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[RP] Ouvert à tous - Le Comptoir Venitien - Maison Ceresa -

Maegorn55
Ayant laissé l'homme dans son dos s'exprimer, Maegorn s'était permise de le détailler en se tournant vers lui. Il lui rappelait quelqu'un de plus jeune, de moins musclé. Elle hésitait à lui proposer le nom qui lui venait à l'esprit.
Celui qui lui paraissait Italien propose de s'occuper d'elle en premier. Elle esquisse un sourire en le remerciant d'un geste de la tête. Ça ne pouvait que lui convenir.

" J'ai des vues sur plusieurs objets Messire. D'abord, quel est votre prix pour cette cote de maille ? "

Sa main effleure à nouveau la maille. Taillée courte, elle pourrait lui aller parfaitement sans gêner ses jambes. D'après ce qu'elle voyait, la maille recouvrirait son torse et seulement son torse. Juste de quoi parer un coup de dague malvenu.
D'autres objets l'avaient attirée mais c'était cet objet qui lui était le plus important. En attendant la réponse de l'homme à la peau bronzée, ses yeux verts cherchent les autres objets qu'elle convoitait. Au prénom qu'il prononce, elle se fige. C'était bien lui. Quelque chose l'avait vieilli.

" Seriez vous Robiin ? "

Ses questions directes lui étaient souvent reprochées mais là, il n'y avait pas trente-six chemins à prendre.
Robiin.descharmilles
Robiin qui détaillé tout a tour..des cadeau pour ces proche..
son regard venez de temps en temps ce posé sur Mae..et la robin frissonna.


Citation:
" Seriez vous Robiin ? "
robiin sourier et regardé le visage qu il as tenue entre ces main..il souria.

et vous vous êtes Mae..? elle n avez pas changé..a son gout mais temp de chemin sont passé..

Ces bien moi robin..hum..plus vieux certes mais ces bien moi.

Que deviens tu ? il vena aussitot au tu..il ne pouvez faire comme si il as jamais connue..il sourit il avez qu une seule envie..de lui faire une grosse etreinte.
Maegorn55
La voyageuse sourit doucement en voyant qu'elle ne s'est pas trompée. Comment ce visage si jeune avait pu être marqué soudainement ? Comment cette silhouette avait pu se muscler si rapidement ? Dans son esprit, leurs chemins s'étaient séparés presque hier mais ça n'était pas vrai.
Peut-être avait-elle elle aussi changé. Ce qui était sûr, c'est que sa silhouette était faite plus de muscles que de formes généreuses grâce ou à cause des voyages.
L'heure n'était pas aux questions et elle ne voulait pas manquer de respect au Sieur chez lui, dans son échoppe.
Aussi, elle répondit à Robiin.

" Je suis contente de te revoir. Nos emplettes faites, je te propose que nous allions converser dans une auberge ? "

Ainsi, ils auraient tout le temps d'acheter ce qu'ils souhaitaient, un temps infini pour converser aussi. La jeune femme sourit franchement à cet homme blond qu'elle avait connu. Ses yeux verts se reposent sur l'Italien, esquissant un sourire. Il avait eu la patience de les laisser converser.
" Excusez moi Messire. Il y a aussi un morceau de cuir parmi vos tissus sur lequel j'ai des vues. "
Robiin.descharmilles
robin sourie..et dévisage mae..et la laissa faire ces "course"
il ne pouvez s empêche de la regardé de la tète au pied..lui avez changé mes pas elle il sourit a sa proposition


Citation:
Je suis contente de te revoir. Nos emplettes faites, je te propose que nous allions converser dans une auberge ?


Oui oui bien sure..on ce retrouve a la sortit ? sourit et prend le chemin de la sortis attendre Mae
Dante.tommaso
L’homme était apparu comme légèrement mal poli tandis qu’il demandait des renseignements sur une épée alors que Dante lui avait expliqué qu’il s’occupait de la jeune femme avant lui… Dubitatif l’Italien ne releva pas mais ne lui répondit pas pour autant, ayant déjà la langue levée pour donner les renseignements que sa cliente désirait. Mais apparemment, ces deux là se connaissaient, entamant même une conversation sous le regard du Vénitien. Dante, impassible, croisa ses bras sur sa poitrine, attendant sagement la fin des retrouvailles.

