Gotch
Lors de son arrivée à Luxeuil, Gotch avait dit vouloir s'installer en tant que sédentaire et mener une vie d'éleveur de vaches, tranquille, sans déranger personne, dans son coin. Tout le monde ignorait tout de son passé, il a juste vaguement parler de sa région d'origine un soir à l'auberge sous l'emprise de l'alcool à Dame Saffig.
Pendant quelques temps, tout le monde put voir un être heureux avec sa vache, qui s'en occupait avec soin et qui passait de joyeux moment dans la taverne à s'enivrer et faire le pitre. Gotch était bien content d'être parvenu à s'intégrer, à devenir un anonyme dans la foule, mais pourtant, petit à petit ses démons le rongeait de l'intérieur.
Certaines personnes avaient remarqué la veille qu'il avait une attitude bizarre à l'auberge : près du sapin, il parlait à se dernier, même pire on aurait dit un dialogue. Gotch lui, ne remarqua pas du tout qu'Estebayi, Saffig et d'autres personnes le regardaient de plus en plus bizarrement. Ce matin, il se réveille avant même que le soleil ne se soit levé et enfile ses bottes pour aller voir sa vache.
Il a été tellement pressé, qu'il n'a mis que ses bottes, il est dehors dans la rue dans la guenille qui lui sert de pyjama. Il cours à toute vitesse, à peine 40 secondes pour traversé l'Allée des moines, puis carrefour de la rue de Besançon, manque de renverser quelqu'un, il ne s'est pas qui. Sans arrêter sa course, il dit juste qu'il est désolé en faisant un geste de la main. Le voilà au champ, tout essoufflé, mais heureux de constater que Galipette est toujours là.
Ah Galipette, hhhpppf hhhppfff, dit-il en reprenant son souffle, excuse-moi, je suis, hhhhppppffff, désolé, je n'aurai jamais du te laisser dehors comme ça, hhhpppfffff. Je te promet de ne plus jamais t'abandonner, hhhppfff, tu mérite mieux dorénavant tu viendra avec moi à la maison.
Puis tout en donnant à manger à sa vache, il lui parlait de tout et de rien.
Tu vois, aujourd'hui, il fait beau, on va avoir une belle journée, tu veux faire quoi? on peut aller se balader au bord du lac si tu veux? Non, tu préfères allé faire une sieste sous l'arbre là-bas? bon ben d'accord, je vais te tenir compagnie alors.
Soudain, sentant le froid commencer à picoter tout son corps, Gotch réalisa qu'il n'était pas habiller.
Houlà là, je suis vraiment tête en l'air ce matin. Mais toi aussi, Galipette, tu n'as pas d'habit, il va falloir que je remédie à ça. Va seulement t'allonger, je vais m'occuper de te trouver des vêtements digne de ta prestance.
A ses mots, Gotch se dirigea vers le bord de son champ, en direction de sa maison.
Pendant quelques temps, tout le monde put voir un être heureux avec sa vache, qui s'en occupait avec soin et qui passait de joyeux moment dans la taverne à s'enivrer et faire le pitre. Gotch était bien content d'être parvenu à s'intégrer, à devenir un anonyme dans la foule, mais pourtant, petit à petit ses démons le rongeait de l'intérieur.
Certaines personnes avaient remarqué la veille qu'il avait une attitude bizarre à l'auberge : près du sapin, il parlait à se dernier, même pire on aurait dit un dialogue. Gotch lui, ne remarqua pas du tout qu'Estebayi, Saffig et d'autres personnes le regardaient de plus en plus bizarrement. Ce matin, il se réveille avant même que le soleil ne se soit levé et enfile ses bottes pour aller voir sa vache.
Il a été tellement pressé, qu'il n'a mis que ses bottes, il est dehors dans la rue dans la guenille qui lui sert de pyjama. Il cours à toute vitesse, à peine 40 secondes pour traversé l'Allée des moines, puis carrefour de la rue de Besançon, manque de renverser quelqu'un, il ne s'est pas qui. Sans arrêter sa course, il dit juste qu'il est désolé en faisant un geste de la main. Le voilà au champ, tout essoufflé, mais heureux de constater que Galipette est toujours là.
Ah Galipette, hhhpppf hhhppfff, dit-il en reprenant son souffle, excuse-moi, je suis, hhhhppppffff, désolé, je n'aurai jamais du te laisser dehors comme ça, hhhpppfffff. Je te promet de ne plus jamais t'abandonner, hhhppfff, tu mérite mieux dorénavant tu viendra avec moi à la maison.
Puis tout en donnant à manger à sa vache, il lui parlait de tout et de rien.
Tu vois, aujourd'hui, il fait beau, on va avoir une belle journée, tu veux faire quoi? on peut aller se balader au bord du lac si tu veux? Non, tu préfères allé faire une sieste sous l'arbre là-bas? bon ben d'accord, je vais te tenir compagnie alors.
Soudain, sentant le froid commencer à picoter tout son corps, Gotch réalisa qu'il n'était pas habiller.
Houlà là, je suis vraiment tête en l'air ce matin. Mais toi aussi, Galipette, tu n'as pas d'habit, il va falloir que je remédie à ça. Va seulement t'allonger, je vais m'occuper de te trouver des vêtements digne de ta prestance.
A ses mots, Gotch se dirigea vers le bord de son champ, en direction de sa maison.