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[RP] Eglise Saint Tugdual de Tréguier

Caled
Il avait rejoint Gin. Tristan dans les bras il l’enlaça par la taille souriant.

Esmei et Robin enfin marié. Le père Oroch les regardait tous. Visiblement il avait une chose a rajouté.

Il patientèrent, le tumulte du lieu diminuant peu a peu.
Gin.
Emue par l'échange des voeux et des anneaux, Gin s'approcha à son tour féliciter les nouveaux mariés dont les visages irradiaient de bonheur.

- Mes félicitations à vous deux, je ne vous souhaite que du bonheur, à vous et aux enfants.

Après les avoir avoir embrassés, Gin regagna sa place et s'adressa aux enfants Kermabon :

- Si vous voulez embrasser les mariés, allez vite le faire avant que le curé ne reprenne, non ?

Leen et Max ne se le sont pas faits répété deux fois, c'est en courant qui sortirent du rang et bruyamment. Tellement hâte de se dégourdir un peu les jambes. Le grand-père les suivit tranquillement.

Gin mit Tristan debout sur le banc. Il s'aggripa aussitôt au dossier du banc et attaqua une série de petits sauts tout en observant un à un les visages des personnes qui se tenaient devant lui. Gin ignora le bruit qu'il faisait sur le banc, sortit un mouchoir de sa poche et tenta de le moucher. Comme prévu, il ne se laissa pas faire, il bougea sa tete dans tous les sens, et tenta de repousser la main de Gin , tout à rouspétant.

- ça y est, c'est fini, je ne t'embête plus !

Tristan reprit sa danse tout content d'entendre qu'à chacun de ses levées de pied, correspondait un bruit.

La file des félicitations commença à toucher à sa fin. Le calme revenait peu à peu dans les rang. Gin reprit Tristan dans ses bras, et laissa passer les enfants et le grand-père qui étaient de retour. Gin se remit à sa place
Dao souriant arriva enfin, et l'enlaça. Elle en profita pour lui redonner Tristan.

- Tiens prend le un peu, je sens qu'il te veut.

Elle regarde Dao d'un air amusé.

Mais c'est vrai, regarde ! .

Elle lui mit dans les bras.

Je le reprendrai après si tu veux, mais là, je ne sens plus mon dos.

Tout en riant, elle vola un baiser à Dao, passa son bras sous le sien et attendit la suite des évènements.
Sakuralabelle
Sakura s'avança à la fin de la cérémonie vers les mariés.

Bravo, toutes mes félicitations à vous deux!! Je vous souhaite tout le bonheur du monde!!!

Sakura eut un petit pincement au coeur, et se dit qu'elle n'avait pas eu cette chance. Personne ne l'avait assez aimé pour lui proposer le mariage. Elle soupira, la nostalgie la reprenait à nouveau... Combien de souffrance encore son coeur pouvait endurer...
Numphea
Numphy, qui s'était faite discrète dans un coin de l'église avec Ilan dans les bras, s'avança vers Esmeira et Robin pour les féliciter. La larme à l'oeil, elle leur fit un gros bisou.

Eh bien, félicitations à vous deux !!! Et surtout soyez heureux !!!

Puisse la flamme de votre amour ne jamais s'éteindre...


Elle leur sourit, heureuse de les voir enfin mariés, puis retourna à sa place en attendant la toute fin de la cérémonie.
Caled
Il prit Tristan, sourit. Son fils préféré ! Il lui déposa un baiser sur le front. Et voyant qu'Oroch ne se décidait pas encore à dire son dernier mot , il avança de quelques pas et donna une bourrade amicale au marié, puis une grosse bise a Esmei :

- Mes félicitations vous deux ! vous voyez bien que vous y êtes arrivés !
Je ne peux que vous souhaitez plus de bonheur à présent , vous deux avec vos enfants. Et sachez que si il y à besoin de quoi que ce soit, ma porte sera toujours ouverte.

Il les embrassa encore tout deux puis se recula espérant qu'oroch ne tarderait pas a sortir de son mutisme
Carolinius


Un nouveau projet occupait toutes ses pensées, un défi qu'elle voulait relever.
Tout cela l'éloignait de la politique et la faisait retourner à son amour des manuscrits.
Imperceptiblement, elle sourit. Le soleil offrait encore un peu de sa chaleur en cette fin d'après midi. Carolinius se sentait bien.
Elle arriva devant le parvis de l’église poussa la porte,
L'église sentait le renfermé, fleurs fanées depuis ce si beau mariage.
la motivation n'était plus là.
Pas grand monde, il fallait le reconnaître..
À vrai dire quasi personne même.

