines des boutiquiers parisiens. Oui, elle savait encore s'émerveiller, elle n'avait pas pris cette attitude que certains affichaient, celle d'avoir tout déjà vu , connu.

Elle s'arrêta devant une petite boutique au nom italien qui lui évoqua un homme, qu'elle avait croisé à Gien, il y a quelques années et dont elle avait des nouvelles de façon épisodique grace à Rosa, l'ex curé de Montargis.... Et c'est sans doute le souvenir de ce brun qui lui fit pousser la porte de la mercerie, elle s’arrêta au milieu de celle-ci , faisant presqu’île tour sur elle-même pour apprécier tout ce que la commerce proposait. Les pupilles de la Châtaigne s'éclairèrent, moult choses lui plaisaient déjà.

Elle s'approcha des dentelles, elle passa un doigt ganté sur celles-ci admirant la délicatesse de l'ouvrage, elle n'ôta pas ses gants pour en apprécier le toucher, elle avait appris à ressentir au travers du tissu qui recouvrait continuellement ses mains. Elle se tourne alors vers Armande.

Qu'en penses tu ?


.

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Armande


L'Armande avait flâner en riant avec la Dame, elles aimaient l'air de Paris, bien que frais, il était agréablement agité et définitivement vivant.
Ses boucles d'or s'agitant dans la brise, Armande tenait le bras de sa Dame contre elle, le tirant parfois pour lui montrer des froufrous colorés qui s'affichait dans les vitrines.

Après moult arrêts, et départs, les deux femmes arrivèrent devant une vitrine, prenant a peine le temps de coller son nez a la vitre, la Châtaigne entra.

Boucle d'or fit une moue, des italiens, qu'est-ce qu'ils y connaissent a la mode françoyse?

Armande fut bien surprise de découvrir un monde de dentelles, et de curiosité qui logeait a cette enseigne. Se glissant a travers les présentoirs, la demoiselle de compagnie s'extasia devant des pièces d’orfèvrerie magnifique, et des dentelles si fines qu'on eu cru qu'elles étaient faites en soie d'araignée.

Exaltation lui demanda en se tournant vers elle se qu'elle pouvait bien penser d'une pièce de soie fort fine et délicate qu'elle tenait dans sa main gantée.


C'est du beau travail ma Dame, aucun doute, c'est de la qualité.
Imaginez un peu le résultat d'une robe avec ce tissu, ça serait SU.BLI.ME.


La Blonde voyait très bien le résultat, moult rubans, moult dentelle, il n'y en a jamais trop disait-elle en permanence, si bien que la plus part des robes qu'elle confectionnées étaient tout simplement surchargée, mais si l'on savait réfreiner les ardeurs de blondie, alors le résultat était correct, et peut être même un peu plus que correct.

Faisant volte face la blonde tâta des tissus qui était là, du damas, des taffetas, et autres étoffes toutes plus colorées les unes que les autres.


Ho Dame ! s'exclama-t-elle en découvrant une pièce de soie teintée couleur lapiz lazuli, elle savait l'amour de sa dame pour la couleur bleue.

Que penseriez vous d'une robe taillée dans cette étoffes, ça serait magnifique si on y ajoute la dentelle que vous avez vu.

Souriant comme une enfant que l'on a emmené pour la première fois a la foire, Armande montra le tissu, et repoussa une idée qui lui vient a l'esprit, le prix de cette chose devait être tout simplement indécent!

Ellisabeth.
Une énième fois depuis le début de la journée, les mains de la jeune fille lissèrent ces jupes. Geste lent et volatile, qui donnait l'impression d'avoir envie de s'imprégner du vêtement sans oser le faire. Ces jupons ne portaient pourtant aucun plie mais elle n'arrivait pas à s'y faire. Elle y était si peu accoutumé ... Cet habit était si loin de ceux auxquelles elle était habitué ... L'enfilait avait été un véritable défit et, à sa plus grande honte, elle avait du faire appelle à la gentillesse de Frédégonde pour l'y aider. Heureusement que la vieille femme avait bon fond, depuis ces premières venues dans la Capitale, elle avait toujours tout fait pour rendre son séjour agréable. Il faudra qu'elle songe à une manière de l'en remercier ...

Mais ces réflexions durent s'arrêter là, le scintillement de la cloche la rappelait à l'ordre. Un regard sur la boutique lui appris que Lupino était déjà occupé et le second Vénitien n'était pas de retour de son entretiens avec le gamin. Se serait donc son tour ... Une demi seconde, elle fut tentait d'aller toquer à la porte du bureau mais se reprit bien vite. L'italien lui avait demandé de les aider à la boutique, pas de les déranger. Et avec tout se qu'ils avaient fait pour elle, s'était le moindre qu'elle puisse faire d'accepter ...

