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[RP] Ouvert à tous - Le Comptoir Venitien - Maison Ceresa -

Tuatha
Mes dames, mes dames... Benvenuto à la maison Cereza. Je vois que vous êtes agréablement surprise de voir autant d'articles de qualité au point d'en tomber à la renverse !

La Flamboyante que je suis est en train d'observer attentivement le contenu des étagères et je sursaute , avant de me retourner d'un coup , manquant de faire tomber un bocal plein de tubercules étranges , que je remets promptement en place , ni vu , ni connu , j't'embrouille .

Mon regard capte l'homme qui aide Liz à se remettre debout et les minauderies de celle çi face à lui .
Non mais j'y crois pas !!!

Cela amène un sourire sur mes lèvres , mon regard se fait légèrement moqueur en voyant mon amie captive du regard du brun .
Sans nul doute le vendeur ou le propriétaire de la boutique .

Amusée par la scène se déroulant sous mes yeux je ne bronche pas d'un iota et observe les prémices d'une scène digne d'une comédia del arte , Scène II , acte 1 , la suite au prochain numéro . Qui des deux tombera dans le panneau ?


Veuillez nous excuser ... m'excuser ... je ... on .... un malencontreux accident

Fichtre ! En plus elle en bafouille la pauvre Liz , alors que ses mains s'agitent à remettre les rouleaux de tissus en place .
Un regard un peu plus attentif en observant l'homme qui fait face à mon amie , alors que celle çi s'excuse une nouvelle fois .
Mais elle nous fait quoi là ?

C'est rien que quelques coupons de tissus au sol , on ne les a pas déchirés , ni tâchés ses fameux tissus à l'Italien là hein ?

Bon allez çà suffit , faut remettre de l'ordre là dedans ou pas ...
Voyant que l'homme entraîne mon amie vers le comptoir , je me met en marche et me dirige vers eux , prête à lui sauter dessus si jamais il a la main légère .

Oui on les connait les italiens , ils adorent parler avec les mains ...


Anselme va nous apporter de quoi vous rafraîchir mais que puis-je faire pour vous mesdames ?

Ah bin voilà ! Ca c'est une bonne initiative et une excellente question à laquelle je ne peux que répondre .

Me plantant devant eux , Liz devant le comptoir et l'homme derrière , j'accroche le regard de l'Italien et redresse le menton .


Un verre de vin ne sera pas de refus , Grazie mille ... Bah oui çà sert de voyager , on peut piocher quelques mots à droite et à gauche

Puis un geste de main en direction de la fameuse étagère qui m'avait intrigué.


Dites moi ... Les bocaux là bas , avec les plantes et les tubercules étranges , est ce que cela sert à confectionner des opiacés ou autres drogues ?
Je suis grandement intéressée
.

Nan je ne baisserais pas les yeux et je veux absolument un truc pour atténuer les douleurs . Personne ne peut savoir la souffrance qui est la mienne , personne ...
Et je n'admettrais aucun refus à ma demande .

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Meliane26
Méliane s’apprête à répondre à l’incendiaire que son refus est de bonne guerre, lorsqu’elle entend une voix masculine teinté du même accent que feue sa mère, s’élever.
Cela la ramène des années en arrière et son esprit vagabonde un bref instant en rangeant les derniers rouleaux de tissus.

La perspective d’un rafraîchissement la ramène vite sur terre.
Ah mais quelle bonne idée de leur proposer du vin ; voilà un commerçant qui sait recevoir.

Elle frotte ses mains et entend avec effarement, la jeune blonde proposer au propriétaire des lieux un dédommagement …. Hey, les tissus sont seulement tombés ….et le sol ne ressemble pas au plancher des vaches …il suffira juste de les épousseter un peu et il n’y paraitra plus. Elles lui sont redevables ? et de quoi ?

Elle ne répond pas de suite à la question concernant l’aide qu’il peut leur fournir. Inutile pour l’instant, sous peine de le noyer sous trop d’informations d’un coup.
Liz, Méliane apprécie de pouvoir mettre un nom sur cette charmante personne et la rousse étaient là avant elle, qu’il s’en occupe donc d’abord. Elle, elle a le temps.

En attendant le verre de vin, elle se déleste de sa cape et capuche, qu’elle pose sur son bras replié et examine le contenu de cette boutique, voir si l’objet qu’elle convoite s’y trouve, tout en écoutant d’une oreille, les propos échangés.