Retroussant ses manches, elle se mit à l'ouvrage.

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Helwena
Cape serrée autour d'elle et buée sortant d'à travers son col, Esmei traversait le village en direction de l'église. La neige n'avait pas cessé de tomber et ses pas crissait sur le manteau blanc. Elle monta les quelques marches et entra dans l'énorme monument.
La jeune femme marcha jusqu'à l'autel et s'agenouilla devant avant de se signer. Quelques personnes étaient là mais elle ne s'en occupa pas. Ses pensées vagabondèrent vers les jours précédents où Oroch l'avait uni à Robin mais surtout où il avait oublié de faire ce qu'il lui avait promit, l'hommage pour Eux.
Elle leva les yeux vers la statut divine et parla à voix basse, du mieux qu'elle put..


Seigneur,
Veuillez les protéger et veiller sur eux.
Sur Lanna, soeur merveilleuse, qui rependit la joie et la bonne humeur dans Treguier. Petite soeur de coeur trahi et partit trop tôt par chagrin.
Sur Lacan, adorable neveu, qui n'a pas eu le temps et la chance de grandir.
Sur Manolita, amie formidable, qui n'a pas put voir la fin du voyage
Sur Taizo, fillot et ami, jeune homme au grand coeur qui était toujours prés à faire ce que sa jeune marraine lui demandait et qui fit beaucoup pour cette ville malgré les critiques de certains.
Pour Nabou, toujours prête à aider les autres en les soignant.
Pour eux, je t'en pris Seigneur, protège les, veille sur eux et accorde leur une place près de toi.


Esmeira se signa et se leva. Elle resserra sa cape, traversa l'église et sortit dans le froid, le coeur à demi léger.
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--Justeampassan
Alors que le bedeau était encore suspendu à l’épaisse corde, sonnant les cloches, les premiers villageois franchirent la porte de l’église, ils traversèrent la nef, s’assirent sur les bancs.

Verty
Mes frères, mes sœurs,

Je vous souhaite la bienvenue en cette église pour la célébration de l’office qui est bien rare vu l’état du bâtiment.

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Gin.
Gin s'apprêtait à rentrer du marché lorsqu'à sa grande surprise elle entendit les cloches de l'église. Oh ! Miracle ! on donne une messe ?

Gin suivit le mouvement de quelques habitants aussi surpris qu'elle.

Elle entra , déposa son panier dans un coin, se signa et s'installa dans un des rangs à droite.
Verty
Ce jour, qui marque le renouveau de notre église, ce jour qui plus que tout autre doit nous rassembler dans la Foy, ce jour, j’ai décidé de vous parler de ce qui fait que l’homme a été élevé par le Très-Haut au-dessus de tout être, ce jour nous allons parler d’Amour.

Amour que nous portons pour le Très-Haut, mais aussi de l’amour que nous portons à notre prochain.

Avant la lecture du livre des vertus commençons par réciter l’acte de contrition :



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Verty
Je vous invite donc à ouvrir votre Livre des Vertus, Création VII : l’Amour.


Citation:
Création VII: L’amour

Dieu ne répondit pas à la créature qui avait fait l’apologie de la domination du fort par le faible.

Il se tourna vers un groupe de créatures. C’était justement celui qui faisait partie de l’espèce humaine et qui avait parcouru le monde. Dieu savait que ce groupe se croyait rejeté par Lui. Ces humains pensaient être privés de tout talent. Ils estimaient être mis à l’écart de la création du fait de leur prétendue infériorité. Mais, parmi eux, l’humain qui portait le nom d’Oane détenait, sans en être sûr, la réponse à la question posée par le Très Haut.

Car Oane doutait. Il regardait souvent les étoiles, espérant voir Dieu. Il aimait le Très Haut d’un amour sincère, mais ne savait pas si cela était le véritable sens de la vie. Il voulait bien donner sa réponse, mais il était considéré comme faible d’esprit par son groupe et personne ne voulait le laisser parler. Mais Dieu était omnipotent. Il avait écouté le groupe d’humains se plaindre. Mais surtout, Il avait perçu l’amour et le doute dans le coeur d’Oane.

