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[RP] Eglise Saint Tugdual de Tréguier

Oroch
s'adressant à Esmeira : Approche toi plus près que je réalise le sacrement.

Je te baptise Esmiera au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l’amitié de tous les Saints et pour l’amour du Père de l’humanité.



Je te remets également la médaille des fidèles aristotéliciens. tu peut l’arborer fièrement dans ta signature.



Partez en paix ma fille. Qu'Aristote vous guide et que le Tout Puissant vous protége.

J'invite maintenant la baptisés à venir communier.







Va dans la paix de dieu
Helwena
Esmei se rapprocha d'Oroch, le cierge toujours dans sa main, et communia. Une fois fait elle lui déposa une bise sur sa joue
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Zakarine
Zakarine était émue aux larmes ...

Elle embrassa bien fort la nouvelle Aristolicienne et se permit de faire un bisou à Oroch pour le remercier pour cette cérémonie, peu commune!


Allons les amis, on va boire un coup en taverne pour fêter ça !!!

Ils sortirent tous contents ..
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{Caswallawn}
Pour info, je rappelle que le vert et le rouge sont des couleurs réservées à la censure...un de vos messages, un peu plus haut, cumule les deux...

Merci de corriger. Une fois fait, je m'éclipse (comprendre : j'efface cette intervention )

Merci beaucoup

{Caswallawn}

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Fenrislepal


Fenris et Eli les attendaient dehors...

Félicitations Esmé!!!

Il les acompagna de bon coeur à la taverne...

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Aimé de Folie
Papa d'Elisabeta
Ex-Maire de Tréguier(x4)
Patron de la taverne/auberge "l'antre de Folie"
Capitaine du Babby
Quand trop c'est trop,c'est encore pas assez...
Oroch
revenu tard de sa pèche nocturne le clerc n'avez pas pu combattre l'envie de ronfler quelque heures de plus, mais voila que l'horrible son retenti a nouveau le privant de ce délice.



il se lève, pas sans peine, décide de ne porte pas sa robe et prend le livre des vertus et se dirige vers l'église le pas lourd et l'esprit ailleurs, mais la conviction qu'il devra trouvé une solution pour l'engin de torture le motivait pour y aller
Oroch
Le clerc consacra quelque bref moment a la lecture d'une page du livre des vertus, il posa uene question


Est-ce bien claire?

il était claire que son valet et unique présent dans la salle voulais en finir au plus tôt alors il affirma avec un oui plus ou moins sincère. alors il referma son livre et s'en alla pour finir son sommeil interrompu, oubliant qu'il avait l'idée de décrocher les cloches.
Nabou36
Revenant de la pêche, Nab s'arrêta à l'église quelques minutes. Poussant la grande porte, elle entra et se dirigea vers l'avant.

Prenant place dans l'un des premiers bancs, elle s'agenouilla et pria en silence.

Il y avait un bon moment qu'elle était absente et le calme légendaire de cet endroit lui avait manqué. Elle sourit en pensant à toutes les sermonts que le père Zeak leur faisait le dimanche, certains étaient très profonds, mais d'autres...

Que de souvenirs lui venait en tête. Elle avait aprit le décès du père Zeak durant son absence et avait été très peinée de cette nouvelle. On lui a également cité le nom du curé actuel de Tréguier, Oroch, qu'elle n'a pas vraiment eu l'occasion de rencontrer.

Elle tentera de communiquer avec lui car avant son décès, le père Zeak devait la baptiser mais n'en n'avait pas eu le temps puisqu'elle avait dû quitter Tréguier d'urgence. Elle fera donc une nouvelle demande au père Oroch lorsqu'elle le verra.
Euspicius


Je me pose un instant, et pénètre dans cette église reposante. Mon esprit est encore et toujours préoccupé par cette légère vision. Je ne la vois encore que derrière un halo bleuâtre.

Une femme si belle si pure.

Mais cette femme doit être mienne et engendrer pour moi un fils digne de perpétrer une transmission secrète.