La brunette reprit le fil de sa demande assez rapidement d’ailleurs et le Vénitien posant la cotte de mailles sur le comptoir de bois afin que la jeune femme puisse l’apprécier à sa juste valeur.


- Celle-ci coûte à peine 150 écus en raison de sa taille courte. C’est du beau travail qui me vient d’un artisan françoys réputé…

Pas le temps de dire ouf que la brunette lui faisait part de son penchant pour l’un des cuirs qui détonné au milieu des quelques tissus soyeux.

- Tout dépend du cuir que vous désirez damoiselle… mais montrez-le moi et je pourrais mieux vous renseigner.
Maegorn55
Elle avait acquiescé aux paroles de Robiin.
L'Italien prend la cote de maille et l'installe sous son regard, sur le comptoir en bois sombre. Il récupère rapidement son attention. Ses yeux parcourent la maille et un sourire lui prend les lèvres. L'ouvrage est réellement superbe. Si certaines dames pouvaient dépenser des fortunes dans les dentelles, elle avait un penchant pour les tenues de combat et les lames. Il lui annonce le prix et commence à vanter sa marchandise. Il n'en a pas besoin. Le prix lui convient autant que la qualité de l'objet.

" Je la prends Messire. "

Sa voix est calme et douce. Il lui demande de montrer la pièce de cuir qu'elle aimerait acquérir. La voyageuse acquiesce et s’enfonçant dans la boutique, elle rejoint l'endroit des tissus. Parmi les étoffes délicates aux motifs riches, sa main sort un morceau de cuir sombre. A nouveau, elle le regarde et demande:
" Combien en voulez-vous ? "

Sa taille est plus que ce qui lui faudrait pour faire un large sac. Le cuir n'était abîmé que très légèrement sur le côté gauche de la pièce. Ce serait selon le prix de l'Italien qu'elle choisirait d'acheter toute la pièce ou de n'en demander qu'une part.
Dante.tommaso
Dante regardait la jeune femme et son sourire s' agrandit.

- Bene… vous faites là une bonne affaire !

Mais déjà la donzelle vive comme l’éclair avait foncé sur le cuir qui lui faisait de l’œil. Peur qu’il ne lui échappe ou bien simplement heureuse de sa trouvaille, le Vénitien n’aurait su le dire mais il la suivit en observant les autres clientes du coin de l’œil ainsi que l’oisillon qui s’était décidée à aller de l’avant en l’aidant à l’échoppe.

Arrivé à hauteur du cuir convoité, Dante le prit entre ses doigts et le caressa doucement pour en apprécier la texture. Il se rendit rapidement compte que des éraflures avaient terni la matière et fronçant les sourcils de ne pas l’avoir vu plus tôt, il réfléchit à grande vitesse.


- Cette pièce de cuir vaut dans les 50 écus mais compte tenu qu’elle est légèrement abimée et que vous avez déjà acquis la cotte de maille, je vous la cède à moitié prix si elle vous intéresse. Je ne pourrais pas vraiment en tirer fortune de toute manière et si vos yeux qui pétillent en la regardant en disant si long sur votre désir de la posséder, ça me fait plaisir qu’elle soit à vous !

C’était un geste commercial oui et non. Dante aurait pu la faire tailler de façon à créer une besace ou une ceinture mais l’échoppe lui rapportait assez pour vivre et le plaisir qu’il avait lu sur les traits fins du visage de son interlocutrice valait bien ce geste.