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Merci JD Samaele
Elisabeth_stilton
Une blonde qui connait Paris comme sa poche ça se ballade et forcément quand un nouveau commerce ouvre elle se dit qu'un partenariat pourrait être intéressant. Elisabeth entre chez le vénitien qui se trouve fort occupé et se met en retrait attendant qu'on s'occupe d'elle.
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Dante.tommaso
Le vénitien regardait la petite troupe de donzelles avec un œil amusé. La blonde n'arrêtait pas de s'excuser, de vouloir faire le ménage, de tout ramasser... mais elle se croyait où au juste, dans sa ferme ?
Pourtant à en croire le prix de la tenue qu'elle portait, c'était une noble et pas une petite aussi, cela commençait à passablement irriter le vénitien ce genre d'attitude. Et puis elle n'arrêtait pas de le reluquer comme si c'était une marchandise. Il avait beau être un noceur et un libertin, Dante ne chassait plus depuis longtemps les clientes de sa boutique. Ça n'apportait que des ennuis et au final, ça nuisait au commerce !

Toutefois, dans sa grandeur d'âme, le vénitien fit un sourire charmant à la dite blonde.


- Et si vous cessiez de vous agitez dame. Mes clientes n'ont jamais fait le ménage après leur passage ni même ramassé quoi que ce soit qui m'appartenait donc respirez et desserrez un peu votre corsage, je suis certain que vous vous sentirez mieux sinon vous allez nous faire un malaise au milieu de mes articles.

Voilà, ça c'était dit et fait. Mais comme il n'était pas complètement devenu un sauvage après sa disparition, il prit la main tendue tout en s'inclinant légèrement en la saluant.

- Dante Tommaso Ceresa, propriétaire de cette maison et de biens d'autres choses...

Puis son regard se tourna vers la rousse à laquelle il sourit avec chaleur. Une femme qui parlait quelques mots de sa langue avait toute son intention.

- Vous verrez, le vin est perfetto pour se remettre de ses émotions et donc, vous cherchez quelque chose en particulier ?

Le regard azuré suivit le geste de la main fine et laiteuse de la rousse pour se poser sur les étagères du dessus. Puis de sourire de la franchise de cette femme. Au moins, il savait où il allait avec elle. Pas de minauderies, pas de battements de cil ni de sourires à outrance, une véritable bouffée d'air frais le transportait de joie. Toutefois, Dante posa son regard assombri sur cette femme et la jaugea légèrement avant de lui répondre.

- Vous cherchez un produit en particulier ? Tout dépend des effets que vous recherchez... si c'est médical, je pense qu'il vaudrait mieux vous rendre chez l'apothicaire du coin qui vous préparera ce que vous souhaitez... après si c'est pour connaitre les sensations que les voyageurs connaissent en Orient... vous avez franchi la bonne porte.

C'est alors que la brune attira le regard de Dante. Silencieuse jusqu'à maintenant, il l'interrogea du regard mais bien vite, une autre femme entra. Et en bon commerçant qu'il était le vénitien s'inclina devant le petit groupe qui buvait leur verre.

- je vous en prie mes dames, prenez le temps de savourer votre vin, je reviens très vite et vous pourrez me dire ce qui vous amène dans mon humble demeure.

Puis prestement, Dante s'avança vers Elisabeth afin de la saluer comme il se devait.

- Dame, soyez la bienvenue dans la maison Ceresa. Que puis-je faire pour vous ?
Liz52
Elle se savait ridicule et se maudissait de son comportement puérile qu'elle ne comprenait pas.
Il avait raison ! Pourquoi s'excusait elle ainsi ? Non mais franchement Liz !! Reprends toi un peu de dignité !
Tout ceci avait l'air d'agacer prodigieusement l'homme qui au final masquait mal son irritation.
Et Tua ... mais ..mais ... elle s'amuse en prime !!! Rooo la traitresse !! Elle ne perd rien pour attendre celle ci ... et vas y que je te parle italien en prime ...
Liz redresse la tête et retrouve un semblant de calme intérieur qui n'est que façade.

- Vous avez raison Messire. Croyez bien que je regrette l'incident mais oui ... il n'y a pas mort d'homme . Je trouverai certainement un coupon à mon gout un peu plus loin sur vos autres étagères ....