Je songe à la rejoindre, mais il me faut encore attendre. Prier n'est pour l'instant que ma destinée. Plonger dans les ténèbres et ne voir que le très Haut. Je prierai avec ferveur afin d'apaiser les tourments de mon coeur.
Oroch


Nous voila de nouveau réunis pour nous recueillir, nous recueillir auprès de Dieu. Lui prier pour le remercier de Sa création, notre création.

Aujourd'hui, pendant que le soleil brille à toute puissance, nous pouvons voir que le monde change. Nous voyons de nouveau que Dieu à fait de plein Amour, un Amour Ultime notre Création, et qu'Il est l'Amour.
Prions d'abord, prions pour Le louer, Le remercier pour toute Sa perfection, Sa parfaite Création.



Citation:
Dieu, nous vous remercions,
Nous vous remercions pour cette nouvelle journée,
Une journée qui illustre Votre gloire.
Nous Vous sommes reconnaissants,
De tout Vos exploits, Vos Créations, Votre Amour.

Aristote, tu nous a éduqué avec sagesse,
Tu nous permet de croire en la vraie Foy,
Une Foy divine et Indivisible,
Une Foy qui nous guide, qui nous montre ce qui est bon.

Et Christos, fondateur de notre Eglise,
L'Eglise Aristotélicienne, guide de tout ces fidèles,
Union de la Foy, Union des croyants.
Tu t'es sacrifié pour l'humanité,
Pour nous, pour que puissent prendre exemple.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.


AMEN


Nous voila arrivés à un stade, où nous voyons tous qu'Il nous guide, qu'Il est là, et qu'Il sera toujours là. C'est donc pour cela que nous ne devons pas laisser de côté la Foy, l'Indivisible Foy. On dois donc faire la différence entre le bien et le mal. Voila ce qu'à fait Aristote en expliquant à son disciple.


Citation:
Par un rude jour d’hiver, un disciple, qui avait atteint le terme de son enseignement, vint trouver Aristote, avant de quitter le lycée.

Le disciple : "Cher maître, maintenant que je vais être livré à moi-même, il y a une chose que j’aimerais savoir."

Aristote : "Je t’écoute, brillant disciple."

Le disciple : "Vous m’avez remarquablement formé à l’art de la logique et à la science métaphysique, mais vous ne m’avez rien dit quant à la morale."

Aristote : "Tu dis vrai, mon ami. C’est en effet une lacune de mon enseignement. Que veux-tu savoir au juste ?"

Le disciple : "Il est important pour un homme, je le crois, de savoir identifier le bien du mal, afin de se conformer aux règles qui conduisent au premier, et qui permettent d’éviter le second."

Aristote : "Certes."

Le disciple : "Ce qui m’amène à cette question simple, maître, qu’est-ce que le bien ?"

Aristote : "C’est un problème tout à la fois vaste et d’une simplicité limpide comme le cristal. Le bien, dans son principe, c’est la perfection de la nature de l’objet, de sa substance."

Le disciple : "Mais pourquoi donc, cher maître ?"

Aristote : "Parce que le bien ultime réside dans le divin, sans nul doute. Et pour identifier le bien, il suffit donc de s’attacher à l’analyse de l’essence du divin. La substance du tout puissant étant intelligibilité pure et parfaite, le bien ne peut être que perfection de la substance, et donc de la nature d’une chose. Comprends-tu ?"

Le disciple : "Oui, cher maître, je comprends."

Aristote : "Je t’ai enseigné, cher disciple, que la nature d’une chose réside dans sa destination, puisque le mouvement révèle la substance de l’objet. Tu sais donc quelle est la nature de l’homme n’est-ce pas ?"

Le disciple : "Certes, maître, la nature de l’homme est de vivre en collectivité, et cette collectivité prend le nom de cité."