- Alors signorina, vous la prenez ?
Maegorn55
Il fait son examen sous son regard. La voyageuse esquisse un sourire amusé aux propos du marchand. Ses yeux pétillent tant ? L'éclat de ses yeux avait trahi l'attrait qu'elle avait pour les objets. Il est vrai que les acquisitions qu'elles faisaient étaient celles dont elle avait besoin en plus d'être agréables aux yeux. En plus, l'Italien ne semblait pas guetter une occasion pour la dépouiller de ses biens ou l'escroquer. Elle ne pouvait être que de bonne humeur. La jeune femme apprécie le geste qu'il explique et lui répond:
" Je serai sotte de ne pas le faire. C'est oui. "

Elle sourit et réfléchit un instant. Il lui restait une chose à trouver. Peut-être pourrait-il lui fournir bien qu'elle n'en ait pas vu d'exposer. La voyageuse se permet de poser la question, il était le mieux placé pour lui répondre.

" Messire, auriez-vous des étuis de cuir pour parchemins dans votre joyeux bazar ? "
Dante.tommaso
Le Vénitien prit la pièce de cuir et la ramena sur le comptoir pour la poser sur la cotte de maille tout en écoutant la jeune femme. Fronçant les sourcils un instant, il passa en revue dans sa tête tous les objets qu'il avait en sa possession et ce ne fut qu'une fois débarrassé de sa marchandise, les mains libres, qu'il se retourna vers sa jeune cliente.

- Signorina, je suis désolé mais je ne possède point d'étuis afin de protéger les fameux vélins. Toutefois, il y a un parcheminier un peu plus haut, dans une des rues voisines des halles, peut être y trouverez-vous votre bonheur... C'est là que je me fournis en plumes, vélins et autres parchemins.

Dante posa sa main sur le cuir, le visage souriant, agréablement heureux d'avoir pu servir une cliente aussi charmante que gentille.

- Dites au vieux Isidore qui s'occupe de la petite échoppe que vous venez de ma part. Il a parfois des trésors qu'il cache et sait-on jamais...


Plongeant ses azurs dans le regard de son interlocutrice, Dante continua gentiment tout en se souvenant de la conversation échangée sous son nez quelques instants plus tôt.

- Désirez-vous que l'on vous fasse porter ceci chez vous ? Je ne doute point que vous puissiez porter vos acquisitions mais si vous avez encore à faire, cela risque vite de devenir contraignant....
Maegorn55
Ils avaient rejoint le comptoir et ses emplettes. Il suffit au marchand d'un instant pour confirmer ce qu'elle pensait. La voyageuse l'écoute attentivement lorsqu'il parle d'un parcheminier. Et esquisse un sourire lorsqu'il lui offre ce qui équivaut à un laisser-passer... entre marchands.
" Merci beaucoup, je m'y rendrai. "

Le temps qui serait nécessaire, pour faire un saut à l'auberge y déposer ses achats et un à l'échoppe du vieux Isidore avant d'aller converser, ne serait pas long. La voyageuse sort sa bourse qui contient les cent quatre-vingt écus mis de côté pour l'occasion et la dépose sur le comptoir, à côté des achats. Les écus tintent légèrement.
Si l'Italien avait pu paraître froid aux premiers abords, il est honnête et attentionné. Touchée par la proposition faite, elle répond à nouveau avec franchise.

" C'est très attentionné de votre part mais le temps que vous vous entreteniez avec l'autre sieur, j'aurai le temps de me décharger. "

La jeune femme sourit et soutient le regard bleu. Non que les sieurs seraient bavards, elle ne pouvait rien en savoir, mais la chambre louée n'était guère loin. Quant au parcheminier, il lui semblait tout proche.
Dante.tommaso
Dante observa avec attention les mouvements de la brunette et une fois qu'elle eut posé la bourse de cuir sur le comptoir, la pris dans sa main et en sortit les écus. Non pas qu'il n'avait pas confiance mais de une, la bourse elle-même valait son pesant d'or et il tenait à la rendre à sa propriétaire et de deux, les affaires étant les affaires, il recomptait toujours. Et bien mal lui en pris car la jeune femme avait laissé quelques écus en trop. Le Vénitien les remit dans l'escarcelle et la lui tendit.

- Les bons comptes font les bons amis signorina... Le cuir était à moitié prix, ici nous ne volons pas nos clients et encore moins nos clientes lorsqu'elles sont si sympathiques que vous l'êtes !