Sans attendre la réponse qui ne viendra surement pas le voyant déjà en "affaire" avec Tua, elle s'avance un peu plus loin dans la boutique chinant ici et là les trésors qu'elle renferme.
Les voix deviennent un peu plus lointaine au fur et à mesure de sa découverte des lieux.
Sans s'en apercevoir, elle était parvenue à ce qui devait être l’arrière boutique.
Et voilà !! encore une bourde !
Décidément cet endroit ne lui réussissait pas !

Elle rebrousse chemin et tombe par hasard sur un coupon d'une soie rouge écarlate qui l'attire de suite.
Le touché est incroyablement doux et l’éclat chatoyant du tissus la laisse rêveuse.
Lis emporte le précieux tissus jusqu'au comptoir du propriétaire attendant qu'il en termine avec ses autres clientes pour le questionner sur le cout éventuel.

Un coup d’œil pour voir ce que mijote Tua et elle voit celle ci qui renifle des flacons ... Mais qu'est ce qu'elle fait ??
Elle la rejoint et se poste sans bruit derrière elle ..


- Mais que sens tu ainsi ?
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Tuatha
Assister à l'échange entre le Vénitien et Liz avait amené un sourire amusé sur mes lèvres, sourire qui se figea lorsque celui çi se tourna et s'adressa à moi.
Il avait beau me faire un sourire à damner une sainte , je n'entrerais pas dans son jeu , les hommes je les connaissait et savait à quel point ils pouvaient être charmeurs, joueurs et inconstants .


Je plante mon regard dans celui de l'homme , un regard franc , un regard qui jauge de pied en cap . Je ne fais plus dans la demi mesure , j'ose et je revendique mon droit à faire de ma vie ce que je veux .

Je suis certaine que vous avez un vin eccellente , venant d'un commerçant vénitien il ne peut en être autrement n'est ce pas ?

Un sourcil qui se hausse en constatant que l'homme me jauge également , cela amènerai presque un sourire sur mes lèvres si je n'avais décidé de garder la tête froide et lucide .
Il fallait toutefois être honnête et constater que l'homme était plutôt bien fait et avenant , mais mes pensées étaient tournées vers les petites choses dans les pots sur l'étagère au fond du magasin .

Quoi ? Qu'est ce qu'il raconte ? Un apothicaire ?
Pour un peu je recracherais le vin que je n'ai pas encore bu tiens !
Mon regard se fait acéré et sans doute la lueur qui s'en dégage fait briller de rage mes émeraudes alors que je lui répond le menton fièrement dressé .


Je n'ai que faire d'un apothicaire Signor !
Ce que je souhaite c'est connaitre les voluptés de l'Orient et je compte sur vos connaissances en la matière pour me conseiller efficacement .


Mais déjà le Vénitien se presse autour de la jeune brune entrée peu après nous et une nouvelle arrivante qui vient de pousser la porte .
Un regard sur Liz qui a disparu également , surement à la recherche de petits trésors pour se parer . Je suis donc libre de déambuler moi aussi et je décide de retourner vers l'étagère où sont entreposés les différents pots et flacons .
Au hasard j'en prends un et l'ouvrant j'en hume l'odeur .. fermant les yeux ...un sourire se forme sur mes carmines lorsque tout à coup !


- Mais que sens tu ainsi ?

Bon sang de bon sang ! Le flacon a faillit m'échapper des doigts .

Crénom de non Liz !! Tu m'as fait une de ces peurs .


Je regarde Liz et le flacon , puis le flacon et Liz et décide de mentir sans vergogne .

Oh je sentais l'odeur de ce flacon , çà me fait penser à l'odeur de berniques en décomposition c'est assez stimulant ! Tu veux sentir ?

Et certaine que Liz ne voudra jamais sentir l'odeur de pourriture des sois disant berniques , je tends la fiole presque sous son nez , me mordant la lèvre pour ne pas éclater de rire .
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Elisabeth_stilton
Elisabeth salua l'homme, elle était là pour une affaire bien plus importante. Aussi elle se contenta de lui répondre.

Finissez avec ces dames, j'ai une affaire à vous proposer et nous allons devoir parler un long moment.
Je dirige un atelier de couture et je voudrais voir si nous pouvions trouver une entente quand à contrat de fournisseur.



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Meliane26
Méliane s’amuse à regarder le duo féminin qui a lui seul met de l’animation dans cette échoppe. Elle en oublierait presque de chercher l’objet dont elle a besoin.
Ses yeux parcourent donc les étagères et présentoirs, mais à part quelques bijoux qu’elle verrait bien sur elle et qu’elle regrette fort de ne pouvoir acheter, rien qui ne ressemble de près ou de loin à ce qu’elle cherche.