Alors, depuis le ciel, un rayon de lumière se fit et vint nimber Oane. Toutes les créatures furent ébahies, admirant la douce lumière qui auréolait l’humain. Elles s’écartèrent alors, le laissant seul face à Dieu. Il contempla son corps enluminé d’un regard plein de curiosité. Puis il se tourna vers les membres de son groupe. Pour la première fois de sa vie, il put voir dans leur regard non pas du mépris mais du respect.

Et Dieu lui demanda: “Et toi, l’humain, n’as-tu rien à Me répondre? J’ai ici convoqué toute Ma création pour trouver celui qui donnera la juste réponse à Ma question. Tu es venu et tu n’as pas répondu. Alors, maintenant, Je te somme de le faire !”. Alors, Oane, terrifié par le ton sévère de son créateur, leva les yeux vers Lui et, d’un ton hésitant, dit: “Mais, ô Très Haut, je ne sais si ma réponse est juste...”. Et Dieu lui ordonna: “Parle et je te le dirai !”.

Alors, Oane répondit: “Tu as certes fait Tes créatures se nourrissant les unes des autres. Il leur faut chasser et tuer pour se nourrir. De même, il leur faut se battre pour défendre sa vie. Mais il n’y a pas de fort ni de faible. Personne ne rabaisse ni ne piétine les autres. Nous sommes tous unis dans la vie et nous sommes tous Tes humbles serviteurs. Car Tu es notre créateur.”

“C’est pour cela que Tu as donné des talents plus beaux les uns que les autres à toutes Tes créatures. Chacune d’elles a sa place dans Ta création. Son talent permet à chacune d’elles de la trouver. De ce fait, il n’y a pas de créature préférée de Toi, ô Très Haut. Nous sommes toutes pareillement aimées par Toi et nous nous devons tous de t’aimer en retour. Car, sans Toi, nous n’existerions pas. Tu nous a créés alors que rien ne t’y obligeait et nous nous devons de t’aimer pour te remercier de ce geste.”

“Nous sommes certes enchaînés à la matière, certes soumis à ses lois, mais notre but est de tendre vers Toi, l’Esprit Éternel et Parfait. Donc, selon moi, le sens que Tu as donné à la vie est l’amour.” Alors Dieu dit: “Humain, puisque tu es le seul à avoir compris ce qu’était l’amour, Je fais de tes semblables Mes enfants. Ainsi, tu sais que le talent de ton espèce est sa capacité à M’aimer et à aimer ses semblables. Les autres espèces ne savent aimer qu’elles-mêmes.


Ainsi, nous sommes tous liés par ce sentiment commun : l’Amour.
Il doit rester présent dans notre esprit, dans chacun de nos actes, du plus anodin au plus noble.
Souvent oublié, mis de coté par des volontés personnelles et politiques…ambitions de pouvoir.

N’aimez point que vous-même !!! Laissez de coté vos ambitions égoïstes !!

Tournez vous vers votre prochain et tournez vous vers le Très Haut.
L'Amour est ce qui fait de nous des hommes.
Ce sentiment divin doit guider nos pas. Tournez vous vers l’Amour de Dieu.
Il nous en fait don, Il nous a élevé au dessus de ses autres créatures pour que nous l’aimions et le louons.

Qu’est-ce que cela sinon l’oubli de l’Amour que nous devons TOUS et TOUTES lui témoigner ! Unis comme un seul être, pour plaire à Dieu, le suzerain de TOUS !!

Je citerai enfin le sage Christos : " Il n’est de noblesse que d’âme, et c’est dans votre cœur qu’il vous faut être noble.
Mais sachez que même ainsi, vous serez vulnérable, car la noblesse est souvent blessée par la bassesse. "


Après un court silence, Mère Verty reprit.

Prions ensemble, prions ! Et affirmons notre Foy pour le Très-Haut.


Citation:
Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN


Maintenant, je vous invite à célébrer l’amitié Aristotélicienne en procédant au partage du pain.



Mère Verty, donna à chaque fidèle, qui s'avancent vers elle, un morceau de pain, symbole du partage dans la Foy.

Allez en paix mes enfants !!! Allez en Paix, dans la lumière du Très Haut.

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Gin.
Comme demandé, Gin prit le livre des vertus, feuilleta et s'arrêta au texte indiqué. Création VII: L’amour . Elle écouta et suivit la lecture sur le livre attentivement. Gin n'avait guère le temps de lire le livre des vertus chez elle mais appréciait grandement d'en découvrir les textes à l'église. Dans le calme, portés par une voix qui résonnait dans ce lieu, les mots la transportaient. Elle s'imprégnait de ces histoires contées et en ressortait sereine, ressourcée, vivifiée.