Sourire en coin, Dante jouait sur les mots. Il n'avait pas besoin de voler ses clients pour gagner sa vie. Son commerce marchait très bien et les voyages qu'il faisait en Orient lui apportaient autant de contrats dont il avait besoin pour asseoir sa fortune aussi, il lui était normal d'être honnête avec les gens. Et sa réputation au moins ne souffrait pas de maudits mensonges que certains colportaient afin de lui nuire.

- Si un jour vous avez besoin d'autres choses signorina, n'hésitez point. Et si nous n'avons pas l'objet immédiatement, on peut toujours le faire venir... La maison Ceresa aime à choyer ses clients !


Puis le regard de Dante dévia légèrement pour regarder l'homme qui était en contemplation devant l'épée.

- Messer, vous n'êtes pas sans savoir qu'une épée voir une lame en général est personnelle et doit être équilibrée dans la main de son porteur. Chaque personne étant différente, il est délicat d'offrir une arme à quelqu'un. Toutefois, si vous tenez à l'acquérir, celle-ci vaut pas moins de 300 écus.

Revenant sur la jolie brune, Dante lui sourit délicatement.


- Ce fut un plaisir de commercer avec vous signorina. J'espère vous revoir bientôt...
--Fiorentina




Des mois durant elle avait impatiemment attendu le moment où elle se retrouverait enfin dans cette ville qu'elle avait autrefois tant rêvée. Tina voyageuse invétérée traversant comtés et duchés ne souhaitait qu'une seule chose voir la capitale.
Une matinée consacrée à un peu de repos suivit d'une toilette sommaire pour se rafraichir et c'est dans l'après-midi après avoir fait une tournée de reconnaissance qui l'emmena pour commencer dans les differents quartiers poursuivant sa promenade dans les dédales de toutes les petites rues. Mais pour comble de malchance, il se mit à bruiner doucement puis avec plus d'intensité. Et oui c'est Paris dans toute sa splendeur ! Pour se protéger de la pluie, la brunette sans trop réfléchir, se réfugia dans la première échoppe qui se présenta à elle.
Elle constata avec surprise l'intérieur, elle aurait pu se croire dans son Piémont natal tant il y regnait cette ambiance transalpine légèrement bazardeuse.
Ce pays qu'elle avait un jour il y a très très longtemps quitté et laissé derriere elle, avec son passé.

Une petite politesse accompagnée d'un sourire légèrement empli d'embarras par son imprévue apparition fut sa deuxième réaction.

..heu...bonjour...hmm...

Tandis qu'elle oubliait sa brune chevelure plaquée par l'eau, elle si coquette, elle se dirigea comme attirée par tant de splendeur vers les étoffes toutes plus raffinées les unes que les autres sans attendre une réponse. Mais ce qui la captivait fortement étaient les pierres et nacres sur l'étagère. Elle avait une fascination acharnée pour ces petits cailloux.
Maegorn55
Elle le regarde compter et sourit en voyant l'Italien réellement honnête. Non que ce fut un piège, la jeune femme avait mal compté, mais qu'il lui rende les écus en trop était chose appréciable. La bourse reprend sa place sur elle.
L'esquisse d'un sourire naît aux premières paroles du sieur. Sourire qui s'élargit ensuite son attention.

" Vu l'accueil qui m'est fait, vous risquez de me voir et revoir, oui. "

Alors qu'il s'adresse à Robiin, elle ouvre sa besace pour y installer soigneusement la cotte de maille et le cuir. Ils n'y resteraient pas longtemps. Sitôt arrivée dans la chambre de l'auberge, elle enfilerait la cotte au dessus de son pull. Lorsqu'il lui redonne son attention, la voyageuse lui sourit et répond:
" Le plaisir fut réellement partagé Sire. A mon prochain passage dans la capitale surement. "

La voyageuse le salue d'un geste de la tête en lui rendant son sourire. Le laissant s'occuper du client suivant, elle se dirige vers la porte, saluant la dame qui vient d'entrer. Elle descend dans la rue où le Soleil brille doucement. Maegorn va se confondre avec la foule en direction d'une auberge.
--Lupino
Tranquillement au fond de l'échoppe, Lupino n'avait rien de particulier à faire. Dante s'occupait de tout, et l'Italien le regardait avec cette bonhomie qui le caractérisait. Tommaso allait mieux, le passé était le passé, le présent était le présent, quant à l'avenir ... ils avaient le temps.