Elle voit bien le regard du vénitien rempli d’une interrogation muette, mais avant qu’elle n’ait pu dire quelque chose, il accueille une nouvelle arrivante qui ne prononce qu’une phrase laconique.
Elle se rapproche du comptoir vers l’avant du magasin qu’elle n’a pas encore visité. Si elle fait chou blanc, elle devra donc se résoudre à faire sa demande de vive voix …ce qu’elle aurait préféré éviter ….

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Merci JD Samaele
Dante.tommaso
Il allait et venait entre les clientes qui ne semblaient pas vraiment décidées à acheter mais cela n'avait pas d'importance. La maison Ceresa avait pignon sur rues et c'était ça dont on se souviendrait. Dante se retint de soupirer en voyant les jeunes femmes glousser comme des pintades puis il repassa derrière le comptoir afin de ranger quelques fioles qui traînaient ici et là. Vu comment avaient été traités les étoffes, il préférait mettre à l'abri les quelques fragrances qui venaient d'Alexandrie et d'ailleurs. Son frère était à nouveau parti en chercher mais il n'allait pas revenir de sitôt donc…

L'œil toujours vif, Dante ne perdait personne de vue malgré son semblant d'occupation. Il aimait laisser une certaine liberté à ses visiteurs mais pas trop non plus. Certains s'étaient déjà permis de repartir avec les poches pleines, des petits sacripants comme de grands merdeux auxquels il avait battu le séant sans se faire prier. Un peu d'action en plein cœur de Paris ça ravigotait son homme.

Tête haute, le regard vif, un sourire avenant sur les lèvres, le Vénitien attendait que ces dames se décident à acheter…





Reprise de RP et du perso après un petit arrêt obligatoire, je m'en excuse auprès des joueuses qui avaient eu l'envie de venir faire un tour dans la boutique de mon tas de pixels.
Je suis toujours là donc si vous désirez continuer, ça sera avec plaisir.

JD Dante

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Meliane26
Rien de rien. Méliane n’a pas trouvé ou pas vu ce qu’elle est venu chercher. Elle se rapproche donc du propriétaire des lieux, qui l’air de rien, garde l’œil sur les silhouettes féminines.

Elle se compose un visage sérieux pour paraitre un peu plus vieille qu’elle n’est et formule sa demande :


Euh voilà ….je cherche …une pipe ….une pipe à herbes … avec un manche joliment ouvragé ?
Pourriez vous me procurer ça ?


Et puis elle se dit qu’avec un sourire, ça ne serait peut être pas plus mal …..
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Merci JD Samaele
Dante.tommaso
L'œil aguerrit avait vu l'ombre se déplacer dans sa direction. Jeune femme timide ou simplement peu habituée à entrer dans des boutiques afin d'y faire des emplettes, le Vénitien l'avait surveillé du coin de l'œil. Non pas qu'il n'avait pas confiance en elle mais simplement parce qu'il aimait satisfaire la clientèle venue jusque chez lui.

Il laissa donc la curiosité prendre le dessus et l'envie de trouver devenir plus forte. Et quand la jeune demoiselle arriva, il lui offrit un visage avenant sur lequel flottait un léger sourire.


- Buongiorno signorina… benvenutti à la maison Ceresa.

Dante se redressa légèrement puis écouta avec attention la demande. Un œil s'arqua tandis que le vénitien était déjà en pleine réflexion.

- Une pipe à herbes… et bien, je pense que l'on peut vous trouver cela mais il me faudra quelques jours afin de secouer quelques chenapans afin qu'ils vous dénichent ça.

Souriant un peu plus, il reprit.

- Je présume que vous tenez au fait que le manche soit ouvragé… une préférence… sculptée, peinte ?

Il connaissait certains artisans et ne voulait pas d'un objet qui n'était pas dans l'idée de la cliente.
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Meliane26
La réponse, même si elle est prévisible, (car qui tient commerce, se doit en principe, de pouvoir se procurer n’importe quel article,) agrandit le sourire de Méliane. Et puis cet accent …qu’elle n’entend plus à son grand regret, depuis la mort de sa mère.
Avec un temps de retard, elle se rend compte que, obnubilée par sa demande, elle en a oublié de le saluer.
Gênée, elle rattrape sa bévue en articulant un faible


Bonjour


Elle hésite entre signor et messire, mais craignant de se tromper n’ajoute rien. De toutes façons, elle a dit le principal. Le reste, c’est de la décoration.