    Inspiration. Expiration. On se calme et on sourit ...

A pas mesuré, elle quitta le comptoir et s'approcha des deux femmes. Un geste rapide lui suffit pour s'assurer que le léger voile qui couvrait en parte ces boucles blondes était bien en place. Cela non plus, elle n'avait pas l'habitude d'en porter. Sur les routes du royaume, elle prenait rarement cette peine. Mais ici, elle ne pouvait pas en faire qu'à son bon plaisir et prendre le risque de jeter l’opprobre sur le maître des lieux ... Arrivé à hauteur des deux femmes, elle s'inclina brièvement.


" Le bon..." Elle s’éclaircit la voix" Le bon jour mes Dames ... Bienvenue à la maison Ceresa... Puis-je vous aider ?"

Le ton était encore hésitant mais tout avait été dit assez clairement, les mains croisées devant elle, un petit sourire sur les lèvres.
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Maegorn55
Entrée sans faire grand bruit dans la boutique, la vitrine l'avait intriguée. Ses yeux s'émerveillent à peine posés sur la diversité des objets. Elle ôte son capuchon sitôt entrée. Que ceux qui méprisent les gens qui voyagent se le disent, ceux-ci ne sont pas impolis. D'abord, elle ne voit personne qui tient l'échoppe. La voyageuse fait un tour de boutique et sans déranger les dames de haut rang qui font leurs emplettes, elle regarde les tissus et les bijoux, les décorations et les bibelots, les meubles qui peuvent se trouver ça et là. Sans tout toucher de ses mains couvertes de mitaines, non juste avec les yeux.

Vêtue comme un homme, la besace en bandoulière sous une cape à capuche qui a vu se lever une infinie de jours, la voyageuse caresse du regard les articles, comme disent les marchands. Le nombre de ses écus ne lui permettait pas de la première main. Pourtant, il lui fallait une seconde main de qualité. Ses yeux s'étaient arrêtés sur deux objets.

Cherchant quelqu'un qui pourrait la renseigner, la jeune femme attend en détaillant une dague de décoration.
Joliment ouvragée... Mais elle n'était pas dans cette boutique pour ça.
Si elle se trouvait dans le quartier des Halles ce jour-là, c'est qu'elle préparait un voyage.
Robiin.descharmilles
Robin ..un vieille homme qui avez fini ces voyage..chercher des objet pour offrir..on lui avez parle de ce lieux..
robin rentra..une douce effluve de parfum lui chatouilla le nez..et rentra découvrant les lieux..une bourse assez garnis et yeuta les objets..
le Des Charmilles..chercher un objet qui pouvez pas passé inaperçue !
il marcha dans les couloirs de la galerie..et il virent un silhouette point étrangé..une silhouette qui ..était bien faite !
il avança peut a peut..et chercher du regard des objets..posa son regard sur une belle épée..et arriva derrière cette dame.. et frissonné sous l odeur de celle çi.. non c était pas une inconue il était sure de la connaitre mais ..ces pas très galant de l interpellé..robin passa derrière celle çi et ce positionna a ces coté..et regarda l épée et caressa la lame
Dante.tommaso
[Dans le bureau, entre apprenti brigand et briseur de coeur... ]

Installé à picorer son péché mignon, les grains de raison, Dante avait pris ses aises sur son fauteuil et attendait patiemment que le petit Corleone s’exprime. Après tout, il voulait une conversation d’homme à homme le mioche mais le Vénitien ne s’attendait certainement pas à cette question-là. Manquant de cabaner en arrière, s’étouffant avec un grain de raison resté coincé dans son gosier, le grand brun se releva brusquement en toussotant comme une vieille tuberculeuse.

- Si je m’y connais en femme demandes-tu…. Et bien ma foi, j’en ai eu quelques unes dans ma vie mais Elouan, je sais que nous les hommes aimons les jolies formes mais n’es-tu pas un peu jeunot pour penser à ça ?

C’est vrai quoi, le gosse il avait quoi… dix, onze ans à tout casser et il voulait parler donzelle ! Se passant une main sur la nuque, relevant un sourcil, Dante se demandait ce qu’il pouvait bien tracasser le petit brigand en herbe pour venir le trouver ainsi… Sa mère avait pourtant des mâles qui l’entouraient dans son clan pour faire l’éducation du petit… Secouant la tête de gauche à droite, le Vénitien ne put que penser muettement.

*tssss tout fout l’camp de nos jours ! Pauv’gosse, obligé de demander à un inconnu ce genre de choses…*

Il se rappelait encore comment son père avait réglé le problème, l’entrainant dans une maison de plaisirs afin de devenir un homme et lui-même n’avait pas attendu pour parfaire son éducation auprès d’amies de sa mère. Regardant Elouan, Dante sourit en coin se pensant que bientôt ce môme allait faire des ravages dans le clan Corleone. Mais alors qu’il pensait et réfléchissait, l’homme d’affaires qu’il était entendit à plusieurs reprises la porte de l’échoppe s’ouvrir et se refermer. Il savait Lupino et Ellis de l’autre côté mais cela le tenait en soucis. Se tournant vers Elouan, Dante lui fit un clin d’œil.