Alors que ce dernier était en train de congédier la cliente précédente - diable, quel charmeur le Dante - Lupino releva la tête au bruit que fit la porte en s'ouvrant rapidement. Un court instant, un très court instant, sa main se baissa jusqu'à sa hanche, réflexe qu'il avait jadis abandonné et qui lui avait coûté tant de sueur et de sang contre l'Héllène qui avait voulu les piéger.

Mais en avisant une femme au teint ... mouillé, sa main remonta, doucement, et le sourire étrange reprit sa place légitime sur son visage. Il la regarda, ne bougeant pas. Tandis que l'autre partait. L'échoppe marchait bien, sans doute ; et cela était bien ainsi, Lupino n'avait pas besoin de plus.

Alors qu'il l'observait, presque indiscret, il la vit au début perdue, semblait-il. Comme si sa venue n'était pas programmée. La pluie, peut-être ? En tout cas, cela lui allait bien au teint. A force de vouloir tout masquer, les femmes oubliaient trop souvent que la véritable beauté est crue. Son sourire se précisa lorsqu'il vit qu'elle allait, après les étoffes, vers les pierres. Non pas qu'elle soit une voleuse, sans doute pas.

Mais elle était femme ...

Alors, il toussa, d'une main rapide remit ses cheveux de jais en ordre de bataille, toussa de nouveau doucement puis fit quelques pas vers la Dame.


Le bonjour, Signora ... puis-je vous aider, en cette belle journée ?

Doucement, il inclina la tête, puis son regard se porta sur les pierres. Il la regarda de nouveau ensuite, et hocha la tête.

Belles pierres, en effet ...
--Fiorentina




Tina n'était plus là à attendre que l'averse cesse, elle était ailleurs admirative devant ces petits joyaux qu'elle percevait sur l'étagère.
Elle n'avait pas vu d'aussi belles pierres depuis des années, d'ailleurs, depuis des années elle les fuyait voulant éviter toute tentation fatale.
Etait-ce le hasard d'être rentrée dans ce bazar ? Ou bien le passé venait la rattraper ?

Un toussotement, un deuxième puis une voix grave et chaude masculine font pivoter sa tête vers son locuteur. Un rapide examen de son visage, rien à dire, les hommes de son pays d'origine dégageaient un certain charme. Etait-ce dans la voix ou tout simplement le regard ou peut être le sourire...Arrête de rêver Tina !!
"Signora..puis-je vous aider, en cette belle journée ? " oui il était bien originaire de l'autre côté des frontières et oui il pouvait l'aider en cette belle journée.
Mais que voulait-il dire en cette belle journée ? Sans doute n'avait-il pas encore mis ses pieds à l'extérieur et n'avait point remarqué son aspect de chien mouillé...Aaaahhh !!! Les cheveux !! Revenant à son apparence qu'elle avait légèrement omis la brune se précipite et recueille tant bien que mal sa longue chevelure humide et rebelle pour leur rendre un aspect plus présentable


... heu... excusez moi ...bonjour messire....

Elle le regarde passant des pupilles du vendeur aux pierres puis inversement ..ses yeux pouvaient très bien être comparable à l'éclat lumineux des gemmes.

Oui très belles pierres effectivement....le reste aussi d'ailleurs... je veux dire ..là vos étoffes, elles sont ravissantes ainsi que les tapisseries et les.... mais...est ce que ...

Non non non !! Elle ne devait pas. Si elle posait ne serait-ce qu'un de ses longs et fins doigts sur une de ces pierres elle se perdrait.

...est-ce qu'il serait possible sire que je puisse les voir de plus près ?

Elle n'hésite pas à travailler son beau sourire rayonnant... ça marche à tous les coups.
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