Dante.tommaso a écrit:


- et bien, je pense que l'on peut vous trouver cela mais il me faudra quelques jours afin de secouer quelques chenapans afin qu'ils vous dénichent ça.


se dit qu’elle ne doit pas connaitre les même garnements des rues que lui, sinon elle ne serait pas dans cette boutique. Personne n’a été en mesure de lui en trouver une.


Oui … Pour le bol, peu importe qu’il soit travaillé ou non. Par contre, pour la tige, je préfère éviter la peinture, restons dans le naturel.

Méliane à une idée précise de ce qu’elle veut et se met donc en devoir de lui expliquer.
Ascendance italienne oblige, ses mains s’animent. Ses doigts dessinent courbes et arabesques, se déplient ou se rejoignent afin de lui montrer la longueur ou largeur du tuyau, la dimension de la pipe et celle du foyer.


Evidemment je préfère qu’elle soit en bois, en bruyère plus précisément, plutôt qu’en argile ou même porcelaine.
Je n’aime pas trop le bois poli, qui vous glisse facilement des dextres, je le préfère brut, sentir sous ma peau, les sillons que l’artisan a creusé, toucher la texture rugueuse du bois ….
Vous voyez ?


Plante résolument son regard dans le sien et ne peut déchiffrer ce qu’elle y voit. Elle se demande si elle ne lui a pas donné trop de détails.
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Merci JD Samaele
Dante.tommaso
Dante observait, écoutait, se faisait son idée d'après la description et les détails données par la jeune femme. Il hochait de la tête de temps à autre, inspiré, convaincu et puis déjà son cerveau cherchait qui contacter, secouer, payer. Le marchand de tout et de rien était déjà parti sur les chemins du commerce et soudain un sourire effleura ses lippes.

- Bene, bene… je pense deviner ce que vous souhaitez et malheureusement je n'ai pas cet article en stock mais je peux vous trouver ça. Ceci étant, cela ne sera pas là de suite donc ce que je vous propose c'est de me dire où je peux vous joindre et je vous enverrai un pli pour vous prévenir de où et quand vous pourrez venir réceptionner l'objet de vos désirs.

Un air convaincant sur le visage du bonhomme mais il ne pouvait faire mieux dans l'immédiat. Certaines choses demandaient parfois quelques jours de patience afin de dénicher le précieux trésor. Dante sortit du vélin et une plume et attendit qu'elle lui mentionne le lieu où il pourrait lui écrire ainsi que son nom, non pas pour la retrouver mais pour la prévenir. Après, ce fera ou pas, le commerce était toujours une loterie surtout quand l'objet réclamé n'était pas là immédiatement.

- Et si je puis faire autre chose? Désirez-vous peut être jeter un œil ou avez-vous déjà en tête un achat pour aujourd'hui ?

Sourcil arqué, Dante maitrisait parfaitement son sujet !
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Liz52
L'effet surprise fut une réussite totale quand la blonde entendit des noms étranges sortir de la bouche de la rousse.
Elle retint avec difficulté un grand éclat de rire devant l'air contrarié de celle ci mais elle ne put s’empêcher de lui faire un grand sourire ou transperçait une innocence feinte
Sourire qu'elle ne garda pas longtemps en entendant le nom de la "chose" que tenait son amie..... berniques en décomposition !!
Pouahhhh qu’était ce donc que cela ...

Mais la curiosité n’était elle pas la plus grande faiblesse de la femme ?
Bien que l'idée de sentir le flacon la répugnait d'avance, Liz se laissa tenter tout de même histoire de pas passer pour une sainte nitouche.
Elle devenait de plus en plus aventureuse ces derniers temps, n'avait elle pas entrepris une chasse aux trésors dans son domaine ?

L'odeur nausée a bond lui fit soulever le cœur et réprimer une grimace qui devait somme toute être comique si elle en jugeait par le regard jubilatoire que lui lançait Tua...
La vile coquine que voila ... elle ne perdait rien pour attendre.


- en effet c'est .... goûtu .... original je dirai .... mais si tu veux te trouver un homme ... un conseil ... ne prend pas ça en parfum !!


Elle reboucha le flacon et le reposa sur l’étagère, puis prit son amie sous le bras pour l'entrainer un peu plus au fond de la boutique ou étaient rangés des épices, qui eux avaient le bon gout d’être agréablement odorant.