Encore une fois, le texte l'éclaira un peu plus et la confortait dans ses idées. Aimer le très haut et aimer son prochain, quite à passer pour un bisounours.

Etre un bisounours était très mal vu ici bas... et bien elle s'en foutait tout simplement, elle le revendiquait même et en tirait une certaine fierté. Comme Oane, certains devaient rire de sa 'naiveté" ou "'simplicité". Mais ne pas suivre le troupeau. !

Quite à passer pour une blonde .. et alors ? quite à être la seule dans ce cas et alors ? Gin suivait son instinct et non les influences du moment. Quite à être seule à aller dans une direction. Gin était persuadée que le nombre n'avait pas toujours raison. Oui l'union fait la force...il parait ... mais pas pour elle !

Certaine fois , elle rejoignait la force et mais très souvent elle se différenciait de la force, sans aucune culpabilité. Elle est persuadée que Dieu était en elle et qui lui montrait le chemin. Aujourd'hui ce texte, lui donnait raison. Gin sourit doucement.

Une prière suivit la lecture, Gin se joignit à l'assemblée des croyants :


Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN


S'en suivit le partage du pain... Gin ne savait pas si tout le monde partageait ses idées mais peu importe, elle partageait volontier un moment de sa vie avec les autres croyants, sans plus se poser de questions. Elle vivait le moment présent et l'avenir dira. Aimer son prochain, c'est l'aimer tout court. Tel qu'il est. Telle qu'elle est.

La messe terminée, Gin reprit le cours de sa vie. Oui, elle savait que le fait d'aimer le très haut et son prochain ne l'épargnerait pas pour autant. Ainsi soit-il !


.
Verty
Sur le parvis de l'église, SE Verty s’avança et prit la parole :Je suis heureuse de célébrer l’office Dominical en cette église.

La cardinal Archevêque, envoya le bedeau sonner les Cloches.




Les cloches résonnèrent dans toute la province pour annoncer le début de la messe.
Les fidèles se pressèrent pour ne pas manquer cette cérémonie.


Entrez mes enfants dans la maison du Très Haut.



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Verty
Son Tro Breiz c’était déroulé sans le moindre encombre jusqu’a son arrivée à Tréguier.

Les Cloches ayant sonné, personne ne s’étant présenté, Verty s’isola dans une des chapelles afin d’y prier.
La messe ne serait pas dite aujourd’hui.
Elle se dirigea vers une absidiole en silence se sentant l’âme d’une personne voulant faire une bêtise.

Déception était là le maitre mot de Son Eminence verty.
Que de chemin parcourut que de villes traversées pour en arrivé là.

La Bretagne tombait en miette, son ami de toujours ne l’était probablement plus, son garde la laissait seul abandonnée.

Les églises étaient vide, vide de tout sens, que faire ?

Elle avait l’impression que certain qui pensait avoir créé la Bretagne à eux seul, voulait à présent sa perte, la détruire afin de prouver qu’elle n’était rien sans eux.
Ne pouvaient-ils pas s’en aller tranquillement, leur temps étant révolu.

La baronne se demandait encore si il fallait qu’elle continue le chemin ou l’arrêter là !
Là ou elle avait perdu son époux, là ou elle était revenue afin de tout recommencer.

Elle avait rencontré ses dernières semaines des amis, mais qu’était ce des amis comparé à la grande tristesse qui l’envahissait chaque jour de plus en plus.

Comment trouverait-elle la force de continuer son chemin dans cette vallée de larmes.

Elle murmura :


Il y a en moi un puits très profond, et dans puits, il y a le Très Haut.
Parfois, je parviens à l’atteindre.
Mais, plus souvent, des pierres et des gravats obstruent ce puits ou le Seigneur est enseveli.
Alors, il faut le remettre au jour.


Suivi une longue prière :

Je te promets, mon Dieu, de ne pas me laisser écraser par l’angoisse de l’avenir.
Je veux t’aider à ne pas t’éteindre en moi, c’est la seule chose qui compte.
On n’est jamais dans les griffes de personne quand on est dans tes bras…
Rien ne peut plus nous être ravi.


Verty versa une larme.

Ce qui compte, c’est de t’emporter, intact et préservé, partout avec moi et de te rester fidèle envers et contre tout, comme je te l’ai promis.
Le seul geste de dignité humaine qui me reste :
M’agenouiller devant toi !

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