Aristote : "Tout à fait. Le bien de l’homme, c’est à dire ce qui tend à réaliser la perfection de sa propre nature, est donc une vie vouée à assurer les conditions de l’harmonie au sein de la cité. Or, le bien de la cité, est tout ce qui participe à son équilibre, puisque la nature de la collectivité est de se perpétuer. Ainsi donc, tu peux le constater, le bien de l’homme conduit au bien de la cité."

Le disciple : "C’est remarquable !"

Aristote : "En effet, ça l’est. Vois-tu, l’homme ne fait le bien qu’en s’intégrant pleinement à la cité, en participant à la politéïa, et en faisant tout son possible pour en maintenir l’harmonie."

Le disciple : "Alors, cher maître, l’homme de bien est donc le citoyen ?"

Aristote : "Je n’ai pas dit cela, cher disciple. Un esclave peut être un homme de bien, s’il a conscience de sa propre nature d’homme, et qu’il sait se satisfaire de sa condition, car ainsi il œuvre au maintien de l’équilibre de la cité. La politéïa n’est pas que la participation aux assemblées."

Le disciple : "Et bien, cher maître, voilà des réponses qui me satisfont."

Aristote : "J’en suis heureux, mon ami."

Et sur ce, Aristote ne revit jamais son disciple qui, selon la légende, vécut une existence exemplaire, inspirée par les principes de la vertu.

La vita d'Aristote-CHAPITRE X-La morale



Notre croyance est essentielle, et le bien l'est aussi. Nous devrons toujours veillerà ce que nous nous sombrerons jamais dans le mal, pendant que nous pensons trop au bien. Une pensée peut aller loin, et peut dériver vers tout les côtés. Mais l'essentiel est que vous avez foi en Dieu et Ses disciples.

Voila déja la messe qui touche à sa fin, récitons le Credo une dernière fois avant de nous séparer et mangeons le pain en Son honneur.

Helwena
Esmei qui était assise au fond de l'église, récita le credo avec dévotion. Une fois la messe terminée, elle se leva, se signa puis sortit de la grande église pour rejoindre les tavernes.
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Gin.
Gin entra dans l'église. Elle baissa sa capuche. Regarda autour d'elle. L'église était vide.

Elle s'agenouilla et se signa puis s'avança dans l'allée centrale. Ses pas résonnaient. Elle prit place au premier rang et pria.

Elle remercia Dieu pour tout ce qu'il lui apportait dans sa vie et plus particulièrement ces derniers jours. Elle pria pour les siens. Comme tous les jours , elle demanda à Dieu de rester auprès d'elle et de continuer à la guider dans les choix qu'elle devra faire. Dieu ne l'avait jamais déçu et meme si elle ne comprenait pas toujours sur le moment, il en ressortait que du bien avec le temps alors elle lui faisait totalement confiance.

Gin se signa une dernière fois et sortit.
Zakarine
C'était dimanche, c'était le jour de la messe dominicale ...

Zak entendit les cloches sonner au loin et se précipita dans un demi-sommeil, sa nuit ayant été très courte puisqu'elle avait attendu Esmy qui devait venir la chercher ...

Elle franchit le parvis et alla s'asseoir aux côtés des vieilles bigotes. Elle salua le père Oroch au loin et attendit le début de la cérémonie.


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Helwena
Esmei entra dans l'église, se signa puis chercha un visage familier. Elle aperçut la belle chevelure flamboyante de Zak au milieu de vieilles biquettes aux cheveux gris.
Elle s'excusa auprés des grenouilles de bénitier et pris place à côté de son amie.


" Demat Zak, ca va ? T'es bien entourée dis donc "
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Nabou36
Revenant du Menhir, Nabou s'arrêta à l'église. Elle poussa les grandes portes et entra sans faire de bruit. L'intérieur était désert, personne pas même Oroch n'y était.

S'avancant lentement, elle s'agenouilla devant les quelques lampions allumés et se recueilla quelques instants. Prenant une profonde respiration, elle resta immobile et fixa les flammes.

Au bout de quelques minutes, elle se releva et se dirigea vers la sortie se disant qu'elle reviendrait pour la prochaine messe.
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