- Si on rapportait des épices en Bretagne pour organiser un grands banquet ? cela fait longtemps qu'on a pas fait de fête ... et pourquoi pas un bal costumé !!! Comme à Venise !!


Et voila la blonde partait dans un de ses délires.... Elle rêvait constamment de voyages et de découvertes... Si elle avait juste entendu parlé des frasque vénitiennes, elle n'avait aucune idée de comment cela s'y passait mais là l'important était de redonner le sourire à son amie.
Ici elles ne devraient pas avoir de mal a trouver des étoffes pour se faire tailler des toilettes par Ginn....

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Tuatha
J'ai juré ?
Oui ! Et çà faiiitt du bien de jurer parfois ... Bon là il est vrai que c'était surtout par peur d'avoir été démasquée , mais de toute façon c'est idiot car Liz se rendra rapidement compte de ce que je vais commander , bien que ... Je peux toujours lui faire croire que ce sont des choses inoffensives .
De toute façon personne ne verra rien vu que ma consommation se fera chez moi , en douce et en toute intimité .

Un éclair de triomphe métamorphose surement mon visage en voyant mon amie approcher la fiole et esquisser une grimace .
Avant qu'elle ne me dise que c'était goûtu !

J' éclate alors de rire , impressionnée par le courage de Liz , certes , mais surtout amusée par la suite de sa phrase


Grands dieux ma belle ! Moi me trouver un homme ?
Tu sais bien qu'entre eux et moi c'est une histoire perdue d'avance .
J'ai abandonné l'idée d'intéresser quelqu'un et ce n'est pas toi qui me fera changer d'avis .


Ceci était bien entendu un petit rappel , afin qu'elle comprenne que ce qu'elle avait essayé de faire avant mon séjour chez les nonnes ne devait pas se reproduire .
Dire qu'elle avait voulu m'entraîner dans les fameux souterrains de son château et tout çà pour m'y perdre , en compagnie de son Parrain .
Heureusement je n'avais pas été dupe et le Parrain encore moins , elle s'était donc trouvé le bec dans l'eau en voyant son plan machiavélique se vautrer lamentablement .
Si j'avais pu et surtout voulu , j'aurai dit
- Bien fait - mais j'aime Liz et son amitié m'est précieuse , jamais je ne la blesserais volontairement .

La blondine m'entraîne alors vers d'autres étagères et la voilà qui me parle d'épices , de fête , de bal masqué !
Hé !! Mais son imagination est débordante , il va falloir que je commence à me méfier et que je me barricade dans ma propre forteresse si je veux échapper à tout çà .


Euh! - moment d'intense réflexion -
On peut rapporter des épices oui bien sur et tu peux faire la fête ma Liz , mais tu sais que je ne suis pas friande de tout çà .
Je vais encore me trouver à faire tapisserie parmi toutes tes relations , donc je vais t'aider à rapporter tes trucs là
- Montre du doigts les bocaux d'épices diverses et variées - et ensuite je repartirais en voyage .

Et voilà çà c'était fait ! Heureuse d'avoir mit les choses au point , je jetais , à nouveau , un regard vers l'étagère qui m'intéressait depuis le début ...

Bon écoutes pour les épices je te laisse voir avec le Messire là bas - Montre discrètement d'un mouvement de menton , l'homme qui est en discussion avec la jeune fille brune - Moi je vais retourner voir la fiole de berniques en décomposition , j'avoue que je suis attirée par son odeur délicate et virile à la fois .

Un léger sourire malicieux , alors que j'abandonne Liz entre les mains du Vénitien , me plantant de nouveau devant l'objet de mes désirs .
Toucher , déboucher toutes les fioles alignées , l'une après l'autre , m'emplit l'esprit de choses nouvelles , de senteurs , de rêves et d'envies .

Je veux découvrir la volupté et la douceur des abysses dans lesquelles me conduiront ces drogues et c'est avec un regard , voilé d'impatience, que je regarde le vendeur .
Espérant qu'il comprenne que je ne suis , vraiment , pas là pour les épices et encore moins pour des conseils d'apothicaire .

Allons Messire on se dépêche d'accéder aux désirs de ses clientes !
Dans l'attente de ce moment , je plonge mon doigt dans l'une des fioles et le porte ensuite à mes lèvres ... Un avant goût de la volupté qui prochainement m'emportera...
J'en ferme les yeux de plaisir ...

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