- Tu permets, Elouan, nous reprendrons cette conversation à mon retour mais je crois que je vais aller faire un tour dans la boutique. Je ne voudrais pas que mon frère et Ellis soit submergé de travail. Par contre, en m’attendant tu peux t’installer confortablement dans mon bureau mais on ne fouine pas capito * ?



[Retour au milieu des autres... ]

A peine le temps de faire un clin d’œil au mioche que Dante tournait les talons puis passait la porte qui le séparait de la salle de ventes. Un coup d’œil rapide, il vit son frère aux prises avec la brune qui s’était permis des familiarités plus tôt dans la journée et se félicitait mentalement de ne plus avoir à faire avec elle puis son regard croisa celui d’Ellis et des femmes dont elle s’occupait. Quoi de plus rassurant que d’avoir à faire à une jeune femme pour parler dentelles… Dante se dit que finalement, la blonde avait sa place au milieu de son bric à brac mais ses azurs revinrent sur la jeune femme qui lui faisait presque face ainsi que l’homme qui se tenait derrière elle. Peut être étaient-ils ensemble… ou pas mais peu importait finalement, Dante resta impersonnel tout en laissant un léger sourire étendre ses lèvres.

- Buongiorno a tutti…. Signorina, messer…** puis-je vous aider ?





*Entendu
**Bonjour à tous, damoiselle, messire
Maegorn55
La voyageuse admire un ancien ouvrage d'orfèvre lorsqu'un homme entre. Elle le salue et repose ses yeux sur une côte de mailles. Il passe dans son dos, un de ses sourcils se fronce doucement. Les traits de l'homme lui paraissent familiers mais elle ne parvient pas à mettre un nom dessus. Apparemment, lui ne semble pas la connaître.
Ses mains recouvertes de mitaines effleurent la maille. Un autre prix à demander.

Peu de temps après sa propre entrée, un homme vient à sa rencontre. Et à celle de l'homme blond. Il vient du fond de la boutique, peut-être est-ce le propriétaire ? Maegorn le regarde et voit cette peau sombre qui fait ressortir ses yeux d'un bleu clair. Il parle dans une langue qu'elle ne connaît pas. Les mots qu'il prononce semblent similaires à ceux des Espagnes sans leur correspondre. Est-il de l'Italie ?
La voyageuse esquisse un sourire lorsqu'elle entend des mots de français et lui répond.

" Pour ma part, j'aimerai connaître certains de vos prix. "

Consciente qu'il pouvait aussi s'adresser à l'homme qui se trouve dans son dos, elle n'ajoute rien.
Dante.tommaso
Les yeux du Ceresa se posèrent sur la jeune femme, qui n’était pas des plus désagréable à regarder et son sourire se fit plus doux, plus avenant, plus sympathique mais en rien charmeur comme pourraient le penser la plupart des gens qui ne le connaissaient pas. C’était une manie ça, de penser que Dante voulait faire tourner la tête de toutes les femmes qu’il croisait… enfin il regardait donc sa jeune interlocutrice puis se rappela que sa langue maternelle avait pris le dessus à son arrivée aussi, se redressant légèrement, il reprit en se penchant légèrement pour s’adresser au bonhomme derrière.

- Messer… vous permettez, honneur aux signo… damoiselles et dames. Je m’occuperais de vous après…


Et sans vraiment attendre une réponse de sa part, Dante reporta son attention sur la brunette.

- Alors signorina… damoiselle… qu’est-ce qui vous intéresse donc dans ce joyeux bazar que je possède ? Vous avez un désir particulier, des vues sur un objet qui se cache par ici ?
Robiin.descharmilles
Robiin regarda..l épée..et la caressa sentant les regard de la brune a coté de lui..et un autre homme arrive.

Citation:
Messer… vous permettez, honneur aux signo… damoiselles et dames. Je m’occuperais de vous après…

Et sans vraiment attendre une réponse de sa part, Dante reporta son attention sur la brunette.


ouvre la bouche et même pas eu le temps de répondre..robin ce fit aussitôt ignoré..et sourit en voyant que c était a mae..cette femme qu il a crue jamais revoir..mais peut être que c était mieux ainsi..robin resta silencieux et contempla l épée.

Apres des minute..il regarda l homme..et demanda !
Combien pour cette épée ? elle est magnifique..elle plairai bien au sieure Cléalan.
jeta un coup d oeil un peut partout..et ce dit belle endroits.
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